EN ATTENDANT LA RÉDACTION DE MA LETTRE À MONSIEUR LE MINISTRE DE LA SANTÉ VOICI MA LETTRE ADRESSÉE À LA MINISTRE DÉLÉGUÉE : SILENCE ABSOLU !
Madame Charlotte Parmentier Lecocq. Poissy, mars 2025
Ministre déléguée chargée de l’Autonomie et du Handicap.
Ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités
Et des familles.
Secrétariat d’Etat chargé des personnes handicapées.
LRAR
Objet : la soussignée, Carmen Florence Gazmuri Cherniak, née le 25 janvier 1954, de nationalité française, attire l’attention de Madame la Ministre sur deux délits qu’elle subit, le premier est produit par son bailleur social Vilogia qui depuis 2021 ne cesse de la harceler et qui déploie à son égard une DISCRIMINATION ABUSIVE vis-à-vis de son handicap moteur, ces délits sont gravissimes et ils sont reconnus dans le Code pénal.
Les demandes de mutation vers Paris, (retour à sa ville d’origine) et, à ses demandes de réparation urgente de l’appartement HLM qu’elle loue en état de dangerosité accrue et dans des conditions de vie indécentes, sont pareillement des délits gravissimes qui sont reconnus dans le Code pénal.
Le deuxième, invraisemblable, peut se classer sur deux catégories, délit et infraction, ils sont produits par la MDPH des Yvelines.
Il n’est pas normal que la seule institution chargée de statuer sur le handicap d’une personne déjà classée par la MDPH de Paris et qui a suivi la décision du Tribunal de l’incapacité de Paris, en date de septembre 2014, décide d’ignorer son dossier qui fait foi de son état actuel.
L’état d’aggravation de l’handicap de la soussignée est confirmé par son volumineux dossier avec les résultats des examens, le Certificat médical et une lettre d’appui de son Docteur traitant. Tout ceci fut ignoré et passé à la trappe lui octroyai le simple « renouvellement » de sa carte qui expire en septembre prochain. (Voir lettre jointe de la décision de la MDPH et réponse immédiate de la soussignée)
La non-reconnaissance de son aggravation est un délit administratif qui ne fait qu’aggraver la situation de vulnérabilité de la soussignée, il va de soi que son handicap ne pouvait qu’évoluer négativement depuis le temps écoulé entre la date de la première délivrance de sa carte d’invalidité et maintenant. Ladite aggravation de son handicap moteur est due aux conditions inappropriées qui a l’immeuble où elle habite depuis 2021.
Àu regard de ces deux faits dénoncés la soussignée se trouve depuis dans une situation sans issue qui réclame une solution urgente.
À ce contexte outrancier s’ajoute une série de graves préjudices qui se greffent pour détruire sa santé, provoqués par l’indécence de ce logement HLM.
Elle est en état Ie handicap depuis 2014, handicap moteur, non neurologique, gonarthrose et arthrose sévère et généralisée, aggravée par les déplorables conditions de logement contraires à son handicap, 84 marches d’escalier sans ascenseur et, des graves préjudices sur sa santé générale, elle subit depuis un mois la privation d’eau chaude par la faute du bailleur.
Elle dénonce la DISCRIMINATION ABUSIVE du bailleur social Vilogia qui depuis son arrivée dans les lieux en avril 2021, les femmes gérantes ne cessent de l’attaquer et de provoquer l’aggravation de son handicap moteur, elle risque une fracture spontanée dans les escaliers due aux efforts dans cet exercice journalier, qu’elle ne peut plus l’assumer par sa fragilité osseuse et les douleurs lancinantes qu’elle éprouve dans cet exercice journalier, elle doit monter et descendre chaque marche et une une, à l’aide de son lourd déambulateur, c’est une situation inimaginable d’imposer cette épreuve à une vieille personne handicapée.
En ce qui concerne la décision hautement erronée de la MDPH, la soussignée prie une intervention pour corriger dans les plus brefs délais l’erreur volontaire inscrit sans la décision de la commission de la MDPH des Yvelines qui lui renouvelle sa carte d’invalidité sans reconnaissance de l’aggravation de son handicap moteur lui provoquant des préjudices gravissimes qui pourraient s’amoindrir; par une carte d’invalidité mentionnant la clause INVALIDITÉ ce qui lui donnerait accès au PAM mobilités en attendant d’être mutée à Paris.
La soussignée avertit que cet écrit n’est pas une « lettre administrative » qui ne devrait pas dépasser les deux pages, mais un rapport à caractère juridique, dans lequel la soussignée s’engage sur l’honneur à déclarer la véracité des faits dénoncés en pleine conscience que toute fausse déclaration d’une citoyenne française entraine des recours en justice, c’est pourquoi elle s’adresse à Madame la Ministre d’une part, pour l’informer de ces délits et dysfonctionnements et d’autre part, pour lui prier une intervention afin d’éviter un préjudice majeur et irréversible sur sa vie et sa santé.
Elle explique ce qui suit.
Madame la Ministre,
J’ai l’honneur de m’adresser à vous en désespoir de cause, vous qui avez été nommée précisément pour statuer au plus haut niveau de l’État sur la situation que nous devons subir les personnes en situation de handicap, je sais que vous maîtrisez parfaitement avec la vision la plus profonde et la plus ample qui est requise, pour savoir ce que handicap veut dire au quotidien, quand les institutions et les fonctionnaires qui sont appelés à aider, et qui représentent l’État violent les lois et ne sont pas à la hauteur des enjeux qui exigent une déontologie inébranlable. C’est pour cette raison que je dois me faire violence, pour vous faire le récit des injustice innommables que je subis depuis 2021 et qui font crise à présent mettant ma sécurité et ma vie en danger, oui Madame la ministre, je n’exagère en rien, je suis très mesurée dans mes jugements, et par chance, j’ai une grande dose de tempérance et de résilience pour assumer les attaques gratuits dont je suis LA CIBLE du bailleur HLM et, de ce fait, me maintenir débout pour sauver ma vie, le peu de vie qui me reste, je veux la vivre dans des bonnes conditions.
Je vous prie de bien vouloir m’excuser de prendre un peu de votre temps, je dois réduire mon récit sur les graves préjudices que je subis de la part du bailleur social, et de la mauvaise décision de la MDPH qui se résume en la non-reconnaissance de la commission de l’aggravation de mon handicap et à l’inertie et manque volontaire de réactivité pour me venir en aide, pour faire effective ma mutation de HLM vers Paris, ma ville d’attache et le seul lieu où je dois habiter et d’où je n’aurais jamais dû quitter en 2021. C’est une longue tragédie que je ne peux pas expliquer dans cette lettre.
DISCRIMINATION ABUSIVE VIS-A-VIS DE MON HANDICAP
Je dois vous dire en détail quelle est la nature de la discrimination abusive du bailleur social VILOGIA qui depuis mon arrivée, ne cesse de m’attaquer, et ses attaques sont arrivés à un degré paroxystique d’hystérie insoupçonnés pour toute personne dotée de raison, tout ce contexte dépasse toute logique, parce que ses attaques programmés restent incompréhensible à simple vue, cependant, on peut observer qu’il y a une l’intention maladive de me passer à la trappe sans aucune possibilité de me sauver. Je n’ai plus aucune famille au monde, je suis célibataire et sans descendance évidement, donc je ne dispose de personne pour me venir en aide ni me servir de témoin, je suis la seule responsable de ma vie que je veux sauver par tous les moyens qui m’accorde la loi. Je n’ai jamais demandé un « traitement de faveur », mais uniquement le respect à ma vulnérabilité et qu’on ne me prive de mes droits auxquels je dois avoir accès comme toute locataire respectueuse de ses obligations, je m’insurge contre la privation que je subis à l’accès à l’eau chaude, à survivre dans un logement indécent, inadapté à mon handicap; je n’ai jamais eu d’impayés et je suis une locataire exemplaire, je vis sans aucun contact extérieur avec cette « CITÉ », et les activités qui sont les miennes depuis toujours, restent les plus silencieuses et les plus réservées.
Il faudrait découvrir les motifs de cette discrimination et les multiples formes de pression pour me traquer qu’exercent de manière pressante et sans fin ces gérantes de VILOGIA dont leur siège se trouve à Montigny les Cormeilles, elles prennent l’habitude de déverser contre ma personne leur comportement lâche, discriminatoire et abusif, fait avec l’intention de me traquer.
Pourquoi m’ont-elles prise comme CIBLE ?
Je l’ignore et, pour donner une explication et un verdict, il faut être munie d’une série de compétences qui ne sont pas les miennes, je ne suis ni psychiatre ni n’ai fait des études de criminologie, donc je suis totalement incompétente pour donner une exégèse convenable qui vous permette de comprendre les raisons de la détestation dont je suis l’objet de VILOGIA, en revanche, je peux sans conteste, dénoncer les délits que j’ai subi comme victime et les conséquences visibles que ces délits ont provoqué sur ma santé.
C’est pour cette raison que je ne peux que vous faire le récit de délits commis par le bailleur et vous énumérer les préjudices graves que j’encoure dus à l’aggravation de mon handicap et de nouveaux préjudices précis sur ma santé en général.
Je laisse donc, à la hauteur de votre jugement mon cas particulier.
Je me vois obligée à vous prier de l’aide et à prendre acte de l’ampleur de l’injustice que je subis, des injustices graves dont je suis victime et qui réclament une solution rapide.
À présent, au lieu d’avoir une seule institution qui m’attaque et qui me met en situation de plus graves de vulnérabilité, je dois vous exposer les délits de deux institutions, car ce matin je dois ajouter la MDPH des Yvelines. Je viens de recevoir la lettre de leur « décision »après leur « étude » de mon dossier de renouvellement.
LA MDPH.
Après avoir accompli en bonne due forme toutes les démarches protocolaires exigées par la MDPH des Yvelines qui devait renouveler ma Carte d’invalidité, elle expire en septembre prochain, j’ai envoyé un volumineux dossier dont le Document Cerfa fut rempli avec soin, j’ai écrit une lettre explicative très détaillée pour informer à l’honorable commission de l’aggravation de mon handicap moteur (gonarthrose et arthrose sévère et généralisée), elle était assez précise et limitée à une demande d’aide administrative, je n’ai pas demandé aucune aide financière, parce que j’ai un montant de retraite qui ne permet aucune autre allocation, mais suivant le règlement qui donne droit au demandeur d’exposer ses difficultés financières, les miennes sont multiples, démontrées à l’aide des preuves de mes ressources, et des équipements indispensables à savoir, chaussures orthopédiques assez chers dont la Sécurité sociale ne rembourse que 36€, mais ceci n’est pas le plus grave, je l’ai laissé à leur décision.
Je me suis permis d’évoquer que j’ai des dépenses extraordinaires de santé qui sont provoquées précisément par le fait de mon handicap et que les 1030€ de retraite que je reçois mensuellement, ne me permettent pas de me procurer tous les équipements qu’il faut renouveler. Soit.
Je ne suis pas en mesure de me les procurer honorablement sous peine de faire un déséquilibre considérable dans l’ordre strict et austère que je mène au jour le jour, car ma vie est faite de privations et de misère.
Je ne peux pas non plus vous expliquer la raison de ma faible retraite, il suffira de dire que j’ai été aussi victime de manière scandaleuse d’une institution, mais à l’époque, aucun avocat désigné par le BAJ, en 2020, n’a voulu m’aider dans ce combat administratif, c’est pourquoi, ma faible retraite reste un mystère pour quiconque voudrait avoir une explication.
La commission de la MDPH des Yvelines, en dépit d’un dossier solide est restée insensible et n’a donné aucune suite, mais ce dont je ne peux pas transiger, c’est d’une part, dans le refus à me renouveler ma Carte d’Invalidité avec la MENTION INVALIDITÉ et d’autre part, à la non-reconnaissance de mon handicap moteur qui s’est lourdement aggravé de manière manifeste et démontrée par des preuves en l’espèce de ladite aggravation.
Je leur ai prié d’accueillir avec bienveillance ma demande non seulement de renouvellement, mais par la même occasion, j’ai insisté sur le fait qu’il fallait de bien étudier les résultats de mes examens qui font foi de l’aggravation incontestable le de mon handicap moteur, il est très facile de le prouver, me semble-t-il, parce que j’ai obtenu ma retraite anticipée et ma première carte d’invalidité du Tribunal de l’Incapacité de Paris en date du septembre 2015, je n’était pas âgée de 71 ans !!!
J’habitais une chambre HLM dans le 13ème arrondissement et l’immeuble était doté d’un ascenseur. Mais l’exiguïté de la chambre m’interdisait la survie dedans, ce logement m’avait été attribué après un jugement DALO juste après le décès de Maman en 2013, nous habitions Paris naturellement. Mon immense bibliothèque et mes toiles n’entraient pas dans ce minuscule logement, il était un Box et c’est l’unique raison qui m’a fait commettre la grave faute d’accepter, mal informée que j’étais, de venir dans cet enfer de Poissy. C’est ma faute, je l’avoue, mais j’ai des circonstances atténuantes.
J’ai toujours été parisienne est je dois impérativement y obtenir ma mutation de HLM.
Je me permettrai de vous expliquer dans un deuxième temps cette difficulté majeur que je souffre et qui est la responsable, l’unique responsable de l’aggravation de mon handicap.
Mon docteur, madame XXXXXXXX a rempli le Certificat médical confidentiel et a pris soin d’écrire une lettre directement à la direction de la MDPH des Yvelines.
Tout ce monumental dossier je l’ai envoyé au mois de mars.
Et, autant mon dossier criant de vérité est resté inefficace, autant le Certificat médical et la lettre qui fut adressée par mon Docteur à la commission furent méprisées par la commission de la MDPH.
Je m’insurge contre cette abus, on ne laisse pas à la dérive une vieille handicapée sans ressources, voici le délit grave, me privant d’une aide pour prendre fin à tous les préjudices que je subis, sachant pertinemment que mes faibles ressources ne me permettent point de me libérer et de m’échapper ipso facto de cet enfer qui est pour moi la survie dans une Cité HLM absolument contraire non seulement à mon handicap, mais aussi à mon identité.
Ce matin, je viens de recevoir la décision de la MDPH, elle ne pouvait pas être plus décevante et irrespectueuse vis-à-vis de mes souffrances.
C’est une lettre administrative qui peut être adressée à une personne moyennement handicapée, mais adressée à moi, elle devient indigne vis-à-vis de l’handicapée que je suis, puisque volontairement, elle veut ignorer le dossier accablant que la commission devait prendre en considération, sachant de surcroit, compte tenu de mon âge avancé que ce renouvellement sera le dernier, c’est là qui réside le socle de cette volontaire inaction de la MDPH, vouloir nuire une vieille personne qui dépend d’eux pour changer de vie, ceci m’insupporte, parce que c’est honteux et humiliant.
À ceci vient s’ajouter la conscience de commettre une infraction voulue, et la « commission »le sait, elle sait que je devrais encore et encore écrire et dépenser de l’argent dans ces démarches obligatoires pour demander un « recours », donc la « commission » pratique un délit pour m’imposer une « usure morale » sachant dans l’état où je me trouve, c’est franchement indigne.
J’ai téléphoné immédiatement cette institution, le « conseiller » m’a donné des conseils ahurissants, je m’interdis de les produire, il ne m’a resté d’autre chose à faire que m’adonner à l’écriture, j’ai écrit une lettre que j’ai envoyé à la MDPH par mail.
Je vous la joins ici pour que vous examiniez le contenu assez explicite de ma réclamation.
LE BAILLEIUR SOCIAL VILOGIA
Le bailleur social Vilogia est connu comme abusif par ses dérives contre les locataires handicapés, il est connu comme abusif de partout en France, son champ locatif est immense, son siège parisien est dans le 14ème, et il a été catalogué et reconnu comme bailleur qui viole les lois de location, la presse l’a dénoncé en 2024, sur BFMTV et Le Parisien, parce que des locataires n’ont pu que faire appel aux médias pour démontrer que Vilogia a un comportement abusif vis-à-vis de personnes handicapées et abusif dans l’usage des faux, profitant de la pauvreté des locataires parce qu’il fait usage des faux pour réclamer dans des fausses factures dites de « régularisation des charges» qui ne sont que des « faux dépassements des charges », il s’en sert des huissiers pour persécuter les locataires en leur exigeant des sommes exorbitantes, enfin cette escroquerie est devenue nationale par bon nombre des bailleurs sociaux et seul le gouvernement pourrait et devrait les obliger à respecter l’État et les locataires honnêtes, mais je laisse ce sujet à la marge, je n’ai aucun pouvoir et je ne peux qu’intervenir dans le redressement des délits dont je suis la seule victime et je compte sauver m’a vie, le peu de vie qui me reste par le seul moyen dont je dispose : la loi.
C’est depuis mon entrée que VILOGIA m’a donné un appartement qui ne remplissait pas les normes de sécurité et qui était et qui reste indécent pour abriter une dame et en situation de handicap.
J’i écrit à la CAF et alerté la Sécurité sociale, j’ai prié la visite des inspecteurs comme il se faisait auparavant, la CAF s’est refusée catégoriquement. Ces méthodes de contrôle ne sont plus d’actualité depuis des nombreuses années, me répondirent-ils.
La Sécurité sociale n’envoie personne faire un constat.
Je n’ai pas de ressources qui me permettent faire appel à un huissier de justice.
Le défenseur des droits en 2022 est resté totalement démuni face à toutes les institutions qui « collaborent avec Vilogia » à savoir la CNAV et son département « bien vieillir », il ne me reste plus aucune autre démarche à utiliser comme recours, je les ai toutes épuisées !
C’est depuis 2022 que je n’ai pas cessé de demander une MUTATION vers une HLM parisienne, tout en vain.
Je suis prioritaire, je fais valoir la loi DALO et la loi ALUR, les deux me protègent dans l’écrit, mais les deux lois sont violées dans la pratique.
Je viens de renouveler mon inscription pour obtenir ma mutation.
Je vous joins aussi la preuve.
Mon dossier est complet avec tous mes Certificats médicaux et un ancien rapport d’une ergothérapeute, tout reste INVISIBLE et les années passent sans que j’obtienne ma mutation tandis que mon handicap s’aggrave est à présent mes conditions de survie son INSOUTENABLES.
VILOGIA M’OBLIGE À VIVRE SANS EAU CHAUDE !
- Je dois monter er descendre 84 marches d’escalier, l’immeuble n’a pas d’ascenseur.
- Depuis janvier 2024, je dois me déplacer à l’aide d’un gros et lourd déambulateur, de 9 kilos sans les courses, il est excellent, mais il est conçu pour aider les handicapés par terrain plat, non pour monter et descendre des escaliers et avec les courses.
- Le manque de sécurité et l’indécence de cet appartement est maintenu par les gérantes de VILOGIA depuis 2021 me privant de confort, me provocant des préjudices de santé, et m’obligeant à subir une situation grave d’inconfort et d’insécurité gravissimes à savoir, le 17 mars j’ai été obligée par ordre médicale à couper le gaz car VILOGIA en dépit de multiples avertissement, se refuse à changer le tuyau de sortie du gaz de l’eau chaude qui est dans la cuisine, j’étais en train de respirer de « particules fines » qui m’ont provoqué d’abord une petite lésion au poumon, ensuite une irritation aux bronches.
- Je me trouve depuis juste un mois SANS EAU CHAUDE et moi qui prenais deux petites douches par jour, de cinq minutes chacune, vous pouvez facilement imaginer dans quel état de désarroi je dois accomplir mes tâches d’hygiène deux fois par jour, en chauffant 4 bouilloires pour verser l’eau chauffée dans un sceau de 10 litres, pour qu’ensuite assise dans un siège dans une baignoire qui réclamait en 2021 d’être changée, je fasse à présent ma toilette à l’aide d’une casserole, un exercice néfaste pour mon handicap et moralement destructif au plus haut degré.
- Ici, les sanitaires sont indécents, ils datent de 1960, dans une salle d’eau indécente, je dois faire ma toilette!
JUIN 2024
Il y a eu une inspection de l’expert de GRDF, en 2024, celle-ci exige que ce tuyau de conduite de gaz soit changé, le degré d’usure et de vétusté le classe au niveau II, mais Vilogia n’avait fait qu’un rafistolage en 2022 avec du papier aluminium, rafistolage grossier qui laisse passer des particules fines qui ont abîmé ma santé. Je vous joins le rapport de l’expertise du technicien contrôleur de GRDF.
Si, ce niveau de dangerosité, passait au niveau III, le plus grave, je risquais l’explosion.
J’ai alerté VILOGIA à plusieurs reprises et elles sont restées inactives depuis 2021 et, en 2024 après la visite de l’expert de GRDF leur comportement sadique est arrivé au comble de leur « raffinement ».
SEPTEMBRE 2024.
VILOGIA a envoyé la gardienne me rendre visite, pour faire des photos en vue de changer le tuyau et laissant passer des mois après l’expertise et le compte rendu du GRDF !
Elles m’ont fait croire qu’enfin elles allaient réparer le tuyau pour me laisser après dans le vide sans rien faire!
Les photos prises par la gardienne ne se sont pas restreintes au tuyau avec fuite de gaz, elle a bien pris connaissance d’autres dégâts qui menacent une inondation à savoir le siphon du levier et les canalisations vétustes et bouchées de tous les sanitaires.
Une année s’est écoulée.
FEVRIER 2025.
L’envoi d’un chauffagiste non pour changer le tuyau, mais pour me provoquer et avoir des motifs d’accusation.
Le mois de février j’ai reçu des appels m’annonçant, encore une fois, que PROXISERVE, leur partenaire, enverrait un chauffagiste changer le tuyau et me prévenant que ce jour fixé d’avance comme un RDV officiel d’intervention, je devais le laisser de la place de libre pour travailler, il est venu le chauffagiste, il avait de la place pour travailler dans la cuisine, j’avais tout préparé, mais avec affront il m’a traité verbalement avec une désobligeance inouïe, me traitant de « folle » et « HALLUCINANTE » parce que je n’ai pas répondu à ses provocations verbales.
Il est arrivé chez moi, sans aucun matériel autre qu’une tablette!, par le ton et ses mots, j’ai compris qu’il avait été envoyé pour me provoquer et avoir des motifs pour m’accuser, il est parti bredouille, car je n’ai pas cédé à ses provocations verbales et je suis restée muette.
Il voulait me provoquer, me faire réagir comme réagissent les locataires de la pègre, il fut envoyé de la part de Vilogia, non pour changer le tuyau, mais uniquement pour me provoquer de manière insolente et inadmissible et étant donné que je suis seule dans l’appartement, sans personne, sans famille et sans témoins; son comportement fut abominable, sans réaction de ma part, il m’a dit: « je ne ferai rien ici car nous n’avons pas ce tuyau ». Il est parti en criant par les escaliers et je n’ai rien répondu ni réclamé, rien, ni par téléphone ni par écrit aux partenaires chargés de réparations des dégâts techniques, l’entreprise partenaire de VILOGIA est PROXYSERVE, ils sont tous complices qui osent outrager et se moquer de la dame que je suis.
Il y a aussi d’autres dégâts qui menacent des graves sinistres aussi graves que le manque d’eau chaude; l’année dernière le plombier s’est refusé à changer le siphon de l’évier de la cuisine, j’avais signalé la fuite, il m’a donné la même réponse du chauffagiste: « je n’ai pas ce siphon ».
Et, le comble, il a retiré celui qui provoquait la fuite, pour mettre une coquille provisoire collée avec du scotch blanc, un rafistolage qui peut faire une inondation à tout moment. Je vous laisse juge Madame la Ministre.
MUTATION DE HLM
Dans mon cas particulier, il s’agit de bénéficier de mes droits de personne prioritaire parce que souffrant d’un handicap moteur qui m’interdit formellement la marche prolongée et la montée et descente des escaliers.
Depuis janvier 2024 j’ai dû acheter un déambulateur avec ordonnance médicale et j’ai dû commander un grand lit médicalisé.
À ces contraintes factuelles, je dois établir une autre raison des plus sérieuses, j’ai toujours habité Paris, mes dossiers médicaux sont à Paris, et ma vie culturelle est à Paris, je n’ai rien à faire ni dans cette immeuble avec des escaliers, ni dans une CITÉ où je suis menacée de mort, par des individus qui me font des rodéos particuliers à l’aide de voitures volées de Slovénie, les plaques l’indiquent selon la police.
J’ai dû installer la télésurveillance qui m’est fournie par ma banque, elle est assez onéreuse pour ma misérable retraite, mais je ne peux pas vivre sans protection, parce que le voisinage, je suppose, m’envoie « des enfants », leurs « ados » m’enfoncer la porte d’entrée en étant moi-même chez moi, le matin à midi.
Je dépense des sommes onéreuses de la CPAM en taxis conventionnés auxquels j’ai droit, sans eux, je ne pourrait pas aller à mes consultations à Paris, ceci peut et doit s’arrêter, car si je reviens sur Paris, je n’aurai plus besoin de taxis conventionnés chaque fois que je dois me rendre à mes contrôles médicaux, quand j’habitais à Paris, je me déplaçais en bus, le réseau parisien est excellent.
J’habitais une petite chambre de 16m2 et pendant 8 années jusqu’à 2021, je n’avais que 1m2 pour circuler, la vie dedans était très difficile parce que je ne pouvais pas continuer les activités que j’ai toujours eues, tout particulièrement la peinture; étant donné que je n’avais pas obtenue de mutation vers un appartement plus spacieux, la mairie de Paris a ses privilégiés et mes demandes furent toujours refusées.
C’est l’exiguïté de la chambre qui m’a fait à tort accepter cet appartement, ignorant absolument dans quel piège sinistre j’entrais, totalement naïve et stupide que j’étais, car le bailleur parisien était sans faute, je n’avais pas de point de comparaison négative.
Madame la Ministre, je vous serais infiniment reconnaissante de bien vouloir traiter mon cas particulier avec bienveillance, pour que je puisse enfin bénéficier d’un changement d’habitat et apaiser les douleurs lancinantes que je souffre provoquées par l’effort de la montée et descente des escaliers de immeuble, et aggravé par l’inconfort et la dégradation morale que je souffre au jour le jour sans bénéficier de l’eau chaude, j’estime que cette injustice est arrivée à son comble.
je subis des préjudices innommables par l’indécence de cet appartement et, en dernier point, je voudrais obtenir réparation de la décision de la MDPH.
Tous mes médecins s’accordent pour dire que ma situation de handicap exige une mutation vers Paris où se trouvent mes dossiers médicaux avec un caractère d’urgence absolue. Mais, ils ne sont pas décideurs.
Je reste dans l’attente de votre réponse.
Je suis d’ores et déjà à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
Respectueusement.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
XXXXXXXXXXXXXXX
78300 Poissy
xxxxxxxxxxxxxxxxx
P.J.: Lettre de la MDPH.
Lettre de réponse de la soussignée envoyée par mail.
Photo déambulateur.
Photo lit médicalisé.
Photo carte d’invalidité ancienne.
Document de renouvellement de demande de logement à Paris.
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