CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Escritos literarios – críticos, anuncios de nuevas publicaciones, libros editados. Artista-Pintora. Telas al óleo, gouaches y dibujos

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UNE LOI OBSCENE – JE MILITE POUR UNE NOUVELLE LOI D’AIDE A VIVRE!

11 Marzo, 2024 (08:51) | Non classé

 

 

L’ÉTAT

ET SON LANGAGE OBSCÈNE

UNE EUTHANASIE STRICTE !

UNE AIDE À MOURIR

Une mort a la carte

Chers Lecteurs,

Je propose une loi d’aide à vivre !

Avant, c’était la maladie d’Alzheimer, à présent, il faut s’euthanasier si l’on a la maladie de Charcot. Les périodes et les époques commandent le choix de la mort.

Celui ou celle qui en a envie de se suicider qu’il le fasse, moi, je n’ai pas le moindre instinct suicidaire, alors, voici mon message aux SERPENTS-FEMMES de l’administration, vous perdez votre temps, je ne me suiciderai jamais, j’ai survécu à l’assassinat de ma mère, aucun problème administratif, aucune contrainte créée par vous, femmes maléfiques ne peut m’atteindre, mon amour à la vie est grandiose, il ne peut s’entamer par l’action diabolique que vous me lancez, vous  des femmes sans valeur

Ceci dit, voici ce que je pense de la nouvelle loi d’aide à mourir.

Les termes employés par l’État pour donner ses dernières consignes destinées à ordonner la fin de vie des Français souffrent de graves problèmes d’ordre philosophique, parce que la sémantique est claire, mais profondément inappropriée.

« Aide à mourir »

« Maladie incurable »

« Pronostic vital engagé »

« STRICT » ( ce terme est le pire de tous les autres.)

Premier problème existentiel de fond : nous, êtres humains, nous sommes tous condamnés à mort, ce fait incontestable mérite une profonde réflexion que l’État ignore.

À présent, l’humanité, et la France tout particulièrement, exige une aide à mourir, et en France tout doit être sous les commandes de l’État ; IL ne se satisfait point de commander et surveiller notre existence de notre vivant, à présent il est prêt à diriger notre mort.

Notre vie nous appartient, notre mort est de l’intime absolu.

Appuyée sur mes convictions d’autogestionnaire et que de surcroît je défends ma liberté avec une exigence de respect complet à mes décisions, je devrais prendre des nouvelles dispositions pour interdire à l’État français de s’immiscer dans mon intimité.

Notre vie ne peut être dirigée par des technocrates, la vie et la mort ne se régulent point de manière STRICTE, cela vaut pour les BANQUES, jamais pour les personnes.

L’État n’a pas à nous FIXER aucun dispositif nous concernant, cette prise de décision est manifestement OBSCÈNE.

MON VÉCU DANS UN HÔPITAL SEMI PRIVE DU 20ème ARRONDISSEMENT DE PARIS.

LE PIRE DES HÔPITAUX PARISIENS !

Le protocole hospitalier en France est répugnant, le cadre hospitalier d’une personne qui agonise est entouré des infirmières et d’aides soignantes qui rient aux éclats et un Chef de service qui se moque et rit d’une vieille flemme agonisante.

Mon vécu est fait, LIVRE-SCRIPT : CLARA, où je dévoile en détail l’agonie de ma mère, torturée et tuée par le MÉDECIN TRAÎTRE-TANT avec une préméditation et circonstances aggravantes, avec le seul intérêt de la faire souffrir pour me châtier gratuitement, c’est ça : LA PERFIDIE.

La loi Leonetti ne fut pas respectée, le crime perpétré par cet assassin, nommé REFUS DES SOINS commença à la maison, son crime fut achevé dans cet hôpital ou ses copains mafieux finirent d’achever Maman d’une manière propre des terroristes. Tout récemment, il a su ce que TERRORISME veut dire…

Bref, le manque de déontologie des hôpitaux et des médecins qui y « travaillent » ne sont pas mis dans le protocole STRICT du président de la République qui charge la tâche de l’euthanasie au patient agonisant et libère de toute responsabilité le personnel médical.

L’EUTHANASIE est un sujet de l’intime absolu, elle inclut en soi LA MORT, le scandale absolu de notre vie.

L’État commence sa loi de l’entonnoir, en attribuant tous les droits aux médecins, et réduisant tous les droits aux patients, il ne fait que contribuer aux crimes et dérives.

Le Président donne comme un fait indubitable et accompli que les hôpitaux français sont PARFAITS et qu’ils appliquent une déontologie sans faille.

La seule vérité est que les murs étanches des hôpitaux protègent des crimes les faux médecins assassins, et ensuite si la famille de la victime porte plainte, LE CONSEIL DU DÉSORDRE, mafia organisée par excellence, défendra de manière soudée et indéfectible ses confrères avec un jargon mensonger, et telle que les textes de loi sont écrits, pour l’heure, aucun avocat ne peut défendre la victime.

Les médecins seront toujours capables des pires des crimes car entourés d’une fausse gloire de guérisseurs, et quand nous sommes souffrants, nos capacités de défense sont nulles et nos forces pour mener une lutte en défense de notre survie, par la douleur de la maladie ou de l’agonie, sont amoindries ou totalement absentes

Les dérives seront nombreuses, le protocole hospitalier français est aberrant de fond en comble, les vices et défauts sont terrifiants, et le pire est qu’il n’y a aucun contrôle pour que les patients puissent bénéficier d’un recours en cas de maltraitance hospitalière, les murs des hôpitaux sont étanches et l’État donne comme un fait inamovible que tous les chefs de service sont doués de déontologie et que les comportements de son équipe travaillent avec une DÉONTOLOGIE STRICTE, le mot STRICT est bafoué dans sa nouvelle loi d’aide à mourir.

La vérité est que nous, pauvres français, nous avons besoin avec ce gouvernement d’une gigantesque AIDE A VIVRE.

Ne lui reprochez rien, il va se défendre avec l’argument que ce sont les Français qui lui ont exigé cette décision remarquable.

Dans un article précédent, je vous ai dit mon opposition ferme à l’EUTHANASIE.

La mort, et il n’y a pas de mort sans souffrance, à moins de subir un infarctus cardiaque, cela arrange bien le problème pour celui qui le subit et pour son entourage, la mort est presque toujours douloureuse.

Il serait bon de finir avec des discours édulcorés.

Nous sommes pris au piège entre les griffes d’une nouvelle loi STRICTE qui encore une fois octroiera dans la loi de l’entonnoir, le libre arbitre pour les crimes les plus abjects au sein des hôpitaux français.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

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