CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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VILOGIA RECONNU PUBLIQUEMENT COMME BAILLEUR SOCIAL ABUSIF ET ILLÉGITIME (article en préparation)

8 septembre, 2024 (10:37) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

VILOGIA RECONNU PUBLIQUEMENT COMME BAILLEUR SOCIAL ABUSIF

ET ILLÉGITIME.

JE BÉNÉFICIE DONC DE LA LIBERTÉ

DE FAIRE PREUVE D’ÊTRE

ESCROQUÉE  IGNOMINIEUSEMENT

PAR SA DIRECTION.

ARTICLE EN PRÉPARATION

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Locataire d’une HLM délabrée et louée à Poissy dans des très mauvaises conditions

Locataire qui n’a jamais eu de retards ni d’impayés de loyer, la soussignée est une locataire exemplaire que la direction de VILOGIA dès son entrée dans les lieux, ne cesse de l’attaquer aussi bien du point de vue administratif que factuel.

VOICI UN SCOOP POUR LES JOURNALISTES : UNE LRAR QUE J’ENVERRAI POUR LA DERNIERE FOIS A VILOGIA

8 septembre, 2024 (10:11) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LETTRE RECOMMANDÉE  DESTINEE A VILOGIA 

 

DIRECTION VILOGIA

VILOGIA Poissy, le 9 septembre 2024

20-22, résidence de la gare

95370 MONTIGNY les Cormeilles

A l’attention de la Direction

LRAR

Objet : MISE EN DEMEURE

Madame la Directrice,

En dépit de ma LRAR et de mes multiples appels à votre entreprise PROXISERVE, toutes mes demandes pour réparer les dégâts gravissimes de votre HLM que je vous loue depuis mars 2021, restent vains et vous vous dérobez des responsabilités que sont les vôtres depuis votre responsabilité de « bailleur social »

Voici les dégâts de votre HLM :

  1. 1. Désembouages des radiateurs.

  2. Celui de ma chambre à coucher n’a jamais fonctionné.

  3. Clés de régulation de chauffage jamais remplacées.

  4. Tuyau de passage de gaz du chauffe-eu sans rechange.

  5. Prises électriques hors service se sont éteintes seules, car les intervenants lors de mon arrivée dans les lieux, en 2021, ils m’ont dit que vous voulez « faire du neuf avec du vieux » et que les prises ne seraient pas durables, car il faudrait changer toute l’installation électrique de votre appartement.

Par courriers recommandés datés du 12 juin et 15 juillet 2024, je vous ai fait part des dégâts de cet appartement que vous ne voulez pas réparer.

  • Le chauffagiste est venu, mais il reste sans changer le tuyau qui doit être changé. Vous trouverez ci-jointe l’expertise du GRDF. IL Y A UNE FUITE.

  • LE TUYAU EST TROP ANCIEN VOUS L’AVEZ RÉPARÉ AVEC UN RAFISTOLAGE FAIT DU PAPIER ALUMINIUM.

  • C’EST UNE RÉPARATION GROSSIÈRE ET DANGEREUSE LE GRDF VOUS EXIGE DE LE CHANGER ET CETTE RÉPARATION EST A VOTRE CHARGE NON A LA MIENNE COMME VOUS LE DITES.

  • Le siphon du levier avait une fuite importante, Proxiserve a finalement envoyé un plombier qui a eu l’idée d’enlever le siphon avec la promesse de revenir placer un neuf, une fois que Proxiserve ait reçu le rapport et photo depuis sa tablette.

  • Il est revenu une semaine après, sans le siphon neuf, et à la place il a mis une coquille plastique « provisoire » attachée avec un ruban blanc.

 

  • Elle va tomber et provoquera une inondation. Je vous le préviens.

  • Ce plombier qui selon Proxiserve n’est pas de leur service, mais de l’extérieur, et il a fait cette malveillance sous commandes des tiers.

Quand je lui ai réclamé de bien finir son travail, il m’a répondu de manière désobligeante. Je ne répéterais pas ni ses paroles ni ses gestes déplacés et hautement offensifs.

  • Le WC est tombé HORS SERVICE le mercredi 28 août 2024.

  • Chasse d’eau hors service et fuite !

J’ai appelé pendant toute la mâtinée et 3 heures durant début de l’après-midi, mais PROXISERVE dès qu’elles m’ont identifiée, se refusèrent à me répondre !

C’est mon assurance que pour une unique fois a dû intervenir en urgence, m’a envoyé un plombier qui a dû changer la pièce nommée « élévateur » très ancienne et pleine de rouille, j’ai gardé la pièce à conviction.

Au regard de votre irresponsabilité, et de l’urgence inadmissible que j’ai traversais sans un WC opérationnel, ils décidèrent de m’apporter secours car un WC est un sanitaire d’usage primordial et cette intervention pour réparer le WC hors service était de votre entière responsabilité et avec un caractère d’urgence absolue. Mon assureur m’a dit qu’étant de votre et unique responsabilité, aucun nouveau dégât de votre appartement, ne sera pris en charge une deuxième fois.

Je vous mets en demeure donc si vous le voulez bien vous activer pour réparer les multiples dégâts qui persistent sans réparer dans votre appartement.

Concernant votre facture de « régularisation des charges » :

Je vous ai répondu immédiatement par LRAR.

Mais vous m’avez envoyé la semaine dernière votre collaboratrice Madame XXXXX XXXXX.

Elle a fait semblant de ne pas être au courant de ma LRAR.

Alors je lui ai envoyé par mail copie de ma LRAR, les récépissés avec toutes les photos des dégâts de votre appartement, vous n’avez qu’à les lui réclamer.

Je ne paie jamais ni les abus ni les escroqueries, je n’ai jamais eu de loyers impayés ni de retard.

Je vous ai déjà expliqué en détail la raison pour laquelle cette facture doit être annulée.

J’ai signalé à la direction de la CAF vos abus et votre harcèlement.

Quand bien même ils ne s’occupent nullement des litiges entre bailleurs et locataires, je ne vais pas supporter encore une deuxième fois votre malveillance administrative auprès de la CAF.

Avant de fermer cette lettre de mise en demeure,

Vous avez répondu que vous enverriez un expert faire le désembouage du radiateur de ma chambre, mais ce sont les 3 qui ont besoin du désembouage !

Celui de ma chambre à coucher est hors service depuis 2021 et que vous n’avez jamais voulu réparer et vous avez le culot de m’envoyer une facture de dépassement de charges de chauffage !!! Quiconque voit votre harcèlement, vous condamne à annuler ladite facture !

Vous avez dit que vous le signaleriez à votre entreprise Genest.

Je n’ai pas été prévenue du passage d’aucun expert.

Donc encore une preuve flagrante que je n’ai peux pas avoir un dépassement de chauffage, le chauffage ici est collectif, et vous prélevez des sommes greffées au loyer aussi bien en hiver qu’en été.

C’est largement suffisant, je ne peux en aucun cas avoir aucun dépassement d’eau froide ni de chauffage.

La décision vous appartient.

Pour faire valoir ce que de droit

Fait à Poissy, le 9 septembre 2024.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

Voyez-vous mesdames, je me porte très bien, vous n’arrivez point à me détruire.

Je continue à peindre et à écrire et je sais que je serai entendue par les autorités parisiennes, je sais que je pourrai enfin obtenir ma mutation de HLM à Paris.

Il y a des bonnes personnes, vous n’arriverez pas à tuer l’espoir qu’il y a chez moi, je le garde précieusement,

Et nous avons aussi un excellent gérant des HLM parisiens, et j’ai vécu récemment pendant 9 ans dans une HLM parisienne, je n’ai jamais eu de problèmes chez lui !

Tout le monde n’est pas escroc et criminel comme vous l’êtes, tous les bailleurs sociaux ne sont pas de criminels !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA POLITIQUE « MAZAMORRA » EN FRANCE

8 septembre, 2024 (09:04) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

PHOTOS DE MA PÉRIODE DE JEUNE PROFESSEUR D’ESPAGNOL

AVEC MES ÉLÈVES AU SEIN DES LYCÉES FRANÇAIS

 

 

 

 

 

LA POLITIQUE «MAZAMORRA »

DE LA FRANCE

CE N’EST PAS LA PEINE D’ALLER VOTER.

Chers Lecteurs,

J’entends çà et là, la révolte et des dires insupportables qui démontrent ce que j’ai toujours dis, le désordre politique et les abus de tout ordre ne sont pas arrivés de manière spontanée en France, ils ont comme origine un épuisement de la pensée, un manque d’esprit critique que la nation a perdu depuis un demi-siècle ; il n’y a qu’un seul responsable : le ministère de l’Éducation nationale, et qui retombe sur le système scolaire, remplit des professeurs incompétents parce que très mal préparés, cela veut dur pas préparés du tout. Je ne vais revenir sur ma critique du système mafieux qui a dégradé la culture de la France avec un objectif criminel, de la laisser soumisse dans l’esprit mou et composé des citoyens malléables et amoindris.

Crier dans la rue et dégrader n’est pas un signe de révolte intelligente, alors ne venez pas me dire que ce que je déclare n’est pas vrai, ce que je dis est vrai, du contraire le résultat des élections irait de pair avec une décision présidentielle juste et en accord avec les réclamations de toute la nation.

Je ne vais pas revenir dans cet article à décomposer partie par partie les strates de la putréfaction interne qui siège au sein de l’école, parce que ce serait rébarbatif et j’irais jusqu’à l’abâtardissement d’une thèse que j’ai déjà exposée à maintes reprises ici sur cet espace littéraire et de critique sociétale.

À présent ce qui me motive est de vous dire comment je vois la manière de s’opposer de manière définitive à effacer cet état de résignation, ma méthode n’est pas coûteuse, elle ne vous demande pas de payer, mais vous exigera ce que l’école ne vous a jamais donné, et pour vous le démontrer facilement, je vais vous raconter une de mes conversations avec mes élèves de Terminal littéraire, de l’époque où j’exerçais au sein des lycées publics parisiens ; j’eus la même conversation au sein des lycées des banlieues ZEP et professionnels, voici ma conversation, faites très attention, car elle est représentative de notre époque, elle vous aidera à comprendre, je ne peux pas en douter !

Cours de prépa-bac, une matinée ordinaire, nous préparions un des treize textes obligatoires dans le « programme » obligatoire du ministère.

Les attaques gratuits des Inspecteurs d’espagnol motivèrent la protestation des collègues et du Proviseur, qui connaissaient mes compétences professionnelles, et mes élèves firent grève et se mobilisèrent pour aller protester devant l’entrée du rectorat de Versailles !

Du jamais vue en France. Ils ont dit que depuis queele rectorat avait mis la première pierre au lycée ils n’avaient jamais eu un professeur d’espagnol si compétente et qui les avait donnés l’envie d’étudier la littérature et qu’ils aimaient depuis l’espagnol.

Ce matin, un des élèves me dit :

« Madame vous nous dites tous les jours qu’il faut étudier pour réussir dans la vie, alors réussir comme vous ?

Combien vous paient-ils ?

Étudier pour être si mal payée comme vous l’êtes ?

Ça vous sert à quoi d’avoir étudié, pour être au chômage après, je ne suis pas d’accord ! »

Quiconque entend ces réflexions des élèves reste désarmé.

Les phrases intelligentes des élèves font référence au résultat du professeur d’espagnol qu’ils ont devant eux.

Travaillant sur des postes précaires, mal payés et avec une insécurité permanente de si l’année suivante le rectorat allait prendre la décision hâtive et hasardeuse de nous appeler pour encore remplir un nouveau remplacement aussi mal payé et précaire que les précédents.

Alors lisez bien ce que je leur ai répondu :

« Écoutez chers élèves, ce que vous me dites paraît très intelligent parce que vrai, parce que vous voyez un résultat catastrophique en matière pécuniaire, et de ce point de vu, vous avez entière raison, nous travaillons pour gagner notre pain honorablement, et tut travail mérite sa paie.

Mais et c’est ici qui réside la valeur d’avoir fait tant d’années d’études, quand ien même très mal récompensés, en comparaison avec quelqu’un qui ne s’est jamais préparé.

Le rectorat abuse certes, je suis à leur merci, et je n’ai récolté aucun résultat dans le pont de vue financier.

Mais il y a un espace ou le rectorat ou quiconque voudrait me détruire ne le pourra jamais, écoutez bien ce mot JAMAIS, il est lapidaire, irrévocable, indestructible comme l’est ma personne, ce sont précisément les années d’étude, de préparation que mes maîtres m’ont donné dans mon université dans mon pays natal qui m’ont donné un savoir solide avec la mission de le transmettre, mais qu’au même temps, ils m’ont ils m’ont donné une arme protectrice : le savoir, l’assurance de ce que je transmets est VRAI et ce qu’ils disent, tous mes adversaires, c’est FAUX, et je suis armée pour le leur démontrer et les détruire avec des mots.

Ce sont les mots que je vous donne ici tous les jours, ces mots littéraires sont chargés de vérité et de beauté, contre cette arme le rectorat est impuissant, contre des mots bien construits, il n’y aura pas d’employeur au monde qui pourra vous détruire, vous serez toujours les plus forts, et pas nécessairement les rectorats, vous pouvez aller travailleur ailleurs, je ne suis pas ici en train de former des élèves pour qu’ils deviennent professeurs, mais pour que vous deveniez des individus autonomes et vous le deviendrez en exerçant votre intelligence et votre esprit critique, mais attention, vous ne pouvez pas critiquer sans d’bord appréhender un savoir, on ne peut pas élaborer ni articuler une véritable critique qu’une fois l’acquis d’un savoir a été bien fait.

Comprenez -vous ?

Dans votre formation spirituelle, quel qu’il soit le métier que vous allez choisir, si vous savez penser, si vous savez appliquer librement une méthode de pensée personne ne pourra plus jamais essayer de vous détruire.

Voyez-vous , je suis mal payée certes, je n’ai aucune sécurité dans le travail, mais devant tous les attaques de ce ministère, je reste vivante, je ne subis aucun trouble qui puisse m’induire à prendre des mauvaises décisions, je reste débout, ferme et combative, car je sais que je dis vrai, que j’agis avec la vérité et avec l’honneur de ne jamais faire du mal à personne, en revanche ces misérables se couvrent de déshonneur et ils restent pour l’histoire comme des êtres malfaisants.

Les professions libérales, sont à l’abri de ces abus de la société, les professeurs ont toujours subi le déclassement et ils ont été toujours traités comme des parias de la société, Horkheimer les définit comme « DES BÊTES DE SOMME » cette définition éclaire définitivement le statut des professeurs de lycées, et il parlait de l’Allemagne des années trente, le pays de la kultur !

Regardez, chers élèves, les conseils d’étudier sans penser au résultat financier ultérieur restent valides. Étudiez, réussissez votre Bac, vous serez invincibles ! »

Un jour, en arrivant à la gare Saint-Lazare, je venais de ma journée de travail dans le Lycée Saint-Exupéry, à Mantes la Jolie, et je traverse la rue pour aller faire les courses du pain à la boulangerie PAUL, je fais la queue et une des jeunes vendeuses s’écrie : »Madame Gazmuri !

Je suis étonnée, surprise d’entendre mon nom

vous ne me reconnaissez pas ?

J’ai été votre élève en Terminal !

Ah oui, mais comment est-il possible, tu te rappelles de moi ?

Cela fait des années déjà !

« Mais madame, à vous, on ne peut pas vous oublier, c’est grâce à vous que j’ai décidé de devenir professeur, j’ai réussi ma maîtrise et maintenant, je commence mon doctorat. »

Vous nous avez enseigné à aimer la littérature.

C’est tout ce que je tenais à vous dire ce dimanche.

Il n’y aura jamais aucun employeur, aucun bailleur ou quiconque voudrait vous détruire ; personne ne sera capable de vous amoindrir si vous avez donné de l’importance aux mots.

Il n’y aura aucun politicard capable de vous tromper si vous savez parler, et pour savoir écrire et parler, il faut avoir étudié.

Bon dimanche

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Professeur d’espagnol, artiste peintre et poète.

Bac+ huit

Retraite : 1000 €

 

 

LE BAILLEUR VILOGIA ET LA FABLE DU RENARD ET LA CIGOGNE

7 septembre, 2024 (20:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

VILOGIA

 

 

 

FAIT SEMBLANT D’AIDER L’ADOLESCENT HANDICAPÉ

LUI PROPOSANT UN STUDIO « GRATUIT »

Le temps que l’ascenseur soit un jour réparé, mais, tout comme la fable de la Fontaine, l’accès audit studio a des marches d’escaliers que l’adolescent dans un lourd fauteuil roulant ne peut pas franchir.

Moi qui suis aussi victime de ce bailleur criminel, j’ai écrit un livre qui peut être considéré comme une fable, mais la mienne, à différence de celle-ci, elle n’a pas un seul élément d’idéalisme.

Je l’ai intitulée 

CONSTANZA ET LES SERPENTS

 

 

Faire subir des préjudices de santé aux locataires handicapés sans remédier le dégât avec un caractère d’urgence absolue et ipso facto est un délit pénal.

Tout problème de dégâts dans l’immeuble est de l’unique responsabilité du « bailleur social »

VILOGIA porte préjudice à une personne handicapée et vulnérable, donc il devrait répondre devant la justice et il devrait, dans une France idéale, être puni et le surveillé, parce que VILOGIA emploie des méthodes administratives et d’escroquerie flagrantes, avec des  fausses factures  de dépassement des charges et en augmentant à sa guise le loyer qui est fixé annuellement par l’État.

Si VILOGIA croit qu’elle va m’amoindrir, elle se trompe.

Je lui ai écrit clairement de stopper son « LOYER YO-YO! »

 

La Caf reste inactive, car elle n’est pas un organisme décideur, mais un organisme payeur par ordre de l’État, nonobstant, elle reçoit mes lettres et je la tiens bien au courant.

La Caf ne peut intervenir entre les litiges entre bailleurs et locataires, mais elle peut suspendre l’APL aux locataires fraudeurs.

 

Il va falloir que la loi de l’entonnoir prenne fin et que les bailleurs sociaux criminels passent à la trappe tout comme les locataires mauvais payeurs !

La liste de délits de ce bailleur est longue.

 

 

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Mon message à la famille de l’adolescent handicapé victime de VILOGIA

Vous devez aller en référé.

En 48h votre problème sera résolu.

 

DÉBLOQUER UN LOCATAIRE HANDICAPE ENFERME DANS SON LOGEMENT FAUTE D’ASCENSEUR

Le 20 avril 2024

DEBLOQUER UN LOCATAIRE HANDICAPE ENFERME DANS SON LOGEMENT FAUTE D'ASCENCEUR
Un locataire atteint de handicap privé d’ascenseur Obtient en urgence la possibilité de sortir de son appartement grâce à l’action du cabinet GIRAUD WABANT en procédure d’urgence en moins d’un mois au nom des libertés fondamentales

Le cabinet GIRAUD WABANT (sarl AAGW) a été contacté par un locataire à mobilité réduite se déplaçant uniquement en fauteuil, bloqué dans son appartement suite à la mise hors service de l’ascenseur de la résidence. Ses démarches amiables n’avaient donné aucun résultat et la situation devenait urgente et insupportable.

Le client souhaitait une solution urgente d’autant que cela l’empêchait de suivre séances de soins indispensables.

Par conséquent, nous lui avons proposé d’agir en urgence par une action judiciaire en référé d’heure à heure (procédure d’urgence exceptionnelle la plus rapide).

En 10 jours nous avons obtenu une audience et avons plaidé le 25 mars 2024.

Nous avons innové en ne demandant pas seulement réparation du préjudice mais obligation pour le bailleur de mettre en œuvre une solution alternative pour permettre au client d’entrer et sortir de son appartement au moins 4 fois par semaine.

Cette « innovation » juridique qui privilégie la dignité et la liberté du client plutôt qu’une simple indemnisation a été couronnée de succès.

Le tribunal a condamné le bailleur et la copropriété à verser 600€ par semaine à notre client pour lui permettre de faire intervenir un ambulancier 4 fois par semaine afin de l’aider à sortir du logement.

Cette condamnation courra jusqu’à ce que l’ascenseur soit remis en service.

Si vous vous trouvez dans une situation inextricable comme celle de notre client et que vos interlocuteurs ne vous répondent pas, il y a peut-être une solution.

La SARL AAGW GIRAUD WABANT et ses collaborateurs rechercheront avec vous une solution et sauront faire preuve d’imagination avec toutes leurs compétences pour allier rapidité et efficacité à votre service 

_______________________________________________________________________________________________
J’ai trouvé cette annonce d’un Cabinet d’Avocats qui traite des abus des bailleurs criminels qui violent la loi.
Les locataires handicapés et avec solvabilité sont obligés à prendre des mesures d’urgence.

Le voici pour ceux qui ont de l’argent et de la motivation pour punir ces mafieux.

Moi, je n’ai ni l’un ni l’autre.

Bon weekend.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

VILOGIA LE BAILLEUR OU JE SURVIS – HLM POURRI- VIENT D’ÊTRE DENONCÉ PAR BFMTV!

7 septembre, 2024 (09:09) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

IL FAUT LES PULVÉRISER

AVEC DU VIPERYL!

 

POUR INVENTER DES EXCUSES ELLES SONT  EXPERTES!!!

 

 

Lyon: un jeune homme tétraplégique bloqué dans son appartement depuis trois mois à cause d’une panne d’ascenseur

BAILLEUR SOCIAL VILOGIA!

Robin Le Cornec avec Sylvain Allemand

Zakaria, 20 ans, est un jeune homme tétraplégique qui est aujourd’hui bloqué dans son appartement à cause d’une panne d’ascenseur liée à un acte de vandalisme

En cette période de Jeux paralympiques, la question de l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite se pose de nouveau. Zakaria, un jeune homme de 20 ans tétraplégique, est aujourd’hui bloqué dans son appartement du 8e étage d’une résidence lyonnaise. Depuis trois mois, l’ascenseur est en panne à cause d’un acte de vandalisme.

Une situation très difficile à vivre pour le jeune homme. « C’est hyper compliqué pour moi, c’est vraiment dur, c’est affreux », déplore Zakaria, auprès de BFMTV. Pour la mère de Zakaria, voir son fils coupé du monde est un véritable crève-cœur. « On ne peut pas aller à l’hôpital de jour, même les activités comme le handisport, il ne peut pas y aller », regrette Ghania.

« On ne sait pas ce qu’on peut faire »

Depuis que la famille a emménagé dans l’immeuble en 2022, l’ascenseur a été plusieurs fois en panne. « Zakaria d’habitude, il bouge, il est autonome. Là, on ne sait pas ce qu’on peut faire, vraiment, on demande de l’aide”, déclare, Mohamed, le père du jeune homme.

Face à cette situation, la famille a alerté plusieurs fois le gestionnaire de l’immeuble. Vilogia annonce avoir lancé les démarches de réparation, mais n’a aucun renseignement sur les délais de remise en service.

Robin Le Cornec avec Sylvain Allemand

 

 

 

 

VILOGIA LE BAILLEUR CRIMINEL

où je survis persécutée par lui

depuis 2021

date de mon arrivée à Poissy

VIENT D’ÊTRE SIGNALÉ COMME

BAILLEUR FRAUDEUR

CHEZ BFMTV !

AVIS A LA CAF !!!!

J’EXULTE!!!!!

Chers Lecteurs,

Avez-vous vu la nouvelle à la télé en ce moment même ?!

Dans mon article précédent j’ai écrit et dénoncé VILOGIA comme un bailleur social criminel.

Une famille a fait un scandale très bien programmé, cette famille est désabusée d’une manière honteuse par VILOGIA contre un de leurs fils qui est handicapé.

C’est BFMTV qui a filmé un excellent reportage.

Cette société d’HLM financée par l’État, se permet tout type d’abus en toute impunité.

L’immeuble de la famille en question reste sans ascenseur depuis trois mois et un jeune garçon tétraplégique en fauteuil roulant est confiné chez lui depuis 3 mois sans pouvoir sortir.

Cette société criminelle doit être punie et ce sera la seule forme de procédure pour que ces gérantes mettent un terme à leurs abus.

Je ne vais pas me répéter sur tout ce qu’ils font pour me rendre la vie impossible.

En tant que pédagogue, je ne répète le discours que quand les personnes n’ont pas compris, mais dans le cas de ma dénonciation, ELLES ont été bien averties de leurs délits à mon encontre par LRAR, et elles sont bien au courant, alors, c’est aux médias maintenant d’agir.

Oui, c’est mieux faire appel aux médias que se battre au tribunal.

Je leur ai déjà dit que je ne ferai RIEN devant la justice.

Je ne dépenserai plus un seul centime et je n’ai pas à me fatiguer et à abîmer ma santé par la faute des SERPENTS !

Ce sont les médias les seuls à faire le travail que la justice n’en fait point.

Aux journalistes, venez voir les abus de VILOGIA à Poissy

Vous en serez comblés.

Les gens disent à juste titre :

« La roue tourne… »

Oui, voyez-vous, chers Lecteurs ?

Croyez-moi quand j’écris des dénonciations et que je mets en garde les gens des délits.

Je dis toujours la vérité et rien que la vérité.

Ce matin, j’exulte !!!

VILOGIA EST DÉNONCÉE PUBLIQUEMENT COMME UN BAILLEUR HLM CRIMINEL !!!

Bonne journée à tous

La mienne est rayonnante !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

73 ANS ET IL TRAVAILLE?!

6 septembre, 2024 (17:10) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

COUVERTURE DU LIVRE D’ANDRÉ LHOTE: DE LA PALETTE A L’ÉCRITOIRE

 

73 ANS ET IL TRAVAILLE ?!

ALORS A MES 70 ANS

JE SUIS UNE ADO !

J’ignore pourquoi les femmes me traitent de « vieille»

Il va falloir que je profite de mon « adolescence » non reconnue !

Chers Lecteurs,

« On marche sur la tête » ici en France.

Hier, le Premier ministre a été nommé.

Il est âgé de 73 ans.

D’aucuns parlent de lui louant ses compétences, son caractère, ses succès répétés tout au long de sa longue carrière.

Qui pourrait en douter !

Ce qui a retenu toute mon attention, c’est son âge, les journalistes n’ont pas cessé de le remarquer.

Alors, une question publique s’impose.

Pourquoi moi, qui a eu 70 ans le 25 janvier dernier, les « femmes » me traitent de « vieille ? ».

Et, pourquoi, à mes tout neufs  60 ans, juste quand le « Docteur Traître-Tant » m’a assassiné Maman en octobre 2013, lui refusant les soins, une fois que je l’avais mise en terre, j’ai dû commencer le jugement Pénal et je me suis présentée devant le Rectorat pour être réintégrée comme Professeur d’espagnol, et ces « femmes — fonctionnaires » me traitèrent indirectement de VIEILLE ?

Me disant que je devais prendre ma retraite, et que je n’étais pas « prioritaire » ?

Alors, je leur ai posté le résultat de mon SCANNER CÉRÉBRAL, parce que la seule raison juridiquement valable pour qu’une administration ose proposer une entrée en EHPAD, les pires institutions pour des pauvres vieux grabataires délaissés criminellement par leurs enfants, est qu’ils souffrent d’une maladie cérébrale qui les empêche d’être autonomes.

Bien, mon rapport de scanner cérébral qui dit que mon cerveau est en parfait état et en parfaite performance n’a pas servi non plus pour être recrutée au Rectorat ni pour convaincre les SERPENTS de la Caisse de retraite.

Tant pis, me suis, dis-je…

Enfin, elles ont fini par se calmer, je ne reçois plus de ses gentilles propositions, car si cela arrivait à se reproduire, je leur enverrais un nouvel rapport de mon nouveau scanner cérébral, conjointement aux résultats d’une prise de sang, ils sont les seuls indicateurs sur la santé d’une personne et non « les commérages » mesdames, messieurs.

Ces indicateurs sont cruciaux pour toute personne qui est « âgée » et susceptible d’être jugée par le pays qui est l’exemple de liberté, égalité et fraternité !

Alors que le Premier ministre à ces 73 ans est nommé sur un poste de la plus haute importance pour l’État français !

Il va falloir qu’on me l’explique.

La loi de l’entonnoir ?

La Caisse de retraite m’a envoyé à maintes reprises des propositions d’entrer en EHPAD !!!

Je n’avais que 65 ans.

Une fois je leur ai adressé une réponse toute particulière. Ensuite j’ai déchiré les lettres.

La variabilité du jugement est conditionné par quels critères ?

L’age d’une personne est jugé selon son compte bancaire ?

Si c’est ainsi, ces SERPENTS auraient dû me trouver vieille dès mon arrivée en France, je n’avais que 26 ans à mon premier voyage, parce que la vérité qu’il faut connaître est que mon appauvrissement commença ici en France.

Afin de finir cet article, et parce que je sais que je suis lue par tous les Serpents, je l’opportunité unique d’être lue, ce Blog est bien meilleur qu’un réseau social, car c’est moi la seule créatrice et celle qui écrit.

(J’ai aussi un excellent gérant, qui le gère et le protège de tout possible piratage, alors, prenez en garde !)

Mon dernier bilan de santé, je m’en ai fait un en été et je le renouvelle annuellement, est PARFAIT.

Je n’ai jamais été cardiaque.

Mon cholestérol LDL est au plus bas.

Je n’ai pas d’hypertension, bien au contraire, ma tension a tendance à être très basse. Le café m’aide beaucoup.

Je ne prends aucun médicament.

Satisfaites ?

Oui ?

J’en doute !

Et, j’oubliais, chez moi se confirme la théorie intellectuelle de notre meilleur écrivain français, Philippe Sollers, il a dit que l’intellectuel fait du sport avec son cerveau, plus il s’entraîne, plus performant il devient.

Je le confirme au jour le jour dès que je me mets à mon écritoire ou devant mon chevalet.

Voyez-vous ?

Vous pouvez essayer seulement de continuer à ramper par les bureaux grisâtres de votre administration.

Ce dont les SERPENTS sont des expertes par leur nature, elles rampent…

Vous ne m’aurez jamais à votre disposition.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

 

DEUX SCANDALES D’ÉTAT

6 septembre, 2024 (10:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

DEUX SCANDALES D’ÉTAT

« […]L’État est toujours incompétent en matière d’art »

Daniel-Henry KAHNWEILER

La pratique d’activités, notamment culturelles, est bénéfique pour les fonctions cognitives et la mémoire. C’est pourquoi le 19 septembre 2024, de 10h à 11h30, l’Agirc-Arrco vous invite à suivre une conférence en ligne intitulée « Stimuler sa mémoire à travers l’Art » centrée sur Léonard de Vinci.

PREMIER SCANDALE D’ÉTAT :

 

 

 

LA PEINTURE N’EST PAS UNE THÉRAPIE.

 

 

 

Chers Lecteurs,

Je viens de recevoir de la Caisse de retraite complémentaire

(qui me verse 80 €!!!!), une « invitation » mandatée par l’État, de m’inscrire dans des ateliers qui selon l’État servent pour activer et entretenir la mémoire « des vieux ».

Tout d’abord, il faut établir le barème, à partir de quel âge est-on VIEUX en France?

C’est une question à laquelle vous devriez être en mesure de répondre.

Laissons las femmes à la marge, car leurs avis fluctuent selon leurs complexes, une grande partie fort complexée, se considèrent « vieilles » à partir de ma ménopause qu’elles vivent très mal.

(Quand il devrait être le contraire!)

C’est logique, elles ont eu une jeunesse saccagée des fêtes, alcool, hormones, IVG et tous les adjuvants qui les ont rendues libres, maîtres de leur corps et graduées des plus hauts doctorats de « féminisme».

Il va de soi que tous ces excès ne peuvent qu’abîmer leurs corps et leurs visages, et qu’elles se voient laides et usées avant l’arrivée de la véritable vieillesse.

L’avis de médecins sérieux, la génétique et la forme de vie qui va dès la naissance à l’âge adulte, contribuera à la performance ou à la dégradation personnelle d’un corps, mais les médecins ont tout de même une réponse qui fait consensus, les 75 ou 76 ans, sont le signal qu’indique l’entrée dans ce qu’on nomme : la vieillesse.

Nous sommes le corpus d’un contexte génétique, de notre alimentation d’enfance, de notre environnement dans lequel nous nous sommes formés et grandis, et des mesures de santé adéquates ou nocives pratiquées durant notre vie d’adultes.

Les starlettes n’ont fait que brouiller les barèmes, faisant un ridicule mondial absolument majuscule, dans une attitude contradictoire, qu’il faut constater, parce qu’elles font croire ou bien à la jeunesse éternelle, s’exposant à leurs 71 ans bien passés où les signes de la vieillesse sont bien nets, ou bien en s’exposant avec des kilos en trop et de rides ineffaçables avec leur botox, déclarant qu’ils sont beaux et le signe d’avoir bien vécu.

Si pour elles l’obésité est belle et un visage ridé mérite des louanges, sachez que ce baromètre n’est pas le mien.

Il n’y a rien de plus répugnant qu’une femme obèse et ridée.

Je n’accepte l’exposition du passage criminel du temps que comme réflexion métaphysique faite peinture : les autoportraits de Rembrandt, parce que c’est de l’art suprême, dans la réalité humaine, la dégradation du corps et de l’esprit est un crime de la nature qui est imposé à l’être humain et qu’il doit assumer comme pressage de sa mort.

Bref, ce liminaire fait, passons à la critique du premier scandale d’État.

L’ART PICTURAL UTILISÉ À DES FINS THÉRAPEUTIQUES !

Selon l’État et ceux sui vivent à leur crochet, ces fonctionnaires qui appliquent leurs ordres, sans savoir rien de ce que l’Art veut dire, et moins encore de ce qu’est la PEINTURE, pensent, si à cet exercice exigeant qu’est la pensée, l’exercice de la raison était leur domaine de compétence.

Tout d’abord, il faudrait leur faire savoir que l’art véritable en général, et la peinture en particulier, n’est ni une thérapie ni un passe-temps, pour que les « vieux » exercent leur mémoire.

Cette fonction utilitaire de l’Art qui N’EXISTE POINT, c’est l’État qui l’a créé, l’Art ne remplit en aucun cas aucune mission de « bien-être » ni de thérapie.

J’ai été scandalisée et effondrée à la réception de cette invitation.

J’aurais voulu leur répondre, mais bien malines qu’elles sont, le mail dit : « ne répondez pas à ce message ».

Elles se sont sauvées d’un de mes mails incendiaires !

Si l’État pensait réellement que l’Art doit être compris et pratiqué par les vieux, pour entretenir un « bien-être », alors, moi qui suis une artiste peintre d’excellence, l’État devrait m’augmenter le pourboire de retraite, et mieux encore, au regard de mes mérites picturaux, il devrait de manière spontanée, par un jugement esthétique qui lui fait grave défaut, me verser une mensualité d’au moins 2000 €, pour pouvoir m’acheter tout le matériel de peinture dont j’ai besoin pour réaliser tous mes projets picturaux que j’ai en croquis et que le manque d’argent m’empêche de mener à bien.

Je crois avoir dit l’essentiel.

Qu’ils se gardent leurs ateliers de pacotille.

DEUXIÈME SCANDALE D’ÉTAT.

Rentrée scolaire : le scandale des contractuels peu formés envoyés en banlieue

En panne de titulaires, les académies de Créteil et de Versailles recrutent des contractuels peu formés, alimentant la spirale du déclin. Histoire d’un désamour.

Par Erwan Seznec

Publié le 03/09/2024 à 18h30, mis à jour le 04/09/2024 à 18h20

Je vous ai parlé à maintes reprises des facteurs qui sont les responsables de l’ignorance nationale, de l’échec scolaire, du manque d’esprit critique ; tout ce conglomérat de défaillances ont une raison d’être et il y a des responsables ce vice et faute grave dont l’État est le garant de cette catastrophe nationale, elle s’est installée depuis des décennies, il ne sera pas possible d’en mettre un terme.

Pourquoi ?

Parce qu’il y a une mafia interne qui siège au ministère de l’éducation nationale, elle est cachée, sans nom, il ne s’agit pas ni de changer de gouvernement ni de changer de programme politique, cette mafia est « invisible », elle gère dans les plus profondes strates de ce ministère, et incompétents qu’ils sont, ils s’opposeront toujours à qu’un changement radical ne vienne assainir les usages aberrants qui produisent la dégradation absolument scandaleuse du système scolaire français.

Quand j’étais jeune professeur exerçant sur des postes des lycées, avec mes missions de former les classes de terminales littéraires, et qui devaient réussir leur Bac espagnol, aucun de mes élèves ne fut recalé.

J’eus des félicitations des parents. Des élèves d’autres classes venaient à mes cours, parce qu’ils savaient que je formais très bien pour les prépa-bac.

Ceci était insupportable pour les inspecteurs.

En plus, j’appartenais au COLLECTIF DE NON-TITULAIRES

Nous luttions à l’époque pour l’éradication des concours, et plaidions pour la titularisation après trois années d’exercice avec succès.

La mafia de l’Éducation Nationale nous a fait une telle quantité des misères que finalement les collègues laissèrent tomber, il faut un caractère rude comme le mien, et éduquée par un père combatif comme le mien,  pour ne pas claudiquer et faire face aux mafieux.

Me collègues ne l’étaient point et je ne pouvais pas poursuivreune lutte en solitaire.

Ils veulent faire l’Europe ?

Grande contradiction.

Au Royaume-Uni, les élèves notent leurs professeurs. Au bout de trois ans d’exercice réussi, les professeurs sont titularisés.

En France, le CAPES en espagnol est une honte.

Les inspecteurs, français qui ont appris l’espagnol et très mal, ils sont les « fonctionnaires de l’interdit » (Giorgio Manganelli) leurs complexes d’infériorité les accablent et haïssent un professeur qui leur fait face et qui ne s’amoindrit pas intellectuellement.

Est-il intelligent de demander à un professeur de s’amoindrir ?

C’est ce que me conseillèrent certains proviseurs.

Je leur ai répondu :

Monsieur le Proviseur, j’ai été formée pour donner un savoir, ma mission commence et s’arrête-la.

Si je ne fais pas preuve de compétence, alors que fais-je devant mes élèves ?

Je ne suis pas une modératrice de télé, je suis celle qui a poursuivi cinq années d’études universitaires de pédagogie en espagnol. Ensuite, je poursuivis, par obligation, des études supérieures en Sorbonne, maîtrise et DEA.

AVANT

Avant cette période sinistre où l’Éducation Nationale est au dernier cercle de l’enfer, avant, à mon époque, aucune étrangère n’était habilitée ADMINISTRATIVEMENT ni autorisée pour exercer en France sans faire les équivalences et faire des études supérieures en Sorbonne pour obtenir des diplômes français. Après mon Bac, et plus huit années d’études, croyez-vous, sérieusement, que je vais accepter qu’un fonctionnaire de pacotille et ignorant vienne me crier et insulter gratuitement et de manière préméditée pour me punir, car il a constaté ma supériorité intellectuelle, ma réussite auprès de tous les élèves ?

LES INSPECTEURS D’ESPAGNOL SONT DES CRIMINELS EN PUISSANCE.

Récemment, à Nice, j’ai l’article de presse, un de ces inspecteurs d’espagnol avec sa méthode criminelle a fait qu’une jeune collègue professeur d’espagnol se SUICIDE !!!

La pression de ce type criminel a été à tel point mortifère, critiquant cette jeune collègue, elle se croyait à tort nulle, décida de se donner la mort.

Si j’avais été dans sa ville et dans son établissement, je l’aurais prise en charge pour lui donner des cours de résistance, car je ne peux doute de son savoir, ce que lui a critiqué ce criminel d’inspecteur est sa façon d’enseigner.

Elle était une jeune professeur d’espagnol, mariée et mère de deux enfants !

Des crimes comme celui-ci se produit à répétition, mais personne n’en parle, c’est l’omerta.

Il faut que vous sachiez que ces crimes se produisent à répétition seulement dans la discipline la plus défavorisée en France : l’espagnol.

Pourquoi ?

Parce que c’est une deuxième langue que les élèves ne choisissent pas de bon gré.

Parce que les inspecteurs sont les plus méprisés par leurs collègues des autres disciplines « bien vues » comme la philo, le français et les maths.

Je doute que cette avalanche de suicides se produise dans ces autres disciplines.

L’espagnol, classé comme discipline dite mineure, sans presque aucune importance pour « la moyenne », si l’élève a choisi l’espagnol au lieu de l’allemand qui est en hausse, ces fonctionnaires médiocres ont choisi de se faire valoir par la terreur.

Ils se sont trouvés face à un bloc de béton devant moi. Ils se trouvèrent avec une femme professeur, sûre de sa compétence. J’étais indestructible. Alors, le seul moyen de me détruire était de me refuser la titularisation administrative et de me noter avec un ZÉRO au concours et à l’inspection et en me criant que « je me croyais en Sorbonne devant mes élèves. » 

« Vous vous croyez en Sorbonne ici ?! »

Il s’écria le criminel sadique, étouffé de rage.

Non, je lui ai répondu calmement.

« Non Monsieur l’inspecteur, je me crois en pré-universitaire tout simplement, et mes élèves sont bien formés et ils vont réussir leur bac.

Ledit inspecteur, en me criant de la sorte, il se faisait son autoportrait et faisait l’étalage des complexes réels ; il était un type très connu et téméraire au sein des inspecteurs d’espagnol parisiens.

J’espère qu’il est déjà bien mort ou en EHPAD !

Je m’opposais aux concours et j’étais une des plus ferventes militantes. Mais avant ce criminel, j’avais eu une inspection avec une inspectrice ESPAGNOLE.

Elle était scandalisée de me voir dans un état d’infériorité administrative et avec des compétences pédagogiques manifestes. Assez indignée, elle m’a dit :

« Comment est-il possible que seule avec votre mère, vous ne changiez pas de statut ?! Mais qu’est-ce que vous nous faites ?! »

« Vous allez vous inscrire au concours tout de suite, les inscriptions sont encore ouvertes, vous aurez votre CAPES immédiatement ».

Je lui ai obéi.

Mais… l’inspecteur français, m’a mis un ZÉRO et avec une inspection lapidaire, je ne pouvais pas obtenir la titularisation et tout fut programmé pour que se présente une fin de carrière misérable, la retraite de 1000 € que je reçois et qui ne me donne qu’une vie de misère ad vitam æternam.

À moins que je trouve un autre Kahnweiler.

Mes collègues ont fait un tollé et mes élèves firent grève !!!

Le Proviseur a demandé mon dossier.

Ahuri du résultat de son professeur qu’il appréciait par ses résultats.

Mais, l’inspecteur est arrivé à sa convocation avec mon dossier VIDE !

La mafia de l’Éducation nationale, section espagnole, a jeté mon dossier à la poubelle.

Afin que je me voie interdite de leur faire un procès administratif. Après avoir consulté des avocats, aucun n’aurait voulu prendre mon dossier sans preuves, et de surcroît, ils ont été unanimes :

« Madame, entamer un procès à l’État français, c’est le perdre d’avance, l’État a toujours raison, même s’il a tort. Je ne fais pas de procès à l’État, nous les perdons tous »

Pour que l’échec scolaire prenne fin, il n’y a qu’une seule mesure à prendre : Créer un double cursus universitaire de pédagogie, égal à celui que j’eus dans ma jeunesse, dans mon pays natal, pays du « tiers monde » à l’époque » mais qui formait des professeurs de secondaire d’excellence, grâce à ce cursus et tous nos professeurs universitaires étaient de Docteurs formés dans des universités européennes.

Le peintre Hernán GAZMURI fut le fondateur de l’Institut de Pédagogie attaché à l’U.T.E. Université Technique d’État (Université de Santiago)

Mon père fonda cet institut de Pédagogie en 1942, il y avait trois chaires universitaires, d’Histoire de l’Art, dessin et peinture. Il n’avait pris sa retraite qu’en 1972, à ses 72 ans.

C’est dans cette Université où je me suis formée comme professeur.

Avec cette formation d’excellence, je ne pouvais pas imaginer que j’éveillerais automatiquement un tsunami de détestation et de jalousie parmi les « inspecteurs d’espagnol !

Croyez-vous que j’allais trembler devant des assassins ?

Le double cursus de formation de professeurs doit avoir une durée de cinq ans, et la dernière année, se fait la pratique observée par le même directeur de thèse et ces cinq années sont couronnés par le diplôme d’État qui titularise à vie le professeur pour exercer au sein des lycées. Les concours n’existent point.

Cette méthode de formation et de titularisation ne sera jamais acceptée en France, où la formation double n’existe pas, et où le programme de formation pédagogique est inexistant.

Croire que l’on peut former un professeur dans trois ans et qu’il pourra exercer avec une simple licence est une aberration française.

Maintenant les jeunes qui ont compris de quoi est faite l’administration éducationnelle en France… Ils la fuient !

Ils obtiendront des postes sûrs et bien payés avec une simple licence de trois années.

L’article paru dans Le Point décrit ce nouveau scandale au sein de l’Éducation Nationale, les rectorats recrutent des parfaits ignorants sans aucune connaissance des matières principales à enseigner et des ignares attitrés en matière pédagogique.

La catastrophe sera abyssale.

Qui restent en train de nager dans leur marécage.

C’est moi, maintenant qui me moque d’eux éperdument.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

 

 

 

TRIPTYQUE VILLE DÉTRUITE

5 septembre, 2024 (21:15) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

À LA DEMANDE DE MES LECTEURS, JE PUBLIE UNE SECONDE FOIS LES TOILES QUE J’AI PEINTES IL Y A QUELQUES MOIS.

Merci pour votre aimable intérêt.

 

 

VILLE DÉTRUITE

 

TERRE D’OMBRE ET DE BÉTON CALCINÉ

 

 

 

DÉSOLATION ET SILENCE                                                                                                                

LOTUS – MON OUBLI SÉLECTIF- LÉTHÉ

5 septembre, 2024 (08:01) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LOTUS

MON OUBLI SÉLECTIF

LÉTHÉ

« […] Sans pour autant retomber dans le mémorialisme de l’ancienne science, elles doivent donc continuer de pactiser avec la mémoire. Mais elles doivent également (Sciences humaines et sociales) suivre la marche du temps, elles sont donc soumises aux règles et aux jeux de langage de l’oblivionnisme scientifique.

Malgré la loi de non-contradiction, tout art est ici de concilier l’un et l’autre.

Pour y parvenir, il faut – en un polythéisme mesuré-sacrifier sur les autels deux divinités : Mnémosyne et Léthé »

LÉTHE

Harald Weinrich

Chers Lecteurs,

Ce matin je vais vous raconter une histoire, celle de mon « oubli sélectif. »

Je pense, et du plus loin que je m’en souvienne, qu’il a commencé dans mon enfance.

L’école et ensuite le lycée public, sauf les trois dernières années de préparation pour le baccalauréat furent pour moi une torture.

Mes trois dernières années de secondaire, de préparation pour le baccalauréat, trois dernières années qui sont de par le monde, le cursus de la plus haute importance pour entrer à l’université, je les ai poursuivis dans un lycée privé où les élèves étaient des aristocrates, enfin j’allais au lycée contente, j’avais des camarades et mon cursus fut riche et « inoubliable » par la qualité d’excellence des professeurs, tous des professeurs docteurs de faculté, qui étaient universitaires et non des professeurs de secondaire. Mes parents, déjà dépouillés des idées romantiques, se rendirent compte que la seule forme de me protéger du harcèlement scolaire était de me faire passer les trois dernières années de secondaire dans un lycée privé. Pendant mon cursus primaire et la moitié du secondaire, aller à l’école était une véritable torture.

Maman recevait des appels récurrents lui disant que j’étais d’une conduite irréprochable, à mon époque, nous avions une note de « conduite », j’étais toujours la meilleure élève, mais en ce qui concerne mon attention aux cours ennuyeux, j’avais une faculté d’absence volontaire que les professeurs pour plus imbéciles qu’ils étaient, étaient en capacité d’évaluer : « Carmen est toujours dans la lune et regarde par la fenêtre et elle ne nous écoute pas »

Alors Maman devait se rendre à l’école pour m’excuser.

Les réprimandes ne changèrent rien : je continuais à regarder par la fenêtre et à ne pas les écouter.

Avec l’analyse de la femme en fin de parcours existentiel que je suis, je peux finalement évaluer rétrospectivement, deux éléments, ma capacité d’oubli sélectif et volontaire et ma profonde capacité de défense à une des plus graves acérerions de l’esprit : l’ennui.

George Steiner développe ce vice si répandu chez les professeurs qu’il qualifie de « criminel », il s’agit des professeurs criminels insérés dans un système d’enseignement criminel.

C’est pourquoi, George Steiner fut, il l’est et le restera, mon maître à penser de privilège. Maître de lecture et commentateur des textes, il m’a procuré des leçons plus profondespour préparer mes deux travaux de thèses universitaires. Sans ses œuvres, je n’aurais pas pu arriver à deux rédactions de valeur.

Cette habileté de défense et d’oubli sélectif et volontaire devrait être reconnus et analysées au même titre qui l’est pour les scientifiques la « mémoire sélective », chez les vieux qui sont atteints des maladies du cerveau, ce serait de prendre le problème à l’envers, mais chez des personnes en parfaite santé mentale.

Plus tard, dans mon adolescence, quand des agressions extérieures arrivaient perturber mon équilibre, mes capacités se renforcèrent grâce aux sages conseils de Maman, elle me disait toujours : « Oublie ma petite, ne pense jamais à la vengeance, cela te détruit, que les méchants restent isolés, défends-toi toujours, oublie-les ! »

Alors, j’obéis aux conseils de Maman.

J’ai cultivé plus profondément, avec des nouvelles performances dues à l’âge et à mon expérience, une capacité d’évasion, un détachement du réel, un effacement de mon espace des personnes nocives et l’oubli sélectif des épisodes sans valeur.

Je me disais je me baigne das le fleuve Léthé et je bois des infusions de lotus.

Et j’ai pu reconstruire ainsi, en douceur, une vie paisible ou je me sauvais d’être amoindrie par l’extérieur.

Une fois arrivée en France, ma vie changea de fond en comble.

Pour supporter les encombrements que la France me donnait genereusement, une personne m’a dit un jour :

« Tu n’écoutes pas, tu as la faculté de t’évader »

Elle avait vu juste.

Dès que quelque chose me heurte, je l’oublie, je n’écoute ni ne regarde…

J’ai aussi la compétence de me débarrasser de tout ce qui encombre la mémoire.

Je viens de jeter des sacs pleins de dossiers.

Tout ce qui encombre l’esprit, je le jette et je l’oublie.

La découverte d’un monde en décomposition, un système d’enseignement criminel et du plus bas niveau que même pas dans mon pays natal du tiers monde, je n’avais jamais connu, car l’enseignement en France est le pire qu’il n’existe de par le monde.

Le lieu où je devais exercer était dans un état de délabrement intellectuel par son système éducatif rempli de mafias, que mon désarroi m’a fait penser à fuir.

Le sol s’effondra sous mes pieds et mes efforts pour maintenir la tête haute, et regardant avec lucidité mon entourage et non en regardant par la fenêtre, comme jadis dans mes années d’enfance, cette France en putréfaction infesta la jeune pleine d’espoir qui arriva « conquérir Paris avec ses pommes » et avec un bagage de professeur d’espagnol confirmé, les « fonctionnaires de l’interdit » de l’Éducation National » ne pardonnent pas le savoir, les compétences et moins encore « l’orgueil intellectuel » dont parle Umberto Eco.

Ils décidèrent de me détruire.

Ils sont là pour exercer leur ignorance et la propager à la nation

Ils sont des ignares, ils sont complexés, asexués, des inspecteurs grisâtres et maladifs ; ils ont la mission de rependre leur propre incapacité, mission criminelle qui leur impose le ministère pour stopper toute tentative de développement d’esprit critique, il serait dangereux pour le pays, que de former des générations savantes et éclairées !

Les inspecteurs sont là pour créer de l’amnésie, contrôler, maintenir et entretenir le vide. Les professeurs sont des nullités confirmées par des concours inutiles qui n’évaluent en rien la compétence pédagogique qu’ils n’ont jamais reçue, ils reçoivent « des consignes de modérateurs ».

Et quand ils « savent » quelque chose, leur rôle est de propager les informations de Wikipédia, les professeurs français sont des transmetteurs robotisés ambulants avec des photocopies à l’appui.

C’est dans ce monde terrifiant que j’ai dû exercer pour gagner mon pain, et mon pain je l’ai très mal gagné, car l’Éducation Nationale m’a exploitée avec une animosité programmée par des individus des bas fonds.

Mais ils vont partir au dernier cercle de l’Enfer.

Des jeunes générations commencent leur petite révolution.

Après plus de quarante années passées dans mon « pays d’adoption », j’observe un timide changement mais catastrophique pour l’Éducation nationale.

J’exulte !!!!

Les jeunes ne veulent plus être des esclaves de l’État, ils se refusent à être payés de 1200 mensuels.

Que devrais-je dire préparée avec un Bac plus huit ?

Ils me doivent ma jeunesse, mon temps perdu, les fatigues des quatre heures de transport journalières pour arriver au lycée, pour toujours leur servir de remplaçante, sur des postes précaires, mal payés et qu’après une vie d’effort ne me donnent qu’une retraite misérable.

Tout cela devra un jour être puni.

La punition commence cette année.

Des élèves seront sans professeurs.

L’Éducation nationale est en train de recruter du personnel qui n’a aucune préparation en pédagogie pour les lancer face aux élèves.

Un excellent article fait le récit d’une hécatombe !

J’exulte !!!

Ils méprisèrent chez moi, le professeur d’excellence que j’étais et que je suis.

Un professeur d’excellence qui n’avait pas besoin de « formation », je suis arrivée avec un cursus de véritable pédagogue de cinq années de cursus inexistant en France, et leur jalousie et sadisme les a fait offenser et mépriser ce qui leur fait défaut.

Aucun jeune ne veut devenir professeur et ils sont très intelligents, parce qu’ils n’ont pas reçu ma formation et ils sont un produit français ! Et tout de même, ils sont capables de se rendre compte que l’État les utilise et qu’ils doivent se sauver de cet esclavage moderne, plus grave encore est le fait que cette dictature de l’esprit et abus salarial va à l’encontre de toute la réclame qui se fait la France d’être un pays de liberté, de justice et de fraternité.

Ce n’est surtout pas une publicité sémantique qui peut assurer le rayonnement (perdu) de la France, mais le résultat de son système scolaire.

C’est le niveau scolaire, le seul qui donne l’empreinte de l’état culturel d’un pays, c’est son système scolaire, c’est la formation solide des professeurs et des élèves le seul indicateur sur la santé intellectuelle d’un pays.

Ce délabrement éducationnel vicieux parce que prémédité, est celui qui a donné cette MAZAMORRA politique.

Il n’y aura plus des bons professeurs en France.

J’exulte. Vousserez les spectateurs de votre propre effondrement et votre nécrose cérébrale a déjà commencé !

Tandis que moi, celle qui vous vouliez détruire, pour que je n’enseigne plus, que je ne peigne plus, que privée de tout développement personnel et financier, je n’ai plus la force de vivre ni d’écrire… j’ai survécu !!!

La jeune pleine d’espoir qui arriva un jour d’hiver à Paris, et qui atterrit à Sèvres-Babylone… et, qu’après l’enchantement du plus beau quartier de Paris fut jetée de force dans le monde terrifiant de l’enseignement français, cette jeune idéaliste, resta aveuglée par une réalité marécageuse qui la força à se dépasser pour survivre.

Voyez-vous ? Je peux survivre grâce à mes bains répétés dans le fleuve Léthé et à mes boissons journalières de Lotus.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

MA CRITIQUE DU FILM SHOKUZAI – ICI PROCHAINEMENT

4 septembre, 2024 (10:05) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

PROCHAINE CRITIQUE DU FILME SHOKUZAI    ICI TRÈS PROCHAINEMENT

Chers Lecteurs,

Ma critique du film japonais SHOKUZAI est en écriture et je vous prie de m’attendre un peu, parce que je suis en train de faire une recherche

qui me prendra un peu de temps.

 

Vous savez déjà ce qui a écrit la critique française, le film est une Saga

Éblouissante

Émouvante

Virtuose.

Et les critiques vous ont raconté l’argument.

Pour ma part, je n’ai pas l’habitude de procéder ainsi et depuis mon plus jeune âge.

L’objectif n’est pas commercial ni de se faire un nom parmi l’avalanche de prétendants aux places de « figuration » de critiques de cinéma.

Il ne devrait pas l’être.

Mais le manque d’esprit critique des français qui ne l’ont pas non plus au sein de l’école, se déplace pareillement vers tous les autres domaines culturels.

Ce manque, on ne peut que leur imputer dans tous les autres domaines de la vie sociétale, la réception des films de l’étranger en est une et de taille.

L’objectif de toute critique, soit-elle des films ou des productions littéraires à niveau de réception d’un public non spécialiste, est de la faire sérieusement et sans  se soustraire à fournir des éléments cruciaux, sous prétexte que « le public » n’est pas connaisseur.

Et, les critiques de cinéma, n’essaieront jamais de développer chez les lecteurs des points de réflexion auxquels ils n’ont pas l’habitude d’y accéder.

Nous pensons le contraire, il faut contribuer à enrichir le champ de l’exégèse cinématographique et ce programme se fait de deux façons, ou bien en présentant une nouvelle perspective d’interprétation, ou bien en créant une « contre critique », un « contre-exposé », c’est la même procédure de tout commentateur de textes littéraires, le problème en France est que les critiques pensent à tort que l’exégèse d’un film doit rester sur une tonalité basée sur l’adjectivation spectaculaire, (déjà citée) avec une fin de réclame commerciale,  pour que le film soit vu du public, et de remplir un rôle de « compte rendu » du plus simplificateur.

Le problème s’accentue avec les films japonais qui sortent tous du cadre des films européens et cette particularité de nouveauté « originale »  prenons le mot qui fait référence à « leurs origines », est liée à la nouveauté cinématographique des cinéastes japonais qui lient à la perfection origines et nouveauté de technique et des procédures.

Cette  thématique est proprement japonaise, et dans tous leurs films, cette modalité de mise en scène est ancrée dans leur tradition de millénaires de bonne littérature.

Ce film est basé sur un roman, de MINATO KANAE.

J’ai parcouru les publications en date de 2014 et je n’ai pas trouvé de publication faisant l’analyse appropriée, je suis persuadée que la lecture du roman s’impose.

Je vous devais cette explication, car je vais lire le roman avant de rédiger ma critique du film que j’ai vu par deux fois, chacun de cinq épisodes.

Avant de fermer ce bref article je dois vous dire ceci : si par curiosité, vous lisez la critique, vous verrez qu’il y a de fausses comparaisons assommantes de contradiction, cela est un résultat de ‘l’ignorance de la littérature japonaise, les films japonais sont la création de cinéastes de grande culture, aucun d’entre eux ne s’est aventuré à la création des films sans un socle culturel solide, ils sont tous des universitaires de haut niveau, donc laisser sans étude, cette composante, c’est appauvrir l’exégèse,  la solution est d’extraire et de ne jamais lier un commentaire de film japonais sous la perspective la production des films japonais liée aux références culturelles occidentales, car le Japon n’en a aucune.

C’est une erreur qui touche l’absurde et l’impossibilité de toute articulation de « commentaire »  possible.

Il faut aller chercher, comme nous l’avons déjà dit, dans les plus anciennes traditions japonaises, leur richesse esthétique et leur message se trouve à notre portée pour l’étudier et il nous faut la découvrir, pour dire quelque chose de valeur.

Chers lecteurs, je vous dis donc à très bientôt.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak