DEUX CONFLITS SÉPARÉS ?

Chers Lecteurs,

Un éminent député vient de dire qu’on ne ne peut pas comparer le conflit du « peuple élu pour tuer » (bien sûr qu’il ne l’a pas nommé ainsi)avec les palestiniens dont il avoue « l’excès »  dans la destruction de Gaza,  avec le conflit Iranien.

Tout de même…je me suis dit.

Je pense qu’un enfant de primaire comprendrait qu’il y a une justification absolue de cette détestation Iranienne, elle s’explique largement et facilement, puisque elle se confirme dès qu’un des peuples qui partage avec eux la même religion est attaqué, la réaction naturelle chez tous les peuples qui partagent une même lien soit-il ethnique, culturel et ou religieux; l’Iran est chiite, n’appartient pas entièrement à l’ethnie arabe, ils sont indo-européens, nonobstant, ils partagent des racines religieuses et culturelles, parce que l’Iran garde en soi une pluralité  ethnique, liés par l’Islam, ce éléments sont déterminants pour qu’ils restent liés et forcés à rester intimement soudés,  dans une défense partagée.

La vérité doit être dite, ce sanguinaire génocidaire qui dirige « le peuple élu pour tuer », doit toujours trouver des excuses pour se montrer en l’éternelle victime, le prix Nobel de victime devrait lui être décerné, ceci dit, et question très importante, c’est au regard de quiconque veut analyser cette situation de manière équitable, c’est cet énergumène celui qui apparaît comme seul  acteur de cette nouvelle guerre, elle est générée uniquement parce que ce forcené doit trouver une nouvelle raison pour rester au gouvernement. Les guerres, cette nouvelle guerre qu’il provoque obtient son but recherché, elle fait que son « peuple » reste uni, cela va de soi; et lui, inamovible au poste, il échappe à la justice. Et, le comble, il se dit le sauveur du monde qui avec son pouvoir guerrier et destructeur, il libère le monde des dictateurs !

Le plus grave dans cette affaire est le parrainage qu’il obtient, avec deux parrains les jeux sont faits; « le Papa ketchup » et l’appui européen lui sont très utiles, sans eux, qui lui fournissent armes et paroles diplomatiques, nous restons comme toujours, les spectateurs ahuris et  complètement démunis.

C’est tout de même effarant le désir pathologique et dévorant de sang de ce type !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEHDA