PITOYABLE
PITOYABLE
Chers Lecteurs,
L’intervention du »Banquier » ne mérite pas mon commentaire.
SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN
UNE LANGUE VIDE, C’EST LA MORT DE L’EXERCICE POLITIQUE
Chers Lecteurs,
Hier soir j’ai entendu avec la plus grande attention Monsieur Charles De Courson, Député de LIOT, et Rapporteur du budget de l’Assemblée Nationale.
Dans une période où l’essence du problème politique est centré uniquement dans l’organisation du budget de la nation, prenez acte que la cloche a marqué la fin de la récréation, ce son devrait alerter le prise de conscience qui leur fait grave défaut à tous ceux qui depuis leur position d’acteurs ou de spectateurs de ce naufrage, sont inclus dans cette crise que nous aussi subissons et où le seul coupable est monsieur « Le Banquier » et ses alliés. La fin de la récréation indique que le « conseil de classé » a pris fin. Nous n’avons pas besoin de maîtres d’école qui défendent et donnent le bilan du mauvais travail d’aucuns, de leur vantardise nous exposant les qualités de leur « travail » et moins encore de les entendre nous proposer publiquement dans les séances devant les plateaux les postes ministériels pour ses coreligionnaires; nous n’avons pas besoin de ces discours, où la maîtrise du fait politique est absent pour donner place à la démagogie, et des mots adaptés à une homélie dominicale, c’est ce qui a fait cet après-midi, avec une forte dose de colère, impropre d’un jeune prêtre tout de même, cet ancien Premier ministre , en rappelant à l’ordre ses fidèles égarés !
L’heure est arrivée pour exiger une action précise, il faut leur exiger la fin de leur comédie.
Pour l’heure, nous devons exiger l’exercice professionnel d’excellence d’un expert en question de finances, pour mètre de l’ordre dans les recettes de l’Etat.
Hormis quelques pensées rares dans le paysage politique, la plupart se vante d’avoir travaillé des heures dans la rectification du projet budgétaire; la vérité est qu’ils ne s’occupent que de leur petite boutique, de préserver leurs postes régaliens et d’envisager avides, calculette à l’appui, la comptabilité d’improbables votants pour les prochaines élections. Ils veulent un nouveau Premier ministre, sans se rendre compte que « Le Banquier », élira un proche, et tout sera du pareil au même.
Après avoir réfléchi et d’voir entendu les uns et les autres, et si je devais confier la travail du budget de l’Etat pour que la banque route soit annulée par une gérance intelligente du déficit abyssal dans lequel ce conglomérat qui forment le parti politique du « Banquier » que j’ai nommé le groupe « MAZAMORRA » et que à présent je lui greffe un synonyme, le « LE PARTI DES DILETTANTES ».
« Le Banquier » et ses coreligionnaires doivent démissionner, c’est la seule sortie constitutionnelle viable, et qu’ensuite nous soyons appellés à un référendum.
En toute « responsabilité citoyenne », j’exercerai mon droit de vote et sans hésiter je choisirais un représentant doué d’intelligence. Cette situation a été provoquée par « manque d’intelligence », je vous ai à maintes fois que quand nous sommes face à des situation inextricables qui paraissent insolubles, elles sont provoquées par « manque d’intelligence », ce sont mes parent squi m’ont donné cette leçon, elle fut la première leçon politique qu’ils me donnèrent, et cette boussole est celle qui me guide dans tous mes choix.
Nous devons faire un choix sérieux, parce que nous formons partie de la France.
La liste des noms qui apparaissent ça et là, ces sont les mêmes ministres qui par le passé échouèrent.
Nous les connaissons tous.
La voie d’une sortie heureuse est signalée par le discours d’une figure qui a fait preuve et qui continue à faire preuve d’une intelligente hors du commun, et qui fait le consensus général de droiture, d’honnêteté, (Ô si qu’elle est une si rare vertu !) d’autorité sans faille et qui plus est, un député connu par ses compétences en matière des finances sans que arrive entamer son travail, aucun intérêt personnel dans sa carrière au service du pays.
Si je devais voter, pour que prenne fin ipso facto ce dilettantisme politique et ce désordre dû au manque de jugement, un seul nom arrive pour que je fasse mon choix publiquement: C’est Monsieur le député Charles De Courson.
Je suis persuadée qu’une seule voie de sortie doit être réclamée: la démission du « Banquier », une référendum et nous laisser la liberté de choisir.
J’ignore pourquoi le nom de Monsieur Charles De Courson, Rapporteur Général du budget de l’Assemblée nationale n’est pas proposé.
Je le propose. Réfléchissez-en.
Arrêtez de tourner dans un cercle vicieux, la dualité qui s’affronte toujours, encerclant la pensée autant du coté de la droite autant des dilettantes de gauche est pour l’heure contribuer au désordre.
Ils se ridiculisent présentant des discours aberrants propres d’un « caudillo » du pays latino -américain du Tiers monde.
Lamentable situation qui est celle qui vit la France.
L’heure de prendre fin à cette aporie est arrivée.
Le fait politique exige clarté, rigueur, austérité, priver l’espace de travail de tout intérêt personnel pour placer le bien commun comme l’exigence première de tout acte politique.
L’exigence d’une compétence prouvée dans le domaine budgétaire et non la capacité de discours « diplomatique », le discours des diplomates n’est pas un discours de vérité, nous n’avons ps besoin d’apaisement mental par la parole, ni d’un maître de conférences, ni des postulants pour entrer dans les ordres, comme ce soir, celui qui nous a obligés à recevoir l’homélie un peu en avance, qu’ils se la réservent pour l’exercer en privé,, à la manière d’un exercice de discours religieux dominical, il est impropre au sein de l’Assemblée Nationale.
Exigeons uniquement la compétence d’un expert dans les questions économiques de l’État.
Cet après-midi, dans une conversation d’aucuns me demandèrent des informations, parce que ces personnes savent de mon intérêt permanent pour la politique, alors, je les ai promis de les informer dans mon prochain article sur la personnalité de notre Rapporteur du budget de l’Assemblée Nationale qu’ils ne connaissent pas.
Voici mon article promis.
Cette valeur de droiture, d’austérité et de compétence politique, reconnue de tous se concentre chez Monsieur Charles De Courson député de LIOT, et Rapporteur du budget de l’Assemblée Nationale, mesdames, messieurs, il doit nous sortir de cette aporie politique.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
En este relato lírico, las reminiscencias de la autora toman el rumbo de un viaje telúrico y marino en la descripción de un balneario de su país de origen: Chile, y de sus veraneos en la cabaña naranja que su padre hizo construir con esmero antes de que ella naciera y se la regaló a su madre justo cuando Carmen cumplió un año, el diálogo marino comenzó en ese entonces.
Paseos por le bosque, largas caminatas al borde del mar, días enteros con su madre en la playa, paseos por la tarde bajando hacia la rambla para esperar el crepúsculo en un ritual salino para terminar en el centro del pueblo en la diversión de “los juegos” que eraun espacio polvoriento alumbrado con ampolletas que se suspendían con cables atados pobremente y que adornaban los sueños infantiles, la niña jugaba a la ruleta y ganaba siempre las “ pastillas pololeo” para volver a la cabaña, victoriosa de su premio azucarado, el que se repetía todas las tardes provocando la rabia de la propietaria de los “juegos”; las fogatas nocturnas con su padre, extensos momentos de silencio escuchando el mar y el viento que azotaba las ramas de los árboles contra las ventanas…Un espacio de vida que se vio mutilado el día en que forzado por la vejez su padre se vio obligado a vender la Cabaña naranja, y los nuevos propietarios la mutilaron de cuajo.
Lejos para siempre de ese paraíso infantil, y queriendo con la escritura inmortalizar ese maravilloso espacio de tiempo perdido, para darle una vida eterna y reparar la mutilación de esos salvajes, la autora resucita ese tiempo perdido que surge invencible y eterno de la bruma.
El Quisco, es su infancia, su adolescencia siempre sola con su madre, bordando con ella una vida feliz y paradisíaca en binomio absoluto; la figura del padre es la veneración y la ternura protectora; el Quisco es el ahínco de sus padres por darle el mar, que es aquí un personaje central, el que, junto a sus padres, reviven en este presente y nos sumimos en un espacio telúrico donde la palabra poética se hace vida y oda al mar.
El Quisco es el terruño eterno, personaje inmortal como los padres de la autora, que al final reviven gracias al poder de la palabra; la autora los hace revivir en este relato, es gracias a ellos que la autora se ató para siempre al mar, porque fueron sus padres, los verdaderos creadores de El Quisco.
ISBN : 978-2-916501-34-5 9782916501345
15€
Chers Lecteurs,
Les motifs détaillés qui exposèrent les députés qui voteront la Motion de censure expliquèrent que c’est le refus du Premier ministre à réaliser l’indexation annuelle des retraites »au seuil de pauvreté », la raison qui a déclenché leur décision. Non, la vérité est que l’ensemble du budget est néfaste et c’est la véritable raison du refus en bloc.
Cette dénomination est dite d’une si élégante manière: « au seuil de pauvreté », synonyme : Moi, sans euphémismes je la nomme : « retraite indécente ».
C’est une retraite de survie, si l’État la supprimait ou la diminuait, les vieux qui survivent avec cette somme misérable, ne pourraient ni honorer leurs créanciers ni s’alimenter, ils passeraient au stade de SDF et mourraient de faim, l’État passerait à la classification de génocidaire, un autre pays classé dans ce honorifique statut.
Que ferait un pays avec ce pourcentage des vieux sans aucune ressource?
Politique de fiction?
Terme à la mode…
C’est une politique fictionnelle et improbable?
Je vous laisse juges.
Selon d’aucuns, le Premier ministre avait déjà accédé à trois demandes, mais il a refusé « la surenchère », il paraît que cette 4ème demande, l’indexation de nos retraites indécentes, a été le motif de la discorde qui a motivé l’irrévocable Motion de censure.
Nous savons que les retraités ne sont qu’un détail infime dans tout ce « budget négatif « de fond en comble.
Qui va se soucier d’une couche sociale qui n’est bonne qu’au cimetière?
S’ils se préoccupent c’est uniquement par trois raisons: pour ne pas ternir l’image de la France qui se vante de sas « solidarité », ensuite pour un minimum de remord et finalement parce que nous sommes encore « utiles », nous servons par temps d’élections; les politicards nous font des promesses d’une augmentation de 46€ qui vont changer totalement notre mode de vie annuelle !
La vérité est que nos sommes d’intérêt pour attraper quelques votes utiles, tout vote compte par période des élections, et avant de quitter cette merveilleuse planète pour changer notre HLM pour le caveau au cimetière, nous servons encore à augmenter ou diminuer leur candidature.
Alors, je suis allée fouiller dans les dossiers, parce que j’avais oublié le montant exact de l’indexation du montant de ma survie mensuelle, et je suis perfectionniste, je n’allais pas écrire un montant indéfini.
Le montant exact a été de 46 €.
De 883 € ma retraite est passée à 929€ mensuels.
Mon cas particulier fait que pour avoir travaillé depuis mon arrivée en France dans l’enseignement privé, jusqu’à 1989 date de ma Naturalisation Française, mais quel honneur ! J’en étais si fière ! Et qui coïncide avec mon entrée triomphante une année après au sein du Ministère de l’Ignorance Nationale !
Ma retraite complémentaire n’est que de 81€
Pourquoi si basse?
Parce que le Centre de calcul s’est refusé à comptabiliser mes années de travail dont je n’avait pas les « contrats de travail ».
J’ai contesté la décision argumentant qu’à l’époque, il n’y avait pas d’internet et que bon nombre des « boites de formation continue » ne donnaient pas de contrat.
Les fiches de paie ne furent pas acceptées. J’ai contesté fortement ce refus en donnant comme argument qu’en revanche, tout mon historique des années travaillés se trouvaient inscrits dans la sécurité sociale. Mon argumentaire fut écrasé par l’administration. ELLES, répondirent que je devais contacter un par un les patrons des entreprises de l’époque. Ces entreprises et leurs patrons sont toutes disparus. Le résultat est inscrit dans une retraite complémentaire de 81€.
J’ai travaillé pour notre survie immédiate, pour Maman et moi-même , sans laisser aucune trace significative pour profiter de mes vieux jours.
Un avocat m’a dit ceci: « inutile de se battre sans preuves factuelles, n’oubliez jamais qu’en France, un patron ou l’État aura toujours raison même s’il a tort ».
Avec cette catastrophe politique, les retraités qui survivent comme moi, avec moins du Smic, nous ne verrons pas ces 46€ d’augmentation dans notre paie du 10 janvier 2025.
Mais c’est un détail…Nous formons le strate sociétal Français bon uniquement pour le cimetière! Ah!, j’oubliais…Il faut finir de le payer…Je dois encore 8000€ et je devrai le solder avec 1000€ de retraite.
Martyr funéraire- financier personnel.
Vive le République et vive la France !
Bon courage pour ce soir !
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
Chers compatriotes,
Cette fois-ci je m’adresse tout particulièrement à mes compatriotes, parce que le sujet que je traite ici ne concerne point mes lecteurs étrangers, ils ne seront intéressés que par la curiosité et le désenchantement qu’ils vont avoir à la lecture de la description du scénario catastrophe de notre situation politique et économique, mais il faut préciser que « notre situation chaotique » ne concerne que notre sphère économique qui provoque des influences néfastes dans le strate social, parce je tiens à établir une séparation et une nouvelle classification qui doit bannir l’ancien classement qui définissait la « classe sociale » , il y a déjà bon nombre des générations, que la conceptualisation de « classe sociale » a été bannie et mise en retrait sinon effacée, par les changements économiques qui ont fait qu’elle doit s’établir non par les éléments qu‘auparavant elles devaient se nommer, à présent ce qui les définit c’est l’ARGENT, la situation économique est la seule qui détermine les classes sociales, une fois fait le bilan financier d’une personne, nous pouvons passer à la salle de scanner et commencer à faire l’analyse de sa véritable « condition sociale ».
Pour moi, la classe sociale doit se déterminer dès la naissance par trois éléments déterminants: l’éducation, le sens de l’honneur et la culture.
Où se trouve l’argent dans ces trois catégories essentielles qui définissent une « personne de qualité?
Il est ABSENT !
Cette qualité de naissance est indélébile, je sais que je vais enrager la majorité, mais si je provoque l’indignation, cela ma réconforte, cela veut dite que dans leur for intérieur, ils savent que la classe sociale se détermine par « la naissance », par la bonne éducation, par une culture d’élite, par le sens de l’honneur et par un comportement digne, cela s’obtient des parents bien avant la naissance, il restera imprimé toute notre vie et par delà la vie et la mort. Cela dit, passons à notre analyse politique, il était nécessaire d’assainir le terrain à titre de liminaire.
Victime du fait politico-économique, une personne peut devenir désastreusement « déclassée » si son ancienne situation économique est noyée par les méfait socio-politiques.
Depuis des nombreuses années j’ai observé l’entrée d’une masse qui est arrivée polluer les partis politiques de droite, elle est formée par un conglomérat d’incultes, d’arrivistes et de nouveaux riches, ils font légion dans la « classe politique française du gouvernement ».
Quelques minutes après de la déclaration officielle du naufrage, une affluence gigantesque des femmes ministres colériques au regard de leur poste de privilège s’effondrer avec la censure, et des femmes journalistes vantardes qui se déchaînaient devant les caméras, augurant la catastrophe financière du pays, nous montrant une série de graphiques de statistiques avec la forte dévaluation de l’euro; de tout ce paysage de sables mouvants, un seul élément détermine leur analyse politique, elle n’est pas la situation de la France qui est par terre ni que les Français ruinés soient chaque jour de plus en plus ridés par leur faute, mais la notation des agences financières et les évaluations des agences de conseil.
Ce monde perverti qui nous pollue le cerveau se trouve à l’Elysée.
Nous sommes obligés à déléguer nos véritables préoccupations d’ordre spirituel pour ne penser qu’à l’argent du matin au soir et précisément quand nous n’en avons point.
Dès ce matin, ils ont repris les diatribes financières, il va de soi que la note de Madame Lagarde sera parole biblique !
Pour ma part, j’ai écouté avec la plus grande attentions les députes, de droite et de gauche. La vérité est qu’à présent il est une erreur d’évaluer comme nous le fassions auparavant, en classant les partis politiques en bloc, à présent nous sommes obligés à les évaluer par la qualité des personnes qui y travaillent.
Pour faire très court, notre situation est ingérable et insupportable.
Ils ont raison, il n’y a qu’une solution aux chaos, qu’ils commencent très vite à faire leurs cartons.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
Chers Lecteurs,
La déclaration de l’ancien Premier ministre a été le comble du cynisme, plaçant aussi irresponsables les députés de droite comme de gauche.`
Le cynisme politique se fait acte dans leur véritable irresponsabilité qui les incombe, ce ne sont pas les députés de l’opposition qui agissent contre « la stabilité du pays ». Leur cynisme est autant abyssal sur l’état financier dans lequel ils laissèrent le pays, qu’il est scandaleux sur les accusations outrancières contre les députés qui essaient de nous donner une période de vie plus digne.
Ces mêmes politicards irresponsables sont ceux qui crient à présent des accusations indignes contre le peuple.
ils ont le courage de nous incriminer si surs d’eux-mêmes, forme inique de s’exprimer de tous ce « jeunes politicards » aux agissement d’adolescent vaniteux.
Nous méritons une autre politique.
Aucun députe de l’opposition n’est irresponsable, ils sont les élus dans lesquels nous avons délégué et déposé avec notre vote, le droit de commander une politique remplie d’éthique et de droiture au sein de l’État.
Nous avons voté et délégué un pouvoir politique , pour qu’ils agissent en faveur de la France et en notre faveur, pour exercer un pouvoir en faveur de nos droits, nous avons voté pour qu’ils représentent le pays et leurs concitoyens.
Les politologues et les journalistes compliquent à tort le dit problème politique inédit dans la 5ème République, or quand bien même inédit, les textes de loi leur offrent des sorties honorables; ils ne sont pas en train de lutter pour une question partisane, quand bien même chaque parti politique agit en défendant leurs intérêts, cela va de soi, mais en ce moment cet élément est hors sujet, nous ne sommes pas en train de discuter la validité des partis, mais en exigeant qui se mène face aux citoyens une lutte ponctuelle et déterminante qui nous concerne, les taxes de l’énergie, notre situation des droits à la santé -que nous soyons en bonne ou mauvaise santé chacun de nous en est concerné— il s’agit des trois piliers fondamentaux sur lesquels chaque citoyens français et chaque citoyen qui réside dans des pays démocratiques est en droit d’exiger de ses gouvernants.
Leur tâche est d’offrir à chacun de ses concitoyens une vie digne.
Cette vie digne, nous les Français, nous l’avons perdue depuis une quarantaine d’années.
Nous ne devons accepter aucune excuse, ni les guerres, ni les règles strictes de l’U.E., ils auraient dru le prévoir avant. Pour ma part j’ai voté contre l’U.E. et ma conscience est en paix, exempte de faute; pour l’heure, je ne peux qu’agir et faire une révolution faite de pure écriture.
Il est indigne que d’oser culpabiliser les députés qui défendent non seulement un équilibre budgétaire, c’est à dire, le fait d’essayer de rééquilibrer autant que faire se peut, la faillite financière abyssale, produite par leurs manigances et leur dépenses effrénées.
Après les années de périodes festives de leur gaspillage, ils arrivent avec arrogance face aux caméras nous exiger de nous sacrifier et d’assumer nous, les pauvres et les classes moyennes, la crise financière qu’ils ont produite.
1. Les taxes de l’énergie.
2. Le budget de la Sécurité sociale et
3. Nous misérables retraites que le gouvernement se refuse à augmenter des misérables euros.
Ces trois éléments font notre socle sur lequel nous devons administrer notre vie quotidienne. Ces trois éléments ensemble, s’ils ne sont pas administrés en cohérence, ils contribuent à que nous soyons incapables de vivre décemment mettant toujours en péril et dans un cercle vicieux sans fin, la courte vie et la santé des retraités.
Notre dignité et notre honneur sont déjà fort compromis, et leurs mesures restrictives mises en place, bien avant avant ce nouveau projet financier au caractère d’attentat terroriste, font que nous soyons obligés à les assumer sans pipe mot.
Les prix de l’énergie sont déjà aux prix extrêmement onéreux.
La Sécurité sociale n’a fait de débourser une liste assommante de soins et des médicaments jadis très bien remboursés.
Quant aux retraites au seuil de pauvreté, la mienne est au dessous du Smic: 1000 euros, elle devrait obligatoirement être augmentée et non de quelques misérables euros qui ne serviront en aucun cas pour remédier les hausses de l’inflation.
Leur indignité est encore plus impardonnable et dit long sur leur nature, car ils s’entreprennent aux citoyens pauvres qui survivent de leurs misérables retraites, nous sommes des citoyens qui avons toujours travaillé et toujours très mal récompensés tout au long de notre période d’exercice laboral, et quand nous sommes aux portes du cimetière, ces politicards aux comportements d’adolescents gâtés nous soumettent à des nouvelles contraintes faites des restrictions, quand ils se trouvent dans la quarantaine passée, la gravité s’accroit.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
TOILE VOLÉE
J’ai fait un cauchemar.
Je ne rêve presque jamais depuis l’assassinat de Maman, j’ignore la raison.
Mais, cette fois-ci m’est venu à l’assaut un cauchemar: mes parents ressuscitaient, ce qui ne devrait pas être un cauchemar, mais au moment de mon réveil en sursaut, il l’est devenu, parce que tout était faux, et cela m’est insupportable.
Mon père, arriva sur terre pour me défendre, comme il l’avait toujours fait. Personne n’oserait comme à présent, poursuivre leur persécution; aucun SERPENT de VILOGIA et les autres fonctionnaires de Paris qui leur obéissent, ils n’oseraient pas poursuivre leur indigne injustice à mon encontre, si elles le font c’est uniquement parce qu’elles savent que je lutte seule et c’est la conduite uniforme et de par le monde de tous les mafias qui se caractérisent par leur lâcheté.
La lâcheté est à l’origine de tout délit.
La lâcheté est ce qui motive les monstres inhumains à s’empreindre à ceux qu’ils croient « faibles », c’est ainsi que l’on devient leur CIBLE, c’est « LE MOBBING » .
Dans mon cauchemar, mon père arrivait pour me défendre de cette horreur française, et mettre de l’ordre contre cette officialité chilienne qui nous a dépouillées Maman et moi de tout notre héritage pictural.
Je crois que ma situation de fausse « pauvre » a fait que dans mon cerveau que je contrôle avec une précision minutieuse d’horloge, m’a trahi, l’inconscient est arrivé pour me répondre ce qu’au jour le jour j’essaie de contrôler pour avancer et ne jamais me laisser abattre.
Mon père, s’il voyait ces voleurs, qui ont spolié ma mère en 1993 lui usurpant tout l’héritage des toiles que mon père lui laissa dans un Testament Olographe, il leur laisserait tous ipso facto hors jeu.
Ils le savent, et depuis cette date, ces voleurs chiliens indignes et au comportement criminel, se vantent de posséder la Collection des toiles du peintre Hernán GAZMURI, or leur possession est une FRAUDE, le monde entier doit savoir que tout ce que les musées chiliens ont en leur possession est le résultat d’une spoliation, d’un vol de bas-fonds, il y a une frauduleuse transaction d’achat-vente illégale qui aurait dû être annulée.
la Convention de Berne fut bannie, la veuve du peintre fut i trahie , volée de son héritage pictural que son mari lui laissa, ce pdélit que Maman a subi fut d’ordre pénal.
Moi, je l’ai souffert conjointement à maman, et nous n’avons pas pu récupérer notre héritage, faute d’argent pour payer les honoraires d’un avocat d’excellence, expert en jugements internationaux de vol des oeuvres d’art.
Nous avions entamé un jugement international, mais avec l’Aide Juridictionnelle il est devenu une entreprise vouée à l’échec dès le début.
Et risible de par son inefficacité, ce jugement est devenu à l’époque un absurde juridique, parce qu’en faisant appel à un ignorant dans la matière, le premier avocat, et un voleur indigne et fraudeur le second, notre « faux jugement international » était voué à l’échec dès son début.
Le monde entier devrait censurer l’officialité chilienne.
Aucun pays ne devrait accepter que le Chili dise officiellement que la collection des toiles du peintre Hernán GAZMURI leur appartient!
Il n’y a aucun document officiel qui le prouve. Bien au contraire j’ai le TESTAMENT OLOGRAPHE de mon père !
La Collection qui reste au Chili est le produit d’une SPOLIATION, à présent comme par le passé, la Collection de mon père m’appartient.
Je devrais la récupérer et dans sa totalité.
Les toiles qui ont été achetées en ventes aux enchères sont des achats-ventes frauduleuses qui devraient être annulées.
J’ai pris connaissance par une personne qui est venue en France, et qui nous a rendu visite Maman et moi à Paris du comportement délictuel du conservateur, elle lui a rendu visite dans son bureau.
Elle a été témoin que conservateur du musée qui est reçu ici avec des honneurs, décorait son bureau avec l’autoportrait du peintre Hernán Gazmuri !
Un vol ostentatoire de ce type indigne au comportement mafieux.
Ce type abominable qui a commis vol et un affront de cette nature devrait être motif d’un scandale judicieux. C’est pourquoi je dénonce publiquement que le Chili est un pays indigne parce qu’il a commis une fraude, une spoliation jusqu’à présent impunie.
Les Présidents se sont succédés depuis, les conservateurs en chef des deux musées pareillement, mais le vol reste ineffaçable, le vol, la spoliation indigne qu’ils ont pratiquée à notre encontre fait du Chili un pays immonde qui a des pratiques mafieuses indignes.
Mon père fut persécuté sa vie durant. Mon livre démontre avec des documents à l’appui, l’infamie de l’officialité chilienne à son encontre, mais, le paradoxe a été établi par la reconnaissance que Gazmuri avait obtenu entre 1942 et 1972 au sein de l’Université, cette reconnaissance rééquilibrait sa situation, il était reconnu comme une valeur qui dépassait les frontières, admiré et reconnu comme le meilleur Professeur d’histoire de l’Art, de dessin et peinture, mais entouré à l’extérieur de l’Université, d’une détestation sadique sortie de leurs bassesses et complexes d’infériorité, inspirées tous d’une jalousie et sadisme qui sont tous les deux, les motivations certaines et reconnues par les critiques , je cite Victor CARVACHO, qui l’a écrit publiquement, comme étant les éléments qui motivèrent l’ignoble et seul motif de leur persécution, et qu’il subir sa vie durant mais je suis née pour le défendre est je le ferai sans relâche, jusqu’à la fin de ma vie.
Le peintre Hernán Gazmuri n’était pas inscrit dans le « Patrimoine chilien ». Dès que le gouvernement à su que sa veuve, ici à Paris, elle avait rendu des Services Éminents à la France avec « La Donation Gazmuri » qui fut accueillie au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, l’officialité chilienne s’est précipitée avec toute leur abominable conduite à l’intégrer très vite dans le Patrimoine pictural du Chili, intégration post mortem forcée.
Cette intégration n’avait que des motivations illégales et arbitraires, ils croyaient qu’avec cette mesure sa veuve et moi-même, les seules héritières de l’oeuvre du peintre Hernán Gazmuri, nous resterions à la marge et dépouillées à tout jamais, et qu’en dépit d’entamer un jugement international, nous ne pourrions jamais récupérer notre Collection de toiles du peintre Hernán GAZMURI. Mais, la Convention de Berne est claire, précise et inviolable, dans son texte.
Aucun conservateur de Musée de par le monde ne peut méconnaître les fondements de cette Convention qui nous défendait et qu’après le décès de la veuve de l’artiste, l’héritage se transmet automatiquement à sa descendance.
Ce vol de l’officialité chilienne s’est amplifié.
Il est venu se greffer un autre vol, s’est greffé à la spoliation, la spoliation de la pension de survie qui me revenait en toute justice et elle était composée de la retraite de toute la vie de travail de mon père. Au Chili un descendant célibataire du géniteur légal doit recevoir à vie la pension post mortem de son père, à une seule condition, que le descendant reste célibataire et sans descendance.
C’était et c’est mon cas particulier.
J’ai subi donc deux spoliations.
Une seule chose doit rester indélébile et de la connaissance de tous les experts en matière d’Art international:
Le Chili a commis une spoliation contre la veuve et la fille et sa seule disciple qui a laissé le peintre Hernán Gazmuri.
La Collection du peintre est le produit d’un achat-vente frauduleux.
Le Testament olographe du peintre que j’ai en ma possession est accablant pour le Chili est sa bande de voleurs à haute échelle.
Juridiquement le Chili n’est pas le propriétaire de l’oeuvre du peintre Hernán Gazmuri, parce que elle est le produit d’une spoliation faite à sa veuve et à sa fille et disciple: moi-même.
Toutes les toiles qui se promènent ça et là et qui passent entre les mains de divers propriétaires comme le résultat des ventes aux enchères frauduleuses, doivent se considérer comme nulles, et les vendeurs et les acheteurs condamnés pour vol des oeuvres d’art achetées de manière illégitime.
Une seule vérité est en place et que j’ai pu obtenir avec mon arrivée à Paris, elle est le couronnement heureux de ma « mission artistique » comme l’a défini l’Académicien René Huyghe, et que j’ai gagné pour la mémoire du peintre Hernán Gazmuri.
Je cite Monsieur René Huyghe: « La Donation Gazmuri est venue compléter la Collection de l’École de Paris. «
Le peintre Hernán Gazmuri est entré en 1883 dans le Patrimoine pictural de la France et il est ad vitam aeternam un peintre qui appartient esthétiquement à la plus prestigieuse École de peinture moderne Française: l’École de Paris.
J’ai réussi à faire valider ce que mon père a voulu faire valoir et ce qu’il a voulu inscrire comme la seule vérité esthétique de sa création, et sans obtenir d’écoute sa vie durant: il n’a aucun lien avec la « peinture chilienne », car elle est inexistante, il l’a dit et redis jusqu’à la fatigue, je le cite:
« Je suis arrivé à Paris en 1928 étudier avec mes propres et faibles recours pécuniaires dans l’Atelier de LHOTE, non à me « perfectionner », en peinture, mais à prendre connaissance de la révélation de la peinture moderne Française ».
Ce que j’ai réussi à obtenir est que le peintre Hernán GAZMURI soit éternellement reconnu comme appartenant à l’École de Paris.
Ceci aucun autre peintre ne l’a obtenu.
Les propriétaires de ses toiles sont frauduleux.
Ces achats-ventes doivent être annulées, parce que fabuleuses.
Ces toiles m’appartiennent par loi.
Et, je devais laisser ce témoignage de vol dont je suis victime et qui est une des raisons de poids de mon appauvrissement qui jusqu’à présent devient irréversible.
Si je pouvais récupérer mon héritage qui me revient en toute justice, il va de soi que je changerais de statut, je quitterais ipso facto la misère où je m’engouffre, je fuirais cette commune infernale, je pourrais me libérer de la misère et de la persécution des ces mafias des HLM de l’administration française.
C’est ainsi que ma vie en France s’est partagée dans un combat contre la mafia chilienne et les mafias françaises du Ministère de l’Ignorance Nationale et des gérantes mafieuses des HLM.
J’ai tout dit.
Voici mon cauchemar.
Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK
En écriture.
Chers Lecteurs,
Devant le crétinisme du ministère de l’ignorance Nationale qui tout comme le Ministère de l’Inculture ne cessent de nous agresser avec des nouveaux programmes pour éviter de se consacrer à ce dont ils devraient s’en occuper: à réaliser une révolution complète du système éducatif des plus défaillants de toute l’Europe.
C’est le résultat de ce gouvernement qui motivé uniquement par ses intérêts politicards, a mis en place des arrivistes ignorantes qui incultes, se couvrent de ridicule, nous sommes maintenant face à un nouveau programme, mais non, soyez rassurés, il ne s’agit pas de changer le calendrier de vacances scolaires, dont ils excellent, mais d’imposer l’éducation sexuelle dès la maternelle, sous couvert d’enseigner « l’affectivité! ».
Le fait de le formuler dans ces termes c’est déjà scandaleux.
À défaut de maîtriser le savoir les plus élémentaire à donner aux écoliers, elles s’échappent vers des nouveaux horizons aussi nauséabonds et insolites que tout ce qui fait ce gouvernement de pacotille.
Qu’il soit clair, il ne s’agit pas d’être de gauche ou de droite, concernant l’éducation qui doit être donnée dans l’enfance et l’adolescence, le terrain est grave, et vous dépassez vos limites, vous confondez l’éducation à charge de la famille à la transmission du savoir, unique rôle de l’école !
Ces dames mandatées par leur Chef, n’ont jamais eu des cours de pédagogie ni de psychologie de l’enfant et de l’adolescent, donc les interventions funestes de son nouveau programme sont d’un crétinisme, d’un absurde effarant et, il résulte que par le sujet enrobé des mots troubles et déroutants, la motivation de créer une « éducation sexuelle » au sein de l’école devient par ce fait même une dégradation, une banalisation du sujet et la concrétisation d’une ligne de pensée immonde, parce que destinée de manière inappropriée aux enfants de si bas âge et aux écoliers qui, quand bien même au début de la puberté, ils ne doivent en aucun cas recevoir le développement de dits sujets « sexuels » de l’école. L’éducation sexuelle se donne au sein de la famille, chaque famille est propriétaire de ses enfants, il délégue le suivi de l’acquisition du savoir à l’école et l’intervention de l’Etat se doit se limiter à cela; chaque mère et chaque père sait comment éduquer leurs enfants, or s’immiscer dans ce terrain est propre des pires dictatures, dans ces conditions, il serait fort souhaitable que vous annuliez votre funeste « programme d’éducation sexuelle-affective » en retirant votre programme ipso facto, et occupez vous plutôt de refaire le corpus de connaissance absentes au sein de la scolarisation des enfants, occupez vous de former sérieusement le corpus professoral, je vous le recommande bien vivement.
Il est de connaissance de tous qu’il faudrait réorganiser de fond en comble ce ministère, donc au lieu de vouloir déformer avec vos idées déplacées les cerveaux des enfants, adonnez vous à la formation des professeurs et aussi de remédier l’ignorance de votre professorat par le moyen d’une formation universitaire de qualité; vos professeurs se ridiculisent devant les élèves en faisant publiquement des fautes de grammaire et d’orthographe, et il est constaté que d’aucuns en exercice ne sont même pas capables de donner un savoir correct aux écoliers.
Votre charge ministérielle se construit sur des erreurs successifs, elle ne fait qu’approfondir jusqu’aux abysses notre honte nationale et, par conséquent se transforme en honte mondiale, par les nouvelles instantanées qui sont diffusées de par le monde.
Votre méconnaissance en matière de pédagogie a placé la France, par son inculture et son échec scolaire dans la catégorie d’un pays du tiers monde.
Les gouvernements successifs n’étant même pas capables de former des élèves de primaire à compter et à écrire correctement le français.
Tout le reste n’est que bavardage…Et, crétinisme, absurde et immondice.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
« Le « propre » que mon titre, attribue à la fiction doit être entendu dans le double sens de ce qui la rend unique et ce qui la différencie. Je me propose de démontrer que le récit fictionnel est unique par sa capacité à créer un univers clos sur lui même, gouverné par dés structures formelles qui sont exclues de tous les autres types de discours.
Le propre de la fiction (P. 7)
Chers Lecteurs,
La prostitution de la littérature est l’oeuvre d’une part de politicards qui ont influencé le Ministère de l’Ignorance Nationale, et d’autre part , elle est la faute des directeurs des maisons d’édition qui agissent avec une ligne politique polluée; créant une confusionnisme flagrante et une absence d’esprit critique naturel qu’induit la société à croire que tout écrit est « littéraire » et que tout individu qui se dit « écrivain » l’est.
La séparation des genres littéraires doit s’apprendre à l’école, la capacité de juger pareillement, mais pour ce fait il faudrait d’abord, qu’il existe un véritable cursus de pédagogie au sein de l’Université et d’une durée de cinq ans, pour former des professeurs qui méritent de l’être, en absence de connaissances les plus essentielles, les professeurs Français ont contribué à ce désordre mental et à l’absence abyssale de conceptualisation du fait proprement littéraire.
Madame Lisa Kamen-Hirsig, Professeur des écoles vient de dénoncer publiquement l’ignorance en grammaire et en orthographe des professeurs de français ! je fait miennes ses déclarations et je l’appuie de fond en comble, parce que pendant tout le long temps de mon exercice professionnel au sein du Ministère de l’Ignorance Nationale, j’ai pu observer ce déplorable phénomène .
Dans ces conditions je suis en droit d’adresser un message à mes détracteurs, ayez un peu de décence et de retenue, elle est fortement conseillée à tous ceux qui osent critiquer à celui ou celle qui n’étant ni de souche française, et n’ayant pas non plus le socle d’une formation d’écolière française, ( tant mieux !), a fait comme moi-même, des efforts surhumains pour s’intégrer en autodidacte, par amour de la France. Étant donné qu’il n’existe pas un thermomètre pour mesure la qualité, la vérité et l’ampleur de l’amour ou de la haine que l’on a pour les pays et pour l’Art, il vaut mieux ne pas approfondir ce sujet, pour le moment.
Revenons à l’essentiel: la littérature doit se distinguer par son essence fictionnelle.
Giorgio Manganelli rejoint la thèse de Dorrit Cohn, en analysant la littérature comme « mensonge ».
Ce qui retient toute mon attention ce sont les déclarations des personnages et d’intellectuels de premier ordre que tout récemment ont déclaré en défense de l’écrivain B. Sansal, qu’il est « adorable », humain et aux préoccupation socio politiques »
Très bien, personne absolument personne ne peut approuver la mise à mort d’un innocent ! Cela va de soi, mais ne confondons pas le juridique avec la littérature.
Manganelli décrit la fonction de l’écrivain, en disant je suis écrivain et, un écrivain est celui qui écrit. Bien, la boutade est claire, mais son véritable discours se centre sur ce qui est pour lui l’affaire littéraire; il faut le comprendre comme un fait essentiellement « mensonger » donc fictionnel, la création d’un monde à partt, crée par l’art des mots.
Celui qui est capable de créer un monde et de choisir intentionnellement parmi le langage une sélection arbitraire, pour réussir à une transfiguration de la réalité est indubitablement « un écrivain ». Dépourvu de tous ses éléments en jeux, il n’y a pas de véritable écrivain, donc pas de littérature.
Les directeurs des maisons d’édition se sont regroupés dans l’extrême opposé de Dorrit Cohn et Giorgio Manganelli, en choisissant des essayistes et des écrivains (qui écrivent certes), mais qui ne sont pas des artistes, et ne peuvent en aucun cas former partie des véritables « écrivains » et, en aucun cas les citer comme des exemples de la bonne littérature. Le fait poétique, la poésie étant la forme suprême de l’art littéraire par excellence a été mise à la marge et proscrite, par une malheureuses mutation génétique, qui se traduit pas une incapacité à transformer la réalité et les sensations en fait poétique.
Je crois avec une conviction profonde que l’incapacité poétique à quitté la sphère littéraire par l’intromission des sujets immondes et des faits de société qui ont banni et pollué la véritable capacité intellectuelle et sensorielle pour savoir exécuter un choix sur ce qui est de la bonne littérature, ce manque est devenu un handicap mental au sein de la société européenne et tout particulièrement française.
Donc, il m’est impossible d’écrire une seule ligne d’adhésion à ce tsunami sociétal, je serai toute ma vie du coté des pauvres, démunis et bannis injustement, je serai toute ma vie en défense des victimes de « La société du mépris » (Axel HONNETH), je suis l’exemple vivant de ses théories, mais depuis ma qualité d’artiste, je ne contribuerai jamais à la prostitution de l’Art, je ne suis pas avec ceux qui octroient des prix littéraires dans le désordre intellectuel complet.
Il faut qu’ils mettent de l’ordre dans le jugement intellectuel, donnez des prix aux essayistes, aux historiens, aux politiques, aux sociologues et aux écrits de ce genre bien précis et particulier, mais ne le greffez pas à l’espace de la véritable littérature, vous êtes en train de vous ridiculiser, en les incluant aux écrits fictionnels qui correspondent à ce qui est l’affaire unique et proprement « littéraire ».
Votre comportement est factice, artificiel de fond en comble et il a truqué le sens de la bonne littérature.
Les prix littéraires ont été attribués par des choix politiques et, ces choix erronés sont similaires aux choix qui ont récompensé les élus de la Légion d’honneur, qui a été banalisée et inondée des faux méritoires.
Les décideurs ont utilisé les prix littéraires, le Nobel inclus, pour accroître le désordre mental et l’ajouter aux erreurs de jugement esthétique.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak