CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LA FRANCE ? C’EST LA FIN DU MONDE DE LA CULTURE

11 novembre, 2025 (20:23) | Non classé

                     LA FRANCE

 

 

C’EST LA FIN DU MONDE DE LA CULTURE

 

 

« Genre, Je n’étudier pas ce soir »

 

Genre, je n’aller pas demain aux cours »

 

 

 

Chers Lecteurs,

À quoi pourrait leur servir le dernier modèle des ordinateurs Apple si les nouveaux arrivants doivent par ordre du décanat prendre des cours de français !!! Avec des « tuteurs » parce que les professeurs universitaires ont constaté que tous les élèves qui arrivent sortis des lycées avec leur Bac si orgueilleux et satisfaits d’être « UNIVERSITAIRES !  Qu’ils ne savent même pas écrire correctement le français !

Je les observais, ils écrivent à toute vitesse criant comme des idiots qu’ils sont que s’i’s « capten »( comme ils disent, jusqu’au dernier soupir du professeur-robot qu’ils ont devant l’amphi, ils réussiront.

J’ai lu leurs « notes » ils ne savent pas conjuguer pas un seul verbe  correctement et ils le remplacent pas les infinitifs.

Quand ils arrivent dans une rédaction a bien les écrire c’est quand ils écrivent des citations dans un copier-coller.

À tout ceci s’ajoute « le langage des banlieues » qui est monté ou descendu vers les universités, alors, j’ai observé aussi que la tendance est d’introduire toutes les phrases d’un « mot-béquille » qui est leur distinctif digital de « leur classe », avec ce mot, ils s’identifient, des banlieues, non-fachos, jeunes, (ça ne dure pas beaucoup) et révolutionnaires ! Révolutionnaires de quoi ?

Je suppose que révolutionnaires de l’ignorance, qu’au lieu de la cacher en étudiant pendant toutes leurs longues années de scolarisation en France, ils osent « entrer » à la fac comme des parfaits illettrés.

D’un amphi; il n’y aura que sept ou dix, étudiants corrects.

La question est franchement démentielle, c’est le résultat du programme le plus sinistre que je n’avais jamais connu en matière d’enseignement, : « le Bac pour tous. »

Ce tsunami d’étudiants grossiers, illettrés et qui prétentieux réclament de la considération devraient sortir de l’université pour aller faire une formation manuelle et entrer dans le monde du travail pour gagner leurs vies et cesser de croire que LA CULTURE universitaire les fera monter et sortir de la pauvreté, elle leur sera la prolongée, et ils ne feront que partager leur illettrisme parmi les générations d’élèves qui lui seront confiés et qui finiront comme eux,  ce qui sera pour le pays un cercle vicieux duquel ne leur sortira aucun gouvernement, parce qu’un changement demanderait comme minimum cinq générations sorties des nouveaux programmes universitaires bien faits.

Ces étudiants qui sont en train de recevoir une formation de « Licence » en langues occuperont d’ici à trois ans un poste de professeurs de secondaire, nouvelle idiotie du gouvernement, réduire le temps de formation, il leur manque une telle quantité de professeurs qu’ils vont aller chercher un jour, des postulants dans les formations manuelles, car l’intellectualité française à belle et bien désertée le pays !

Un poste de PROFESSEUR de secondaire !

Il leur servira pour gagner leur vie et stopper leurs bourses de 7000 €.

Ils se sentiront très puissants et croiront grâce à leur professeurs qui sont des laquais du gouvernement qu’ils sont de la valeur et un grand avenir pour la France.

Ils ne feront que partager leur incapacité aux générations des lycéens qui recevront comme des professeurs, des étudiants de seconde année de licence appuyés par leurs tuteurs-béquilles, pour remplir le rôle d’un véritable professeur qu’évidement la France n’aura plus jamais, car ils se sont envolés vers d’autres airs plus rentables car il se sont rendus compte de la supercherie du Ministère de l’Ignorance Nationale.

Je vous ai réservé pour la fin quelques preuves en l’espèce de ce tsunami qui peuple les amphis, (je crois que les seules qui se sauvent de la médiocrité sont les universités scientifiques, au moins les chiffres sont implacables, ils ne pardonnent rien.)

Cette nouvelle génération d’étudiants à peine sortis des lycées parlent et ils écrivent en se partageant des sottises du matin au soir.

Ils donnent un véritable matériel sociologique.

Au lieu de s’investir à obtenir un langage soutenu, ils se complaisent à utiliser leur lexique inventé par eux dans leurs banlieues, leurs lectures sont ou très simples, très pauvres, ou erronées  sans la moindre utilité pour se former en milieu universitaire et d’une nullité absolue pour leur faire acquérir une langue soutenue.

Les trois derniers années de lycée ne leur a servi de rien, mais ils eurent LEUR BAC et voilà que nous avons en première année de licence, les futurs Professeurs de la France.

Je vous épargne leur manque de bonnes manières et leur turpitude.

Ce serait une honte de le décrire.

Il deviendrait un récit naturaliste.

Bien, voyons d’abord l’introduction de toute phrase et en redondance, qu’ils répètent à l’infini comme pour se donner un cachet de jeunes et c’est répétitif à chaque nouvelle phrase écrite ou parlée, je vous les reproduis ici.

LEUR MOT EST:

« GENRE »

Par exemple :

Une étudiante parle à son ami :

« Tu sais, elle disait ça « GENRE » qu’on ne pouvait pas croire.

Lui, lui répond : oui? « genre » qu’on ne comprendre pas

Elle : oui « genre », je n’étudier pas ce soir .

Le prix Nobel Georges Charpak racontait qu’ils étaient très pauvres, ils avaient une chambre très réduite et il s’est acharné à étudier, ses parents lui inculquèrent l’amour à l’étude, et aussi racontait qu’après la guerre les classes débordaient d’étudiants, cela ne les a pas empêchés d’apprendre.

D’où sortent ces hordes des « jeunes « irrespectueux? »

Ils essayèrent de me harceler avec leurs grossièretés par WhatsApp et gratuitement, car ce bilan, je ne l’ai partagé avec personne, c’est la haine envers celle qui n’est pas comme eux et que de surcroît est « vieille », ils crurent m’amoindrir, étant donné que par l’ordre des Professeurs « obligent » à se partager des informations par WhatsApp, et j’en ai fait usage, croyant à tort que ces hordes auraient un minimum d’éducation, mais surprise, non, ils m’envoyèrent des vidéos et des dires avec des émotionnes que je n’ai pas compris, naturellement, je n’ai jamais utilisé ce moyen de « communication » alors, avant de tout quitter, je leur ai répondu ceci:

« vous ne pourrez pas prétendre à former des étudiants avec votre manque de savoir -faire et de savoir-vivre, les bonnes manières et le respect sont des valeurs fondamentales si vous voulez réussir dans la vie »

Ils me balayèrent de WhatsApp. Ils ont très bien fait.

En 2017 j’avais fait la tentative d’entrer dans cette même fac pour étudier le Russe, je suis partie au bout de six mois, j’ai récolté un 18/20 dans le cours de littérature russe avec une professeur de l’élite (non, je me refuse à utiliser l’écriture inclusive) elle est une éminence, magnifique, mais il, paraît que maintenant, elle est réservée pour les doctorants. Je ne l’ai jamais revue.

Mon travail écrit s’intitulait : Apologie de la littérature russe, Gogol et  Lermontov, le clair-obscur et la délivrance créatrice.

C’est pour la seconde fois que me me suis trouvée face à la même et tragique expérience, car ils n’enseignent pas à parler la langue et il y a sept ans, les étudiants n’étaient pas d’une aussi basse qualité et ils étaient moins nombreux, les Professeurs et les programmes étaient bien meilleurs aussi.

En sept ans, le monde de l’enseignement s’est dégradé à un niveau abyssal d’inculture, par l’idéologie des politicards, je peux affirmer sans conteste que la France est un pays sans retour.

Ne cherchez pas de soins palliatifs !

Il est en état de mort cérébrale.

C’est Irréversible.

 

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA

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