CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

MEMORIAS

MI VIDA DE CHILE A FRANCIA

LES DEUX ASSASSINS DE MAMAN NE SONT PAS DES FRANÇAIS DE SOUCHE.

Question de la plus haute importance : la France est coupable d’ouvrir les portes aux immigrés racaille, et c’est uniquement grâce à qu’ils font des études, ils « montent » dans l’échelle sociale, mais à l’intérieur, ils restent ce qu’ils sont, des gens d’une très mauvaise nature, ils mémorisent certes, mais mémoriser pour obtenir un diplôme de médecin, ne fait pas de lui « un bon médecin ! »Ce pour ceci qui s’est battu le Professeur Léon Schwartzenberg, pour exiger un cursus complet dans la formation des médecins, il savait la défaillante formation, les défauts et graves carences dans les études de médecine en France, c’est pour sa franchise qu’il fut destitué.

Mais ils sont dépourvus de « délicatesse », d’esprit, ils ne sont pas des personnes de bien, ils sont dépossédés de leur naissance des qualités qui possèdent les gens qui naissent bons, ceux-là, ils sont nés dégénérés.

DES AUTRES TROIS COMPLICES 

SEUL LE GASTRO EST FRANÇAIS.

JE L’AI ACCUSÉ POUR NON ASSISTANCE À PERSONNE EN DANGER. 

CE MAFIEUX FUT COUPABLE POUR N’AVOIR PAS VOULU L’OPÉRER : violation de la loi chirurgicale mondiale.

Ce groupe collégial abrite un groupe de mafieux qui devrait être radié, mais le conseil du Désordre est le groupe qui le protège, il appartient à la plus grande mafia qui conjointe à celle de l’Ignorance Nationale ne fait qu’un seul groupe mafieux, je me suis vue face à face à sa présidente, elle aurait dû prendre sa retraite, une vraie vieille, incontrôlable et hystérique.

Au moment où je lui ai dit la vérité sur l’assassinat de Maman, aucun témoin, mon avocat était à l’hôpital, il demanda un report, elle le lui a refusé, j’y suis allée toute seule . Mais mon avocat m’a ordonné : vous y allez, vous dites que je suis à l’hôpital et que vous ne parlerez point.

Je me suis levée, la présidente furieuse m’exige de m’asseoir.

Non, je ne m’assiérai pas, je viens vous dire uniquement que vous avez violé la loi, mon avocat est à l’hôpital et vous lui avez refusé son congé de maladie.

Je viens vous dénoncer face à face, et je me suis retournée, j’ai regardé les avocats qui étaient assis derrière moi, et j’ai vu seulement deux des assassins de Maman, l’assassin N°1, le Docteur TRAÎTRE-TANT n’était pas là, c’est un lâche de premier ordre.

J’ai regardé les assassins de Maman et leur ai crié :

VOUS ÊTES TOUS DES ASSASSINS !

À BIENTÔT DEVANT LA COUR D’ASSISES !

Ne voulant pas m’entendre, la présidente s’écrie: « Oh, des assassins !

Oui Madame, ils sont des assassins !!! »

Qu’est-ce que cette crétine croyait-elle ? Que ce huis-clos était une réunion diplomatique ?

Je devais dénoncer à l’aide de mon avocat de quelle manière le TRAÎTRE la laissa sans sons et Maman s’est nécrosée à vif devenant un cadavre souffrant, seule, jetée sur un lit dur et froid qui faisait le rôle d’un cercueil ouvert, Mama était là, jetée comme un déchet, et moi la spectatrice ahurie et impuissante de son agonie, tandis que le Chef de Service, l’assassin N°2, se moquait de son agonie en riant :

Ha, Ha, Ha ; elle n’est pas toute fraîche votre mère Ah ? Ha, Ha, Ha. »

Et ce’criminel est en train d’exercer dans le 20ème et apparaît tranquillement sur DOCTOLIB !

Elle a demandé aux huissiers de me faire sortir comme si j’étais une vulgaire prévenue !

Quand c’était eux les assassins, je n’étais là que pour défendre la souffrance indicible de Maman, comme seul témoin oculaire du crime.

Ma révolte fut encore plus véhémente.

Si je pouvais faire filme mon livre Script CLARA, ce serait un événement indéniable ; il ferait un carton mondial ! Il faudrait trouver le cinéaste !

Quel malheur n’avoir pris soin d’inviter des journalistes, cela aurait fait un tollé ! Mais ce Conseil du Désordre se garde bien de contrôler les entrées, la convocation était programmée à huis-clos, c’est-à-dire, les seuls à se défendre entre eux furent les assassins de maman accompagnés de leurs avocats. Mes accusations, rédigées dans un dossier rédigé par moi-même fut un travail difficile pour moi et très délicat que j’ai rédigée en solitaire juste après son enterrement, il comporte 300 Pp, et sont présentées toutes les photocopies qui sont accablantes, des preuves en l’espèce qu’un bon avocat utiliserait pour gagner ipso facto et dès sa première plaidoirie.

Sauf qu’il n’y a jamais eu de présentation du dossier de Maman devant le tribunal. Il n’a jamais eu de demande d’instruction devant le Juge d’Instruction.

Donc depuis octobre 2013, le crime de Maman reste inconnu des autorités juridiques françaises.

Je n’ai pas d’argent pour payer un avocat et accuser ces assassins.

Je dois sauver le cercueil de Maman.

Les 8 000 € seront pour garder éternellement sa tombe.

Pour un assassinat il n’y a pas de prescription…

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

In, MEMORIAS, mi vida de Chile a Francia.

• J’emploie le terme « français de souche » en toute conscience, il faut finir avec les hypocrisies et mensonges, il faut parler vrai, je suis une immigrée d ’origine européenne, et je ne suis pas française « de souche », quel déshonneur ou idée raciste existe à dire publiquement une vérité irréfutable ?

Je porte en moi l’héritage de mes parents, c’est pour eux que je me bats, pour préserver leur mémoire de l’opprobre de ces assassins.

L’assassinat de ma mère a touché aussi mon père qui est dans l’au-delà.

Tout crime impuni reste un affront contre l’humanité.

Depuis l’assassinat de ma mère ici en France, mon travail d’écriture a une mission, celle d’écrire l’indicible et dénoncer une vérité qui a été cachée délibérément, et de m’exprimer en toute franchise et de dire toujours la vérité.

Qu’elle ne vous en déplaise !

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA