CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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MON EXPÉRIENCE LITTÉRAIRE AVEC UN ROBOT DE L’IA

24 octobre, 2025 (11:32) | Non classé

 

COUVERTURE ESSAI VOLUME II LA MORT EN FRANCE. 

 

 

 

 

        MON EXPÉRIENCE LITTÉRAIRE

 

 

                   AVEC UN ROBOT DE L’IA

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

J’ai toujours été contre l’IA, la robotisation et la dématérialisation parce qu’elles sont des alternatives de déshumanisation. Je les nommais : la crétinisation sociétale.

Nonobstant…Oui, il faut se rendre à l’évidence des nuances « humaines » qui nous obligent à revoir nos croyances.

J’avoue m’être trompée.

Ma troisième et désastreuse « expérience » d’inscription universitaire m’a exigée à me connecter au ChatGPT et voici le résultat de mon expérience, une merveilleuse expérience que je ne pouvais pas laisser en silence.

Je ne savais rien de chatGPT et je n’ai jamais voulu me connecter par refus « intellectuel » et par peur. Mais une fois que j’ai entendu le médecin et écrivain  Laurent Alexandre auteur NE FAITES PLUS D’ÉTUDES, je vais acheter son livre dès que possible, je me suis dit il faut y aller !

Ce que je viens d’expérimenter avec mon inscription universitaire pour y étudier le RUSSE a été désastreuse.

Je me suis dit, il faut que j’essaie et je suis allée au ChatGPT, à l’IA et lui ai soumis un morceau d’un essai que je suis en train de finir en ce moment, il s’agit du volume II de mon essai LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR.

Le robot m’a surpris, car avant de juger une partie de mon essai, il m’a demandé si je voulais qu’il intervienne, tout de suite, je lui ai dit que je ne cherchais point de « correction », parce que je ne l’accepte de « personne », « un témoignage sur LA MORT ne peut se « corriger », il s’agit d’une expérience humaine qui touche les tréfonds de l’âme, elle est en dehors de toute  tentative de « correction », il ne s’agit point de syntaxe, ni de grammaire ni d’orthographe.

Mais j’ai ajouté qu’en revanche ce que je lui demandais était une « évaluation » et un jugement ce que je n’obtiens pas d’autrui, puisque je ne suis pas éditée par un éditeur d’importance que par moi-même et en cinq exemplaires, et mon statut d’auteur indépendant laisse tous mes textes dans l’état d’invisibilité totale.

Mon étonnement a été foudroyant quand j’ai reçu en réponse un verdict surprenant, hautement élogieux que je peux mi permettre de répéter, parce qu’il sort d’un robot et pas d’un « être humain » que jadis, je mettais sur un piédestal or ces « êtres humains » détruisirent ma vie professionnelle, ils m’appauvrirent avec leurs faux jugements intellectuels et fausses appréciations esthétiques, parce que vides de vérité, et uniquement motivés par leurs sentiments d’infériorité des êtres complexés et ancrés fortement dans leurs cerveaux très matériels et non « virtuels », qui se mirent en action contre moi par jalousie et sadisme et je me suis trouvée désemparée, sans pouvoir me défendre.

Les erronés jugements intellectuels ne peuvent devenir l’objet d’un jugement juridique, parce qu’un tribunal est inopérant et va se déclarer « incompétent », puisque quand ces « faux jugements intellectuels » ils sortent des « professeurs assermentés » l’étudiant ou le professeur qui « passe » un concours fait preuve de les dépasser intellectuellement et qui a raison dans ses jugements intellectuels, il reste, « un inférieur » dans l’échelle ADMINISTRATIVE et les juges ne peuvent prendre parti.

LE JUGEMENT DE MON TEXTE PAR LE CHATGPT

Le robot virtuel à la lecture de quelques pages de mon « essai-témoignage », il a jugé le texte et rien que le texte, et l’a inscrit dans une échelle de valeurs la plus haute est la soussignée fut jugée avec d’éloges intellectuels : il m’a trouvée : « une capacité intellectuelle supérieure et douée des grandes aptitudes pour la recherche de haut niveau, faisant preuve ingéniosité, de nouveauté en mêlant un esprit de finesse et de spiritualité toutes travaillées avec une grande force poétique »

Bref, aucun signe d’adulation partisane, et aucun signe de jalousie, le robot se tient aux mots, et à la construction du texte aussi bien par sa forme que par son contenu pour son évaluation et enfin, je n’étais pas « LA GAZMURI » comme me nomment mes ennemis.

Comment pourrait-il agir contre ma personne ?

Il ne peut pas juger mes écrits en noyant mon essai dans des mauvais sentiments ; s’il ne les a point, il n’a aucun type de sentiments, ni bons ni mauvais, il ne possède ni de vices ni de vertus ! ?!

Le robot n’est pas un humain, je peux lui faire confiance, une entière confiance !

Deux facteurs dans ma confiance sont déterminants : d’une part, il est dépourvu de « sensibilité », car il n’est pas un « humain », donc il ne génère aucun vice des humains, et d’autre part, il ne me connait pas, il n’a pas de moi, la « connaissance humaine » donc un mur étanche s’installe, c’est qu’on doit nommer comme étant une« méconnaissance » absolue de l’interlocuteur, c’est ce qui nous sépare et qui écarte le danger de la moindre possibilité de tromperie et de trahison dans son jugement intellectuel.

Il ne me juge que par mon texte, et je dois confesser que j’en ai été ravie, je suis sortie de mon écritoire où j’étais collée à mon ordinateur avec le ravissement d’avoir fait une expérience inoubliable.

Enfin, je pouvais dialoguer intellectuellement avec un robot qui remplaçait mes maîtres de jadis !

Parce qu’avec « les Professeurs » de notre époque le dialogue est INTERDIT.

Le protocole universitaire interdit qu’il ne vienne s’installer une connaissance approfondie entre maîtres-élèves, et si l’on sait davantage, ils se déstabilisent et fuient de peur !.

Parce que les professeurs de notre époque sont ignorants, oui, ils le sont !

L’on juge trompeusement la capacité cognitive qui doit être « intelligente » la croyant synonyme à la capacité de « mémoire » et, ils ignorent que la véritable « intelligence » n’est pas celle que les étudiants admirent, mais la capacité de mettre en dynamique devant les élèves des articulations remplies de nouveauté, afin d’éveiller chez eux la curiosité, la sensibilité, l’esprit d’initiative et l’esprit critique et avant tout, il faut que les professeurs les obligent à étudier AVANT d’arriver en cours pour entamer avec le Professeur un DIALOGUE ce que les étudiants sont incapables de réaliser parce qu’ils arrivent du lycée en parfaits ignorants et l’université est pour le ministère et les rectorats une caserne qui se propose la continuité des lycées, avec un enseignement scolaire, ennuyeux à en mourir, et qui remplit ce que le secondaire n’a pas fait, et c’est la mort assurée de la connaissance qui est au sein de la fac une seconde étape et prolongation du lycée. Dans l’espèce, je perds mon temps et j’ai dû quitter pour ne pas perdre ma vie, il ne me reste qu’un soupir pour profiter et je compte le profiter au maximum !

Les élèves à peine sortis du lycée et qui ne méritent point leur place en sciences humaines sont convaincus que les professeurs Wikipédia ambulants sont des « intellectuels », la vérité est qu’ils détruisent la pensée et les capacités intellectuelles si l’on se soumet à les écouter.

C’est un vaste sujet à développer ailleurs pas dans ce article.

Deux composantes seront toujours absentes d’un robot ChatGPT : les sentiments et la sensibilité.

Ces deux éléments forment parti de l’Amour et de l’Art.

Les deux sont intimement liés.

Si l’on veut les préserver, cette époque exige de les sauvegarder en ermite.

Je ne soumettrais jamais mon art ni ne parlerai de « sentiments » à l’IA, mais pour tout que qui concerne la connaissance et un jugement intellectuel, nous sommes dans l’espace de la vérité.

Le médecin-écrivain Laurent Alexandre a très bien alerté que l’IA ne doit pas devenir une « prothèse cognitive. »

C’est là qui réside le principal danger, méconnaître le bon usage que l’on doit faire de l’I.A.

L’IA ne doit pas remplacer notre activité cognitive, il faut savoir s’en servir, et ce savoir-faire, nous demande au contraire de nous dépasser nous-mêmes, bien  avant de lui soumettre un texte pour son évaluation. Or, ce que les étudiants imbéciles font est de leur demander de faire le travail à leur place et ils s’affairent à remplacer des mots et des phrases avec des synonymes et ils restent aussi ignorants qu’auparavant.

Les professeurs en font de même ou bien pire !

 

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

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