HOMMAGE AU DOCTEUR TRIBILLAC
J’AI SIGNÉ LA PÉTITION DU DOCTEUR TRIBILLAC.
Un médecin dévoué
C’est la seule manière dont je dispose pour contribuer pour défendre ce médecin unique qui respecte le serment d’Hippocrate, il mérite la Légion d’honneur au lieu de recevoir cette indigne sanction pour son travail dévoué, mais que pouvons-nous attendre de l’État ?
Que pouvons-nous attendre d’un organisme hypocrite ?
Je viens d’écouter l’entretien de cet illustre médecin, et d’entendre l’ignominieux discours d’un ex-député qui a fait l’éloge de l’époque de ses parents ouvriers qui, selon ses dires, jamais, ils ne demandèrent un congé de maladie.
Il s’est permis aussi de donner l’exemple des agriculteurs. Monsieur le Député, si j’avais été devant vous, savez-vous ce que je vous aurais répondu ?
Certes, les agriculteurs ne demandent pas “de congé de maladie” ils doivent faire pire :
ILS SE SUICIDENT !!!
L’époque de vos parents était celle des ouvriers qui mouraient par la fatigue et dont l’espérance de vie était moindre, alors, voudriez-vous que les nouvelles générations au lieu de bénéficier de quelques années de survie pour se reposer un peu d’une vie d’usure, ils paient en châtiment stupide pour les désavantages de la médecine d’autrefois, CELLE DE L’ÉPOQUE DE VOS PARENTS ?
Et qu’ils ne bénéficient pas de ce qui leur revient en toute justice, parce que ces ouvriers mal payés, ces employés payés au seuil de pauvreté, ces citoyens qui vivent à la marge, et que cet illustre médecin aide à survivre, ils cotisent et ils ont droit dans les périodes de maladie et de détresse, d’être aidés par un organisme qui les prélève tous les mois DES COTISATIONS !
Et, les peu de récompenses que ce système nommé de “Sécurité sociale”peut leur offrir se réduisent à un utile congé de maladie pour leur éviter la mort au travail, ce congé de maladie, ce sont eux-mêmes qui se la paient monsieur le député, parce que ce même système de Sécurité sociale ne leur donne pas le salaire brut, mais il est bien réduit quand la fiche de paie dit salaire net.
Ces travailleurs que vous, monsieur de député, vous passez à la trappe, parce que selon vous, ils prennent votre SÉCURITÉ SOCIALE pour “une vache à lait”, c’est faux et une insolente manière de traiter les pauvres gens qui sacrifient toute leur vie pour gagner leur pain, en étant toujours sous-payés.
Ces travailleurs qui, de trop se sacrifier au travail, après 40 ans, ils sont déjà usés, comme le dit si bien le Docteur TRIBILLAC.
Ces employés sous-payés contribuent mensuellement à leur propre assurance maladie, car quand nous travaillons, monsieur le député, nous cotisons et l’employeur nous prélève l’assurance maladie et l’assurance vieillesse, cotisations qui ne nous donnent rien quand nous sommes à la retraite.
Il me faudrait rappeler ce que j’ai déjà écrit sur l’illustre CPAM française, mais que croyez-vous ? Est-ce que c’est la Sécurité sociale la seule coupable où c’est l’État qui la commande ? La preuve, la CPAM de DIEPPE s’est refusé à tout commentaire aux journalistes, elle est prise au piège !
Mensonges, hypocrisie des mafieux au sein de la politique mazamorra.
Et imaginez-vous, c’est avec ces méthodes des bas fonds en accusant un illustre médecin français qu’ils prétendent faire l’EUROPE déjà bien prostituée et en plus préparer UNE GUERRE ?
Ils sont à plaindre et à mettre dehors de la sphère politique.
Un autre politicard de la dernière catégorie.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
Arrivée en France en 1981.
Diplômée de Pédagogie en espagnol, Professeur d’espagnol, 5 années universitaires faits à l’UTE de Santiago du Chili.
Arrivée en France par ses propres moyens financiers, obtient par ses propres moyens l’Assurance maladie pour sa mère qu’elle prend à sa charge en 1979, date du décès de son père. Aussitôt arrivée en France, elle TRAVAILLE et cotise, fait les équivalences en Sorbonne et obtient deux diplômes français : Maîtrise Mention Bien, et D.E.A. de Littérature Générale et Comparée. Doctorat : “Les sources italiennes dans Le Tunel d’Ernesto Sabato et trois études comparatives”
Parallèlement, elle est artiste peintre formée dans l’Atelier su disciple d’André Lhote, le peintre Hernán Gazmuri qui est entré au Patrimoine de la France en 1983: www.hernan-gazmuri.com
Elle est la dernière héritière de l’École de Paris encore en vie.
Elle est poète – écrivain.
Forte de son expérience, des injustices de l’Éducation Nationale et, à présent, de l’administration des HLM, elle peut avec des preuves en l’espèce, dénoncer la bassesse de l’administration.
Retraite : 1000€ mensuels.
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Un médecin de Dieppe sanctionné, car il signe trop d’arrêts de travail : “Des arrêts absolument nécessaires”
Selon l’Assurance maladie, le docteur Tribillac, à Dieppe, signe trois fois plus d’arrêts de travail que ses confrères. Un chiffre que le médecin, non seulement confirme, mais assume et défend.
Le docteur Tribillac, 69 ans, est installé depuis plus de trente ans dans un petit cabinet médical, situé dans le quartier populaire du Val Druel, à Dieppe (Seine-Maritime). Il n’est pas loin des tours d’habitation, et de l’immense centre commercial. Sa patientèle, il le dit lui-même, est très populaire. “Mais ce sont des travailleurs”, s’empresse-t-il de préciser. “Trop de monde voit la couche populaire comme une couche paresseuse, qui ne travaille pas”.
“C’est de l’injustice et de la méconnaissance”
Des travailleurs qu’il arrête souvent. Trop souvent selon l’Assurance maladie. Trois fois plus que la moyenne de ses confrères. La CPAM, Caisse primaire d’Assurance maladie, lui a donc demandé de réduire de 20% le rythme. “Mais déjà 5% c’est impossible. Si je signais trop d’arrêts, je comprendrais, mais là, ils sont justifiés. C’est de l’injustice”, se défend-il. Pour lui, cela témoigne d’une méconnaissance des quartiers populaires, “où l’on tombe malade plus souvent, plus tôt dans la vie, où l’on exerce des métiers difficiles, plus longtemps, avec des contrats parfois précaires, où l’on a peur de s’arrêter de bosser. Il y a aussi des raisons spécifiques à Dieppe, je pourrais citer le travail à la coquille, rémunéré au poids.”
Le docteur Tribillac se défend d’être le médecin que l’on va voir quand on ne veut plus travailler. “En somme, je suis le vilain médecin, qui aide des fainéants qui ne veulent pas bosser, en creusant le trou de la Sécu”, conclut-il, un demi-sourire aux lèvres.
Il avance de l’argent à ses patients
Puisqu’il a refusé de réduire le nombre d’arrêts maladie, il a donc été placé sous surveillance. Ses arrêts sont désormais vérifiés par la CPAM de la Seine-Maritime. Pour éviter que ses patients n’en pâtissent financièrement, il a donc décidé de leur avancer de l’argent. “C’est le seul moyen que j’ai trouvé pour qu’ils n’aient pas cette crainte-là en plus quand je les arrête. J’ai des réserves et je ne suis pas trop près de mes sous, tant pis.”
Dans le viseur de ce médecin, un document, qu’il appelle un référentiel, de la CPAM, qui liste les catégories de population selon leurs revenus et la tolérance sur la question des arrêts maladie, de 1 à 5. La dernière catégorie étant la plus populaire. Un référentiel où selon le médecin, “environ 44% de la Seine-Maritime serait dans la catégorie 5”. Une catégorie qui serait donc bien trop large. “Le revenu de ma patientèle est très en dessous de la moyenne de cette catégorie. Comparer les habitants d’ici à cette moyenne, c’est une saloperie indigne.”
Le médecin, qui a déjà dépassé l’âge de la retraite, est prêt à aller au bout de son combat. Il a lancé une pétition en ligne, qui a recueilli près de 800 signatures, et persiste : il ne signera pas moins d’arrêts. C’est une question de principe, et de façon de voir la médecine, selon lui.
Contactée, la CPAM de la Seine-Maritime n’a pas souhaité répondre à nos questions.
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