CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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ARTICLE EN DEUX PARTIES : LES VOIES EXISTENTIELLES ET LES FRAUDES INTELLECTUELLES

2 octobre, 2025 (06:00) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

                IL Y A DEUX VOIES

 

       CELLE DE LA VIE,  INÉLUCTABLE

 

           ET L’AUTRE, IMPOSÉE PAR L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE

            

                                     

 

 

Chers Lecteurs,

Les personnes de culture savent qu’il existe en Russie l’Université Lomonossov de Moscou pour apprendre le russe en cours individuels et collectifs avec un maximum six élèves. Au bout d’un mois, vous aurez les rudiments de la langue, ici en France la perte de temps est conquise sans la moindre difficulté, car l’université est « solidaire », « pour tous » et à pression il faut « passer le programme », les organisateurs des études universitaires, ministres, doyens et super-profs confondus, mettent tous les élèves étudier une Licence de langue Russe à pression dans un amphithéâtre avec 70 élèves or, dans un amphi, pour ce qui est de l’étude spécifique de la langue russe vous ne pouvez que participez une fois par jour et vous devenez une élève de russe « sourde-muette .»

Pas mal comme méthode pour les organisateurs d’un tel projet, et un calvaire quand vous n’avez pas de sous et que la passion pour la langue russe vous motive à faire des folies les plus extravagantes.

Je me suis inscrite de force dans cette extravagance et je suis la seule coupable de mes erreurs, accordez-moi, je vous prie, quelques circonstances atténuantes, l’amour, en est une et de taille, qui le comprend à cette époque ? Personne.

Allez parler d’amour à une langue, d’amour à la littérature, à la peinture, à la musique, l’on vous prendra pour folle à lier et cette étiquette vous persécutera comme une tare, cependant autrefois, la France respectait et restait en état de profonde admiration face à un artiste, j’en ai les preuves…Dans ma famille, et il est celle-ci une des raisons pour laquelle on ne me laisse pas revenir sur Paris, il faut me fermer l’entrée par mon passé familial, les « fonctionnaires de l’interdit »(Giorgio Manganelli) s’insupportent face à une personne qui porte en elle les traces d’un passé glorieux de la France qu’ils n’auront jamais en qualité des parvenus !

Pardonnez-moi cette didascalie.

J’ai mes compagnons de route intellectuelle, mes vénérés parents disparus, et mes écrivains.

Je vais vous donner deux exemples.

Pour ce qui est de la peinture, mon métier  et activité parallèle, André Lhote,  celui qui fut le maître dans le Paris des années 28 de  son disciple, celui qui me forma en dessin et peinture. Lhote fut peintre, Professeur et théoricien du  Cubisme.

Lhote a dit dans son traité que « le coup de foudre » est essentiel dans l’action créatrice. George Steiner a dit qu’une œuvre littéraire doit nous « saccager l’âme » et qu’après l’avoir lue, nous ne sommes plus les mêmes. Ces deux « commentaires » sur l’art doivent servir de jugement pour savoir prendre la mesure des certaines décisions qu’on prend et si ultérieurement, elles s’avèrent équivoques dans la pratique, elle doivent nous être pardonnées.

J’aime la Russie et j’aime la langue russe or, des éléments exogènes ne me permettent pas de faire des choses extraordinaires pour l’apprendre dans des bonnes conditions, les moyens de sauvetage ne me servent pas, parce que sont des erreurs pédagogiques de la France que je ne peux assumer sous aucun prétexte. Le fait de l’avoir envisagé ne peut faire de moi une coupable, mais seulement une IDIOTE. J’en conviens. Je ne suis ni folle ni coupable, seulement une amoureuse de la Russie et IDIOTE.

Pour ce qui est de mon cas particulier, je vous ai raconté mon expérience faite en 2017, j’ai essayé d’apprendre le russe dans cette même université et après  à l’Inalco.  Les étudiants m’ont renseigné que suite aux nouveaux directeurs, l’Inalco n’est plus le même d’autrefois, certes, je n’ai pas de points de comparaison avec ce qu’il était auparavant, mais le consensus général est qu’il a perdu de son prestige par l’embauche des professeurs « sans qualité » et programmes aussi exécutés à pression, l’important est de passer vite le programme au détriment de dispenser un enseignement de qualité.Il est de même à l’université.

Dans celle où je suis à présent, j’ai essayé sept années auparavant  de  réussir le cursus de Licence, dans mon cours de littérature russe, j’eus un 18/20 et j’ai rendu un travail écrit.

Notre Professeur était une Professeur d’excellence, traductrice des œuvres de Littérature russe, écrivain elle-même et d’une notoriété incontestable cela veut dire une Professeur d’une vaste culture.

J’ai pensé l’avoir cette année, ma déception débuta par la découverte de notre programme qui ne nous est donné que quand on a déjà payé les frais d’inscription ! Donc une fois qu’on est prise au piège. Première erreur de la faculté, nous devrions pouvoir choisir les professeurs, et leur programme bien avant l’inscription, mais au regard du désordre qui est le fameux « Parcoursup » pour les jeunes, pour moi non, parce que je suis déjà détentrice des diplômes français, mais pour ceux qui sont bacheliers et qui débutent, j’imagine ce qu’ils doivent subir !

Nous sommes interdits d’espérer des modalités ordonnées et respectueuses propres aux universités étrangères, ici tout est un piège, dictature et caserne.

Le Professeur que je voulais avoir cette année, car je la connais bien, est dans la liste des Professeurs du Département de russe, mais elle ne figure pas parmi le programme des premières années, et elle doit être Professeur uniquement pour les dernières années du cursus et diriger des thèses. Si je l’avais su, je ne me serais pas inscrite!

Celle-ci a été ma première déception.

En 2017, j’avais assisté au cours de langue russe, pour mes objectifs, ces cours n’avaient aucun intérêt.

Le Professeur de Littérature russe m’avait prévenu que ce que je cherchais n’existe pas en France.

Je lui avais dit, je veux avoir le maximum de cours surtout à l’oral, pouvoir parler le plus vite possible, elle m’avait répondu : « ce que vous cherchez ce n’est pas en France que vous allez le trouver »

Mais moi, têtue, j’ai pensé qu’avec sept années d’écart, la bêtise pourrait avoir été surmontée dans la fac.

Non, la bêtise quand elle s’incruste, elle est forte, s’enracine et les médiocres s’y installent en terrain fertile.

Pour les cours magistraux d’histoire de la Russie ou de l’actuel « inexistant » cours de littérature russe, il n’y a pas de problème d’assister à l’amphi archiplein, en plus il y a les livres où l’on peut trouver les sujets traités en cours et préparer les dissertations.

Mais, pour l’étude d’une langue, c’est une aberration gonflée jusqu’à crever !

En 2017, j’ai quitté la fac avec mon seul cours en poche, « littérature russe » avec mon 18/20 suite à un contrôle oral et un travail écrit que je garde précieusement en souvenir : « Apologie de la Littérature russe : Lermontov et Gogol. Le clair-obscur subversif et la Délivrance Créatrice » 75 Pp.

J’ai fait une expérience éclair à l’Inalco dans la même année, elle fut la catastrophe assurée, quand après 15 jours de cours le prof a eu l’idée pédagogique que je ne sais pas où est-ce qu’elle est allée la chercher de nous faire un contrôle écrit d’une dictée des chiffres !

Apprendre les chiffres « par coeur » n’est d’aucune difficulté, je viens de les apprendre cet été toute seule par YouTube, les réciter à l’oral non plus, mais les écrire en écoutant la dictée du prof, relève de la magie, et l’apprentissage d’une langue n’a rien à voir avec de la magie, mais avec de la « répétition », notre devise est comme dans tout apprentissage et dans tout art : « répéter, répéter et répéter. » Dans ce cas précis, il fallait s’exercer dans l’écriture cursive!

Et cette expérience de la dictée doit se faire après avoir une connaissance confirmée de l’écriture, jamais après 15 jours de cours.

Vous me direz, quel fut le résultat du contrôle écrit ?

La classe entière a eu un ZÉRO !

J’étais indignée, révoltée et je suis partie sans donner aucune explication.

               LES COURS À L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE

                C’EST LE MÉTRO EN HEURES DE POINTE

    

À présent si je quitte la fac, ce sera avec mes remerciements et mes  adieux écrits, parce que j’ai trois professeurs que je respecte énormément. Notre professeur de langue russe, notre Professeur d’histoire, historien et écrivain et un Professeur et son cours que j’ai choisi comme option sur l’Histoire des Balkans.

Notre Professeur de russe  est excellente. Dans un amphi qui déborde, elle doit faire des efforts pédagogiques surhumains pour mener ses cours à des bons résultats. Quand bien même, l’amphi sera divisé en deux groupes, la quantité énorme d’élèves est contre productive.

Pour moi qui suis professeur d’espagnol, ne l’oubliez pas, l’apprentissage d’une langue étrangère doit avoir une prééminence et intensification à l’oral sans pour autant affaiblir l’apprentissage de la grammaire (fondamental) et de l’écriture.

Le projet si singulier de donner toute l’importance à l’écrit se justifie du point de vue de ces prix Nobel qui font ce programme de Licence de Russe à l’université est qu’elle « forme des spécialistes » (muets) c’est vrai, que dans cette perspective,  l’importance doit être donnée à l’écrit pour devenir traducteurs, il faut ce type de programme aride, indigeste et, pour mes projets personnels, il m’est franchement insupportable.

Si dès petite, je choisissais ce que je voulais étudier et les profs disaient à mes parents en me critiquant :  « bien sûr, elle a besoin d’un collège spécial pour elle ! » avec ce ton méprisant des fonctionnaires de l’éducation d’une bassesse intellectuelle meurtrière qui son capables de détruire l’âme des enfants qui sortent de la masse et qui seront une fois adultes des experts dans les matières qu’ils auront choisies.

Mes parents me changèrent du public vers le privé, les critiques vis-à-vis de mes sélections personnelles ont pris fin et me laissèrent tranquille, je ne vais pas me plier aux diktats stupides maintenant que j’ai fini mes parcours universitaires et que je suis placée dans la catégorie de « VIELLE »… S’il vous plaît !

Il n’est pas nécessaire de tomber dans la stupidité d’étudier une langue touristique, imaginer ceci pour une seconde n’est pas académique, mais se verser dans la spécialisation uniquement écrite  est de la mauvaise foi, parce qu’elle facilite leurs critères d’enseignements pour LA FOULE, il est certain qu’ils ont raison de l’avoir programmée de la sorte et, dans cette perspective, il était obligatoire de traiter les programmes avec intensification à l’écrit pour des classes que je qualifie  de « métro en heures de pointe ! »

Analysons ce qui se passe dans les cours qui ont été créés seulement cette année.

(…)

DEUXIÈME PARTIE : INTERMÉDIALITÉ- L’INTERTEXTUALITÉ.

 

 

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

 

UN MONUMENTAL MENSONGE

30 septembre, 2025 (20:41) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

UN MONUMENTAL MENSONGE

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il n’est pas étonnant que les doyens de facultés s’étaient donnés tant  de mal à vanter les gloires passées des universités Françaises, je ne peux que faire référence à ce que je connais parfaitement, les facultés de Lettres.

La vérité est qu’un roulement de disgrâce s’étend depuis plus d’une quarantaine d’années et ces facultés sont le réceptacle d’un cercle vicieux d’où n’en sortiront jamais indemnes ceux qui « volontairement » ou par hasard tombent dans cette catégorie mondialement méprisée ; ils s’y inscrivent avec innocence ou parce qu’aucune autre filière ne les accepte, et les seuls qui échapperont seront ceux qui, aidés par leurs familles pourront détourner la disgrâce de devenir diplômés en matières humanistes.

L’autre jour dans les médias, les journalistes évoquaient ce problème national, des avalanches des diplômés en sciences sociales, en humanités, dotés d’un diplôme de Licence qui ne leur sert de rien, et le monde du travail n’offrira aucune débouchée à ces milliers des diplômés, ils sortiront de « la galère » de la pauvreté des trois années de cursus de Licence pour faire face au chômage et au mépris national.

Que peut faire un diplômé d’une Licence de lettres ?

Rien de rentable, ou bien, entrer à l’Éducation Nationale, « passer le Capes », pour être « titularisé » et répéter sa vie durant les polycopiés devant des classes de 36 élèves, gagner une misère, devenir un esclave moderne, qui finira en fin de carrière avec deux Smic, ayant récolté déception, une vie de pauvreté prolongée ou bien, entrer dans une entreprise pour ne pouvoir jamais avancer, car cet ancien « capital lettres » est sans prestige dans cette époque de nullité totale pour récréer la pensée critique et créatrice.

Vous direz, elle est pessimiste… Rien de cela, il est évident que la jeunesse se croit avec le pouvoir de changer le monde, il ne leur suffira qu’une année des déceptions successives pour se rendre compte que ni leurs manifs ni un improbable changement politique ne leur donnera un meilleur avenir. À juger par leurs commentaires, ils sont convaincus qu’une fois que le président actuel sera parti un avenir radieux s’offrira à tous, le problème socioculturel est en crise non depuis qu’il a acquis le pouvoir, mais il s’est installé depuis plus d’un demi-siècle avant lui. Cette médiocrité éducationnelle qui débute à l’école et débouche dans l’université pour tous, ne sera rayée de la carte ni  facilement ni rapidement, le temps où elle a pris pour s’installer avec son intention de tout détruire devrait exiger de même pour guérir et reconstruire un système pollué. Il est vrai que leur action destructrice a donné ses fruits.

C’est le constat des sociologues qui ont étudié les raisons qui ont classé la France au dernier rang de son niveau éducationnel et les doyens ont le courage de passer une propagande mensongère aux étudiants leur disant qu’un avenir radieux les attend au sein de l’Université?! Ils sont conscients que le niveau des étudiants, bacheliers à peine sortis avant-hier des lycées est déplorable et ils viennent de créer « les tutorats ! »

C’est une honte.

La France en matière de niveau éducationnel est en berne et la crise universitaire qui finit dans une crise dans le monde du travail « des jeunes » est abyssale.

Quel moyen serait indispensable pour commencer à corriger ?

Les maux résident au sein de la mafia de l’Éducation Nationale.

Seuls les lycées privés échappent à cette dégradation.

La France ne changera jamais son système d’Éducation, cela est un fait inamovible. L’Université le suit, ils sont les mêmes professeurs avec un peu plus de grade hiérarchique obtenu grâce à un doctorat. Il faut étudier de près en quoi consistent les doctorats des facultés de Lettres : « marécage grisâtre des thèses universitaires » George Steiner. Et, lui qui avait comme référence ses meilleurs étudiants à Genève et Cambridge ! Ne parlons pas des universités Françaises, encore, il faut parler des « exceptions » quand on trouve un excellent Directeur de Thèse, donnez-vous pour un heureux gagnant à la loterie universitaire, car la plupart ne sont que des « sorbonnards » qui vous feront perdre du temps. Dans ce registre, je ne peux pas me plaindre, mis à part l’exception des jalousies maladives, mes deux travaux de thèse furent dirigées par le Professeur Couffon qui me donna toute la liberté qui nécessite une doctorante, déjà professionnelle et libérée du niveau « scolaire. »

Revenons au présent, je peux depuis deux semaines d’avoir pris la température de ce qui est devenue l’université depuis les années que je l’avais quittée pour réussir deux diplômes français, je peux affirmer sans conteste que le public qui remplit les cours est la prolongation des lycées que je connais en profondeur, maintenant, c’est encore plus grave la dégradation de leur niveau dans tous les sens du terme, en connaissances, en préparation pour faire face aux cursus universitaires et en matière de conduite langagière et des coutumes qui doivent s’approprier pour devenir universitaires à part entière.

La pauvreté estudiantine a été largement analysée. Le logement et le transport sont deux autres composantes destructrices.

Si vous greffez le déséquilibre alimentaire, le manque ou le très mauvais logement, les distances entre leur lieu de résidence et les facultés et le prix exorbitant des transports, vous aurez des éléments exogènes qui conduiront à la création d’étudiants médiocres et des avalanches des diplômés sans aucune valeur.

Quelle ambiance à l’intérieur des facultés?

Horrible. Il n’y a pas d’autre terme. Dans les queues pour le repas, le personnel est désagréable et insolent vis-à-vis des étudiants pauvres qui n’ont pas pour se payer un repas qui est aussi de mauvaise qualité et qui ne répond pas aux besoins alimentaires des jeunes qui font des efforts. Ils sont mitraillés dans tous les domaines de leur vie qui devraient leur être facilités et aimables à leur égard !

Le personnel administratif qui devrait être à leur écoute, assistantes sociales, services d’aides aux étudiants, existent dans les fascicules de propagande, ils sont des strates régaliennes dans leurs services qui se conduisent de la même insolente manière qu’ils le font avec nous, citoyens âgés et indépendants, je fais référence aux administrations que nous devons côtoyer par obligation et toutes les autres Institutions où les fonctionnaires sont les dictateurs qui dirigent les citoyens en répétant les discours de l’État. Sauf que le mot indépendance en France n’existe véritablement qu’avec un compte bancaire débordant de billets qui octroient la sécurité, la vraie liberté en France est celle qui sort de la BANQUE.

Bref, ceci dit, la récolte de la vie d’un étudiant universitaire pauvre est la pire des expériences qu’un jeune ne peut récolter en 2025.

Lycées médiocres, avalanche de médiocrité en premières années.

Les doyens le savent, les Professeurs le savent, tout le monde le sait et tout ce monde hypocrite ment en parfaite harmonie.

Alors, entre 1986 date où je suis sortie avec mes deux diplômes de la Sorbonne et 2025 je peux dire sans conteste que la situation est CATASTROPHIQUE !

À notre époque nous n’avions pas d’ordinateurs, ni de l’Internet, et nos vies de jeunes se vivaient en cours, et en longues journées en bibliothèques, nous devions parfois attendre une heure pour que la BnF nous apporte à notre siège les livres, j’y passais des journées entières… Ma jeunesse fut brûlée en assistance aux cours, réunions, lectures, travail de rédaction personnelle, conjugués avec mon travail le professeur d’espagnol au lycée.

Le dialogue direct avec les livres, la mise de notes avec un simple bloc-notes  et stylo à la main, et les interminables dialogues avec nos professeurs étaient notre quotidien, je suis certaine que le niveau d’autrefois était bien supérieur et incomparable aux hordes de gens qui ne devraient pas avoir leur place à l’université. La moitié qui remplit les universités devraient être vidées pour que seuls ceux qui méritoires sortant comme les meilleurs des lycées arrivent à occuper les places d’un amphi.

Tout ce qui se fait en « politique solidaire pour tous » est hautement négatif.

Pourquoi?

Parce que le niveau intellectuel et le niveau acquis des connaissances ne peut s’imposer ni ne se réguler par théorie politique d’aucun parti ! Ou bien, les professeurs les pardonneront le manque de niveau et « les passeront » avec la moyenne, ou bien, non, ma proposition idéale n’existe point en France, ceux qui voudraient dans leur four intérieur les recaler et les envoyer vers d’autres filières, ne le feront jamais pour question de politique partisane, mais la politique n’a rien à faire dans les affaires d’étude quel qu’il soit le niveau !

Ma longue expérience m’a fait entendre dans les salles des profs ceci :

« Que veux-tu? Nous avons fait pareil à leur âge ».

Non mesdames !

Moi, quand j’étais jeune étudiante et j’ai débutée très jeune dans mon pays natal, mon père ne me pardonnait RIEN.

Mes professeurs ne nous pardonnaient rien!

La sélection n’est pas contre la loi ni discriminatoire, il  faut de l’élitisme en matière d’études, de formation et de travail universitaire, laisser  se prolonger « le Bac pour tous » va en direction de poursuivre cette aberration vers « l’université pour tous » ; il  est une aberration française et l’exemple foudroyant d’un échec intellectuel, produit de votre folie, elle est criante dans la société.

Il n’est pas utile de polémiquer, il est stérile de se bagarrer en opposant deux théories, je propose d’examiner les résultats.

Vos doctrines ont elles fait rayonner la France  ?

Ou bien sa position s’est dégradée en matière de niveau éducationnel et intellectuel pour devenir la honte mondiale?

La réponse est dans la réalité et depuis toujours la réalité sociale a le dernier mot.

Dans un prochain article, j’analyserai la question de programmes universitaires et des professeurs.

NADEZHDA

VOUS AVEZ DIT UNIVERSITÉ FRANÇAISE ?

29 septembre, 2025 (08:52) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

     LE NIVEAU ET LA QUALITÉ

 

  DANS L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE

 

LE RUSSE

Chers Lecteurs,

J’avoue coupable.

Je suis incorrigible, et à mon âge ce défaut est impardonnable.

Pourquoi avoir toujours de l’espoir dans l’être humain ?

Pourquoi se dire en permanence que « peut-être  les choses se présenteront mieux qu’avant ?

Face à mon manque d’argent pour enfin me payer des cours particuliers de Russe, unique forme d’avancer et de parler couramment très vite, j’ai postulé au Parcoursup, étant donné que j’ai des diplômes français et que ma lettre  de motivation était claire et précise, j’ai été acceptée tout de suite. Il va de soi que je me suis enfoncée encore plus dans mes rêves et naturellement dans l’erreur.

Il me sera impossible d’assister aux cors par l’éloignement entre Poissy et Paris. Encore, j’ai pensé que ma mutation vers une HLM parisienne se ferait d’une fois pour toutes rapidement par les lettres recommandées que mon docteur avait adressées à la Mairie de Paris, et que ma Carte de la MDPH me serai renouvelée avec la Mention Invalidité, ce qui m’aurait permis de louer les Services de Pam-Mobilités, mais j’ai dû assumer ces deux injustices, ni l’HLM parisienne ne m’a pas encore été accordée, ni la carte de la MDPH ne me sera octroyée avec cette mention, donc je dois prendre les mesures qui s’imposent.

Le niveau des élèves est déplorable, c’est le niveau de bacheliers que je connais parfaitement, « le Bac pour tous » fait que des avalanches d’étudiants qui ne seront reçus dans aucune faculté de prestige, de celles qui donneront des débouchés dans des champs de travail de premier ordre et qui seront une fois le cursus terminé, dans la plupart des cas de professionnels libéraux. Les étudiants reçus dans la formule « le Bac pour tous » arrivent remplir les amphithéâtres des études de langues.

J’ai été inscrite en russe en 2016 et en 2017, mon bref passage par  la fac et l’Inalco m’ont servi pour apprécier de l’intérieur ce que je ne trouverai jamais en France. Un russophone qui veut devenir traducteur trouvera un programme parfait pour ce qui est de l’érudition de la langue, à ce programme s’ajoutent les cours magistraux d’histoire que vous trouvez dans tous les livres, et aux choix des meilleurs historiens. Mais… Où les choses se compliquent est en matière d’ART LITTÉRAIRE.

Je découvre ahurie que dans cette faculté, la littérature russe en première année fut supprimée ! Pour donner en «échange » selon « les critères » d’une seule professeur la « création » d’un cours qui la remplace et qui s’appelle « Histoire de la littérature Russe »

Tiens donc! Surprise totale. 4 Pp. de bibliographie, je découvre pour confirmer ma déception et révolte que des auteurs qui sont de la plus haute importance pour la compréhension de la littérature mondiale et tout particulièrement de la littérature russe sont dans la liste INEXISTANTS. Alors, je me suis posée le dilemme de « poursuivre ou quitter. »

J’ai toujours suivi la tradition de mon pays natal, de ce qui m’avait enseigné mon père et maître, (Professeur d’histoire de l’Art) et de la tradition  de l’Université de Genève, il faut publier notre Curriculum-Vitae, il doit être à la connaissance de tous, et dans une université, nous devrions avoir le choix des matières et des Professeurs, ici, c’est une CASERNE dans laquelle les professeurs passent la liste comme si nous étions de lycéens, et les matières sont « obligatoires » ,donc un système contraire aux modalités proprement universitaires.

Le bas niveau des étudiants a fait que les autorités créèrent des « tutorats » ce qui est aberrant dans une université », ce recours n’est utile que pour des doctorants qui peuvent échanger entre eux dans un niveau supérieur quand les échanges se feront une fois que l’étape de « formation »  a été bien dépassée.

Passons à le spécifique, les modalités de travail en première année devraient être de contrôle de connaissances avant de les jeter dans une dissertation ou d’un « commentaire de textes, le plus important est de vérifier par la meilleure modalité de « contrôle continu » le niveau de connaissance des matières traitées en cours, si l’on commence par la formation de la Russie, il faudra se ternir le premier semestre à ce contrôle pour vérifier que les cours magistraux ont été un acquis certain qui fera le socle pour avancer. Le commentaire de texte en histoire diffère dans la forme et le fond aux commentaires de texte littéraires, (en France naturellement) modalités aussi de caserne parce que l’esprit critique est aboli, il n’est même pas pratiqué par les professeurs, mal pourraient-ils l’enseigner et le faire une méthode de travail chez ses élèves.

Le cercle vicieux de l’ouverture de l’intelligence vers la création libre a été irrémédiablement abolie.

« Le commentaire de texte » en histoire n’a rien de nouveau, il est un bloc rigide qui restera dans la structure respectée, et la vérification fidèle aux événements les plus pointus, et que d’autre pourraient faire des étudiants qui débutent ?

Changer le cours de l’histoire, se poser des enjeux fictifs ? Ridicule, nous revenons à l’idée que le contrôle de connaissance s’avère le plus sensé et le plus adapté au manque de méthode de recherche universitaire et au manque de préparation dans les dernières années de lycée pour faire face aux problématiques de pensée et de recherche universitaires, c’est dans ce trouble qui travaillent les Professeurs universitaires de facultés de langues où la disparité de niveau est aussi notre et difficile que celles des étudiants, donc face à l’interdiction de choisir parmi les Professeurs ceux que j’aime et ceux que me feront perdre mon temps, je suis encore en train de réfléchir, mais ma réflexion ne durera pas plus que ce matin parce que demain mes cours de langue russe commencent très tôt le matin. Je vous raconterai alors, demain ce que j’ai décidé de faire « être ou ne pas être élève», un dilemme existentiel qui se pose l’être humain en permanence, l’important est de faire le bon choix. Concernant le russe mon choix est fait, nous avons une excellente professeur, je vais profiter de ses cours jusqu’à la fin. Mais pour ce qui est de la littérature russe, cours qui n’existe point !!! je resterai avec ma bibliothèque, elle est très bien remplie des meilleurs auteurs et avec Bakhtine qui n’est plus lu ni réédité en France, et George Steiner, je pourrai poursuivre ma route qui ne prendra fin jamais.

A ce soir Chers Lecteurs.

Je pars vers Paris, chercher mes certificats médicaux.

 

NADEZHDA

 

AH, LA TRANSNISTRIE !

28 septembre, 2025 (17:47) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

 

 

 

           AH ! LA TRANSNISTRIE !

                      

                   S’ÉCRIE LA PETITE JOURNALISTE :

 

              « ILS SONT DANS LA RUSSIE DES ANNÉES 50 ! »

 

 

MADAME, EN QUELLE ANNÉE SOMMES-NOUS EN FRANCE  ?!

    

            собака лает, ветер носит

 

 

Chers Lecteurs,

L’on devrait la laisser s’écrier, le temps de son programme, « que les chiens aboient et que la caravane passe .»

(Proverbe arabe XIX s.) chez moi :  A palabras necias oídos ordos)

Mais, l’étude comparative d’histoire contemporaine que cette misérable payée par l’État pour répandre sa propagande anti -Russe qu’ils veulent nous imposer de force, je ne la laisse pas passer !

Liminaire: je ne viens pas de votre « méritocratie » donc, faites attention à ne pas m’y inclure, parce que par accident je me trouve sans le sou, je n’entrerai jamais dans vos rangs français de l’ascenseur social. Ceci dit passons au vif du sujet. « La vérité » est que quand on vit protégée et quand on reçoit un salaire de 10.000€,  la France est merveilleuse, et il leur insupporte d’analyser la vérité avec un scanner, les rayons X pour voir la misère qui se répand en France ne donnera le résultat complet, envoyons-la étudier le pourquoi les neuf millions de pauvres en France, les chiffres risquent fort d’augmenter,  et ensuite faites, si vous en êtes capables et surtout si vous avez l’honnêteté intellectuelle d’acquiescer que le pauvre n’est pas coupable de sa pauvreté, les éléments exogènes d’origine sont socio-politiques, et ensuite, les vices humains : mafias, parvenus, prostitution de luxe au sommet de l’État et les interventions politiques de tout bord. Pauvre celui qui reste isolé, libre-penseur sans faire du mal à personne, il deviendra LA CIBLE sur laquelle les médiocres verseront leurs haines et leurs traumatismes d’infériorité. La société est faite ainsi, nous n’arriverons jamais à la corriger. Du contraire les Tribunaux ne seraient pas débordés et nous vivrions dans la paix sur terre. Si vous n’êtes pas convaincus, faites un sommaire passage vers vos anciennes lectures d’histoire et vous verrez qu’il n’y na pas eu de période que des rarissimes exceptions de courte durée où l’Homme,  suprême création de l’intelligence ne s’est comporté comme un animal ; je pense aux plus raffinés personnages de la Renaissance qui s’entretuaient être -eux.

Disons à cette pauvre petite journaliste qu’elle doit ouvrir un peu son petit cerveau si elle veut donner une vision du pays équilibrée et fidèle à la réalité ; mais devons-nous faire la liste de tout ce qui ne marche pas en France ?

J’eus comme idée de retenir son crétinisme dans un bref article, est non de faire le récit dans la liste des abus politiques qui ont dégradé le niveau de la France en presque un demi-siècle.

Ne prenez pas comme exemple la Transnistrie madame, vous vous couvrez de ridicule !

Elle a fait une intervention de taille sur la Transnistrie  ::

« J’ai un ami qui est allé en Transnistrie, il m’a dit que c’est voir la Russie des années 50!! »

Moi, si j’avais de l’argent pour aller en Russie, je leur dirais :

« Je viens de la France, je suis arrivée en 1980, la France m’a appauvrie et j’ai connu la force des mafieux dans la société française, je leur donnerai le portrait le plus tragique de ma descente aux enfers, car vivre pauvre en France au XXI s. C’est sans conteste, vivre l’enfer. »

Étant donné que je ne peux pas aller en Russie ni partir pour y m’installer ad vitam æternam, je leur dédie cet article à tous mes lecteurs russes que j’aime tant.

 

NADEZHDA

 

JE COMPATIS AVEC CETTE FRANÇAISE QUI VIT UN ENFER DANS SON PAYS !

28 septembre, 2025 (12:36) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

JE COMPATIS AVEC CETTE FRANÇAISE MALADE

QUI EST MALTRAITÉE DANS SON PAYS :

 

 

LA FRANCE DU XXI S.

 

 

VOUS ÊTES DES CRIMINELS ASSERMENTÉS

 

 

ET LA MDPH LUI REFUSE SA PENSION D’INVALIDITÉ !

QUELLE HONTE !

 

 

Atteinte d’une tumeur cérébrale, elle se bat depuis quatre ans contre la CPAM de la Gironde https://share.google/210Gy9lmCMN0w43qt

UNE MISE AU POINT DES CANAILLERIES …

28 septembre, 2025 (12:09) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

            

              UNE MISE AU POINT

 

 

 

               DES CANAILLERIES

 

 

 

 

 

 

 

 

Chers Lecteurs, 

Une mise au point s’avère nécessaire, depuis le mois de juillet, quand suite à ma « plainte pénale » devant Monsieur le Procureur de la République j’ai porté plainte pénale contre « le bailleur social » qui restait inactif et depuis mon arrivée dans les lieux, pour corriger les multiples dégâts qui rendent cette HLM insalubre et inhabitable, la donne a changé. Mon prochain livre fait le récit minutieux de cet opprobre.

Leur perfidie a été très bien partagée entre tous les services communaux.

Le bailleur « social » non seulement il a voulu rester inactif depuis ce jour malheureux de mars 2021, quand j’ai quitté ma chambre HLM de Paris dans le 13 è pour venir dans cette PORCHERIE, uniquement parce que je ne pouvais pas poursuivre mon travail d’artiste-peintre, activité qui m’était interdite dans la chambre par son exiguïté, je n’avais que 16 M2, et ici 48 M2, j’étais trop prétentieuse, j’ai désobéi mes docteurs qui ont désapprouvé de venir ici parce que cet immeuble n’a pas d’ascenseur, en partie, c’est ma faute, mais j’ai des circonstances atténuantes.

Le preuve est la quantité des toiles que j’ai peintes depuis, c’est « une preuve en l’espèce ! »

Quand je suis arrivée ici, je n’étais pas si handicapée, je n’avais pas besoin de marcher à l’extérieur à l’aide d’un lourd déambulateur qui n’est absolument pas conçu pour le trainer dans les escaliers et, il faut savoir qu’il est une aide précieuse pour les personnes avec des difficultés de mobilité, mais par terrain plat.

Je me bats depuis 5 ans devant le Service de Logement de la mairie de Paris, pour qu’ils me mutent vers n’importe quel arrondissement, cela m’indiffère, bien sûr que je préférerai de retourner dans le 13 , parce que j’ai mon médecin référent et tous mes dossiers sont depuis des nombreuses années dans le 13, mais mon affaire est si urgente, que je viens de changer mes préférences et j’ai écrit : «j’accepterai dans n’importe quel arrondissement de Paris »

Mon docteur a écrit une lettre recommandée en juillet au directeur du Logement  de la mairie de Paris, mais curieusement, il ne lui a pas répondu.

Moi, je lui ai écrit par trois fois et à moi, il ne m’a pas non plus donné de réponse, il y a eu déjà cette année deux lettres importantes qu’il a passées à la trappe… C’est curieux, non ?

Qu’en pensez-vous ?

Selon d’aucuns, la France est un pays démocratique de LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ  est-ce que j’écris bien cette citation qui est le label de la France qui doit être inscrit à l’UNESCO comme le camembert ? !

Bon, dans mon pays d’origine, on a un dicton qui dit: « Si no es pour la buenas, será pour las malas », donc ce que je ne voulais pas faire, je le ferai.

UN PROCÈS.

Mais, non, détrompez-vous, en aucun cas nous n’allons perdre notre temps en attaquant VILOGIA! NON!

Je ne vais pas finir ma vie entre les griffes de ces serpents qui n’ont comme diversion que m’attaquer;  j’accepterai sans discrimination un bailleur social parisien « normal » qui sans préjugés ne s’occupe que de respecter la loi et d’encaisser mes loyers.

Ici les Serpents violent la loi, escroquent les locataires avec des faux et usage de faux et ne s’occupent que de me persécuter.

La diversion contre « La Gazmuri » a pris fin !

Entre temps, je dois retirer ce que j’avais écrit par le passé, j’avoue m’être trompée, il n’était pas et, il n’est pas un « pays du Tiers-Monde »mon pays natal, mais c’est ici où je suis venue m’installer que je suis véritablement installée dans un pays plus bas encore que le Tiers-Monde.

Il suffira de dire, que si justice et attachement à la loi il y a en France, les autorités doivent donner la priorité de l’attribution d’une HLM suivant la loi DALO ET la loi ALUR à une personne en état de handicap et qui de surcroît, elle est « vieille »la loi ALUR insiste sur cette clause à partir de 65 ans, j’en ai 71 !

Les violations à la loi dans mon cas précis, je ne peux pas les dénoncer seule.

Les « Directeurs » des services des HLM sont des autorités « suprêmes » elles commandent lors des réunions de leurs « commissions »  en toute liberté en donnant à leurs protégés les HLM les plus luxueux, la loi est bafouée à chaque minute et si je me laisse faire, j’arriverai avant au cimetière.

La guerre est déclarée, et un rapport des forces s’est installé.

Je vous tiendrai informés de la suite…Patience …

Je vous ai montré des vidéos qui faisant foi de l’inondation qui s’est produite le =§ à 4h.30 du matin et que sous l’indifférence absolue des Serpents s’est p^rolongée jusqu’au 13 septembre. Je ne reviendrai pas su ce que j’ai déjà dit. Le 10 prochain, une entreprise passera toutes mes vidéos, d’av anti l’inondation et de toutes « les preuves en l’espèce de l’inondation et des dégâts que j’ai subis et que je continue à subir » dans cette HLM IMMONDE.

Demain j’ai un rendez-vous médical et j’obtiendrai un autre certificat médical pour attester qu’il est criminel de laisser un être humain en train de respirer l’air toxique des moisissures, il s’agit d’une nuisance à caractère mortelle qui provoque une FIBROSE PULMONAIRE.

Ces vidéos que j’ai faites seront versées dans un DVD, preuve incontestable qui servira comme preuve à mon avocat dans mon  prochain procès.

Que vous dire d’autre ?

Ah beaucoup des choses inédites !

La France se vante d’aider les handicapés!

Laissons l’affaire HLM, allons voir ce qui se passe dans l’université ». Je vous ai dit que c’est par ma faible retraite que je n’ai jamais pu m’inscrire dans des cours collectifs de haut niveau donnés par l’Ambassade ou les Instituts parisiens. Le mieux pour moi serait de pouvoir payer un professeur particulier parce que les cours magistraux d’histoire et civilisation et encore plus de littérature, je les ai dans les livres. Pour moi, un cursus universitaire qui forme les bacheliers qui sortent du Bac m’est inutile.

J’ai pensé à tort, je le reconnais, qu’avec une inscription en Fac, je pourrais choisir uniquement les cours de russe, mais il est interdit, ou bien l’on s’inscrit et on assiste avec l’obligation de se rendre aux épreuves et aux examens.

Bon, la France est une spécialiste en coller des zéros tout particulièrement si le Professeur sait moins que l’élève qui se voit en flagrant délit d’ignorance et que de surcroît, intellectuellement n’est pas d’accord avec les thèses de « l’élève » parce qu’être élève en France, n’est pas une question de connaissances, mais une question de HIÉRARCHIE ET DE STATUT, en France les administrateurs et les professeurs dans tous les domaines, ils ont un syndrome, ils ont une obsession de CASERNE !

Je n’ai jamais vu ce syndrome chez les vrais Professeurs mais chez les médiocres.

Il se trouve que SI j’ai postulé en Parcoursup, c’est parce que dans ma jeunesse parisienne, j’ai obtenu après les équivalences de mon cursus de pédagogie de Castellano de Santiago, l’opportunité de m’inscrire en deux cursus, donc ces deux inscriptions entre 1984-1986, j’ai fait deux cursus en Sorbonne, une Maîtrise avec Mention Bien et un D.E.A. de Littérature Générale et Comparée sur l’oeuvre d’Ernesto Sabato. Il va de soi qu’à la fin de mon D.E.A. j’ai préparé mon doctorat de 3è Cycle, mais Oh! Surprise, pour moi-même, mon directeur de recherches et l’écrivain Ernesto Sabato lui-même, les médiocres, ne me laissèrent pas soutenir ma thèse, je suis restée aves mes 7 exemplaires sur les bras, interdite de soutenance. Le Professeur Claude Couffon, paix à son âme, essaya de « raisonner »  les imbéciles, dans l’échec contre ces mafieux, il écrivit à une illustre collègue de l’Université de Madrid, mais j’avais Maman à ma charge et je ne pouvais pas la traîner dans des expériences hâtives dans une entreprise à l’étranger.

Je suis restée avec ma thèse faite mais Couffon m’a dit, « vous devez la publier comme « THÈSE-ESSAI » parce que votre travail est très important et ma découverte sur l’oeuvre LE TUNNEL laisse à terre toutes les exégèses publiées. Donc c’est la nouveauté unique de ma recherche qui a provoqué ce tollé ! Sábato m’a dit : « ce qu’ils ont fait contre vous est UNE INFAMIE »

Et , j’ai toutes ses lettres !

J’ai commencé à connaître le véritable visage de la France administrative en 1986, que pourrais-je demander maintenant ?

Dans la fac actuelle, il n’y a que trois élèves handicapés en chaise roulante. Moi, je suis la seule qui n’a qu’un déambulateur. Pour monter à l’entrée il y a un ascenseur, mais cette année je suis la seule à ne pas avoir droit au BADGE qui me permettrai une totale liberté aussi bien pour entrer et sortir librement,  mais aussi pour descendre à la bibliothèque car l’ascenseur ne marche pas au sous-sol, qu’avec un badge, les élèves utilisent deux étages d’escaliers, et ce même badge devrait servir pour aller aux toilettes réservées pour les personnes en situation de handicap, or en absence de badge, je dois me rendre à l’Accueil et demander au groupe des « messieurs » de m’emmener aux différents « services » m’humilier et devenir une petite élève de MATERNELLE qui demande à la maîtresse de l’aider à se déplacer !

Pour eux c’est un dérangement qui se fait visible et pour mon caractère indépendant, il m’est INSUPPORTABLE et cette situation n’a que trop durée !

Cette situation est insupportable. Aucune possibilité de leur faire comprendre que je dois jouir de la même liberté dans un espace commun sans besoin d’arriver demander rien à l’Accueil.

Et c’est pour subir cette honteuse situation que j’ai dû m’acquitter des frais d’inscription ?!

La vérité est que j’aime la Russie mais j’aime encore plus ma vie, et je n’accepte ni des humiliations journalières ni me fatiguer jusqu’à abîmer ma santé. SI je me suis inscrite en Fac c’est aussi parce que j’étais sure d’obtenir le renouvellement de ma Carte de la MDPH des Yvelines avec l’augmentation du taux d’invalidité.

La MDPH m’a refusé non seulement l’augmentation du taux d’invalidité »é, mais aussi d’inscrire au verso la MENTION INVALIDITÉ qui me donnerait l’option de m’inscrire au PAM-Mobilités qui est payante par l’handicapée elle-même et non )à la charge de la MDPH mais par pure méchanceté, la commission me l’a aussi refusée laissant tous les médecins ahuris !

Ils me refusèrent aussi bien l’augmentation du taux d’invalidité que la mention Invalidité au dos.

De mascaret et j’ai fou envoyer ma photo pur qu’elles fabriquent ma nouvelle Carte égale à celle que j’ai obtenue en 2014 !!!

Et, LA COMMISSION n’a pas voulu reconnaître la véracité ni des examens ni des certificats médicaux, selon la direction mon taux d’invalidité établi par Le Tribunal de l’Incapacité de Paris en 2014-15 reste le même en 2025 !

À la surprise de mes médecins, une autre fraude à mon encontre s’est établie contre la loi. Je les accumule !!!

J’ai porté plainte contre la MDPH devant le « Tribunal Administratif » qui s’est déclaré INCOMPÉTENT !

J’ai renouvelé ma plainte cette fois-ci en RÉFÉRÉ, mais un  nouveau refus m’est parvenu du même Tribunal !

Ils sont des copains assermentés ceux-là ?!

Très bien…Les quantités énormes de violations à la loi que « LA FRANCE » m’impute devraient me réjouir, cela veut dire que la détestation qu’ils ne cessent de me donner est un ressenti personnel  de tous ces

parvenus !

 

 

Et, le plus important est que j’arrive à leur provoquer des sentiments d’infériorité sans aucune intention de ma part, c’est là qui réside le noeud de la violation de la loi.

Faisons la liste:

Universités.

Administration des HLM.

Bailleur « social ».

Professeurs.

Ils doivent ressentir un puissant cumul féroce des problèmes d’ordre psychiatrique qu’ils déversent à mon encontre, or, ce qui est important est qu’il soit découvert par des experts, toutes leurs violations à la loi et leurs infamies successives mises en lumière, non par moi qui suis la victime, mais par des experts professionnels qui soient respectés dans leur conclusions.

J’ai une grande chance de pouvoir tout enregistrer, de pouvoir tout répertorier, parce que de cette manière mon avocat n’aura qu’à lire, et à regarder, la moitié de la récolte des « preuves en l’espèce » qu’il ne peut pas faire, et qui ne comporte pas son travail d’avocat, parce qu’il ignore tout ce qui se passe dans ce nid de SERPENTS DE POISSY, je la lui donnerai entièrement faite pour quelle soit exploitée.

Le mois d’octobre se présente très auspicieux !

DU POINT DE VUE JUDICIAIRE...

NADEZHDA

     

LA FAC FRANÇAISE AU XXI S.

27 septembre, 2025 (08:52) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LA FAC FRANÇAISE AU XXI S.

 

 

Chers Lecteurs,

À peine deux semaines de cours et déjà des problèmes…

Aussi bien dans mon pays d’origine qu’ici en France, l’on dit que ceux qui s’inscrivent en langues n’est que parce que leur moyenne ne leur autorise pas à s’inscrire dans des universités qui forment pour exercer dans  des professions libérales, médecine, droit, carrières d’études internationales qui s’adressent aux futurs diplomates, hisoriens et ceux qui deviendront des spécialistes en sciences politiques, les études des langues n’offrent qu’un espace très réduit de travail professionnel, ou bien l’enseignement ou bien la traduction qui sont en France deux champs de travail mal payés pour vivre en suppliciés toute une vie, donc c’est la médiocrité qui s’installe.

Seulement deux semaines m’ont servi pour prendre la mesure des défaillances gravissimes qui forment partie de ce cercle vicieux dans lesquels « se formeront » les futurs professionnels de la France et qui occuperont les places de la formation secondaire, les futurs « professeurs. »

Si je me suis inscrite encore une fois en « Russe » c’est parce que je n’ai pas d’argent pour me payer un professeur particulier de russe. Les prix demandés par l’ambassade, des cours d’excellente qualité, il faut débourser 760€ par semestre, ma retraite de 10130 € ne me permet même pas de survivre et d’arriver au 17 du mois. Je suis tenace et ma volonté est à toute épreuve, mais je ne peux pas aller à contre-nature.

Je suis déçue.

Parler des difficultés pratiques à l’intérieur et à l’extérieur,  c’est parler d’argent.

Je vous donnerai les détails, et par d’autres raisons qui sont aussi assez importantes et qui appartiennent à la façon comme le gouvernement gère l’enseignement supérieur.

Mes points de comparaisons sont vastes, d’une part, par celle qui fut mon Université formatrice d’origine, qui pourrait imaginer que le « pays du Tiers-Monde » dont je suis née et d’où je suis arrivée, aurait pu me donner une formation universitaire bien supérieure à celle donnée par la France !

Dans mon pays natal, aucun de mes Professeurs de fac, ne resta avec ses études faites au Chili, ils sont venus se former en Allemagne pour la philosophie, l’Espagne pour notre matière principale et, en France pour la linguistique. L’écart d’un demi-siècle n’a servi que pour dégrader le niveau des études universitaires en France et donner des postes à ceux qui ne méritent que de rester au niveau de l’enseignement primaire.

Les problèmes des étudiants, de bon nombre de mes camarades de classe n’ont qu’un seul dénominateur commun: la pauvreté.

Elle forme le pilier de tous leurs inconvénients, il n’est autre que l’argent.

Le manque de possibilités pour se loger à bas prix, les longs trajets dans les transports et les difficultés au quotidien qui doivent partager entre la perte temps insoutenable pour un étudiant qui doit travailler pour financer ses études et en même temps accomplir l’obligation de faire les devoirs et étudier comme il se doit est une aberration insurmontable.

Moi, si j’étais jeune, je ne pourrais pas tenir dans un partage infernal de travail-études en parallèle, alors les mauvaises notes ne tarderont pas à se partager avec une très médiocre formation que les professeurs pardonneront et « laisseront passer », par l’éternelle « solidarité  » avec la pauvreté  de leurs étudiants, mais il se trouve que l’excellence ne peut se créer de force avec la condescendance et la pitié.

Et c’est ainsi qui s’est installé en France un roulement sans fin que personne ne brisera : LA MÉDIOCRITÉ.

Je suis ahurie de voir que des étudiants n’ont pas à manger correctement. J’ai dû à deux reprises, que je ne renouvellerai plus jamais, aller « déjeuner » dans la cantine de la fac. Que pense le gouvernement ? Que les jeunes sont des prévenus d’un milieu carcéral ? Nous connaissons les cantines des centres scolaires.

On y trouve le choix des assiettes déjà préparées, et les plats chauds servis par les cuisinières, sauf que pour des jeunes de 18 ou vingt ans, manger des portions d’enfant de 6 ans est absurde et du vol en matière d’argent. Comme première critique, le chef de cuisine devrait savoir que s’il cuit jusqu’à laisser transformées en  purée les courgettes, il tue le taux de vitamines et des sels minéraux, l’étudiant se trouve avec son assiette (moi comprise) avec deux cuillères à soupe d’une « mazamorra » qui ne lui sert à rien comme nutriment.

Le cuisinier du Crous, entretenu par l’État, doit savoir aussi que trois petits nuggets ne comptent pas le taux de protéines dont a besoin le cerveau d’un jeune qui fait des études.

Trois petits nuggets est la ration d’un tout petit enfant !

Et c’est celui-ci le plat principal d’un plateau de déjeuner d’un jeune étudiant universitaire d’un pays qui se dit « EUROPÉEN ?! »

Messieurs les ministres, vous vous moquez du monde !

Je vous bannis à vous tous !

Le petit pain, un seul par élève, sont de la semaine dernière, un pain doit être frais et croustillant, même pas dans les hôpitaux publics, l’administration  ne programme de servir de pain périmé !  Vous y allez trop loin  messieurs les ministres !

Si l’étudiant vit dans une chambrette, il lui sera bien difficile de se préparer un repas et emmener son « crasse-coute » à la fac, pour ce faire, il faut comme préalable qu’il ou elle fasse ses courses  personnelles ou bien qu’ils aillent chercher les produits au « resto du cœur «, pour les plus pauvres, et prévoir de faire à manger pour la semaine, cela exige aussi d’avoir un frigo, dans ces conditions les problèmes pratiques s’accumulent et ils décident de faire le plus facile, faire la queue pour un plateau prêt que s’ils sont boursiers ne leur coute qu’un euro. Mais sachez qu’un Euro c’est déjà beaucoup pour un étudiant qui n’a rien, mais exiger de comprendre cela devient une prouesse de « critique sociétale.»

La stupidité de l’organisation à l’intérieur de la fac est assommante, parfois, nous n’avons qu’une heure pour déjeuner et parfois, nous n’avons pas de pause, alors s’enchaînent les cours du matin avec ceux de l’après-midi.

Ils me font éclater de rire les étudiants, ils disent : « ici, c’est le Goulag !  »

Ils ont entièrement raison. Il y a des fautes irréversibles qui sont dues à l’idiosyncrasie française, elles resteront inamovibles, d’autres seraient susceptibles d’être corrigées, mais la prépotence de certains professeurs…

J’ai demandé à un de mes camarades assis par terre, mais tu ne vas pas déjeuner ?

Non, me dit-il, « la queue est tellement longue que je me suis découragé j’ai mangé un sandwich »

Quelle bêtise insupportable, celle du Crous,  je suppose que c’est pour réduire le personnel qu’ils ne mettent qu’une seule caisse, et à l’heure du déjeuner la queue est si longue, que le temps de la faire, passe l’heure du déjeuner. Nous ne pouvons pas évaluer ça comme de la bêtise, mais comme une malveillance lourde, car elle pénalise les étudiants.

Les étudiants qui sont entretenus par leurs parents, Ah, là, c’est autre chose, avec de l’argent, nous pouvons surmonter tous les crétinismes d’un pays comme la France. De ceux qui se sauvent par leurs propres moyens financiers, je ne vais pas me soucier, parce qu’il n’y a rien à critiquer, j’ai été aussi une des leurs quand j’étais jeune de leur âge, papa me finançait des études et j’ai fait mon parcours universitaire comme une princesse, il me donnait les moyens de faire mon parcours avec excellence. Et, pour mes diplômes français, je travaillais comme Professeur à l’E.N. , j’ai été très mal payée, certes, mais je n’assistais pas aux cours, ce qui était déjà un grand avantage pour ma vie pratique.

Que faire de ce tas de misérables obstacles pratiques qui nous ont imposés au quotidien ?

Moi, je n’ai aucune obligation d’obtenir un « diplôme » comme mes jeunes camarades de cours, mais il va de soi qu’il vaut mieux l’avoir bien entendu, mais je n’étudie pas le russe pour être diplômée et par des raisons utilitaires, je suis en fin de parcours existentiel et rien ne me soucie, mais quand nous arrivons à la vieillesse, nous sommes plus sévères face au vol de notre temps. En tant que vieille, je ne tolère pas qu’on me fasse perdre le peu de temps qui me reste à vivre. Si je ne peux profiter pour obtenir ce que je veux et dont j’ai le droit d’exiger, un apprentissage de la langue russe dans des conditions optimales, je quitte le champ ipso facto.

Pour ce qui est de l’apprentissage du russe, notre professeur est excellente, mais pensez un petit instant, personne n’a besoin d’être diplômé Bac+ 8 ni sortir d’une grande école pour comprendre que dans un amphi de 80 élèves, ni le pauvre Professeur ne pourra enseigner dans des bonnes conditions, ni les élèves ne sortiront à la fin du parcours en parlant et en écrivant le russe, donc la dernière nouvelle est que l’amphi sera divisé en deux groupes en alternance.

Mais quand bien même nous ne serons que la moitié…

 

J’ai un week-en lourd de réflexion entre mes affaires judiciaires pour fuir cette HLM d’enfer et regagner Paris, mes rendez-vous médicaux pour faire valoir mes droits de dangerosité en respirant l’air toxique des moisissures dont VILOGIA devra rendre des comptes aussi bien que mon assurance, finir de corriger mes livres, et finir deux toiles, j’aurais besoin d’une sieste !

À très bientôt Chers Lecteurs !

NADEZHDA

UN RAPPEL DES PREMIERES PAGES DE MON PROCHAIN LIVRE : VÉRA, LA CANAILLE ET SA COMPLICE

27 septembre, 2025 (06:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

COUVERTURE

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

 

                    NADEZHDA

 

 

                     VÉRA

 

 

          LA CANAILLE ET SA COMPLICE

        UNA MAFIA EN BANDE ORGANISÉE

                       NOUVELLE

 

 

Auteur : Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

ISBN: 9782916501444

Dépôt légal : octobre 2025

Toute reproduction ou publication, même partielle de cet ouvrage, est interdite sans l’autorisation préalable de l’auteur.

 

 

 

                              LIMINAIRE

 

AVERTISSEMENT

 

 

Les personnages, les situations décrites et les lieux sont inventés, toute ressemblance avec des personnes de la réalité doit se considérer comme coïncidence née du hasard de la Vie.

Cette nouvelle est un récit fictionnel.

                         CHAPITRE I

        LE LOGEMENT ET LES LOGEUSES

 

 

Véra se réveilla très tôt ce matin-là, l’été et la lourdeur de la canicule était tombée pour rester deux longs mois serrant avec l’air irrespirable avec sa griffe de plomb..

L’arrivée de l’été était pour Véra un véritable châtiment, elle qui dans sa jeunesse ne manquait jamais de partir au bord de la mer avec sa famille qui avait une cabane parfumée aux pins et aux eucalyptus. Ils quittaient la capitale dès que les cours prenaient fin.

Mais, Véra avait cru bon de tout quitter pour faire une Croisade artistique qui ne pouvait que lui donner des fruits dans son imagination, la vérité est que la fille adoptée par ce pays du Tiers Monde l’avait trahi ; ce pays du tiers Monde où elle décida de s’exiler, sans que personne ne la chassa de son petit pays et que personne ne l’ait invité dans celui qui devait devenir son pays d’adoption, c’est ainsi, qu’elle fut dès le début méprisée, de ceci il y a déjà tant d’années que Véra s’est vue très vite jetée à la poubelle du pays qui l’adopta. À présent, Véra vit dans un pays du Tiers Monde, et pour elle le plus tragique est que dû à son âge si avancé, elle ne peut plus s’en aller vers d’autres lieux paisibles. Elle fut traitée comme un déchet, et le seul lieu de vie qu’elle a pu obtenir fut ce terrain obscène entouré des gens canailles.

Elle vit dans une banlieue très pauvre, grisâtre et négligée, de celles qui abritent des populations ghétorisées planquées dans des espaces dépourvus d’intérêt culturel, ces espaces étaient le portrait parfait du néant fait des bâtiments si mal construits, de si mauvaise qualité qu’au cours des années, à présent ils ont tous plus d’un demi-siècle qu’ils ont déjà fait leur temps, « ils devraient être dynamités » se disait-elle dans son for intérieur. Parce que par le passé, c’était coutume courante de dynamiter des immeubles qui étaient construits avec des malfaçons et qui donnaient des maladies graves aux habitants, mais comme tout pays du Tiers Monde, ces maux accompagnés de bien d’autres encore plus graves, faisaient de lui  un espace à fuir.

Le bâtiment de la « Cité » qu’elle habitait, avait été construit il y a une soixantaine d’années et il était devenu  si délabré aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur qu’il ne pouvait plus intégrer plus de rafistolages.

De l’extérieur des murs sans protection contre l’humidité arboraient des moisissures répugnantes et jaunâtres qui couvraient murs et balcons, elles grimpaient comme de la mousse collée aux murs avec des années de cohabitation des plus crasseux ni l’État qui est le propriétaire de ces immeubles, ni leurs gérantes, et moins encore les habitants ne s’inquiétaient outre mesure de ces lieux de vie, bien au contraire, ils n’ont pas de point de comparaison comme Véra, et dans tout pays du Tiers Monde l’on jette là les indésirables, ils sont là, bien accommodés au seul mode de vie qu’ils ont toujours connu.

Les caves et les dépôts des poubelles étaient le champ qui se remplissaient de rats et cafards et aucune fenêtre ne pouvait rester ouverte trop longtemps, parce que les chambres se remplissaient des guêpes, mouches, cafards, araignées toute une longue espèce d’insectes qui grimpaient comme chez eux et toute tranquillité.

L’immeuble de Vera était très loin du Centre-Ville, et encore plus loin de la capitale, elle prenait quatre heures de transport dans un « aller-retour » avec des attentes interminables en changeant trois fois de moyen de transport, mise à part la fatigue si ces trajets devaient se faire au quotidien, Véra qui était née dans un pays moderne avec toutes les facilités pour se déplacer et qu’elle habitait dans des propriétés de standing, la force destructrice de se voir forcée à vivre dans les bas-fonds, menant un train de vie qu’elle n’avait jamais connue ni n’avait jamais pensé connaître, Véra désespérait de ne pas pouvoir faire ses valises et partir.

Elle n’en pouvait pas…

La pauvreté doit se laisser bien loin des quartiers résidentiels, pour qu’elle reste invisible, c’est comme les poubelles qui doivent rester cachées, là-bas, au fond du couloir ou en bas des bâtiments, pour qu’elle ne soit  partagée qu’avec les rats et cafards qui restent indifférents aux passages de désinfection annuels ; l’odorat pestilentiel et la vision de cet enfer sont des résidus des décennies d’erreurs systématiques des gouvernements de ce pays qui l’avait si mal adoptée, il y a tant d’années auparavant qu’elle avait perdu l’habitude de les compter, cela lui faisait naître une série de sentiments de remords, de culpabilité et de colère.

Elle était consciente qu’elle avait fait une erreur grandiose, mais certes, avec des circonstances atténuantes, elle avait tout quitté de son pays de naissance, un pays  propre et moderne, héritier de l’Espagne, avec des modes d’hygiène à l’espagnole, les gens là-bas quand b même très pauvres, ne se séparent jamais de l’eau et du savon, et « El Cloro » (l’eau de javel) est dans l’idiosyncrasie du peuple.

Véra avait commis une erreur en venant s’installer dans un pays du Tiers Monde; vu les événements qu’elle venait de subir elle se dit qu’à présent elle ne pourrait plus jamais faire des projets d’avenir que par la pensée, son âge l’interdisait recommencer et fuir ce pays appauvri, rempli des mafias, des habitants aux comportements grossiers, un lieu habité par des gens sans culture, néfaste de tout point de vue, elle voulait tout recommencer et voler vers des horizons paisibles et vivants, de ceux qui sont proposés par des pays civilisés, des pays de longue culture et habités par des gens raffinés, aux moeurs distingués, aux coutumes ancestrales qui révèlent ces modes exquis de vivre qui sont la courtoisie et le respect.

Mais, de trop penser à trouver une solution, Véra trouva enfin un moyen de s’évader, Véra du fond de son abîme trouva miraculeusement, un moyen de s’en aller…Véra se dit non ce n’est pas miraculeux, parce que tout ce qui nous arrive est le fruit de notre travail et de notre effort; ce qui avait de surprenant dans sa trouvaille est qu’elle s’est emparée d’un « espace » de vie où elle pouvait tourner le dos à ce présent, et ça c’était une victoire inopinée contre ses ennemis.

Lors de son premier voyage dans « le pays du Tiers Monde », elle écrivit des lettres à un ami de son père qui était poète.

Dès qu’elle décida de faire son second voyage, cette fois-ci pour rester définitivement, il lui donna une lettre de présentation pour la donner au Président du P.E.N. Club de Paris.

Cet ami poète, il aimait recevoir ses lettres, cet ami lui disait : «  tu écris si bien, tu décris tellement bien les lieux qu’on s’y  croirait, n’abandonne jamais ce don, tu te dois de le cultiver, raconte tout ! » Véra pensait souvent à lui, à ses Professeurs à tous ceux qui la formèrent à s’approprier de l’espace magique des lettres. Là-bas la jalousie n’existe que dans le domaine de la peinture, parce qu’il n’y a pas de « tradition » et parce que tous ne sont que des barbouilleurs, mais dans l’espace littéraire, exigeant et rude, il n’entrent pas les dilettantes, bon, elle l’avait quitté,  ce pays qui l’avait vu naître, Véra ne savait ce qui se passait après son départ…

Ce petit pays moderne qui lui donnait des vacances au bord de la mer, la vérité est que c’était son père, et lui seul qui avait construit la Cabane Orange pour sa Maman pour célébrer sa naissance… Pour bercer son enfance entre pins et eucalyptus. Il y a presque un demi-siècle qu’elle avait tout quitté qu’elle avait fui, elle n’avait plus ni de famille là-bas ni d’amis, comment pourrait-elle savoir ce qui se passait après son départ ?… Pour rester en vie, pour échapper à la douleur, elle essayait de ne pas céder à la mélancolie, elle se savait la seule coupable d’avoir tout lapidé pour ce pays du Tiers Monde ; ne pas regarder en arrière, c’était sa devise pour avancer, le passé ne nous appartient plus, se disait-elle, ni pour le corriger ni pour y intervenir, le passé qu’elle gardait, c’était seulement la vénération à ses parents. Sa faute ne pouvant pas la corriger, elle ne devait pas non plus gâcher le peu de vie qui lui restait.

Du plus loin qu’elle se souvienne, elle n’avait jamais rencontré des bailleurs de la mafia, jamais. Quand elle arriva, ses premiers bailleurs étaient tous des braves français qui louaient à des particuliers, sans lui provoquer le moindre problème, l’idée qu’elle se fit de la location était idéale.

Véra donnait toujours les meilleurs avis de ses anciens bailleurs, tous sympathiques qui parfois riaient à l’écoute de son histoire et aimaient qu’elle vivait seule avec sa mère. Ces bailleurs Français recevaient le loyer mensuel par chèque qu’elle envoyait par la poste. À son époque, il n’existait ni l’internet et les « virements bancaires » et les prélèvements n’étaient pas d’usage, de ce côté-là, non plus jamais Véra ne rencontra de problèmes. Quant à l’entretien des appartements, d’habitude, c’était le même bailleur qui l’appelait pour savoir si tout allait bien ou occasionnellement passaient prendre de ses nouvelles.

Véra croyait que son avenir serait toujours le même, paisible… Mais ces erreurs,  oh quelles graves erreurs elle avait commises, le plus grave fut son idéalisme, il fut sa perte, dès qu’elle obtint la nationalité française, elle commit la plus grave erreur de sa vie, non, pas la plus grave, la seconde qui a suivi à la première, elle suivit le conseil d’une collègue et se mise à louer dans le champ locatif social.

Mais, dans ses débuts, là-non plus, Véra ne rencontra pas des graves contraintes; il y avait parfois des dysfonctionnements, mais avec le dialogue, tout finissait par s’arranger, d’habitude même quand sa Maman avait vieilli et devenir invalide, et qu’elle devait être mutée vers un autre appartement accessible, à l’invalidité de sa Maman, un ergothérapeute qui leur avait rendu visite régla le problème très vite et dans deux mois elle obtint la mutation vers un autre appartement accessible à sa Maman, dans un quartier qu’elle aimait et connaissait parfaitement bien, elle y avait l’attache, il y étaient tous les médecins qu’elles connaissaient depuis des nombreuses années, il y avait les lieux culturels dans lesquelles elles se rendaient tout le temps, et pouvaient aller à pied, Véra poussant le fauteuil roulant de saMaman vers d’autres quartiers très animés du centre de la capitale, et que de mieux pour Véra, elle trouvait tout dont ellen avait besoin dans les rues avoisinantes remplies de commerces où elle avait pris ses habitudes, tant d’années passèrent là sans véritables difficultés.

Mais le destin tragique la persécuta. Sa Maman subit un infarctus et le « Médecin Traître-Tant » lui refusa les soins, non satisfait de sa meurtrière intervention dont aucun médecin ne laisse de traces de son crime, car on ne tue pas seulement à bout portant, ni à l’aide d’un scalpel, un médecin peut si facilement tuer sans laisser aucune trace en refusant les soins à sa patiente, ensuite, il n’y aura personne au monde qui pourra le contredire, car dans ce pays du Tiers Monde, ce qui prévaut c’est le jargon professionnel, jamais la Vérité, et les jugement collégiales ont des avantages, ils se tiennent à huis cols, la décision du Conseil de l’Ordre que Véra nommant « Le Conseil du Désordre » aura toujours raison car ils agissent en mafia collégiale, pour défendre leurs confrères et jamais les victimes malades, donc ce SICAIRE, commandité par « La mafia de la rue Gris » qui hébergea Véra et sa Maman, enfonça sur la Maman de Véra tous ces instincts criminels pour en bon commanditaire de sa propre mafia, et pour donner la dernière estocade à Véra, non seulement la laisse crever à la maison dépourvue de soins, mais quand Véra décida de sa propre initiative a désobéit le Sicaire et elle même amène sa Maman inconsciente à l’hôpital, elle ignorait que elle l‘emmenait au lieu de sa dernière torture parce que le chef de Service obéit aux ordres criminelles du Sicaire et lui et son « équipe médicale » se mirent à agir  de manière criminelle et sans raison autre que celle d’interdire à Véra de rester la nuit à coté de sa mère agonisante, ils se refusaient!, tous étaient contre Véra lui donnant à sa Maman un traitement indigne, lui refusant aussi les soins, et la laissèrent mourir dans des conditions inhumaines, privée des soins palliatifs, la laissant souffrir une torture indicible se nécrosant à vif quatre jours durant. L’équipe de ce chef de service lui donna à Véra un traitement humiliant l’insultait au jour le jour, aussi dépourvue de témoins elle resta seule avec sa Maman dans la chambre de la douleur et de la Mort où rien ni personne ne pouvait les secourir.

Le sicaire convainc ses trois complices de l’hôpital où Véra emmena sa maman contre les interdictions  de l’y emmener, Véra ne savait pas que le chef de service était un de ses amis, et qu’il finirait de l’achever avec l’obéissance diabolique à ce traître, LE SICAIRE et, la fin programmée était inéluctable,  sa Maman subi la torture d’un nouveau refus de soins et la firent agoniser huit jours et nuits sans sédatifs, pour se nécroser à vif et mourir sur un lit dur et froid de l’hôpital semi-privé de ce quartier maudit du pays du Tiers Monde. Ce jour-là, ce pays fut le nid de la haine et de l’ignominie, un scandale inhumain vu le jour et transforma Véra à tout jamais, ce jour-là, le jour de l’assassinat de sa maman qui reste encore impuni et dont il n’y a pas de prescription, elle pourrait faire un procès, mais sans argent pour payer les honoraires du meilleur des avocats pénalisâtes du pays du Tiers Monde, c’était une pensée insensée qu’elle préféra laisser dans un recoin de son cerveau qu’elle maintenait endormi pour ne pas souffrir et pouvoir avancer ; une fissure gigantesque vint abattre portes, fenêtres et les murs d’une bâtisse existentielle qui ne se cicatriserait jamais. Véra n’avait plus de maison sans sa mère, mais ceci était au sens figuré, parce que elle continua à vivre dans la capitale de ce pays du Tiers Monde.

C’est une fois arrivée dans l’Agora de l’Enfer contre son gré, parce qu’elle ne quitta la capitale que forcée par l’exiguïté du lieu qui ne lui permettait pas de vivre normalement qu’elle a dû déménager si loin de la capitale et contre l’avis des conseillers savants sur sa situation, elle n’écouta pas et accepta ce logement  contre indiqué pour sa santé. Véra ignorait tout des logeuses et de ce qu’elle allait découvrir une fois la clé mise dans une serrure qui n’était qu’un trou où quiconque pouvait entrer comme dans un moulin. C’est juste à ce moment là, et une fois que le camion déménageur ouvrit ses portes et qu’ils commencèrent à descendre les cartons et qu’elle découvrit l’intérieur de ce logement et qu’elle prit conscience du piège où elle venait de tomber, Véra descendit aux abysses, victime de la « mixité sociale » qu’elle vite nomma « l’immiscibilité sociale. »

 

(…)

  

 

AVERTISSEMENT À LA PRÉFECTURE DE PARIS UN RÔDEUR MENACE LES JEUNES FILLES DE LA FAC PARIS-MALESHERBES !

22 septembre, 2025 (18:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

            AVERTISSEMENT

 

 

    À LA PRÉFECTURE DE PARIS

 

 

Un rôdeur dangereux menace mes

Camarades de cours de

Licence Russe !

 

 

 

Nous avons à peine commencé les cours que mes camarades sont persécutées par un type qui rôde aux alentours de l’Université Sorbonne Paris-Malesherbes et le parc Monceau.

Il faut que vous preniez vos responsabilités.

Il faut éviter un malheur.

Cet après-midi il a commencé.

Description de mes camarades qui donnent l’alerte :

UN RÔDEUR AGRESSIF

Taille moyenne.

Noire de peau.

Entre 50-60 ans

Barbe et cheveux blancs.

 

VOUS DEVEZ L’AVOIR FICHÉ

DANS VOS DONNÉES N’EST-CE PAS?

 

ALORS,  SI ELLES ÉTAIENT VOS ENFANTS ?

VOUS LES LAISSERIEZ SANS PROTECTION ?

 

 

MOI, JE SUIS ÉTUDIANTE, MAIS UN EX-PROFESSEUR

ET J’ASSUME MA RESPONSABILITÉ,

JE NE LAISSERAI PAS  PASSER CE DANGER COMME BANAL !

Nous ne devons laisser passer ça et il faut prévenir, parce que l’université  est pleine de toutes jeunes filles qui sont sans protection aux alentours de la fac.

Je vous ai prévenu et nous sommes toutes en alerte.

À vous d’agir tout de suite.

 

 

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

 

AUJOURD’HUI POUR VOUS : CE RAPPEL HISTORIQUE POIGNANT !

22 septembre, 2025 (14:31) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

JAMAIS DE MA LONGUE VIE JE N’AVAIS JAMAIS ÉCOUTÉ RIEN DE SI VRAI ET SUBLIME 

 

IL EST SUBLIME

QUELLE LEÇON POUR CE GOUVERNEMENT MEURTRIER, GÉNOCIDAIRE  ET RACISTE

ILS SE SONT DÉSHONORÉS JUSQU’AUX ABYSSES ET PAR -DELÀ LA FIN DES TEMPS…