CENSURE DICTATORIALE

            ET DÉLIRE DE PERSÉCUTION

Chers Lecteurs,

Des diatribes absurdes, au caractère de censure dictatoriale et qui ne reflètent que de l’égocentrisme et un délire de persécution déplacés ne cessent de nous envahir.

Je ne vois rien de censurable dans les déclarations de Matteo Salvini.

Indépendamment de son courant politique, qui pourrait éventuellement provoquer chez d’aucuns du refus d’ordre politique, cela c’est l’affaire personnelle de chacun qui le lit.

Je dois parler de la déclaration du vice-Président du Conseil de ministres italien Matteo Salvini qui vient de dire qu’il refuse que ses enfants aillent se battre en Ukraine.

Sa décision est tout d’abord une mesure d’intelligence, sensée et d’une modération adaptée à la situation, il a fait cette intervention bien adaptée en pleine recrudescence des discussions sur le conflit, non sans ajouter que si le Président de la France veut investir des soldats dans la guerre qu’il y aille lui-même ; je le redis, je ne vois rien d’offensant et j’y adhère totalement.

Sa pensée est exprimée poliment sans le moindre vocable déplacé.

Nous devons défendre notre droit à exprimer nos idées les plus catégoriques et nous opposer aux idées de nos adversaires de la manière la plus forte et intransigeante, mais  à condition de nous adresser à nos ennemis dans des termes de la plus franche courtoise

Je refuse, comme beaucoup de citoyens, toute participation dans le front ukrainien des européens dans une guerre qui n’est pas celle de l’Europe ni de la France.

J’ai dit.

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA