CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LE CRÉTINISME N’A PAS DE LIMITE DANS NOTRE DRÔLE D’EPOQUE

22 octobre, 2024 (14:04) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

 

LE CRÉTINISME N’A PAS DE LIMITE

DANS NOTRE DRÔLE D’ÉPOQUE

Chers lecteurs,

L’autogestionnaire et libre penseur que je suis, ne peut pas être accusée de réactionnaire, nonobstant, il y a des sujets sur lesquels je ne transige point, précisément pour cela.

Je viens d’apprendre que certains « cathos » de Belgique ont demandé à se débaptiser pour une phrase du pape qui, à propos de l’avortement, il a qualifié les « Médecins » qui pratiquent l’IVG des « tueurs à gage » et, par la même occasion, il a qualifié le rôle des femmes de :

« Accueil fécond, soin et dévouement vital ».

Mais que veulent-ils ?

C’est le rôle du pape que de maintenir une ligne de conduite qui pour le catholicisme est vitale !

Il ne va pas interdire les libertins de se conduire en libertins, les criminels en véritables assassins ni va non plus arrêter le mal de par le monde du seul pouvoir de sa parole qui, est bien sur « engagée » avec ses principes, de la même manière que les « anti-catho « le sont avec les leurs.

Les réfutations de ce mouvement est d’un crétinisme foudroyant.

Je lutte contre les injustices et la malversation de la vérité, celle-ci en est une.

Il n’est nullement nécessaire d’être « catho » pour censurer ces crétins.

Ils veulent que le catholicisme « change », et qui se mette à approuver toute sorte de désacralisation de l’humain.

Avec la désacralisation des morts prononcée dans le Concile du Vatican II de 1963 me suffit, le Vatican a autorisé la crémation. Je préfère en rester là. Je l’ai bien développé dans mon essai.

Seule l’Orthodoxie la condamne, mais en Grèce, ils n’ont eu aucun pouvoir pour empêcher l’ouverture des tombes, la loi de l’entonnoir y règne aussi en toute sa splendeur.

La vision de la femme donnée par le pape ne me produit aucun étonnement.

Que le rôle de la femme soit  « l’accueil fécond, soin et dévouement vital » est incontestable. Les détracteurs argumentent qu’il s’agit « d’une formule réductrice! »

Alors changez de sexe ! Qui vous l’empêche ?

Devenez des monstres, bon nombre des femmes les sont déjà.

Les riches se sauvent, elles ont des nounous.

Les pauvres, je les vois, elles se lèvent à l’aube, et leur rôle des mères prend fin à la sortie de la maternité, ensuite ce sont d’autres femmes qui doivent remplir le rôle des mères que les vraies mères biologiques délèguent aux crèches par manque d’argent, et dès l’aube les bébés sont transportés comme des colis pour être déposés dans les crèches parce que les femmes TRAVAILLENT, c’est le nouveau rôle des femmes, car elles n’ont pas seulement un ventre, mais un CERVEAU… vraiment ?!

Et, elles sont si puissantes et si intelligentes qu’elles ne se soumettent pas au seul rôle réducteur de MÈRES !

Moi, je n’ai pas enfanté, mais je mets sur un piédestal Maman qui a tout sacrifié pour moi.

Je n’ai pas été placée en crèche.

Je n’ai pas été inscrite dans aucune « maternelle ».

C’est fut Maman qui m’a allaitée, soignée, appris à marcher, à parler et à écrire. Aucune autre femme que Maman ne s’est occupée de moi.

C’est à elle seule que je lui dois tout ce que je suis et que grâce à elle, j’ai pu devenir une femme bien construite dans la vie.

Je crois que se faire débaptiser est une indécence.

Ils ne font rien contre le pape, mais contre eux-mêmes.

Je crois fermement que rien ne peut être plus grand et noble que le rôle de MÈRE.

Celles qui veulent démontrer qu’elles sont tout autre chose avant d’être mères et qui massacrent leur condition première, biologique à transcendance mystique, qu’elles le fassent, dans leur ménopause, elles seront des repenties qui nous bombarderont de leurs essais risibles.

Elles seront les repenties de leur féminisme débridé, de leurs excès et de leur vieillesse prématurée.

Il est impossible de faire marche en arrière, la jeunesse est très courte et ne se vit qu’une seule fois.

Arrêtez votre dictature de l’IVG !

Si vous le voulez, après une nuit supposée d’amour, aller vous faire fouiller dans l’asepsie d’un hôpital public, faites-le !

Ou bien, si vous êtes riches, allez dans une clinique de luxe, c’est votre choix et aucun Pape ne va vous empêcher de le faire. Mais vous ne pouvez pas exiger à celui que « représente » une institution dite « sacrée » viole les Écritures et qui vous accompagne dans les affres de votre modernité.

En ce qui concerne les crimes des sacerdotes ceci est une autre question qui a été déjà très éclaircie, fortement qualifiée de crime et censurée, un jour il sera temps de qu’ils regardent un possible changement et acceptent la fin du célibat comme il est pratique chez les Orthodoxes, la fin du célibat serait une avancée qui en regardant des près les Écritures, il n’est en aucun cas en contradiction.

Enfin, en souvenir de Maman et de son amour océanique de mère et de son dévouement absolu a ce bébé prématuré que j’ai été et sans aucun espoir de survie, dicté par les médecins de l’époque, Maman accompagnée de mon père, ils se sont acharnés pour me donner la vie et, me laisser en vie contre l’idée de tous.

Un combat contre ma mort, mes parents entreprirent en janvier 1954, un triomphe pour la vie de laquelle mes parents sortirent victorieux.

C’est pourquoi j’aime la vie, c’est pourquoi j’abhorre le suicide.

Je dédie ce bref article à Maman qui a rempli le rôle de Maman comme aucune autre maman au monde.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

LES FANTOCHES DE LA POLITIQUE VOULURENT AFFAIBLIR LA RUSSIE

22 octobre, 2024 (12:04) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

CES FANTOCHES DE LA POLITIQUE

VOULURENT AFFAIBLIR LA RUSSIE !

Ils se sont couverts de ridicule et maintenant, nous sommes

en faillite !

Chers Lecteurs,

Le ridicule est monumental, hélas ! Pour ceux qui doivent subir les effets néfastes de ce gouvernement.

Nous ne pouvons pas toucher plus le fond, ces fantoches nous font vivre dans les abysses.

Le monde entier le sait, la France est un paria, et des jours sombres, encore plus sombres s’annoncent.

Ils ont tout fait pour affaiblir la Russie, la censure, le gel de leurs avoirs de par le monde, les expropriations.

Regardez le résultat.

Les personnes qui sont superstitieuses et qui n’ont pas de grande culture, elles sont savantes ; dans mon pays d’origine, les gens disent :

« ¡Castigo de Dios ! »

Cette fois-ci, je le dis moi aussi.

Ils ont eu leur châtiment par vanité, tous ces politicards et leurs laquais fantoches, vaniteux, usurpateurs, voleurs et incompétents.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

 

 

LES TRAÎTRES ET DÉSERTEURS RUSSES TROUVENT : « UNE VIE PAISIBLE » EN FRANCE !

22 octobre, 2024 (10:34) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LES TRAÎTRES ET DÉSERTEURS RUSSES

TROUVENT « UNE VIE PAISIBLE » EN FRANCE

Chers Lecteurs,

La chaîne de propagande ukrainienne LCU vient de nous montrer une vidéo avec un « petit traître russe » à l’allure d’un ado qui vient faire du mannequinat en France !, il n’est pas étonnant qu’il ait quitté l’armée Russe !!!

Il est arrivé grossir les troupes de « hommes français délicats »

La France s’est convertie en réservoir des traîtres comme si nous n’avions déjà le cota suffisante pour nous perdre avec les nationaux.

Ce déserteur qui va bientôt recevoir, sans aucun doute, la Légion d’honneur pour grossir encore plus la masse des décorés de la Légion d’honneur tout comme le conglomérat de footballeurs. Ce type pusillanime, qui se montre comme triomphant face aux caméras ; il a été posé sur un piédestal comme exemple de « bravoure » contre mon Président PUTIN, car il a quitté la Russie pour venir en France se réfugier et selon la journaliste, écoutez bien : « lui avec les autres trouveront ici « UNE VIE PAISIBLE »

C’est cette phrase-là, une des plus révoltantes.

Qu’il y ait des traîtres de par le monde, nous le voyons au quotidien, la traîtrise est biblique et elle existera jusqu’à la fin des temps.

Je pourrais dire, heureux sont ceux qui n’ont jamais eu se penchant et heureux sont ceux qui, comme nous, luttons à contre-courant contre cette plaie infernale : les traîtres.

Mais ici en France, ils sont décorés !

Nous savons ce que mener « une vie paisible » veut dire quand la protection des mafieux de l’État arrive à leur secours.

Ces traîtres russes obtiendront facilement un logement dès leur arrivée.

Détrompez-vous, ils ne seront pas de ceux qui dorment à la rue ou qui arrivent dans le meilleur des cas à obtenir quelques nuitées dans un hôtel de quatrième catégorie.

Ces déserteurs russes, ne dormiront pas à ras-le-sol comme la quantité d’enfants sans abri que le gouvernement a laissés SDF, l’État s’en moque royalement d’eux.

Ces traîtres russes obtiendront aisément un travail, les « associations » d’aide à l’ukraine sont actives et reçoivent beaucoup d’argent, ces réfugiées ukrainiennes mènent une vie plus que confortable en France.

Non, ils ne sauront jamais ce que les difficultés liées à la pauvreté et à la misère veulent dire pour des millions des Français.

Ces traîtres russes sont déjà en train de vivre une « vie paisible en France ».

Celle que les agriculteurs ne peuvent pas obtenir à force de travail et de souffrir au jour le jour, souffrance sans fin qui les pousse au suicide. Tandis que ces traîtres lâches et pernicieux arrivent profiter en France et dès qu’ils arrivent sont entourés des faveurs.

Je les laisserai à l’épreuve.

Qu’ils arrivent goûter la saveur amère de la faim journalière.

Je les laisserai à l’épreuve pour qu’ils essaient de tenir avec les minima sociaux.

Je les laisserai avec des retraites misérables en compensation à une vie d’effort et des souffrances.

Je les laisserai venir en France sans aides, sans soutient de personne, pour qu‘après, dans leurs vieux jours, ils sachent ce que le mépris de la France veut dire.

Malheureusement, je n’ai aucun pouvoir autre que la maîtrise de ma parole ; puisse-t-elle, silencieuse et puissante, laisser une trace et repartir un écho fulminant contre ces méprisables individus qui arrivent nous empoissonner.

J’aimerais vivre à mille lieues d’ici.

Ah, si j’étais jeune, soyez certains que je serais en train d’écrire ailleurs.

Le dégoût et la révolte envahissent mon esprit.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

BONNE CHANCE ! JE SUIS AVEC VOUS PARCE QUE VOUS POSSÉDEZ LE POUVOIR DE L’INTELLIGENCE !

22 octobre, 2024 (08:39) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il n’y a pas de meilleure analyse.

Mes recherches acharnées ont eu une heureuse fin.

La voici, cette magnifique vidéo.

L’Europe est devenue un pays du tiers monde.

Je leur souhaite le meilleur dans leur prochaine réunion, ils sortiront victorieux.

Ils le sont déjà.

J’exulte !!!!

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

L’EUROPE EST ELLE UNE DEMOCRATIE ?

22 octobre, 2024 (06:58) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

(impossible d’effacer les commentaires idiots et, il m’a été  impossible, pour l’instant, de récolter la pub russe récente)

LA FRANCE… UNE DÉMOCRATIE ?

Chers Lecteurs,

Il n’y a pas une seule vidéo YouTube russe, libre de pub française.

Il est impossible d’attraper une seule libre des « commentaires » de pauvres journalistes qui « en parfaite démocratie » nous bombardent de leur insidieuse publicité contre la Russie.

Je verrai plus tard comment quelques heureux peuvent avoir des pubs russes sans l’intervention « démocratique européenne », parce que selon les éditorialistes, nous ne savons pas apprécier les avantages de vivre dans un pays libre !

La façon de régler la démocratie en Europe se fait de manière insidieuse et en catimini.

À différence des pays autoritaires ou « dictatoriaux » est qu’ils nous contrôlent par l’argent.

Les masses pauvres désargentées n’ont qu’à se soumettre, elles sont bâillonnées par le manque d’argent, la méthode guerrière qu’emploie en ce moment un pays perdu dans son déshonneur.

Si nous ne trouvons aucun moyen de trouver un contre-pouvoir en France, et qu’ils nous soumettent à une seule voie de propagande politique, la supposée démocratie n’existe point. L’Europe ne cesse sa propagande antirusse.

La France nous a privés de RT France et de Sputnik, si nous n’avons pas les moyens de nous fournir des méthodes de connexion audiovisuelles personnelles, par manque d’argent, nous sommes privés d’accéder librement à ce qui nous intéresse.

Les anciens « bouquets russes » des serveurs d’Internet ont été supprimés par ordre d’État.

Ce n’est pas cette méthode de contrôle de la presse et de la pensée une « dictature » ?

Certes, sans le moindre doute, elle l’est !

La liberté ne s’obtient que par l’argent.

Oui, je sais, je sais, si vous êtes « pauvres » c’est votre faute.

La méthode de culpabiliser ceux qui sont honnêtes, qui ne se vendent point qui n’appartiennent pas aux mafias et qui traînent leur vérité et leur honnêteté tout au long de leurs vies, tandis que les arrivistes et les nouveaux riches, du haut de leur succès de pacotille, ils nous menottent et nous bâillonnent.

Il fallait le dire, surtout à présent que la pub dans les chaînes de télévision faite par des journalistes de très basse compétence professionnelle ne font que nous priver d’une information libre, puisque toutes les informations de l’étranger sont contrôlées et doivent passer par la passoire du directeur, tout passe par le contrôle des PDG de chaînes et des journaux.

Si certains réseaux sociaux bloquent ou ferment un compte d’une personne qui sans écrire un seul mot inconvenant, sans « inciter ni à la rébellion ni « inciter à la haine » comme le dit leur publicité mensongère, cela veut dire qu’ils ont peur, peur de qu’on découvre leurs manœuvres dictatoriales couvertes de fausse « démocratie ».

Du matin au soir, les chaînes françaises ne font que diffuser une seule voie politisée des commentaires sur les pays compromis en conflits, en divisant à leur guise les bons et les mauvais, bien entendu.

Nous restons comme des pauvres, méprisés au sens réel et figuré ; soumis à la dictature ordonnée et régulée par l’État.

Priver des libertés est facile, maintenant qu’ils ont laissé la France en ruines, (j’imagine le rire du Kremlin ! ), ils n’ont trouvé rien de mieux que de faire pression contre les pauvres et les classes moyennes.

Plus d’impôts, et moins d’argent dans nos caisses, pas d’augmentations, donc nous sommes encore plus appauvris.

Au regard de la crise de pauvreté française et de l’absence de règlement aux crises qu’ils ont laissées « en suspens », (crise des agriculteurs, usines qui ferment), je suis persuadée qu’en dépit de vouloir passer le bulldozer de leur 49.3 à l’Assemblée Nationale, la censure de la masse bâillonnée ne se laissera pas faire et leur insurrection ne se fera pas tarder dans la rue, après les petites vacances qu’apposent.

L’insurrection, le ras-le-bol se fera dans la rue et par le moyen des grèves.

Je vais les observer bientôt, si leur dictature enrobée de fausse démocratie marchera à leur rythme.

Sans la masse qui en esclaves modernes obéit à tous leurs caprices, ils ne pourront pas poursuivre leur enrichissement tout en ruinant la France.

Il faut leur dire : NO!!! Et, en une seule voix, parce que ces crétins et incompétents qui prostituent et trahissent la noblesse de l’action politique, poursuivront dans leur dictature invisible qui nous étouffe chaque jour de plus en plus.

Avant de fermer ce bref article critique, je tiens à vous informer que je suis en formation gratuite de cinéma, je mettrai en forme mon ancien projet et bien d’autres, ceux qui sont restés en attente par manque d’argent et de trouver des issues gratuites, je les ai trouvées, car menottée que je suis avec une retraite de misère qui bloque tous mes projets, j’ai laissé mes projets en parenthèse, parce qu’ils sont monumentaux et très chers, j’en conviens.

Parce que les dictateurs ont tout fait pour me faire taire, depuis que j’ai dû quitter l’E.N. où ne règnent que les mafieux, ils y sont concentrés, non seulement ils me privèrent de mon dernier salaire et de mes congés payés, mais effacèrent bon nombre de mes années de service pour qu’avec une sauvagerie des méthodes des pires pays dictatoriaux, (j’en connais, car j’y suis née, ce pays m’a spoliée de tout, et je lui ai échappé), je reste dépouillée, dans mes vieux jours et totalement privée des revenus, ce qui dans une personne « normale » provoque le tarissement complet.

Mais je ne suis pas « normale », je ne me tais jamais.

Les « démocrates » font taire les faibles et les laissent sans voix qui puisse les dénoncer, avec une retraite misérable, c’est ce qui se passe, mais pas chez moi, c’est ce qu’ils ignorent, ils voulaient me faire taire par le moyen de l’argent, comme si j’étais de celles qui n’ont jamais travaillé et qui ont vécu aux crochets des tiers.

La réponse ne se fera pas tarder en dépit de la misère ; c’est leur méthode, laisser les gens « à la rue » c’est une méthode qui réussit de par le monde, mais ceux misérables seront vaincus, parce qu’il n’y a pas d’argent au monde qui puisse tarir l’intelligence et le talent, deux composantes qu’à tous ces « démocrates » et leurs laquais leur font grave défaut.

À très bientôt.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LA CARTE VITALE ET LES DÉBOURSEMENTS DE LA CPAM

20 octobre, 2024 (14:32) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LA CARTE VITALE

ET

LES DÉBOURSEMENTS DE LA CPAM

Chers Lecteurs,

La vérité est mon obsession, les injustices mon combat, la politique depuis toujours : ma préoccupation intellectuelle d’écriture critique.

La CARTE VITALE est, depuis qu’elle est apparue, utilisée par les partis politiques et part l’État comme motif de fraude et la principale cause de déficit dans les caisses de la CPAM.

La rengaine de l’État sert d’une part à cacher leurs propres fautes, des dépenses réelles et, d’autre part à culpabiliser les Français d’être des fraudeurs.

La plupart des Français ne se préoccupent pas de connaître les démarches internes des organismes publics, bon nombre des Français ne savent même pas quels sont leurs droits si par des périodes ou de manière permanente ils traversent des périodes difficiles, ces droits existent sans que le citoyen n’ait besoin de passer par des filtres humiliants.

Je me trouve depuis longtemps dans ces cas, hélas !, je connais parfaitement les lois, et je compte dans ce bref article de vous faire partager ce que je maîtrise parfaitement, je ne parle ni n’écris rien dont je ne suis parfaitement sûre de mes connaissances.

Je n’ai jamais cherché à bénéficier d’un droit légal existant qui m’imposerait une humiliation quelconque ou me rabaisser à la qualité de mendiante devant des fonctionnaires, mais si des lois existent dans le Code qui pourraient m’aider, je m’y inscris sans hésitation ; et pauvres celles qui m’interdisent injustement de bénéficier de mes droits de citoyenne, je parle ici des fraudes des fonctionnaires mises dans les administrations des HLM., dont VILOGIA est déjà signalé publiquement comme principal organisme fraudeur… Des pauvres !

Je n’ai pas une âme de martyr, la vie est trop courte est je ne suis pas partante pour m’enfoncer dans encore plus de misère.

Les politicards ne cessent de vous faire croire que la CARTE VITALE est source de FRAUDE.

C’est un monumental mensonge d’État ; quelle est la finalité dudit mensonge ?

Au regard des listes des médicaments déboursés et des traitements médicaux qui ne sont plus pris en charge, la raison est sûrement une prochaine et nouvelle loi pour restreindre encore plus nos droits déjà très fragilisés.

1. Carte vitale avec photo.

Création en 2007.

Cette nouvelle Carte vitale magnétisée s’est créé avec photo, pour remédier et mettre un terme à l’ancienne qui pouvait certes, être partagée par d’autres, celle-ci mise en place depuis est personnelle et ne fonctionne qu’avec décodeur qui travaille par « télétransmission » cela veut dire par interaction informatique instantanée auprès de la CPAM.

2. Notre N° de Sécurité sociale, le NIR, le Numéro Inscrit au Répertoire est enregistré et surveillé par l’INSEE et il est donné dès la naissance, donc il est IMPOSSIBLE de frauder, il est inviolable, personnel et vérifiable par la CPAM et le fisc.

Ceci dit, l’unique possibilité de fraude serait possible à très basse échelle elle serait avec la collaboration des médecins et seulement pour des consultations au Cabinet, parce que dès que l’on se rend à un hôpital public, ou à une structure des soins, la vérification et double, il faut non seulement donner à l’administration notre Carte vitale mise à jour, qu’ils placent sur le décodeur, mais il faut leur donner, par la même occasion, notre Carte d’identité, aucune dérogation n’est accordée, si vous n’avez pas la carte d’identité, l’accès aux soins vous est immédiatement refusé.

Comment peut l’État nous mentir et dire aux Français que la Carte vitale est source de fraude ?

C’est révoltant et nous devons défendre la vérité !

Personne n’est en droit de me contredire, j’eus l’expérience l’année dernière, je suis allée à l’hôpital avec rendez-vous réservé, mais je ne sors jamais avec ma pièce d’identité, en revanche je l’ai dans mon smartphone, je la lui ai montrée au guichetier qui ne l’a pas acceptée et m’a envoyé sur les roses, implacable, parce que « c’est le protocole », je lui ai répliqué que ma Carte vitale a ma photo, mais cela n’a servi à rien, il est le gardien de la loi pour éviter la fraude de la Carte vitale et j’ai perdu mon rendez-vous.

Je crois qu’avec cet exemple, aucune possibilité que l’État poursuive sa rengaine de la fraude à la Carte vitale.

Pour ce qui est de se faire soigner « gratos » comme ils disent, ceci n’est qu’un autre nouvel mensonge d’État.

Je ne consomme aucun médicament, je ne me rends pas aux hôpitaux pour des traitements lourds, mais je suis une consommatrice de Doliprane seulement et pour mon handicap aux genoux je ne prends AUCUN médicament, mais les appareillages et diverses dépenses qui ne sont pas de médicaments, la CPAM à absolument tout déboursé car selon ces cerveaux Prix Nobel qui y travaillent, « pensent » que les matériels qui aident les personnes souffrant d’handicap sont des « traitements de confort » !!! Un exemple ? Les chaussures pour handicapés ont un prix de 300 € vous les avez déboursés et le taux de remboursement a diminué à 35e de remboursement annuel !

Or, à présent RIEN de ce qui est nécessaire pour soulager, entretenir ou améliorer un handicap quel qu’il soit, cela va des yeux aux pieds, N’EST PLUS PRIS EN CHARGE PAR LA CPAM ou, parfois une dépense exorbitante et ponctuelle est acceptée, mais seulement une fois par an, et avec une « participation financière ! »

Alors, je vous en prie, et je m’adresse aux politicards, votre déficit ne peut en aucun cas venir des usagers, vous nous avez déjà privés de tout, bon nombre des Français n’accèdent pas aux soins, et je ne vais pas me répéter, pour vous faire un second exposé sur les droits limités et des refus de la CMU, cela ne serait que de l’abâtardissement !

Il paraît qu’une loi va sortir pour aider les handicapés lourds qui ont besoin d’un fauteuil roulant jusqu’à présent non remboursé, si ceci est vrai, je m’en réjouis pour eux, parce que je sais ce que le handicap veut dire pour avoir eu Maman entièrement à ma charge comme infirmière et aide-soignante, sans aucune aide extérieure et, j’ai pris aussi en charge toutes les difficultés administratives imposées par la CPAM dont RIEN n’était remboursé.

Je l’ai soigné treize années durant, Maman était handicapée à 100 % et classée en GR1, alors, je vous en prie, cessez de culpabiliser les Français avec votre rengaine grotesque et intolérable de LA FRAUDE A LA CARTE VITALE.

Elle n’existe point !

Cherchez à masquer la fraude des déficits chez vous, elle siège aux sommets de l’État, cachez-la avec un autre mensonge qui sera de toute façon démasquée à l’Assemblée Nationale, et je vous conseille bien vivement de retirer les accusations de fraude contre les Français, vous vous déshonorez.

Nous avons droit, surtout les pauvres et appauvris injustement par vos administrations, à mener une vie digne.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

SIDÉRANT !

19 octobre, 2024 (16:37) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

SIDÉRANT !

Nous sommes par terre et en faillite complète ; et ils se permettent d’aller à la province nommée Ukraine, pour se mettre à genoux et leur offrir la France entière à leur disposition :

« […] Militairement, et financièrement ! »

Notable !

On ne nous a pas demandé notre avis !

Ils vont de mieux en mieux ces bluffeurs.

Nul besoin de sortir de Sciences Po ou d’une grande École pour prendre la mesure de leur incompétence et de leur crétinisme dans lequel ils s’enfoncent traînant la France et les Français dans le plus grotesque et lamentable des scénarios politico-militaires.

Parallèlement, ils annoncent le programme fait d’un paradoxe démentiel : ils œuvrent pour « la paix ».

Mais voyons !

Vous appelez-votre programme : «  œuvrer pour la paix ? »

Démilitarisez-vous !

C’est l’unique manière de travailler pour la paix et non avec le don d’armes.

Et couronné de l’argent que nous n’avons même pas pour nous-mêmes !

Vous avez pillé le coffre-fort de la France et ensuite dans la ruine, vous allez repartir de l’argent ?

Si nous comprenons bien le but de votre voyage, c’est pour faire cette donation, alors-là, vous n’êtes pas en déficit !

Tout ce que vous faites est pour la majorité des Français ruinés, tout simplement RÉVOLTANT !

Vous allez le regretter, mais il sera déjà trop tard.

Il va falloir vous destituer et très vite.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

IMPARDONNABLE! RECTIFIEZ LE TIR !

19 octobre, 2024 (11:20) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

IMPARDONNABLE !

RECTIFIEZ LE TIR

JE VOUS EN PRIE !

ET CONTRE LES TROIS

PRINCIPAUX SANGUINAIRES !

 

 

PORTRAIT DE L’ASSASSSIN DE MAMAN

19 octobre, 2024 (06:50) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

PORTRAIT DE L’ASSASSIN DE MAMAN

« Rien n’est plus facile que de dénoncer un être abject, rien n’est plus difficile que de le comprendre ».

Fiodor DOSTOÏEVSKI

PARTIE I

Il se fait passer pour « pieux », il se déguise en « religieux », rien de plus stupide et dangereux.

Il se fait la comédie tout seul, et il convainc.

À cette époque, ces composantes doivent nous alerter… Il vit « en communauté », donc en jouissant de tous les avantages que possèdent ceux qui sont comme des reptiles qui savent avancer en rampant et en esquivant les difficultés de la vie, tout leur est dû, et toutes les aspérités sont adoucies par ces digues qui les protègent et qui leur permettent d’agir à leur guise, le crime y est installé dans la liste de leurs écarts permis et effacés, même par la justice, celle qui n’existe point en France quand elle doit juger des types comme lui, parce que les juges ont un faible pour ces individus ; ce type et sa comparse, « la logeuse » incluse, font appel à l’histoire pour sensibiliser le français, ô pauvres français !, ils sont si naïfs, si faibles ; leurs slogans qui décorent les frontaux des bâtiments publics se sont gravés dès l’enfance dans leurs cerveaux ramollis de compassion ; les Français sont enfermés dans la peur de l’histoire et dans la « solidarité » qui les aveugle affaiblissant toute capacité d’exercer l’intelligence et l’esprit critique, soit-il involontairement ou bien conscients, pour juger sans complexes et sans entraves.

L’ombre de l’histoire bloque leur compétence de jugement dont ils se vantent ; c’est bien leur perte, ces complexes de l’histoire sont moins forts que chez les Allemands, certes, mais non moins invalidants quand il s’agit de juger devant la barre.

Ces slogans sont si incrustés dans leur imaginaire collectif qu’ils ont une peur terrible que l’histoire ne leur fasse un avertissement inscrit dans des rappels menaçants de culpabilité, quand des types comme cet assassin de Maman fait appel à l’histoire pour obtenir clémence et il ment comme il respire avec la facilité et la cadence organique de son espèce.

Il faut savoir que la plus grave erreur réside dans cette fusion erronée, cet assassin ne partage en rien les composantes des faibles du passé, ces nouveaux immigrés de l’histoire se sont usurpé le passé pour en bloque obtenir la pitié de la société qui aveugle, fait du coupable un innocent et la véritable victime, Maman, l’injustice française, l’a fait passer à la trappe et me l’ont tuée une seconde fois.

Dans cette comparse entrent un conglomérat de la pire classe sociale, la plupart des arrivistes, catégorie sociale terrifiante.

Pourquoi terrifiante ?

Parce que rien chez eux n’est vrai ni solide, la bonne nature est absente chez eux, et s’amplifie et s’approfondit par manque des principes, ces gens n’ont pas d’éducation de famille, ils se sont formés seuls, en rampant avec ruse, calcul et des aides formées par des loges, des copains, et la force étanche de « communautés » quelles qu’elles soient, ce sont les communautés qui aident à se forger une solidité sociale, à gagner des places, à ce qu’on appelle « réussir ».

C’est tout le contraire à moi, qui ai dû avancer seule dans la vie, sans aide de personne, sans faire aucune concession, sans jamais trahir ni bénéficier des parrains.

L’échec s’installe facilement.

Il n’y a pas de mystère.

L’assassin de Maman ne partage en rien les attributs des générations passées. L’histoire ne peut pas se répéter, ce sont les gens qui par force et facilité, ils veulent trouver des similitudes.

Il peut se frapper la poitrine à chacune de ses célébrations, il pourra demander son pardon annuellement à son dieu, et il se fera lui-même l’idée sans le croire véritablement qu’il est pardonné par son dieu ; quelle fête nauséabonde est cette mascarade d’où il sort victorieux ; il n’y a rien de plus grotesque, rien de plus risible et macabre à la fois.

L’assassin de Maman restera un assassin mafieux, la « profession » de médecin l’a eu avec difficultés, il était destiné à n’être qu’infirmier, il aurait dû y rester, mais la chance lui est toujours venue en aide.

Il s’est fait sa réputation entre ses congénères, je le redis, c’est sa « communauté » qui l’a aidé, comme aident toutes les « communautés » de par le monde.

Le solitaire, l’anarchiste, l’intransigeant qui garde ses valeurs sans se contaminer et qui refuse de faire de concessions, or dès qu’il s’affilie, il cesse de l’être. C’est sa plus grande vertu et sa perte sociale.

Je ne l’ai connu que par hasard, une radiologue me l’avait recommandé quand j’étais en train de chercher un médecin pour Maman qui se déplace à domicile, qui fasse de visites longues et qui ait de la patience avec des personnes âgées, en plus il devait être du quartier, toutes ces demandes, selon cette femme médecin, il les remplissait, c’est là qui débutait chez nous le maudit contrat, que je lui ai confié Maman, ignorant bien sûr qui il était et qu’elle serait la fin en 2013. Ma grave faute fut de lui faire confiance, j’ai fauté par ignorance, je n’aurais jamais dû lui confier maman.

Mais… comment se méfier d’un « médecin ? »

J’ai fauté aussi par imprudence. Parce que deux signes auraient dû m’alerter, deux fautes graves que je n’ai pas su détecter, je n’étais pas encore si bien formée en matière médicale.

J’ai commencé à me charger à plein temps de Maman en l’an 2000, et quand son invalidité s’est accrue, j’ai pris des cours particuliers d’infirmière à la maison, je me suis formée avec un infirmier qui était très doué et qui avait un don inné de pédagogie médicale. Quand il m’a donné l’autorisation pour agir seule, il m’avait préalablement très bien observé quatre mois durant pour vérifier que je pourrais être totalement autonome, sans sa surveillance et il m’a félicité, car il m’a dit qu’il n’avait jamais eu une élève si douée, « je vais vous emmener au cabinet pour m’aider », me disait-il en riant.

Quand Maman a eu son infarctus, ; il m’interdit de l’hospitaliser, il n’a pas voulu la soigner et avec force m’a crié « laissez-la tranquille ! »

Là, j’ai commencé à avoir peur et j’ai soupçonné quelque chose de louche. Toutes les indications qu’il me donna furent pour aggraver son état et il tournait le dos à Maman, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. Il commençait son programme maléfique et perfide.

Jusqu’à ce que je prenne la décision toute seule de faire venir un radiologue à la maison pour lui faire une radio, car Maman n’était pas « transportable ».

Sa perfidie arriva aux degrés insupportables, faussant délibérément l’interprétation de la radio, une année après, il obligea à son avocate de dire que c’était lui qui avait ordonné de lui faire une radio, quand tout ce qu’il avait fait, c’était d’interdire toute sorte d’intervention et qui me refusa en criant de l’hospitaliser d’urgence, le refus catégorique de me donner une lettre me bloquait toute intervention en solitaire de ma part pour la placer dans une structure des soins appropriée. La perte de temps lui fut fatale à Maman et cet assassin se réjouissait de lui refuser les soins et gagna ainsi du temps la faisant souffrir sans aucun soin. Il collaborait avec l’amie de sa femme « la logeuse », mais tout le programme criminel qu’il employa pour torturer et me tuer Maman je ne l’ai su qu’après sa mort, par une dame qui le connaissait et elle se fait le devoir de m’avertir en quelle situation macabre j’avais été mise par inadvertance.

Quand je suis arrivée toute seule avec Maman à l’hôpital, j’ai été reçue avec une violence terrible par la cheffe des infirmières, cet épisode est une des scènes principales de mon script, elle révélera la vérité de ce qui se passe au sein des services hospitaliers qui se vendent aux mafias.

Nous sortîmes du bloc des « urgences » ou l’assassin N°3 ne savait pas que faire de Maman, c’est une des scènes les plus terrifiantes.

En sortant de là et de l’horreur de son intervention erronée, ils nous envoyèrent dans une chambre commune avec une grosse femme qui récupérait d’un examen en mangeant et en regardant un programme de télévision à tout volume, Maman commença là son agonie sans sédatifs sans aucun soin, jetée comme un déchet pour qu’elle commence sa nécrose jusqu’à la mort.

La cheffe des infirmières, riant triomphante de son pouvoir et de faire ce qu’elle veut de moi, me regarde avec une insolence que je n’ai vu que peu de fois dans ma vie, et m’interdit de rester la nuit avec maman agonisante et à 3h du matin me met dehors et m’obligea à passer la nuit assisse dans le hall de l’hôpital me séparant toute la nuit de Maman, sachant que c’était le pire pour moi, je n’eus la permission de monter au 5 ème étage de médecine qu’à 12h30 du lendemain !

Je n’ai pu obtenir qu’un jour après et très difficilement une chambre pour rester avec elle, mais tout était déjà perdu.

Elle était la plus proche du chef de service du 5 ème étage de médecine, l’assassin N° 2 qui finissait la macabre besogne de son ami et assassin N°1.

La voici une autre idéalisation des Français, qui croient que tous les membres des équipes médicales sont sans tache.

Je démontre le contraire avec des preuves, rien de ce que j’écris sur l’assassinat de Maman n’est « subjectif », ici il n’y a rien de littéraire.

La littérature s’est tue pour laisser la place à une dissection et je fais entrer le public à une séance des Rayons X.

L’assassin N° 1 de Maman se chargea d’appeler ses copains qui œuvrèrent de manière criminelle en violentant le corps de Maman et la jetant sur un lit dur et froid pour commencer son agonie faite de douleur et d’une nécrose qui avançait inexorablement, les soins palliatifs je n’ai pas pu les obtenir pour Maman, bien au contraire ! Ils ont tout fait pour qu’elle souffre le plus possible. Personne n’entra dans sa chambre que le quatrième jour, quand fit son irruption J.M. Z., le chef de service qui entra pour rire devant le lit de Maman qui était devenu un cercueil ouvert :

Ha, ha ha, elle n’est pas toute fraîche, votre mère, Ah ? « Ha, ha ha ».

Ce monstre se moqua de la douleur de Maman, même pas un animal n’aurait pu supporter une telle agonie. Et sa phrase immonde le définit comme monstre.

Celui-ci est le portrait du chef de service. Il se trouve bien installé sur DOCTOLIB.

Quel pays, c’est la France qui permet ceci, je me suis dit dans mon for intérieur… Quelle erreur ai-je commise ? Mais comment ai-je pu venir en France pour que des médecins assassins me la tuent ? Ils installèrent Maman d’abord dans une chambre commune avec une grosse femme qui récupérait d’un examen en mangeant et en regardant un programme de télévision à tout volume, Maman commença là son agonie sans sédatifs sans aucun soin, jetée comme un déchet pur qu’elle entame sa nécrose jusqu’à la mort.

Je n’ai pu obtenir qu’un jour après et très difficilement une chambre pour rester avec elle, mais tout était déjà perdu, et l’assassin N°1 de Maman, le « Docteur Traître-Tant » disparaissait pendant toute la longue agonie de Maman ; il profita pour courir et se cacher comme un rat, pour ne plus apparaître que le 1 novembre 2013, quand il a su que j’avais déjà enterré Maman, il est venu au taudis pour me donner le Certificat Post-Mortem.

L’infirmier qui venait du laboratoire tous les lundis faire la prise de sang de contrôle à Maman m’a dit : « il a bien disparu le docteur B.K . Ah ? Il s’est évaporé, il est bien absent maintenant, c’est bien par quelque chose ! »

Oui, c’était bien « par quelque chose » comme l’a dit l’infirmier, il exécuta son assassinat en toute liberté et en toute impunité.

À suivre…

[…]

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

LETTRE A L’ASSASSIN DE MAMAN « LE MÉDECIN TRAÎTRE-TANT » – 18 0CTOBRE 2013-18 OCTOBRE 2024

16 octobre, 2024 (11:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

2013 juste avant l’assassinat.           CLARA avant son mariage .CLARA portrait par le peintre Hernán GAZMURI

 

 

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LETTRE A L’ASSASSIN DE MAMAN

« La mort révèle l’amour, c’est l’inconsolable qui pleure l’irremplaçable »

Vladimir JANKELEVITCH

 

Maman et moi, juste avant l’assassinat 2013

 

À vous, le « Médecin Traître- Tant »

À vous l’Assassin N°1 de Maman,

Cela fait onze années que vous avez réussi à nous séparer.

Cela fait onze années, qu’un 18 octobre 2013, j’eus Maman dans mes bras, pour la dernière fois, pour qu’étouffée, regardant le néant qui s’ouvrait à elle comme un immense gouffre qui lui donna épouvante finale après l’agonie indicible que vous lui avez donnée la mort avec votre refus de soins prémédité avec des « circonstances aggravantes » vous avez réussi votre programme d’aider votre amie « logeuse » et qu’on puisse ainsi me déloger, c’est si facile à comprendre, « une fois morte la mère, il sera si facile déloger de force la fille ».

Votre manœuvre criminelle, votre crime réussi,  les gens qui vous connaissaient l’ont su.

Après avoir mis en terre Maman, une dame de bons sentiments qui avait connu Maman et qui savait de mon amour pour elle, sans peur, elle est venue me rendre visite pour me le dire en toute confidentialité.

Votre femme était une amie intime de « la logeuse », et vous avez laissé Maman sans soins avec la préméditation de la tuer, son infarctus fut pour vous « du pain béni » comme l’on dit, l’opportunité régalienne d’exécuter facilement votre crime ; personne ne doute des compétences des médecins, personne ne peut croire qu’un monstre comme vous l’êtes, garde en soi une pensée « diabolique », définition que des professionnels sérieux, vous ont qualifié à m’entendre et à lire mon livre. Oui, vous êtes d’une nature tordue et « diabolique ».

Ah ! Comment lutter contre l’imaginaire collectif ?!

En France, les médecins sont admirés ; leurs longues années d’études font croire aux gens qu’ils sont des dieux. C’est une des principales fautes de la France qui se trouve incrustée dans l’imaginaire collectif.

J’étais soumise dans une souffrance terrible, je n’avais pas de famille autour de moi, et par force, avec toute la force de mon caractère heureusement hérité de mon père, non de Maman qui était douce, silencieuse, si aérienne, et lumineuse qui se présentait dans la vie une CIBLE parfaite pour qu’on abuse de sa délicatesse .

(je viens de lire sur le web, à propos des Basques, qu’ils sont « brutalement francs et brutalement honnêtes » excellente définition de ma génétique basque, à laquelle je suis si heureuse d’appartenir, nous disons la vérité, parce que notre sens de l’honneur est notre principale vertu, tout ce qu’à vous, vous fait défaut, c’est pourquoi , je dois vous démasquer et vous nomme ASSASSIN. Ce que j’ai crié le jour où j’ai dû me présenter seule devant le « Conseil du Désordre ». Vous, qui êtes un monstre lâche, vous n’êtes allé à la convocation, vous n’aviez pas eu le courage de vous présenter et avec envoyé votre crétine et misérable avocate « du Moyen-Orient » habituées qu’elles le sont aux mensonges a essayée par écrit de me dévaloriser disant que j’étais une débile et retardée qui ne « voulait que ma mère avec son grand âge, ne meure, je ne voulais qu’elle ne meure ».

Seule une femme en dehors de la réalité, une folle, elle peut imaginer que ses vieux parents sont éternels, j’ai été éduqué par mon père dès mes seize ans à me débrouiller seule parce qu’ils m’ont fait naître tard dans leurs vies et j’étais seule dans la vie pour me défendre, ils l’ont réussi, voici cette lettre.

Je ne vais pas rouvrir ma défense, mon Livre-Script CLARA dit tout, c’est l’ouverture de la boite de Pandore.

Je devais me ressaisir pour rester en bonne santé et en vie, pour venger la souffrance de Maman.

Vous devez être banni.

Vous, en lui refusant les soins, en vous efforçant pour qu’elle ait une agonie indicible de huit jours, privée sauvagement de soins, et privée de l’opération dont elle avait si besoin pour lui éviter la souffrance, vous avez perpétré un crime qui devra devenir connu de par le monde.

Je ferai de mon Livre-Script CLARA une vidéo-cinéma.

J’ai trop attendu.

Grâce aux outils qui nous donnent cette « drôle d’époque » et grâce à mon talent et mon travail acharné, j’arriverai cette année.

Il faut vivre avec son époque, disait André Lhote, cette devise doit s’appliquer à tout ordre des choses, non seulement pour l’application des théories de l’Art pictural.

Les gens ne lisent point.

Seule l’élite, un secteur réduit de nos sociétés, s’adonnent à la quiétude et s’entourent volontairement du silence qui nous exige lire ou écrire.

En revanche, face à une vidéo YouTube, les gens se précipitent pour « regarder », il est si facile, tout y est, on met en exergue le récit fait parole et l’image remplace la lecture des plus de 300 Pp. Que rares personnes liront, ils disent « n’avoir pas le temps ».

Mon cinéma ne les excusera point de « ne pas savoir ».

Et, vous avez tout fait grâce à vos privilèges de faux « médecin » c’est pourquoi je vous ai nommé « Le Médecin Traître-Tant » vous passerez à l’histoire comme Traître.

Pourquoi je vous ai nommé TRAÎTRE ?

Parce que je vous ai confié le corps de Maman sans vous connaître et vous avez profité de ce jour fatidique de son infarctus pour la trahir, lui tourner diaboliquement le dos et la laisser souffrante jusqu’a sa mort.

Rappelez-vous que je suis allée chercher à votre Cabinet le Certificat médical Post mortem qui démentait les mensonges de vos amis complices de l’hôpital.

Je vous l’ai dit face à face, que vous aviez tué Maman, après que j’eus ce certificat médical qui forcement disait la vérité sur la bonne santé de Maman le jour de son infarctus, et qui laissait par terre les mensonges scandaleux du Conseil du Désordre.

Tous les médecins que j’ai consultés après la mort de Maman m’ont corroboré que si Maman était en promenade au café avec moi, précisément la veille de son infarctus, il était impossible qu’elle puisse être dans un état dégradé qui annonçait sa mort !

Un infarctus est « un accident » qui arrive soudainement aussi chez une jeune personne et en bonne santé.

Le témoin oculaire a une importance capitale dans tout jugement pour assassinat.

Je le suis.

Et le témoin oculaire sera le principal acteur dans le dévoilement de la vérité.

J’ai trop attendu.

Vous avez été l’assassin N°1, le principal, qui à l’aide aussi de vos trois amis et complices hospitaliers, m’ont tué Maman.

Cet hôpital semi-privé, le pire de cet arrondissement, où de mon propre  chef, en vous désobéissant, j’ai emmené maman in extremis.

Vous avez œuvré pour que Maman finisse de respirer et que notre binôme mère-fille prenne fin, ce binôme inséparable que nous fûmes alla de la naissance à la tombe…Je me charge depuis, pour qu’il reste vivant par-delà la vie et la mort.

Vous le savez que vous êtes coupable.

Cela vous persécutera jusqu’à l’heureux instant où vous mourrez, le monde va se libérer du monstre que vous êtes, ce moment arrivera inéluctablement.

La mort avec la guerre de vos semblables qui ont décimé Gaza et maintenant le Liban n’ont pas seulement tué des innocents, et depuis 1948, mais affreusement à présent, ils ont obtenu LA BANALISATION DE LA MORT !

Cet effet mortifère est le singulier de notre époque, ça tout le monde le dit, « avant » il n’y avait pas cet autre monstre, le terrorisme, « avant » on vivait en paix, mais ils ont fait naître un monstre, ils se regardent face à face ces deux monstres, les experts sont pessimistes, ils ne voient pas l’issue, parce que le monde est lâche.

Moi, je dis fort que les assassins doivent être fusillés.

Quand on le fera, l’on sera libérés.

Et la guerre à Gaza et au Liban finiront toutes les deux.

Je le redis, cette horrible guerre a provoqué un mal supplémentaire terrible, il a fait que les gens s’habituent à la MORT, ces sanguinaires du Moyen-Orient du « peuple élu pour tuer », ils ont obtenu la banalisation de la mort.

LA MORT pour les gens, elle ne comporte plus rien de terrible, la Mort a cessé d’être un cas de rupture scandaleuse au sein de l’humain.

J’ai dû me faire violence pour vous écrire cette lettre ouverte avant la date de la mort de Maman, le 18 octobre.

J’ai dû vaincre le dégoût.

Je la publie avant parce que je fermerai mon ordinateur et je serais occupée au cimetière.

Il n’y a qu’une seule manière d’en finir.

Maman était contre la peine de mort.

Elle me disait que c’était trop facile et que priver une personne de liberté et le laisser enfermée à perpétuité était la pire des punitions.

« […] Un individu est-il pernicieux ? Alors, on l’élimine et s’est fini. C’est ce que j’appelle une bonne action. Pensez combien il est pire pour la société que cet individu continue à distiller son venin et qu’au lieu de l’éliminer l’on veuille contrecarrer son action en faisant appel aux anonymes, médisance et d’autres bassesses similaires, en ce qui me concerne, je dois confesser que maintenant, je regrette n’avoir mieux profité du temps de ma liberté, en liquidant six ou sept types que je connais. »

Ernesto SABATO

LE TUNNEL (Pp. 62)

Moi non, il n’y a pas d’excuse que de dire qu’il peut y avoir des « erreurs de procédure » et qu’on peut passer à la condamnation erronée, non, quand on a les preuves criantes, ces « preuves en l’espèce » indubitable de vérité d’un assassinat, il faut que l’assassin paie la faute la plus chargée d’épouvante gravité parce qu’irréparable, car tuer un être humain est un SCANDALE.

Maman me disait qu’elle était partisane de pour laisser l’assassin privé de liberté au cachot à vie et l’obliger à faire des travaux d’utilité publique.

Donc, vous devriez être enfermé dans un cachot à perpétuité, et n’avoir pour lit qu’un lit d’hôpital dur et froid, comme celui où Maman agonisât cinq jours durant, un lit qui fut un cercueil ouvert où vous l’avez laissé se nécroser à vif sans sédatifs.

Vous serez puni par mes écrits et mon film.

L’assassinat de Maman vous persécutera éternellement.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK