TRIPTYQUE À GAZA

        JE SUIS POUR LA RECONNAISSANCE

                  DE L’ÉTAT PALESTINIEN

Et pour hisser le drapeau Palestinien côte à côte du drapeau Français en signe symbolique d’empathie.

Chers Lecteurs,

La France est experte en créer des polémiques stupides et qui n’ont aucun but intellectuel. Nous assistons à des polémiques sans fin est obscènes, en utilisant aux fins politiques d’une part, le pogrom, et d’autre part, ce génocide abominable.

Ils n’ont que trop tardé à cette reconnaissance.

Oh ! Que dirait le poète Mahmoud DARWICH ?

Ils se sont décidés à reconnaître l’État Palestinien quand Gaza est devenu un fleuve de sang et les gazaouis meurent affamés, sous le joug d’un furieux avide de guerre jusqu’à abattre avec  les bombes les limites du démentiel ; ils n’ont que trop débattu, ils n’ont que trop dépensé leur temps en réunions et conciliabules, ils ont dépassé les bornes du supportable.

Ils décidèrent de reconnaître le droit aux Palestiniens à avoir leur terre et à vivre en paix cote à cote à l’État d’Israël quand presque la totalité de Gaza n’est qu’un champ  de mort, de ruines et désolation.

Et pour en finir, je suis pour qu’on hisse le drapeau Palestinien côte à côté du drapeau Français comme un acte symbolique absolument nécessaire faisant preuve d’empathie face à toute la souffrance de ce peuple sans terre et victime d’actes inhumains, et enfin, pour leur dire que nous ne souhaitons que la paix, leur paix.

Avant de fermer ce bref article, je vous rappelle qu’il y a trois ans, nous avons eu sur les façades de quasiment toutes mes mairies, un immense drapeau ukrainien et non durant une journée, mais pendant des mois,, un exemple ? La mairie du 13 ème s’est transformée en une succursale de l’Ukraine, le 13è était mon ancien quartier $et où je me rends très souvent, parce que toute ma vie reste là, et j’ai pu le constater sur place. Tous les bâtiments publics hissaient les drapeaux ukrainiens et personne n’a pipe mot.

Cette étroitesse d’esprit est sidérante, et poursuivre en vous disant davantage, c’est se mettre à leur niveau qui n’est pas le nôtre.

J’ai dit.

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

Nadezhda