14 décembre, 2025 (22:05) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
IL S’APPELLE « AHMED ! »
MAIS LA FRANCE A CHOISIT DE L’APPELER
LE « HÉROS » VENDEUR DES FRUITS ET LÉGUMES.
Pour lui remercier, ils devraient lui demander sur ses origines, son travail, sa famille, s’intéresser à lui, il n’est pas « un vendeur » avant tout il est un « être humain ».
C’est ce que l’on fait comme le minimum d’attention vis-à-vis de quelqu’un qui a fait une bonne oeuvre pour autrui !
14 décembre, 2025 (19:37) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
KHORUMI
« Danse Khorumiinterprétée par le Ballet national géorgien Sukhishvili.
Le Ballet national géorgien (géorgien : ქართული ეროვნული ბალეტი) est la première compagnie de danse professionnelle d’État en Géorgie. Fondé par le couple Iliko Sukhishvili et Nino Ramishvili en 1945, il était connu initialement sous le nom de Compagnie de danse d’État géorgienne[1],[2].
Le Ballet national de Géorgie s’est produit au Albert Hall, au Colisée, au Metropolitan Opera et au Madison Square Garden, entre autres. En 1967, la compagnie de danse s’est produite à La Scala, ce qui serait la première et la seule fois où un groupe folklorique a eu la chance de se produire sur sa scène[3]. »
Chers Lecteurs,
Cette danse guerrière de Géorgie exprime avec une force et une chorégraphie étudiée au millimètre près le summum de ce que l’expression corporelle peut donner pour exposer la préparation à la bataille.
Le summum obtenu réside en quoi?
Cette danse Géorgienne est particulière, la théorie technique (sans théories en matière d’Art, il n’y a que du vide) qui a été mise en œuvre dans cette chorégraphie consiste en conjuguer la force, faite de dessins géométriques en permanente tension et lafinesse millimétrée des mouvements ! Deux éléments apparemment contradictoires qui ont été résolus par des artistes qui sont des maîtres absolus et, il ne faut pas l’oublier qu’il ont en leur possession une génétique bien spéciale et unique : le croisement de deux cultures !
Le pathos débordant qu’une telle expression esthétique provoque chez le spectateur, je me le garde, si je ne les aimais pas autant, je ne les publierais point !
14 décembre, 2025 (11:53) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
Chers Lecteurs,
Youtube nous offre parfois des trésors, le voici l’un de plus sublimes, il y a de multiples versions de ce quatrième mouvement du RÉQUIEM de Mozart, celle-ci est sans conteste sublime, mais en matière d’art, notre pathos doit rester à la marge, et en tant que spécialistes nous devons analyser les raisons la supériorité d’une oeuvre par rapport à d’autres et la critique comparative s’impose dans toutes les formes d’art, les règles sont les mêmes, le changement se réduit aux théories et techniques propres à chaque discipline.
Ces chanteurs allemands et autrichiens ont fait une formation d’excellence, ils ont été les meilleurs, et possèdent une trajectoire professionnelle qui les placent comme des « classiques »dans le monde lyrique. La seule qui est parmi nous est Gundula Janowitz, c’est si triste de savoir que les trois autres sont au Ciel…
Ce que je ne vous ai pas raconté est que mon père voulait que je devienne chanteuse, et étant donné qu’on ne peut commencer l’éducation de la voix avant nos 16 ans, il m’a trouvé une professeur d’opéra assez âgée avec laquelle j’ai débuté l’éducation de ma voix, tous disaient que j’avais l’oreille parfaite et c’est mon père qui avait voulu de toutes ses forces me voir chanteuse et à mes seize ans j’étais très avancée, Maman m’accompagnait au piano, mais tout fut arrêté car le Chili n’est pas le pays qui va vous donner la moindre perfection artistique et c’est seulement a littérature qui reste sauve.
Au bout du monde aucun artiste ne peut faire carrière, il faut venir en Europe et pour la musique c’est l’Allemagne le pays qui a sa tradition et personne en peut me contredire. A ceci s’ajoutait que de manière stupide elle voulait la changer mon registre de soprano à mezzo-soprano, ce qui était selon mes parents contre indiqué, bref, une seule chose j’ai récolté d’une expérience anéantie, j’ai gardé en moi, « l’éducation de la voix » ‘(la impostación de la voz)et selon tous les expert en chant, ils vous diront qu’elle reste en nous à tout jamais. Dès que j’arrivais au cours chez elle, elle fermait les fenêtres, et en riant me disait:« les voisinsvont crier au scandale votre voix est si puissante ! » Elle voulait m’éduquer pour l’opéra, mes parents s’opposaient et voulant pour moi le « lieder »; enfin je ne peux que vous dire que j’aime si fort le chant que je ne peux jamais m’empêcher de chanter avec les chanteuses !
Enfin, passons à écouter et dire les qualités suprêmes de ces quatre chanteurs, lex voix masculines sont d’une puissance en tension que dans leur jeu vocal il n’y a pas d’expressionnisme extrême comme s’efforcent d’autres modernes, la force expressive se concentre dans la puissance vocale qui se charge de la modulation, il est absolument nécessaire que la voix ne tremble pas, il ne doit pas avoir de vibrato, l’enchainement des chanteurs est d’une fluidité prodigieuse; cette faute du vibrato est plus perceptible chez les voix féminines, et ces deux chanteuses maintiennent la voix sans le moindre tremblement, les nuances ne doivent pas se donner qu’avec la respiration, et il est encore plus sensible chez Gundula Janowitz, parce que dans les registres les plus hauts, elle fait les nuances les plus fines avec la seule respiration et les silences, observez son jeu parfait, limpide et cristallin.
Les paroles en latin réveillent en moi mes études du latin dans le corpus de formation de pédagogie en espagnol, j’eus toujours la meilleure note, le latin est d’une pureté et d’une finesse! Il ne faut pas oublier qu’il est la tradition de la messe aux défunts qui garde le « Missale Romanum de 1570.
Il a été très adroit que l’enregistrement nous donne les paroles en latin.
14 décembre, 2025 (01:02) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
Chers Lecteurs,
Il a été invité sur le plateau de télévision et il a été le seul à faire l’analyse de cette situation, la faute est POLITIQUE, l’abattage ne résout rien.
Il propose la VACCINATION PRÉVENTIVE.
Ralentir mouvement des animaux.
La faute est le libéralisme, les enjeux commerciaux, le lobby qui favorise leurs intérêts commerciaux.
IL VA FALLOIR ATTENDRE DEMAIN POUR TROUVER SUR YOUTUBE SA PARTICIPATION DE CE SOIR.
13 décembre, 2025 (21:11) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
TUBA MIRUM 4ème mouvement
RÉQUIEM MOZART
DIRECTEUR MIRASS JANSONS
SOURCE : le magazine du monde lyrique
« Capté en mai 2017 à Munich, ce Requiem de Mozart est probablement l’ultime témoignage enregistré par Mariss Jansons en matière de musique sacrée. Le chef letton nous quittait en novembre 2019, laissant dans le cœur des mélomanes et de tous ceux qui l’ont approché un vide immense. Jansons pressentait-il sa fin ? Avait-il conscience de laisser ici ses derniers mots en matière de spiritualité ? Nul ne le saura sans doute jamais. Ce qui est certain, par contre, c’est que le disque gravé ici prend la tête de la discographie du Requiem de Mozart, qui n’est pas précisément pauvre, et que sa parution post mortem est un événement.
Nous pourrions commencer notre critique par la méthode classique, en énumérant les qualités qui ont emporté notre suffrage : l’orchestre en lévitation dès les premières mesures, à la fois murmurées et terriblement présentes, le son des cors de basset rendu avec une carnation inouïe, la pulsation cursive de Jansons, qui congédie tout pathos au profit d’une lumière rassérénante, les mille nuances d’un Chœur de la radio bavaroise à son plus absolu sommet, la cohésion exemplaire de tous les pupitres. Nous enchaînerions sur les mérites respectifs des solistes : la tendresse déversée à longs flots par Genia Kühmeier, le refus de la mort qui se cache dans le chant entêté de volupté d’Elisabeth Kulman, le dramatisme obtenu par des moyens très simples chez Mark Padmore, l’intensité que met Adam Plachetka dans chacune de ses interventions (le «Tuba mirum» !), et soulignerions la cohésion que ce quatuor parviendrait à garder malgré ses fortes individualités. On louerait la prise de son, aérée et réaliste. Tout cela serait bel et bon, en plus d’être terriblement juste.
Et pourtant, ces commentaires manqueraient leur but. Comme le bavardage d’un guide de musée face à une toile de Monet, ceci serait une barrière dressée entre l’auditeur et l’évidence. L’évidence d’une interprétation qui parvient à un naturel si absolu qu’on en oublie tout le reste (y compris les cent et quelques autres versions dudit Requiem entendues au disque), et que la seule pensée cohérente qu’on parvienne à articuler au milieu de l’émotion qui nous submerge est la suivante : « c’est exactement comme cela que l’œuvre doit sonner ». Merci Maestro, et bonne route ! Si le ciel existe, ses portes vous furent largement ouvertes dès les dernières mesures de ce « concert.