LE DIES IRAE. LA PROSE DES MORTS -REQUIEM DE MOZART UTILISÉ À DES FINS MERCANTILES – C’EST ÇA LA FRANCE DU XXI è s.
Chers Lecteurs,
qui est le dégénéré qui a cru bon de se servir du Réquiem de Mozart
pour sa publicité ?
« Ne donnez pas les choses sacrées aux chiens »
MATHIEU 7:6
La blasphème contre le VERBE est impardonnable, la musique religieuse en est aussi une « écriture » musicale symbolique.
Si elle utilisée à des fins vulgaires, il est impardonnable.
En France à chaque pause du journal ou des programmes dits sérieux, nous sommes assaillis d’une publicité qui nous surprend d’abord, la première fois, pour devenir obscènes les suivantes, parce que répétitives à l’infini, comme le sont toutes les publicités qui utilisent la pédagogie répétitive pour arriver à convaincre d’acheter.
Je me dis, mais quelle école de commerce et de publicité existe en France qui forme des professionnels de la publicité qui sans la moindre capacité imaginative, ignorants de la portée sacrée qui possèdent des questions artistiques-religieuses, destinées à rendre hommage aux Morts, dans ce cas cité, et à hisser la sensibilité des Hommes, ils vont de l’avant avec cette effrayante désinvolture, rampant à l’aide des choses sacrées sans que personne ne les juge ni ne leur demande de stopper ce sacrilège.
Et, précisément à l’approche de la Nativité qui est tergiversée en fête mercantile.
Ces créations esthétiques dédiés aux Morts sont toutes de la plus haute envergure, personne ne doit y toucher à des fins d’une bassesse accrue comme l’est l’incitation mercantile quel qu’elle soit, elles doivent impérativement rester à la marge.
Les jeunes publicitaires osent sans vergogne faire recours aux choses sacrées de l’esprit pour inciter les français à la consommation.
Je les plains.
Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK
NADEZHDA
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