PRÉMICES DE MON LIVRE EN ÉCRITURE : VÉRA, LA CANAILLE ET SA COMPLICE.
CHAPITRE IV
La visite : VÉRA – La Canaille et sa Complice
La Canaille devait intervenir suivant les ordres du Procureur devant lequel Véra avait déposé un Plainte Pénale en bonne due forme contre Les Logeuses criminelles qui la forcèrent à subir trois délit pénaux bien classées et différenciés dans le Code pénal, ce qui n’est pass contradictoire d’un pays du Tiers Monde, car ils ont à leur avoir de Codes de loi, le problème est que dans les pays bananiers, les lois ne sont pas respectées, mais Véra gardait toujours de l’espoir. Le Procureur donna des ordres, quand la Canaille lui avait parlé au téléphone, il se présenta comme étant « le directeur » du Service, Véra l’a sur sur parole e tomba dans son piège, Véra se dit qu’il lui fallait encore un nouvel apprentissage de vie, sa formation sur les délits capables de faire un pays bananier n’étaient pas toujours bien n répertoriés dans son cerveau.
Véra n’avait pas reçu la copie de l’assignation que le Procureur envoya au service d’hygiène, mais elle pensa dans son for intérieur que l’assignation devait avoir un ton impératif de changer le chauffe -eau en entier et de toute urgence mesure simple qui lui permettrait de bénéficier tout de suite de récupérer son droit légitime à l’eau chaude et à ses douches.
En croyant que ce mot URGENCE bien significatif dans le langage juridique, serait compris par le Canaille et sa Complice, Véra se trompait, puisque dans le système d’un Référé, l’urgence se transforme en un maximum d’exécutoire de 48h.
Alors la Canaille lui ment la fait patienter en employant des subterfuges: « je suis débordé ,vous n’êtes pas la seule, je n’irai faire l’inspection que dans un délais de 18 jours. Il refuse de faire un quelconque travail en « urgence ».
Véra commença à analyser la situation comme chancelante, chaotique et très douteuse. Mais elle devait laisser passer un peu de temps avant d’adresser une seconde plainte pénale.
Les preuves en l’espèce elle devait les avoir toutes en sa possession.
Véra se laissa un mois comme délai avant de lancer son ultimatum.
Le caractère d’urgence est indubitable, quand il manque l’accès à l’eau qui est un des droits fondamentaux de tout être humain semblable à celui de s’alimenter. Véra s’est encore: Mais à quel point est monumentale la haine des ce personnel de la ville de cette Cité !
La vérité est qu’autant La Canaille et sa Complice, la vipère menteuse, étaient des frustrés de classe, autant il était grandiose leur haine incapable d’être retenue; ils la déversaient en obstruant les travaux, en dilatant le plus possible l’intervention, outrageant cette fois-ci les ordres du Procureur. Dans son « rapport » écrit la Canaille ne dit pas qu’il a été mandaté par le Procureur mais il a changé complètement la situation, en écrivant qu’il a été mandaté par un service administratif sans pouvoir qui lui sert pour cacher qui était véritablement la personne du plus haut statut juridique qui lui avait donné des ordres. C’est lui-même qui lui a dit par téléphone, qu’il avait « reçu une assignation du Procureur », pour un moi après, changer la donne lors de son écrit. Mais La vanille est de ces types sans vergogne qui comme un bulldozer il avance en casant tout à son passage.
Véra rigolait de bon coeur en écrivant l’analyse de cette ordure inhumaine.
Véra se chargerait de mettre au clair la vérité, c’est sont rôle existentiel quelle avait dû assumer depuis la mort de son père, lutter seule pour son indépendance et pour dire haut et fort la vérité. Parce que la vérité n’a pas de nuances, elle est un bloc inamovible, elle est foudroyante et invincible.
La haine, la détestation que ce personnel ressentait contre Véra était mesurable par des personnes compétentes; le fait qu’ils dilatèrent plus trois mois une improbable intervention pour qu’elle puisse avoir à nouveau son droit qui lui revenait en toute justice d’avoir de l’eau chaude était la preuve la plus irrévocable pour qu’ils soient jugés.
Véra attendait prête à rire l’arrivée annoncée d’une lettre injurieuse et menaçante qui la définirait comme « une locataire INSALUBRE » insulte outrage et viol de sa personne fait verbalement par la canaille qui arriva « faire une inspection » chez elle où il s’est permis, sans témoins autre que sa Complice, une vipère dont le mensonge et la calomnie forment partie de son être et de son travail.
Véra fut victime d’un attentat verbal chez elle, il la menaça d’inscrire son verdict sur sa personne par écrit dans une lettre administrative qui ferait le constat écrit de son inspection. Une très fausse inspection de ce logement des logeuses criminelles.
Véra ne devait en aucun cas de figure devenir un « objet » visé pour une « inspection » ce n’était pas sa personne visée mais le lieu insalubre que les logeuses lui donnèrent en 2021 pour habiter et la rabaisser.
Ces « logeuses » trouvèrent grâce à leur poste de « privilège » administratif de rabaisser sa personne or, que de mieux que de l’obliger à vivre dans des très mauvaises conditions d’habitat, chauffe-eau vétuste fuyant le gaz, datant des années soixante, et jamais changé, canalisations vétustes et bouchées laissant sortir pendant la nuit des odeurs pestilentielles, des fuites permanentes d’eau sorties des canalisations du levier qui transperçaient les murs car la cuisine était avoisinante de la salle d’eau et les canalisations du levier donnaient juste vers le mur de la salle d’eau d’où non seulement les canalisations de la baignoire et du lavabo laissaient sortir de leurs canalisations des fuites permanentes, mais venaient se greffer celles du lever de la cuisine, un conglomérat parfait des dégâts des eaux bien spécifié qu’il nomme des fuites « minimes »
Véra à la lecture de son rapport éclata de rire ! Elle se dit, je ne devrait pas rire parce que c’est tragique que moi, je sois obligée à subir les dégâts non « des eaux », mais les véritables dégâts de ce minable « Canaille et de sa vipère Complice.
Les véritables dégâts qui devait subir Véra étaient existentiels, ceux-là ne sont pas réparables avec l’aide ni d’un plombier ni d’un chauffagiste, ils ne sont réparables qu’avec de l’argent, beaucoup d’argent qui ne devait sortir que de son atelier de peinture. Véra comptait bien le faire valoir…Mais jamais dans ce pays du Tiers Monde, elle savait à présent qu’elle avait commis une grave erreur et comprit qu’elle devait la réparer. Et très vite.
Véra reprit la lecture dudit « rapport » rien de la vérité des dégâts des eaux n’y est dit.
L’humidité ne vient point de l’absence de Vam, la grille marche, l’humidité ne vient point des fenêtres fermées de la salle d’eau, aucune salle d’eau des appartements de la capitale de ce pays du Tiers Monde n’a de fenêtres et il n’y a jamais de l’humidité, La Canaille l’inculpe de « Locataire INSALUBRE et lui dit presque en criant:
« Vous êtes coupable ici de ne pas ouvrir les fenêtres, c’est la seule raison de l’humidité ici, je ne vous demande pas d’ouvrit les fenêtres tandis que vous êtes NUE en prenant votre douche, mais après, vous devez tout de suite ouvrir les fenêtres »
Véra se dit dans son for intérieur:
« Cette canaille se croit un tuteur? !, il ne dit rien des véritables dégâts des eaux qu’en plus j’ai fait inscrire dans une vidéo !, il outrepasse ses fonctions de petit fonctionnaire de pacotille, je vais voir la suite… »
L’humidité l’avait provoqué le décollement des plinthes des murs, elles étaient noircies, où la peinture aussi était noircie et entièrement écaillée, elles étaient une des formes factuelles et indubitables d’une humidité permanente, les sanitaires rouillés avaient fait leur temps, après soixante dix années usage, l’usure avait formé des plaques indélébiles de tartre que Véra s’obstinait pas désespoir de propreté, de les faire disparaître illusoirement avec des litres d’eau de javel qu’elle dépensait en la jetant soit dans les canalisations, soit en spray pour les lieux où le tartre et la rouille rougeâtre s’inscrivaient à tout jamais dans tous les sanitaires qu’elle aurait voulu dynamiter, elle riait seule à la seule pensée de faire éclater cette pourriture d’appartement, « il faudrait dynamiter toute cette Cité pourrie » se disait Véra en souriant.
La clé du van qui est placé dans la canalisation d’eau du W.C. fut cassée avec une pince lors de l’intervention du plombier qui devant couper l’eau pour changer le WC , il cassa la clé qui fixée de rouille ne pouvait être tournée qu’à l’aide d’une pince, il fut totalement normal qu’elle fut cassée lors de l’intervention et il laissa dorénavant, l’appartement dépourvu d’une clé capitale pour qu’en cas d’une inondation soit possible de l’estomper la fuite d’eau à l‘aide de ladite clé, à présent cassée et que la Canaille ne dit rien et pire qu’il cache volontairement le dégât provoqué par inadvertance du plombier, car on peut bien casser une clé van de sortie d’eau, mais on la remplace pour corriger le dégât provoqué!
La Canaille le cache dans son « rapport » de pacotille.
Et, ce nouveau dégât produit tout récemment est passé sous silence. Véra s’est dit: si inondation grave des eaux se produit, j’ouvrirai la porte d’entrée et l’eau descendra par les escaliers, là, les voisins vont crier au scandale, qu’ils crient, ce sera bien mieux que les cris des ados quand ils ont essayé d’abattre sa porte à midi, ers étant elle à la maison, maintenant qu’elle a installé une télésurveillance, personne n’ose ni la menacer de mort comme auparavant, ni venir abattre sa porte, nuisances factuelles de la bande des lâches de la Cité. Elle avait déjà prévenu son assureur, ni elle ni son assureur ne seront responsables d’aucun dégât. Cette Canaille se sait bien évidement qu’il est le protégé de la commune de son chef de service et de toute l’administration politique de la ville, du contraire il n’aurait jamais osé agir de la sorte en exerçant sur Véra l’ignominie verbale la traitant de « locataire insalubre » et d’avoir voulu faire les photos de sa chambre à coucher qu’il dit dans son «faux rapport » écrit que elle n’a pas voulu qu’il prenne de photos de l’interrupteur au mur!
Une quantité des faux constats tellement faux et si crétins par la volonté de ne pas dire la vérite et de minimiser les dégâts, qu’ils ne peuvent que provoquer le rire; ce type malfaisant, il a comme surplus de « protection », un des éléments des plus puissants typiques de tout pays du Tiers monde, ils sont plus puissants que les gouvernements, il s’agit de son « syndicat » et le suit son conseil de Prud’hommes qui défend, certes, très justement les salariés en cas d’injustices patronales, mais qui ne saura pas faire la différence pour dogmatisme, quand un travailleur CANAILLE s’en prend à une femme qui sans appuis et sans syndicats, doit subir les outrances d’une canaille lâche qui profite de la situation désavantageuse d’une femme seule et de sa fausse supériorité politique.
Cette Canaille, après la menacer et la traiter de LOCATAIRE INSALUBRE et de lui dire: je vais le dire dans mon Rapport que vous recevrez sous-peu, vous pouvez après, me dénoncer au Tribunal, Faire une contre-expertise, demander de l’aide à votre assureur.
Véra clament lui a répondu:
Monsieur, vous allez rester avec vos insultes seul, car je ne ferai RIEN contre vous, je ne ferai aucune action en justice , ni déposerai jamais, plus jamais de plainbte devant le Tribunal, la preuve est que depuis cinq ans que les Logeuses criminelles m’attaquent je n’ai rien fait contre ces canailles. Je ne ferai rien contre vous, je ferai mieux, votre rapport je vais le PUBLIER! »
Alors, lui outrancier, avec un visage cynique et un ton méprisant la regarde et lui dit:
« Si vous voulez! »
Cette Canaille et sa Complice, la vipère menteuse, sont de ces petits spécimens, qu’on ne peut pas nommer « Personne », car l’étymologie serait violée.
Ce sont de ces éléments incapables de toute bonne action, ils maîtrisent les forces de la méchanceté, et qui pullulent dans toutes les administrations de ce pays du Tiers Monde qu’a force de recommandations politiques leur fut facile d’asseoir une sorte d’installation administrative où il est « Inspecteur », et l’autre une bonne à rien, tous deux en copinage et en se tutoyant, loin de posséder une quelconque autorité, ils s’adjugent des fonctions qu’il n’en ont point. Il a voulu transformer l’inspection qui ne devait se limiter qu’à deux pièces, en trois, il est l’entré de force et avide de savoir comment Véra a sa chambre à coucher !
Aucun administré ne doit exprimer la volonté d’entrer dans la chambre à coucher d’une dame locataire.
Dans la chambre de Véra n’a ni de fuites de gaz sortant du chauffe-eau, ni des infiltrations d’eau sortant des canalisations d’évier et des sanitaires, ce Canaille a voulu même faire des photos de son lit !
Là, Véra s’indigna et l’a mis dehors, il a essayé de la pousser, elle a fait un pas en arrière, en protestant catégoriquement, c’était un film a charger à un cinéaste, et la Canaille s’est avancée à coté de son lit, il insista lui disant qu’il voulait vérifier la prise !!!
Véra révoltée lui a dit: Alors là monsieur, vous sortez !Vous n’avez pas le droit de prendre des photos de mon lit !
L’après-midi, Véra lui adressa un mail avec la photo de son lit à nu, dépourvu de linge, et lui a écrit: voila monsieur, pour la deuxième fois, je vous poste la photo de mon lit que vous avez déjà depuis un mois, car je vous l’avais posté, de cette, photo vous pouvez en faire usage selon votre convenance, mais pas d’un lit d’une chambre à coucher qui est un lieu privé qui m’appartient, mon domaine privé, vous le violez et vous voulez le transformer en lieu public !»
Cette Canaille, s’est dit Véra, elle est non seulement une Canaille, mais un type dangereux, malfaisant et des bas-fonds, c’est cette pègre que les gouvernements bananiers donnèrent du pouvoir par des motifs politiques, maintenant le pays entier est infesté de la peste incrustée jusque’à l’os.
Il n’est que, celui qu’en n’étant qu’un subalterne, s’est fait passer par le Directeur du service de l’administration.
Le rôle limité d’inspecteur des dégâts des appartements sociaux, il a voulu le transformer en une perquisition ! « Et, pourquoi pas dans une garde à vue » s’est dit encore Véra.
Une personne qui la connait depuis des nombreuses années lui a dit un jour:
« Ce qui est surprenant chez-vous et qui me donne l’assurance de votre résilience est que vous n’abandonnez jamais votre dérision, pour plus tragique qui soient les événements de votre vie, vous les transformez en dérision », alors Véra lui répondit: « c’est l’unique me manière de survivre, de me sauver, je ne peux pas m’empêcher de les regarder comme des pions, des artefacts risibles et si grotesques que quand ils arrivent m’agresser et me provoquer, je ne peux pas retenir des fous rires ! , c’est tellement grotesque et le grotesque fait rire ! »
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