J’EXIGE LA PERPETUITÉ INCOMPRESSIBLE
J’EXIGE LA PERPÉTUITÉ INCOMPRESSIBLE
JUGES, BÂTONNIERS ET JOURNALISTES
LE MÊME DISCOURS SUPERFICIEL
ET RÉVOLTANT.
Chers Lecteurs,
Pas d’excuse psychiatrique.
Pas de sémantique expiatoire.
Aucune excuse nous ne devons admettre de ces experts qui polluent depuis un demi-siècle le manque de justice en France avec leurs discours administratifs, jamais construit avec un véritable fond juridique, tout se résume à excuser les coupables et ces autorités d’experts finissent par devenir eux-mêmes des criminels virtuels en second degré : les autorités judiciaires qui sont devenues de simples fonctionnaires dépourvus de force et d’autorité.
Le relâchement de la pensée, des personnages d’une mollesse contre-nature dans les affaires de la plus haute importance d’un pays.
Qu’un violeur bénéficie d’un aménagement de peine et qu’au lieu de faire les sept années de prison ; on le laisse dans la nature seulement après quatre années de prison.
Les sempiternelles excuses qu’arrivent pour gommer tous les crimes : ressortissant étranger, problèmes psychiatriques, etc., etc. Nous sommes assommés d’entendre tous les jours les mêmes excuses, sans être avocats, nous apprenons par habitude et coutume le langage et l’argot de ces personnages de pacotille.
C’est compris, leur langage est abominable.
Dès ce matin sur LCI des journalistes du vedettariat s’amusent à donner leurs verdicts en employant une des pires sémantiques à entendre quand on doit parler d’un crime abominable d’une jeune petite d’à peine dix-neuf ans.
L’assassin doit être « pardonné » pour qu’il « se reconstruise » après purger sa peine , il doit être réinséré !
La prison ne convient pas !
C’est un cas psychiatrique !
Il faut le soigner !
L’indignation est une faible expression pour dire ce que je ressens.
Bien entendu, les adjectifs fleurissent dans la bouche mensongère de tous ces personnalités, qui devraient plutôt rester en retrait, se taire. Ce n’était pas leur propre fille.
Et il serait pire encore s’ils disaient, en acquiesçant, que c’est une question du destin et de la malchance.
Ensuite, ils osent dire qu’il ne faut pas faire de la « récupération politique ! »
Mais il faut qu’elle existe notre politique et bien active et salutaire pour nous défendre ; qu’ils se taisent ces superficiels et hypocrites, qu’ils n’ont pas étudié depuis la Terminale que notre démocratie, notre justice et notre système politique a des origines grecques, où l’essentiel de la politique est l’organisation de la CIté ?
Superficiels et criminels en second degré.
La France entière devrait se révolter, exiger aux autorités que dès demain aucun violeur, aucun assassin ne restera en liberté et c’est la prison à vie qu’ils doivent recevoir comme verdict de la Cour de Cassation sans aucune compression de peine !!!
Le viol est un crime et, depuis ma qualité de citoyenne française, je me prends la liberté d’imposer à mon pays d’adoption la prison à perpétuité et incompressible pour tous les violeurs et assassins !
La France entière, ses autorités et ses ministres et députés devraient demander pardon même si ce n’est qu’une formule d’honneur aux parents de cette petite, je dis « petite » parce qu’elle, ou une autre martyrisée pourrait être ma fille, et je ressens toujours de la tendeuse précisément pour les adolescents, c’est pour cela que j’aimais tant mes élèves.
Nous devrions adresser nos condoléances à ses parents.
Je compatis avec leur deuil.
C’est une famille détruite à vie.
Et la France ose parler des simples fautes et finit par parler de ce monstre, sous-homme, un violeur et assassin en le nommant : « CE GARÇON »
Non, mesdames, messieurs
Un violeur, un assassin, une bête barbare ne doit être nommé qu’avec un seul substantif :
ASSASSIN.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
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