CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN

Skip to: Content | Sidebar | Footer


Prendre contact avec Carmen Gazmuri-Cherniak au travers
du formulaire de contact du site.

LES RODÉOS URBAINS ET LES INCAPABLES VOLONTAIRES

5 mai, 2025 (10:50) | Non classé

        

 

 

       LES RODÉOS URBAINS

                           ET

            LES INCAPABLES VOLONTAIRES

      

Chers Lecteurs,

Ne rêvez pas de la France, je vous en prie.

Nous ne vivons pas dans un pays publicité dans les cartes postales ou les vidéos qu’extasiés, vous regardez à l’étranger, il s’agit d’une publicité sinistre parce que cette France là n’existe point.

Ici tout est permis, narcotrafic, pédophilie, séquestrations, violations, agressions gratuites, et c’est de ceci que je vais vous dire ce que je pense ; cette fin de semaine, un élu municipal qui a essayé d’arrêter un rodéo urbain, fut agressé à mort par des  « jeunes » en scooter.

Il a 10 jours d’arrêt de travail, il a été sauvagement frappé et a récolté traumatismes et plusieurs fractures au visage.

C’est le comble. Les agresseurs ne savaient pas qu’il était un élu.

Ils le frappèrent uniquement parce qu’il a tenté de stopper leur rodéo assommant qui est un danger public, les rodéos urbains sèment la terreur et sont un danger de mort imminent et dont personne ne peut se sauver s’il est pris d’assaut en pleine rue, parfois on n’a pas de lieu où s’abriter.

Que le gouvernement ne vienne pas nous dire qu’ils sont incapables de mettre un terme aux rodéos urbains, la vérité est qu’ils ont peur des banlieusards or, ce sont précisément les politicards les auteurs de cette « classe sociale »  qui est là pour contribuer à de créer de force la « MIXITÉ SOCIALE » dont se vantent les pari-mis politiques, mixité forcée que je nomme « IMMISCIBILITÉ SOCIALE »

Je vous propose de mélanger de l’eau avec de l’huile, si vous y arrivez faites le savoir aux scientifiques et vous aurez le prix Nobel.

Ces écervelés sont des nuls dans tout le sens du terme, alors, ils échappent à leur abyssal sentiment d’infériorité, à leurs multiples incapacités dont la capacité intellectuelle est nulle chez eux, en prenant un scooter ou une voiture pour faire peur aux innocents, ils rétablissent leur clairvoyance incontestable de qu’ils sont tous des nullités irréversibles.

Ils réussissent leur criminelle besogne ; un sentiment de puissance, de supériorité, s’empare de leurs infimes cerveaux, en rabaissant les citoyens qui font l’expérience de la peur, et qui sont forcés à subir l’humiliation de se voir démunis dans leur propre pays.

Tous ces « jeunes » et tous ces habitants de la pègre qui sont les parents de cette progéniture en décomposition, sont ceux qui remplissent les HLM de banlieues et privent les citoyens de la sécurité, de la protection et de la liberté dont ils doivent tous profiter au sein de la cité.

L’insécurité règne de partout en France uniquement parce que les gouvernements qui se sentent coupables de la classe sociale qu’ils ont créé eux-mêmes, se sont révélés des criminels en puissance et incontrôlables par leur volonté de « laissez faire » des gouvernements.

Le gouvernement gesticule, donne des conférences et commente.

Les mots sont prononcés d’un ton doctoral et en profusion, c’est un véritable tsunami de verbiage qu’ils déversent par les médias, mais ils n’agissent point.

Les politicards ne peuvent pas avouer publiquement qu’ils sont les créateurs de cette « classe sociale » de criminalité.

Alors, les gouvernements cherchent des excuses pour se dédouaner de leurs erreurs criminelles.

Il serait facile de finir avec les rodéos urbains.

La loi existe pour qu’elle ne soit pas appliquée.

J’ai une expérience personnelle de ces rodéos, quelques jours après mon arrivée un « jeune » en scooter essaya de me tuer. Il n’y avait personne proche de la supérette en ce moment, mais même s’il y avait eu un témoin, il n’aurait pas réagi pour me défendre, c’est un de leurs !!!

Quand j’ai demandé à un commerçant, il m’a dit : « ils veulent te dire que tu viens d’arriver, et que tu n’es pas une de leurs et que tu n’es pas la bienvenue. »

 Ensuite, juste après avoir fait mes courses, je suis allée au commissariat porter plainte. Elle date d’avril 2021. La commissaire m’a dit qu’elle ne pouvait pas me munir d’un « garde de corps ».

Génial !

Après, j’ai été menacée de mort, et verbalement par un individu qui m’a suivi  dans le bus, et chez-moi, le voisinage a envoyé leurs « enfants » essayer de défoncer ma porte, à midi, l’appel immédiat au commissariat n’a servi de rien : « ils sont mineurs Madame, ils courent vite et le plus important nous ne pouvons rien faire contre les délits des « enfants ».

Des multiples atteintes à ma personne, j’ai dû subir depuis mon arrivée dans ce quartier en PUTRÉFACTION, un samedi, matin, (ils ne vont pas au lycée alors, ils ont le loisir de tuer), une voiture a essayé de me tuer, à toute allure, avance vers moi, et à quelques centimètres s’arrête et s’en va.

  Je n’avais pu voir que les trois premières lettres de sa plaque.

J’ai appelé la police de mon smartphone, et elle me dit : « Ah madame !, nous les connaissons, ce sont des voitures volées de Slovénie. »

« Est-ce que vous êtes à l’abri ? Me dit la commissaire » ?

Bien sûr, je lui ai répondu, du contraire, je ne pourrais pas vous appeler de la morgue. »

Ma réponse fut claire et nette.

Ils me conseillèrent de créer un agenda pour noter chaque fois que je dois subir des agressions, car la police de Poissy ne peut pas se charger d’assumer des plaintes « récurrentes ».

Celle de VILOGIA comprise ?

Alors, je ne sors plus les samedis. Dans tout état de cause, il n’y a pas de train vers Paris les fins de semaine, et les bus sont aussi exécrables.

L’un d’entre eux m’a détruit mon premier déambulateur, le directeur de Kéolis n’a même pas répondu ma lettre recommandée et ne m’a pas remboursé, j’ai dû acheter un nouveau déambulateur qui coute 250€ dont la Sécurité sociale ne rembourse que 35€.

Et, que dire des délicates habitantes qui montent avec caddies et poussettes, la semaine dernière une d’entre elles a essayé d’abîmer les roues de mon déambulateur, enfonçant leurs adorables poussettes intentionnellement.

Les dialogues avec la police sont assommantes : « nous ne pouvons rien faire ».

Quand on veut, on peut.

La commune de Poissy est un désastre, ce lieu fait de banlieusards, de « CITÉ » est démuni de protection, le terrain est rempli d’arbres centenaires, il est semblable au milieu rural, il n’y a pas de caméras, et même s’il y en avait, ils se chargeraient bien de la détruire !

J’ai dû installer la télésurveillance procurée par ma banque, dès que je l’ai fait installer et que des autocollants sont bien visibles sur ma porte et toutes mes fenêtres, ces lâches criminels ont arrêté de me molester.

Qu’ils essaient encore une fois de me harceler dans cette HLM en décomposition, le seul lieu où je peux m’abriter en attendant « LA JUSTICE » que jusqu’à présent c’est de  « L’INJUSTICE » ; l’alarme se déclencherait ipso facto, elle est tellement forte que je peux vous assurer qu’on l’entendrait jusqu’à Montparnasse !

En rêvant d’Alexandre Loukachenko, parce qu’il ferait des merveilles ici !!!! 

Il les mettrait en prison, stopperait les « ALLOC » aux parents qu’ils envoient me tuer, et il rétablirait l’eau chaude tout de suite avec une seule phrase aux SERPENTS. Ah ! les rêves aident à survivre !

 

Bien, c’est out ce que je devais vous dire dans cette matinée.

En attendant Godot…

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

Write a comment

You need to login to post comments!