CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LES LOIS LAÏQUES DE LA REPUBLIQUE ET LA PÉDAGOGIE

9 octobre, 2024 (07:51) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Un souvenir de jeunesse avec mes élèves au lycée.

 

LES LOIS DE LA RÉPUBLIQUE LAÏQUE

ET

LA PÉDAGOGIE

Chers Lecteurs,

que pouvons-nous critiquer sans avoir comme renseignement que les nouvelles qui sont filtrées par la presse sur l’affaire de l’agression qui a subi hier cette dame professeur ?

Sans le dossier entre nos mains, bon nombre des questions restent en suspens.

Un dossier juridique doit être étudié dans tous ses aspects, nonobstant, nous avons pris connaissance de l’essentiel.

Personne au monde et sain d’esprit ne va accepter comme normal qu’un professeur se fasse agresser soit verbalement soit physiquement.

Quand j’enseignais au sein de l’Éducation Nationale, j’avais toujours la responsabilité de faire des remplacements, la plupart du temps, sur des postes d’une durée d’une année des collègues en congés et pour former des élèves de Terminal littéraire. Je n’ai jamais eu de problèmes de « discipline », mais pour une seule et unique fois, j’eus un élève, fils d’un millionnaire qui donnait des cadeaux au Proviseur et en échange il devait supporter « son fils » qui arrivait drogué et en état d’ivresse aux cours pour semer le chaos, il perturbait à tel point le cours que mes élèves, étant toujours attentifs et participaient sérieusement, ne pouvaient ne pas se laisser aller en riant du scandale qu’il provoquait. Mis à part qu’il laissait ses copies en blanc, car ses excuses étaient du style « j’étais en voyage », , un jour il s’est permis, de m’insulter et de me dire :

« J’en ai marre de toi et de ton espagnol, t’es une merde »

Le scandale c’est moi qui l’ai fait à l’époque.

J’ai demandé à l’élève responsable délégué de la classe de l’emmener devant le proviseur et j’ai écrit une lettre recommandée au Rectorat de m’emmener un inspecteur pour assister à mon cours, et j’ai exigé que cet élève n’entre plus jamais dans ma classe, car la réussite de tous mes élèves était compromise avec ces perturbations permanentes.

Ceci dit, j’ai obtenu satisfaction, mais la « hiérarchie» m’a reprouvé de :

« donner trop d’importance aux mots, parce que dire :

« t’es une merde, j’en ai marre de toi et de ton espagnol », pour l’inspectrice n’avait en réalité aucune importance et je ne « devais pas donner trop d’importance aux mots »

Comment ne pourrais-je l’avoir si je suis principalement professeur de littérature, enseigner l’espagnol tel que le fait la France, est une autre histoire, car jamais on n’enseigne à lire et à écrire une langue ayant comme support des textes littéraires, première et principale aberration complète qui se traduit par l’échec absolu de l’enseignement des langues étrangères en France.

La France a comme programme l’enseignement des langues étrangères, la scolarisation dure des années, et ensuite il n’y a pas un seul élève de lycée public qui sorte victorieux de son Bac parlant couramment la langue étrangère. Si ceci n’est pas un scandale pédagogique, expliquez-moi d’où vient votre échec. Bref, par fortune je suis une retraitée heureuse de voir que maintenant ils sont au plus profond du naufrage et ils doivent se rappeler, s’ils sont encore en vie ceux qui me condamnaient, et au regard de leur échec national, constater que c’est moi qui avais raison.

Revenons à l’agression de cette « professeure » substantif horrible.

Il serait plus beau et logique de dire : cette dame « professeur ».

J’étais en train de voir la télévision l’après-midi, je m’intéresse à la politique et maintenant plus que jamais, le briefing des « éditorialistes » sur la séance de l’Assemblée Nationale fut interrompu par la nouvelle sur l’agression de cette professeur, il nous a été dit tout et son contraire, car la première information ne fut pas répétée.

La dame professeur a demandé l’élève de 18 ans d’enlever son voile, elle s’est résise, a désobéis à la demande de « respecter la loi » et le journaliste a dit que le professeur l’a retenue physiquement, et que c’est là que l’élève lui donne la gifle dont la dame professeur lui réplique la giflant à sa foi, pour finir rouée des coups de l’élève.

Nous n’avons aucun droit de nous prononcer, ni de donner crédit aux information des journalistes tout au début de ce scandale. Les informations qui furent données après, ne dirent rien sur le fait que le professeur ait retenu physiquement l’élève de 18 ans.

De mon point de vue de pédagogue professionnelle, en ayant eu une formation pédagogique d’excellence au Chili, je peux affirmer sans aucune hésitation ce qui suit :

1. Je suis arrivée à Paris, d’un pays en dictature, mais le Chili n’a pas l’histoire de l’Europe et moins encore la spécificité française. Le racisme là-bas n’existe pas, le religieux comme problème encore moins !, le Chili est formé par des immigrés, j’en suis un exemple vivant de cette immigration, les mariages dits « mixtes » font légion, ces questions qui font l’unique pensée des Français me sont étrangères, je ne ressens la moindre « discrimination » envers quiconque, j’ai toujours pensé que la liberté doit être préservée et que chacun doit avoir le droit de vivre comme bon lui semble.

Les interdictions et les lois qui l’accompagnent ne serviront qu’à exacerber les problèmes et la réaction sera incontrôlable. Les résultats ont été démontrés et furent des plus tragiques. Mais l’État ne l’acceptera jamais, l’État ne se trompe jamais !

Le discours de la ministre de l’Éducation m’a scandalisée parce que pour moi, la nouvelle loi de la RÉPUBLIQUE LAÏQUE est scandaleuse, elle s’érige comme une religion laïque, et les termes juridiques ressemblent à ceux d’un gendarme d’un centre pénitentiaire.

Je crois qu’il faudrait de l’introspection, ce n’est pas avec une loi et avec un discours absurde qu’ils vont vivre en paix dans les établissements scolaires. Quand le problème du voile éclata, je me rappelle que lors d’un débat télévisé, le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, a essayé de manière très adroite d’apaiser les animosités, et les a envoyés un message très intelligent aux jeunes filles musulmanes, il leur a dit d’obéir, mais qu’à la place, les filles très religieuses devaient, au sein des établissements scolaires, se placer sur la tête, une discrète bande qui cache les oreilles et le cou, et qu’à la sortie de l’établissement, elles pouvaient se voiler.

Cela m’a paru pour cette communauté musulmane un conseil de bons sens, qui tout en respectant parfaitement LA LOI LAÏQUE DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, ELLES NE TRAHIRAIENT EN RIEN LEURS COUTUMES ET LOIS RELIGIEUSES .

Que la France doit préserver sa LOI LAÏQUE est une chose, et tous les citoyens français doivent obéir, mais les termes qui doivent être employés dans le monde pédagogique, pour la faire respecter doit aller de pair avec l’essence de la pédagogie, question fondamentale que la France ignore et cette ministre encore plus, les termes de gendarme qu’elle a employé hier sont scandaleux parce contraire à ce qui est l’essence de la pédagogie.

Madame la ministre aurait dû dire que ce qui est inacceptable n’est pas que la loi laïque de la République française ait été violée par l’usage interdit du voile!!!, non !, mais  le délit insupportable est qu’un PROFESSEUR soit agressé!!!!!

Un ministre de l’Éducation doit dire qu’un professeur doit être respecté d’une part parce qu’il est un être humain, et d’autre part, parce qu’il est un être très spécial, un professeur a une mission sacrée au sein de la société, il est celui qui donne un savoir et il est autorisé à donner des leçons à la société, et jamais l’inverse Madame la ministre.

A condition qu’il soit bien formé Madame la Ministre, cela va de soi !

Mais sortir la loi de la République Laïque est une erreur totale, elle a donné la priorité à une loi et à la hiérarchie, tandis que si elle savait un peu seulement de ce que la Pédagogie veut dire, elle aurait employé d’autres mots.

Nous sommes à l’opposé.

La Pédagogie défend sa loi humaniste et l’essence de sa science.

Les gendarmes, les inspecteurs de l’interdit comme les nomme l’écrivain Giorgio Manganelli, n’existent que pour faire respecter la loi à coups de bâtons verbaux et réels.

J’ai confiance dans la parole et dans ma loi humaniste.

Un professeur n’est pas un gendarme au sein des lycées.

Quand bien même la loi laïque existe, ce n‘est pas aux professeurs de la faire respecter, surtout depuis que la société française a changé, et ils le savent.

C’est UN CRIME ce qui fait l’Éducation National eN obligeant aux Professeurs à devenir les gendarmes de la loi laïque.

Vous devez mettre en place un personnel spécialisé à ses fins Madame la Ministre.

Ce sont les SURVEILLANTS que l’Éducation Nationale a supprimés de manière scandaleuse parce que abusive, car retombe sur les professeurs encore une nouvelle tâche qui ne leur appartient point.

Ce sont les surveillants et il doivent petres des hommes non des femmes, ceux qui doivent faire respecter la loi vestimentaire entre autres fonctions qui sont imputées aux professeurs par vice de loi abusive de l’Éducation Nationale.

Encore une autre question de la plus haute importance, si, au conditionnel, si s’avère exact que la dam professeur à essayé de retenir physiquement l’élève de 18 ans, ceci est une erreur gravissime.

Un Professeur n’est pas un huissier, ni un gendarme, il ne doit JAMAIS toucher physiquement un élève !

C’est un principe de déontologie que les professeurs français ignorent, naturellement, ils n’ont jamais reçu de formation pédagogique.

ON N’A PAS LE DROIT DE TOUCHER PHYSIQUEMENT UN ÉLÈVE.

Les surveillants sont les seuls appelés au sein des établissements à faire l’appel, à remplir les livres et cahiers des notes et, à présent à surveiller que les tenues vestimentaires des jeunes filles soient respectueuses de la loi laïque de la République française.

Moi, pédagogue retraitée et écartée injustement de l’enseignement, j’eus un succès complet au sein des tous les lycées où j’ai été nommée et uniquement pour remplir les trous des collègues en congés ; ma réussite fut totale aussi bien du point de vue académique et de la discipline.

 Comment l’ai-je obtenue ? Tout simplement et sans le moindre effort grâce à mes connaissances pédagogiques.

Une courte anecdote pas trop éloignée, elle date de l’année 2000, j’étais en train de former mes élèves de terminale littéraire dans un lycée classé ZEP.

Il commençait déjà à l’époque « le problème du voile ».

Un jour mes élèves me demandèrent au milieu du cours :

« Madame, ça ne vous dérange pas que nous soyons voilées ? 

Alors je leur répondis :

Mais, pourquoi votre voile me dérangerait-il?

Sachez que je suis appelée ici à vous enseigner l’espagnol, ce qui vous couvre la tête m’indiffère, ce qui m’intéresse est ce qui est à l’intérieur de vos têtes, non à la superficie. En plus vous êtes toutes très belles.

Fin de l’histoire.

Elles réussirent leur Bac-espagnol.

Bien sûr qu’à présent je ne pourrais point enseigner, car je me refuserai à faire de gendarme au sein des lycées.

Je l’ai échappé belle mesdames messieurs !

Entre 1998 quand je suis devenue française et que je suis entrée au sein de l’Éducation Nationale et 2024 que s’est-il passé ?

Renommez des surveillants au sein des établissements sacolaires, madame la ministre.

Je vous dis ceci : vous êtes dans l’erreur absolue, vous allez droit au mur.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

UN DÉBAT EMPOISONNÉ A L’ASSEMBLÉE NATIONALE – CE QUE JE CROIS…

8 octobre, 2024 (17:57) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

UN DÉBAT EMPOISONNÉ

« ANTISÉMITISME-ANTISIONISME »

« Le rabbin Arik Ascherman né aux États-Unis et résidant en Israël depuis 1994 évoque la situation au regard de sa foi et de son engagement comme militant des droits humains opposé depuis des décennies à l’occupation de la Cisjordanie. »

Source : l’Humanité. (novembre 2023)

Chers Lecteurs,

L’Assemblée Nationale change ses couleurs, ses nuances et, le ton de ses participants, elle nous offre une palette des plus variées et parmi les figures et leurs expressions politiques de cet après-midi le ton a été profondément moralisateur.

La semaine dernière l’esprit était œcuménique, une véritable messe apaisante pour enrober les mesures de misère accrue pour les pauvres, et l’homélie avait le rôle de nous convaincre que nous devons payer les folies dépensières du gouvernement, il ne leur manquait que passer à la communion, pour faire preuve d’adhésion religieuse aux ministres.

Mais cet après-midi, le ton a changé, nous avons assisté au réquisitoire contre des partis aux accents gauchistes et antisémites, cela je pense qu’il faudrait le prouver.

Moi, je les nommerai de gauche, sans concessions et profondément anti-sionistes, la dénomination « antisioniste » comme dérive politique d’extrême droite et raciste qui exécute le génocide palestinien.

Les ministres se lancent aux accusations dangereuses, me semble-t-il.

Ce ton accusatoire est disproportionné, il a été très vif et prenant un caractère juridique ; un avertissement national fut donné, surtout à l’approche des festivités d’une communauté victime et persécutée.

Ceci, nous le connaissons déjà, je n’ai rien à dire.

Je ne parle que de ce que je connais, quand une matière n’est pas de ma compétence, je le dis sans aucun interdit, ceci n’est que de l’honnêteté intellectuelle.

Ce type des mesures d’ordre sécuritaire n’est pas de ma compétence, la France sait parfaitement se défendre contre le terrorisme, que pourrions-nous y ajouter ?

Ce qui est de ma compétence et qui a retenu toute mon attention est la réponse qui a donné le ministre de l’Intérieur à un député ; il s’écria contre les « gauchistes » qui ont transformé l’antisémitisme en antisionisme ».

Ce qui m’a laissé sans voix est sa furie et la tonalité agressive de son avertissement par le moyen d’une citation du philosophe moraliste Vladimir Jankélévitch.

Quand on sort une citation, pour le public qui n’est pas expert en ces matières, d’une spécialisation des plus exquises, je doute fort que ses collègues ministres soient des lecteurs de Jankélévitch ! Et s’il est si bon lecteur comme il l’a dit lors d’un entretien télévisé, et s’il veut faire sa « pédagogie » devant l’Assemblée Nationale, en tant que citoyenne française et de profession professeur, (personne ne m’enlèvera ni ma formation ni mon expérience) , j’aurais voulu d’une part qu’il le fasse avec tempérance, pour plus furieux qu’il soit contre les « injustices antisémites », et d’autre part, j’aurais souhaité, qu’il nous dise un peu plus sur la citation de Jankélévitch.

Il se dit un grand lecteur, moi qui suis une vieille lectrice de Jankélévitch, je suis curieuse de savoir où est-ce qu’il a trouvé cette citation.

Parmi ses œuvres de philosophie, j’en doute, il est fort probable que cette phrase contre l’antisémitisme, Jankélévitch l’ait dite au cours des entretiens… Lequel ?

Je suis d’une excellente mémoire, et je me rappelle parfaitement bien qu’il a dit que le peuple juif a été toujours accusé de « déicide ». J’ai gardé l’entretien, dès que je le trouverai, je vous le montrerai, il est bien gardé parmi mes dossiers. L’obligation la plus fondamentale d’un professeur, est de signaler sa source dès qu’il fait appel aux citations.

Ceci dit, le conseil du Vatican II (1962-1965) a rompu solennellement avec la vieille accusation de « peuple déicide » et a effacé l’ancienne catégorie de et a effacé pareillement le vocable de « perfidie », pour ceux qui ne sont pas catholiques, ou qui ne savent rien de connaissances religieuses, l’information est donnée.

Un ton tempéré aurait été souhaitable, pour accentuer un propos, à l’aide d’une citation de Jankélévitch, qui fut un penseur d’une modestie et tempérance exemplaires.

Concernant le supposé lien qu’il aurait pu faire entre « antisémitisme » et « antisionisme », je suis très étonnée qu’il puisse avoir dit ça ; il fut destitué de son poste universitaire pendant l’Occupation ; il s’est battu en France et il a fait de la résistance, et nuance, il n’est pas fui ver Israël.

Nous n’avons pas le droit d’utiliser la pensée de Vladimir Jankélévitch en prenant comme exemple ses citations qui datent de plus de trente années auparavant. Personne n’a le droit d’avancer des conjectures et préjuger ce qu’il aurait pensé de cette guerre.

Pour ma part, je ne crois qu’il soit bienvenu d’accuser quiconque condamne la politique du « peuple élu » et qu’il soit désigné automatiquement comme coupable antisémitisme, c’est une accusation gravissime aux conséquences désastreuses pour l’accusé à tort, parce que l’antisémitisme est un délit condamné par la loi, et l’antisionisme ne l’est point.

Donc attention d’adhérer à la tendance actuelle et d’outrepasser le droit à des fins de politique de bas-fonds qui devient une habitude bien peu élégante de nos jours.

Je m’oppose de manière la plus forte au génocide de Palestiniens et à l’occupation en Cisjordanie, et je me place au même rang que des grands penseurs sur « la question palestinienne » ; alors si certaines ministres veulent faire de la France une dictature calquée de ses collègues israéliens en place, vous pouvez rédiger une nouvelle loi, pour nous mettre tous en prison comme les extrémistes du Likoud ont mis en prison le Rabbin Arik Ascherman, mais, je vous conseille bien vivement, de prendre vos dispositions avant de rédiger et de faire voter la loi ; s’il vous plaît, construisez des prisons, car, à ce rythme-là, il y aura du monde à emprisonner Monsieur le ministre.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LA VERDAD SOBRE LA EXPOLIACIÓN DE LA OBRA DEL PINTOR HERNÁN GAZMURI

7 octobre, 2024 (11:29) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

AUTORRETRATO

OBRA ROBADA  A LA VIUDA DEL PINTOR POR EL MUSEO DE CHILE

 

CLARA – OBRA OBJETO DE VENTA FRAUDULENTA

 

LA VERDAD SOBRE LA EXPOLIACIÓN

DE LOS CUADROS DEL PINTOR HERNÁN GAZMURI

POR LOS MUSEOS CHILENOS

MIENTRAS SE VENDEN AHORA ES SUBASTAS

 YO VIVO EN LA MISERIA

 

 

Nadie se ocupa de crímenes individuales.

La gente toma partido y se emociona unicamente por los crímenes de multitudes.

Este es une fenómeno mundial.

Yo comprendí que no podía espera nada , ni del que fue mi país natal, ni de mi país de adopción, Francia.

La cobardía, los intereses creados son el principal motivo, pero se agrega una indiferencia monstruosa, una buen parte de sadismo poco importa la clase social, y el optar por el desprecio resuelve el problema de sus escondidos complejos, todos los tienen, el dinero sus inmensas fortunas no logran apaciguar sus miedos. Sí, comprendí demasiado tarde que nada podía esperar de abogados miserables y traidores, fue así como cuando quise defender a mi madre de la expoliación de toda la herencia pictórica que le dejó mi padre, el pintor Hernán GAZMURI, me puse en primera fila buscando un abogado que pudiese defendernos y recuperar todos los cuadros que mi padre le dejó enteramente a mi madre y a mí, naturalmente, porque le formó como pintora en su taller. Pocos son los que conocen la convención de Berne, solo los abogados especializados en leyes internacionales que corresponden a obras de artistas. Toda la producción sea esta pictórica, literaria, musical o de otro género pasa legalmente a su esposa legítima y solo luego de su fallecimiento, si hay descendencia se reparten bajo notario. Todo esto está muy bien, solo que para comenzar a luchar en un juicio hay que conocer a fondo vartios elementos jurídicos, primero la biografía y trayectoria del artista en su país natal, su verdadera estética, que no es automáticamente la de su nacionalidad, sino la del país que lo formó, y ese abogado debe saber cual fue y en detalle la vida que llevó el artista fallecido en su país natal. En cuanto al aspecto puramente jurídico, los cuadros del pintor GAZMURI pertenecían a mi madre en su totalidad.

Yo tengo en mi poder el TESTAMENTO OLÓGRAFO de mi padre.

Este fue el único documento que no legué al Museo de Moscú, porque lo necesito hasta mi muerte para estudiar toda eventualidad, ustedes saben que yo no soy de las que pierde la esperanza, yo creo siempre en que puede haber una sola persona de valor en este mundo que me lea y que me escuche.

Seré breve, porque este capitulo lo desarrollo en extenso en el libro dedicado al pintor Hernán Gazmuri y que voy a reeditar prontamente. Es el dinero el que me falta, porque la mitad de mi libro contiene las fotos de los cuadros robados a mi madre, y el costo de la impresión de un libro de arte es carísimo par mi jubilación de 1000 €, aunque siga privándome de lo esencial.

Comencemos del principio.

A la muerte de mi padre, decidimos con mamá hacer un don cultural a Francia, de la obra capital del pintor Gazmuri, el Homenaje a ANDRÉ LOTHE y EL DESNUDO AMARILLO.

LA DONATION GAZMURI – SERVICES ÉMINENTS RENDUS A LA FRANCE PAR SA VEUVE CLARA CHERNIAK-GAZMURI

MUSEE D’ART MODERNE DE LA VILLE DE PARIS

Esto me llevó un año de trámites hasta que logré dos ayudas, sola no habría logrado nada, esta ayuda se dividió en el orden estético y en el orden administrativo.

El Académico René HUYGHE que apreciaba el valor del pintor Hernán Gazmuri, porque lo había conocido en su viaje a Chile en 1943, lo calificó de “pionnier de l’Art Moderne”, fue así como cuando lo visité aquí en Piras y le conté mi historia, René Huyghe decidió inmediatamente apoyar mi empresa artística, y escribió al Museo de Arte Moderno de la ciudad de París.

René Huyghe recomendó al Museo de Arte Moderno de la ciudad de París, de acoger la “Donation Gazmuri”, porque gracias a ella, “la France complète ses Collections de l’Ecole de Paris”. La Donation Hernán Gazmuri fue expuesta al lado de su maestro André LHOTE y todos los pintores de l’Ecole de Paris” en 1983, junto a una vitrina que exponía todos los documentos que ahora es de la propiedad exclusiva del Museo de Moscú porque yo se los legué en 2017.

Fue gracias al Académico René Huyghe que Hernán Gazmuri esta ahora en el Patrimonio de Francia.

Fue él el que aconsejó al Museo de arte Moderno de la ciudad de París , donde se encuentran todos los cuadros de su maestro LHOTE y todas las obras de los pintores de la ÉCOLE DE PARIS, escuela la que estéticamente pertenece el pintor Gazmuri porque fue discípulo de André Lhote y se formó en su taller cuando el pintor Gazmuri vino a París precisamente para formarse en su taller libre.

La segunad parte de mi dificil mision artisitica Como la calificó René Huyghe, tuve que obtener la ayuda administrativa, fue asi como con una tarhjeta de recomendación llegué ante el gran historiador Claude Manderon y entre por la gran puerta del Palcio del Eliseo y me presenté” con moiu carpeta ante Claude Manceron. Le provoqué admiracion porque al leer mi curriculum vitae que no estaba aun lleno de mis vida en Francia me dijo: “Ah, on n’a pas perdu notre temps! Vous allez avoir une très belle vie à Paris,croyez moi, je suis voyant avec ma barbe” . Manceron tenía un gran sentido del humor, ¿qué diría al verme hoy, despreciada y en la miseria por la obra del sadismo de toda la administración francesa?Fue gracias a Claude Manceron que la donacion Gazmuri, pudo llegar a Francia y acogida por fin en el Museo para la eternid

Una vez la donación hecha, la oficialidad chilena lo supo, y todos aquellos que despreciaron a mi padre por celos y sadismo se pusieron en marcha para saquear y despojar a mi madre de toda su herencia dejándola en la miseria junto a mi, por supuesto.

Lo que nadie sabe es que mi madre obtuvo un documento legal de su abogada en Santiago, este documento yo se lo confié al museo de arte Moderno de París, este dice que la donación hecha por la viuda del pintor pertenece unicamente al Museo de París y que no debe haber venta posteriori ni enajenación.

Esto concluido, mi madre recibió en mi nombre, todos los documentos oficiales del Museo de arte Moderno de París y del Ministerio de la cultura que atestiguan que la viuda a rendido Servicios Eminentes a Francia y que el pintor Hernán Gazmuri pertenece estéticamente a l’ÉCOLE DE PARIS.

Esto reafirmó los bajos instintos de toda la oficialidad chilena que aunque despojada de la dictadura persiste igual que antes, de la época en que Gazmuri estaba vivo y trabajando, y que debió soportar virilmente y estoicamente sus ataques y desprecio gratuitos motivados únicamente por sus complejos de inferioridad.

Este desprecio unánime fue durante toda su vida una paradoja intelectual, porque mi padre recibió los mas fervientes homenajes de la Universidad y de todos sus alumnos. Hernán GAZMURI no vivió de su pintura, no vendió más de tres cuadros en toda su vida, su único recurso de sobrevivencia fueros sus tres cátedras universitarias y por haber fundado en 1942 el “Instituto Pedagógico Técnico” unido a la U.T.E., la Universidad Técnica del Estado donde aparte de sus tres cátedras: Historia del Arte, dibujo y pintura, fue el Director del Departamento de Artes Plásticas reelegido durante toda su docencia que se extendió entre 1942 y 1972 fecha en que Hernán Gazmuri obtuvo su jubilación, a sus 72 años. Vivimos a su costa, fuimos protegidas por mi padre. Su único recurso de sobrevivencia fue el haber sido Profesor universitario. El mismo decía :”toda mi vida no he pintado mas que con una mano, he debido ganarme la vida”

Esto aclarado, lo que se debe saber por el mundo entero es que mi madre cometió el error de confiar todos los cuadros del pintor GAZMURI a una persona, de cuidar su herencia y dejarla al resguardo de las pirañas del gobierno chileno, el cargo era el de una albacea, aunque sin documentos, debía encargarse de protegeros por un tiempo indefinido esperando que yo ganase aquí en París un lugar seguro, producto de mi trabajo para hacerlos venir.

El pintor Hernán Gazmuri fue desapreciado toda su vida en Chile.

Pero cuando el gobierno chileno supo que Hernán Gazmuri había entrado al Patrimonio de Francia, lo integraron apurados en el patrimonio chileno.

Hay que ser sádicos, malvado y culebras Cobra para darle la ultima estocada post mortem atacando a su viuda y despojándola así de su herencia.

El error de mi madre, que era de una bondad e inocencia que la perdieron toda su vida, fue el confiarle la custodia de su herencia pictórica a un monstruo que la traicionó.

¡Fue así como este monstruo vendió por sumas ridículas todos los cuadros que pertenecían a mi madre a los museos chilenos y a ciertos particulares!

Mi madre quedo agobiada y desesperada.

Su clarividencia se despertó demasiado tarde.

Mi madre no escuchó mis consejos, yo no tengo nada de inocente ni de bondadosa, a veces me dejo llevar por la confianza, es cierto, pero tomo mis precauciones, en todo caso, en ese monstruo que yo conocía por haberme perseguido toda su vida por celos y maldad gratuitas, yo sabia lo que ocurriría mi padre muerto. Nadie se hubiese atrevido a robarle a mi madre o a él mientras vivía.

Robarle a un muerto es el crimen mas nauseabundo y reprobable que puede existir.

En Chile hicieron une RETROSPECTIVA, mientras aquí con mi madre vivíamos en la miseria de mis puestos precarios de profesora de español contractura, viviendo en HLM, y yo, asegurándole la sobrevivencia con dificultades terribles.

Traté de confiarle mi carpeta de la expoliación de los cuadros de mi padre a dos abogados, el primero no trabajó nada seriamente, lo único que logró fue que en se reconociese que los museos chilenos no tenían derecho a robarle a mi madre CLARA la viuda del pintor Hernán Gazmuri sus derechos de autor y que debían, retirar por ley, las imágenes de Internet.

No obtuvo ningun pago por perjuicio que le otorgaba a mi madre plenos derechos en toda justicia. Pero se vanaglorió de que apareciese publicado en Legalis.net. Y ¿qué ganaba la viuda del pintor Gazmuri con eso?

Fue ridículo.

Su principal error por ignorancia flagrante de juicios internacionales de obras de arte, fue que no sabia que no existe ni prescripción ni ley nacional que impida a Francia el intervenir en favor de la ciudadana chilena que ra mi madre y de la francesa que era yo desde el ano 1989, porque la ley Internacional de la Convención de Berne es internacional la familia puede vivir en la luna o en el planeta Marte y deben recibir igualmente la herencia que les pertenece en total justicia, ¡no es una ley territorial!

El segundo abogado, que goza de una notoriedad mediática, aceptó coger la carpeta, pero me exigió pagarle, no teniendo nada, y él no iba a trabajar con la ayuda jurídica, no, él no iba a “rebajarse” a un tal pago, yo calculando que si ganaba el juicio internacional ya sea recuperando todos los cuadros del pintor Hernán Gazmuri o bien las sumas reales del patrimonio del verdadero valo de todo su taller que pertenecía por ley a mi madre y estipulado en su TESTAMENTO OLÓGRAFO, mi madre aceptó de darle en calidad de “donación” dos cuadros de pequeño formato que mi madre haba traído consigo como bien de recuerdo. Al final este abogado de gran renombre tampoco hizo nada y me devolvió la carpeta. Allí esta en los mismos sobres, intacta, desde el anos 2005.

La viuda del pintor Hernán Gazmuri, luego de haber rendido Servicios eminentes a Francia con su donación, fue despojada de toda su herencia por el saqueo de Chile, y para terminar torturada y asesinada en París por el médico asesino y traidor con sus tres amigotes cómplices, el 18 de octubre de 2013, luego de ocho días de agonía provocada por una necrosis indecible, sin sedantes.

La viuda del pintor Hernán Gazmuri fue una víctima toda su vida.

Yo ensayé con toda las fuerzas de que dispuse de darle una vida tranquila y que nada le faltase, yo traté con un amor sin límites de ahorrarle nuevas ofensas y ataques, pero no pude salvarla del asesinato de ese monstruo.

Los cuadros de Hernán Gazmuri se venden en subastas.

Y, yo estoy aquí, sufriendo la miseria de profesora jubilada habiendo sido una de las primeras alumnas en la Universidad que fundo mi padre.

En eso también el gobierno chileno nos atacó, fueron tan miserables que borraron al Profesor Hernán GAZMURI de los anales de la Universidad, pero yo tengo todos los documentos del año 1942 que lo prueban, y el currículum vitae manuscrito del Profesor Hernan Gazmuri.

El día en que un investigador quiera hacer un verdadero trabajo deberá obligatoriamente basarse en MI LIBRO y no en los datos erróneos de la oficialidad chilena.

Hace años, recibimos mi madre y yo en casa una persona que quería escribir sobre el pintor Hernán Gazmuri, nos contó que había visitado la oficina del conservador, a su gran sorpresa descubrió que este tipo despreciable se había apropiado del AUTORRETRATO del pintor Gazmuri, y que ahora “decoraba” su oficina!

Yo me quedé estupefacta, mi madre llorando.

Este tipo es recibido aquí en parís con todos los honores? da conferencias y es un LADRÓN DE PRIMERA LÍNEA, UN VULGAR MAFIOSO QUE NOS ROBÓ.

Este “conservador” aprovechaba el “AUTORRETRATO” del pintor Gazmuri para “decorar”su oficina.

Alguien ha pensado lo que haría el pintor HernáN Gazmuri al ver que aún post mortem, Chile lo ha vejado con esta nueva ignominia?

Si yo tuviese dinero atacaría Chile judicialmente para recuperar lo que me pertenece.

Mi padreo no trabajó toda su vida para legar a ese país que lo persiguió toda su vida.

Mi padre le dejó su herencia a mi madre.

Mi padre no habría soportado el verme ahora, ya vieja, despojada y viviendo miserablemente.

Lo han despreciado, humillado, sabiendo que él no cediera jamás.

Una vez muerto atacaron a su viuda y luego a su hija yo soy la unica discipula que dejo siguiendo la teoría de l’Ecole de Paris.

Esos sódicos y ladrones encontraron el terreno propicio para el crimen, dos mujeres solas sin dinero y sin familia.

No contentos con este robo, cuando hice los tramites para que se me pagase la pensión de la jubilación de mi padre, en retroactivo, ya que por ser solera, la ley chilena otorga a la hija del Profesor el recibir la jubilación en su nombre.

La Caja de Empleados Públicos, gracias a las maniobras secretas de alguien que me odia, me la negaron, contra la ley.

El Director de la Caja de empleados Públicos se defendió diciendo que “la ley chilena había cambiado”. Eso es une falsedad absoluta, porque la ley chilena concerniente a las jubilaciones y al traspaso a sus descendientes sigue intacta. No pude seguir luchando con tentativas de juicios internacionales, porque en Francia no existe ningún, pero ningún abogado honesto que defienda “la viuda y la huérfana.”

El gremio de los abogados es uno de los mas viciados y peligroso que hay en Francia poniendo en primera línea a los médicos, de los abogados una puede salvarse, dejando los ataques sin contestación, pero es difícil escaparse del gremio de los médicos, ya que necesitamos controlarnos.

El asesinato de mi madre me obligó a tener un cuidado extremo antes de visitar un gabinete de médico.

Antes de cerrar este articulo.

Sepan que la viuda del pintor Hernán Gazmuri, CLARA, fue despreciada y robada gracias al monstruo que la traicionó vendiendo su herencia pictorica que le legó su marido.

La única motivación fue el odio a mi persona por celos y sadismo, fue el principal motor que la condujo a semejante crimen. La única perjudicada fue mi madre. Y, para colmo, cuando más necesitaba una ayuda médica, ese médico traidor le mego los cuidados, para hacer la sufrir y matarla.

Yo pienso sin cesar de qué manera vengar su asesinato y todos su sufrimientos…

Sigo pensando.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

SOTTO VOCE…7 DE OCTUBRE 2023 -18 DE OCTUBRE 2013 – EL ASESINATO DE MI MADRE-MEMORIAS

6 octobre, 2024 (14:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

(2013, juste avant le crime)

SOTTO VOCE

MEMORIAS : mi vida literaturizada de Chile a Francia.

Ellos tienen su 7 Octubre, yo tengo mi mes de Octubre, todo comenzó una semana antes del 18 de Octubre del 2013, cuando mamá de regreso de nuestro paseo de la tarde, se despertó a las dos de la mañana víctima de un infarto.

El médico traidor le rechazó los cuidados de urgencia para torturarla y hacerla morir, con circunstancias agravadas por la intencionalidad manifiesta.

Yo tengo mi mes de Octubre el más fatídico de toda mi existencia.

No se mata solamente con un tiro de pistola a boca de jarro, o con un escalpelo, el asesinato de un médico del que no será jamás culpable, se produce cuando le rechaza los cuidados a su paciente. Aquí en Francia, aunque exista el testigo ocular, no es tomado en cuenta.

Cuando yo era joven, tuve un compañero de treinta años mayor que yo, era una eminencia intelectual, escritor y un profesor eminente elogiado por todos; encontré en él una fusión intelectual de primer orden. El diálogo del más alto nivel se apagó para siempre con la muerte de mi padre, pude renovarlo en otro registro, y me sentía colmada, en un diálogo “Yo-Tu”, siendo la compañera de este intelectual quien fue también mi colega en un liceo de París. Compartíamos nuestros alumnos y asistíamos a los mismos consejos de clase, aburridos a morir.

Él enseñaba la filosofía, yo el español.

Nos reíamos de la ficha del Inspector que le puso un 19/20; no podía ese imbécil darle un 20/20, tenía que demostrar su superioridad administrativa en todo lo que le faltaba en cultura, el informe decía:”Professeur d’une culture vaste et étendue”.

Por lo menos le reconoció medianamente sus facultades. Era un verdadero intelectual, bien lejos de ser uno de esos grisáceos repetidores, de la filosofía de Wikipedia, profesorcillos mediocres de tercera categoría; yo no iba a ligarme en amistades peligrosas con cualquiera… Digo en recuerdo de “Les liaisons dangereuses” por varios motivos que no contaré jamás.

Este recuerdo nace hoy que « ellos » se dicen de duelo, por el pogrom del 7 de Octubre.

Yo tengo mi 18 de Octubre, fecha de la muerte de mamá, luego de una agonía de ocho días, torturada con perfidia y sin ningún sedante. La tortura fue completa.

¿Porqué me acuerdo ?

Porque anoche tuve un sueño, no, no fue un “sueño”, fue una verdadera pesadilla, soñé con Mamá. Para abreviar, me vino una idea y el recuerdo de mi compañero que un día, en un café, conversado de esto y aquello se rió de mí y me dijo : “¡eres increíble, una mujer culta que me venga con historias de superstición ! ¡¿Estás segura de que te has dedicado a la cultura o a la agricultura?! Nos reímos a carcajadas, porque él, de un raciocinio del más alto nivel, no podía, sino que reírse cuando me escuchaba ciertas reflexiones existenciales cercanas o francamente de orden de la pura superstición.

Anoche tuve une pesadilla premonitoria, y no pude evitar el pensar en ¿por qué el mes de Octubre es siniestro?

Para el Pueblo Elegido el duelo por los padres no dura más que un año.

Yo no lo sabía. ¡Vaya con la ley!

Para la ley francesa, la persona en duelo deber volver a su trabajo al cabo de solo tres días de asueto legal.

La ley francesa obliga a volver al puesto de trabajo al cabo de tres días. Hay que trabajar, el duelo se termina luego de tres días. Esa es la religión laica.

Según ellos, al cabo de un año se debe olvidar. Hacer su duelo, es para mí una superchería, el fin del duelo por la madre o el padre no existe.

Mi duelo durará hasta más allá de mi muerte.

¿Por qué el 7 de Octubre ?

¿Por qué Mama fue torturada en Octubre?

Y, qué coincidencia, que ese terrorista disfrazado de médico ayudado luego por sus tres cómplices terminaron de matar a mamá, hasta que torturada por una agonía de ocho días, cuatro en casa y cuatro en el hospital, muere al fin sumida en una necrosis generalizada.

Ellos tienen su 7 de octubre… Yo tengo el mío, el 18 de Octubre.

Y luego, se me viene encima el mes de noviembre, porque mi padre murió el 19 de noviembre de 1979.

Una extraña coincidencia, me digo en SOTTO VOCE…

¿Qué diría hoy aquel que fue mi compañero?

Un día me dijo, no sabes como me habría gustado conocerlo, entonces yo le respondí, él habría estado feliz de conocerte, habríais sido excelentes amigos. Porque eran ambos librepensadores que no tenían ningún atajo en sus palabras escritas u orales.

No puedo saberlo porque murió.

Tendría tanto que contarle…

Mi superstición me dice en Sotto Voce lo que no puedo decir ni escribir.

A pesar de todo, sigo supersticiosa.

Precisamente porque hay algo encerrado en las fechas, eso nadie me lo quitará.

Ese monstruo que me torturó, mamá, mató ese mismo día a la humanidad entera, a todas las madres del planeta tierra; simbólicamente, ese monstruo y sus tres cómplices, recibió… Recibieron una respuesta.

[…]

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

ÉCOUTEZ-LE- RÉFLÉCHISSEZ- CONDAMNEZ L’OCCUPATION ET … IL Y AURA LA PAIX

6 octobre, 2024 (11:35) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Chers Lecteurs,

Je dois vous avouer ma stupéfaction à entendre ce matin, la série d’invités aux plateaux de télévision pour continuer leurs bavardages sur

« la question palestinienne » et « le 7 octobre ».

À quoi bon leur a servi, à tous ces vieux, les années d’études et de réflexion ?

Quasiment à rien.

Il faut bien se garder de dire la vérité si vous n’êtes pas une figure médiatique reconnue avec des avocats et des appuis, sous peine d’être signalés et mis sous surveillance, l’État de droit fonctionne sous la loi de l’entonnoir.

Par fortune, nous avons la télécommande qui nous permet la touche « muet ».

J’ai choisi de montrer une vidéo de cet instructif entretien à Rony Brauman que j’admire énormément non seulement pour avoir consacré toute sa vie à une action humanitaire, mais pour oser de dire la vérité.

Je me demande pourquoi, justement à cette date, et pour rééquilibrer les discours, la télévision ne l’invite pour qu’il donne sa version de ce conflit insoluble si la porcherie continue à être nourrie.

La censure d’État est évidente.

Je vous invite à écouter, à réfléchir et ensuite, nous avons l’obligation morale de condamner tout acte terroriste, l’Occupation de la Cisjordanie comprise comme principal facteur de troubles qui ne cesseront jamais.

Les imbéciles, avec leur livraison d’armes, nourrissent ad vitam æternam l’hécatombe, parce que du point de vue de ces trois principaux dirigeants sanguinaires, la guerre devra se poursuivre jusqu’à ce qu’il n’existe aucun pays arabe ou pas autour d’eux. Pour ces trois sanguinaires, tout doit être résolu par les armes.

Leur seule perspective, sous prétexte de « l’éternel antisémitisme », les exterminer tous, il sera la seule solution, oui, les exterminer tous.

La population civile ?

Elle n’a aucune importance, elle n’est qu’une victime collatérale.

L’antisémitisme religieux n’existe point.

Signaler « Le Peuple Élu »  comme le « peuple déicide », cette idée de jadis extrême et meurtrière, de nos jours, elle n’existe plus.

Les religieux catholiques antisémites n’existent plus, la religion en Occident est la vraie question résiduelle, le nombre d’athées et d’incroyants fait la masse de l’Occident. Et, le problème racial s’est parfaitement effacé.

En revanche, le problème racial est présent au sein du « Peuple élu ». Ce gouvernement est raciste.

À leur place est né l’antisionisme géopolitique par la direction d’une politique erronée qui est dirigée par des sanguinaires d’extrême droite. Tant qu’ils ne seront pas fusillés ou arrêtés, ce « conflit » ne cessera point.

C’est fut Shimon Peres qui leur a dit « La Thora n’est pas une loi cadastrale ».

Et, Yehudi Menuhin leur a dit : »... Vous auriez dû tout partager ».

À qui l’on parle de partage !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

 

 

ON S’EN FICHE ! NOUS VOULONS LA PAIX !

5 octobre, 2024 (19:34) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ON S’EN FICHE !

Chers Lecteurs,

Je suis scandalisée, à entendre les reporters qui disent que les Israéliens « se sentent abandonnés ! » après avoir pris connaissance de la déclaration du président de la République qui vient de dire qu’il faut arrêter la livraison d’armes, si cette déclaration n’est pas une hypocrisie de plus, c’est la seule chose sérieuse qu’il a dite et qu’il faut applaudir depuis qu’il est le seul capitaine du Titanic où nous a mis à nous tous à bord. Pauvre France mon cher pays d’adoption…

Que veulent-ils ?

Poursuivre le massacre ?

C’est une hémorragie qui déborde les océans.

Hypocrisie des éternelles victimes.

Ils devront tuer et dévaster le monde entier, parce qu’ils se gagnent des ennemis de par le monde, et tout le monde s’incline.

Cette situation est scandaleuse.

Tout comme l’attitude du président YouTube qui depuis des années persiste dans son état de victime en arborant son « indépendance » et qui a déclenché la destruction de sa province qui appartient à la Russie.

Question d’appréciation ?

Non, c’est une question politique.

Cela ressemble à un adolescent qui réclame son « indépendance » et qui ne travaille pas et vit aux dépends de l’argent de ses parents. « La devise de ce président YouTube est « je veux mon indépendance et celle de ma province, mais c’est vous qui devez me payer ! »

Avez-vous entendu quelque part une logique politique plus scandaleusement absurde ?

Si le « Peuple Élu » se vante de pouvoir poursuivre son massacre à Gaza et en Cisjordanie n’est que grâce au soutien des USA et des pays européens qui lui livrent les armes assassines.

Ce qu’ils ressentent nous indiffère.

On s’en fiche, ce qui compte et l’arrêt du génocide et donner l’indépendance aux Palestiniens.

Une fois la terre rendue aux Palestiniens, la paix viendra d’elle-même.

La seule question qui nous assomme et qui nous indigne est ce massacre et le nouveau maintenant contre les Libanais.

On s’en fiche de leurs sensations personnelles !

Rien d’autre à dire.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

GAZA ET LE LIBAN – EXIGEONS LA PAIX!

5 octobre, 2024 (14:13) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

GAZA ET LE LIBAN

MÉMOIRES ma vie littératurisée du Chili à la France

Mon père, le peintre Hernán GAZMURI, m’enseigna dès mes seize ans à devenir autogestionnaire et à me défendre seule, à marcher dans la vie en femme diplômée et indépendante parce qu’il ne serait pas toujours à mes côtés pour me protéger et être toujours mon garde de corps, rôle qu’il ne cessa jamais d’exercer, j’étais pour lui un trésor.

Il m’enseigna à être toujours de côté des pauvres et démunis.

Quand j’étais toute petite, je me rappelle qu’il me tenait la main, je n’avais pas plus de trois ou quatre ans, nous allions vers le théâtre Municipal, il m’emmena constamment au concert et au ballet, nous passâmes vers une rue dans laquelle dans le porche, dormaient deux petits enfants misérables l’un contre l’autre, et il s’arrêta et me dit : « regarde ces pauvres petits ils dorment à la rue, rappelle-toi éternellement tout ce que tu as, un lit, un toit, de la nourriture, des parents qui t’aiment, ils n’ont rien, tu es une privilégiée »

Je ne l’ai jamais oublié et je crois m’être constamment conduit avec dignité politique, je ne l’ai jamais trahi.

Je n’ai jamais manqué de rien de son vivant.

Ma vie changea dès mon arrivée en France.

La France m’a dépouillée de tout, mon pays d’adoption n’a pas reconnu ma profession gagne-pain et a piétiné sur mes travaux d’artiste peintre, et le pire des crimes qu’ils ont commis à mon encontre est l’invisibilité vis-à-vis de mon travail pictural, sachant que j’expose de première main l’héritage français de la plus prestigieuse École de peinture moderne Française, c’est peut-être précisément pour ça qu’on me laisse marginale, parce que personne de nous jours, ne peut se vanter d’être l’héritière de l’École de Paris et pour m’abattre, à la manière des plus vulgaires et sadiques des fonctionnaires de l’E. N., ceux qui puissants depuis leur grade des fonctionnaires, m’enfoncèrent dans la misère.

Les puissants qui agissent en « agents d’artistes-peintre » avec un copieux carnet d’adresses qui leur permet d’aider les artistes à vendre, ils m’ignorent.

Me laisser marginale et dans l’ombre est la meilleure manière de me barrer le passage, les barbelés de leur mépris leur permettent, me laissant à la marge, de vendre bien la liste de leurs protégés.

C’est fut ainsi, ceux qui ont à leur avoir tous les moyens de m’aider à développer mon art pictural, ne répondent pas mes lettres et leur silence et aveuglement volontaire face à mes toiles, me dit qu’ils sont aussi rustres et maîtrisables que ces petits fonctionnaires, en dépit de leur haute position sociale et de leur culture.

Nous savons que ni la classe sociale ni la culture n’épargnent la bassesse d’esprit.

Je leur réponds ici publiquement que leur mépris ne va pas m’amoindrir, ce qui m’a donné le disciple d’André LHOTE, le peintre Hernán GAZMURI sacré et ce savoir pictural est si ancré chez moi qu’il m’est impossible de ne pas peindre en dépit que pour l’achat d’une toile, je sois obligée à des privations inhumaines.

Je suis devenue avec mes deux travaux artistiques, la peinture et la poésie, une femme invisible par l’œuvré funeste et sadique des puissants et je suis devenue une retraitée misérable par l’œuvre dévergondée de sadisme et méchanceté des fonctionnaires de l’Éducation Nationale qui choisirent le mépris par jalousie, il n’était pas possible qu’une « chilienne » puisse savoir plus qu’eux en matière de pédagogie, il fallait me faire taire, comment était-il possible que mes élèves réussirent leur BAC d’espagnol et que ceux d’autres professeurs échouèrent…Il fallait m’abattre et ils réussirent facilement, rien de mieux que me refuser la titularisation, un ZÉRO est la marque indélébile de leur abus de pouvoir qui possède l’administration pour nuire un professionnel et lui assurer une retraite de misère dans ses vieux jours.

Soit.

Ils gagnèrent.

Je n’allais pas leur faire un procès administratif, je n’avais ni argent ni le temps.

Mais, ils n’ont pas réussi à me taire dans mon espace privé, ils perdirent un professer d’espagnol d’excellence, mais mon pouvoir est la maîtrise de la parole, c’est un pouvoir indestructible, ils restèrent comme des vieux sadiques et grisâtres, des misérables tortionnaires et imperméables à l’art littéraire qui ennuient les générations d’élèves qui détestent l’espagnol parce que mal enseigné.

Dans l’espace public, celle que je suis éduquée par mon père, je ne peux me taire face au génocide palestinien, et à présent face à cette nouvelle agression contre les Libanais.

Leur massacre m’accable et impuissante pour les aider j’écris.

Quelle faible contribution !

Je participe avec mes mots.

Les journalistes ne cessent de passeur leur publicité, ils ont leur pays de prédilection, j’affiche les miens. Ni Gaza ni le Liban n’ont pas des « protecteurs » qui leur donnent des armes ni des moyens de défense.

Je ne m’inquiète jamais pour les riches, je me soucie des pauvres.

Il faut plaider pour la paix.

Nous savons que si le peuple élu arrête la colonisation de la Cisjordanie et rend les terres volées, le terrorisme cessera et ils auront la paix.

Si le Peuple élu, rend les terres usurpées illégalement contre tous les traités internationaux, ils récupéraient un peu de leur honneur perdu.

Mais, ceci est un rêve.

Entre temps, j’écris, parce que si un jour arrive un miracle qui abatte ces trois sanguinaires, je serais déjà enterrée, entre temps, j’écris et j’affiche ces deux drapeaux en priant pour que les souffrances des Gazaouis et des Libanais prennent fin et que dans la conscience des hommes bons se réveille une flamme qui arrive à illuminer les esprits encore en sommeil.

Levons-nous pour réclamer la liberté de ces deux peuples humiliés, massacrés, pillés, meurtris, soumis à la dégradation la plus abominable de l’inhumain, les tortionnaires qui ont été les producteurs de destruction doivent cesser leur massacre et tout de suite.

L’arrestation de ces sanguinaires est une mesure que les organismes de pouvoir international doivent prendre avec un caractère d’urgence absolue pour stopper les guerres.

Au lieu de voir cette unique mesure en place, la terre restituée, la création d’un État pour les Palestiniens, et la protection pour le Liban, nous devons regarder ce vieux bon pour être mis de force dans un EHPAD poursuivre le don d’armes meurtrières avec une nonchalance grotesque, aux fins que le massacre ne prenne jamais fin.

Encore et encore, exigeons la fin de la colonisation, source de terrorisme, et la restitution des terres usurpées, la mise en place d’un traité qui octroie l’indépendance des Palestiniens, et… ils auront la paix.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

GÉNOCIDE !

4 octobre, 2024 (19:12) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

GÉNOCIDE !

Chers Lecteurs,

Enfin !

La chaîne LCI suite à la diffusion de son reportage GAZA, la vie malgré tout, nous a ouvert le droit de dire haut et fort que l’action de ce sanguinaire avec ces deux complices sont les principaux acteurs de leur action génocidaire contre les Palestiniens.

Nous avons vu la DÉVASTATION de Gaza par le « Peuplé élu »…Pour tuer, indubitablement.

Le contraste entre la ville d’il y a deux ans et celle qui est devenue après l’action génocidaire de ces sanguinaires est désespérant.

Un des principaux éditorialistes de la chaîne a dit qu’un académicien israélien qui travaille dans une université des USA a déclaré que cette fois-ci, il acquiesce et doit dire publiquement que l’action d’Israël est sans conteste un génocide opéré consciemment contre le peuple Gazaoui.

Et l’éditorialiste se joint à lui pour dire que maintenant, il est nécessaire de l’avouer.

Ils ont pris du temps à l’avouer, c’est une honte et un manque de déontologie qu’ils ont maintenue une année durant, jusqu’à presque nous déclarer des « terroristes » pour le dire ou l’écrire. ENFIN ! Il fallait qu’un « reportage » soit diffusé pour qu’un minimum de décence vienne enrober leurs timides déclarations.

Nous ne sommes pas dupes, nous le savions dès le début.

Le monde protestait, mais nous étions interdits de dire que Gaza était victime de génocide.

Les journalistes, ont été les plus coupables d’entretenir le mensonge politique et d’occulter une vérité incontestable, ils commencent à se réveiller.

Le principal a été dit, que ce sanguinaire ne s’arrêtera jamais, et étant donné que le monde entier, savant ou pas, spécialistes ou simples citoyens du monde, ils savent, nous savons que c’est leur faute que le terrorisme est né et que si ne surgit pas quelqu’un qui fusille ce fou de dieu, cette folie meurtrière poursuivra sans fin, nous savons qu’ils n’auront jamais la paix, quand bien même, ils rasent des villes entières et tuent en actions génocidaires successives à tous ceux qui ne sont pas de leur bord.

Les fous de dieu doivent être arrêtés pour sauver l’humanité, les paroles ne sont pas écoutées, la folie sa caractérise pour une coupure abyssale avec la réalité, ces sanguinaires sont des fous, la diplomatie ne marchera jamais , ils ont un mépris de la raison parce que la démence, est l’absence de raison ce qui définit l’intelligence.

Ces fous de dieu qui prennent leur Livre comme loi cadastral nécessitent une camisole de force qui libère l’humanité de leur action génocidaire.

Qui sera celui qui aura la force et le courage d’en finir cette folie génocidaire ?

Mon message aux Palestiniens et aux Libanais est simple, ne claudiquez jamais.

À tous ceux qui sont en vie, faites de la résistance avec une action qui détruit la folie génocidaire, c’est ce que vous faites en ce moment, donner la vie, essayez de toutes vos forces de rester en vie, parce qu’il n’y a rien qui enrage plus les sanguinaires sadiques, que de voir que « l’ennemi » reste débout sans faillir, quand bien même abattu, dépouillé, banni et entouré des morts, il résiste et fait preuve d’aimer la vie.

Après Tchernobyl, après ce désastre absolu, la terre contaminée par la radioactivité, commença après des longues années à se purifier toute seule, des scientifiques montrèrent comment petit à petit, la terre devenait fertile, avec une patience infinie, les peu des gens qui restèrent, commencèrent à cultiver des légumes.

La purification viendra, n’ayez pas crainte.

Ils auront un châtiment silencieux, sans armes, sans que vous deveniez des guerriers, sans que vous pratiquiez la vengeance comme ils le font sans cesse, il s’agit d’un châtiment éternel, il est celui qui sort de leur faute, de leur action génocidaire qui restera indélébile dans leurs consciences et passera aux livres d’histoire, et ce sera leur bannissement.

Il n’y a rien de pire que le déshonneur.

Et ils se sont déshonorés.

Aimer la vie ne se dit pas par des mots, mais par des actes, il faut planter et redonner la vie, avec l’espoir d’un renouvellement, pour que le cycle de la vie continue parmi les cendres.

LA VIE est tout ce que nous avons. 

La VIE c’est tout ce que vous avez, défendez-la !

Ils ont les armes et la HAINE.

Vous devez défendre votre VIE pour qu’un jour, vous redeveniez les propriétaires de votre terre et de la paix.

Fraternellement.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

RAPPORT POLITIQUE-LES POUVOIRS ILLIMITÉS DE L’ÉTAT- DU PARTICULIER VERS LUNIVERSEL

3 octobre, 2024 (17:56) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

POUVOIRS DE LA CAF – ALLOCATION APL

SURVEILLER ET PUNIR LES BAILLEURS SOCIAUX

LOI D’ATTRIBUTION DES HLM

« Ou bien… ou bien !

« Sans argent, sans sécurité économique, nous sommes livrés sans défense. Cela représente assurément un châtiment terrible : les tracas humiliants, l’esclavage des affaires médiocres, les vulgaires soucis nuit et jour, la dépendance par rapport aux gens les plus vils. Et nous ne sommes pas les seuls, tous ceux que nous aimons et dont nous responsables sont broyés avec nous dans les roues du quotidien.

Nous devenons l’objet de la bêtise et du sadisme ; des puissances dont nous n’avions aucune idée dans le bonheur prennent pouvoir sur nous et entraînent, avec notre vie, nos pensées elles-mêmes dans la misère et dans la fange.

CRÉPUSCULE

( P.52)

Max HORKHEIMER

Chers Lecteurs,

Cette superbe citation, je la dédie à VILOGIA et aux fonctionnaires qui m’ont laissée soumise dans l’injustice et la discrimination la plus complète depuis des années m’attribuant des HLM totalement inadaptés à mon cas particulier et à présent me laissant sans réponse pour une mutation à Paris vers une HLM adaptée à mon handicap. La monstruosité de leur immonde comportement, contraire à la loi existante, est la preuve que l’État est le premier complice de cette immondice administrative.

Il y a fort longtemps que je tenais à critiquer des lois qui doivent être révisées et qui demandent d’une part une modification et d’autre part une régulation et une vigilance accrues pour que les fonctionnaires d’État respectent la loi.

Il y a trois intervenants qui nécessitent une analyse et une clarification de leurs compétences et je propose un décret qui doit impérativement être édité et appliqué.

I. L’ÉTAT, LA CAF, LES BAILLEURS SOCIAUX.

1. L’État doit surveiller où vont les fonds qu’il octroie aux bailleurs sociaux pour l’entretien de leurs cités et de leurs immeubles. Les bailleurs sociaux, doivent respecter le contrat de location.

2. La CAF, organisme d’État appelé à rester un organisme payeur et non décideur, il a perdu tout le pouvoir dont il jouissait auparavant ; donc LA CAF doit le récupérer pour surveiller non seulement les mauvais payeurs, les locataires indélicats, mais pareillement les bailleurs sociaux qui abusent de leur pouvoir en violant la loi, ne respectant en rien le contrat de location qui a été signé par les deux parties, et la CAF doit récupérer son droit à être aussi un organisme non seulement payeur, mais également décideur dans la forme et en l’espèce ; veillant à la loi soit intégralement respectée, pour ce fait les contrôleurs doivent être les premiers actants dans ce dispositif qui existait et qui fonctionnait parfaitement auparavant, je parle d’il y a vingt-cinq ans auparavant, il y avait par le passé DES CONTRÔLEURS extrêmement compétents et très efficaces qui se déplaçaient à la demande d’un locataire qui était désabusé par un bailleur abusif, ou par une injustice administrative en provenance de la CAF elle-même, je l’ai vécu à deux reprises quand j’étais jeune, et que je louais une HLM et j’avais ma mère sous mon toit. Ledit Contrôleur de la CAF nous a rendu visite et de son propre chef, il a mis tout le dérèglement administratif en ordre, et il a remédié toutes les injustices.

À présent,les contrôleurs ne s’occupent que de contrôler les mauvais payeurs.

Bien faible responsabilité, puisque la fraude majeure est celle qui sort des bailleurs sociaux et quand on leur signale la fraude, la CAF pénalise l’allocataire et non le bailleur.

Un exemple ?

Si le bailleur social ne donne pas une HLM dans les normes de sécurité et de propretés exigées, la CAF ne verse pas l’APL de l’Allocataire au bailleur, et le locataire doit payer le loyer dans sa totalité, donc il subit deux pénalités, celle de vivre dans une HLM dégradée et qui n’est pas dans les normes, et la seconde, de se voir privé de l’abattement qui lui octroie son APL.

Ceci est une insupportable injustice administrative.

Si le bailleur ne donne pas une HLM dans les normes, la CAF doit intervenir en obligeant le bailleur à effectuer rapidement toutes les réparations et il doit s’investir, se rendant sur place pour vérifier. L’allocataire ne doit subir aucune pénalité et ne doit payer de son loyer complet que le reliquat qui lui incombe par loi.

La question du versement de l’APL suspendue jusqu’à ce que le bailleur de l’HLM dégradé et pas dans les normes doit affecter uniquement le bailleur. La double peine est ici une erreur juridique et judiciaire des plus injustes, si elle s’applique dans le fait.

Si j’avais une responsabilité politique je me consacrerais ipso facto a revenir sur l’ancienne loi qui octroyait des pouvoirs de contrôle szns pénalisation pour le locataire pauvre et qu’obligeait aux bailleurs sociaux à respecter la loi, ce sont eux qui perçoivent des sommes exorbitantes de l’État pour le bon fonctionnement de cette entreprise locative en faveur des pauvres, mais où va cet argent ?

RISQUE DE « MORT D’HOMME » (préjudice juridique inscrit dans le Code pénal) SI LES BAILLEURS NE RESPECTENT LA LOI ET NE RÉPARENT LES ASCENSEURS ET LA DÉGRADATION DANGEREUSE DE LEURS HLM .

Les bailleurs sociaux se permettent de laisser les habitants sans bénéficier de leurs ascenseurs pendant des longues périodes et ne réparent jamais les pièces délabrées parce que leur coût est selon leurs dires « trop onéreux » et se consacrent aux rafistolages successifs, j’en suis témoin, dans mon ancienne HLM parisien, il y avait l’ascenseur, la plupart du temps était en panne, le réparateur m’a dit un jour, au énième réparation, « vous savez madame ce qui se passe ? La pièce coûte 7 000 €, et le bailleur ne veut pas la changer, il nous oblige à faire du rafistolage successif, cela ne teindra qu’un ou deux mois », c’est pour quoi les réparations des ascenseurs sont récurrentes, jusqu’à ce qu’un jour, il n’est plus possible de continuer les rafistolages, alors les bailleurs s’excusent en disant que le partenaire ne trouve pas la pièce, ceci est un mensonge, ce sont eux qui gaspillent l’argent de l’État destiné à l’entretien des immeubles, et ils volent et détournent l’argent de l’État à leur propre profit.

Le mot d’ordre sera Contrôler.

« Surveiller et punir » leur sera facile aux contrôleurs, il leur suffira de voir des parties communes insalubres, et l’intérieur des appartements sans réparation quand ils sont totalement délabrés, c’est parce qu’il s’agit des constructions très anciennes qui exigent une mise en état par l’usure normale des années passées, ceci est une question qui ne mérite pas plus d’explications.

L’État ne contrôle jamais l’argent qu’il donne aux bailleurs escrocs.

Alors, nous sommes en droit d’exiger au gouvernement de prendre des mesures ; parce que s’il autorise ce détournement des fonds de l’État, il s’agit d’une escroquerie conjointe où le gouvernement en place se porte complice.

Nous sommes en droit d’exiger aux députés qui s’occupent de cette grave escroquerie qui doit prendre fin.

Je vais contribuer dès que je pourrai publier mon livre LOCATION ET CRIME et ils recevront mon livre gratuitement.

II. LA LOI QUI RÉGIT L’ATTRIBUTION DES HLM.

Les M2.

La France a des lois obsolètes, pour ce qi est de l’attribution des HLM ; elles font un rapport direct avec la composition des familles. Il est logique, c’est l’origine de la CAF et l’origine des HLM, composés des FAMILLES.

Deux facteurs sont y inscrits, les mètres sont en rapport direct avec le nombre des personnes qui vont occuper cette HLM.

* (Et je vous en prie, cessez de me corriger, HLM n’est pas masculin.

H= HABITATION, alors j’écris une HLM, CETTE HLM.

Il y a des années auparavant, une collègue professeur de français m’a corrigé et je n’ai plus jamais fait la faute ; je ne reviendrai pas sur cette question absurde).

J’ai toujours souffert de la discrimination d’être célibataire, affaire incroyable de ce pays qui se vante d’être d’avant-garde dans la matière, avant je me révoltais, si je me suis sauvée de vivre dans une cage, ce n’était que parce que j’avais maman à ma charge et toujours vivant sous mon toit, donc selon la loi française, j’étais considéré « chef de foyer avec personne à charge ».

C’est depuis le décès de mon père, que j’ai assumé entièrement ma mère qui était pianiste, donc sans aucune retraite. J’ai juré à mon père dans son lit de mort de prendre entièrement à ma charge maman. Cela allait de soi, il n’avait aucune demande à me faire, et je suis arrivée du Chili avec maman, et je me suis privée de tout pour lui donner le meilleur. Les barbelés et les restriction des M2 n’arrivèrent qu’après son décès.

Après son décès, j’ai vécu, j’ai survécu huit années dans une chambre HLM de 16 M2. C’est ce qui l’a forcée à venir à Poissy parce que j’ai 48 m² barème nationale qui correspond à un F2, mais qui le bailleur pour demander un loyer plus char a eu l’idée de diviser en 2 le salon avec un mur préfabriqué, laissant une chambrette de 9 m2 où il n’y a pas de radiateur, bien entendu, car c’est « le salon » divisé de force en deux.

C’est dans cette chambrette où je le redis, il n’y a pas de radiateur, preuve en l’espèce qu’il s’agit d’une seule chambre, le salon divisé en deux, où j’ai fait de la peinture et que j’ai transformée en « ATELIER ! »

J’ai accepté de venir à cette commune infernale chez un bailleur criminel pour avoir quelques m² qui me permettraient de peindre. Personne ne peut comprendre ce qui est pour un artiste peintre que de se voir interdit de peindre. C’est pareillement avec l’écriture, si je ne peux pas écrire je meurs.

J’écris et je peins toute la journée.

J’ai accepté cette HLM comme une libération de la cage parisienne, et, j’aimais tellement le quartier, j’étais au 13e arrondissement et je pouvais aller à pied jusqu’au jardin du Luxembourg, ma chambrette était située derrière la Place d’Italie, pour le retour, je prenais le bus.

Mon docteur m’avait dit de ne pas venir à Poissy, car et immeuble n’a pas d’ascenseur, « vous aggraverez votre handicap aux genoux si vous allez pratiquer ce sport de montée et descente des escaliers qui est formellement interdit pour vous, vous allez solliciter vos genoux sans cartilages, c’est une folie ».

Mais les docteurs sont de bons conseillers et FONCTIONNAIRES sans aucun pouvoir pour exiger aux gérants des HLM que leur patiente souffre d’un handicap moteur qui lui interdit les escaliers et de vivre éloignée de Paris. Les fonctionnaires qui gèrent l’attribution des HLM se moquent éperdument de mon handicap.

C’est ainsi que VILOGIA a refusé depuis quatre ans la mutation de cette HLM vers son immense champ locatif parisien, (et tant mieux, parce que si elles m’avaient mutée je serais sous leur emprise mortifère jusqu’à ma mort !) parcequ’elles, LES SERPENTS, sadiquement se réjouissent que je souffre l’indicible en montant et descendant chaque marche d’escalier avec des douleurs lancinantes.

Depuis janvier 2024, munie d’une ordonnance médicale, j’ai dû ‘acheter un gros déambulateur avec un grand sac des courses. Il pèse 8 kilos et avec les courses, je suis obligée à faire deux voyages pour monter et descendre le « Mon Blanc » qui a 84 marches d’escalier.

Elles, les gérantes de cette HLM, se réjouissent et m’observent, heureuses de ma souffrance physique quotidienne ; elles sont les pires êtres que je n’ai jamais connus, parce que, sadiques et de mauvaise nature, ces gérantes de VILOGIA n’attendent que ma mort dans les escaliers.

Bien, ceci dit, j’ai malheureusement une confiance dans le destin et dans la force de ma parole écrite dans ma dernière lettre adressée à une haute personnalité qui gère les HLM de Paris, le seul lieu où je dois vivre.

Une dame d’une mairie de Paris, m’a dit : « ne lui écrivez pas un roman, seulement une page, il n’a pas de secrétaire, ne craignez rien, il lit lui-même ses lettres, il va se connecter à votre dossier et il va corriger l’injustice que vous subissez depuis si longtemps, vous êtes prioritaire parce que handicapée »

J’ai une confiance absurde et qui me desservît, je l’avoue, c’est pourquoi, je guette ma boite aux lettres et j’attends…

LA LOI D’ATTRIBUTION DES HLM

Le bon sens devrait indiquer que les m² ne doivent suivre en rapport avec le ventre.

Si une femme est célibataire et si elle n’a pas enfanté, et si elle vit seule, sans concubin, sans mari, ce sont d’autres critères qui doivent être en jeux pour l’agrément de « la COMMISSION » partie prenante dans le jugement d’attribution de notre HLM.

Il est impératif ne posséder que des très faibles ressources qui ne nous permettent pas de louer dans le privé qui exige d’avoir des revenus trois fois le prix du loyer avec les charges.

Je propose donc, que les lois changent.

Ce n’est pas seulement l’état civil et le nombre enfants qui doit dicter le nombre des pièces de l’HLM.

Les COMMISSIONS doivent se mettre dans la perspective de notre vie présente.

1. Une femme française, peu importe qu’elle soit française de souche ou de « papier », qui a travaillé et cotisé, et qu’une fois vieille retraitée au seuil de pauvreté, la commission doit impérativement prendre en considération sa vie professionnelle ET familiale qu’elle a eue dans son passé professionnel et familial.

2. Ce ne sont pas exclusivement les ressources et l’état civil les seuls éléments qui doivent entrer dans l’articulation décisionnaire.

2. Une vie professionnelle passée doit être respectée. C’est celle qui nous a exigé d’acheter des livres, et si de surcroît, nous avons eu une autre activité, non rémunérée, qui occupe de la place physique parce que nous la conservons dans notre vieillesse et qui reste chez nous une activité prépondérante et l’unique motif de notre existence, elle doit aussi être méritoire de respect.

Devrions-nous, nous mutiler et nous défaire des affaires qui nous sont précieuses et d’un matériel qui forme partie de notre vie ?

3. Doit-elle cette COMMISSION nous exiger de nous défaire de notre bibliothèque et de notre production picturale ?

Je ne crois pas que mon cas exigeant et très particulier soit très répandu, et je ne crois pas que je sois un élément générateur de la banque route financière de l’État s’il me prête une HLM pour y vivre le peu d’années qui me restent à vivre.

C’est une vérité si simple que je ne devrais même pas me fatiguer à la faire connaître, puisqu’il suffit de donner ma date de naissance pour que ladite COMMISSION prenne de son propre chef une mesure d’intelligence.

J’ai demandé une mutation pour les mêmes 48 m² habitables que j’ai ici, et qui correspond à un F2 ou F3 si le bailleur le divise avec un mur préfabriqué en trois pièces.

Les femmes célibataires travaillent et quand nous devenons vieilles, nous ne pouvons sous aucun prétexte effacer nos vies passées, nous restons les mêmes professionnelles que nous l’étions dans notre jeunesse, les capacités ne s’effacent plus une fois acquises.

Quand bien même, nous ne sortons pas travailler à l’extérieur.

Nous avons été étudiantes et une fois formées, nous avons exercé une activité professionnelle au profit de la société ; que de plus important qu’avoir été professeur, c’est seulement en France que ce métier est dans la catégorie du mépris le plus abyssal, et que nous, professeurs, nous ayons été si méprisés et maltraités par l’État, parce que nous avons été sous-payés, celui-ci, c’est un autre sujet.

Nous avons été et nous restons professionnelles, nous devrions avoir un statut qui corresponde à la modernité et nous laisser en paix avec le reproche juridique d’être célibataires et restreindre de force les M2 des Hlm sous prétexte que nous vivons seules et sans enfants.

Avant de fermer cet article, je vais vous transcrire un dialogue affolant que j’eus cette année avec une Cheffe de logement et des personnes « âgées », j’étais obligée à commencer mes nouvelles démarches en commençant par la commune dans laquelle j’habite.

La « VIEILLE «  que je suis, car c’est ainsi que je suis cataloguée par l’administration, (L’épouse du Président qui a aussi 70 ans ne reçoit pas la dénomination de « vieille », elles se gardent bien de le lui dire, non, ils ne cessent de la cataloguer de « rayonnante » avec ses robes de haute couture, logique, je n’ai que des jeans et des tee-shirts de Lidl !!!Mes vêtements plus habillés, je les garde encore, et je ne les porte jamais en attendant une belle occasion qui n’est jamais arrivée. Aller à un concert par exemple, ils datent d’une trentaine d’années auparavant, quand je travaillais et que j’achetais quelques robes chez Mark & Spencer quand il était implanté à Paris.

Lesdites fonctionnaires et élues de la République qui siègent en mairie, ne prennent pas en considération ma véritable identité ; bien au contraire, elles baissent les yeux dès que je leur dis qui je suis et que je leur exige du respect.

Quand mon identité d’ancien professeur d’espagnol et d’artiste peintre ne fonctionne pas, il ne me reste que faire valoir mon handicap, le fait d’être prioritaire par loi et, de me voir forcée à leur indiquer le nom des articles de loi qu’elles violent de manière indécente, c’est pour leur dire face à face et très clairement qu’aussi bien le bailleur actuel que tous les bailleurs sociaux parisiens exercent à mon encontre une discrimination abusive parce que contraire à la loi qui me protège uniquement dans les textes : loi du 21.12.01: art.1

Les logements HLM doivent être attribués en priorité à certains demandeurs identifiés comme prioritaires, les personnes en situation de handicap. CCH : L. 441-1.

Mes ressources et mon état civil sont les seuls et uniques éléments de jugement. Pour une mutation vers Paris où j’ai toujours habité, il y a 15 ans d’attente. Pas besoin, je serai déjà morte.

Le fait d’être en situation de handicap devrait me donner la priorité, mais jusqu’à ce jour, le délit reste en place.

Alors, j’ai mis les choses dans le juste ordre juridique, et la discussion a viré à l’aigre. J’ai dû partir de cet entretien si attendu, mais que pouvais-je récolter des fonctionnaires macronistes ?

Tout y est dit.

Voici le dialogue que je voudrais bientôt oublier.

Visite en mairie macroniste.

Début de l’année 2024.

J’arrive aidée par mon déambulateur avec son sac des courses intégré.

Je portais à l’intérieur mon gros dossier de documents qui grossit depuis quatre ans, des démarches inutiles et des attentes qui se prolongent jusqu’à sa fin, méprisant ma vieillesse et mon handicap.

J’étais prête à me battre, ce sera mon avant-dernière démarche, sans trop d’espoir d’aboutir, je me suis dit, en monologue intérieur.

Après les formalités de rigueur, le dialogue de bienséance qui s’entretient encore faiblement dans les entretiens administratifs, je commence à sortir mon dossier de demanderesse.

Mon « charriot », comme l’on appelle mon gros déambulateur, qui, par chance, fabriqué en Norvège, peu commercialisé en France, il n’a pas l’allure dégradante des déambulateurs pour vieux, dégoutants qui vous donnent une allure de vieille « mémé » que je n’ai point.

Il va de soi que soucieuse de ma figure et l’esthète de profession que je suis, car artiste-peintre, que leur en déplaise, j’ai cherché le plus beau, qui est aussi le plus cher, naturellement.

Bien, le premier dossier que j’ai commencé à sortir de mon déambulateur fut mon « Rapport Juridique » des 300 Pp. Contre VILOGIA.

La fonctionnaire ne revenait pas au regard de cet immense travail. Elle le feuillette rapidement, s’il a 300 Pp., c’est parce qu’il contient les « preuves en l’espèce, les photocopies de toutes les pièces qui accusent sans conteste le bailleur escroc.

Ensuite, je sors le dossier qui contient les documents officiels de quatre années de demande de mutation : Certificats médicaux et l’Expertise de l’ergothérapeute D.E. qui « conseille » ma mutation vers un immeuble HLM parisien et ma situation gravissime est décrite avec des euphémismes absurdes.

C’est propre des médecins et des ergothérapeutes, toujours les fonctionnaires s’expriment sur des choses les plus sérieuses comme l’est le cas d’une personne en situation de handicap qui exige une mutation d’HLM avec un caractère d’urgence absolue, elle dit qu’il est conseillé, opportun, elle désirerait, tout est dit avec une distance sans aucun compromis professionnel, quand il s’agit de me défendre, personne n’est véritablement professionnel, elles déclinent leur déontologie dans une sémantique rustre et déplacée.

DIALOGUE.

L’ÉLUE ET FONCTIONNAIRE : Vous devez rester dans la commune…

Moi : non madame, je ne resterai pas à Poissy, on m’a trompée lors de l’acceptation de mutation, on m’a dit que tout allait pour le mieux ici, tout était faux, les distances entre l’HLM et la gare est immense, le réseau de bus est pire que celui du milieu rural, les chauffeurs me refusent la rampe, conduisent comme des brutes qui portent du bétail à l’abattoir, vous pouvez imaginer combien il m’est difficile de monter et descendre et c’est une épreuve encore pire quand je dois aller faire mes courses en ville ou dans la zone industrielle !

En janvier l’un d’entre eux m’a écrasé mon déambulateur neuf, après aller au commissariat, le commissaire qui s’est refusé à accepter ma plainte a choisi d’appeler la secrétaire du directeur de KEOLIS pour lui demander de me rembourser et, suivant les conseils du commissaire, je lui ai envoyé une LRAR avec la photo de mon déambulateur sous les roues de son bus, je n’ai pas été remboursée de mes 250 €, et j’ai dû m’acheter un nouveau déambulateur. Le directeur de Keolis ne m’a pas répondu, ma lettre recommandée est restée sans réponse, et je n’ai pas été remboursée par son assurance !

Après une attente du bus N° 3 de 56 minutes, pour arriver à la Gare de Poissy, il faut compter entre 15 et 20 minutes.

Une seule fois j’ai essayé d’y aller à pied. J’ai pris une heure, c’est une folie. Ensuite l’attente du train vers la gare Saint-Lazare, prend 56 minutes en heures creuses, je ne peux pas voyager trop tôt, car pendant les heures de pointe il y a une foule compacte, et il m’est impossible de me franchir le chemin et obtenir une place avec mon gros déambulateur, il ne se plie pas.

Ici à Poissy je n’ai rien à faire, ma vie culturelle est à Paris.

À Poissy ma vie reste en suspens, pour deux motifs de poids, le premier est d’ordre financier et médical, je suis suivie depuis des nombreuses années à Paris, la télétransmission ne fonctionne pas, car ici il n’y a pas de bons médecins, le peu qu’il existe, n’accepte pas de nouveau « CLIENTS » et l’hôpital est le pire des hôpitaux communaux des Yvelines.

Donc, pour me contrôler, je dois faire usage des taxis conventionnés, je suis une citoyenne qui a une pratique d’austérité, je ne fais jamais des dépenses inutiles. Connaissez-vous le prix d’une course vers Paris ? 200 €, c’est la CPAM qui paie, si j’habitais à Paris, avec mon déambulateur, je prends le bus et je vais vers n’importe quel arrondissement de Paris. Le réseau de bus parisien est un des seuls services publics dont je vante l’exemplarité. Je n’ai pas besoin de rien de supplémentaire pour m’occuper de moi-même à Paris, je suis totalement indépendante et me suffit à moi-même, je n’ai besoin de personne pour ma vie courante, mon grave handicap au niveau des genoux peut s’entretenir parfaitement en terrain plat, les escaliers me sont formellement interdits. Ici, je suis bloquée et cette situation ne peut plus continuer.
Ce deuxième problème que je viens de vous exposer est de taille et le noyau de ma demande de mutation de HLM vers Paris, et qui la justifie totalement. Comme vous le voyez, je suis handicapée.

L’ÉLUE ET FONCTIONNAIRE :

Je pourrais faire intervenir le préfet, mis il ne vous donnera qu’un studio.

MOI : un studio ?! vous voulez me faire retourner à la case de départ, qui m’a obligé à accepter cette HLM minable qui me porte grave préjudice et qui a aggravé mon handicap ?!

Sachez, madame, que mon handicap aux genoux n’est pas d’un handicap dit « évolutif », car il n’est pas d’origine NEUROLOGIQUE, mais MÉCANIQUE, le comprenez-vous ?

Je n’ai plus des cartilages rotuliens, et les douleurs qui me provoquent la montée et la descente de 84 marches d’escalier au quotidien peuvent me provoquer soit une fracture spontanée ou une dislocation grave des genoux.

Pensez-vous vraiment que je doive subir une telle épreuve physique et de surcroît très douloureuse ? Uniquement par la surdité des fonctionnaires qui gèrent les commissions d’attribution des HLM ?

L’ÉLUE ET FONCTIONNAIRE : je sais…Je sais…

Moi : monologue intérieur…Oui, elle sait… mais elle ne fait rien. Elle me parle du préfet, je sais qu’elle ne fera rien parce que je ne suis pas de son parti politique.

MOI : Madame, vous me parlez du préfet ? Le préfet de Paris a déjà reçu mon dossier il y a une année, et j’ai épuisé mes démarches en solitaire pour obtenir ma mutation vers Paris.

J’avais déjà écrit à Madame Borne quand elle était ministre, après 8 mois d’attente elle a fait répondre à son chef du courrier de Matignon, qui m’a répondu me disant qu’il avait transmis mon dossier à la Préfecture, mais sa cheffe des Affaires sociales urgentes m’a répondu à sa fois une lettre qu’elle « ne pouvait rien faire pour moi », parce que selon son haut jugement juridique, qui est totalement faux, je n’entrais pas dans le cadre DALO, car je suis déjà logée par un bailleur social et que juridiquement lui incombe la responsabilité de me muter. Donc tous les hauts fonctionnaires se défont de manière olympique de leurs devoirs et laissent la citoyenne sans faute que je suis et en situation pénible de handicap sans aucune solution de mutation. J’ai laissé tomber. Quiconque doté de raison ne va pas poursuivre dans une démarche administrative étanche, ni insister devant des « personnes sans qualité ».

ÉLUE ET FONCTIONNAIRE : (Elle fait appel à une collègue du bureau d’à côté qui vienne m’expédier) et les deux ensemble recommencent l’interrogatoire.

LA DEUXIÈME ÉLUE :

* Vous êtes célibataire ?

* Oui madame.

* Vous n’avez pas d’enfants ?

* Non Madame, je vous ai dit que je suis célibataire et jamais mariée.

* Oui, (elle regarde ma carte d’identité française) mais vous pouvez être célibataire et avoir eu des enfants.

* Non, Madame, je n’ai pas voulu faire des bâtards, ce n’est pas dans ma culture ni dans mon éducation de famille.

* Silence…

* J’ai serré les dents, je n’allais pas lui sortir un papyrus de déclamation propre d’une héroïne grecque lui exposant inutilement et de façon ridicule que les artistes ne doivent pas se marier ni faire des enfants pour donner tout son temps et toute son énergie à l’Art. Ce serait une autre stupidité de ma part. J’ai opté pour rester muette.

* Jusque-là, elle gagnait le match…

* D’après les dires de ma collègue, vous vivez a actuellement dans un F3. Ceci est interdit.

*Interdit ?

*Oui, vous êtes seule.

* Vous vivez seule ?

*Bien entendu Madame.

*Vous n’êtes pas mariée et vous ne vivez pas en « concubinage »

*(Il ne me manquait que ça)

* Donc, si nous faisons une intervention en votre faveur devant le préfet et telle que vous l’a dit ma collègue, il ne vous donnera qu’un studio.

* Mais madame, j’ai une grande bibliothèque, j’ai 70 cartons de livres !

* Vous devrez vous réduire !

Mais madame, je n’ai pas de meubles, je n’ai même pas d’armoire ni de canapé, je survis sans rien comme une immigrée qui vient d’arriver à la nage au Calais, je n’ai aucun électroménager, qu’un frigo, que voulez-vous que je réduise ?!!!

* Elle ne sait pas quoi me répondre, mais insiste.

* C’est contre la loi si nous vous octroyons un F2 ou un F3

* Moi , je lui donne une multitude d’exemples qui démontrent que c’est faux, à Paris, dans mon ancien logement HLM de 16 m², j’avais une voisine célibataire de mon âge et qui travaillait encore et qui avait un immense F2 spacieux pour elle seule. Elle avait une grande cuisine, une spacieuse salle d’eau, elle était ma voisine de palier. Qu’elles ne viennent pas me raconter des mensonges insupportables !

Ces élues croient qu’une personne parce que pauvre est imbécile.

* Elle revient à la charge…Mais vous aurez un ascenseur !

Là, je n’ai pas pu me taire, et j’ai dû parler, m’offrir un studio, c’était le comble !

Madame, je suis en France pour la peinture !

Encore, je ne pourrais plus peindre !

Regardez mon âge, il ne me reste que peu d’années à vivre et je compte les épuiser bien en travaillant jour et nuit sans relâche, je ne dors que quatre heures par nuit, je ne vais pas accepter une nouvelle mutation qui va me mutiler encore plus, que voulez-vous que je fasse avec mes toiles ?

Voudriez-vous que je les jette à la Seine ?

*Mais vous êtes handicapée, vous aurez l’ascenseur !!!

Oui bien sûr, c’est votre réflexion ?

Je ferai ma peinture dans l’ascenseur ?!

J’étais hors de moi, je me suis levée, j’ai pris mon adorable déambulateur qui m’accompagne de partout et qui m’empêche de tomber, et je suis partie avec une envie de faire un malheur !

Si l’on touche à ma peinture, là, j’explose, car la peinture, c’est toute ma vie.

Je n’ai pas insisté sur l’écriture ni sur mes 70 cartons de livres.

Écrire ? On peut écrire même en prison.

On n’a besoin que d’une table et de notre ordinateur.

Mais la peinture est sans conteste l’art le plus exigeant et le plus onéreux et luxueux, dans tous les sens du terme, car la peinture à l’huile est du pur luxe, c’est un travail prenant et l’on doit se munir d’un matériel de luxe qui coûte une fortune.

Les toiles s’accumulent et elles exigent un espace physique approprié, avec une température ambiante sèche et à l’abri du soleil et de l’humidité, en plus notre matériel doit avoir une place pour travailler avec aisance, moi, je n’ai fait pas des toiles immenses, mais celles de 92 x 85 sont déjà assez grandes pour ne pas disposer une petite chambre destinée uniquement à faire de la peinture.

Personne et aucune de ces élues ne savent que le peinture à l’huile est toxique et qu’un peintre ne peut ni séjourner ni vivre dans le même lieu où il peint, car la peinture à l’huile est si toxique pour les poumons que nous pourrions partir en état comateux aux urgences.

La peinture à l’huile prend du temps à sécher, et il faut absolument fermer hermétiquement la porte de notre atelier.

Mais quel raisonnement inapproprié pour les élues et les gestionnaires des HLM !

Avant de partir , je leur ai dit l’essentiel et avec cette dernière phrase je quitte ce long rapport politique qui a voulu aller du particulier à l’universel.

Mesdames, vous m’avez posé tant de questions… En »mode interrogatoire… »

Vous m’avez fait la liste de mes manques, mais ni pour une seule fois, vous ne m’avez parlé ni évoqué mes dons ni mes acquis, mesdames. Ce qui me manque est à la vue de tous,

Je n’ai pas d’argent. Je n’ai pas de famille.

Je n’ai pas de patrimoine (j’ai été spoliée par les musées chiliens)

je n’ai rien… C’est vrai.

Mais j’ai le BAC+ huit années d’études universitaires. J’ai deux diplômes français. ET… Je suis artiste peintre, et la seule héritière encore en vie de la plus prestigieuse École de peinture moderne française : L’École de Paris. Cela devrait vous suffire, mesdames, pour me traiter respectueusement et me muter vers Paris.

Mais, quelle profusion de remarques sur mon état civil pour me refuser une HLM, faisant des excuses déplacées sur mon état civil…

Ensuite, sur le fait de n’avoir jamais enfanté. Vos réflexions ont été suivies des jugements de valeur disproportionnées et hors sujet… Le fait de vivre seule… je ne mérite pas plus de m² que ceux dont dispose un petit studio ou les 16 m² de la chambrette HLM où j’ai vécu interdite de peindre huit années durant.

Je ne vis pas « en concubinage » la seconde excuse formulée…

Je vais vous répondre pour la dernière fois :

Les m² d’une HLM ne doivent pas être en rapport avec la situation de vie intime, car ces réponses sont hors sujet, car correspondant à la vie intime de la demanderesse, et non de ce qui a été sa vie professionnelle ni de son activité de retraitée ; surtout à présent, que le gouvernement a fait appel aux psychiatres qui conseillent les administrateurs de la vie des vieux, ils veulent les aider « à comprendre l’art ! »

et ils « conseillent » aux fonctionnaires des Caisses de retraite de donner des séances gratuites de sensibilisation à l’Art », je meurs de rire !

Les vieux doivent avoir « des activités artistiques ! » vous faites une contravention aux programmes en vigueur, mesdames, puisque vous ne voulez que m’enfermer dans une cage et me priver de peindre jusqu’à ma mort.

Oui, je vis seule, puisque je l’ai voulu ainsi. Et si vous me remarquez mon célibat, vous devez me regarder et vous obtiendrez la réponse sans besoin d’interrogatoire. Mesdames, je n’ai pas droit à un F3 pour peindre parce que seule, oui, certes.

C’est parce que «  je suis laide, bête et bossue ».

Merci mesdames de m’avoir donné cet entretien.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

L’ASSEMBLÉE NATIONALE ET SON HOMÉLIE – RETRAITES AU SEUL DE PAUVRETÉ -PAS D’AUGMENTATION DE 20 €

3 octobre, 2024 (08:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

L’ASSEMBLÉE NATIONALE ET SON HOMÉLIE

GASPILLAGE ET LAPIDATION

C’EST NOUS QUI PAYONS 

LES RETRAITÉS DOIVENT « CONTRIBUER ! » 

RETRAITES AU SEUIL DE PAUVRETÉ

GELÉES JUSQU’À 2025

PAS D’AUGMENTATION DE 20 €

Chers Lecteurs,

Ce que j’observe dans cette période de « politique MAZAMORRA » qui dure depuis des nombreuses années, est que nous sommes bercés entre folie et homélies ; cette situation ambivalente est absurde, la politique par essence ne supporte pas des déviations irrationnelles qui apportent tort au peuple ; la déraison arrive a son paroxysme au sein de l’Assemblée Nationale, nous passons des discours fervents qui se développent dans des argumentations explosives nous assurant la défense de nos droits. Lesquels ? Nous avons de moins en moins, et nous conseillant d’épargner jusqu’à ce que le niveau financier arrive à se normaliser et que la dette soit entièrement soldée, mais pour y parvenir, nous les retraités, nous serons déjà morts.

Et, c’est des retraités qui s’agissait hier, nous mettant dans la liste de ceux qui doivent « contribuer » à combler le gaspillage et lapidation des ressources de l’État qui incombent au gouvernement macroniste.

Nous ne sommes ni responsables ni coupables.

Ce qui se discute à présent, et je fais une sélection sur le sujet que je connais le mieux, la pauvreté, la misère, « le pouvoir d’achat ».

« Le pouvoir d’achat » n’est pas une simple argumentation politique, il faut la traduire et l’expliquer comme il se doit, il s’agit de notre SURVIE.

L’autre tonalité de l’Assemblée Nationale est apparentée à une messe, et nous assistons à des homélies rassurantes, le nouveau gouvernement fait une messe apaisante.

La solution pour résoudre l’état catastrophique de la comptabilité qui par leurs dépenses abyssales, dont nous sommes exempts, est de faire payer le peuple leurs dépenses, l’augmentation des impôts selon leur programme de facilité, incapables de se lancer dans une idée nouvelle qui fasse preuve d’intelligence et l’effet d’une innovation dans le champ économique, est de faire payer le peuple leur gaspillage et lapidation de l’économie française qui leur revient entièrement.

La « contribution » devrait se réserver aux plus riches, mais d’aucuns disent que cette augmentation tombera spontanément à tous ceux qui ont des salaires dits « confortables », il va falloir décider qu’est-ce que c’est pour le gouvernement un « salaire confortable », (les leurs indubitablement), alors, la décision sur qui devra ou non se tenir à l’obligation de « contribuer » à assainir la dette, ne devrait pas être une question aléatoire ni d’appréciation subjective.

Nous attendons encore le verdict sur le plafond qui devra être respecté.

Hier, à la sortie de « la messe républicaine » , on nous a dit que les retraités  seront obligés à contribuer à assainir les folies dépensières de l’État.

Mais, il ne nous a pas éclairci si les retraités qui n’ont que 1000€ pour survivre mensuellement, où je me trouve conjointement au lot des retraités qui subissent la misère quotidienne, seront aussi taxés, et étouffés encore plus et à en mourir.

Selon les éditorialistes que font le « briefing » des mercredis, ils ont mis devant les caméras un graphique très peu rassurant.

Il va de soi que les retraités sont aussi dans la grille qui fait le barème sur les retraités pauvres et les retraités « riches ». L’adjectivation arrive à leur secours, il s’agit dans leur jargon propre, de recenser les retraités au « seuil de pauvreté » et les retraités aux « retraites confortables ».

Il y a un gros pourcentage de retraités au seuil de pauvreté inscrit à 1200 €.

Moi, je survis avec 1010 €.

Ils l’ont montré hier dans un graphique honteux à la télé.

D’après ce graphique qui leur a servi pour leur analyse, les éditorialistes ne nous ont pas dit si le gouvernement pense nous diminuer encore lus.

Il paraît que non, car c’est le haut pontife de Bruxelles qui dicte la loi sur le seuil de pauvreté pour les minima sociaux, et pour les retraités ce qui était auparavant « le minimum vieillesse ».

Si nous faisons notre bilan d’après les discours des éditorialistes, ce qui nous arrivera à nous, « retraités au seuil de pauvreté » est de subir l’absence de l’augmentation de 20 € que nous aurions dû avoir pour janvier 2025.

Nous l’avons eue l’année dernière, augmentation qui s’est diluée ipso facto dans les augmentations des factures, je n’ai reçu donc aucun avantage avec ces 20 €.

C’est pareillement avec l’augmentation de 20 e de l’APL qui vient d’être effective par la CAF et qi sera effective le 10 octobre et versée sur le compte de VILOGIA !

Vous devez savoir que si l’État décide d’augmenter l’APL le seul bénéficiaire n’est pas l’allocataire, c’est le bailleur social.

L’APL devrait modifier le reliquat du loyer qui paient les allocataires très pauvres, mais non, le seul bénéficiaire est le bailleur social, c’est un compromis bien arrangé entre bailleurs sociaux et l’État.

Donc cessez de nous croire des privilégiés, l’APL est différente des allocations qui perçoivent les familles pour leurs enfants, il y a en a multiples et récurrentes, « les p’tits » sont l’avenir de la France » !

Les célibataires pauvres paient pour les autres ..

J’écrirai un article à part sur cette situation affolante.

Pour résumer, c’est une garantie pour les bailleurs sociaux, où par le réseau informatique de la CAF, institution d’État se partagent équitablement l’État et les bailleurs sociaux une somme en notre nom et N° d’allocataires, ils utilisent notre N° d’allocataire pour faire des compromis entre eux !

Dans mon cas particulier l’État ordonne à la CAF de verser en mon nom l’APL à VILOGIA.

Moi en l’occurrence, je ne vois pas en mon bénéfice ces 20 € qui me serviraient fort bien dans mon porte-monnaie pour manger 3 jours, non, cette augmentation de l’APL va grossir le compte de VILOGIA, l’APL est versée sur les comptes des bailleurs sociaux !

Dans mon cas particulier, mon APL augmentée de 20 € va directement vers le compte de VILOGIA qui peut se réjouir d’être ainsi récompensée grâce à ma misère, et par l’État qui pénalise les locataires honnêtes et grossi les compte des escrocs.

Si l’APL servait à diminuer de 20 € le loyer, le reliquat du loyer qui payons-nous, tous les locataires très pauvres et qui bénéficient de l’APL, il serait une loi équitable et bienvenue, mais la CAF qui n’est qu’un organisme payeur et non décideur, se charge d’obéir l’ordre de l’État et vient de verser, (en mon nom, l’augmentation de MON APL qui me revient en toute justice pour 43 ans de misère injustifiée), au bailleur social le plus délictuel que je n’ai jamais eu depuis 1989, date où je suis devenur=e française et que j’ai commencé à louer chez les bailleurs sociaux, c’est là qui commencèrent mes malheurs, puisque quand je louais dans le privé, je n’ai jamais eu le moindre différend avec les bailleurs particuliers et je travaillais au sein de l’Éducation Nationale, exploitée, rabaissée sur des postes précaires, incertains et très mal payés, mais j‘arrivais très difficilement à m’en sortir, et, en ayant ma mère à charge ; maintenant c’est le comble de l’injustice et de la misère programmée par l’État et ce gouvernement.

Il faut finir le briefing : les retraités « insérés « au seuil de pauvreté », ce qui se passera est de rester dans l’insectarium de la misère jusqu’à l’été 2025.

Il faut savoir que ce gouvernement nous réduit déjà suffisamment notre retraite avec l’augmentation des factures de l’énergie et avec les taxes chaque fois que nous essayons de remplir notre panier des courses alimentaires, où part notre retraite « confortable ? » l’État a décidé de la geler et de ne pas nous verser les 20 € d’augmentation.

C’est une mesure du ministre de l’Économie qui fait preuve encore une fois d’une incompétence foudroyante qui touche le crétinisme le plus profond.

Cette situation folle et sans issue comme l’est tout état de folie prononcée, nous mène, pour ne pas sombrer, vers à l’hilarité et à faire des comparaisons ou se mêlent l’ironie et l’absurde ; n’oubliez pas que l’ironie est selon Vladimir Jankélévitch, le moyen de défense des faibles.

Je m’adresse aux nouveaux dirigeants, qui veulent étouffer encore plus les retraités qui doivent choisir entre payer le chauffage ou s’alimenter, ce sont les retraités pauvres qui déclarent ne manger qu’une fois par jour, alors, je vais donner une idée aux ministres, c’est une mesure économique que vous pouvez appliquer aux retraités pauvres, j’y suis dans ce lot mesdames, messieurs, je vous donne une nouvelle solution de facilité qui ne vous coûtera RIEN, ce sera plus facile que de construire des prisons, faites un recensement de tous les retraités pauvres de la France, commencez à nous punir encore plus et pour ne plus augmenter de 20 € nos retraites de 1000€, ce que vous avez décidé pour l’année 2025, pour aider à combler le déficit des vos dépenses, alors il n’y a qu’à nous placer dans un camp de concentration pour ne plus manger, car si vous pouvez gouverner avec vos salaires confortables sans le moindre remord, et poursuivre en train de grossir scandaleusement grâce à vos déjeuners et dîners flamboyants, sans vous soucier des vieux qui devons survivre avec nos frigos vides et que vous poursuivez à diriger si mal le pays avec une nonchalance grossière, il ne vous reste que nous réunir dans un camp de concentration, pour ne plus manger, là on ne va payer ni le loyer, ni le chauffage et nous ne mangerons plus rien.

Votre plan d’économie sera encore plus réussi, nous ne pouvons pas en douter !

Un seul repas par jour font tous les retraités français placés dans le barème du « seuil de pauvreté » ; traduisons : tous ceux qui comme moi, ne percevons que 1000 € par mois de retraite misérable.

Le 17 du mois, il ‘y a plus rien.

Je veux que cette situation soit connue de par le monde, je la fais connaître à mes lecteurs étrangers qui me suivent fidèlement.

Effacez de votre imaginaire la France des cartes postales, c’est une vérité qui ne peuvent vivre que les touristes asiatiques et ceux des pays riches, et en France la vivent très bien les français riches, parce que la France possède un gouvernement qui peut s’engrossir sans remords, tandis qu’il a une génération des vieux qui ont travaillé toute leur vie pour récolter une retraite de misère honteuse qui ne sert qu’à payer les factures et ensuite crever la faim.

Un camp de concentration s’approche si ce gouvernement malséant poursuit en place.

Je vous laisse juges.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak