CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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L’INTELLIGENCE PLASTIQUE ET L’IGNOMINIE FUNÉRAIRE FRANÇAISE

20 novembre, 2025 (21:55) | Non classé

LE PEINTRE HERNÁN GAZMURI DANS L’ATELIER

D’ANDRÉ LHOTE

1928-1932 À PARIS

MAIS LA FRANCE FERME LES YEUX !

JE SUIS INVISIBLE !

JE NE VAUX RIEN  !

 

 

 

« L’INTELLIGENCE PLASTIQUE »

 

 

                 André LHOTE

 

 

 

Chers Lecteurs,

J’attendais le moment de revenir sur le sujet central que personne ne connait concernant le fait que je sois une citoyenne « naturalisée française ».

La plupart des étrangers arrivent en France comme des réfugiés politiques, payés, et aidés par la Convention de Genève et une fois en France, allez-y ! les aides tombent comme le mana du ciel, ceci ne fut pas mon cas ni notre vie en France.

Et, pour en finir avec les mensonges, calomnies et diffamations d’aucuns de l’administration et fonctionnaires de pacotille qui parlent à mon sujet en ce moment, et qui trouvent beaucoup ce que la France me jette comme si je ne méritais rien quand ils savent toutes mes valeurs et tout ce que j’ai fait en France comme travail professionnel et artistique.

C’est parce que ce sont eux-mêmes qui par jalousie m’appauvrirent de manière concertée et programmée comme le font toutes les mafias quand ils voient une proie sans défense.

Il est arrivé le moment d’ouvrir la boite de Pandore.

Je vais d’une fois pour toutes éclaircir une question qui reste très trouble.

J’ai fui le Chili pour une seule raison; donner à mon père et maître en peinture HERNÁN GAZMURI la place esthétique que ce pays immonde lui avait toujours refusé, par jalousie et sadisme, mais question paradoxale, il n’a jamais vendu ses toiles, mais il n’avait une place au sein de l’Université comme Professeur d’Histoire de l’Art, dessin et peinture, et il fut le fondateur de l’Institut de Pédagogie attaché à la U.T.E., l’Université Technique d’État, il fonda cet institut en 1942 et il n’avait prit sa retraite qu’en 1972 , il avait 72 ans.

Pour vous dire que la reconnaissance à son génie et son immense érudition resta entre les murs académiques, mais en tant que peintre, jamais il n’a eu la reconnaissance qu’il méritait.

Il décéda en 1979 et moi j’ai aidé Maman à faire LA DONATION GAZMURI à la France. Pourquoi j’ai choisi la France ?

 

 

LA DONATION GAZMURI FAITE PAR MAMAN À LA FRANCE EN 1980 ET EN 2025 LA FRANCE VEUT VIOLER SA TOMBE !

 

Uniquement par une question picturale et logique, c’est à Paris qu’il a fait ses études dans l’Atelier de LHOTE et il devait entrer dans le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, où se trouvent les toiles dessin maître André LHOTE, et de tous les peintres de l’École de Paris. `

Qui nous a aidées ?

L’Académicien Monsieur René HUYGUE qui lors de son voyage au Chili en 1945, il a connu l’œuvre de Hernán GAZMURI et l’a nommé « le pionnier de l’Art moderne »

Cette nomination élogieuse à lui seul, les a servis à ces chiliens mafieux de l’officialité pour le haïr et lui refuser achats et la place esthétique qui lui revenait en toute justice.

Ils ne cessèrent de l’inclure de manière équivoque, et forcée dans un groupe de peintres chiliens BOURSIERS du gouvernement de l’époque, et qu‘une fois arrivés à Paris, demandèrent le billet de retour au Chili epouvantés des exigences de Lhote et de la vie cosmopolite parisienne des années 28 !

Mon père riait et les nomma « les peintre touristes »

Mon père se réclamait INDÉPENDANT et il appartient esthétiquement à la même École de son maître ANDRÉ LHOTE : L’ÉCOLE DE PARIS.

Voilà la seule raison de mon arrivée en France.

L’académicien René HUYGUE quand il m’a reçu chez lui pour parler de mon projet de « donation » m’a écouté avec une extrême attention et admiration et m’a dit : « Vous êtes venue en France en « Mission artistique » et c’est une grande chose que les toiles de votre père entrent au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, car grâce à cette DONATION GAZMURI la France complète ses Collections de l’École de Paris ».

Je suis arrivée avec une visa de touriste. Mais pour venir faire ce cadeau à la France, j’ai dû vendre les maisons, mon appartement, ma voiture et j’ai lapidé absolument tout l’argent qui me laissa mon père, j’ai lapidé toute sa vie de travail ! Parce que moi stupide, naïve et sans expérience de vie,  j’ai cru que j’allais avoir la reconnaissance de la France tout d‘abord vis-à-vis de mon cursus de Professeur d’Espagnol, je ne savais pas que que c’était l’E.N., ensuite j’attendais la reconnaissance à mon travail pictural et de poète et, il est normal qu’une jeune femme soit sûre de ses valeurs et qu’elle veuille faire valoir son travail pour gagner sa vie et que son travail artistique qui n’est pas « un simple gagne-pain donne un résultat.

Je pensais qu’une fois bien insérée à Paris, j’aurais pu de manière symbolique rembourser la vie de travail de mon père qui fut un calvaire au Chili, et  il a dû se défendre sa vie durant des mensonges et des attaques des médiocres ;  il a dû écrire dans les journaux pour se défendre des mafieux.

Tout ceci je l’ai écrit dans un livre avec des documents qui font foi, ce livre je l’ai donné au Musée de Moscou en 2016,  et je vais faire une réédition augmentée dès que j’aurais de l’argent.

Voilà la raison qui m’a fait fuir le Chili.

Aider Maman à faire la DONATION à la France.

Et chose de la plus haute importance: c’est ma mère qui a rendu des Services Éminents à la France et non moi-même, tous les documents officiels. me nomment à moi-même comme « donatrice » ceci est faux, il s’est passé ainsi parce que Maman répudiait de se montrer en société, et comme moi, j’ai une grande aptitude pour parler après du public, car je suis professeur, elle me jeta à moi faire l’administratif.

Il faut savoir que la convention de Berne a statué juridiquement sur ce sujet, la veuve du peintre est la seule héritière de l’œuvre de son mari et c’et seulement, après sa mort que son héritage revient à son enfant.

Entre-temps j’énumère ma descente aux enfers français :

  1. En dépit d’avoir fait « les équivalences » en Sorbonne et d’avoir obtenu avec succès deux diplômes Français, et que les deux travaux de recherche littéraire  sous la haute direction d’un éminent Professeur, ils furent piétinés par l’E.N.

  2. En dépit d’avoir travaillé toute ma vie en France, d’abord dans la Formation continue ensuite dans les lycées privés, car je n’étais pas française et je n’avais pas le droit d’entrer à l’E.N.

  3. Après quand j’y ai eu droit, débutèrent les persécutions mafieuses de l’E.N. par une seule raison, jalousie morbide et sadisme.

  4. Ils volèrent mes années de service me volèrent mes congés payés, parce que j’ai refusé de signer ma démission forcée; enfin c’est fut un scandale et mes élèves ont fait une grève pour moi et allèrent réclamer devant le Rectorat de Versailles en leur disant qu’ils n’a n’aient jamais eue meilleure professeur d’espagnol depuis tant d’années qu’ils étaient au lycée !

  5. Pour finir avec un ZÉRO au Capes, contre l’avis d’une inspectrice espagnole et l’ahurissement du Proviseur.

  6. Bien, je vous ai raconté l’essentiel de la destruction que la France a fait de ma Profession de Professeur d’espagnol.

  7. ILS M’ONT VOLÉ MES ANNÉES DE SERVICE ET J’AI FINI AVEC UNE RETRAITE DE MISÈRE, CES CANAILLES FRANÇAIS DE L’ADMINISTRATION MLE LAISSÈRENT COMME UNE FEMME QUI N’A RIEN À SON AVOIR NI LES BAC ET HUIT ANNÉES UNIVERSITAIRE, NI UNE FORMATION PICTURALE DE PREMIÈRE ORDRE CAR D’ORIGINE ESTHÉTIQUE FRANÇAISE ET ÉTANT DONNÉ QU’AUCUN DES LEURS « RÉFUGIÉS ADORÉS » N’ONT PAS MA TRAJECTOIRE, IL FALLAIT ME NUIRE ET ME DÉTRUIRE FINANCIÈREMENT.

CETTE INSPECTRICE ESPAGNOLE ÉTAIT AHURIE DE VOIR MA SITUATION DE PROFESSEUR CONTRACTUELLE AU POSTE TOUJOURS INCERTAIN ET TRÈS MAL PAYÉ, J’AVAIS MAMAN ÂGÉE ENTIÈREMENT À MA CHARGE.

C’EST POURQUOI ELLE M’AVAIT FORCÉE À « PASSER LE CAPES » JE NE VOULAIS PAS.

« VOUS ÊTES SEULE AVEC VOTRE MÈRE ET VOUS VIVEZ DANS L’INCERTITUDE ? VOUS NE ME FAITES PAS ÇA, VOUS ALLEZ VOUS INSCRIRE ET VOUS AUREZ LE CAPES TOUT DE SUITE !

VOILÀ, ILS ME TUÈRENT PROFESSIONNELLEMENT ET CRURENT QUE J’ALLAIS ME SUICIDER !

COMME LE FONT BON NOMBRE DE PETITES PROFESSEURS D’ESPAGNOL.

JE VAIS FINIR MON ARTICLE D’ÉCLAIRCISSEMENT AVEC LA DESCRIPTION TRÈS SUPERFICIELLE DE CE QUI S’EST PASSÉ AVEC LE MÉPRIS DE LA FRANCE VIS-À-VIS DE MON TRAVAIL PICTURAL.

Dès que je demandais un salle pour exposer, une galerie ou une bourse les fonctionnaires m’éconduisaient, ou bien par des refus catégoriques assez suspects, et vides ou bien avec des lettres administratives affolantes de mensonges, nous n’aidons pas les artistes » quand je savais et je sais qu’ils réservent bourses et aides à leurs protégés apolitiques et moi, je n’ai pas d’appartenance politique et dans mon pays natal non plus. Mon père ne me laissa jamais risquer ma vie pour les affaires politiques, ma seule préoccupation c’étaient mes études, peindre et écrire.

Tout le monde fait des réductions comme bon lui semble sans savoir RIEN d’une personne,

Je n’ai rien reçu de la France comme aide pour  m’installer, je ne suis pas venue ici pour recevoir « LES ALLOCS »

DONC, IL Y A VINGS ANS J’AI MONTRÉ MA PRODUCTION PICTURALE À SHOTEBYS ET CHRISTIS

ET, ils me répondirent ceci :

« L’on voit que vous avez une École et la trace de Lhote, et de votre père, mais en dépit de la grande qualité de vos toiles, nous avons l’interdiction juridique d’acheter des ateliers des peintres vivants. »

Donc étant donné que je lutte au jour le jour pour me maintenir jeune et en bonne santé en dépit de mon âge : 71 ans ! Je ne céderai jamais à la destruction Française, lisez-moi bien : 

je ne tomberai jamais dans vos griffes !

Jamais, ils ne m’aidèrent à montrer mes toiles et jamais aucun éditeur (l’exception de Philippe Sollers qui a faitt téléphoner sa secrétaire car il avait lu et lui a plus mon premier manuscrit , un roman moderne « Misha Gdansk », mais quelqu’un s’est mis à saboter le projet)

Avec les  autres éditeurs il n’y a jamais  eu de l’unanimité du « comité de lecture ».

Enfin, pour conclure, Maman fut torturée jusqu’à sa mort, parce que le médecin  « TRAÎTRE-TANT» lui a refusé les soins d’urgence quand elle a eu un infarctus, et une fois morte, maintenant la France me menace d’ouvrir sa tombe exhumer son cercueil et fouiller sa dépouille pour la violer et la tuer une seconde fois.

Vous ne savez rien de comment se passe l’exhumation d’une tombe dont la concession n’a pas été totalement payée à l’État; la France a le droit juridique d’exhumer le cercueil sortir la dépouille son squelette; placer le crâne dans un broyeur, jeter le reste à l’incinération et ces sauvages choisissent deux petits os pour les placer avec le nom de Maman dans un ossuaire.

Avec ces deux petit os, la France barbare se nettoie de toute culpabilité de  sa barbarie funéraire.

Je ne le permettrai JAMAIS.

 

LA VOICI LA TOMBE DE LA VEUVE

DU PEINTRE HERNÁN GAZMURI

MENACÉE DE VIOLATION FUNÉRAIRE PAR « LA FRANCE »!

 

Je n’ai pas ces 8500 € pour payer à la France la concession perpétuelle de Maman. JE N’AI PU QUE PAYER POUR 10 ANS.

Ma retraite es misérable: Par votre faute !

Et si je trouvais un acheteur, je lui donnerai en vente toutes mes toiles pour fuir ailleurs avec le cercueil de Maman.

Peu m’importerais de laisser la tombe vide qui m’a couté 14.600€ l’argent ne m’importe rien à coté de cette ignominie française.

J’ai vous ai dit qu’en dix ans j’ai fini de payer 14.600€ pour sa tombe. Je devais le faire, avant de payer la concession payer obligatoirement le changement de cimetière et trois cercueils, car quand Maman fut tuée en 2013, j’ai dû l’inhumer à la hâte, et payer une tombe provisoire pour seulement 5 ans.

Voila la vérité, j’ai dû acheter 3 cercueils, 2 tombes, pour enfin finir  avec la construction de deux caveaux, pour Maman et pour moi, je pensais que ma place serait réservée et, finalement, en 2017, j’ai fini de tout payer et rajouté  la pierre tombale, voici la tombe construite par moi et que l’État français s’apprête à violer !

Qui a payé tout ça?

Moi seule, mesdames, messieurs !

Sans l’aide de personne !

Je n’ai pas plus d’argent parce que c’est vous qui m‘avez appauvrie.

Je vais remuer ciel et terre, mais je vous avertis, ils me reste encore quelques mois, pour éviter ce sacrilège de l’horreur, Maman restera dans son cercueil, je ne dis pas au cimetière, je dis dans son cercueil sarcophage, personne ne me touchera Maman.

Je ferai des choses extraordinaires mais vous devez prendre très au sérieux ce que je vous dit ici, vous êtes arrivés au comble de votre ignominie qui ne cesse depuis mon arrivée en France pour accompagner Maman vous faire un cadeau !

C’est Maman qui vous a laissé cette DONATION et maintenant vous la profanez,  vous êtes des sauvages, je vous hais jusqu’à par delà l’éternité, ma haine est monumentale !

Tout enfant qui a vu agoniser 8 jours sa Maman torturé par un médecin français et ses trois complices, ne peut que ressentir de la haine du contraire, cet enfant à qui l’on lui tue sa Maman sans ressentir de la haine de ces tortionnaires assassins, il ou elle  serait UN MONSTRE, ma haine et totalement légitime et je vous le dis face à face.

Vous pouvez continuer à m’attaquer à moi, mais le cercueil de Maman restera étanche à l’abri de votre barbarie, ça je ne vous le permettrait jamais.

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA

LMEF-Couverture (1)

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