LE CRIME ABJECT CONTRE MAMAN – ELLE DÉCÉDA LE 18 OCTOBRE 2013
RAPPEL DES FAITS DU CRIME
DE
CLARA
MAMAN
CLARA AVANT SON MARIAGE- CLARA PORTRAIT DE HERNÁN GAZMURI (TOILE SPOLIÉE PAR LE CHILI)
Le 12 octobre 2013 de retour de notre promenade (20e Paris)
Maman très fatiguée, ce qui était très rare, je décidais de rentrer du café où nous allions presque tous les après-mi prendre le thé,.
(Avenue de la République)
Dîner normal.
Réveil terrible à 1h du matin.
Appels infructueux aux urgences, les hôpitaux refusent la prise en hospitalisation, faute de personnel et des lits pour personne très âgée.
2 docteurs des Urgences médicales de Paris laissent ordonnances pour venue de labo prise de sang d’urgence.
Le « docteur Traître-Tant » se refuse à la visite et suite à l’écoute de mes rapports par téléphone m’a dit : « laissez la tranquille », « je ne donne pas de lettre ni d’ordre d’hospitalisation » et se refusa d’appeler ses confrères d’un hôpital pour une prise en charge immédiate et dans des bonnes conditions pour éviter à Maman 12.h dans un brancard sans diagnostic, les symptômes sans être médecin, ils me semblaient d’une gravité extrême et ils exigeaient une prise en charge immédiate.
Le « Docteur Traître-Tant « ne se rendra point à son chevet que le lundi matin vers 11h30 quand j’avais avancé seule dans l’analyse de son état, à savoir une radio abdomino-pelvienne à domicile. Le résultat donné très vite à ma demande dit trouble apparenté à une « obstruction intestinale » que ce criminel « confond » de force avec « occlusion » deux anomalies d’origine totalement différente.
L’avis ultérieur de tous les gastro-entérologues est gériatres consultés à l’écoute de mon récit des faits en détail, et au regard de toutes les pièces médicales comme preuves en l’espèce fut catégorique : aucun médecin de 60 ans ne pouvait confondre l’urgence de Maman, car l’infarctus mésentérique s’enseigne et le maîtrisent les élèves de 1ʳᵉ année de médecine, donc son refus prémédité de soins d’urgence et le fait de dilater au maximum sa visite et la prise en charge de Maman, n’était que pour la faire souffrir et prolonger une agonie indicible avec des douleurs innommables que même pas un animal n’aurait pu supporter et un médecin vétérinaire aurait soulagé cet infarctus ipso facto.
Le consensus de tous les médecins consultés post-mortem furent décisifs et unanimes.
Le lundi 14 octobre cet assassin SICAIRE (tueur à gage) me donna des ordres écrits dans 2 ordonnances pour lui pratiquer des interventions que dans le cas d’infarctus mésentérique sont une folie absolue et c’est précisément là qui réside son crime.
Je m’abstiens de donner les détails par pudeur, nonobstant dans mon LIVRE-SCRIPT écrit pour faire un film, tout y est dit.
Il a été évident l’ampleur de sa cruauté et ses ordres criminnelles furent la cause d’avoir déclenché l’hémorragie interne et le début d’une agonie insoutenable.
Maman fut privée de soins avec préméditation, les 3 complices de l’hôpital, (ses confrères et amis ) lui interdirent les sédatifs et les soins palliatifs.
Le « chef de service M.Z. », la criminelle des urgences dr. T. , et le gastro chirurgien N.G., exercent en parfaite tranquillité, tous inscrits et trouvables sur Doctolib !
Maman a dû subir une agonie atroce qui a duré quatre jours dans « Le Taudis » que nous habitions à l’époque et quatre jours à l’hôpital du 20è où je l’ai hospitalisé de mon propre chef ne supportant plus ses souffrances, mais je l’emmenais dans un milieu où le « Chef de Service » et les deux autres médecins étaient ses amis et complices.
Ils se refusèrent à l’emmener au bloc opératoire, car quand bien même un infarctus mésentérique laisse très peu de chances de survie, LE PROTOCOLE MONDIAL DE CHIRURGIE ordonne que quels qu’il soit l’âge du patient, et quelle qu’il soit la gravité de son état, même sans chances de survie il faut opérer pour ÉVITER L’AGONIE DOULOUREUSE qui n’est pas paisible de se soulager avec aucun sédatif des plus puissants tels que la morphine.
Je n’ai jamais prétendu ni demandé la vie éternelle sur terre pour Maman, j’ai prié et imploré uniquement une prise en charge immédiate pour lui éviter des souffrances que la médecine moderne a en sa possession précisément pour éviter aux malades en fin de vie des souffrances qui peuvent être stoppées.
Maman s’est nécrosée de l’intérieur vers l’extérieur sur un lit dur et froid du pire des hôpitaux semi-privés du 20è de Paris.
Je suis le seul témoin oculaire car personne nous a rendu visite et j’ai dû faire face seule comme depuis la mort de mon père, à toutes les injustices françaises, enfermées ensemble dans la chambre de la douleur.
Le Conseil du Désordre n’a pas accepté notre plainte pénale.
Les atrocités que j’dû entendre les brefs moments que j’ai assisté à huis clos et les rapports scandaleusement mensongers des avocats de ces criminels me marquèrent à vie.
Il n’y a jamais eu de vrai jugement devant un Tribunal et un avocat m’a dit que pour un crime, tel que celui de Maman, il n’y a pas de prescription. Mais je n’ai pas de revenus pour payer les honoraires du meilleur avocat français.
Maman est morte étouffée le 18 octobre 2023.
Deo-puis avec mes faibles revenus d’une retraite de Professeur d’Espagnol jamais titularisée, j’ai payé 2 inhumation, 3 cercueil le dernier sarcophage car je voulais quitter la France avec elle) RTerois inhumations avec le changement de cimetière, la construction de 2 caveau car je ne supporterai pas de ne pas perte bientôt entrée avec l
Elle, et la poste de la pierre tombale. J’ai fini de payer en ter 2013 et 2022, 14.000€ mais la Mairie de Paris, « qui respecte la loi funéraire », me menace de exhy-ueler le. Cercles de Maman pour sortir sa dépouille et la jeter à l’acide (moins cher que l’incinération) pour ensuite offrir à la vente notre tombe au meilleur payeur. Ce horreur je ne pourrai pas le supporter. Le trésor Public de Paris, suivant les ordres de la mairie de Paris m’exige de lui payer en une seule fois 8500 € en une seule fois.
Je n’ai pas pu payer la concession perpétuelle que pour 10 ans et le délai va très bientôt se terminer.
C’est pourquoi, j’ai écrit cet essai, où je propose un changement de la Moi funéraire pour les personnes exonérées aux impôts qui sollicitent une concession perpétuelle pour leurs êtres chers.
La religion étant un interdit français, nous a laissées totalement abandonnées.
Je n’ai plus la nationalité chilienne, je l’ai déclinée et je n’ai que la nationalité française et en tout état de cause, le Chili suit la loi napoléonienne. Hélas !
Ils m’ont dit : « nous avons le calque de la loi napoléonienne »
Les imbéciles !
Les services funéraires chiliens demandent les mêmes sommes exorbitantes de la France.
Notre concession funéraire perpétuelle de famille se trouve dans le cimetière catholique de Santiago, notre concession où est mon père est pleine, donc pour nous deux, il n’y a plus de place.
Que devrais-je faire ?
Je l’ignore.
Je suis contre l’euthanasie et le suicide.
Rien de cela ne pourrait remédier mon problème funéraire.
Mon problème funéraire est une question d’ARGENT.
J’ai un atelier complet de mes propres peintures à vendre.
J’a offert deux toiles en cadeau à la ville de Paris.
Mais la ville de Paris ne veut que ma mort.
Elle me refuse par de simples moyens humains de me muter vers une HLM parisienne, ma ville d’attache et où j’ai toujours vécu.
La ville de Paris me refuse tout, alors il va falloir agir autrement, mais pour la concession funéraire, la loi laïque de la France impose le mépris aux morts.
Mais, nuance à retenir, pour devenir un mort respecté, il faut avoir été une célébrité ! »
Si un mécène me lit, je lui offre la totalité pour le prix de la concession de Maman.
Maintenant la Mairie de Paris a dû surement augmenter le prix, car la mairie augmente annuellement la somme de 800 € les taxes funéraires.
Trouver un acheteur de mon atelier, il est mon seul espoir.
Dans cet instant où j’écris cet article obligatoire pour la mémoire de l’être le plus sublime que Dieu n’a jamais créé : Maman, aucune issue ne m’est favorable ayant demandé de l’aide par écrit à toutes les autorités « incompétentes » de la Présidence aux députés, tous se sont conduits d’une manière absolument ignoble.
J’ai dit.
Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK
NADEZHDA