LA COMPLICE-VIPÈRE
LA COMPLICE-VIPÈRE
De la vipère, la Complice de La Canaille, il n’y presque rien à dire, son principal trait de caractère qui la définit toute en entière comme l’espèce du zoo la plus répugnante qui sont les vipères venimeuses est qu’elle est la personnification du mensonge, elle ment quand elle parle, et ment quand elle écrit, les mensonges est sa propore nature, et dès qu’elle fut prévenue par son ami La Canaille, que Véra allait publier tous les mails mensongers qu’elle lui écrivit le 11 septembre 2024, où elle lui annonçait sa visite pour répondre à ses lettres et demandes de changer le chauffe-eau et les sanitaires, elle arriva faire des photos pour ensuite se moquer d’elle et ne rien faire. Ils ont monté un théâtre de diversion contre Véra pour la tromper et lui faire croire que tout serait pris en charge par « Les Logeuses Criminelles » la farce diabolique de cette Complice-Vipère n’avait que trop duré, plus d’une année jusqu’à que Véra épuisa sa patience.
Une année après, arriva en qualité de représentante légale des Logeuses criminelles, c’était à en mourir de rire.
l’accompagnatrice de la Canaille, bloc à la main, en train de faire semblant de noter comme une élève appliquée au service de son compagnon, tout ce que lui vociférait sans témoins à Véra, le jour maudit de l’inspection.
Véra lui a dit face à face, « d’où sortez vous vos affirmations que vous n’étiez pas au courant que je me trouve depuis quatre mois sans eau chaude? Vous m’avez écrit des mails, vous êtes venue ici ici faire des photos pour après ne rien faire! » Prise au piège, elle baissa le regard cynique et morbide, profita de la situation où, il n’y avait point le temps de discuter et entrer dans une polémique que Véra ne comptait pas poursuivre, elle aurait viré à l’aigre, un pur cauchemar, et Véra n’appartenait pas à son genre de la pègre.
Véra laissa passer la confrontation verbale, de quoi aurait-elle servie?
De rien, en revanche Véra écrit, laisse des constats indélébiles où elle prouve sa bonne foi et la vérité écrasante.
L’après midi, Véra envoie la photo de son lit sans linge dans la chambrette convertie en « chambre à coucher » on peut à peine y entrer de biais, si exigüe est elle…Véra l’avertit par mail sur le fait accompli à la Canaille elle lui dit qu’elle avait déjà fait bon usage des mails de sa Complice, de l’année 2014 et des ceux aussi mensongers du 19 récent, ces mails mensongers que Véra lui avait envoyé en duplicata il y a plus d’un mois et qu’il cachait à « ses supérieurs hiérarchiques » dénomination que ces incapables aiment tant, ils sont nés pour obéir, se faire petits devant les supérieurs et ensuite, dès qu’il laissent les « supérieurs » convaincus qu’ils savent « obéir », ils se lancent à perpétrer toute sorte des délits contre celles qu’ils croient « faibles », plus d’un mois, s’était écoulé depuis son appel téléphonique et selon ses dires «il faisait suite aux ordres du Procureur de inscrites dans l’assignation », mais la Canaille avec la seule intention de laisser encore Véra sans eu chaude, retient le début du changement du chauffe-eau que les ouvriers ont déjà reçu!, travail; se pose qui ne dure qu’une heure.
Cette Canaille interdit aux chauffagiste de travailler avec le seul objectif de dilater le plus de temps possible pour laisser Véra sans eau chaude, et étant donné que le Chef et ne sait rien et qu’il n’y a aucun chef de travaux qui le contrôle personnellement, il a menti pour la énième fois disant que « tous les « intervenants » sont en vacances, comme s’ils étaient des PDG qui partent à leurs villas! La vérité est qu’ils sont tous là et qu’ils se remplacent à tour de rôle, Véra les voit souvent dans leurs camionnettes en train d’intervenir pour les voisinage. Encore une fois Véra rigole, mais elle agit, le rire de se voir entourée de la pègre ne l’interdit pas l’action, Véra envoya au Canaille une lettre par mail.
Véra lui lance une mise en demeure et un dernier avertissement, il doit envoyer le chauffagiste après le weekend, du contraire, lui dit-elle, « je prendrai les mesures qui s’imposent »
La canaille se donne des aires de chef et il n’est qu’un pion.
Il s’en moque éperdument avec sa comparse.
Il reste caché tout comme sa Complice-Vipère. Véra pensait « ces deux-là, ont besoin d’une pulvérisation de Vipéril , le plus puissant des sprays contre les vipères Venimeuses ! »
Véra a agit et resta tranquille, elle se fait à l’idée qu’elle vit dans une tranchée en remplissant sept bouilloires d’eau chaude dans un grand seaux plastique pour faire sa toilette deux fois par jour en regardant la colonne de douche qu’elle venait d’acheter et qu’on le lui avait posée en urgence, parce qu’au début elle croyait que par les ordres du Procureur le changement de chauffe-eau allait se faire « le lendemain » et de toute urgence. Dires mensongers que la Canaille qui a fait dire à deux chauffagistes qu’il envoya chez elle pour lui mentir avec une outrance et cynisme sans limite : « je viens vous prévenir que demain ou au plus tard fin de cette semaine nous viendrons vous changer le chauffe-eau en entier »
C’était le 19, ensuite le 24, parce que La vanille ne cessa de lui envoyer des copain pour lui mentir.
Véra s’est dit, je vais arrêter leur cirque et ils vont voir qui je suis !
Véra pensa c’est tout a fait « normal » en absence d’un homme dans les parages, ces monstres voient une femme seule et ils rient à gorge déployée, ils sont des pions de la pègre, si ils étaient en Russie ou en Biélorussie, les deux Présidents les aurait tordu le cou et ils seraient maintenant en Sibérie dans une prison pour y pourrir à petit froid non à petit feux. Véra avait regardé un reportage qui montrait le Président Loukachenko en train de visiter une usine et un ouvrier par paresse, avait laissé un objet tranchant d’une machine à découvert, ce qui représentait un danger flagrant pour quiconque s’approchait, et pouvait certainement se blesser, il l’appella à l’ordre, lui fait le récit en criant sur sa négligence, il est certain que le lendemain cet ouvrier serait licencié. Je sais que ça ne se passera jamais dans ce pays du Tiers Monde, où tout fonctionne par copinage, une véritable République bannière. Véra aimait cette façon de marcher d’un pays, la montre faute qui peut porter préjudice à autre doit perte punie ipso facto.
Véra ressentait un gout amère, l’amertume de ses propres erreurs, à différence d’aucuns, Véra savait s’inculper de ses propres erreurs de jeunesse, elle ne jetait jamais la pierre sur personne d’autre que sur elle même, idiote idéaliste qu’elle était, mais le plus grave fut qu’elle avait eu trop de confiance, elle et elle continua ainsi, à croire dans ses propres valeurs, mais ses valeurs et ses compétences ne pouvaient pas être acceptées dans un pays pourri.
« Voila mon problème qui est la résultante de ne pas être dans le bon endroit. » Et Dieu ne pouvait pas lui donner des années supplémentaires de vie, ni arrêter son vieillissement, Dieu, pour plus que Véra pria et implora encore plus de temps, Dieu n’allait pas la rajeunir, mais au moins, il lui restait un peu de temps pour elle, il lui restait encore quelques années pour prendre sa revanche, et elle avait déjà pris la bonne décision, une nouvelle voie commençait pour Véra, ce sera sans eu chaude s’est dit elle, mais dans trois ans, grâce à mes efforts surhumains, je serai récompensée, trois années se passent très vite, les années s’en volent, Véra allait apprivoiser ce peu de temps de vie dans des choses d’une grande valeur existentielle, enfin elle allait oublier ce pays du Tiers Monde où elle laissa sa jeunesse sans rien récolter et c’était le pays qui l’avait appauvrie et c’était le pays qui assassina sa Maman, pays du Tiers Monde qui donna la profession de « médecin » au Sicaire, la main assassine du Sicaire, avait torturé et tué sas Maman, le « docteur Traitre-Tant. »
Et ce pays était le pays qui la rendit invisible et qui lui l’avait détruit sa profession, ses compétences et son art, l’invisibilité imposée par la racaille jalouse l’avait appauvrie. Véra commença son Carpe Diem.
« À mon âge je ne vais plus lutter, j’ai déjà fait tout ce qu’il fallait faire pour régler juridiquement les délits pénaux, si rien ne sera fait, ce ne sera pas par manque d’action de ma part, la décision appartient dorénavant aux plus hautes autorités du pays du Tiers Monde, l’important fut fait. »
Maintenant Véra préparait son entrée en fac, et rien ni personne n’arriverait à perturber son projet qui n’avait besoin que d’une seule chose : de silence ! Et de paix !
Aucun de ces énergumènes criminels ne lui écrivirent plus de mails et pour ce qui est des appels téléphoniques, Véra les a bien signalé: « dorénavant tout ce que vous voudrez me communiquer, mensonges compris, vous le ferez par courrier simple ou par mail. »
Silence…
La Complice-Vipère, elle s’échappa en rampant par les murs de l’Agora voila la preuve avec laquelle ni elle ni personne ne comptait comme réponse à leurs attaques.
L’écrit reste indélébile.
Véra a fait preuve de n’agir que par l’écriture et par l’envoi de preuves. C’est la populace qui ment, tergiverse et calomnie., c’est leur spécificité et leur spécialité d’action.
Véra ne parle avec personne, elle sort, s’occupe de ses affaires, rentre chez -elle dans l’Agora qui n’est qu’une immense porcherie; chez elle, non ce lieu n’est pas « chez elle », elle le dit toujours que ce logement n’est pas un « chez-soi », c’est le logement des Logeuses criminelles, elle n’avait jamais vécu dans des appartements sociaux quand elle vivait dans son pays d’origine.
Véra essaya de toutes ses forces d’entretenir ce lieu le mieux qu’elle ne pouvait avec une consommation océanique d’eau de javel en faisant du camping de guerre, et elle fermait les volets, mettant des tampons dans ses oreilles pour s’isoler des cris de l’extérieur et pouvoir lire, écrire et peindre en silence total.
Carpe Diem pensa Véra dans son for intérieur.
Véra éteignit la lampe et elle alla se coucher, elle se levait tous les jours à l’aube…, « demain il fera jour, à chaque jour suffit sa peine. »
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