L’ON NOUS DEMANDE NOTRE AVIS – EN MATIÈRE D’ART L’INTRANSIGEANCE S’IMPOSE, RIEN NE DOIT ÊTRE LAISSÉ AU HASARD, RIEN NE SE PARDONNE EN VUE DE LA PERFECTION- VOICI MON AVIS
Chers Lecteurs
BACH ne permet pas la cherche « mélodieuse », non, non et non! un peu trop vite, la pédale que vient elle faire ici?! La « vitesse » excessive fait qui se forme un morceau indifférencié totalement contraire à ce que « contrepoint » veut dire !
Il manque un appui sur le clavier, parce que l’interprétation se dilue, le « contrepoint » s’efface, il n’y a aucun contraste et sans tomber dans l’expressionnisme ou dans une approche romantique, qui serait un nouvelle erreur, il faut tour revoir, je suis étonnée que son professeur ne lui ai pas signalé ce que je viens de dire, il n’est pas en Amérique Latine tout de même !
Dans cette interprétation BACH n’existe point.
Le talent se suffit pas, « jouer » bien non plus, il faut comprendre la partition, avant de se lancer à jouer, du contraire il y a une trahison impardonnable, et je suis sûre que toute oreille qui « sait » , et qui est habituée à comprendre ce qui exige BACH trouvera ma critique vraie parce que juste.
Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK
NADEZHDA
C’EST UNE THÉORIE RÊVEUSE
Sylvain Tesson : «Si seulement les hommes, écoutant le chant des forêts, pouvaient comprendre qu’ils n’ont besoin de rien d’autre…»
https://www.lefigaro.fr/
UNE THÉORIE RÊVEUSE
POUR LES PERSONNES QUI PEUVENT SE PAYER CE LUXE !
Chers Lecteurs,
Quelle fut ma première pensée à la lecture de cet article ?
Je sui née à l’époque où il n’y avait aucun artéfact de cette modernité, j’ai été élevée par des parents artistes et cultivés, j’ai reçu le chant de la nature, c’est à présent UN LUXE qui ne peuvent se permettre les personnes qui entretiennent une qualité de vie luxueuse, qu’est-ce que le LUXE pour moi?
Ne manquer de rien d’essentiel pour la vie et jouir de solitude et de SILENCE.
Je suis née à l’époque où n’existait pas encore la télé, ni l’internet ni les smartphones, pour-tout vous dire, en France, j’ai dû écrire ma première thèse de maîtrise avec une vieille machine à écrire, pour celle du doctorat, j’étais grandement avancée ! C’est fut d’abord avec une machine électrique qui faisait un bruit si fort qui semblait aux coups de mitraillette ! L’autre moitié, je l’ai écrite avec mon premier ordinateur dont l’unité centrale marchait avec des « disquettes ». Ce système n’existe plus.
Mes parents m’éduquèrent avec cette modalité de vie, proposé par monsieur Sylvain Tesson, de se contenter de l’entourage naturel : la mer, les pins, les eucalyptus, la magie d’allumer le feu de bois le du soir, et de rester extasiée face aux flammes et d’aller regarder le coucher du soleil, ce socle ne m’a pas empêché de m’adapter sans aucune contrainte à ce monde informatisé et je n’ai jamais eu besoin d’aide pour m’en servir… de cette « modernité » comme d’autres « vieilles ».
Que ce ministère de l’ignorance Nationale ne réagisse pas et que le ministère de l’inculture continue sa destruction n’est pas étonnant si la gouvernance depuis une quarantaine d’années a été confié à des ignorants de la pire qualité, il vaut mieux dire « sans qualité ».
Et, ils sont arrivés au paroxysme de l’horreur du manque de sensibilité avec la dernière nomination en faisant prévaloir uniquement la pensée partisane
C’est un domaine pollué face auquel nous sommes écrasés par la médiocrité.
Je n’oserais pas promouvoir rien d’exquis tant que le politique reste en place en proliférant le plus hideux comme le choix des vitraux de Notre Dame.
C’est une époque pour rester en hibernation et fermer portes et fenêtres à double tour.
Pour aller au bord de mer, il faut avoir de l’argent.
Je ne prends pas de vacances depuis mon arrivée en France, j’avais une cabane au bord de la mer…
Je n’écoute plus le chant de la forêt, ni ne respire le parfum des arbres, ni le murmure métallique des feuilles d’eucalyptus au vent… Je n’écoute que les cris d’une cité HLM toutes les stations durant, alors ces théories me sont devenues étrangères et je pense qu’elles sont des élucubrations qui peuvent se permettre ceux qui comme moi « avant », nous avions « le loisir » de ces luxes.
Vivre indépendant, s’écarter de la pègre, jouir du silence sont à présent des luxes interdits pour ceux qui comme moi ont été victimes de l’administration.
Más vale no meneallo Sancho »
Et, nous sommes obligés à continuer à vivre…
« Nous sommes condamnés à vivre » comme nous a dit Kafka.
Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK
NADEZHDA
TROP TARD POUR FAIRE MARCHE EN ARRIÈRE, JE PRÉFÈRE PARLER À UN ROBOT QU’À UN « HUMAIN » DÉSHUMANISÉ
Les pionniers de l’IA alertent sur les dangers potentiels liés au développement d’une superintelligence https://share.google/
