CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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HIER, UNE RENTRÉE RÉUSSIE EN SORBONNE – FACULTÉ DE LETTRES SORBONNE UNIVERSITÉS PARIS

5 septembre, 2025 (08:48) | Non classé

L’UNIVERSITÉ NOUS  A OFFERT CE JOLI SAC EN CADEAU DE BIENVENUE !

 

UNE RENTRÉE ADMINISTRATIVE      

 

 

         RÉUSSIE EN SORBONNE

 

 

FACULTÉ DE LETTRES

 

 

 

Chers Lecteurs,

Hier, j’ai été présente à la conférence de rentrée administrative en Sorbonne.

Madame Béatrice Pérez, la Doyenne de la Sorbonne de Département des Lettres, elle est intervenue en premier, elle est une brillante experte « Professeure » » d’histoire et civilisation d’Espagne  du XVI-XVII siècle, d’origine espagnole, elle nous a offert une rentrée chaleureuse faisant honneur à ses origines, nous n’avions pas pu recevoir mieux comme accueil.

Ensuite quatre intervenants chargés de différents services décrivirent leurs fonctions au service des élèves.

Un peu d’histoire très ancienne s’impose pour faire l’analyse comparative.

J’ai obtenu deux diplômes en Sorbonne, arrivée jeune de Santiago du Chili, diplômée de « Pédagogie en espagnol » de l’excellente Université U.T.E – Université Technique d’État-, actuellement nommée« Université de Santiago », les imbéciles balayèrent tout le passé de cette illustre université avec des Professeurs d’excellence et aussi gommèrent des annales de l’Université le Professeur d’Histoire de l’Art, dessin et peinture, (il avait à sa charge trois chaires universitaires) et artiste-peintre Hernán Gazmuri, crurent-ils ils que je le laisserais passer ? Détrompez-vous, mon livre ouvre la boite de Pandore.

Une réédition sera prête très bientôt :

Vois son titre:

Le peintre Hernán Gazmuri l’héroïsme du peintre victime d’une infamie.

Ce que vous avez gommé là-bas renaît ailleurs !.

Ceci dit, revenons à Paris.

nous avions reçu une formation d’élite, l’Institut de Pédagogie de l’U.T.E., était entendu, attaché à l’université, et dans le même site de l’Université, pour la première fois arrivait au centre de l’Université l’Institut de pédagogie avec vocation de former les Professeurs de secondaire.

Le Professeur d’Histoire de l’Art, dessin et peinture, Hernán GAZMURI l’avait fondé en 1942, il prit sa retraite en 1972. Directeur du Département d’Arts Plastiques sa vie durant, parce que réélu à l’unanimité au sein de la Faculté.

Bref, une fois arrivée en France, pour enseigner, et travailler au plus vite, j’ai dû faire les équivalences et obtenir Deux diplômes Français en Sorbonne.

j’ai réussi le premier en 1984-1985, une Maîtrise Mention Bien, (Sabato et mon directeur de recherches qualifièrent cette Mention comme « une infamie » car ils attendaient le « très honorable, en 1986-1987 j’ai réussi mon D.E.A. de Littérature Générale et Comparé et la rédaction de mon doctorat de 3è cycle, , dédié à toute l’œuvre de Sábato, mais restant la priorité de l’étude à son œuvre romanesque Le Tunnel.

En faisant la comparaison, non de ma première expérience dans mon pays d’origine, mais de ma formation ici en France, la Sorbonne a changé complètement. Entre 1986 et 2025, le changement et radical. Les élèves sont pris en charge en tout ce qui comporte la formation d’études qui les prépare pour la vie active et ce qu’ils nomment « le bien-être », je me sus dit, « c’est normal » avec le changement sociétal abyssal qui séparent ces 40 ans d’écart, et une politique destructrice sur tous les aspects de la vu-ie citoyenne, tout particulièt-remenbt avec l’appauvrissement de la population Fraçaise, si le Sorbonne, ne déploie des efforts gigantesques pour que le formation de leur jeunesse ne s’effondre, un programme d’aide supplémentaire était urgence.

À mon époque de formation parisienne en Sorbonne, entrer en fac, c’était « se débrouiller » seul. Maintenant, les élèves de troisième année de Licence sont là pour aider les nouveaux inscrits qui sortent des lycées et avec le niveau au sous-sol du secondaire, ils ne pouvaient pas inventer et introduire une meilleure aide « de secours »

Bien, je pense que je vous ai raconté l’essentiel. Je me garde mes impressions intimes.

Je n’ai ni le pouvoir d’agir politiquement, ni  de l’argent, la force la plus puissante pour agir sur terre, pour vous expliquer davantage.

C’est une nouvelle génération « aidée »dans tous les espaces de la vie d’un jeune.

Avant de fermer ce bref article, une remarque: j’appartiens à la génération sans Internet pour étudier et réussier des études et des recherches littéraires.  Nos méthodes de recherche étaient essentiellement les livres, les bibliothèques, les contacts directs avec nos maîtres et directeurs de recherche.

Une inscription pédagogique se faisait en face à face avec le personnel enseignant et administratif. Ce que j’abhorre, est la nouvelle méthode, aucun contact avec les HUMAINS, nos inscriptions se font part INTERNET, avec tous les problèmes d’informatique qui parfois sont immaîtrisables par l’air virtuel » alors, on nous a donnés des leçons, et si les tutoriels ne réussissent pas, il faut se faire « aider » par un personnel spécialisé expert en informatique. 

Ne serait-il pas plus intelligent et facile, de revenir aux inscriptions en « présentiel » et bannir les tutoriels et un personnel aidant ?

Quand on a une personne en face à face, le dialogue est irremplaçable aux appareillages et aux outils de l’Internet. 

Que cette modernité facilite le travail du personnel administratif, j’en conviens, mais elle ne l’est pas pour les élèves.

La robotisation au sein des études entrainera des préjudices qu’ils ne soupçonnent point.

L’informatique octroie rapidement des informations que je ne nie point, mais pour l’heure, son invasion propre d’un  tsunami, fragilise totalement ce que nous avions auparavant quand nos efforts pour parvenir à une recherche de la plus haute qualité, nous forçait à nous investir davantage avec la belle « matérialité » des textes et de l’humain.

Il faudrait faire une étude comparative entre le niveau des recherches du passé avec celles sorties de l’ IA et de l’immatérialité de l’Internet.

Je décline aussi tout effort de ma part pour analyser ce virement vers le pire de l’immatérialité, et il ne me reste qu’à me soumettre, et de poursuivre comme un bovin impuissant.

Voyez-vous, c’est un des avantages de la vieillesse.

AVANT, j’aurais tout plaqué, maintenant, je juge par les gains ultérieurs.

Et je me soumets, même si je m’indigne.

Je serre les dents et soumisse, sans rien dire, j’avance.

J’aime le dialogue avec mes maîtres, ce qu’ils donnent dans une rencontre   « Je-Tu » est irremplaçable.

Et, je donnerais un coup de pied à l’internet.

Mon plus grand bonheur est celui de dialoguer avec un Professeur, ma plus grande joie et d’avoir un livre papier entre mes mains.

Et, dans un silence complet appréhender son message romanesque.

Je me suis résignée à obéir à la modernité comme une bête à l’abattoir.

L’apprentissage du Russe le vaut bien.

 

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA

 

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