CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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L’ABJECTION – UN EXTRAIT DE VÉRA – LA CANAILLE ET SA COMPLICE

4 août, 2025 (09:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

AVERTISSEMENT

Les personnages, les situations décrites et les lieux sont inventés, toute ressemblance avec des personnes de la réalité doit se considérer comme coïncidence née du hasard de la Vie.

Cette nouvelle est un récit fictionnel.

 

 

 

L’ABJECTION

 

 

 

Dans les pays civilisés, le fait de priver d’un droit fondamental à un être humain qui peut être la nourriture ou l’accès à l’eau, est considéré comme une entrave et violation aux droits de l’homme; et aussi l’accès à l’eau chaude, droit fondamental considéré comme une nécessité d’hygiène. Le bourreau sera pris en charge par le système judiciaire ipso facto, sans aucun requis préalable et les auteurs immédiatement envoyés en comparution immédiate et mis en prison. Ici, où vit Véra depuis 1980, au sein d’un pays du Tiers Monde, les assassins se mêlent aux patrons qui les défendent tel que se fait d’habitude dans une République bananière, « le voleur derrière le juge » , et si c’est le délictuel qui reste libre en riant de ses exploits sans être dérangé ni inquiété, il persistera à perpétrer ses délits en toute impunité; ce n’est ce que parce que le système corrompu le lui permet des telles abjections.

La crise du logement a été provoquée artificiellement par l’accueil démesuré des populations entières sans que les pays d’accueil aient les ressources nécessaires audit accueil, privant de logement à ceux qui le méritent le plus.

Des petits pays comme celui où est née Véra, n’existe point l’assistanat, ni les caisses d‘aide ni les allocations, dès la naissance, l’idiosyncrasie de son petit pays d’origine est très différente, chaque citoyen sait que s’il ne se forge par ses propres moyens une situation à partir de l’école primaire qui est obligatoire, il ne pourra pas accéder à occuper une place digne au sein de la société.  Dans le pays du Tiers Monde où émigra Véra, le « système » d’aides est une « Institution » annexe, où se reposent les incapables, les feignants, les profiteurs, une seconde classe sociale s’est formée, divisée en deux parties concomitantes qui se nourrissent entre elles, l’une comme « profession » qui leur provisionne les salaires gagnés grâce à « la pauvreté » et les bénéficiaires, où très rares sont ceux qui bénéficient par injustice ou « les accidents de la vie » ces deux strates s’appellent « les professionnels de l’assistant ». La faute d’une République bananière est que les dirigeants, sans aucune discrimination, à l’aveugle, mélangent les « classe sociales » qu’ils ont appelé « La mixité sociale », Véra l’appelle « L’IMMISCIBILITÉ SOCIALE » vous ne pourrez jamais mélanger de l’eau à de l’huile, jamais ; ces efforts erronés de fond en comble sont essentiellement une fausse construction politique qui ne pouvait que donner des effets meurtriers,  c’est l’action néfaste des politicards malfaisants. Véra est devenue victime par la faute de l’administration d’un ministère dans lequel elle travailla, il détruisit tous les documents de ses années de service avec l’intention de la priver de son droit à leur faire un procès administratif, quand elle réclama les duplicata à la Sécurité sociale, le service juridique du pays du Tiers Monde lui a répondu que cela ne suffisait point, qu’il lui serait exigé chacune des fiches de paie et des arrêtés du ministère. Quand le Proviseur du Lycée très satisfait de son travail avait voulu intervenir et qu’il convoqua l’inspecteur à son bureau, cette autre Canaille aussi assermentée, lui montra un « dossier vide », dans lequel aucun avocat ne pouvait intervenir. À l’époque Véra était jeune, et avec la force de s’investir dans un procès, à présent qu’il  ne lui reste qu’un temps compté en peu d’années, elle se refuse à toute sorte de litige et laisse faire les Canailles, et attend patiemment, assise devant son ordinateur ou devant son chevalet que « les autorités compétentes » fassent leur travail. Le feront-elles ?

Si elles ne le font pas, elle se dit : « tant pis, une preuve de plus pour que je sois réconfortée « ailleurs ».

Parce que même quelques années de vie  paisible et douce, vie d’une vieille qui mérite la Paix avant de mourir est une gratification qui efface tous les malheurs existentiels. Véra en était sûre…

Le fait d’avoir pu récupérer seulement une partie de ses années de service, ne lui a octroyé qu’une retraite misérable, Véra la nomme « retraite-pourboire »,   elle ne fut que la mise en place délictuelle d’un processus mafieux.

Le résultat est que sa misérable retraite manquait d’annuités, la résultante grotesque fait que le montant de sa retraite falsifiée est exactement la même somme qui reçoit une femme arrivée en France dans les années soixante, qui n’a jamais travaillé et qui reçoit gratuitement 950€ et plus, tandis que Véra avec des diplômes des études supérieures, résumés en Bac+ 8,  reste dans la catégorie la plus basse de la société, toujours exposée face à la jouissance morbide des mafieux du ministère et de ceux de son entourage quelle doit côtoyer de force ; ils ont obtenu que Véra reste « dans ses vieux jours » stigmatisée dans la fausse et artificielle catégorie de « fainéants. »

Véra pense toujours quand ses collègues lui demandaient de l’aide, une d’entre elles lui pria de l’accompagner en voiture visiter un lotissement en construction des beaux pavillons, parce qu’elle venait d’obtenir son Capes et voulait s’acheter une maison et demander un prêt bancaire. Elle savait de la connaissance de Véra en transactions de ce type, car avant d’arriver à ce pays du Tiers Monde, Véra avait dû vendre ses biens immobiliers, ceux qui lui laissa son père et qu’en experte, elle pouvait la conseiller. Véra regarde la porcherie dans laquelle elle survit, Véra fait le bilan de ce maudit pays du Tiers Monde et se dit : « si j’avais su, pour rien au monde, je n’aurais fait le projet d’entamer cette expérience meurtrière ».

LA COMPLICE-VIPÈRE

3 août, 2025 (19:48) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA COMPLICE-VIPÈRE

 

 

 

De la vipère, la Complice de La Canaille, il n’y presque rien à dire, son principal trait de caractère qui la définit toute en entière comme l’espèce du zoo la plus répugnante qui sont les vipères venimeuses est qu’elle est la personnification du mensonge, elle ment quand elle parle, et ment quand elle écrit,  les mensonges est sa propore nature, et dès qu’elle fut prévenue par son ami La Canaille, que Véra allait publier tous les mails mensongers  qu’elle lui écrivit le 11 septembre 2024, où elle lui annonçait  sa visite pour répondre à ses lettres et demandes de changer le chauffe-eau et les sanitaires, elle arriva faire des photos pour ensuite se moquer d’elle et ne rien faire. Ils ont monté un théâtre de diversion contre Véra pour la tromper et lui faire croire que tout serait pris en charge par « Les Logeuses Criminelles » la farce diabolique de cette Complice-Vipère n’avait que trop duré, plus d’une année jusqu’à que Véra épuisa sa patience.

Une année après, arriva en qualité de représentante légale des Logeuses criminelles, c’était à en mourir de rire.

l’accompagnatrice de la Canaille, bloc à la main, en train de faire semblant de noter comme une élève appliquée au service de son compagnon, tout ce que lui vociférait sans témoins à Véra, le jour maudit de l’inspection.

Véra lui a dit face à face, « d’où sortez vous vos affirmations que vous n’étiez pas au courant que je me trouve depuis quatre mois sans eau chaude? Vous m’avez écrit des mails, vous êtes venue ici ici faire des photos pour après ne rien faire! » Prise au piège, elle baissa le regard cynique et morbide, profita de la situation où, il n’y avait point le temps de discuter et entrer dans une polémique que Véra ne comptait pas poursuivre, elle aurait viré à l’aigre, un pur cauchemar, et Véra n’appartenait pas à son genre de la pègre.

Véra laissa passer la confrontation verbale,  de quoi aurait-elle servie?

De rien, en revanche Véra écrit, laisse des constats indélébiles où elle prouve sa bonne foi et la vérité écrasante.

L’après midi, Véra envoie la photo de son lit sans linge dans la chambrette convertie en « chambre à coucher » on peut à peine y entrer de biais, si exigüe est elle…Véra l’avertit par mail sur le fait accompli à la Canaille elle lui dit qu’elle avait déjà fait bon usage des mails de sa Complice, de l’année 2014 et des ceux aussi mensongers du 19 récent, ces mails mensongers que Véra lui avait envoyé en duplicata il y a plus d’un mois et qu’il cachait à « ses supérieurs hiérarchiques » dénomination que ces incapables aiment tant, ils sont nés pour obéir, se faire petits devant les supérieurs et ensuite, dès qu’il laissent les « supérieurs » convaincus qu’ils savent « obéir », ils se lancent à perpétrer toute sorte des délits contre celles qu’ils croient « faibles », plus d’un mois, s’était écoulé depuis son appel téléphonique  et selon ses dires «il faisait suite aux ordres du Procureur de inscrites dans l’assignation », mais la Canaille avec la seule intention de laisser encore Véra sans eu chaude, retient le début du changement du chauffe-eau que les ouvriers ont déjà reçu!, travail; se pose qui ne dure qu’une heure.

Cette Canaille interdit aux chauffagiste de travailler avec le seul objectif de dilater le plus de temps possible pour laisser Véra sans eau chaude, et étant donné que le Chef et ne sait rien et qu’il n’y a aucun chef de travaux qui le contrôle personnellement, il a menti pour la énième fois disant que « tous les « intervenants » sont en vacances, comme s’ils étaient des PDG qui partent à leurs villas! La vérité est qu’ils sont tous là et qu’ils se remplacent à tour de rôle, Véra les voit souvent dans leurs camionnettes en train d’intervenir pour les voisinage.  Encore une fois Véra rigole, mais elle agit, le rire de se voir entourée de la pègre ne l’interdit pas l’action, Véra envoya au Canaille une lettre par mail.

Véra lui lance une mise en demeure et un dernier avertissement, il doit envoyer le chauffagiste après le weekend, du contraire, lui dit-elle, « je prendrai les mesures qui s’imposent »

La canaille se donne des aires de chef et il n’est qu’un pion.

Il s’en moque éperdument avec sa comparse.

Il reste caché tout comme sa Complice-Vipère. Véra pensait « ces deux-là, ont besoin d’une pulvérisation de Vipéril , le plus puissant des sprays contre les vipères Venimeuses ! »

Véra a agit et resta tranquille, elle se fait à l’idée qu’elle vit dans une tranchée en remplissant sept bouilloires d’eau chaude dans un grand seaux plastique pour faire sa toilette deux fois par jour en regardant la colonne de douche qu’elle venait d’acheter et qu’on le lui avait posée en urgence, parce qu’au début elle croyait que par les ordres du Procureur le changement de chauffe-eau allait se faire « le lendemain » et de toute urgence. Dires mensongers que la Canaille qui a fait dire à deux chauffagistes qu’il envoya chez elle pour lui mentir avec une outrance et cynisme sans limite : « je viens vous prévenir que demain ou au plus tard fin de cette semaine nous viendrons vous  changer le chauffe-eau en entier »

C’était le 19, ensuite le 24, parce que La vanille ne cessa de lui envoyer des copain pour lui mentir.

Véra s’est dit, je vais arrêter leur cirque et ils vont voir qui je suis !

Véra pensa c’est tout a fait « normal » en absence d’un homme dans les parages, ces monstres voient une femme seule et ils rient à gorge déployée, ils sont des pions de la pègre, si ils étaient en Russie ou en Biélorussie, les deux Présidents les aurait tordu le cou et ils seraient maintenant en Sibérie dans une prison pour y pourrir à petit froid non à petit feux. Véra avait regardé un reportage qui montrait le Président Loukachenko en train de visiter une usine et un ouvrier par paresse, avait laissé un objet tranchant d’une machine à découvert, ce qui représentait un danger flagrant pour quiconque s’approchait, et pouvait certainement se blesser, il l’appella à l’ordre, lui fait le récit en criant  sur sa négligence, il est certain que le lendemain cet ouvrier serait licencié. Je sais que ça ne se passera jamais dans ce pays du Tiers Monde, où tout fonctionne par copinage, une véritable République bannière. Véra aimait cette façon de marcher d’un pays, la montre faute qui peut porter préjudice à autre doit perte punie ipso facto.

Véra ressentait un gout amère, l’amertume de ses propres erreurs, à différence d’aucuns, Véra savait s’inculper de ses propres erreurs de jeunesse, elle ne jetait jamais la pierre sur personne d’autre que sur elle même, idiote idéaliste qu’elle était, mais le plus grave fut qu’elle avait eu  trop de confiance,  elle et elle continua ainsi, à croire dans ses propres valeurs, mais ses valeurs et ses compétences ne pouvaient pas être acceptées dans un pays pourri.

« Voila mon problème qui est la résultante de ne pas être dans le bon endroit. » Et Dieu ne pouvait pas lui donner des années supplémentaires de vie, ni arrêter son vieillissement, Dieu, pour plus que Véra  pria  et implora encore plus de temps, Dieu n’allait pas la rajeunir, mais au moins, il lui restait un peu de temps pour elle, il lui restait encore quelques années pour prendre sa revanche, et elle avait déjà pris la bonne décision, une nouvelle voie commençait pour Véra, ce sera sans eu chaude s’est dit elle, mais  dans trois ans, grâce à mes efforts surhumains, je serai récompensée, trois années se passent très vite, les années s’en volent, Véra allait apprivoiser ce peu de temps de vie dans des choses d’une grande valeur existentielle, enfin elle allait oublier ce pays du Tiers Monde où elle laissa sa jeunesse sans rien récolter et c’était le pays qui l’avait appauvrie et c’était le pays qui assassina sa Maman, pays du Tiers Monde qui  donna la profession de « médecin » au Sicaire, la main assassine du Sicaire, avait torturé et tué sas Maman, le « docteur Traitre-Tant. »

Et ce pays était le pays qui la rendit invisible et qui lui l’avait détruit sa profession, ses compétences et son art, l’invisibilité imposée par la racaille jalouse l’avait appauvrie. Véra commença son Carpe Diem.

« À mon âge je ne vais plus lutter, j’ai déjà fait tout ce qu’il fallait faire pour régler juridiquement les délits pénaux, si rien ne sera fait, ce ne sera pas par manque d’action de ma part, la décision appartient dorénavant aux plus hautes autorités du pays du Tiers Monde, l’important fut fait. » 

Maintenant Véra préparait son entrée en fac, et rien ni personne n’arriverait à perturber son projet qui n’avait besoin que d’une seule chose  : de silence ! Et de paix !

Aucun de ces énergumènes criminels ne lui écrivirent  plus de mails et pour ce qui est des appels téléphoniques, Véra les a bien signalé: « dorénavant tout ce que vous voudrez me communiquer, mensonges compris, vous le ferez par courrier simple ou par mail. »

Silence…

La Complice-Vipère, elle s’échappa en rampant par les murs de l’Agora voila la preuve avec laquelle ni elle ni personne ne comptait comme réponse  à leurs attaques.

L’écrit reste indélébile.

Véra a fait preuve de n’agir que par l’écriture et par l’envoi de preuves. C’est la populace qui ment, tergiverse et calomnie., c’est leur spécificité et leur spécialité d’action.

Véra ne parle avec personne, elle sort, s’occupe de ses affaires, rentre chez -elle  dans l’Agora qui n’est qu’une immense porcherie; chez elle, non ce lieu n’est pas « chez elle », elle le dit toujours que ce logement n’est pas un « chez-soi », c’est le logement des Logeuses criminelles, elle n’avait jamais vécu dans des appartements sociaux quand elle vivait dans son pays d’origine.

Véra essaya de toutes ses forces d’entretenir ce lieu le mieux qu’elle ne pouvait avec une consommation océanique d’eau de javel en faisant du camping de guerre, et elle fermait les volets, mettant des tampons dans ses oreilles pour s’isoler des cris de l’extérieur et pouvoir lire, écrire et peindre en silence total.

Carpe Diem pensa Véra dans son for intérieur.

Véra éteignit la lampe et elle alla se coucher,  elle se levait tous les jours à l’aube…, « demain il fera jour, à chaque jour suffit sa peine. »

PRÉMICES DE MON LIVRE EN ÉCRITURE : VÉRA, LA CANAILLE ET SA COMPLICE.

3 août, 2025 (12:44) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

CHAPITRE IV

 

La visite : VÉRA – La Canaille et sa Complice

 

 

 

La Canaille devait intervenir suivant les ordres du Procureur devant lequel Véra avait déposé un Plainte Pénale en bonne due forme contre Les Logeuses criminelles qui la forcèrent à subir trois délit pénaux bien classées et différenciés dans le Code pénal,  ce qui n’est pass contradictoire d’un pays du Tiers Monde, car ils ont à leur avoir de Codes de loi, le problème est que dans les pays bananiers, les lois ne sont pas respectées, mais Véra gardait toujours de l’espoir. Le Procureur donna des ordres, quand la Canaille lui avait parlé au téléphone, il se présenta comme étant « le directeur » du Service, Véra l’a sur sur parole e tomba dans son piège, Véra se dit qu’il lui fallait encore un nouvel apprentissage de vie, sa formation sur les délits capables de faire un pays bananier n’étaient pas toujours bien n répertoriés dans son cerveau.

Véra n’avait pas reçu la copie de l’assignation que le Procureur envoya au service d’hygiène, mais elle pensa dans son for intérieur que l’assignation  devait avoir un ton impératif de changer le chauffe -eau en entier et de toute urgence mesure simple qui lui permettrait de bénéficier tout de suite de récupérer son droit légitime à l’eau chaude et à ses douches.

En croyant que ce mot URGENCE bien significatif dans le langage juridique,  serait compris par le Canaille et sa Complice,  Véra se trompait, puisque dans le système d’un Référé, l’urgence se transforme en un maximum d’exécutoire de 48h.

Alors la Canaille lui ment la fait patienter en employant des subterfuges: « je suis débordé ,vous n’êtes pas la seule, je n’irai faire l’inspection que dans un délais de 18 jours. Il refuse de faire un quelconque travail en « urgence ».

Véra commença à analyser la situation comme chancelante, chaotique et très douteuse. Mais elle devait laisser passer un peu de temps avant d’adresser une seconde plainte pénale.

Les preuves en l’espèce elle devait les avoir toutes en sa possession.

Véra se laissa un mois comme délai avant de lancer son ultimatum.

Le caractère d’urgence est indubitable, quand il manque l’accès à l’eau qui est un des droits fondamentaux de tout être humain semblable à celui de s’alimenter. Véra s’est encore: Mais à quel point  est monumentale la haine des ce personnel de la ville de cette Cité !

La vérité est qu’autant La Canaille et sa Complice, la vipère menteuse, étaient des frustrés de classe, autant il était grandiose leur haine incapable d’être retenue;  ils la déversaient en obstruant les travaux, en dilatant le plus possible l’intervention, outrageant cette fois-ci les ordres du Procureur. Dans son « rapport »  écrit la Canaille ne dit pas qu’il a été mandaté par le Procureur mais il  a changé complètement la situation, en écrivant qu’il a été mandaté par un service administratif sans pouvoir qui lui sert pour cacher qui  était véritablement la personne du plus haut statut juridique qui lui avait donné des ordres. C’est lui-même qui lui a dit par téléphone, qu’il avait « reçu une assignation du Procureur », pour un moi après, changer la donne lors de son écrit. Mais La vanille est de ces types sans vergogne qui comme un bulldozer il avance en casant tout à son passage.

Véra rigolait de bon coeur en écrivant l’analyse de cette ordure inhumaine.

Véra se chargerait de mettre au clair la vérité, c’est sont rôle existentiel quelle avait dû assumer depuis la mort de son père, lutter seule pour son indépendance et pour dire haut et fort la vérité. Parce que la vérité n’a pas de nuances, elle est un bloc inamovible, elle est foudroyante et invincible.

La haine, la détestation que ce personnel ressentait contre Véra était mesurable par des personnes compétentes; le fait qu’ils dilatèrent plus trois mois une improbable intervention pour qu’elle puisse avoir à nouveau son droit qui lui revenait en toute justice d’avoir de l’eau chaude était la preuve la plus irrévocable pour qu’ils soient jugés.

Véra attendait prête à rire l’arrivée annoncée d’une lettre injurieuse et menaçante qui la définirait comme « une locataire INSALUBRE » insulte outrage et viol de sa personne fait verbalement par la canaille qui arriva « faire une inspection » chez elle où il s’est permis, sans témoins autre que sa Complice, une vipère dont le mensonge et la calomnie forment partie de son être et de son travail.

Véra fut victime d’un attentat verbal chez elle, il la menaça d’inscrire son verdict sur sa personne par écrit dans une lettre administrative qui ferait le constat écrit de son inspection. Une très fausse inspection de ce logement des logeuses criminelles.

Véra ne devait en aucun cas de figure devenir un « objet » visé pour une « inspection » ce n’était pas sa personne visée mais le lieu insalubre que les logeuses lui donnèrent en 2021 pour habiter et la rabaisser.

Ces « logeuses » trouvèrent grâce à leur poste de « privilège » administratif de rabaisser sa personne or, que de mieux que de l’obliger à vivre dans des très mauvaises conditions d’habitat, chauffe-eau vétuste fuyant le gaz, datant des années soixante, et jamais changé, canalisations vétustes et bouchées laissant sortir pendant la nuit des odeurs pestilentielles, des fuites permanentes d’eau sorties des canalisations du levier qui transperçaient les murs car la cuisine était avoisinante de la salle d’eau et les canalisations du levier donnaient juste vers le mur de la salle d’eau d’où non seulement les canalisations de la baignoire et du lavabo laissaient sortir de leurs canalisations des fuites permanentes, mais venaient se greffer celles du lever de la cuisine, un conglomérat parfait des dégâts des eaux bien spécifié qu’il nomme des fuites « minimes »

Véra à la lecture de son rapport éclata de rire ! Elle se dit, je ne devrait pas rire parce que c’est tragique que moi, je sois obligée à subir les dégâts non « des eaux », mais les véritables dégâts de ce minable « Canaille et de sa vipère Complice.

Les véritables dégâts qui devait subir Véra étaient existentiels, ceux-là ne sont pas réparables avec l’aide ni d’un plombier ni d’un chauffagiste, ils ne sont réparables qu’avec de l’argent, beaucoup d’argent qui ne devait sortir que de son atelier de peinture. Véra comptait bien le faire valoir…Mais jamais dans ce pays du Tiers Monde, elle savait à présent qu’elle avait commis une grave erreur et comprit qu’elle devait la réparer. Et très vite.

Véra reprit la lecture dudit « rapport » rien de la vérité des dégâts des eaux n’y est dit.

L’humidité ne vient point de l’absence de Vam, la grille marche, l’humidité ne vient point des fenêtres fermées de la salle d’eau, aucune salle d’eau des appartements de la capitale de ce pays du Tiers Monde n’a de fenêtres et il n’y a jamais de l’humidité, La Canaille l’inculpe de « Locataire INSALUBRE et lui dit presque en criant:

« Vous êtes coupable ici de ne pas ouvrir les fenêtres, c’est la seule raison de l’humidité ici, je ne vous demande pas d’ouvrit les fenêtres tandis que vous êtes NUE en prenant votre douche, mais après, vous devez tout de suite ouvrir les fenêtres »

Véra se dit dans son for intérieur:

« Cette canaille se croit un tuteur? !, il ne dit rien des véritables dégâts des eaux qu’en plus j’ai fait inscrire dans une vidéo !,  il outrepasse ses fonctions de petit fonctionnaire de pacotille, je vais voir la suite… »

L’humidité l’avait provoqué le décollement des plinthes des murs, elles étaient noircies, où la peinture aussi était noircie et entièrement écaillée, elles étaient une des formes factuelles et indubitables d’une humidité permanente, les sanitaires rouillés avaient fait leur temps, après soixante dix années usage, l’usure avait formé des plaques indélébiles de tartre que Véra s’obstinait pas désespoir de propreté,  de les faire disparaître illusoirement avec des litres d’eau de javel qu’elle dépensait en la jetant soit dans les canalisations, soit en spray pour les lieux où le tartre et la rouille rougeâtre s’inscrivaient à tout jamais dans tous les sanitaires qu’elle aurait voulu dynamiter, elle riait seule à la seule pensée de faire éclater cette pourriture d’appartement, « il faudrait dynamiter toute cette Cité pourrie » se disait Véra en souriant.

La clé du van qui est placé dans la canalisation d’eau du W.C.  fut cassée avec une pince lors de l’intervention du plombier qui devant couper l’eau pour changer le WC , il cassa la clé qui fixée de rouille ne pouvait être tournée qu’à l’aide d’une pince, il fut totalement normal qu’elle fut cassée lors de l’intervention et il laissa dorénavant, l’appartement dépourvu d’une clé capitale pour qu’en cas d’une inondation soit possible de l’estomper la fuite d’eau à l‘aide de ladite clé, à présent cassée et que la Canaille ne dit rien et pire qu’il cache volontairement le dégât provoqué par inadvertance du plombier, car on peut bien casser une clé van de sortie d’eau, mais on la remplace pour corriger le dégât provoqué!

La Canaille le cache dans son « rapport » de pacotille.

Et, ce nouveau dégât produit tout récemment est passé sous silence. Véra s’est dit: si inondation grave des eaux se produit, j’ouvrirai la porte d’entrée et l’eau descendra par les escaliers, là, les voisins vont crier au scandale, qu’ils crient, ce sera bien mieux que les cris des ados quand ils ont essayé d’abattre sa porte à midi, ers étant elle à la maison, maintenant qu’elle a installé une télésurveillance, personne n’ose ni la menacer de mort comme auparavant, ni venir abattre sa porte,  nuisances factuelles de la bande des lâches de la Cité. Elle avait déjà prévenu son assureur, ni elle ni son assureur ne seront responsables d’aucun dégât. Cette Canaille se sait bien évidement qu’il est le protégé de la commune de son chef de service et de toute l’administration politique de la ville, du contraire il n’aurait jamais osé agir de la sorte en exerçant sur Véra l’ignominie verbale la traitant de « locataire insalubre » et d’avoir voulu faire les photos de sa chambre à coucher qu’il dit dans son «faux rapport » écrit que elle n’a pas voulu qu’il prenne de photos de l’interrupteur au mur!

Une quantité des faux constats tellement faux et si crétins par la volonté de ne pas dire la vérite et de minimiser les dégâts, qu’ils ne peuvent que provoquer le rire; ce type malfaisant, il a comme surplus de « protection », un des éléments des plus puissants typiques de tout pays du Tiers monde, ils sont plus puissants que les gouvernements, il s’agit de son « syndicat » et le suit son conseil de Prud’hommes qui défend, certes, très justement les salariés en cas d’injustices patronales, mais qui ne saura pas faire la différence pour dogmatisme, quand un travailleur CANAILLE s’en prend à une femme qui sans appuis et sans syndicats, doit subir les outrances d’une canaille lâche qui profite de la situation désavantageuse d’une femme seule et de sa fausse supériorité politique.

Cette Canaille, après la menacer et la traiter de LOCATAIRE INSALUBRE et de lui dire: je vais le dire dans mon Rapport que vous recevrez sous-peu, vous pouvez après, me dénoncer au Tribunal, Faire une contre-expertise, demander de l’aide à votre assureur.

Véra clament lui a répondu:

Monsieur, vous allez rester avec vos insultes seul, car je ne ferai RIEN contre vous, je ne ferai aucune action en justice , ni déposerai jamais, plus jamais de plainbte devant le Tribunal, la preuve est que depuis cinq ans que les Logeuses criminelles m’attaquent je n’ai rien fait contre ces canailles. Je ne ferai rien contre vous, je ferai mieux,  votre rapport je vais le PUBLIER! »

Alors, lui outrancier, avec un visage cynique et un ton méprisant la regarde et lui dit:

« Si vous voulez! »

Cette Canaille et sa Complice, la vipère menteuse, sont de ces petits spécimens, qu’on ne peut pas nommer « Personne », car l’étymologie serait violée.

Ce sont de ces éléments incapables de toute bonne action,  ils  maîtrisent les forces de la méchanceté, et qui pullulent dans toutes les administrations de ce pays du Tiers Monde qu’a force de recommandations politiques leur fut facile d’asseoir une sorte d’installation administrative où il est « Inspecteur », et l’autre  une bonne à rien, tous deux en copinage et en se tutoyant, loin de posséder une quelconque autorité, ils s’adjugent des fonctions qu’il n’en ont point. Il a voulu transformer l’inspection qui ne devait se limiter qu’à deux pièces, en trois, il est l’entré de force et avide de savoir comment Véra a sa chambre à coucher !

Aucun administré ne doit exprimer la volonté d’entrer dans la chambre à coucher d’une dame locataire.

Dans la chambre de Véra n’a ni de fuites de gaz sortant du chauffe-eau, ni des infiltrations d’eau sortant des canalisations d’évier et des sanitaires, ce Canaille a voulu même faire des photos de son lit !

Là, Véra s’indigna et l’a mis dehors, il a essayé de la pousser, elle a fait un pas en arrière, en protestant catégoriquement, c’était un film a charger à un cinéaste,  et la Canaille s’est avancée à coté de son lit, il insista lui disant qu’il voulait vérifier la prise !!!

Véra révoltée lui a dit: Alors là monsieur, vous sortez !Vous n’avez pas le droit de prendre des photos de mon lit !

L’après-midi, Véra lui adressa un mail avec la photo de son lit à nu, dépourvu de linge, et lui a écrit: voila monsieur, pour la deuxième fois, je vous poste la photo de mon lit que vous avez déjà depuis un mois, car je vous l’avais posté, de cette, photo vous pouvez en faire usage selon votre convenance,  mais pas d’un lit d’une chambre à coucher qui est un lieu privé qui m’appartient, mon domaine privé,  vous le violez et vous voulez le transformer en lieu public !»

Cette Canaille, s’est dit Véra, elle est non seulement une Canaille, mais un type dangereux, malfaisant et des bas-fonds, c’est cette pègre que les gouvernements bananiers donnèrent du pouvoir par des motifs politiques, maintenant le pays entier est infesté de la peste incrustée jusque’à l’os.

Il n’est que, celui qu’en n’étant qu’un subalterne, s’est fait passer par le Directeur du service de l’administration.

Le rôle limité d’inspecteur des dégâts des appartements sociaux,  il a voulu le transformer en une perquisition ! « Et, pourquoi pas dans une garde à vue » s’est dit encore Véra.

Une personne qui la connait depuis des nombreuses années lui a dit un jour:

« Ce qui est surprenant chez-vous et qui me donne l’assurance de votre résilience est que vous n’abandonnez jamais votre dérision, pour plus tragique qui soient les événements de votre vie, vous les transformez en dérision », alors Véra lui répondit: « c’est l’unique me manière de survivre,  de me sauver, je ne peux pas m’empêcher de les regarder comme des pions, des artefacts risibles et si grotesques que quand ils arrivent m’agresser et me provoquer, je ne peux pas retenir des fous rires ! , c’est tellement grotesque et le grotesque fait rire ! »

ILS SONT TOTALEMENT CORROMPUS VENDUS AU POLITIQUE ET IRREMEDIABLEMENT BORNÉS : LA PENSÉE ENTOURÉE DES BARBELÉS

3 août, 2025 (07:54) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

                                « LA RUSSIE

 

                      N’A PAS L’HÉRITAGE

                 DE LA GRÈCE ANTIQUE »

 

 

 

Chers Lecteurs,

«Un grand Professeur s’écriait hier devant les caméras de la chaine LCU : « la Russie n’a pas eu l’héritage de la Grèce antique, le Moyen âge, la Renaissance, la Russie est nihiliste » (!)

Personne ne va contester sa grande culture ni son « prestige », ce dont nous sommes libres de nous opposer est à son choix et sa « perspective » pour nous totalement erronée de son analyse ;  il peut être un homme d’une vaste culture et parallèlement être borné par des barbelés dans son cerveau qui le limitent et le forcent à dire des insanités.

Pour rappel, quand bien même la Russie n’a pas eu ce grand héritage de la Grèce antique qui a l’Europe, elle a su se développer avec la grandeur de sa spécificité unique et de sa force, la Russie ne s’est pas développée sur le socle de l’héritage Grec comme l’Europe, mais il faut observer avec clarté ce que l’Europe a fait de son héritage, non seulement, elle l’a oublié, elle a fait pire, l’Europe l’a piétiné, une fois reçu son héritage, elle l’a violé, elle a annihilé ses principes et si elle est tombée aux abysses c’est précisément par son oubli délibéré de toute la tradition Grecque et judéo-chrétienne, nous y sommes dans le royaume de l’inhumanité où le nihilisme se conjugue avec le pouvoir de l’argent, et pour citer ce qui a dit Jacqueline de Romilly à propos de l’héritage grec, « elle a donné à l’Europe la démocratie et  la tempérance. »

Certes, l’Europe devait recevoir l’héritage de la tempérance, mais l’Europe a outragé son héritage et s’est métamorphosée en lieu de crime, de débauche et de transgression politique, en somme,  l’Europe est devenue le lieu du néant créatif, domaine où la puissance d’un pays se fait acte, l’Europe est devenue le centre du néant.

La Russie n’a pas eu l’héritage grec, mais seule, elle a su se développer avec ses propres facultés créatrices, et nous a donné dans le domaine littéraire des monuments qui sont supérieurs à ceux de l’Europe. Un rappel pédagogique est toujours très utile parce qu’avec l’outrecuidance de l’Europe qui se croit la seule héritière des valeurs artistiques, il y a le risque du ridicule ; personne ne pourra contester que  l’Europe ne détient plus ses valeurs de jadis, et qu’elle est devenue un continent épuisé, fatigué à tout jamais, et qu’elle a perdu son socle qui soutenait son rayonnement, l’Europe a épuisé son cycle et elle n’a plus la grandeur d’autrefois.

C’est non seulement Jacqueline de Romilly qui nous donne des grandes leçons pour aborder l’exégèse de notre temps ; en tant qu’européens, il est aussi nécessaire de revoir les leçons de George Steiner, à maintes fois, ici même, j’ai transmis le message qu’il a donné sur les auteurs russes, dans son Tolstoï ou Dostoïevski, où il fait la comparaison avec les chefs-d’œuvre littéraires français, il ne vous sera pas agréable de l’entendre, naturellement ; personne ne conteste la valeur de Flaubert, mais écoutez bien ce qu’il dit de Tolstoï… Dès nous jours, il faut être doué d’un grand courage intellectuel, pour oser s’aventurer dans la pratique de la comparaison, seul moyen de ne pas se tromper dans toute sorte d’analyses, dans tout domaine du savoir et même le plus simple de la vie quotidienne, nous devons savoir comparer et pour être à même de « comparer », il faut d’abord « connaître. »

Ne vous aventuriez pas explorer des terrains inconnus sans préparation, vous risquez de subir des grosses tempêtes, soyez prudents, il est pareillement dans le domaine de la connaissance aussi risqué que celui d’un explorateur ou d’un alpiniste, il vaut mieux être bien sécurisé.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

… UNE PETITE BOMBINETTE COMME CELLE-CI…

2 août, 2025 (17:37) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

   IL SERAIT GRAND TEMPS

 

 

QU’IL SOIT MIS SOUS TUTELLE

 

 

ET QU’IL ENTRE EN EHPAD !

 

ET… UNE PETITE BOMBINETTE

 

 

À L’ŒUVRE LE CALMERAIT !

 

 

 

Vu son âge…

 

NADEZHDA

COUVERTURE ET 4è DE COUVERTURE : VÉRA LA CANAILLE ET SA COMPLICE

2 août, 2025 (11:36) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

VÉRA -LA CANAILLE ET SA COMPLICE – UNE MAFIA EN BANDE ORGANISÉE

31 juillet, 2025 (17:42) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

VÉRA – LA CANAILLE ET SA COMPLICE

 

NOUVELLE

 

 

 

TABLE DES MATIÈRES

 

 

LIMINAIRE – AVERTISSEMENT                                               

Chapitre I          Le logement et Le Bailleur.                                            

Chapitre II        Une Plainte Pénale sans procès.

Chapitre III      Un appel-Une lettre

Chapitre IV      La visite  :  VÉRA-La Canaille et sa Complice.

Chapitre V       L’outrage – L’insulte – Les menaces – Les Mensonges

Chapitre VI      Écriture- Écritures

Chapitre VII    VÉRA

Chapitre VIII  L’Agora, Le Bailleur et sa Mafia en bande organisée.

ÉPILOGUE    

 

 

 

Publication : le 25 septembre 2025                                 

SÉRIE SERBE-MUSIQUE D’ALEXSANDAR RANDJELOVIC -MUSIQUE D’OUTRE-TOMBE-MUSIQUE SUBLIME !

31 juillet, 2025 (15:38) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

SÉRIE SERBE DANS LA ARTE

CE SOIR LES 4 DERNIERS ÉPISODES.

 

MUSIQUE :

 

ALEKSANDAR RANDJELOVIC  ACTEUR

ET COMPOSITEUR.

 

 

FACULTÉ D’ART DRAMATIQUE DE BELGRADE.

RIEN NE SE FAIT SANS ÉTUDES ET SANS THÉORIES.

CETTE MUSIQUE EST SUBLIME.

 

LE CLOWN YOUTUBE : QU’IL CAPITULE ET QU’IL SE TAISE !

31 juillet, 2025 (11:58) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

           QU’IL CAPITULE

                            ET

 

 

                 QU’IL SE TAISE !

 

 

 

 

 

Quand on a de la puissance de la vérité,  on se tait, et on agit.

Typique du Clown YouTube est de ne cesser de pleurnicher et appeler au monde entier d’aller à son secours. Nous en avons marre de leurs appels au secours et de leurs  pleurnichades sans fin.

Il aurait dû le penser « avant » quand mon Président PUTIN les avait avertis. Ils sont coupables de terrorisme dans le Donbass, ils ont été coupables de corruption et le restent, c’est le pays qui est au premier rang de la plus gigantesque commercialisation de la GPA, inscrite dans la loi ; les ukrainiens vendent leur ventre, dégénérées qui changent le cours anthropologique de l’humanité, toutes sont  protégées par la loi qui permet cette dégénération parce que permise par la loi, une loi de pacotille et perfide avec l’aval du gouvernement de Kiev qui les laisse poursuivre la création des monstres, où les européennes incapables de procréer, vont en Ukraine acheter leurs monstres et le ramener en France.

Ils sont et le restent coupables d’une nouvelle résurgence du nazisme, l’exemple leur régiment AZOV que jusqu’à ce dernier Noël se prenaient en photo devant la mairie de Kiev, et leurs « selfies » faisaient le tour du monde avec leurs logos et insignes laissant l’empreinte maudite de leur investiture nazi.

 

Ils n’étaient ni préparés ni capables d’acquérir leur « indépendance »

Que croient-ils que c’est LA GUERRE ?

Que pensent-ils ?

Que l’adversaire va leur jeter de bouquets de roses et des kilos de friandises ?

Qu’il se taise et qu’il capitule, c’est ce qu’il doit faire.

Et, au clown le voici mon message…

Ici en France tout le monde est en vacances et pour les français les vacances sont sacrées, personne n’écoutera « au secours ! « Voila le loup! »

Le sacré ici sont uniquement les congés… sacrés.

Comme pour d’autres, il est sacré la défense de leur terre, de leur religion de leurs coutumes et croyances.

C’est ce que défend la Russie.

En Russie il n’y aura jamais une loi qui admette la GPA et qui  défende les femmes dégénérées !

La Fédération de Russie gagnera « l’opération spéciale » soyez-en certains.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

PSYCHOPATHES

31 juillet, 2025 (07:08) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

       PSYCHOPATHES

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il m’a dit : Madame, vous êtes entourée de PSYCHOPATHES.

À la seule prononciation de ce mot, PSYCHOPATHES dans la voix d’un étranger m’a produit un effet magique. Je l’ai trouvé si adroit, si bien dit avec un seul mot qui résumait ma situation de victime dans cette commune d’enfer que je me suis promise de l’écrire.

Parfois une simple conversation, un dialogue, un face-à face, a des résonances insolites, parce que le destinataire de notre discours devient un « miroir » qui va projeter des images non de vous-même, mais des mots que vous dites, et qu’il transforme en images, en sons et signifiants. Hier, j’étais très occupée, j’ai préféré ne pas écrire ici, dans ma résidence secondaire, mon blog l’est indubitablement. Cette personne me questionna sur le fait que je me trouve privée de l’usage de l’eau chaude depuis presque cinq mois, question que dans tout pays dit « civilisé » est impossible d’imaginer chez une femme locataire.

Cette situation devrait être condamnée et remédié ipso facto et les actants de ce délit obligés et surveillés par un vrai chef  qui sur place les oblige d’agir en urgence.

Quelle personne en France n’a pas le droit et l’accès à l‘eau chaude ?

Une personne qui vit dans un campement, dans une caravane misérable, aux fonds des bois, un immigré qui arrive à la nage en croyant que ce pays du tiers monde va lui donner une meilleure forme de vie….Ou l’idiote que j’étais de croire qu’en quittant mon pays moderne et en arrivant ici, pays du tiers monde, j’allais faire des choses artistiques reconnues et extraordinaires. En vérité, les choses extraordinaires, je les ai bien faites, mais elles restent soumises dans l’invisibilité de LA JALOUSIE.

Cette personne, un homme jeune qui travaille dans le monde médical, s’est intéressé à mon cas hors du commun et me questionna.

Au fur et à mesure que j’avançais dans mon récit en lui répondant en détail sur la façon dans laquelle les vassaux du bailleur qui ont des tentacules dans toute la commune, infestant tous les organismes qui sont à même de remplir leurs obligations administratives, les pions du « bailleur social » s’exécutent et obéissent leurs ordres, c’est pourquoi, par exemple, entre autres délits  administratifs de Poissy et des Yvelines, j’attends encore, et contre les ordres du Tribunal administratif, la délivrance de ma nouvelle Carte d’Invalidité de la MDPH.  Elles ne la renouvellent pas comme il se doit, parce que ces femmes fonctionnaires,« ELLES » savent que si elles retiennent la délivrance me provoquent un désagrément qui administrativement bloque ma vie courante. Soit. Je réécrirai la plainte au Tribunal administratif. A la fin « ELLES » seront obligées d’obéir les ordres du juge.

En langage juridique cela se nomme « abus de pouvoir », si un fonctionnaire d’État agit de la sorte, il faudrait lui faire un procès, des années de prison et des amendes qui vont jusqu’à 45.000€, sont écrits dans le Code pénal, mais cet improbable procès de mon côté, n’aura jamais lieu, car je connais depuis des longues années ce pays, mon âge m’exige de ne penser qu’à ma santé, à ma paix, à mon bien-être.

Je leur ai dit face-à-face, l’autre jour, quand un des plus abominables individus et fonctionnaires de la mairie est venu ici m’attaquer, m’insulter et me menacer ! Me menacer avec affront, entre autres insanités de lui faire un procès, cet individu des bas-fonds cherche la bagarre ! Il n’en l’aura point. « Je ne vous ferai aucun procès »… Je lui ai dit.

Si j’avais été prête à ce type de fatigues stupides, c’est depuis 2021 que j’aurais pu entamer un procès contre Vilogia, la preuve est que je n’ai rien fait, je les laisse faire, qu’elles se confrontent à leur propre méchanceté comme un boomerang, et pareillement avec leurs vassaux de la mairie de Poissy, qu’ils crèvent de jalousie, des ressentiments et de plaisir morbide de me voir privée de mes droits et le droit le plus fondamental en France de toute personne qui loue un appartement est d’avoir accès à l’eau chaude et de ne pas vivre dans un local nuisible à sa santé.

Ces fonctionnaires de l’enfer, violent la loi parce qu’ils se savent protégés, d’une part, par leur propre Chef de Service, et d’autre part par leurs syndicats.

Mais avec ce qu’ils ne comptaient pas, c’est avec mon indifférence, ils ne comptaient pas avec ma parole écrite, ma parole écrite ne me fatigue point.

Je ne souffre pas des dépenses d’argent (argent que je n’ai pas), je reste immobile, face à « ma palette et mon écritoire », mais ma parole est incendiaire, elle remue des rocs, elle éveille les consciences, elle transporte un message de vérité et peut sans aucun doute faire bouger les événements criminels, sans fatigue aucune de ma part, ce que d’autres doivent attendre des années.

Non, je ne ferai plus jamais de procès dans ce pays du tiers monde.

Le châtiment qu’ils méritent, ne s’exécuterait jamais, ils ont leurs syndicats et Prud’hommes, avec leur aide, ils s’en sortent toujours de l’improbable châtiment, cet qui leur permet de se conduire en bourreaux en  toute liberté et nonchalance contre ceux qu’ils croient « faibles ». C’est en bourreaux invisibles et totalement lâches, en possession d’une nature de ressentis sociaux, qu’ils déversent leurs frustrations de « classe » ancrée dans leurs gènes dès leur naissance, contre celui ou celle qui par hasard, ils trouvent dans leur chemin, quelques rares fois dans leur misérable vie de petits fonctionnaires.

Parce qu’ils ne trouveront jamais une autre comme moi dans leurs misérables vies de fonctionnaires, ils sont nés et mourront en misérables bourreaux aux vies grisâtres et anodines.

À l’écoute de mon explication, il m’a dit : « certes, mais moi, qui vois votre histoire de l’extérieur, la seule pensée qui me vient à l’esprit est que tous ceux qui vous attaquent sont tout simplement de PSYCHOPATHES ».

Ceux qui sont victimes en France et qui sans argent décident de faire un procès, ne gagneront que de manière très improbable après une attente d’une dizaine d’années; la victime n’aura gain de cause que si elle se paie un excellent avocat, de ceux qui travaillent sans que vous fassiez le travail à leur place, de ceux pour qui leur dignité est une question d’honneur, ils n’admettront jamais qui soit la cliente celle qui devra rédiger le rapport à leur place, et que pire encore, avec affront et insolence, réclament que leur rapport de 350 pages est « trop » pour eux, car ils comptent festoyer dans leur temps de libre !, ces bons avocats n’exigent pas que la victime leur téléphone pour savoir dans quel stade se trouve son dossier, donc si la victime n’a pas d’argent, elle doit réserver ses forces et sa vie pour la vivre dans une action qui est destinée aux choses de l’esprit, parce qu’un pays du tiers monde, est un pays où la justice n’existe que pour les gens aux revenus très confortables, car dans ce pays du tiers monde, « la justice » ne fonctionne point comme dans un pays moderne, bien organisé, où la moindre violation à la loi écrite est défendue par un bataillon d’avocats qui ne transige pas, parce que si un corpus judiciaire manque à son devoir si un corpus judiciaire laisse les bourreaux-fonctionnaires attaquer une femme sans aucune faute que celle d’exister et que sa seule « existence » provoque une gigantesque haine et détestation qui fait naître le désir de la détruire, c’est là que ce corpus des véritables défenseurs de la loi, leur ferait connaître ce que veut dire de passer à la trappe pour leurs délits.

Mais avec la loi de l’entonnoir, formule qui est née dans les pays du tiers monde, moi qui suis victime, je reste immobile, je ne ferai jamais rien d’autre qu’écrire.

Ce jeune homme qui parle avec moi, qui connait le monde médical, quand bien même sans être médecin, et parce qu’il a un contact étroit avec les malades et le personnel soignant au quotidien, il a une « expérience de vie » et professionnelle avec les « humains » et une fois qu’il a reçu le contenu en entier de mon histoire et les détails du comportement du personnel du bailleur, de ses vassaux et de la mairie, m’a dit ceci :

« Madame, votre situation est simple, vous êtes entourée de PSYCHOPATHES ! »

 

 

Carmen  Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA