CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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UNE LECTURE DE LA DEUXIÈME VIE DE PHILIPPE SOLLERS

14 août, 2025 (11:47) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

     LA DEUXIÈME VIE DE SOLLERS

 

 

UNE LECTURE ENTRE RÉFLEXION

MÉLANCOLIQUE

 

ET RIRE INTELLECTUEL

 

La meilleure critique sociétale jamais faite Littérature Romanesque.

 

Chers Lecteurs,

Il est impossible de lire Sollers sans rire.

La meilleure critique sociétale jamais  faite de finesse et de supériorité en « littérature romanesque »

Dans La Deuxième vie je trouve, La Société Finale, L’Être Humain Terminal, gesticulant dans « La société du VIDE »

 

Tous ses livres ne sont que son portrait, l’écrivain qui par son esprit représente mieux qu’aucun autre la France, depuis sa disparition physique, nous restons des artistes et des intellectuels orphelins, et la médiocrité a besoin plus que jamais de la voix d’une critique poignante et pleine d’esprit, sa littérature essentiellement « romanesque », nous ne la voyons point comme celle d’un « soleil noir », mais faite des clairvoyances impératives en symbiose toujours à ses sentences graves, aux tonalités des ciels vénitiens et dites dans des phrases érudites faites art littéraire qui se déplient en arabesques esthétiques.

Il fait irruption le rire intellectuel quand sa critique acerbe de cette époque en décomposition mélange une ironie mordante, mêlée aux questions métaphysiques ; il fait une critique sociale romanesque devant laquelle tout traité social reste vain.

Sollers définit notre société avec excellence : « La Société Finale » et l’ »Être Humain Terminal » qui gesticule dans l’ « Apothéose du VIDE »

Que dit-il de l’avalanche des écrivains « célèbres ?

Quelle description superbe de l’espace littéraire français !

Quelques phrases résument notre déchéance et surgissent très vite chez nous cette antique métamorphose des vaincus :

La catharsis !

 

« […] Dans ce crépuscule des premières vies, l’un, écrivain célèbre, rappellera de temps en temps que sa mère était femme de ménage, l’autre, journaliste proliférant, n’arrêtera pas de rendre hommage à son père illettré, ouvrier agricole. Enfin, une vieille femme française, écrivaine, prix Nobel de littérature, se souviendra au bord des larmes, de l’épicerie familiale, en disant qu’elle n’écrit que pour « venger sa race et sa classe ». 

Tout va dans la bonne direction, puisque les victimes sont récompensées. En douter vous désigne immédiatement comme conservateur élitiste, et signifie que votre famille, quelle qu’elle soit, n’aurait pas dû exister ».

 

Pour celui qui aime la vraie littérature en contraste avec la décrépitude dans laquelle est tombée la France, ce passage est la plus grandiose catharsis jamais éprouvée!

 

Et, encore :

« La bêtise est surinformée à cause de son ignorance. Des carrières de philosophes autoproclamés en profitent et pérorent, à heures fixes, sur tous les sujets ».

Ah, le progrès si bien dit !

« […] 70% du public vote transgenre. Erreur, cette femme, incroyable de féminitude, est bien une femme. La preuve est qu’elle est mariée à une femme dont elle a déjà deux enfants, par GPA, avec des mères porteuses ukrainiennes.»

L’Homme Terminal

 

« De même qu’il y avait des grades pour la noblesse, il faudrait inventer pour des origines obscures. Pauvreté, semi-pauvreté, insertion-ratée, mauvaise maîtrise de la langue d’accueil, sexualité floue, passivité sociale. Des opinions politiques de l’acteur sont désormais calquées sur celles de ses interlocuteurs qui lui promettent un emploi. L’être humain terminal est un mauvais acteur des réseaux… »

« Dans sa phase Terminale l’humanité est contrainte de reconnaître ses mensonges et ses crimes. »

 

 

Pour l’heure, et pour toujours, dans  cette déchéance irréversible de la France, et vu la décrépitude ambiante en matière intellectuelle et politique, il est impératif de relire Sollers et de lire sa Deuxième Vie.

 

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA

 

 

AVANCEZ LES GARS ! HOURRA !

13 août, 2025 (13:06) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

LES EUROPÉENS ONT-ILS FINI LEUR « CONSEIL DE CLASSE ? »

13 août, 2025 (09:54) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LES EUROPÉENS ONT-ILS FINI

 

 

LEUR « CONSEIL DE CLASSE ? »

 

 

 

Chers Lecteurs,

Ce qu’ils ne peuvent faire avec les armes, ils le font avec les mots, leurs réunions filmées ressemblent parfaitement aux « conseils de classe’ » un des pires défauts du système de l’E.N., Oh, ces conseils ennuyeux à en mourir !

Ils sont faits depuis des décennies d’une lenteur absurde, et d’un ennui  ! Qui se produit parce que leur paresse mentale les interdit aller à l’essentiel, ces conseils de classe où, l’absence d’énergie intellectuelle est leur principal défaut, est propre de la médiocrité de l’enseignement ; ce qui pourrait se dire dans un délai d’une demi-heure, ils s’attardaient dans des délais qui dépassent les trois heures, à l’époque, nous sortions tous accablés et épuisés, c’est ce qu’on appelle indiscutablement « le retard mental ».

C’est ce même retard mental et l’irresponsabilité financière dont ils font preuve les européens dans leurs réunions.

Ils viennent de décider qu’ils vont aider encore plus l’U. Et osent pleurnicher alarmés que la France subit une dette abyssale que nous n’avons pas créée, et veulent passer la facture aux citoyens, ceux qui ont les moyens, peuvent ouvrir le chéquier ou la CB de « contact », nous, sans le sou, devons dès maintenant faire face au manque du chèque énergie, qui se l’ont gardé pour cet été, avec l’excuse mensongère d’une attente nécessaire pour une nouvelle étude qui ne débutera qu’en novembre, entre temps est en place une nouvelle hausse de la facture d’énergie, le gouvernement l’a déjà installée et prévue pour la rentrée de septembre.

Les hausses des prix journalières dans les produits d’alimentation, nous les voyons tous les jours, hausses injustifiées qui selon les dirigeants politiques et les PDG de l’alimentaire, passeront inaperçues, mais nous ne sommes pas dupes, nous regardons les étiquettes avant de mettre un produit dans le panier, et regardons aussi que la TVA que pour des produits alimentaires peuvent aller jusqu’à 9€, dans la liste du ticket à payer à la caisse, avec la seule TVA, nous pourrions nous munir de plusieurs articles nécessaires que nous devons laisser dans les rayons !

Toutes-ces dépenses mensuelles, je le redis, injustifiées pour nous, et qui servent à combler le déficit des euros inconsidérés versés pour une guerre qui n’est pas la nôtre.

Arrêtez avec la rengaine que la Russie veut venir nous attaquer !

Seuls les imbéciles vont croire à votre propagande.

Les difficultés financières et le déficit affolant sont chez vous, ici en France, cesser de ridiculiser la Russie et son inflation, si crise financière, ils pourraient en avoir, ils sauront la régulariser comme par le passé, ils ont l’intelligence et la résilience bien prouvées, comparées à votre situation d’endettés, ces qualités vous font grave défaut.

Votre mauvaise gérance et gaspillage dont vous êtes les auteurs et profiteurs de la dette Française, vous ordonne d’adopter de la discrétion, alors stoppez votre ingérence  !

Las graphiques sur le déficit du rouble et les propagandes de vos journalistes nous font éteindre la télé.

Les injustices économiques à l’encontre des citoyens qui s’accumulent au jour le jour, nous ne pouvons plus les supporter, la rentrée vous dira que ce cirque a pris fin.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

UNE COURTE MATINÉE À PARIS

12 août, 2025 (20:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

      

       UNE COURTE MATINÉE À PARIS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Obligée  que j’étais par la date qui expirait, j’ai dû courir à Paris chercher mes livres. Je les attendais depuis cinq semaines ; ils n’étaient pas disponibles, ici en France, trouver les livres, c’est comme chercher un médicament, je sais cela pour ce qu’on me raconte, parce que moi, je ne prends pas de médicaments, seulement de l’homéopathie et de la phytothérapie.  Je ne comptais pas avec cette canicule, j’abhorre le soleil et la chaleur, je partirai où il n’y a pas de soleil ! Et pas de chaleur !

Je suis partie de l’Enfer de Poissy à 7h.40 et je suis arrivée à Paris Montparnasse à 9h, mais pour faire ce voyage, il m’a fallu descendre les 84 marches d’escalier avec le déambulateur, marcher jusqu’à l’abribus, attendre le bus, 10 min cette fois-ci ,parce que d’habitude, l’attente est de 30 mn ! ensuite  17 minutes de trajet, car il avance comme une charrette, arrivée à la Gare, j’ai  attendu 15 mn pour l’arrivée du train, il était de ceux très anciens, aux marches très hautes, je fais du sport là, et il faut monter vite, le chauffer ne sait pas que je dois monter les 9 k et personne n’aide ni ne me donne la place ! Je ne montre plus jamais ma Carte, une fois l’on m’a presque agressée en me disant que je n’ai pas le droit « au traitement de faveur »  et, pourtant la carte d’invalidité sert au moins à avoir le droit de s’asseoir, mais dans les Yvelines c’est vrai que ma carte de la MDPH « ne me sert à rien »

Soit. Nous sommes sous l’Occupation. 

Il était de ces trains anciens qui sont une véritable ferraille, pour Poissy, le PDG de la SNCF laisse les plus anciens et délabrés ce qui ne se produit pas pour les lignes de Saint-Lazare Versailles ! Nous arrivâmes en 40 mn à la Gare-Saint Lazare, ensuite, il faut chercher l’ascenseur pour sortir, par fortune, il était en marche, mais à la sortie, je me suis trouvée devant la fin du monde,  » ils » font « des travaux » aucun « arrêt de bus » pour Montparnasse, tout a été supprimé ; d’habitude les arrêts sont est juste en face ;  j’ai dû marcher très vite pour arriver à la hauteur de presque l’arrêt Opéra, pour prendre le bus 28 qui a comme terminus la gare Montparnasse. Ces idiots n’ont aucun respect pour le public, ils devraient afficher une pancarte pour nous informer, les chauffeurs d’autres lignes haussent les épaules et vous disent : « je ne sais pas, ce n’est pas ma ligne », on ne sait plus où aller pour chercher le nouvel arrêt, il ne reste que marcher, jusqu’à le trouver.

Le magasin n’ouvre qu’à 10h, j’eus le temps d’aller au supermarché connu comme le plus cher e, grande surprise,  les deux produits qu’à Poissy où sont introuvables ou à un prix exorbitant, je les ai trouvés à moitié prix, et chez Monoprix et ils n’étaient pas en promotion, savez-vous de quoi s’agissait-il ?

D’une arme chère et absolument nécessaire pour habiter dans cette porcherie de HLM, une bouteille de DESTOP, car les canalisations sont entièrement pourries, et se bouchent toutes les semaines.

Ici le prix dépasse le supportable alors, il faut que j’aille faire mes courses à Paris !

Et l’autre produit, c’est un petit paquet des tout petits carrés de sucre qu’ici coutent 5€ , là-bas, je l’ai trouvé à 2.50€ !

Enfin mes petites courses faites, je suis allée à pied en descendant la rue de Sèvres pour arriver au magasin récupérer mes livres.

Après, j’ai traversé la rue et pris le bus de retour à la gare Saint-Lazare, grande chance, le chauffeur m’a mis la rampe sans que je le lui demande, le Paradis !

Le long trajet pour Paris m’a fait tellement bien que je me suis sentie renaître, et se sont éveillés mes sentiments d’injustice de me voir confinée dans l’Enfer de Poissy ; je me vois mal faire cette expédition stupide tous les jours pour aller à la Fac… il devrait avoir des dortoirs pour y rester et ne rentrer à cette porcherie que le vendredi. Je me suis rappelé que quand je devais faire le même style des trajets forcés pour aller travailler aux lycées, le dernier était à Maintes la Jolie, en Zep, je dépensais 4h de transport par jour, j’étais épuisée non de travailler, mais de ces déplacements idiots, et j’étais jeune ! Alors, mes élèves me disaient « Madame, ne rentrez pas chez-vous, c’est trop loin, restez dans le placard ! »

Enfin, une fois dans le train bien assise, j’ai pu respirer, de l’air chaud ! Et, par fortune, j’ai pris le train tout de suite, je ne sais pas, par quel miracle, le panneau affichait Poissy, départ dans 14 mn, il était de ces trains modernes, sans escaliers, à une seule rampe à la même hauteur du quai, chiche pour monter mon déambulateur ! Il était à quai et les portes ouvertes, un miracle, j’ai attendu les 14 mn assise, le train était presque vide, je suis arrivée à la Gare de Poissy à 11h. 10; j’ai pris le bus tout de suite, et,j’ai marché 8  mn pour arriver à la porte de l’immeuble où m’attendait les 84 marches d’escalier pour monter non seulement ma carcasse, mais le plus dur, le lourds déambulateur de 9 k., j’ai ouvert la porte de ma porcherie à 12h 15.

Extraordinaire épreuve de force meurtrière pour mes genoux et mes vertèbres, mais c’es compréhensible, sous l’Occupation, vous ne pouvez pas demander mieux 

Tout ce trajet a été raccourci de quasiment 2h, parce que par temps de jours de travail, des jours ordinaires aux heures de pointe, « les gens » ne me laissent pas monter dans le bus vers la Gare, et l’affluence dans les quais est égale aux trains de Calcutta. C’est ça vivre à Poissy.

Pendant le trajet, de mon paquet de livres, j’ai choisi La Deuxième Vie, nommé le dernier livre de Philippe Sollers.

J’ai lu la postface de Julia Kristeva.

Et l’après-midi, aux volets fermés, j’ai lu le livre.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

UNE ANECDOTE EXISTENTIELLE À RIRE AUX ÉCLATS

12 août, 2025 (07:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

UNE ANECDOTE EXISTENTIELLE

 

 

           À RIRE AUX ÉCLATS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Je vais vous raconter une anecdote très rapidement, je voyage à Paris très tôt pour ne pas fondre victime de la canicule, je vais non me promener comme touriste, mais chercher ma liste de livres qui sont arrivés après une attente de cinq semaines !

Je vais vous faire rire aux éclats :

Quand une femme de 71 ans a de l’argent (moi, je suis née le 25 janvier 1954) on dit publiquement d’elle, je cite les journaux : « elle était renversante, lumineuse, habillée d’une robe de haute couture… »

On ne parle point de qu’elle est franchement laide, pleine de rides, en dépit de millions dépensés en salons de beauté. Et, voilà qui arrive le plus comique, moi, qui selon les Français » de l’administration » , je ne vaux RIEN, parce que PAUVRE, (la définition de PAUVRE pour las Français signifie les sommes dans le compte en banque) sauf que moi, qui n’ait été jamais « pauvre » et je me sens « potentiellement RICHE ». Bref, ce sont des considérations philosophiques qui ne sont pas à leur portée.

Passons.

Je vais à mon anecdote :

Un rendez-vous dans une mairie m’oblige à dialoguer avec une personne, une femme évidement « hautement malveillante », mais dans l’administration, on ne choisit pas les interlocuteurs, après avoir regardé avec épouvante mon rapport de 350 Pp. qu’après, j’ai fait livre, me dit cachant sa surprise, « si je vous trouve un logement accessible et adapté à votre handicap, je devrais le faire devant le préfet » (!) Moi, qui j’ai déjà eu affaire avec, je serrais les dents, bouche cousue, alors elle poursuit… « Je ne vous trouverai qu’un studio ».

Alors là, Madame, je lui répondis, c’est impossible, j’avais un studio à Paris où j’ai vécu plus de huit ans, ce qui m’a fait commettre l’idiotie, de venir à Poissy, j’ai maintenant un lit médicalisé assez grand qui m’occupe toute la petite chambrette, j’ai des livres est des toiles, et « je fais de la peinture »

Alors, vous vous réduisez !

Que voulez-vous que je mette un immense lit médicalisé au salon?

Que je jette mes livres et mes toiles qui sont le travail de toute une vie quand je vivais à Paris?

Je ne suis pas arrivée à la nage hier ni avant hier, j’ai un passé qui doit être respecté, je suis « professionnelle » Madame ‘

Alors, elle me répond sans savoir comment s’échapper :

« Je vous comprends »

« Madame, je ne suis pas venue chercher votre compréhension, mais votre MUTATION »

Affaire close.

Bien, entre autres insanités que j’ai d’un entendre, elle m’a dit qu’une femme SEULE, sans enfant, qui ne vit pas en « concubinage » ne peut jamais accéder à un F2 oui à un F3. Je lui ai répliqué que c’est archi-faux, car je connais la loi et j’ai de l’expérience, dans mon ancien logement parisien, ma voisine de palier était mon amie, elle avait la même âge que moi, célibataire et sans enfant et avait un F2 de 56 m2, , alors stoppez le scandale de mensonges !

Une personne handicapée qui fait foi de son invalidité a le droit de plus d’espace, le ventre (n’avoir jamais enfanté) ou sa situation civile (concubinage)  n’entrent point dans une improbable interdiction de plus de m2.

Dans mon pays d’origine, à mon époque, « le concubinage » est une situation sociale vécue uniquement au sein de LA PÈGRE » ici en France est un motif de reconnaissance sociale !!!

La solitude, le manque de famille ne sont en aucun cas des motifs devant la loi qui interdisent l’attribution d’un F2 ou d’un F3, mais sa situation personnelle de santé.

Pour résumer l’anecdote :

Les vieilles sans argent sont vieilles bonnes à jeter au cercueil.

Ça viendra, comme pour vous tous, nous sommes tous condamnés à mort, mais en attendant… chaque chose à son temps mesdames, messieurs, ne violentez pas la Vie !

Et, les droits inscrits dans le Code civil et le Code pénal sont effacés pour moi, par les fonctionnaires de l’administration.

La VIEILLE, qui n’a pas d’argent selon ces « académiciens » sont stupides, ignorantes et analphabètes, donc, ils peuvent les manipuler à leur guise.

La pauvre idiote, m’a fait la liste de tout ce que je n’ai pas.

Et, moi, je lui ai répondu, que dès mon réveil, je me fais la liste non de ce que je n’ai pas, mais de tout ce que j’ai et grâce à mon effort et mon travail.

Les autres considérations dont je pense, j’ai opté pour les laisser en silence, elle ne les comprendrait point.

Oui, elle et tous ceux qui me détestent pourront dire que je suis vielle et que j’ai la même âge des starlettes des femmes françaises de la vie mondaine et politique et que la seule chose qu’ils peuvent dire d’elles est qu’elles s’habillent avec des robes chères de haute couture, mais de l’intérieur… Qui sont-elles ?

Moi, depuis que je ne travaille pas, je dois m’habiller chez Lidl, tee-shirts et jeans, et quelques fois des pantalons de 12€ du marché de Paris…

Je ne mets pas les pieds chez les coiffeurs, je me coupe toute seule mes cheveux et n’ai jamais fait appel aux produits de beauté chers, jamais…Ici en France naturellement !

Je ne fais pas l’éloge de la pauvreté, je la déteste de toutes mes forces, bien au contraire, j’aime le luxe, et la beauté et jamais, je n’ai vécu la misère chez ma famille et je déteste le misérabilisme, je fais face honorablement devant une situation d’appauvrissement que je ne mérite pas et que je n’ai pas choisie.

Et, je vous le redis, je fais tous les jours ma comptabilité, non de ce qui me manque, la liste est devenue tellement longue depuis que j’ai commis la connerie grandiose de venir en France, mais je fais ma comptabilité de tout ce que mes parents m’ont donné en héritage génétique, et en valeurs morales.

Et j’additionne tout ce que je suis arrivée toute seule à m’apprivoiser…Et je poursuis.

Bonne journée !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

UN EXTRAIT DU LIVRE : VÉRA LA CANAILLE ET SA COMPLICE

11 août, 2025 (15:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ÉPILOGUE

 

 

VÉRA SE DÉFEND

 

Véra voit s’avancer La Canaille vers sa chambre à coucher, il avance avide et décidé d’aboutir à faire ce qu’il veut parvenir à y faire, elle lui dit: « Dans ma chambre à coucher il n’y a rien à inspecter. »

La COMPLICE se tenait derrière lui, en silence, comme sont tous les laquais, serviles dans tout étai de cause… Obéissants et menteurs de premier ordre.

Véra lui interdit de prendre des photos de son lit médicalisé.

Il avance, appareil de photo entre ses mains, on dirait un journaliste dans un lieu de crime, sans lui obéir, il avance outrancier, vers sa chambre à coucher, Véra avait laissé la porte bien fermée, sa chambre est pour elle son espace intime et sacré, personne n’y met les pieds, et dans sa chambre, il n’y a aucun dégât.

Elle doit lui laisser de la place, de manière absurde, il s’impose, insolent et sans l’écouter ; entre le bord du lit et le mur, il n’y a que 50 centimètres, elle doit forcément très vite bouger de quelques centimètres et Véra se met de côté, il fait semblant de vérifier, elle est inquiète et son seul but est de lui interdire de faire les photos, elle est ahurie de cette situation et lui répète, je vous interdis de prendre des photos de mon lit, d’ailleurs, vous l’avez déjà, car je vous l’ai envoyé par mail, pour faire foi de mon handicap et de que j’ai besoin d’un F2.

Il insiste et en lui disant qu’il veut « vérifier »  or, il n’y a rien à vérifier lui dit Véra: « la prise est parfaite du contraire le lit qui est électrique, ne pourrait pas être opérationnel. »

La télécommande électrique permet à Véra de monter son lit, pour faire facilement son lit tous les jours sans besoin de se pencher. C’est l’objectif d’un lit médicalisé, faciliter la vie courante d’une personne en situation de handicap.

Mais…La Canaille, tergiverse la situation et les dires légitimes de Véra qui veut à tout prix défendre « son intimité » et, la fin de l’histoire est que La Canaille court vers son chef pour se plaindre, lui demander sa protection contre VÉRA, cette « vieille handicapée de 71 ans tellement dangereuse et offensante !!!! »

et, lui dit :

« La vieille handicapée est DANGEREUSE !!!

Mal polie !

Elle m’a intimidé!!!

Véra a porté atteinte à une personnalité representante de l’État français !!!!!!

Le Chef se met à l’œuvre fort de sa « supériorité hiérarchique » assermentée que PERSONNE en France ne pourra lui contester.

PERSONNE.

La vielle handicapée a interdit d’accéder à sa chambre à coucher à une haute autorité de l’État, « Véra n’a aucun droit en France !!!! »

« Aucun ! elle doit se soumettre à tout ce que nous voulons, je vais lui écrire pour lui faire peur , tu vas voir nous allons la tuer !!!!! »

« Ne crains rien, elle va tout stopper, tu sais , elle n’a pas d’argent elle est foutue, nous allons poursuivre, la traquer jusqu’à la ruiner ! »

Mais,  comment-est-il possible ?

Elle doit laisser grandes ouvertes son intimité, car IL EST UN FONCTIONNAIRE qui dans le service de son INSPECTION, il fait ce qu’il veut !

Le mensonge et la calomnie sont inclus !

Certes Véra le lui a interdit DE PAROLE, no physiquement, d’entrer dans sa chambre à coucher et d’y faire des photos de son lit; une vieille handicapée a-t-elle la force de s’opposer physiquement comme pourrait le faire un homme quand bien même handicapé ?

NON, ABSOLUMENT PAS.

Mais La Canaille s’est imposée outrepassant son pouvoir, que pouvait faire d’autre Véra ?

Sa seule arme est la parole écrite et parlée.

La Canaille, comme toutes les Canailles de la terre, « Elles » mentent, calomnient et portent atteinte à l’honneur d’une personne avec des diffamations, l’importance de cette affaire est la mesure entièrement DISPROPORTIONNÉE prise par le Chef du régiment, l’on dirait la seconde division blindée d’un état de guerre contre un pauvre vieille handicapée qui en aucun cas ne peut INTIMIDER un « HOMME »

Mais que dit-on ?

Un Homme?

 

LA STRANGULATION : MÉTHODE POLITIQUE DU GOUVERNEMENT

11 août, 2025 (13:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

            

 

 

                   LA STRANGULATION

 

                       LA MÉTHODE POLITIQUE

 

                            DU GOUVERNEMENT

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il va falloir stopper ipso facto ce vol financier insensé que prépare le Premier ministre contre toute la nation.

Où va-t-on?!

Je viens d’entendre Madame Isabelle This Saint-Jean, économiste, Professeur universitaire, ses propos sont clairs et précis, elle a donné une analyse premier ordre, elle demande au Premier ministre qu’il se prononce clairement, elle ajoute que l’État a une durée infinie, les citoyens ne sont pas responsables de ce déficit.

Ce sont deux dépenses distinctes.

Un dirigeant d’un syndicat, de son côté a fait une démonstration pratique sur l’inutilité de ces deux jours de travail gratuit où seuls les salariés seront les punis, sans que l’État gagne un seul euro pour combler le déficit qui est de sa seule responsabilité, certes, avec ces deux jours non payés, il ne sauvera point la France de son déficit abyssal, mais il appauvrira la nation, les salariés  de 1% de ses revenus.

Pour nous, retraités « au seuil de pauvreté », nous ne pouvons plus poursuivre en supportant soumis les hausses de prix, comme si tout allait bien dans les meilleurs des mondes. 

Ces difficultés tombent sur le plus démunis et vulnérables, augmentent les risques de maladies et entraînent plus de dépenses pour la Sécu, sa plus grande préoccupation ! Mais la santé des citoyens sous pression il s’en fiche éperdument !

LA STRANGULATION DE CITOYENS

Nous, qui sommes « pauvres » nous n’en pouvons plus  rester indifférents, ni assurer les hausses des prix qui arrivent au jour le jour et nous restons figés avec des revenus qui stagnent.

Disons BASTA !

Donc, vu la situation gravissime, nous devons exiger la démission immédiate du gouvernement donnant comme argument une mauvaise gérance du budget de l’État, menant le pays à sa ruine et faisant  payer inconsidérément la nation qui est sans défense pour subir tous leurs abus, qui conduisent à une aggravation irréversible dans leurs vies.

 

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Fiche n°64
La mise en cause de la responsabilité du Gouvernement

Points-clés
Si l’article 20 de la Constitution de 1958 dispose que le Gouvernement est « responsable devant le Parlement », l’article 50 précise que seul un vote émis par l’Assemblée nationale peut entraîner la démission du Gouvernement.

Trois procédures de mise en cause de la responsabilité du Gouvernement devant l’Assemblée nationale sont définies par l’article 49 de la Constitution :

– l’engagement de la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou sur une déclaration de politique générale (article 49, alinéa premier) couramment dénommé « question de confiance » ;

– le dépôt d’une motion de censure à l’initiative des députés (article 49, alinéa 2) ;

– l’engagement de la responsabilité du Gouvernement sur le vote d’un texte (article 49, alinéa 3).

Dans la pratique, l’usage que les députés font de ces différentes procédures est fortement conditionné par le fait majoritaire.

L’article 50 limite le pouvoir de sanction à la seule Assemblée nationale : « Lorsque l’Assemblée nationale adopte une motion de censure ou lorsqu’elle désapprouve le programme ou une déclaration de politique générale du Gouvernement, le Premier ministre doit remettre au Président de la République la démission du Gouvernement ». Ces situations sont les seules dans lesquelles le Premier ministre est tenu de présenter la démission de son équipe.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

J’ALLUME LE TÉLÉ POUR VOIR LE JOURNAL ET J’ÉCOUTE UNE INSANITÉ GRANDIOSE

11 août, 2025 (12:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LE RIDICULE À L’ÉTAT EXTRÊME

 

        IL Y A UNE QUI VIENT D’AFFIRMER :

 

 

  « IL FAUT ROMPRE AVEC LA RUSSIE  » 

 

Mais, pour qui se prend-elle?

Ça lui indiffère  totalement !

La Russie s’en moque de l’Europe !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

JE PRENDS 1H30 À FAIRE MA TOILETTE 2 FOIS PAR JOUR EN REMPLACEMENT DE MES DOUCHES PRÉJUDICE PUNI PAR LE CODE PÉNAL- LES COUPABLES ? VILOGIA ET SES COMPLICES DE L’ADMINISTRATION DE POISSY – TOUS !

10 août, 2025 (19:48) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

          

J’AI PRIS UNE HEURE ET DEMIE

 

            À FAIRE MA TOILETTE

 

         EN REMPLACEMENT DE MA DOUCHE

 

 

 

Chers Lecteurs,

J’ai pris l’heure exacte  que je prends tous les jours à faire ma toilette, et ce cirque, je me le fais 2 fois par jour !

Je dois bouillir 7 bouilloires, l’eau chaude, je la verse dans un grand seau mis à l’intérieur de la baignoire.

Ensuite une fois rempli, à l’extérieur, je me frotte tout le corps avec un gant rempli de savon, et seulement après, j’entre dans la baignoire et à l’aide d’une casserole, je m’essuie tout le corps jusqu’à n’avoir plus de savon.

Je ne peux pas dire : « je suis sous la douche, mais je suis sous les casseroles ».

Ce préjudice physique et moral produit par l’épreuve que je subis depuis presque 5 mois, doit, non, devrait être puni par la loi et Vilogia et tous ses complices punis en bloc.

Traiter de la sorte une locataire sans faute,

de surcroît « vieille et handicapée »,  est un crime.

 

La discrimination abusive est punie par le Code pénal.

 

Abus de faiblesse (articles 223-15-2 à 223-15-4 du Code pénal)

Mise en danger d’autrui (article 223-1 du Code pénal.

Hébergement de personnes vulnérables dans des conditions contraires à la dignité humaine. (article 225-14 du Code pénal)

 

Sans compter que les autres responsables de Paris, ne veulent pas me reloger à Paris, en étant prioritaire et en possession de Certificats médicaux criants de vérité sur la nécessité de me muter avec un caractère d’urgence absolue.

Ici, dans les Yvelines, absolument TOUTE L’ADMINISTRATION ME PERSÉCUTE SANS MOTIF.

Le motif est psychiatrique, et ce n’est pas mon domaine de compétence !

Avec la seule influence des copains et copines de Vilogia.

Avec la seule intention de me tuer.

Il s’agit de m’apporter intentionnellement un préjudice physique et moral.

Il s’agit d’un préjudice en total accord avec ceux qui sont sortis des mafias en bande organisée.

Et, sachez que mon docteur s’est dérangée à envoyer aux autorités qui dirigent le Logement à Paris, une lettre recommandée pour leur dire que ma situation médicale nécessite le retour à Paris où j’ai toujours vécu, avec un caractère d’urgence absolue.

ELLE A ÉCRIT AUSSI UNE LETTRE RECOMMANDÉE À LA DIRECTION DE LA MDPH QUI SE REFUSE AUSSI SANS MOTOIF, À ME RENOUVELER MA CARTE D’INVALIDITÉ AVEC LA MENTION AU VERSO: INVALIDITÉ.

POURQUOI?

SANS MOTIF AUTRE  QUE PSYCHIATRIQUE !

 

Mais étant donné que leur seul but est de me tuer…

Ce préjudice s’appelle, « intention de donner la mort avec des circonstances aggravantes en connaissance de cause avec l’intention de provoquer « mort d’homme ».

Pour faire valoir ce que de droit.

Fait à Poissy, le 10 août 2025.

 

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA

LES ABUS DE POUVOIR DES SUJETS DETENTEURS DE L’AUTORITÉ

10 août, 2025 (18:29) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

        QUAND SE FERA PUBLIC

 

          LES ABUS DE POUVOIR

           DES FONCTIONNAIRES ?

 

 

Révisons le Code pénal :Qu’est-ce qui est considéré comme un abus de pouvoir ?

Aussi appelé abus d’autorité, l’abus de pouvoir correspond à l’exercice excessif d’un pouvoir résultant d’une position hiérarchique, d’une fonction ou d’un statut. L’abus de pouvoir désigne le fait d’outrepasser ses droits et d’utiliser ses capacités en dehors du champ d’action donné.16 mai 2025

Quels sont les critères de l’abus de fonction ?

Suivant l’arrêt rendu par l’assemblée plénière de la Cour de cassation le 19 mai 1988, il y a abus de fonctions lorsque le préposé agit hors des fonctions qui lui sont attribuées, sans autorisation et à des fins étrangères à ses attributions.

Quelques exemples : intimidation, humiliation, harcèlement, menace, chantage et coercition. Exemple : un dirigeant abuse de son pouvoir d’employeur pour demander la démission d’un salarié, alors qu’une démission doit résulter de la volonté claire et sans équivoque d’un salarié.

Résultats pour l’abus de pouvoir d’un fonctionnaire code pénal

Art. 432-1 Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique, agissant dans l’exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l’exécution de la loi est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende. — Civ. 25.

Code pénal – Des abus d’autorité commis contre les particuliers

Quel est le délit d’abus de pouvoir ?

L’abus de pouvoir désigne l’ abus de pouvoir d’une personne en vertu de sa fonction officielle pour agir de manière illégale, contraire à l’éthique ou en dehors des limites de son autorité . Dans le système judiciaire, cela peut inclure : des abus policiers tels que l’usage excessif de la force ou des arrestations illégales ; la rétention de preuves par le procureur.

 

 

 

Chers Lecteurs, 

J’ai été outragée, insultée et diffamée sans aucune justification ni droit chez moi, l’offense a été le fait d’être appelée de « LOCATAIRE INSALUBRE » et menacée de surcroit de recevoir cet outrage par écrit, or, j’ai bien reçu ledit rapport sans que cet outrage soit inscrit nulle part.

Une seule pensée est arrivée d’un coup dans mon cerveau :

Comment ai-je pu être si conne, complètement conne,

 

d’être venue en « mission artistique » faire une donation à la France !!!

Au nom de Maman, pour que quarante-trois ans plus tard être outragée par un criminel qui a jeté de l’opprobre sur ma personne et qui a porté atteinte à mon honneur ?!

C’est tout ce que j’ai pensé, rien d’autre.

Et savez-vous ce que j’avais envie de faire ipso-facto ?

Préparer ma valise et partir, demander l’asile politique ailleurs, fuir ce pays, je ne mérite pas ce traitement, non, c’est le comble.

 

Si un pays pouvait m’accueillir, même vieille, j’y vais tout de suite,  je partirai avec une seule condition, partir avec le cercueil de Maman, pour la sauver de l’incinération de ces sauvages!

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA