EN FRANCE PROVOQUER DES PRÉJUDICES AVEC L’INTENTION AGGRAVANTE DE NUIRE UNE PERSONNE VULNÉRABLE EST CONSIDÉRÉ UN DÉLIT PÉNAL – VILOGIA DOIT SAVOIR QUE SES ABUS À MON ENCONTRE DOIVENT PRENDRE FIN
LES VOICI LES DÉLITS PÉNAUX
DU BAILLEUR SOCIAL VILOGIA ET LES DOLÉANCES
DE LA LOCATAIRE QUI SERONT EXPOSÉES ET LES DÉDOMMAGEMENTS QUI SERONT EXIGÉS PAR L’AVOCAT :
I.
Abus de faiblesse (articles 223-15-2 à 223-15-4 du Code pénal)
Mise en danger d’autrui (article 223-1 du Code pénal.
Hébergement de personnes vulnérables dans des conditions contraires à la
dignité humaine. (article 225-14 du Code pénal)
5 ans de survie dans un logement insalubre parce que non conforme aux normes de sécurité : chauffe-eau déclaré vétuste, et dans véreux par l’expertise de GRDF en 2024, artefact qi fuyait le gaz, datant de 1960, avec des fuites, et suite aux nombreuses LRAR, rafistolé en 2023 avec du papier aluminium,
La locataire a dû subir 5 mois privée d’eau chaude, restituée seulement le 2 septembre suite à la plainte pénal qu’elle déposa en mai, devant Monsieur le Procureur de la République.
2. Dégâts des eaux qui se prolongent depuis son arrivée qui furent cachés par une couche de peinture. Les multiples vidéos font l’état des lieux incontestable. Ces fuites ne viennent pas de l’appartement de la locataire, mais de l’étage supérieur.
Ces dégâts jamais vérifiés ni réparés ont explosé le samedi 6 septembre 2025, à 4h30 du matin et la locataire a dû subir une inondation qu’elle a assumée en solitaire en train d’évacuer l’eau sans dormir avec des moyens domestiques des plus précaires, en étant âgée et en état d’invalidité.
La locataire a subi des préjudices d’ordre physique et moral qui ont été constatés par un Certificat médical délivré le 12 matin.
3. L’Assurance habitation de la soussignée a fait l’expertise le mardi 9 à 8h30 et Vilogia ne s’est pas présentée à la convocation de l’expert de son assurance.
4. En dépit d’avoir placé des avis urgents et pressants, à l’attention du locataire d’en haut ; il resta inactif, tandis que la locataire madame Gazmuri-Cherniak ne cessa d’essuyer une inondation en provenance du plafond de son cabinet W.C qui malgré les bassines l’eau placées par terre, la fuite de l’étage supérieur était comparable à un robinet ouvert jour et nuit ! L’eau les remplissait, à une vitesse que tous les 20 minutes et le sol s’inondait obligeant la locataire à essuyer à l’aide des serviettes, penchée ce qui a endommagé ses mains, et provoqué des fortes douleurs lombaires.
5. Son assurance lui a versé 120€ le 10 septembre pour l’achat d’un aspirateur d’eau, mais arrivé seulement le 12 chez elle, elle commença à évacuer l’eau à, l’aide dudit aspirateur, certes plus facilement, mais sans que pour autant l’inondation s’amenuise, sans pouvoir dormir, elle a dû même la nuit allumer l’aspirateur, car l’eau inondait le couloir.
5. Encore, le samedi 13, à 4h40 du matin, elle a rappelé le service d’urgence de Vilogia sans obtenir une aide urgente et rapide, alors cette fois-ci, excédée de leur inertie, elle exige une réponse claire, face aux mêmes réponses stupides, elle menace le fonctionnaire de garde de la permanence des urgences de nuit de Vilogia de dénoncer cet abus devant le Préfet.
6. Vers 9h du matin, le plombier de Vilogia frappe sa porte, fait le constat de l’inondation qui ne s’arrête point et lui dit qu’il va monter chez le locataire d’en haut pour lui ordonner de couper son robinet. Le plombier lui a dit qu’il viendra lundi faire les travaux chez le locataire d’en haut.
Madame Gazmuri-Cherniak a dit à maintes reprises qu’elle n’est pas « chef des travaux » et que son rôle n’est pas celui de faire pression ni de contrôler les travaux faits chez des tiers qui lui apportent préjudice, c’est une obligation du bailleur social et de chaque locataire de l’immeuble qui doit se responsabiliser de son logement pour qu’il ne provoque pas des nuisances chez autrui.
7. Les détails seront donnés à l’avocat qui sera désigné par le BAJ, ce qui est fondamental est que enfin, l’inondation fut stoppée et que le samedi 13, vers 12h, Madame Gazmuri-Cherniak a pris fin à ses interventions qui se sont prolongées jour et nuit entre le 6 septembre el le samedi 13 septembre sans répit.
II.
8. Madame Carmen Florence Gazmuri-Cherniak a porté plainte par Internet devant le Préfet, parce qu’elle ne peut se déplacer par transport en commun de Poissy à Versailles, le seul bus qui passe toutes les heures, n’a pas de rampe et il est très étroit et a des escaliers qu’elle ne peut pas franchir avec son déambulateur qui pèse 9 kilos.
PRÉJUDICES DE SANTÉ
9. Les moisissures collées aux murs, et qui ont endommagé les murs de sa chambre à coucher son à caractère mortel et provoquent la maladie mortelle nommée FIBROSE PULMONAIRE, elle demandera à son avocat de faire valoir toutes ces circonstances aggravantes et saisir le Juge de Référés pour une mutation de HLM à caractère d’urgence absolue vers Paris où elle a toujours vécu et où elle a tous ses dossiers médicaux.
Elle veut stopper les transports de taxis conventionnés par ce que le réseau parisien est parfait et elle peut faire usage de la rampe et de la gentillesse des conducteurs, ce qui n’est pas le cas à Poissy.
10. L’avocat de la demanderesse aura un dossier monumental de preuves en l’espèce qui attestent que la locataire ne doit pas poursuivre pour une sixième année en train de monter et de descendre les escaliers qu’elle doit franchir très douloureusement et lentement ; sous peine d’une aggravation irréversible de son handicap, à savoir, une fracture spontanée des vertèbres et dislocation des genoux, il faut savoir qu’en 2021, quand elle arriva de Paris, Madame Gazmuri-Cherniak ne marchait pas à l’aide de ce déambulateur, c’est seulement depuis janvier 2024 que par ordre médical, elle a dû l’acheter pour ses déplacements à l’extérieur, mais ce lourd déambulateur n’est pas conçu pour qu’une personne invalide le monte par 84 marches d’escaliers, son usage est prévu pour un terrain plat.
Et, c’est uniquement l’exercice de montée et de descente des escaliers le seul élément de cause d’aggravation de son handicap aux genoux et qui a augmenté le taux d’invalidité de Madame Gazmuri-Cherniak; cet exercice de l’obliger à subir une TORTURE journalière a été condamnée par tous les médecins de madame Gazmuri-Cherniak, et ils exigent dans tous leurs certificats médicaux que les autorités chargées du logement des HLM parisiennes assument leur responsabilité en vertu de la loi qui rend prioritaire pour une mutation une locataire en état d’invalidité.
III.
Dommages et intérêts.
Madame Gazmuri-Cherniak ne possède aucun électroménager, afin de faire des économies drastiques et de ne payer que le minimum des factures d’énergie.
Le dépenses d’électricité qui se sont prolongées jour et nuit par l’aspirateur d’eau entre le jeudi 11 à 13h, et le samedi 13 à 13h30 seront facturées par son fournisseur d’électricité avant la fin du mois de septembre 2025.
Le prélèvement se produit les 10 du mois, Madame Gazmuri-Cherniak n’est pas en mesure d’assumer un seul euro de consommation ajoutée, car elle ne paie que 30€ par échelonnement mensuel, parce que n’ayant aucun électroménager, sa consommation mensuelle de Kilowatts transformés en euros est de 15€, le reste correspond aux taxes et à son abonnement, donc ne pouvant pas être à découvert, il va falloir agir d’urgence et en conséquence des préjudices financiers que madame Gazmuri-Cherniak ne va pas assumer et sous aucun prétexte.
Par ailleurs, elle demandera à son avocat qu’il établisse devant le Juge des Référés, une somme correspondant aux dommages et intérêts en rapport à l’indemnisation qui lui revient en toute justice, pour les préjudices physiques et moraux, provoqués par l’inondation dans son HLM et qu’elle a dû subir sans aucune aide entre le samedi 8 et le samedi 12 septembre.
Pour faire valoir ce que de droit.
Fait à Poissy, le 14 septembre 2025.
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