CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LA PATIENCE. Ô SOUFFRANCE, FIN DE MA PATIENCE OH THÉMIS VIENS À MON SECOURS !

4 mai, 2025 (10:36) | Non classé

              

 

 

 

               LA PATIENCE

 

 

 

Chers Lecteurs,

 

La patience est une grande vertu.

La personne douée de patience est une personne équilibrée et douée d’une grande capacité de réflexion, ceux qui veulent qu’elle fasse un impair, pour la rendre impolie, auront des difficultés pour parvenir à leur but.

Dans le dictionnaire, vous trouverez d’abord son étymologie :

Du latin patienta, « souffrance », endurance.

Du verbe grec paschô, qui signifie souffrir aussi bien qu’éprouver.

« Aptitude d’un individu à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension, face à des difficultés, ou encore la qualité de persévérance face au retard. »

Si vous cherchez dans le dictionnaire, vous trouverez des synonymes, courage, fermeté, résignation, obéissance, patience.

Tout ceci est parfait… Dans l’écrit, dans l’exégèse de l’érudition.

La patience se révèle indubitable chez une personne de bien qui doit maintenir sa dignité sans faille face à la barbarie et face à la pègre, nonobstant, il faut savoir que notre Code pénal ne se fonde pas sur les vertus, mais sur des textes de loi et ensuite s’adonne à l’application ferme des sanctions qui font suite à la vérification des délits d’après les  « preuves en l’espèce ». Aucun motif de psychologisme déplacé ni des louanges à l’héroïsme dans la souffrance infligée par les criminels.

La loi n’abandonne jamais les victimes, une parfaite application de la loi ne laisse jamais les victimes patienter dans l’endurance des affres d’un crime, notre Code pénal sanctionne les délits et impute des sévères sanctions aux criminels.

Ce dimanche, je tiens à faire publique cette réflexion, jour de repos où d’aucuns s’adonnent à une activité rare en vue de disparition : PENSER.

J’ai une énorme patience, mais ma dignité, mon attachement à la loi, mon instinct de survie et mon sens de l’honneur m’imposent la pratique des limites.

Elles ne me feront jamais tomber dans un impair, mais ma patience n’est pas infinie.

En France, il paraît qu’il existe un Code pénal et, il paraît que les victimes à cette époque sont sauvées par la loi et selon une rare publicité qui s’entende çà et là, nous fait croire que nous vivons dans un pays « démocratique », or, suivant cette croyance citoyenne il va falloir implorer les dieux de l’Olympe qui sauront appliquer la loi.

Et, d’après leurs châtiments éternels, les demandes des victimes à THÉMIS  de mettre fin à leurs  « souffrances », seront sans tarder exaucées.

Bonne dimanche.

 

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA

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