CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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JE SUIS ENTIÈREMENT D’ACCORD AVEC VOUS ! OUI VOUS AVEZ RAISON :  » C’EST DÉJÀ TROP TARD! »

22 novembre, 2025 (12:18) | Non classé

 

Cher Monsieur,

Merci pour votre video, elles est très pédagogique.

Je suis entièrement d’accord avec vous, parce que je me suis trompée en arrivant en France il y a plus de quarante années, et je me suis trompée avec des « circonstances atténuantes », car j’avais de la France un idée livresque, idéaliste donc excessivement  trompeuse, j’étais follement amoureuse de la France pour la peinture, c’est une longue histoire, et c’est par héritage pictural que je « devais » venir à Paris en « mission artistique ».

Bref, j’ai souffert l’indicible et la France m’a détruite

FINANCIÈREMENT ET NON   INTELLECTUELLEMENT,

ET CE ÇA QU’ILS NE SUPPORTENT POINT !.

Je suis en train d’essayer de sauver la dernière étape de ma vie et je compte la sauver de cette barbarie.

Je sais que je vais réussir, en revanche les barbares ne vont pas réussir à me tuer, cela je vous l’assure.

Je vais vous raconter une anecdote en rapport direct avec ce que vous nous racontez de l’insécurité.

La « vieille France » n’était pas inondée par cette barbarie, les incivilités étaient rarissimes, et les gouvernements n’étaient pas « complices » des assassins, des escrocs, à présent ils sont « solidaires »; les cartes d’identité ici ne signifient rien, tout comme la Légion d’honneur qui est donnée à n’importe qui. Cette France actuelle m’effraie.

Mon père, est arrivé à Paris en 1928, il avait 28 ans, il avait un programme pour lequel il a épargné de l’argent et il est venu avec ses propres moyens financiers, tous comme moi en 1980.

Il faisait ses études de peinture dans l’Atelier Libre du peintre français André Lhote, après les cours, il allait au café avec ses amis.

Un jour,  il a oublié son parapluie dans un coin du café.

Quelques jours plus tard, il retourna au café…Son parapluie était là, personne ne l’avait touché.

C’est avec cette idée de la France que j’ai suis arrivée  à Paris en 1980, mais  la France m’a méprisée et appauvrie avec un programe malfaisant, et personne ne doit rester où elle est haïe.

n’oublions pas la phrase de notre LERMONTOV:

« La patrie est celle où l’on nous aime »

 

 

Merci encore.

 

NADEZHDA

 

 

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