DES MALFAITEURS DE LA POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR : PARLONS CHIFFRES
DES MALFAITEURS DE LA POLITIQUE
FUNĖRAIRE
PARLONS CHIFFRES:
LA VÉRITÉ SUR LE PROTOCOLE DES CONCESSIONS FUNÉRAIRES PERPÉTUELLES
PARTIE II
Il faut qu’il soit clair pour vous et que vous preniez connaissance de ce que la plupart des gens veulent ignorer, la dépense funéraire ne s’arrête pas avec le paiement des sommes exorbitantes pour les services de Pompes funèbres. Il faut bien observer que les critiques de la Cour de comptes et des politiques de gauche s’arrêtent à ce stade-là comme si l’affaire d’escroquerie funéraire restait circonscrit aux prix exorbitants du mercantilisme des entreprises funéraires.
Une fois payé cette première escroquerie, les familles pauvres et endeuillées clôturaient avec ce paiement leur processus mortuaire et on pourrait supposer qu’elles laisseraient la tombe de leur famille à l’abri éternellement. Mais non, cette supposition est fausse.
Ah! Voila que je viens d’écrire un mot interdit et qui surement va vous déranger profondément.
Laisser une tombe protégée « éternellement ».
L’État commande et impose ses diktats, ils sont loin d’être libres de critique. Vous n’avez pas la possibilité d’y échapper, le libre arbitre fut effacé, le citoyen endeuillé et PAUVRE n’a pas de mot à dire contre ce protocole criminel.
Le prix si critiqué des sommes exigées par les Pompes funèbres peut se solder par un échelonnement.
Mais celle-ci, n’est que la première étape de tout processus funéraire.
Avant de penser à payer les Pompes funèbres il faut que tout citoyen pense au morveux de terre, nécessaire oil enterrer ses morts. Il est bien facile de payer , même avec des grandes difficultés le prix de Pompes funèbres, ce qui est capital et de résoudre un problème majeur, l’espace dans le cimetière ou resteront ad vitam aeternam nos morts.
Je suis née dans un pays du tiers monde, le Chili, mais très bien organisé en matière des lois, au Chili existe la même loi qu’ici en France, en matière d’escroquerie funéraire ils ne sont pas en retard. Pourquoi?
Parce que la loi chilienne est un calque de la loi napoléonienne.
Mais, il y a une nuance:
« Mon père a dit un jour, celui qui n’a pas de patrie, n’a pas de sépulture…Et il m’interdit de voyager »
Mahmoud DARWICH
La terre nous est étroite et autres poèmes.
Certes.
Une personne de bonne famille, une personne d’honneur ne permettra jamais débuter sa vie de citoyenne ni d’entrer dans le monde du travail, sans avant s’assurer que les personnes qui dépendant d’elle, le moment de mourir, elles puissent rester sans sépulture. C’est pourquoi, un chef de famille s’occupe dès qu’il est responsable de l’achat de la concession funéraire pour sa famille et lui-même
Le paiement des Pompes funèbres viendra après, la plupart du temps cette tragédie survient quand la concession funéraire perpétuelle a déjà été payée dans sa totalité. Nous avons à Santiago, au cimetière catholique une concession funéraire perpétuelle, mais elle est pleine. Quand j’ai voulu étudier la possibilité de résoudre mon problème auprès du cimetière, ils ont agit pareillement qu’ici en France, il aurait fallut que je paie exactement les mêmes sommes qu’ici en France. Aucune dérogation n’est accordée, ils ne sont plus un pays du tiers monde, le Chili est égale à tout pays mercantile où les pratiques du mercantilisme funéraire prévalent à tout autre considération humaine.
Je les ai oubliés. J’ai renoncé à ma nationalité chilienne. Ils ont persécuté mon père de son vivant par sadisme et jalousie.
Le Chili a spolié Maman de tout son héritage des toiles qui lui avait laissé mon père dans son Testament olographe, et les avocats de pacotille que j’eus ici à Paris, n’ont rien fait et laissèrent tomber maman dans sa demande de réparation.
Nous n’avions pas d’argent pour payer les honoraires d’un bon avocat, expert en litiges de spoliation d’oeuvres d’art. Avec l’aide Juridictionnelle l’on ne confie pas un dossier de cette envergure aux petits avocats de pacotille qui ne sont même pas capables de rédiger un Rapport juridique.
Passons.
La personne qui arrive en France sans resources et qui n’a pas à son avoir une profession libérale ne pourra jamais monter les échelons.
À moins qu’elle pratique la « PROSTITUTION DE LUXE » dès nos jours pratiquée par certaines ministres si bien placées, mais que cette époque aussi prostituée qu’elles, les feront monter chaque jour au plus haut des sommets de l’Etat. Sur le socle de la « méritocratie » elles montent et le pire est qu’elles sont convaincues d’avoir une compétence qui les fait grave défaut.
La faute n’est pas à ces misérables personnes, mais aux hommes de pouvoir, politicards, des PDG, des « intellectuels médiatiques » qui ont bénéficié de leurs services, et qui continuent encore à en profiter, et qui leur ont assuré un socle financier dont elles disposent à vie; les sommes que la presse a bien voulu nous révéler hier sont abyssales.
C’est l’État Français qui a permis ça et qui poursuit sa démarche mafieuse dans le financement des salaires exorbitants à toutes ces arrivistes de la pègre, celles qui avouent « venir d’en bas », et qui disposent d’une assurance vie, pour elles mêmes et qui s’étend à toute leur famille bien prolifique.
Je vais répondre à ceux qui se demanderont pourquoi en 43 années de résidence en France que n’ai pas prévu de me munir pour nos vieux jours, de l’achat d’une concession funéraire pour Maman et moi-même.
Ma réponse est simple et très claire.
Je suis arrivée avec comme seul bagage ma profession de Professeur d’espagnol et ma formation d’artiste-peintre, formée dans l’Atelier Libre du peintre Hernán Gazmuri, formée dans l’esthétique de l’École de Paris.
Ne demandez pas à une jeune femme qui a confiance en ses valeurs qu’elle soit défaitiste. Il serait lui exiger d’avoir un comportement existentiel contre-nature.
« J’étais » amoureuse de la France. Je n’ai jamais imaginé la cruauté et le sadisme des mafias françaises.
Ni de celles qui détruisirent mon cursus comme Professeur ni de celles qui m’interdirent toute possibilité d’épanouissement de mon art pictural. Ce bref article n’a pas pour objet de traiter ces deux scabreux sujets, je les développe en détail dans le livre que je suis en train d’écrire: mes MEMOIRES: ma vie littératurisée de Chili à la France.
Je n’ai pas eu des salaires qui auraient pu me permettre d’épargner de l’argent pour l’achat de notre concession funéraire. J’ai vécu des salaires précaires et instables données par le ministère de l’ignorance Nationale. Je depensais mon petit salaire précaire des contrats en CDD dans notre survie.
J’ai toujours accepté les « remplacements » de longue et de courte durée, sous-payés en dépit d’avoir eu un succès incontestable de tous mes élèves, reconnu par les Proviseurs et mes élèves et se parents, tous mes élèves réussirent leur Bac espagnol.
Je devais soutenir Maman qui n’avait pas de retraite, car les pianistes n’ont pas de retraite.
Une fois mon père décédé j’ai assumé entièrement Maman à ma charge. La France, il y presque un demi siècle ne donnait RIEN aux étrangers, bien au contraire, je dû déclarer Maman à ma charge et vivant sou mon toit et avec l’obligation de la nourrir, l’habiller et lui payer ses frais aux droits à la Sécurité sociale. C’est moi qui à peine arrivée, j’au dû lui payer ses droits à la Sécurité sociale que je lui payais mensuellement à l’URSSAF, Maman a eu sa première Carte de Sécurité sociale. Je n’avais pas le droit à demander aucune aide ni à loger dans une HLM.
Si vous croyez qu’à notre époque nous recevions gratuitement tout ce que tout nouvel immigré reçoit de la France à présent, c’est une tgromperie politique, nous ne l’avons jamais eu. Pour avoir ma Carte de Séjour Résident Privilégié, je devais faire preuve de travailler et d’avoir suffisamment des ressources pour nous deux. Bon, à l’époque avec mon tout petit salaire au moins nous pouvions résister toutes les deux en faisant une attention de tous les instants.
Du contraire, j’aurais été expulsée avec Maman.
Je n’eus le droit de travailler comme professeur d’espagnol dans le public qu’à partir de 1989 quand j’eus ma naturalisation Française.
Une anecdote?
L’année dernière, un médecin me pose la question suivante:
« Pourquoi avez vous une si misérable retraite qui n’arrive même pas au Smic?
Au premier abord, je ne lui ai rien répondu, je l’ai regardé …
Son ton était provocateur. Il poursuivit:
« Avez vous travaillé UN PEU CHEZ NOUS? »
Je me suis révoltée contre cette phrase abominable:
« Travailler un peu »
et
« Chez nous »
Docteur, tout d’bord vous ne savez rien de moi.
Non seulement j’ai travaillé en France, j’ai aussi poursuivi des études supérieures et j’ai le Bac + 8, et pour ce qui est du travail comment croyez qui survit une femme seule au monde, sans aucune famille et avec une vieille Maman sans retraite à sa charge?
Je viens d’une famille de bien, je ne suis pas une prostituée, alors vous croyez que j’aurais pu survivre en France sans travailler?
En plus vous me dites « chez-nous »
Je suis Française docteur, alors le « chez nous » ne correspond pas à mon statut, car je suis « chez moi » en France.
Il n’a pipe mot ce dégénéré.
J’espère qu’avec cette anecdote vécue seulement l’année dernière, j’ai tout dit et qu’il n’y aura aucune doute sur ce qui se passe pour des travailleurs pauvres qui ne sont jamais en mesure de se payer d’avance une concession funéraire pour leurs vieux jours et être ainsi préparés le jour de la mort de leur famille et pour assumer ensuite la leur.
Un travailleur qi débute dan s le monde du travail avec un CDI a le tezsmps d’épargner est ne pas se voir comme moi au dépourvu quand le moment de la mort de ses êtres chers arrive.
Quand Maman est morte j’étais au RSA.
LES CHIFFRES
Le protocole des Mairies, commandé par le Conseil Général qui suivent à la mettre les secrets et lois funéraires, stipule que la =concession funéraire augmente de 852€ annuels.
Depuis la première inhumation de mama, je me procurais le montant qui m’était imputé chaque année. La si-omme augmentait est je poursuivait encore en train de payer les inhumation et changement de cimetière.
L’année dernière le prix que l’on m’avait donné était de 7472.47€
Cette année j’ai eu le nouvel prix, je devrais payer 8.259.53€
Donc une augmentation de 852.06€ annuels !
Nous n’arrivons jamais à épargner de manière stable, parce que la dette ne peut se solder jamais au prix fixe, c’est un véritable cauchemar funéraire.
Il faut avoir des nerfs solides, une très bonne santé physique, et un caractère de fer comme le mien pour supporter une cette ignominie.
J’ai essayé d’obtenir exceptionnellement « un échelonnement ».
Je n’ai pas le droit.
C’est pour tout le monde pareil.
Et puisque je n’ai pas le droit de demander « à la France » un « traitement de faveur » funéraire et qu’aucune autorité ne va m’aider ni ne respecter la mémoire de la veuve du peintre Hernán Gazmuri…J’obéis.
Alors dès ce mois-ci j’ai commencé ma période de DORMANCE de famine bien organisée.
En janvier 2026 le prix de ma concession coutera 9.983.65€
Et en janvier 2027 ma concession funéraire perpétuelle me coutera la faible somme de 10.227€.
Je prépare mon troisième et dernier article dédié à cet scabreux sujet de politique funéraire de la Terreur.
Et je fermerai à tout jamais toute tentative de dialectique avec l’administration française.
Et vous comprendrez pourquoi.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA