LA FRANCE ET SES LYCÉES ET UNIVERSITÉS NOUNOU
« Je ne sais pas faire grand-chose » : ces universités proposent des cours pour apprendre aux jeunes la « vie d’adulte » – Edition du soir Ouest-France – 06/11/2025 https://share.google/
MON UNIVERSITÉ OÙ JE ME SUIS FORMÉE COMME PROFESSEUR
L’INCOMPÉTENCE POLITIQUE
ET
L’ABSENCE DE PÉDAGOGIE
RÉSULTAT :
LYCÉES ET UNIVERSITÉS NOUNOU
La référence que je donne ici, vous donnera la tragique modus vivendi mondial de médiocrité intellectuelle, j’ai pensé à tort que c’était seulement la France qui manquait de sérieux, mais c’est un phénomène mondial. Maintenant, ils rabaissent l’université comme lui suprême de l’intelligence, à formation de vie ce qui s’apprend au sein de la famille bien avant sortir du lycée. Ce monde mérite bien la robotisation et l’IA, car les humains sont devenus de la décrépitude ambulante. L’intelligence jadis humaine a pris fin, laissons la place aux robots.
Chers Lecteurs,
Je me suis trompée, chaque fois qu’on se trompe, c’est une tragédie horrible du point de vue existentiel surtout parce que la culpabilité nous revient entièrement par manque d’une vision existentielle anticipatrice.
J’ai une circonstance atténuante, ma croyance, ma sempiternelle croyance dans l’humanité, et à la fin de ma vie, j’ai 71 ans, il va falloir que je me corrige et que je ne m’embarque jamais dans des projets sur lesquels je ne puisse pas regarder à la loupe le terrain.
Dans ce que je vais développer dans cet article, ma circonstance atténuante se réduit à l’impossibilité d’avoir pu vérifier le programme universitaire de chaque faculté AVANT de postuler.
Si l’on va dépenser notre argent et notre vie, car notre temps EST NOTRE VIE, nous ne devons jamais laisser qui soit autrui qui nous gouverne, et notamment qui nous gouverne mal !
Ma première erreur a été de postuler pour Parcoursup, où j’ai été admise tout de suite, sans avant faire une inspection sur le terrain, mais cette idée en France est impraticable, les professeurs se cachent dans leurs salles de professeurs hermétiques comme des bunkers, il faut que je vous avoue que j’avais pris l’initiative avant l’été, et avant la fermeture des vacances et pour bien préparer mon entrée en Fac tel que se fait au CHILI.
Mas, ladite jeune Professeur qui avait reçu ma lettre ne m’a pas répondu !
Dans ma lettre, je lui priais avec tout le protocole de respect épistolaire propre de Versailles de bien vouloir avoir la gentillesse de m’envoyer son « programme » et la « bibliographie » de l’année universitaire pour consacrer mon été à LIRE ! Elle se vante d’être la directrice du département !
Le problème pour elle est qu’il n’avait RIEN à lire en cours de littérature, parce qu’elle l’avait balayé d’un trait de stupidité, c’est une imbécillité complète, balayer l’ancien cours de littérature pour le changer pour « l’histoire de la littérature », est une aberration pédagogique puisque l’on doit enseigner le contexte historique parallèlement et greffé aux cours de littérature proprement tel; je m’interdis de donner des cours en ligne s’ils ne sont pas payants, c’st fini mon étape de gratuités sociétales, dorénavant ni toiles, ni livres ni mes cours de peinture et de littérature ne seront données à droite et à gauche gratuitement, mes livres donnés en cadeau furent lus et regardés pour qu’ils soient jetés ou cachés, je suis bien changée.
Je suis étourdie encore de ses privilèges.
Cette illustre professeur ne m’a pas répondu.
Pourquoi répondrais-je à cette inconnue ? Elle a dû se dire…
Elle voulait se donner de l’importance ? Elle a obtenu le contraire.
Mon raisonnement s’est confirmé quand je l’eue devant nous en classe.
Premier très mauvais signe de manque de civilité, de politesse vis-à-vis d’une future étudiante qui pour compléter l’impolitesse, est une vielle professeur d’espagnol, certes, une professeur invisible, à différence d’elle, qui « docteure » jouit d’une chaire non pardon, j’ai oublié, elle en a trois et qu’elle ne mérite point.
Mon ancien article en espagnol dédié à mes lecteurs chiliens, vous en dit long sur l’incident vérifié.
Je suis tout comme elle Professeur, que je sois professeur d’une autre discipline ne change en rien l’échelle des valeurs, toutes les disciplines se valent entre elles ; et j’ai plus d’années de formation, la France n’exige que trois années pour avoir une Licence, dans mon pays natal, les universités chiliennes exigent cinq.
En ayant un parcours de formation et professionnel au sein des lycées français et préparation pour le Bac avec succès prouvé et vérifiable, ce parcours d’excellence fut piétiné par les inspecteurs d’espagnol, par sadisme et jalousie, ils crurent à tort que j’allais me suicider comme bon nombre de petites professeurs d’espagnol, mais ils se trompèrent en bloc, ils ignoraient qui je suis et n’arrivèrent pas à leurs fins, la preuve, je suis bien vivante et en très bonne santé.
Peut-être ceux qui voulurent me tuer, ils sont déjà en EHPAD ou morts !
Ils n’étaient pas jeunes entre 1989 et l’année 2000.
Je le souhaite de tout coeur.
Je reviens à ma lettre…. Mon parcours est bien supérieur, car je suis arrivée détentrice des compétences sérieuses d’une université du « Tiers-Monde » bien supérieure à la Sorbonne. Mais laissons ce sujet scabreux.
La France ne supporte point qu’un professionnel qui dépend de l’État pour être payé, se fasse respecter, dévoile publiquement son curriculum-vitae et qui se vante de ce qu’il a obtenu par son effort personnel.
Ici, en France, les professeurs doivent être soumis, humbles et obéissants à LA HIÉRARCHIE, en se pliant aux lois ministérielles typiquement de caserne.
Je suis un professeur à part entière ailleurs qu’en France, naturellement.
Un bref éclaircissement es nécessaire, si je ne me suis pas échappée de ce système pour sauver ma profession, ceci ne fut que par mes obligations de famille, obligations qui sont nées de l’AMOUR, qui est une autre composante que les français ne connaissent point, ou qu’ils veulent ignorer, du contraire, ils ne jetteraient pas leurs vieux parents aux EHPAD !
Didascalie fermée.
Pour moi, la famille passe avant tout, avant ma profession et avant mon art, j’avais Maman âgée entièrement à ma charge, et je ne pouvais pas et sous aucun prétexte la trainer avec moi ailleurs pour m’épanouir professionnellement dans un autre pays pour être valorisée comme Professeur dans ma juste valeur.
Mon directeur de recherches m’avait vivement recommandé pour partir en Espagne, mais la vie de ma mère passait avant. Treize années passèrent et quand Maman fut tuée par « Le Sicaire, » le « docteur Traître-Tant « commencèrent des années de paiement de cimetières, alors, encore je suis sans me libérer des lois meurtrières de la France.
Cette professeur, qui a laissé ma lettre sans réponse, une fois les cours commencés j’ai confirmé mes craintes sur sa personne.
Un postulant à Parcoursup ne peut avant de payer, aller voir les centre universitaires et questionner le département qu’on a choisi pour qu’il nous informe sur les qualités des professeurs, leur programme, et les « règlements » ceci est interdit.
Chaque université parisienne est différente, entre elles partagent les directives ministérielles, mais la réglementation interne est différente ; les unes appliquent la « méthode de caserne », les autres, plus intelligentes, donnent un peu l’allure de l’ancien système qui est à mon sens le seul à définir pour une université, la souplesse pour les choix des élèves aussi bien des professeurs que des matières à choisir à l’année, créant ainsi, individuellement la durée de leur formation selon leur emploi du temps, et la responsabilité personnelle se construit dès la première année.
La France est une ignorante de questions pédagogiques aussi bien scolaire qu’universitaire et les ministres et les doyens « pensent » , (si à cette erronée pratique l’on doit nommer « penser », c’est trop leur attribuer des qualités), et croient que souplesse est laxisme.
Sauf que l’université est le lieu suprême où un bachelier a déjà appris, durant ses trois dernières années de lycée, ce qu’une entrée universitaire veut dire.
Pour vivre au sein de l’université en étudiant libre, responsable et critique ces composantes de base dans le « règlement académique » doit exister préalablement, puisque si ce n’est pas à l’université où l’on se forge une personnalité professionnelle indépendante sans se soucier de protocoles pénitentiaires où paradoxalement se greffent les professeurs nounou, pour une personne formée ailleurs, au bout d’un mois de cours, la décision est prise : déserter.
Je me suis inscrite dans une université que je connaissais, mais que j’ai cru à tort qu’elle avait corrigé ses erreurs depuis 2017, au lieu de s’améliorer, elle a approfondi ses erreurs. Dommage pour moi seulement, parce que les hordes d’étudiants n’ont aucun repère pour juger, ils sont des étudiants à peine sortis des lycées ; moi, je le sais par expérience qu’au sein des lycées publics, de 36 élèves il n’y a que trois au quatre sérieux qui veulent réussir, c’est cette même avalanche qui bénéficie du « Bac pour tous » entre pour remplir les amphis et nous donner un spectacle ahurissant de médiocrité.
Ils sont tous dans l’incapacité totale de juger, mais qui réussira la fac ? Seulement réussiront ceux qui à force de tuteurs et à l’aide de chaque professeur qui a reçu un décret ministériel de les aider à devenir professionnels de force.
Il faut savoir que ce crétinisme c’est approfondi avec ce gouvernement, la tâche sera encore plus dévastatrice qu’auparavant, car ces hordes qui se sont inscrites en disciplines dites humanistes, parce qu’aucune autre université ne peut les accueillir car ils furent tous des lycéens mediocres, ils n’auront aucune autre sortie que l’enseignement, et devant le manque de professeurs, dès la seconde année universitaire de trois d’une LICENCE – attention mes lecteurs chiliens, lisez-moi bien, riez après – ils seront mal suivis de force pour entrer dans l’arène des lycées qui suivront le triste spectacle de bancs d’essai de ces mêmes étudiants ignorants qui arriveront devant les lycéens, pour remplir l’infernal cercle vicieux de l’ignorance nationale.
C’est la description superficielle et non approfondie des étudiants mal nommés universitaires de première année des disciplines humanistes qui ne font que déshumaniser. L’analyse approfondie je la laisse pour une autre occasion. Vous en serez aussi ahuris que moi-même je l’étais.
Ils suivront le chemin qui leur impose les professeurs; ce corpus professoral mélangé pêle-mêle, vous y trouverez les éminents Professeurs confirmés qui sont des écrivains, traducteurs, et des érudits dans leurs matières, et que malheureusement leur présence minoritaire, ne suffit pas à sauver le cursus.
J’ai ai connu seulement TROIS.
Quand on est insérée dans « le système » ces trois seuls professeurs éminents d’un département d’étude humaniste, ne peuvent avec leur seule discipline, nous permettre de sauver l’année.
Il ne faut pas mélanger la médiocrité avec l’excellence, je ne cesse de le dire depuis quarante ans.
Carmen Florence Gazmuri-Cherniak
NADEZHDA
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