CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LOCATION ET CRIME: JE DENONCE CE QUE LES MEDECINS-FOCTIONNAIRES NE DISENT PAS DANS LES CERTIFICATS

17 septembre, 2024 (12:42) | Non classé

Ajourd’hui: déambulateur avec sac de courses 40 kilos; excellent pour mon handicap, fort recommandé avec ordonnance.

Et situation qui réjouit les sadiques.Un peu d’ironie ne fait pas mal.

Vladimir Jankélétitch dit: l’ironie est la défense des faibles.

Déambulateur avec sac de courses, Escaliers de cette HLM sans manche pour se soutenir!

Rapport juridique de 300 Pp. rédigé en solitaire; ce que les avocats sont incapables de travailler. A différence de moi, ils ont un handicap cérébral. Il est inguérisable!

LOCATION ET CRIME

JE DÉNONCE

CE QUE TAISENT LES MÉDECINS- FONCTIONNAIRES

Chers Lecteurs,

Au début j’étais attrapée par les consignes de l’administration où je compte « les médecins conventionnés »qui avant d’être médecin, ils ne sont que de pauvres fonctionnaires qui font des certificats type qu’ils distribuent aux handicapées sans donner aucun détail des souffrances de l’handicapé qui survit dans des conditions gravissimes, dans des HLM contraires à leur handicap.

Quand les gérants des HLM lisent les dits certificats médicaux les passent à la trappe parce qu’ils sont tous rédigés en deux lignes et les « médecins » les sortent de leur ordinateur vers l’imprimante comme les prospectus des électroménagers, une abjection administrative.

Face au dernier rhumatologue qui a fait une douzaine d’années d’étude, je lis son certificat qu’il n’a mème pas rédigé, c’est est un certificat type de la CPAM !, une idiotie : «  la patiente atteinte d’une « gonarthrose » doit vive dans un appartement avec ascenseur ou en rez-de -chaussée. »

« Il est conseillé », il serait conseillé »

Cela paraît le conseil de se faire une cure thermale ou un départ en vacances ! C’est ridicule.

Ces faux médecins, ils se moquent de qui ?

En tout cas après avoir eu une dizaine des certificats aussi nuls les uns que les autres, j’interpelle le dernier, et lui dis : mais docteur avec, ce certificat j’ai le temps de partir au cimetière, rien vous ne dites sur mon incapacité journalière de monter et descendre 84 marches d’escalier avec des douleurs lancinantes aux genoux et rien vous dites sur le temps que je prends à monter chaque marche une à une et depuis janvier 2024 avec un lourd déambulateur avec sac de courses qui pèse 8kilos et avec le sac des courses je dois le monter sans le déambulateur, donc j’ai un double trajet par les escaliers et tous les jours la même souffrance, face à ça, vous ne le rédigez point dans ce certificat, alors il me répond, « Madame, j’ai l’interdiction de le dire dans les certificats. »

Je me suis juré de le dire moi-même en le déclarant sous ma responsabilité laissant de côté les faux médecins qui m’ont laissé à la dérive sans dire la vérité.

Voici la vérité qui est conforme à la loi.

Je suis prioritaire avec une carte de la MDPH ancienne qui me fut donnée en 2015 et non maintenant après 4 ans de souffrance avec la montée et descente des escaliers !

La fonctionnaire de la Mairie d’un arrondissement de Paris, m’explique que le silence des médecins a été fait « pour vous protéger », afin que personne ne connaisse les détails de VOTRE MALADIE.

Ma maladie ?

Je lui ai répondu.

Mais quelle maladie ?

Avoir une gonarthrose n’est pas une « maladie ».

Je ne prends aucun médicament, parce qu’il n ‘y en a pas !

Pour l’arthrose, il n’y a que les anti-inflammatoires qui ont des effets secondaires gravissimes pour les femmes, entre autres délicatesses, des AVC, des infarctus et phlébites, en tout, cas je connais parfaitement la gonarthrose, ma grande-mère l’avait et Maman l’a souffert, pareillement. Quand nous étions à Paris, nous ne pouvions pas prendre le métro, je me déplaçais avec elle uniquement par les bus.

Et, moi, à présent, moi, aussi, je ne prends plus le métro, alors vivre en banlieue m’est hautement préjudiciable et je vais l’expliquer pourquoi.

Cette injustice médicale-administrative m’a fait prendre une décision, le dénoncer en solitaire en prenant mon entière responsabilité et en expliquant haut et fort en quoi consiste l’arthrose et plus particulièrement l’arthrose aux genoux.

MON HANDICAP MOTEUR AUX GENOUX

Il y a deux types d’handicap moteur.

L’handicap produit par une vraie maladie d’ordre neurologique.

La mienne ne l’est point.

Je n’ai aucune maladie neurologique.

  • Je ne suis pas cardiaque.

  • Je ne suis pas diabétique.

  • Je n’ai pas d’hypertension.

  • Je n’ai pas de mauvais cholestérol. (LDL)

  • Je ne prends pas de médicaments.

Mon handicap est MÉCANIQUE mais très douloureux en cas de me voir obligée à monter et descendre des escaliers.

Il s’agit « d’une érosion totale des cartilages rotuliens »

Donc l’os des genoux se frottent sans aucune protection.

Tous les êtres humains sont dotés des cartilages et du liquide synodal , moi pareillement, mais quand arrive l’érosion des cartilages, par héritage génétique, nous perdons la défense naturelle.

Le liquide synodal, qui tourne autour des genoux, nous l’avons tous, la nature est merveilleusement faite pour nous protéger, mais…Il arrive le moment ou par des raisons génétiques, d’héritage, il survient la disparition des cartilages et le liquide synodal ne roule plus autour des genoux , mais se loge derrière chaque genou, dans ce qu’on appelle « le pli poplité ».

Quand cela arrive par l’effort INTERDIT de la montée des escaliers, la seule solution est de se faire une ponction en clinique, le rhumatologue extrait le liquide du kyste poplité avec une grosse seringue et tout redevient dans l’ordre, mais il est obligatoire de garder un repos strict de 48 h, et ensuite ne marcher qu’en terrain plat.

Ce que depuis 4 ans, je ne peux pas respecter, alors depuis 4 ans, je reste avec 2 kystes poplités de 12 cm !

Il est parfois nécessaire de répéter l’opération deux fois par an.

Quand j’étais à Paris, je me faisais cette opération qui ne dure que 15 minutes, ensuite une piqûre de cortisone dans les articulations et le mois suivant une piqûre d’acide hyaluronique et je pouvais marcher parfaitement six mois.

Mais, ici à Poissy, avec les escaliers, tout traitement reste inefficace et mon handicap s’est dangereusement aggravé, je risque ma vie en ce moment.

L’année dernière, la rhumatologue m’a extrait les kystes, mais ils réapparurent 48h après avoir été en clinique !

Finalement les rhumatologues me donnèrent le verdict : « Madame, on ne va pas s’amuser à vous extraire le liquide tous les mois, nous allons vous donner une infection généralisée, alors déménagez et après venez me voir »

Mes kystes sont aujourd’hui de 12 centimètres, je suis en danger de qu’ils n’éclatent, je marche douloureusement comme si j’avais deux dalles de plomb derrière les genoux, et les médecins s’en fichent, ils obéissent aux diktats de l’omerta programmée et qui ne fait qu’apporter préjudice à la soussignée, alors je me verrais dans une très dangereuse situation par la faute de ce criminel de bailleur social et par la faute de l’administration des HLM qui ne traitent pas mon dossier de retour à Paris avec le caractère d’urgence absolue dont j’ai besoin.

Alors, excédée, révoltée par une situation alarmante, je me sus décidée de dire la vérité que les médecins complices d’un crime taisent par obéissance criminelle à un « protocole » stupide, laissant la patiente en danger de mort.

J’ai une Carte d’invalidité depuis 2015, je l’ai obtenue à Paris, car j’ai toujours habité à Paris, je l’ai eue au Tribunal de l’Incapacité de Paris, qui m’a sortie du réseau RSA pour me laisser avec une retraite de misère de 1000 €.

J’ai hérité mon handicap aux genoux de ma grande-mère et de Maman.

Il est qualifié de handicap « invisible », mais il est très douloureux si je me vois confrontée aux escaliers, les douleurs pour monter et descendre chaque marche sont lancinantes et me voir obligée tous les jours à cet exercice devient dangereux, je peux avoir une dislocation ou pire encore, je risque une fracture spontanée.

Il faut être mauvaise, sadique et criminelle pour infliger à une personne un tel préjudice subissant un tel handicap et lui dire que la mutation vers Paris « est impossible », il faut être douée d’une dose profonde de sadisme féminin pour agir de la sorte et de surcroît être en contravention face à une moi qui protège les handicapés, mais uniquement par écrit.

Mon retour à Paris est obligatoire car le trajet de Poissy à Paris où se trouvent mes dossiers médicaux depuis des nombreuses années m’est insoutenable.

Les taxis conventionnés auxquels j’ai droit de manière illimitée par mon handicap sont très onéreux.

Eh oui, j’ai une conscience politique et sociale austère que j’applique d’abord pour moi-même, je ne fais pas des dépenses inutiles à la CPAM.

Le transport en commun de Poissy est dangereux et exécrable. Les gens s’agrippent et la foule pour monter dans les bus de Poissy est semblable aux stations de Calcutta !

Il m’est impossible d’accepter des rendez-vous médicaux tôt le matin ou aux heures de pointe, les difficultés sont nombreuses, je prends 4 heures de transport dues aux atteintes interminables.

Les taxis conventionnés sont des brutes qui traitaient les passagers comme des colis, sans le moindre respect. Selon d’aucuns la CPAM tarde à leur rembourser. C’est moi qui dois payer le retard en subissant leurs abus ?

Les bus de Poissy me refusent la rampe.

En contravention à la loi, en janvier dernier, un chauffeur m’a écrasé mon premier déambulateur, j’ai dû acheter un autre et le directeur de KEOLIS n’a pas répondu ma LRAR et s’est refusé de me rembourser les 240 € !

J’ai dû aller au commissariat et le commissariat s’est refusé à rédiger la plainte, à la place a téléphoné la secrétaire du Directeur et m’a demandé de leur réclamer le remboursement par courrier recommandé.

Le directeur de Keolis est resté inactif.

Il s’est refusé à me rembourser mon déambulateur écrasé par son chauffeur.

Les trajets sur Paris je les fais sans la moindre difficulté par le réseau de bus qui est excellent.

A Paris je peux marcher, et me déplacer sans aucune difficulté, je n’ai pas d’interdit de marche par terrain plat.

Un juriste m’a dit :

« La loi existe, mais le problème est qu’en France il n’y a jamais application de la loi »

Certes, mais avec mon livre que je distribuerai sans discrimination aucune aux autorités parisiennes, car j’ai été parisienne et je le redeviendrai, cela est une certitude.

J’ai confiance de pouvoir changer l’application de la loi, d’autres handicapés et locataires des bailleurs escrocs pourront peut-être être écoutés comme il se doit et obtenir la priorité que la loi nous accorde en toute justice.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

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