CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LA NOUVELLE VERSION DE WORDPRESS EST UN VÉRITABLE DÉSASTRE

5 août, 2025 (20:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

UN DÉSORDRE COMPLET

IMPOSSIBLE DE S’Y RETROUVER

WORDPRESS ÉTAIT LA SEULE PLATEFORME SIMPLE ET AGRÉABLE, J’E L’UTILISAIS DEPUIS 2005

J’AI PRIÉ À MON WEBMASTER DE ME FAIRE REVENIR À L’ANCIENNE PLATEFORME

J’ESPÈRE QU’IL RÉUSSIRA

PARCE QUE DANS L’ÉTAT, JE DÉMISSIONNE

JE N’AI PAS DE TEMPS À PERDRE DANS DES COURS DE TUTORIEL

S‘IL N’ARRIVE PAS JE FERME MON SITE DEMAIN !

C‘EST ÇA LES EEUU!

IL FAUT QUE MA RUSSIE PUISSE CRÉER UNE PERFORMANCE BUREAUTIQUE ET QUITTER DÉFINITIVEMENT TOUTE CETTE…

AU LIEU DE LE LAISSER DANS L’ÉTAT LES ADMINISTRATEURS DE WORDPRESS ONT TOUT CHAMBOULÉ, ET ILS ONT TOUT COMPLIQUÉ POUR UN RÉSULTAT ZÉRO !

MA RUSSIE AVANCE ET GAGNERA LES JOURNALISTES JETTENT L’OPPROBRE AU JOURNALISME DE QUALITÉ

5 août, 2025 (19:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

MA RUSSIE AVANCE ET GAGNERA

CERTAINS JOURNALISTES 

FRANÇAIS JETTENT L’OPPROBRE 

AU JOURNALISME DE QUALITÉ

Chers Lecteurs,

(CET ARTICLE EST TRÈS MAL CONFIGURÉ JE NE PEUX PAS INTERVENIR COMME IL SE DOIT,NI REGLER LES POLICES NI AJOUTER DES PHOTOS, LE CHANGEMENT DE GÉRANCE DE MON SITE EN EST LA RAISON ET J’ESPÈRE RÈGLER CE PROBLÈME TRÈS VITE)

Je vais à l’essentiel :

Je pratique la même éthique russe, je bannis toute immersion dans la vie privée d’autrui, c’est un lieu sacré, cette pratique de déontologie à une exigence, ce mode opératoire professionnel doit exister dans les deux sens, donc j’exige pareil comportement vis-à-vis de ma personne.

Mais certains journalistes incapables ne peuvent qu’agir dans la bassesse de leur minable nature.

Juste à l’instant la chaîne LCU se déchaîne comme s’ils étaient dans leur salon, et non devant les caméras, où il est de rigueur une tenue stricte et se limiter aux informations ; au milieu de leur « conversation »à tour de rôle,  surgirent des commentaires malvenus, sans fondement et des insanités sur mon Président PUTIN ; leur sujet ? Sa vie privée, l’étalage des commérages mal intentionnés, des critiques féroces à l’aide des photos.

Je n’en donnerai aucun détail,  ce serait acquiescer et se joindre au mal fondé de l’émission. 

La vérité est qu’il n’est que la mise en scène d’échappatoires pour ne pas parler du véritable sujet, le Président Putin gagnera cette « opération spéciale », les preuves sont criantes, elles révèlent l’avancée russe et ils viennent encore de gagner une autre ville.

L’incompétence des journalistes se fait acte dans leur façon de détourner l’attention à l’aide de ces commentaires sur le fait qu’il y a des nouvelles villes gagnées.

Il fallait signaler cet opprobre à la pratique d’un journalisme de qualité et tout simplement à une conduite sans tache, propre des personnes de bien et qu’ils sont incapables d’assumer.

Et, tout en restant en retrait, il faut tout de même que quelqu’un leur dise la vérité.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA

POUR EN FINIR AVEC LES FAUX ET USAGE DE FAUX DES BAILLEURS SOCIAUX CRAPULEUX TEL QUE VILOGIA DE POISSY

5 août, 2025 (16:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

POUR EN FINIR AVEC LES FAUX

 

 

ET USAGE DE FAUX

 

 

DES BAILLEURS SOCIAUX CRAPULEUX

TEL QUE VILOGIA DE POISSY

 

 

LES HLM DES ANNÉES 60

 

 

n’avaient pas de compteurs individuels

La loi a changé pour les HLM modernes.

Nous devons exiger que la loi aille de pair avec notre époque.

La seule manière de stopper les faux et usage de faux est de contraindre l’État d’agir en notre défense, si nous sommes obligés à louer dans le champ locatif « social » est par obligation, nécessité qui sort de nos faibles revenus, or, il est illégitime, parce que contraire  à la loi, que ces bailleurs nous obligent de manière abusive à leur verser des sommes qui sont FAUSSES, parce que sortie de faux, des sommes que tous  ces bailleurs crapuleux, comme l’est VILOGIA de Poissy,   ils les ont  crées à partir de faux !!!

Aucune des factures ne correspondent à nos réelles consommations !

Il faut que l’État ordonne la fin du chauffage collectif pour les HLM anciens qui sont dépourvus de compteurs individuels.

 

Payer notre chauffage à l’aide d’un radiateur économiseur d’énergie (il y a de nouveaux et très performants) chez notre fournisseur d’énergie sera la seule solution de vérifier nos dépenses réelles, pour en  finir avec cette escroquerie qui ne prendra jamais fin.

P.S. vous devez prendre conscience que cette modalité de nous escroquer en toute impunité, je vous l’ai déjà dit cent fois, ils le font parce que l’État ne réagit pas.

Quand un bailleur « social » vous escroque il commet non seulement un délit pénal, il écourte votre vie, il provoque un vol qui passe inaperçu, ces fausses factures ne doivent pas vous faire peur!

Elles sont FAUSSES!

Le bailleur social qui ose vous intimider avec de faux, c’ est tout simplement parce qu’il est une crapule, ils se sont constitués en une mafia qui appartient au grand banditisme; il usurpe le peu d’argent que vous avez pour survivre, toute cette escroquerie est un acte immonde hors la loi que nous devons stopper ipso facto !

 

 

Pour faire valoir ce que de droit.

Fait à Poissy, le 5 août 2025

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

ENCORE UN AUTRE BAILLEUR SOCIAL CRAPULEUX COMME VILOGIA – NE PAYEZ POINT LEUR ESCROQUERIE – FAUX ET USAGE DE FAUX

5 août, 2025 (15:32) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

CHERS LECTEURS,

CHERS LOCATAIRES ,

 

 

LISEZ CET ARTICLE

 

ILS POURSUIVENT LES BAILLEURS SOCIAUX VOLEURS-ESCROCS, CRAPULES 

LES LOCATAIRES, TOUT COMME MOI,

 

QUI SE REFUSENT DE PAYER LES ESCROQUERIES

 

 

DES BAILLEURS SOCIAUX CRAPULEUX

 

IL FAUT QU’ON EN FINISSE D’UNE FOIS POUR TOUTES !

 

NE PAYEZ POINT !

 

CE SERA LA SEULE MANIÈRE DE STOPPER UNE ESCROQUERIE PROPRE

 

D’UNE RÉPUBLIQUE BANANIÈRE !

Le bailleur leur réclame jusqu’à 1.500 euros de régularisation pour le chauffage, des habitants de l’Oise en colère – Boursorama https://www.boursorama.com/immobilier/actualites/le-bailleur-leur-reclame-jusqu-a-1-500-euros-de-regularisation-pour-le-chauffage-des-habitants-de-l-oise-en-colere-22e93aafbabb9669b17b58f2c0bf2e71

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

GUERRE NUCLÉAIRE ET DÉBARQUEMENT DE MES RUSSES AU CHAMPS-ÉLYSÉES – ON NE DEMANDE QU’À EN RIRE ! DANS UN PAYS DU TIERS MONDE !

5 août, 2025 (11:16) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LA GUERRE NUCLÉAIRE  

  IMMINENTE !

 

 

L’INVASION DE LA RUSSIE EN 2030

DEUX MOYENS SÛRS D’HYPNOTISER

LES FRANÇAIS

 

FACE AU TSUNAMI DE L’INFLATION

DU MOIS DE SEPTEMBRE !

Chers Lecteurs,

Ne tombez pas dans le piège dans lequel ne peuvent tomber que les crétins, les véritables crétins sont ceux qui parlent jour et nuit devant les caméras vous faisant croire aux dangers imminents et extérieurs à la France, ce cirque bien organisé est conçu pour que vous ne soyez pas dérangés de la peur bien justifiée face à la nouvelle hausse de prix qui va nous arriver comme un tsunami à la rentrée, ne venez pas pleurnicher après qu’on ne vous a pas avertis !

Le chèque énergie qui nous était donné sans faire aucune démarche parce que ce sont les impôts qui ordonnent qui doit bénéficier par ruse de revenus inférieurs au Smic, cette année ne nous est pas parvenue, donc « la fameuse facture de régularisation » du mois d’août, ce sont les pauvres qui devront l’assumer en entier par faute de non-réception du chèque énergie qui couvrait dette « régularisation » qui n’est dans la réalité que la « régularisation de taxes » et non d’un dépassement de consommation, bon bref, étant donné que mon serveur d’électricité est le plus correct que je n’ai jamais eu, soit.

« Ils » ont déjà annoncé une hausse significative des prix de l’énergie dès septembre, aussi bien pour les entreprises que pour nous, particuliers sans le sou. Génial ! Rien de mieux ! Surtout pour nous qui recevons une « retraite-pourboire » au-dessous du Smic, mais dans ce pays du Tiers Monde tout va comme dans les meilleurs des mondes !

« Ils » essaieront par tous les moyens de vous hypnotiser pour que vous ne pensiez pas à vos finances, une guerre nucléaire s’annonce pour si peu qu’il va falloir oublier tout le reste, « ils » commandent votre pauvre cerveau, vous êtes à leur merci, et ceci vous fera peser le pro et le contre, oui, c’est mieux payer la hausse de l’énergie que mourir dynamités !

Et, il vaut mieux penser à une certaine invasion et débarquement des russes sur les Champs Élysées, et laisser faire les corbeaux s’approprier de nos maigres euros encore à notre avoir dans notre ridicule compte bancaire.

Une fois terminé l’étape de vous bruler comme un poulet rôti, qui vous donnera un cancer de la peu dans quelques années, ne pensez à rien d’autre qu’à la prochaine guerre nucléaire et au débarquement de mes russes au Champs- Élysées, pour 2030 !

En tout cas, je me tiens prête !

Et vous ?…

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

LE LOGEMENT ET LES LOGEUSES CRIMINELLES. UN EXTRAIT DU CHAPITRE I

5 août, 2025 (09:58) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

QUELQUES PAGES

 

 

 CHAPITRE  I

 

LE LOGEMENT ET LES LOGEUSES CRIMINELLES

 

Lors de son premier voyage dans « le pays du Tiers Monde », Véra écrivit des lettres à un ami de son père qui était poète.

Dès qu’elle décida de faire son second voyage, cette fois-ci pour rester définitivement, il lui donna une lettre de présentation pour la donner au Président du P.E.N. Club de Paris.

Cet ami poète, il aimait recevoir ses lettres, cet ami lui disait : «  tu écris si bien, tu décris tellement bien les lieux qu’on s’y croirait, n’abandonne jamais ce don, tu te dois de le cultiver, raconte tout ! » Véra pensait souvent à lui, à ses Professeurs à tous ceux qui la formèrent à s’approprier de l’espace magique des lettres. Là-bas la jalousie n’existe que dans le domaine de la peinture, parce qu’il n’y a pas de « tradition » et parce que tous ne sont que d’insignifiants jaloux du savoir, développeurs de l’ignorance, en somme des barbouilleurs, mais dans l’espace littéraire, exigeant et rude, ils n’y entrent pas les dilettantes bon, elle l’avait quitté ce pays qui l’avait vu naître, Véra ne savait ce qui se passait après son départ…

Ce petit pays moderne qui lui donnait des vacances au bord de la mer, mais c’était son père, et lui seul qui avait construit la Cabane Orange pour sa Maman pour célébrer sa naissance… Pour bercer son enfance entre pins et eucalyptus. Il y a presque un demi-siècle qu’elle avait tout quitté qu’elle avait fuit, elle n’avait plus de famille là-bas ni d’amis, comment pourrait-elle savoir ce qui se passait après son départ ?… Pour rester en vie, pour échapper à la douleur, elle essayait de ne pas céder à la mélancolie, elle se savait la seule coupable d’avoir tout lapidé pour ce pays du Tiers Monde ; ne pas regarder en arrière, c’était sa devise pour avancer, le passé ne nous appartient plus, se disait-elle, ni pour le corriger ni pour y intervenir, le passé qu’elle gardait, c’était seulement la vénération à ses parents. Sa faute à elle,  ne pouvant pas la corriger, elle ne devait pas non plus gâcher le peu de vie qui lui restait.

Du plus loin qu’elle se souvienne, elle n’avait jamais rencontré des bailleurs de la mafia, jamais. Quand elle arriva, ses premiers bailleurs étaient tous des braves français qui louaient à des particuliers, sans lui provoquer le moindre problème, l’idée qu’elle se fit de la location était idéale.

Véra donnait toujours les meilleurs avis de ses anciens bailleurs, tous sympathiques qui parfois riaient à l’écoute de son histoire et aimaient qu’elle vivait seule avec sa mère. Ces bailleurs Français recevaient le loyer mensuel par chèque qu’elle envoyait par la poste. À son époque, il n’existait ni l’internet et les « virements bancaires » et les prélèvements n’étaient pas d’usage, de ce côté-là, non plus jamais Véra ne rencontra de problèmes. Quant à l’entretien des appartements, d’habitude, c’était le même bailleur qui l’appelait pour savoir si tout allait bien ou occasionnellement passaient prendre de ses nouvelles.

Véra croyait que son avenir serait toujours le même, paisible… Mais ces erreurs,  oh quelles graves erreurs elle avait commises !, le plus grave fut son idéalisme, il fut sa perte, dès qu’elle obtint la nationalité française, elle commit la plus grave erreur de sa vie, non, pas la plus grave, la seconde qui a suivi la première, elle suivit le conseil d’une collègue et se mise à louer dans le champ locatif social.

Mais, dans ses débuts, là-non plus, Véra ne rencontra pas des graves contraintes; il y avait parfois des dysfonctionnements, mais avec le dialogue, tout finissait par s’arranger, d’habitude même quand sa Maman avait vieilli et devenir invalide, et qu’elle devait être mutée vers un autre appartement accessible, à l’invalidité de sa Maman, un ergothérapeute qui leur avait rendu visite régla le problème très vite et dans deux mois elle obtint la mutation vers un autre appartement accessible à sa Maman, dans un quartier qu’elle aimait et connaissait parfaitement bien, elle y avait l’attache, il y étaient tous les médecins qu’elles connaissaient depuis des nombreuses années, il y avait les lieux culturels dans lesquelles elles se rendaient tout le temps, et pouvaient aller à pied, Véra poussant le fauteuil roulant de sa Maman vers d’autres quartiers très animés du centre de la capitale, et que de mieux pour Véra, elle trouvait tout dont elle an avait besoin dans les rues avoisinantes remplies de commerces où elle avait pris ses habitudes, tant d’années passèrent là sans véritables difficultés.

Mais le destin tragique la persécuta. Sa Maman subit un infarctus  de retour de la promenade de l’après-midi , moment de privilège de toutes les deux  Véra sortait sa Maman tous les jours prendre le thé dans un café proche de leur lieu d’habitation…et le « Médecin Traître-Tant » lui refusa les soins, non satisfait de sa meurtrière intervention dont aucun médecin ne laisse de traces de son crime, car on ne tue pas seulement à bout portant, ni à l’aide d’un scalpel, un médecin peut si facilement tuer sans laisser aucune trace en refusant les soins à sa patiente, ensuite, il n’y aura personne au monde qui pourra le contredire, car dans ce pays du Tiers Monde, ce qui prévaut c’est le jargon professionnel, jamais la Vérité, et les jugement collégiales ont des avantages, ils se tiennent à huis cols, la décision du Conseil de l’Ordre que Véra nommant « Le Conseil du Désordre » aura toujours raison car ils agissent en mafia collégiale, pour défendre leurs confrères et jamais les victimes malades, donc ce SICAIRE, commandité par « La mafia de la rue Gris » qui hébergea Véra et sa Maman, enfonça sur la Maman de Véra tous ces instincts criminels pour en bon commanditaire de sa propre mafia, et pour donner la dernière estocade à Véra, non seulement  laisse crever la Maman de Véra à la maison, dépourvue de soins, mais quand Véra décida de sa propre initiative de désobéir le Sicaire, et elle même amène sa Maman inconsciente à l’hôpital, elle ignorait que elle l‘emmenait au lieu de sa dernière torture, parce que le chef de Service obéit aux ordres criminelles du Sicaire et lui et son « équipe médicale » se mirent tous à agir criminellement sans raison autre que celle d’interdire à Véra de  rester la nuit à coté de sa mère agonisante, ils se refusaient!, tous étaient contre Véra lui donnant à sa Maman un traitement indigne, lui refusant aussi les soins, et la laissèrent mourir dans des conditions inhumaines, privée des soins palliatifs, la laissant souffrir une torture indicible se nécrosant à vif quatre jours durant. L’équipe de ce chef de service lui donna à Véra un traitement humiliant l’insultant  verbalement et même physiquement au jour le jour, aussi dépourvue de témoins  elle resta seule avec sa Maman dans la chambre de la douleur et de la Mort où rien ni personne ne pouvait les secourir.

Le Sicaire convainc ses trois complices de l’hôpital où Véra emmena sa maman contre les interdictions du « Docteur Traître-Tant »  de l’y emmener, Véra ne savait pas que le chef de service était un de ses amis, et qu’il finirait de l’achever avec l’obéissance diabolique à ce traître, LE SICAIRE et, la fin programmée était inéluctable,  sa Maman subi la torture d’un nouveau refus de soins et la firent agoniser huit jours et nuits sans sédatifs, pour se nécroser à vif et mourir sur un lit dur et froid de l’hôpital semi-privé de ce quartier maudit du pays du Tiers Monde. Ce jour-là, ce pays fut le nid de la haine et de l’ignominie, un scandale inhumain vit le jour et transforma Véra à tout jamais, ce jour-là, le jour de l’assassinat de sa maman qui reste encore impuni et dont il n’y a pas de prescription, elle pourrait faire un procès, mais sans argent pour payer les honoraires du meilleur des avocats pénalisâtes du pays du Tiers Monde, c’était une pensée insensée qu’elle préféra laisser dans un recoin de son cerveau qu’elle maintenait endormi pour ne pas souffrir et pouvoir avancer ; une fissure gigantesque vint abattre portes, fenêtres et les murs d’une bâtisse existentielle qui ne se cicatriserait jamais. Véra n’avait plus de maison sans sa mère, mais ceci était au sens figuré, parce que elle continua à vivre dans la capitale de ce pays du Tiers Monde.

C’est une fois arrivée dans l’Agora de l’Enfer contre son gré, parce qu’elle ne quitta la capitale que forcée par l’exiguïté du lieu qui ne lui permettait pas de vivre normalement qu’elle a dû déménager si loin de la capitale et contre l’avis des conseillers savants sur sa situation, elle n’écouta pas et accepta ce logement  contre indiqué pour sa santé. Véra ignorait tout des logeuses et de ce qu’elle allait découvrir une fois la clé mise dans une serrure qui n’était qu’un trou où quiconque pouvait entrer comme dans un moulin. C’est juste à ce moment là, et une fois que le camion déménageur ouvrit ses portes et qu’ils commencèrent à descendre les cartons et qu’elle découvrit l’intérieur de ce logement et qu’elle prit conscience du piège où elle venait de tomber, Véra descendit aux abysses, victime de la « mixité sociale » qu’elle vite nomma « l’immiscibilité sociale. »

(…)

  

 

 

LA PREUVE EN L’ESPÈCE DU MENSONGE ASSERMENTÉ ! -LE DVD D’ÉTAT DES LIEUX DE « LA PORCHERIE » SERA PRÊT LE MARDI 11 AOÛT !

4 août, 2025 (15:59) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

WC MARS 2021- 23 JUILLET 2025

LA CLÉ VAN EST ROUILLÉE MAIS INTACTE –

REGARDEZ LA BIEN

 

C’EST ENSI QU’ON DOIT SE DÉFENDRE

AVEC LA VÉRITÉ 

 

 

LA PAROLE APPUYÉE PAR LES IMAGES

 

WC  24 JUILLET 2025

SUITE À L’INTERVENTION DU PLOMBIER LE 24 JUILLET : IL A CASSÉ LA CLÉ VAN

MAINTENANT S’IL Y A UNE INONDATION IL SERA IMPOSSIBLE

DE LA STOPPER

LA CLÉ VAN EST INUTILISABLE !

 

 

 

 

 

 

POUR FAIRE VALOIR CE QUE DE DROIT

FAIT À POISSY, LE 4 AOÛT 2025

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHD

L’ABJECTION – UN EXTRAIT DE VÉRA – LA CANAILLE ET SA COMPLICE

4 août, 2025 (09:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

AVERTISSEMENT

Les personnages, les situations décrites et les lieux sont inventés, toute ressemblance avec des personnes de la réalité doit se considérer comme coïncidence née du hasard de la Vie.

Cette nouvelle est un récit fictionnel.

 

 

 

L’ABJECTION

 

 

 

Dans les pays civilisés, le fait de priver d’un droit fondamental à un être humain qui peut être la nourriture ou l’accès à l’eau, est considéré comme une entrave et violation aux droits de l’homme; et aussi l’accès à l’eau chaude, droit fondamental considéré comme une nécessité d’hygiène. Le bourreau sera pris en charge par le système judiciaire ipso facto, sans aucun requis préalable et les auteurs immédiatement envoyés en comparution immédiate et mis en prison. Ici, où vit Véra depuis 1980, au sein d’un pays du Tiers Monde, les assassins se mêlent aux patrons qui les défendent tel que se fait d’habitude dans une République bananière, « le voleur derrière le juge » , et si c’est le délictuel qui reste libre en riant de ses exploits sans être dérangé ni inquiété, il persistera à perpétrer ses délits en toute impunité; ce n’est ce que parce que le système corrompu le lui permet des telles abjections.

La crise du logement a été provoquée artificiellement par l’accueil démesuré des populations entières sans que les pays d’accueil aient les ressources nécessaires audit accueil, privant de logement à ceux qui le méritent le plus.

Des petits pays comme celui où est née Véra, n’existe point l’assistanat, ni les caisses d‘aide ni les allocations, dès la naissance, l’idiosyncrasie de son petit pays d’origine est très différente, chaque citoyen sait que s’il ne se forge par ses propres moyens une situation à partir de l’école primaire qui est obligatoire, il ne pourra pas accéder à occuper une place digne au sein de la société.  Dans le pays du Tiers Monde où émigra Véra, le « système » d’aides est une « Institution » annexe, où se reposent les incapables, les feignants, les profiteurs, une seconde classe sociale s’est formée, divisée en deux parties concomitantes qui se nourrissent entre elles, l’une comme « profession » qui leur provisionne les salaires gagnés grâce à « la pauvreté » et les bénéficiaires, où très rares sont ceux qui bénéficient par injustice ou « les accidents de la vie » ces deux strates s’appellent « les professionnels de l’assistant ». La faute d’une République bananière est que les dirigeants, sans aucune discrimination, à l’aveugle, mélangent les « classe sociales » qu’ils ont appelé « La mixité sociale », Véra l’appelle « L’IMMISCIBILITÉ SOCIALE » vous ne pourrez jamais mélanger de l’eau à de l’huile, jamais ; ces efforts erronés de fond en comble sont essentiellement une fausse construction politique qui ne pouvait que donner des effets meurtriers,  c’est l’action néfaste des politicards malfaisants. Véra est devenue victime par la faute de l’administration d’un ministère dans lequel elle travailla, il détruisit tous les documents de ses années de service avec l’intention de la priver de son droit à leur faire un procès administratif, quand elle réclama les duplicata à la Sécurité sociale, le service juridique du pays du Tiers Monde lui a répondu que cela ne suffisait point, qu’il lui serait exigé chacune des fiches de paie et des arrêtés du ministère. Quand le Proviseur du Lycée très satisfait de son travail avait voulu intervenir et qu’il convoqua l’inspecteur à son bureau, cette autre Canaille aussi assermentée, lui montra un « dossier vide », dans lequel aucun avocat ne pouvait intervenir. À l’époque Véra était jeune, et avec la force de s’investir dans un procès, à présent qu’il  ne lui reste qu’un temps compté en peu d’années, elle se refuse à toute sorte de litige et laisse faire les Canailles, et attend patiemment, assise devant son ordinateur ou devant son chevalet que « les autorités compétentes » fassent leur travail. Le feront-elles ?

Si elles ne le font pas, elle se dit : « tant pis, une preuve de plus pour que je sois réconfortée « ailleurs ».

Parce que même quelques années de vie  paisible et douce, vie d’une vieille qui mérite la Paix avant de mourir est une gratification qui efface tous les malheurs existentiels. Véra en était sûre…

Le fait d’avoir pu récupérer seulement une partie de ses années de service, ne lui a octroyé qu’une retraite misérable, Véra la nomme « retraite-pourboire »,   elle ne fut que la mise en place délictuelle d’un processus mafieux.

Le résultat est que sa misérable retraite manquait d’annuités, la résultante grotesque fait que le montant de sa retraite falsifiée est exactement la même somme qui reçoit une femme arrivée en France dans les années soixante, qui n’a jamais travaillé et qui reçoit gratuitement 950€ et plus, tandis que Véra avec des diplômes des études supérieures, résumés en Bac+ 8,  reste dans la catégorie la plus basse de la société, toujours exposée face à la jouissance morbide des mafieux du ministère et de ceux de son entourage quelle doit côtoyer de force ; ils ont obtenu que Véra reste « dans ses vieux jours » stigmatisée dans la fausse et artificielle catégorie de « fainéants. »

Véra pense toujours quand ses collègues lui demandaient de l’aide, une d’entre elles lui pria de l’accompagner en voiture visiter un lotissement en construction des beaux pavillons, parce qu’elle venait d’obtenir son Capes et voulait s’acheter une maison et demander un prêt bancaire. Elle savait de la connaissance de Véra en transactions de ce type, car avant d’arriver à ce pays du Tiers Monde, Véra avait dû vendre ses biens immobiliers, ceux qui lui laissa son père et qu’en experte, elle pouvait la conseiller. Véra regarde la porcherie dans laquelle elle survit, Véra fait le bilan de ce maudit pays du Tiers Monde et se dit : « si j’avais su, pour rien au monde, je n’aurais fait le projet d’entamer cette expérience meurtrière ».

LA COMPLICE-VIPÈRE

3 août, 2025 (19:48) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA COMPLICE-VIPÈRE

 

 

 

De la vipère, la Complice de La Canaille, il n’y presque rien à dire, son principal trait de caractère qui la définit toute en entière comme l’espèce du zoo la plus répugnante qui sont les vipères venimeuses est qu’elle est la personnification du mensonge, elle ment quand elle parle, et ment quand elle écrit,  les mensonges est sa propore nature, et dès qu’elle fut prévenue par son ami La Canaille, que Véra allait publier tous les mails mensongers  qu’elle lui écrivit le 11 septembre 2024, où elle lui annonçait  sa visite pour répondre à ses lettres et demandes de changer le chauffe-eau et les sanitaires, elle arriva faire des photos pour ensuite se moquer d’elle et ne rien faire. Ils ont monté un théâtre de diversion contre Véra pour la tromper et lui faire croire que tout serait pris en charge par « Les Logeuses Criminelles » la farce diabolique de cette Complice-Vipère n’avait que trop duré, plus d’une année jusqu’à que Véra épuisa sa patience.

Une année après, arriva en qualité de représentante légale des Logeuses criminelles, c’était à en mourir de rire.

l’accompagnatrice de la Canaille, bloc à la main, en train de faire semblant de noter comme une élève appliquée au service de son compagnon, tout ce que lui vociférait sans témoins à Véra, le jour maudit de l’inspection.

Véra lui a dit face à face, « d’où sortez vous vos affirmations que vous n’étiez pas au courant que je me trouve depuis quatre mois sans eau chaude? Vous m’avez écrit des mails, vous êtes venue ici ici faire des photos pour après ne rien faire! » Prise au piège, elle baissa le regard cynique et morbide, profita de la situation où, il n’y avait point le temps de discuter et entrer dans une polémique que Véra ne comptait pas poursuivre, elle aurait viré à l’aigre, un pur cauchemar, et Véra n’appartenait pas à son genre de la pègre.

Véra laissa passer la confrontation verbale,  de quoi aurait-elle servie?

De rien, en revanche Véra écrit, laisse des constats indélébiles où elle prouve sa bonne foi et la vérité écrasante.

L’après midi, Véra envoie la photo de son lit sans linge dans la chambrette convertie en « chambre à coucher » on peut à peine y entrer de biais, si exigüe est elle…Véra l’avertit par mail sur le fait accompli à la Canaille elle lui dit qu’elle avait déjà fait bon usage des mails de sa Complice, de l’année 2014 et des ceux aussi mensongers du 19 récent, ces mails mensongers que Véra lui avait envoyé en duplicata il y a plus d’un mois et qu’il cachait à « ses supérieurs hiérarchiques » dénomination que ces incapables aiment tant, ils sont nés pour obéir, se faire petits devant les supérieurs et ensuite, dès qu’il laissent les « supérieurs » convaincus qu’ils savent « obéir », ils se lancent à perpétrer toute sorte des délits contre celles qu’ils croient « faibles », plus d’un mois, s’était écoulé depuis son appel téléphonique  et selon ses dires «il faisait suite aux ordres du Procureur de inscrites dans l’assignation », mais la Canaille avec la seule intention de laisser encore Véra sans eu chaude, retient le début du changement du chauffe-eau que les ouvriers ont déjà reçu!, travail; se pose qui ne dure qu’une heure.

Cette Canaille interdit aux chauffagiste de travailler avec le seul objectif de dilater le plus de temps possible pour laisser Véra sans eau chaude, et étant donné que le Chef et ne sait rien et qu’il n’y a aucun chef de travaux qui le contrôle personnellement, il a menti pour la énième fois disant que « tous les « intervenants » sont en vacances, comme s’ils étaient des PDG qui partent à leurs villas! La vérité est qu’ils sont tous là et qu’ils se remplacent à tour de rôle, Véra les voit souvent dans leurs camionnettes en train d’intervenir pour les voisinage.  Encore une fois Véra rigole, mais elle agit, le rire de se voir entourée de la pègre ne l’interdit pas l’action, Véra envoya au Canaille une lettre par mail.

Véra lui lance une mise en demeure et un dernier avertissement, il doit envoyer le chauffagiste après le weekend, du contraire, lui dit-elle, « je prendrai les mesures qui s’imposent »

La canaille se donne des aires de chef et il n’est qu’un pion.

Il s’en moque éperdument avec sa comparse.

Il reste caché tout comme sa Complice-Vipère. Véra pensait « ces deux-là, ont besoin d’une pulvérisation de Vipéril , le plus puissant des sprays contre les vipères Venimeuses ! »

Véra a agit et resta tranquille, elle se fait à l’idée qu’elle vit dans une tranchée en remplissant sept bouilloires d’eau chaude dans un grand seaux plastique pour faire sa toilette deux fois par jour en regardant la colonne de douche qu’elle venait d’acheter et qu’on le lui avait posée en urgence, parce qu’au début elle croyait que par les ordres du Procureur le changement de chauffe-eau allait se faire « le lendemain » et de toute urgence. Dires mensongers que la Canaille qui a fait dire à deux chauffagistes qu’il envoya chez elle pour lui mentir avec une outrance et cynisme sans limite : « je viens vous prévenir que demain ou au plus tard fin de cette semaine nous viendrons vous  changer le chauffe-eau en entier »

C’était le 19, ensuite le 24, parce que La vanille ne cessa de lui envoyer des copain pour lui mentir.

Véra s’est dit, je vais arrêter leur cirque et ils vont voir qui je suis !

Véra pensa c’est tout a fait « normal » en absence d’un homme dans les parages, ces monstres voient une femme seule et ils rient à gorge déployée, ils sont des pions de la pègre, si ils étaient en Russie ou en Biélorussie, les deux Présidents les aurait tordu le cou et ils seraient maintenant en Sibérie dans une prison pour y pourrir à petit froid non à petit feux. Véra avait regardé un reportage qui montrait le Président Loukachenko en train de visiter une usine et un ouvrier par paresse, avait laissé un objet tranchant d’une machine à découvert, ce qui représentait un danger flagrant pour quiconque s’approchait, et pouvait certainement se blesser, il l’appella à l’ordre, lui fait le récit en criant  sur sa négligence, il est certain que le lendemain cet ouvrier serait licencié. Je sais que ça ne se passera jamais dans ce pays du Tiers Monde, où tout fonctionne par copinage, une véritable République bannière. Véra aimait cette façon de marcher d’un pays, la montre faute qui peut porter préjudice à autre doit perte punie ipso facto.

Véra ressentait un gout amère, l’amertume de ses propres erreurs, à différence d’aucuns, Véra savait s’inculper de ses propres erreurs de jeunesse, elle ne jetait jamais la pierre sur personne d’autre que sur elle même, idiote idéaliste qu’elle était, mais le plus grave fut qu’elle avait eu  trop de confiance,  elle et elle continua ainsi, à croire dans ses propres valeurs, mais ses valeurs et ses compétences ne pouvaient pas être acceptées dans un pays pourri.

« Voila mon problème qui est la résultante de ne pas être dans le bon endroit. » Et Dieu ne pouvait pas lui donner des années supplémentaires de vie, ni arrêter son vieillissement, Dieu, pour plus que Véra  pria  et implora encore plus de temps, Dieu n’allait pas la rajeunir, mais au moins, il lui restait un peu de temps pour elle, il lui restait encore quelques années pour prendre sa revanche, et elle avait déjà pris la bonne décision, une nouvelle voie commençait pour Véra, ce sera sans eu chaude s’est dit elle, mais  dans trois ans, grâce à mes efforts surhumains, je serai récompensée, trois années se passent très vite, les années s’en volent, Véra allait apprivoiser ce peu de temps de vie dans des choses d’une grande valeur existentielle, enfin elle allait oublier ce pays du Tiers Monde où elle laissa sa jeunesse sans rien récolter et c’était le pays qui l’avait appauvrie et c’était le pays qui assassina sa Maman, pays du Tiers Monde qui  donna la profession de « médecin » au Sicaire, la main assassine du Sicaire, avait torturé et tué sas Maman, le « docteur Traitre-Tant. »

Et ce pays était le pays qui la rendit invisible et qui lui l’avait détruit sa profession, ses compétences et son art, l’invisibilité imposée par la racaille jalouse l’avait appauvrie. Véra commença son Carpe Diem.

« À mon âge je ne vais plus lutter, j’ai déjà fait tout ce qu’il fallait faire pour régler juridiquement les délits pénaux, si rien ne sera fait, ce ne sera pas par manque d’action de ma part, la décision appartient dorénavant aux plus hautes autorités du pays du Tiers Monde, l’important fut fait. » 

Maintenant Véra préparait son entrée en fac, et rien ni personne n’arriverait à perturber son projet qui n’avait besoin que d’une seule chose  : de silence ! Et de paix !

Aucun de ces énergumènes criminels ne lui écrivirent  plus de mails et pour ce qui est des appels téléphoniques, Véra les a bien signalé: « dorénavant tout ce que vous voudrez me communiquer, mensonges compris, vous le ferez par courrier simple ou par mail. »

Silence…

La Complice-Vipère, elle s’échappa en rampant par les murs de l’Agora voila la preuve avec laquelle ni elle ni personne ne comptait comme réponse  à leurs attaques.

L’écrit reste indélébile.

Véra a fait preuve de n’agir que par l’écriture et par l’envoi de preuves. C’est la populace qui ment, tergiverse et calomnie., c’est leur spécificité et leur spécialité d’action.

Véra ne parle avec personne, elle sort, s’occupe de ses affaires, rentre chez -elle  dans l’Agora qui n’est qu’une immense porcherie; chez elle, non ce lieu n’est pas « chez elle », elle le dit toujours que ce logement n’est pas un « chez-soi », c’est le logement des Logeuses criminelles, elle n’avait jamais vécu dans des appartements sociaux quand elle vivait dans son pays d’origine.

Véra essaya de toutes ses forces d’entretenir ce lieu le mieux qu’elle ne pouvait avec une consommation océanique d’eau de javel en faisant du camping de guerre, et elle fermait les volets, mettant des tampons dans ses oreilles pour s’isoler des cris de l’extérieur et pouvoir lire, écrire et peindre en silence total.

Carpe Diem pensa Véra dans son for intérieur.

Véra éteignit la lampe et elle alla se coucher,  elle se levait tous les jours à l’aube…, « demain il fera jour, à chaque jour suffit sa peine. »

PRÉMICES DE MON LIVRE EN ÉCRITURE : VÉRA, LA CANAILLE ET SA COMPLICE.

3 août, 2025 (12:44) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

CHAPITRE IV

 

La visite : VÉRA – La Canaille et sa Complice

 

 

 

La Canaille devait intervenir suivant les ordres du Procureur devant lequel Véra avait déposé un Plainte Pénale en bonne due forme contre Les Logeuses criminelles qui la forcèrent à subir trois délit pénaux bien classées et différenciés dans le Code pénal,  ce qui n’est pass contradictoire d’un pays du Tiers Monde, car ils ont à leur avoir de Codes de loi, le problème est que dans les pays bananiers, les lois ne sont pas respectées, mais Véra gardait toujours de l’espoir. Le Procureur donna des ordres, quand la Canaille lui avait parlé au téléphone, il se présenta comme étant « le directeur » du Service, Véra l’a sur sur parole e tomba dans son piège, Véra se dit qu’il lui fallait encore un nouvel apprentissage de vie, sa formation sur les délits capables de faire un pays bananier n’étaient pas toujours bien n répertoriés dans son cerveau.

Véra n’avait pas reçu la copie de l’assignation que le Procureur envoya au service d’hygiène, mais elle pensa dans son for intérieur que l’assignation  devait avoir un ton impératif de changer le chauffe -eau en entier et de toute urgence mesure simple qui lui permettrait de bénéficier tout de suite de récupérer son droit légitime à l’eau chaude et à ses douches.

En croyant que ce mot URGENCE bien significatif dans le langage juridique,  serait compris par le Canaille et sa Complice,  Véra se trompait, puisque dans le système d’un Référé, l’urgence se transforme en un maximum d’exécutoire de 48h.

Alors la Canaille lui ment la fait patienter en employant des subterfuges: « je suis débordé ,vous n’êtes pas la seule, je n’irai faire l’inspection que dans un délais de 18 jours. Il refuse de faire un quelconque travail en « urgence ».

Véra commença à analyser la situation comme chancelante, chaotique et très douteuse. Mais elle devait laisser passer un peu de temps avant d’adresser une seconde plainte pénale.

Les preuves en l’espèce elle devait les avoir toutes en sa possession.

Véra se laissa un mois comme délai avant de lancer son ultimatum.

Le caractère d’urgence est indubitable, quand il manque l’accès à l’eau qui est un des droits fondamentaux de tout être humain semblable à celui de s’alimenter. Véra s’est encore: Mais à quel point  est monumentale la haine des ce personnel de la ville de cette Cité !

La vérité est qu’autant La Canaille et sa Complice, la vipère menteuse, étaient des frustrés de classe, autant il était grandiose leur haine incapable d’être retenue;  ils la déversaient en obstruant les travaux, en dilatant le plus possible l’intervention, outrageant cette fois-ci les ordres du Procureur. Dans son « rapport »  écrit la Canaille ne dit pas qu’il a été mandaté par le Procureur mais il  a changé complètement la situation, en écrivant qu’il a été mandaté par un service administratif sans pouvoir qui lui sert pour cacher qui  était véritablement la personne du plus haut statut juridique qui lui avait donné des ordres. C’est lui-même qui lui a dit par téléphone, qu’il avait « reçu une assignation du Procureur », pour un moi après, changer la donne lors de son écrit. Mais La vanille est de ces types sans vergogne qui comme un bulldozer il avance en casant tout à son passage.

Véra rigolait de bon coeur en écrivant l’analyse de cette ordure inhumaine.

Véra se chargerait de mettre au clair la vérité, c’est sont rôle existentiel quelle avait dû assumer depuis la mort de son père, lutter seule pour son indépendance et pour dire haut et fort la vérité. Parce que la vérité n’a pas de nuances, elle est un bloc inamovible, elle est foudroyante et invincible.

La haine, la détestation que ce personnel ressentait contre Véra était mesurable par des personnes compétentes; le fait qu’ils dilatèrent plus trois mois une improbable intervention pour qu’elle puisse avoir à nouveau son droit qui lui revenait en toute justice d’avoir de l’eau chaude était la preuve la plus irrévocable pour qu’ils soient jugés.

Véra attendait prête à rire l’arrivée annoncée d’une lettre injurieuse et menaçante qui la définirait comme « une locataire INSALUBRE » insulte outrage et viol de sa personne fait verbalement par la canaille qui arriva « faire une inspection » chez elle où il s’est permis, sans témoins autre que sa Complice, une vipère dont le mensonge et la calomnie forment partie de son être et de son travail.

Véra fut victime d’un attentat verbal chez elle, il la menaça d’inscrire son verdict sur sa personne par écrit dans une lettre administrative qui ferait le constat écrit de son inspection. Une très fausse inspection de ce logement des logeuses criminelles.

Véra ne devait en aucun cas de figure devenir un « objet » visé pour une « inspection » ce n’était pas sa personne visée mais le lieu insalubre que les logeuses lui donnèrent en 2021 pour habiter et la rabaisser.

Ces « logeuses » trouvèrent grâce à leur poste de « privilège » administratif de rabaisser sa personne or, que de mieux que de l’obliger à vivre dans des très mauvaises conditions d’habitat, chauffe-eau vétuste fuyant le gaz, datant des années soixante, et jamais changé, canalisations vétustes et bouchées laissant sortir pendant la nuit des odeurs pestilentielles, des fuites permanentes d’eau sorties des canalisations du levier qui transperçaient les murs car la cuisine était avoisinante de la salle d’eau et les canalisations du levier donnaient juste vers le mur de la salle d’eau d’où non seulement les canalisations de la baignoire et du lavabo laissaient sortir de leurs canalisations des fuites permanentes, mais venaient se greffer celles du lever de la cuisine, un conglomérat parfait des dégâts des eaux bien spécifié qu’il nomme des fuites « minimes »

Véra à la lecture de son rapport éclata de rire ! Elle se dit, je ne devrait pas rire parce que c’est tragique que moi, je sois obligée à subir les dégâts non « des eaux », mais les véritables dégâts de ce minable « Canaille et de sa vipère Complice.

Les véritables dégâts qui devait subir Véra étaient existentiels, ceux-là ne sont pas réparables avec l’aide ni d’un plombier ni d’un chauffagiste, ils ne sont réparables qu’avec de l’argent, beaucoup d’argent qui ne devait sortir que de son atelier de peinture. Véra comptait bien le faire valoir…Mais jamais dans ce pays du Tiers Monde, elle savait à présent qu’elle avait commis une grave erreur et comprit qu’elle devait la réparer. Et très vite.

Véra reprit la lecture dudit « rapport » rien de la vérité des dégâts des eaux n’y est dit.

L’humidité ne vient point de l’absence de Vam, la grille marche, l’humidité ne vient point des fenêtres fermées de la salle d’eau, aucune salle d’eau des appartements de la capitale de ce pays du Tiers Monde n’a de fenêtres et il n’y a jamais de l’humidité, La Canaille l’inculpe de « Locataire INSALUBRE et lui dit presque en criant:

« Vous êtes coupable ici de ne pas ouvrir les fenêtres, c’est la seule raison de l’humidité ici, je ne vous demande pas d’ouvrit les fenêtres tandis que vous êtes NUE en prenant votre douche, mais après, vous devez tout de suite ouvrir les fenêtres »

Véra se dit dans son for intérieur:

« Cette canaille se croit un tuteur? !, il ne dit rien des véritables dégâts des eaux qu’en plus j’ai fait inscrire dans une vidéo !,  il outrepasse ses fonctions de petit fonctionnaire de pacotille, je vais voir la suite… »

L’humidité l’avait provoqué le décollement des plinthes des murs, elles étaient noircies, où la peinture aussi était noircie et entièrement écaillée, elles étaient une des formes factuelles et indubitables d’une humidité permanente, les sanitaires rouillés avaient fait leur temps, après soixante dix années usage, l’usure avait formé des plaques indélébiles de tartre que Véra s’obstinait pas désespoir de propreté,  de les faire disparaître illusoirement avec des litres d’eau de javel qu’elle dépensait en la jetant soit dans les canalisations, soit en spray pour les lieux où le tartre et la rouille rougeâtre s’inscrivaient à tout jamais dans tous les sanitaires qu’elle aurait voulu dynamiter, elle riait seule à la seule pensée de faire éclater cette pourriture d’appartement, « il faudrait dynamiter toute cette Cité pourrie » se disait Véra en souriant.

La clé du van qui est placé dans la canalisation d’eau du W.C.  fut cassée avec une pince lors de l’intervention du plombier qui devant couper l’eau pour changer le WC , il cassa la clé qui fixée de rouille ne pouvait être tournée qu’à l’aide d’une pince, il fut totalement normal qu’elle fut cassée lors de l’intervention et il laissa dorénavant, l’appartement dépourvu d’une clé capitale pour qu’en cas d’une inondation soit possible de l’estomper la fuite d’eau à l‘aide de ladite clé, à présent cassée et que la Canaille ne dit rien et pire qu’il cache volontairement le dégât provoqué par inadvertance du plombier, car on peut bien casser une clé van de sortie d’eau, mais on la remplace pour corriger le dégât provoqué!

La Canaille le cache dans son « rapport » de pacotille.

Et, ce nouveau dégât produit tout récemment est passé sous silence. Véra s’est dit: si inondation grave des eaux se produit, j’ouvrirai la porte d’entrée et l’eau descendra par les escaliers, là, les voisins vont crier au scandale, qu’ils crient, ce sera bien mieux que les cris des ados quand ils ont essayé d’abattre sa porte à midi, ers étant elle à la maison, maintenant qu’elle a installé une télésurveillance, personne n’ose ni la menacer de mort comme auparavant, ni venir abattre sa porte,  nuisances factuelles de la bande des lâches de la Cité. Elle avait déjà prévenu son assureur, ni elle ni son assureur ne seront responsables d’aucun dégât. Cette Canaille se sait bien évidement qu’il est le protégé de la commune de son chef de service et de toute l’administration politique de la ville, du contraire il n’aurait jamais osé agir de la sorte en exerçant sur Véra l’ignominie verbale la traitant de « locataire insalubre » et d’avoir voulu faire les photos de sa chambre à coucher qu’il dit dans son «faux rapport » écrit que elle n’a pas voulu qu’il prenne de photos de l’interrupteur au mur!

Une quantité des faux constats tellement faux et si crétins par la volonté de ne pas dire la vérite et de minimiser les dégâts, qu’ils ne peuvent que provoquer le rire; ce type malfaisant, il a comme surplus de « protection », un des éléments des plus puissants typiques de tout pays du Tiers monde, ils sont plus puissants que les gouvernements, il s’agit de son « syndicat » et le suit son conseil de Prud’hommes qui défend, certes, très justement les salariés en cas d’injustices patronales, mais qui ne saura pas faire la différence pour dogmatisme, quand un travailleur CANAILLE s’en prend à une femme qui sans appuis et sans syndicats, doit subir les outrances d’une canaille lâche qui profite de la situation désavantageuse d’une femme seule et de sa fausse supériorité politique.

Cette Canaille, après la menacer et la traiter de LOCATAIRE INSALUBRE et de lui dire: je vais le dire dans mon Rapport que vous recevrez sous-peu, vous pouvez après, me dénoncer au Tribunal, Faire une contre-expertise, demander de l’aide à votre assureur.

Véra clament lui a répondu:

Monsieur, vous allez rester avec vos insultes seul, car je ne ferai RIEN contre vous, je ne ferai aucune action en justice , ni déposerai jamais, plus jamais de plainbte devant le Tribunal, la preuve est que depuis cinq ans que les Logeuses criminelles m’attaquent je n’ai rien fait contre ces canailles. Je ne ferai rien contre vous, je ferai mieux,  votre rapport je vais le PUBLIER! »

Alors, lui outrancier, avec un visage cynique et un ton méprisant la regarde et lui dit:

« Si vous voulez! »

Cette Canaille et sa Complice, la vipère menteuse, sont de ces petits spécimens, qu’on ne peut pas nommer « Personne », car l’étymologie serait violée.

Ce sont de ces éléments incapables de toute bonne action,  ils  maîtrisent les forces de la méchanceté, et qui pullulent dans toutes les administrations de ce pays du Tiers Monde qu’a force de recommandations politiques leur fut facile d’asseoir une sorte d’installation administrative où il est « Inspecteur », et l’autre  une bonne à rien, tous deux en copinage et en se tutoyant, loin de posséder une quelconque autorité, ils s’adjugent des fonctions qu’il n’en ont point. Il a voulu transformer l’inspection qui ne devait se limiter qu’à deux pièces, en trois, il est l’entré de force et avide de savoir comment Véra a sa chambre à coucher !

Aucun administré ne doit exprimer la volonté d’entrer dans la chambre à coucher d’une dame locataire.

Dans la chambre de Véra n’a ni de fuites de gaz sortant du chauffe-eau, ni des infiltrations d’eau sortant des canalisations d’évier et des sanitaires, ce Canaille a voulu même faire des photos de son lit !

Là, Véra s’indigna et l’a mis dehors, il a essayé de la pousser, elle a fait un pas en arrière, en protestant catégoriquement, c’était un film a charger à un cinéaste,  et la Canaille s’est avancée à coté de son lit, il insista lui disant qu’il voulait vérifier la prise !!!

Véra révoltée lui a dit: Alors là monsieur, vous sortez !Vous n’avez pas le droit de prendre des photos de mon lit !

L’après-midi, Véra lui adressa un mail avec la photo de son lit à nu, dépourvu de linge, et lui a écrit: voila monsieur, pour la deuxième fois, je vous poste la photo de mon lit que vous avez déjà depuis un mois, car je vous l’avais posté, de cette, photo vous pouvez en faire usage selon votre convenance,  mais pas d’un lit d’une chambre à coucher qui est un lieu privé qui m’appartient, mon domaine privé,  vous le violez et vous voulez le transformer en lieu public !»

Cette Canaille, s’est dit Véra, elle est non seulement une Canaille, mais un type dangereux, malfaisant et des bas-fonds, c’est cette pègre que les gouvernements bananiers donnèrent du pouvoir par des motifs politiques, maintenant le pays entier est infesté de la peste incrustée jusque’à l’os.

Il n’est que, celui qu’en n’étant qu’un subalterne, s’est fait passer par le Directeur du service de l’administration.

Le rôle limité d’inspecteur des dégâts des appartements sociaux,  il a voulu le transformer en une perquisition ! « Et, pourquoi pas dans une garde à vue » s’est dit encore Véra.

Une personne qui la connait depuis des nombreuses années lui a dit un jour:

« Ce qui est surprenant chez-vous et qui me donne l’assurance de votre résilience est que vous n’abandonnez jamais votre dérision, pour plus tragique qui soient les événements de votre vie, vous les transformez en dérision », alors Véra lui répondit: « c’est l’unique me manière de survivre,  de me sauver, je ne peux pas m’empêcher de les regarder comme des pions, des artefacts risibles et si grotesques que quand ils arrivent m’agresser et me provoquer, je ne peux pas retenir des fous rires ! , c’est tellement grotesque et le grotesque fait rire ! »