LES POUESSES RESSUSCITÉES ET

L’ABJECTION

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L’APPARTEMENT À SANTIAGO OÙ JE SUIS NÉE IL Y A 71 ANS !!!!

Qué se creen esas piojas resusitadas?

Comparen con la inmundicia donde me tiraron.

« LAS PIOJAS RESUCITADAS »

LES POUESSES RESSUSCITÉES

L’ABJECTION.

Chers Lecteurs,

Ce matin je vais donner une leçon d’argot qui sera très pédagogique.

En argot chilien et argentin, on dit « PIOJA RESUCITADA » à ces personnes qui ont obtenu l’ascension sociale, je dis : uniquement économique, parce que l’ascension dite

« sociale » ne sera jamais acquise ; tout ce sujet est ici en France très à la mode, voila une leçon pour mes lecteurs qui me lisent très loin de la France, chez vous, là-bas, ce que je vis ici est un autre monde, c’est pourquoi, la pédagogue éternelle que je suis ne peut pas s’interdire de donner des leçons morales à la société, mes chers philosophes de l’École de Francfort disent qu’un Professeur est celui qui donne des leçons à la société, jamais l’inverse, c’est pourquoi, quand un Professeur BAC+ 8 a été méprisé, rabaissé, par les pousses et les poux ressuscités, il doit donner des leçons à la société en décomposition, mais IL OU ELLE, NE PERMETTRA JAMAIS L’INVERSE !

Ceci dit, allons à l’essentiel.

Il y a deux options pour juger ce choix des SERPENTS de me persécuter et d’appliquer le délit de DISCRIMINATION, sachez qu’ici en France la discrimination exercée contre une personne handicapée est un délit pénal.

LA PRIVER D’EAU CHAUDE EST AUSSI UN DÉLIT PÉNAL.

Au Chili, pays où je suis née il y a 71 ans !!!!, je pense qu’il l’est pareillement, parce que la loi chilienne et son Code pénal est un calque de la loi Napoléonienne, moi, je déteste Napoléon, mais… Passons, ça n’a aucune importance ici, dans ce bref récit ; c’était une simple information.

L’immondice où j’habite est un attentat à la dignité, un délit pénal et un scandale inhumain.

Hier, j’ai vu dans le journal la maire de Poissy pleurnicher avec tous les citoyens, partis politiques, associations, journalistes nationaux et étrangers, pour « l’abject attentat qu’un type a commis contre une « jeune mère voilée qui se promenait avec son bébé ».

Le délit commis par ce type fut :   « l’acte abject de lui enlever son voile religieux et l’asperger les cheveux avec de l’eau qui est tombée aussi chez son bébé !!! »

Il est très recherché ce « criminel » pour acte « islamophobe ».

Bien sûr qu’il sera puni, la République française ne tolère point ces crimes.

Mais, la République française ne défend pas « LA GAZMURI » des actes abjects et inhumains du bailleur social VILOGIA.

« Délit de mettre les Institutions SOUS-INFLUUENCE »

Alors, je me suis permis de penser, car ceci donne à « penser », action intellectuelle qui est exercée seulement quand cela convient au POLITIQUE.

Ces éminentes autorités savent ce que le bailleur social VILOGIA commet comme délit pénal à mon encontre, mais tout ce qu’on lui inflige « À LA GAZMURI » est applaudi, ce qu’elles font à mon encontre n’est pas ABJECT pour les éminentes autorités incompétentes, non, pardon ! « Autorités COMPÉTENTES ! »

Faute de frappe, cela arrive quand on écrit trop vite.

BON, en faisant le ménage sur mon ordinateur, action qu’il faut faire de temps en temps quand l’ordi commence à être trop lent, j’ai trouvé  4 photos de l’appartement qui dans sa jeunesse avait acheté mon père, le peintre et Professeur d’Université Hernán Gazmuri pour Maman quand je suis née. Appartement qui a plus d’un siècle, antisismique et en plein Centre ville de Santiago.

L’Immeuble était solide, antisismique et, impeccable, cet immeuble m’a vu naitre, c’est de là qui sortait Maman tous les jours avec moi dans le landau me promener les après-midi à la ALAMEDA.

Après, quand je suis sortie de l’enfance, papa acheta un pavillon en banlieue pour que je puisse faire du vélo et grandir « en plein air .

Pardonne-leur, Seigneur, qu’ils ne savent ce qu’ils font…

     LUC 23

Ne leur pardonne pas, Seigneur, parce que les « pousses ressuscitées » savent ce qu’elles font !

Alors, vous qui me lisez là-bas, je vous demande d’analyser ma leçon,

l’ABJECTION a une exégèse qui s’accommode, elle n’est pas analysée ni appliquée d’abord par le moyen de son étymologie ni de sa sémantique, mais essentiellement POLITIQUE.

NOTE : NON, LE CHILI N’EST PAS UN BLED DANS LEQUEL JE GARDE LES BIENS QUI ME LAISSA MON PÈRE EN HÉRITAGE;

J’AI TOUT VENDU POUR VENIR EN « MISSION ARTISTIQUE  » FAIRE DON À LA FRANCE DE « LA DONATION GAZMURI  » AU NOM DE MAMAN.

ENSUITE, L’OFFICIALITÉ CHILIENNE NOUS A SPOLIÉES MAMAN ET MOI DE TOUTE L’ŒUVRE DU PEINTRE HERNÁN GAZMURI, C’EST FUT UNE VENTE -ACHAT FRAUDULEUX, UNE ABOMINATION MONDIALE, LES MUSÉES CHILIENS ONT VOLÉ L’HÉRITAGE QUE MON PÈRE LAISSA À MAMAN DANS UN TESTAMENT OLOGRAPHE, IL LAISSA TOUTES SES TOILES À SA FEMME, MA MÈRE.

SI MON PÈRE REVENAIT PARMI NOUS, IL LES TUERAIT TOUS LÀ-BAS ET ICI, S’IL VOYAIT CE QU’ELLES ME FONT.

LÂCHES ! 

ILS NOUS SONT LAISSÉES TOUTES LES DEUX DANS LE DÉNOUEMENT TOTAL.

ALORS, CESSEZ D’IMAGINER QUE JE SUIS PROPRIÉTAIRE LÀ-BAS DES PROPRIÉTÉS AU « BLED », COMME VOS IMMIGRÉS COLONISÉS  !

JE NE SUIS PAS NÉE AU MAGHREB, CE PAYS LOINTAIN DU TIERS MONDE, LE CHILI,  N’A AUCUN RAPPORT AVEC LA FRANCE !

ET, JE N’AI PAS LA DOUBLE NATIONALITÉ, DÉTROMPEZ-VOUS, JE NE SUIS QUE FRANÇAISE !

JE N’AI PLUS RIEN, J’AI TOUT VENDU POUR VENIR ADORER LA FRANCE !!!!!!!!.

J’AI DIT.

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA