CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN

Skip to: Content | Sidebar | Footer


Prendre contact avec Carmen Gazmuri-Cherniak au travers
du formulaire de contact du site.

PSYCHOPATHES

31 juillet, 2025 (07:08) | Non classé

 

       PSYCHOPATHES

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il m’a dit : Madame, vous êtes entourée de PSYCHOPATHES.

À la seule prononciation de ce mot, PSYCHOPATHES dans la voix d’un étranger m’a produit un effet magique. Je l’ai trouvé si adroit, si bien dit avec un seul mot qui résumait ma situation de victime dans cette commune d’enfer que je me suis promise de l’écrire.

Parfois une simple conversation, un dialogue, un face-à face, a des résonances insolites, parce que le destinataire de notre discours devient un « miroir » qui va projeter des images non de vous-même, mais des mots que vous dites, et qu’il transforme en images, en sons et signifiants. Hier, j’étais très occupée, j’ai préféré ne pas écrire ici, dans ma résidence secondaire, mon blog l’est indubitablement. Cette personne me questionna sur le fait que je me trouve privée de l’usage de l’eau chaude depuis presque cinq mois, question que dans tout pays dit « civilisé » est impossible d’imaginer chez une femme locataire.

Cette situation devrait être condamnée et remédié ipso facto et les actants de ce délit obligés et surveillés par un vrai chef  qui sur place les oblige d’agir en urgence.

Quelle personne en France n’a pas le droit et l’accès à l‘eau chaude ?

Une personne qui vit dans un campement, dans une caravane misérable, aux fonds des bois, un immigré qui arrive à la nage en croyant que ce pays du tiers monde va lui donner une meilleure forme de vie….Ou l’idiote que j’étais de croire qu’en quittant mon pays moderne et en arrivant ici, pays du tiers monde, j’allais faire des choses artistiques reconnues et extraordinaires. En vérité, les choses extraordinaires, je les ai bien faites, mais elles restent soumises dans l’invisibilité de LA JALOUSIE.

Cette personne, un homme jeune qui travaille dans le monde médical, s’est intéressé à mon cas hors du commun et me questionna.

Au fur et à mesure que j’avançais dans mon récit en lui répondant en détail sur la façon dans laquelle les vassaux du bailleur qui ont des tentacules dans toute la commune, infestant tous les organismes qui sont à même de remplir leurs obligations administratives, les pions du « bailleur social » s’exécutent et obéissent leurs ordres, c’est pourquoi, par exemple, entre autres délits  administratifs de Poissy et des Yvelines, j’attends encore, et contre les ordres du Tribunal administratif, la délivrance de ma nouvelle Carte d’Invalidité de la MDPH.  Elles ne la renouvellent pas comme il se doit, parce que ces femmes fonctionnaires,« ELLES » savent que si elles retiennent la délivrance me provoquent un désagrément qui administrativement bloque ma vie courante. Soit. Je réécrirai la plainte au Tribunal administratif. A la fin « ELLES » seront obligées d’obéir les ordres du juge.

En langage juridique cela se nomme « abus de pouvoir », si un fonctionnaire d’État agit de la sorte, il faudrait lui faire un procès, des années de prison et des amendes qui vont jusqu’à 45.000€, sont écrits dans le Code pénal, mais cet improbable procès de mon côté, n’aura jamais lieu, car je connais depuis des longues années ce pays, mon âge m’exige de ne penser qu’à ma santé, à ma paix, à mon bien-être.

Je leur ai dit face-à-face, l’autre jour, quand un des plus abominables individus et fonctionnaires de la mairie est venu ici m’attaquer, m’insulter et me menacer ! Me menacer avec affront, entre autres insanités de lui faire un procès, cet individu des bas-fonds cherche la bagarre ! Il n’en l’aura point. « Je ne vous ferai aucun procès »… Je lui ai dit.

Si j’avais été prête à ce type de fatigues stupides, c’est depuis 2021 que j’aurais pu entamer un procès contre Vilogia, la preuve est que je n’ai rien fait, je les laisse faire, qu’elles se confrontent à leur propre méchanceté comme un boomerang, et pareillement avec leurs vassaux de la mairie de Poissy, qu’ils crèvent de jalousie, des ressentiments et de plaisir morbide de me voir privée de mes droits et le droit le plus fondamental en France de toute personne qui loue un appartement est d’avoir accès à l’eau chaude et de ne pas vivre dans un local nuisible à sa santé.

Ces fonctionnaires de l’enfer, violent la loi parce qu’ils se savent protégés, d’une part, par leur propre Chef de Service, et d’autre part par leurs syndicats.

Mais avec ce qu’ils ne comptaient pas, c’est avec mon indifférence, ils ne comptaient pas avec ma parole écrite, ma parole écrite ne me fatigue point.

Je ne souffre pas des dépenses d’argent (argent que je n’ai pas), je reste immobile, face à « ma palette et mon écritoire », mais ma parole est incendiaire, elle remue des rocs, elle éveille les consciences, elle transporte un message de vérité et peut sans aucun doute faire bouger les événements criminels, sans fatigue aucune de ma part, ce que d’autres doivent attendre des années.

Non, je ne ferai plus jamais de procès dans ce pays du tiers monde.

Le châtiment qu’ils méritent, ne s’exécuterait jamais, ils ont leurs syndicats et Prud’hommes, avec leur aide, ils s’en sortent toujours de l’improbable châtiment, cet qui leur permet de se conduire en bourreaux en  toute liberté et nonchalance contre ceux qu’ils croient « faibles ». C’est en bourreaux invisibles et totalement lâches, en possession d’une nature de ressentis sociaux, qu’ils déversent leurs frustrations de « classe » ancrée dans leurs gènes dès leur naissance, contre celui ou celle qui par hasard, ils trouvent dans leur chemin, quelques rares fois dans leur misérable vie de petits fonctionnaires.

Parce qu’ils ne trouveront jamais une autre comme moi dans leurs misérables vies de fonctionnaires, ils sont nés et mourront en misérables bourreaux aux vies grisâtres et anodines.

À l’écoute de mon explication, il m’a dit : « certes, mais moi, qui vois votre histoire de l’extérieur, la seule pensée qui me vient à l’esprit est que tous ceux qui vous attaquent sont tout simplement de PSYCHOPATHES ».

Ceux qui sont victimes en France et qui sans argent décident de faire un procès, ne gagneront que de manière très improbable après une attente d’une dizaine d’années; la victime n’aura gain de cause que si elle se paie un excellent avocat, de ceux qui travaillent sans que vous fassiez le travail à leur place, de ceux pour qui leur dignité est une question d’honneur, ils n’admettront jamais qui soit la cliente celle qui devra rédiger le rapport à leur place, et que pire encore, avec affront et insolence, réclament que leur rapport de 350 pages est « trop » pour eux, car ils comptent festoyer dans leur temps de libre !, ces bons avocats n’exigent pas que la victime leur téléphone pour savoir dans quel stade se trouve son dossier, donc si la victime n’a pas d’argent, elle doit réserver ses forces et sa vie pour la vivre dans une action qui est destinée aux choses de l’esprit, parce qu’un pays du tiers monde, est un pays où la justice n’existe que pour les gens aux revenus très confortables, car dans ce pays du tiers monde, « la justice » ne fonctionne point comme dans un pays moderne, bien organisé, où la moindre violation à la loi écrite est défendue par un bataillon d’avocats qui ne transige pas, parce que si un corpus judiciaire manque à son devoir si un corpus judiciaire laisse les bourreaux-fonctionnaires attaquer une femme sans aucune faute que celle d’exister et que sa seule « existence » provoque une gigantesque haine et détestation qui fait naître le désir de la détruire, c’est là que ce corpus des véritables défenseurs de la loi, leur ferait connaître ce que veut dire de passer à la trappe pour leurs délits.

Mais avec la loi de l’entonnoir, formule qui est née dans les pays du tiers monde, moi qui suis victime, je reste immobile, je ne ferai jamais rien d’autre qu’écrire.

Ce jeune homme qui parle avec moi, qui connait le monde médical, quand bien même sans être médecin, et parce qu’il a un contact étroit avec les malades et le personnel soignant au quotidien, il a une « expérience de vie » et professionnelle avec les « humains » et une fois qu’il a reçu le contenu en entier de mon histoire et les détails du comportement du personnel du bailleur, de ses vassaux et de la mairie, m’a dit ceci :

« Madame, votre situation est simple, vous êtes entourée de PSYCHOPATHES ! »

 

 

Carmen  Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

Write a comment

You need to login to post comments!