CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Chers Lecteurs, 

Ici en France,  la dernière nouvelle transmise dans les médias est un sondage fait récemment parmi les français, mandaté par  les autorités « incompétentes »;  elles s’intéressent à connaître l’avis des français concernant si oui ou non ils sont pour « le service militaire volontaire ».

Il serait hautement conseillé qu’ils s’occupent du niveau « scolaire » des jeunes en maîtrise de la langue française, parce que les étudiants arrivés en première année de Licence et dans toutes les universités, les facultés sont débordées d’élèves analphabètes qui  sont obligés à suivre de cours de tutorat de langue française !  Ils ne savent pas s’exprimer correctement en langue française, ils commentent des fautes impardonnables aussi bien à l’oral qu’à l’écrit.

Mais pour y parvenir il faudrait un changement de fond en comble de l’Éducation de l’Ignorance Nationale.

Ils ignorent ce que veut dire parler et écrire en langue soutenue, et quand bien même ignorants, mais qu’ils reçoivent  et un cursus  universitaire, ils se complaisent à maintenir leur niveau de langue banlieusarde, cela leur donne des « attaches » pérennes avec leur classe, c’est là qui réside ce maintient de leur ignorance. 

Ne pas connaître les conjugaisons verbales, écrire avec les infinitifs et débuter chaque phrase par le mot  « GENRE » est le signe d’une jeunesse « universitaire » qui possède une tare mentale insurmontable.

Il n’est pas digne d’un pays de tolérer un tel déficit culturel et qui perdure de la sorte, cette défaillance est le résultat politique du Bac pour tous et de l’Université pour tous.

Défaillance qui se maintien depuis plus d’un demi-siècle, et qui a fait crise depuis une trentaine d’années.

Je le dénonce non par des raconteurs de fausses anecdotes, mais par une récente et tragique expérience.

NADEZHDA