LES DILETTANTES D’UNE APORIE POLITIQUE
LES DILETTANTES D’UNE APORIE POLITIQUE
UNE LANGUE VIDE, C’EST LA MORT DE L’EXERCICE POLITIQUE
Chers Lecteurs,
Hier soir j’ai entendu avec la plus grande attention Monsieur Charles De Courson, Député de LIOT, et Rapporteur du budget de l’Assemblée Nationale.
Dans une période où l’essence du problème politique est centré uniquement dans l’organisation du budget de la nation, prenez acte que la cloche a marqué la fin de la récréation, ce son devrait alerter le prise de conscience qui leur fait grave défaut à tous ceux qui depuis leur position d’acteurs ou de spectateurs de ce naufrage, sont inclus dans cette crise que nous aussi subissons et où le seul coupable est monsieur « Le Banquier » et ses alliés. La fin de la récréation indique que le « conseil de classé » a pris fin. Nous n’avons pas besoin de maîtres d’école qui défendent et donnent le bilan du mauvais travail d’aucuns, de leur vantardise nous exposant les qualités de leur « travail » et moins encore de les entendre nous proposer publiquement dans les séances devant les plateaux les postes ministériels pour ses coreligionnaires; nous n’avons pas besoin de ces discours, où la maîtrise du fait politique est absent pour donner place à la démagogie, et des mots adaptés à une homélie dominicale, c’est ce qui a fait cet après-midi, avec une forte dose de colère, impropre d’un jeune prêtre tout de même, cet ancien Premier ministre , en rappelant à l’ordre ses fidèles égarés !
L’heure est arrivée pour exiger une action précise, il faut leur exiger la fin de leur comédie.
Pour l’heure, nous devons exiger l’exercice professionnel d’excellence d’un expert en question de finances, pour mètre de l’ordre dans les recettes de l’Etat.
Hormis quelques pensées rares dans le paysage politique, la plupart se vante d’avoir travaillé des heures dans la rectification du projet budgétaire; la vérité est qu’ils ne s’occupent que de leur petite boutique, de préserver leurs postes régaliens et d’envisager avides, calculette à l’appui, la comptabilité d’improbables votants pour les prochaines élections. Ils veulent un nouveau Premier ministre, sans se rendre compte que « Le Banquier », élira un proche, et tout sera du pareil au même.
Après avoir réfléchi et d’voir entendu les uns et les autres, et si je devais confier la travail du budget de l’Etat pour que la banque route soit annulée par une gérance intelligente du déficit abyssal dans lequel ce conglomérat qui forment le parti politique du « Banquier » que j’ai nommé le groupe « MAZAMORRA » et que à présent je lui greffe un synonyme, le « LE PARTI DES DILETTANTES ».
« Le Banquier » et ses coreligionnaires doivent démissionner, c’est la seule sortie constitutionnelle viable, et qu’ensuite nous soyons appellés à un référendum.
En toute « responsabilité citoyenne », j’exercerai mon droit de vote et sans hésiter je choisirais un représentant doué d’intelligence. Cette situation a été provoquée par « manque d’intelligence », je vous ai à maintes fois que quand nous sommes face à des situation inextricables qui paraissent insolubles, elles sont provoquées par « manque d’intelligence », ce sont mes parent squi m’ont donné cette leçon, elle fut la première leçon politique qu’ils me donnèrent, et cette boussole est celle qui me guide dans tous mes choix.
Nous devons faire un choix sérieux, parce que nous formons partie de la France.
La liste des noms qui apparaissent ça et là, ces sont les mêmes ministres qui par le passé échouèrent.
Nous les connaissons tous.
La voie d’une sortie heureuse est signalée par le discours d’une figure qui a fait preuve et qui continue à faire preuve d’une intelligente hors du commun, et qui fait le consensus général de droiture, d’honnêteté, (Ô si qu’elle est une si rare vertu !) d’autorité sans faille et qui plus est, un député connu par ses compétences en matière des finances sans que arrive entamer son travail, aucun intérêt personnel dans sa carrière au service du pays.
Si je devais voter, pour que prenne fin ipso facto ce dilettantisme politique et ce désordre dû au manque de jugement, un seul nom arrive pour que je fasse mon choix publiquement: C’est Monsieur le député Charles De Courson.
Je suis persuadée qu’une seule voie de sortie doit être réclamée: la démission du « Banquier », une référendum et nous laisser la liberté de choisir.
J’ignore pourquoi le nom de Monsieur Charles De Courson, Rapporteur Général du budget de l’Assemblée nationale n’est pas proposé.
Je le propose. Réfléchissez-en.
Arrêtez de tourner dans un cercle vicieux, la dualité qui s’affronte toujours, encerclant la pensée autant du coté de la droite autant des dilettantes de gauche est pour l’heure contribuer au désordre.
Ils se ridiculisent présentant des discours aberrants propres d’un « caudillo » du pays latino -américain du Tiers monde.
Lamentable situation qui est celle qui vit la France.
L’heure de prendre fin à cette aporie est arrivée.
Le fait politique exige clarté, rigueur, austérité, priver l’espace de travail de tout intérêt personnel pour placer le bien commun comme l’exigence première de tout acte politique.
L’exigence d’une compétence prouvée dans le domaine budgétaire et non la capacité de discours « diplomatique », le discours des diplomates n’est pas un discours de vérité, nous n’avons ps besoin d’apaisement mental par la parole, ni d’un maître de conférences, ni des postulants pour entrer dans les ordres, comme ce soir, celui qui nous a obligés à recevoir l’homélie un peu en avance, qu’ils se la réservent pour l’exercer en privé,, à la manière d’un exercice de discours religieux dominical, il est impropre au sein de l’Assemblée Nationale.
Exigeons uniquement la compétence d’un expert dans les questions économiques de l’État.
Cet après-midi, dans une conversation d’aucuns me demandèrent des informations, parce que ces personnes savent de mon intérêt permanent pour la politique, alors, je les ai promis de les informer dans mon prochain article sur la personnalité de notre Rapporteur du budget de l’Assemblée Nationale qu’ils ne connaissent pas.
Voici mon article promis.
Cette valeur de droiture, d’austérité et de compétence politique, reconnue de tous se concentre chez Monsieur Charles De Courson député de LIOT, et Rapporteur du budget de l’Assemblée Nationale, mesdames, messieurs, il doit nous sortir de cette aporie politique.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
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