CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

ŒIL POUR ŒIL DENT POUR DENT

 

 

La mort révèle l’amour, c’est l’inconsolable qui pleure

 

 

l’irremplaçable.

 

Vladimir JANKÉLÉVITCH

 

Chers Lecteurs,

Tout enfant qui laisse le crime de sa Maman impuni est un monstre.

Tout enfant qui ne lutte pour venger la souffrance de sa mère la tue une deuxième fois.

Je fus le “témoin oculaire”, le seul témoin du refus de soins prémédité, de la coordination macabre de ce premier assassin que j’ai nommé le “Médecin
TRAÎTRE-TANT” et de l’assassin N°2 son premier complice, le Chef de service du 5 ème étage de médecine, de l’hôpital du 20ème, c’est moi qui ai été le témoin oculaire de la brutalité et ignorance totale de la barbare qui était cette nuit-là aux urgences où j’ai emmené mAMAN de mon propre chef ; contre l’opposition du Traître, Maman qui était déjà dans un état de souffrance terrible.

L’interne aux urgences, une arriviste incompétente, traita Maman avec une brutalité inouïe.

Cette misérable, l’archétype d’une arriviste de bas-fonds qui ne mérite pas d’avoir fait des études de médecine, na fait le contraire de ce qu’elle devait faire.

Elle a cru que ma pauvre Maman était une machine à laver. Se mise à faire un remplissage de sang et ensuite a fait une vidange, au box des urgences.

Opération brutale qui doit se faire au bloc opératoire, le seul lieu qui aurait dû être destiné à Maman et avec un caractère d’urgence absolue, non au deuxième jour de crise mais deux jours avant, quand je lui suppliais au TRAÎTRE de l’hospitaliser et il se refusait, me disant :

“Laissez-la tranquille, c’est la fatigue de l‘âge!“

Ensuite, au 5ème étage, le chef de l’étage de la salle de torture JMZ finit d’achever Maman qui débuta son agonie se nécrosant de l’intérieur, évidemment sans aucun palliatif, en tout cas, pour ce type d’infarctus, il n’existe aucun sédatif, le seul est l’opération en dépit de savoir que peu de chances restent au malade, le bloc opératoire est le seul moyen d’éviter la souffrance indicible que souffre un patient qui subit cet infarctus, ceci, ils le savaient pertinemment, c’est pourquoi, qu’au lieu de lui donner les soins palliatifs la laissèrent se nécroser à vif pendant 5 jours, où je suis restée enfermée dans la salle de la douleur, impuissante pour lui abréger ses souffrances.

Je voulais courir à la police, crier la maltraitance, mais la police a l’interdiction de se déplacer.

L’assassin N°2, qui se trouve encore sur DOCTOLIB! Le portail des assassins !,
L’asassin N°2  jeta Maman comme un déchet sur un lit dur et froid qui faisait déjà l’office d’un cercueil ouvert.

Le cinquième jour, devant son agonie, pour me faire souffrir, l’assassin N°2 , J.M.Z  s’écria en riant :

“Ha, ha, ha… elle n’est pas toute fraîche votre mère ! Ah? ha, ha, ha”…”

Je n’oublierai jamais ces mots obscènes

Mama décéda une heure après, le vendredi 18 octobre 2013 à 12h50.

Depuis, n’ayant pas eu d’argent pour engager un avocat de premier ordre, je dû me soumettre à l’Aide Juridictionnelle qui m’a offert des incompétents incapables.

Le conseil du désordre, mafia collégiale, défendit à l’aide des mensonges, calomnies insoutenables les 4 assassins dont trois d’entre eux sont ceux qui opérèrent avec une cruauté indicible.

Depuis octobre 2013, je suis en souffrance parce que prise en otage invisible, je n’ai pas pu venger la torture et assassinat de Maman.

J’ai été son unique et seule fille qui l’a vénérée et aimée par-delà la vie et la mort, par-delà l’éternité.

Je suis prise en otage, parce que je suis bâillonnée, je ne peux pas les emmener devant un juge et les punir avec une peine à perpétuité et incompressible, car ils firent souffrir Maman jusqu’à la mort avec préméditation, un crime volontaire.

Je suis prise en otage, parce que les gens éduqués, cultivés et raffinés, nous sommes respectueux des lois, et il y a des pays où Thémis a été condamnée à rester sourde et muette.

Je suis prise en otage, je laisse la mort de Maman impunie et à la souffrance de sa mort se greffe la culpabilité de devoir rester en silence.

En vertu de tout ceci, ces criminels continuent à exercer, les pages immondes rédigées à mon encontre par leurs avocats je les garde, tout comme mon livre CLARA , mon livre démasque en détail chaque fausse déclaration avec des preuves en l’espèce, la plus forte est le certificat médical du Médecin Traître -Tant qui, sans savoir que j’allais entamer un procès, avait rédigé la vérité sur l’état de santé de Maman, juste quelques jours avant son infarctus. Il déclara son propre arrêt de mort dans ce Certificat!

Comme tout le monde le sait, un infarctus est un”accident”de santé imprévisible, qui n’a rien à voir avec l’âge avancé d’une personne, ni une invalidité indolore sans rapport aucun avec ledit infarctus.

Une autre preuve en l’espèce, la veille de l’infarctus fatidique de Maman, nous étions dans une terrasse de café, avenue de la République, je la sortais dans son fauteuil coquille tous les après-midi pour faire ensemble une promenade.

Enfin… Cette guerre réveille en moi des souvenirs qui s’imposent encore plus fort, elle éclate justement en octobre et la prise en otage existentielle où la France et son “protocole judiciaire” me bâillonnèrent, a fait naître ces pages que je dédie à Maman.

Oui Maman, tu sais tout ce que j’ai fait et que je continue à faire pour toi, parce que tu m’as donné la vie avec tant de sacrifices et toujours tu étais accompagnée de Papa; la vie que tu m’as donnée est sacrée; j’ai tes gènes, tu vis chez moi, et j’ai le devoir de vivre en dépit de l’enfer français.

Amen.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak