CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Escritos literarios – críticos, anuncios de nuevas publicaciones, libros editados. Artista-Pintora. Telas al óleo, gouaches y dibujos

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BANNISSEMENT EXTRAIT DU LIVRE-SCRIPT CLARA

4 Agosto, 2021 (06:54) | Non classé

       BANISSEMENT

 

Détrompez-vous, ce Livre-Script destiné à devenir un film, ne raconte pas mon « histoire personnelle » de l’assassinat de Maman, non, quand bien même je fais le récit de la mise à mort de Maman dans l’espace de sept jours, ce récit à une intention universelle.

La torture préméditée d’une personne âgée, souffrante, incapable de se défendre, qui es torturée par un faux médecin et ensuite aidé dans la mise à mort par ses confrères et amis, il est indubitablement un acte terroriste et sauvage perpétré avec l’intention de la faire souffrir et de lui donner la mort.

Est-cela possible en France ? Ce Script en donne la réponse.

Ce Script veut dire au monde la mise à mort sauvage de ces assassins sur le corps souffrant de Maman. Ce Script devra effectuer le banissement du « docteur Traître-Tant » que l’administration juridique française m’interdit depuis 2013 ; ce Livre-Script remplace ce droit qui me revient en toute justice, car ce crime abject contre CLARA reste impuni.

Ce Script est un banissement ABSTRAIT de l’assassin N°1 qui s’opposa à l’hospitaliser et laissa Maman souffrante en lui refusant les soins d’urgence, sachant pertinemment que sans opération chirurgicale, elle souffrirait une perforation suivie de l’hémorragie massive ; les étapes cliniques inéluctables d’un infarctus mésentérique. Non, ici il n’y a pas eu de « faute médicale ». Le « docteur Traître-Tant » aidé par son complice et confrère, l’assassin N°2, le docteur Z. Chef du Service du 5ème étage de l’hôpital D. qui soutenu et amplement aidé par son équipe médicale ; œuvrèrent pour finir d’achever Maman dans ces trois derniers jours d’agonie ; ils s’enfoncèrent sur elle comme des véritables sauvages terroristes. Ces trois jours d’agonie furent orchestrés par le chef de service Z., sans que personne n’entre dans sa chambre, sans d’autre témoin oculaire que moi-même… « Parole contre parole ? » Ô non ! Je possède toutes les preuves en l’espèce de leur culpabilité absolue, je suis en possession de toutes les preuves que Maman, contrairement à ce qui disent les mensonges de leurs rapports juridiques, CLARA était en bonne santé la veille de son infarctus.

Que dirent les avocats de ces 4 assassins ? ils affirmèrent que CLARA était depuis longtemps aphasique, anorexique, anémique, son corps remplit d’escarres, ils assurèrent que je leur ai confiés une Maman abîmée, et « en fin de vie ». Ces mensonges monstrueux, je les ai bannis avec mes preuves. Et, le Certificat médical ci- joint confirme non seulement ma parole de vérité, il  justifie mon accusation catégorique.

La meilleure preuve : la veille de son infarctus, nous étions dans la terrasse d’un café d’avenue de la République. Et de retour chez nous, elle mangea son repas comme tous les soirs.

Une fille sort sa Maman dans son « fauteuil coquille » pour faire une promenade et  restent à la vue de tous dans la terrasse d’un café si elle est « en fin de vie ? »

Ces Mensonges abjects, greffés à leur violation du serment de déontologie font preuve d’une méchanceté au degré extrême.

Ils traitèrent CLARA souffrante comme un déchet, privée d’assistance, or le lieu qui aurait dû lui être réservé était le bloc opératoire et le sommeil profond, au lieu de cela, ils la jetèrent dans le 5ème étage de médecine, où sur un lit froid et dur son corps commença sa nécrose jusqu’à la mort.

Ils nos réservèrent la chambre de la douleur, la douleur indicible d’une agonie sans le seul sédatif qui devait lui être administré : le « sommeil profond ».

Le lit était déjà un cercueil ouvert, face au rires obscènes de ce Chef de Service que la France a « formé » dans son Ecole de Médecine et, de surcroît, elle lui octroie des droits absolus pour diriger un service hospitalier.

Toute sorte de refus de soins sur une personne souffrante et sans défense est acte criminel, or sur une personne hors du commun comme l’était CLARA, il est insupportable, mais pour le comprendre, il faudrait savoir qui était cette créature CLARA, non, ce n’est pas parce qu’elle était ma mère, elle avait une partie d’elle-même qui ne m’appartenait point : son talent de pianiste ; son aura, son talent, sa beauté furent reconnus de tous ceux qui la connurent et qui l’approchèrent, CLARA fut une femme par essence musicienne, une pianiste hors pair.

 Ce crime impuni perpétré ici en France, sera connu de par le monde ; un crime doublement abject, car commis sur une créature sublime : CLARA.

Ce banissement fait Livre-Script leur persécutera par-delà la fin de temps et à toute leur descendance.

 

Prochaine publication et dépôt légal le 15 août 2021

[417 Pp.]

 

 

 

 

 

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