24 janvier, 2025 (20:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
LE CULTE DE L’ARGENT – LE VEAU D’OR
Chers Lecteurs,
La société ne parle que d’argent. Soit parce qu’elle en manque, soit puisqu’elle en dégorge et s’adonne à l’exhiber et à se mettre en danger.
L’on allume la télévision et les publicités ne font que montrer des artéfacts qui ne servent qu’à éveiller la convoitise des gens, pour les inciter à qu’ils s’endettent, pour qu’ils achètent sans compter et la plupart du temps sans en avoir un réel besoin.
Ils sont capables de tout.
Je comprends combien est stupide d’attendre que les gens soient émus avec la lecture d’un poème, ou qu’ils regardent une toile avec un regard intelligent, les touristes qui se versent dans les musées sont des monstres qui ne savent en rien de ce qu’ils ont devant eux, ils ne sauront jamais que la toile d’un peintre est « une écriture » à déchiffrer, comme disait Kahnweiler.
Ils ont fait de leur fric une profession, on les appelle « les influenceurs » Ils ne savent pas quoi faire d’autre que nager dans l’abondance et ils l’exhibent, qu’elles ne viennent pas se plaindre qu’après les criminels les persécutent, dérobent leurs portes, pour dévaster leurs maisons et maintenant avec le pire des crimes modernes, je le connais très bien, les séquestrations !
Notre drôle d’époque ne se prive de rien, pour chaque nouveauté d’exhibition de l’or, apparaît une nouvelle forme de vice criminel. Publicités, réseaux sociaux, réunions, c’est assommant et dégoutant.
Je vis en ermite, mais je prends connaissance du monde dans lequel je suis obligée de vivre… Je suis en France. Je pense qu’ailleurs, on peut trouver moins d’adoration au veau d’or. Peut-être que je me trompe, je n’en sais rien… En Norvège, dans une île d’antarctique, je ne crois pas qu’il existe ce type de criminalité, j’ai regardé un reportage merveilleux, où les gens ne ferment jamais leur porte à clé.
Ici, il faudrait s’enfermer dans un couvent pour trouver la paix, mais on peut facilement se construire un couvent chez soi. C’est si facile se retirer du monde.
Tout ce qui se passe est monstrueux. Ce sont les gens qui nourrissent cette avidité avec cette exposition d’eux-mêmes, en éveillant chez les monstres des nouvelles formes de criminalité. Au regard des dernières nouvelles, la première pensée qui m’est venue à l’esprit est de constater que je suis très chanceuse dans ma misère, je ne peux éveiller la moindre jalousie, car je n’ai rien, absolument rien. Quand je sors, je ne porte rien, mon smartphone reste chez moi, je n’en ai pas besoin. Je n’appelle personne et personne m’en appelle, je ne l’ai que pour faire les photos de mes toiles et pour un appel d’urgence.
Dans mon sac à main, il n’y a qu’une petite bouteille d’eau et mes lunettes. La seule chose de valeur que j’ai dans mon sac en bandoulière, c’est ma carte Navigo. Ma carte d’identité et ma CB restent bien gardées chez moi, de toute façon je ne les utilise jamais, presque jamais, et c’est depuis une année que je ne fais pas de retrait du distributeur, je ne sors pas un seul billet de 10 € et dans mon porte-monnaie, il n’y a même pas un seul centime. Quand je fais une petite course alimentaire, je paie avec mon chéquier et une seule fois par mois, c’est bien peu…
La semaine dernière, dans mon dernier voyage que j’ai dû faire à partir de l’enfer de mon HLM vers le centre-ville, un passant m’a demandé de l’argent, « je suis désolée, je lui ai répondu, je n’ai pas une seule pièce », alors, il ne m’a pas crue, parce qu’il m’a regardé avec un regard moqueur.
Peu importe, c’était la vérité et personne ne pourrait le croire.
Je ne sors plus à Paris me promener, puisque c’est dangereux de sortir si loin de chez soi sans argent.
C’est une mesure de sécurité personnelle de n’avoir pas d’argent sur soi, mais en même temps, c’est risqué de sortir sans argent et de voir confronté à l’éventualité d’un accident sans pouvoir y faire face… Et je ne pourrai pendant douze mois ne dépenser que le minimum pour rester vivante dans ma tanière, alors en avril 2026, je vais me donner un prix, j’ignore lequel, mais j’ai du temps pour l’imaginer, je me le promets, il sera mon dernier mois de calvaire.
Dans mon pays natal, on disait :
« Il n’y a pas de mal qui dure cent ans ni d’idiote qui le supporte ».
C’est vrai !
Ah, une chose très importante : je viens de terminer ma nature morte, une nouvelle toile à l’huile, cette fois-ci, je ne dirai pas comme Cézanne, « je veux étonner Paris avec mes pommes », mais je veux étonner Paris avec mes poires ».
L’important, c’est de ne jamais abandonner, jusqu’à notre dernier souffle, ne jamais abandonner, c’est la seule chose qui compte dans la vie.
LA MORT EN FRANCE : POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR
MA TORTURE FUNÉRAIRE FRANÇAISE
ESSAI-VOLUME III ET DERNIER
EN AVRIL 2026 LES CHAROGNARDS SERONT RASSASIÉS ET LES DÉPOUILLES DE MAMAN ET DE MOI-MÊME SERONT ENSEMBLE AD VITAM AETERNAM
CHAPITRE I
Journal funéraire, le 24 janvier 2025.
C’est vendredi…
J’écoute Le clavecin bien tempéré joué par Sviatoslav Richter, je l’écoute par YouTube dans mon ordinateur, il m’est nécessaire pour commencer mon travail d’écriture.
Hier soir, j’ai éteint la lumière vers minuit. Je me suis efforcée de regarder l’ennuyeux programme sur « le pouvoir d’achat ».
Maintenant, on ne parle que d’argent, quand je suis arrivée en France, il y a quarante-trois ans, personne ne parlait d’argent, ensuite au bout de quelques années, les gens commencèrent à ne parler que d’argent, c’est désespérant. On nous a rendus comme des animaux. Compter les centimes est inhumain, seul l’animal vit préoccupé de quoi va manger dans la journée. Notre chasse est de compter les centimes pour rester à l’abri de créances et tout payer sans soubresauts. Par fortune, je suis d’une organisation de fer et je n’ai jamais eu d’impayés de ma vie et je continuerai pareillement.
Chez moi, à mon époque, si quelqu’un mettait comme sujet de conversation l’argent, c’était le signe d’une très mauvaise éducation, parler d’argent, c’était « mal élevé ». Hier soir, face à la télé, je savais ce que j’allais entendre sur le sujet du « manque d’argent.
Deux personnes attirèrent mon attention, l’étudiante au « ventre vide » se présentant aux examens sans avoir rien mangé et une jeune mère d’un bébé qui racontait sa vie faite de privations et sans place dans une crèche. Des étudiantes qui doivent faire des études, dépourvues de moyens de survie, se plaignent de devoir aller à la fac « le ventre vide », parce qu’elles n’ont pas le droit aux aides ni aux bourses. En compensant avec des petits boulots, menant une vie partagée entre les études et des travaux précaires et usants, il est naturel que les études qu’elles essaient de mener à bien le mieux qu’elles le peuvent se voient remplies d’entraves et qu’elles se sentent menacées de tout abandonner.
La médiocrité est le signe de notre temps. Ce constat est irrémédiablement lié à l’argent, ne pas vouloir l’accepter est une hypocrisie politique de plus.
Il est absolument impossible pour un étudiant de partager son temps et surtout son esprit en travaillant au même temps qu’il mène une vie d’étudiant. Faire des études universitaires exige que l’on soit entièrement disponible pour assister aux cours, se rendre en bibliothèque et étudier calmement chez soi. Le principal c’est l’investissement personnel, le cerveau ne peut se partager en deux investissements aussi prenants. Qui est coupable ? L’État français.
Si la France ne veut pas que la médiocrité de ses professionnels se poursuive, il doit nécessairement veiller à que les étudiants pauvres et méritoires puissent se former en toute tranquillité, jouissant des bourses qui leur permettent de se loger et de s’alimenter sans contraintes.
Pour l’heure, je n’ai entendu qu’un seul projet des politicards, ils n’ont qu’à offrir une seule mesure, ils sont en train de « réfléchir » à qu’ils aillent aux restaurants universitaires pour ne payer que 1€ une fois par jour. Génial. Si le gouvernement croit réellement qu’avec cette seule cette garantie il va résoudre le problème gigantesque qui résulte une véritable prise en charge avec une bourse conséquente donnée à chaque étudiant, il se trompe et il essaie de tromper toute la société.
Afin de permettre aux étudiants pauvres de poursuivre un cursus universitaire de qualité, le gouvernement doit débloquer des fonds pour que par le moyen d’une entrée d’argent mensuelle fixe, offerte comme une « allocation d’études » tout au long de leur cursus, elle sera la solution honorable pour que le niveau des professionnels français redevienne celui qu’il était auparavant.
La jeune dame mère d’un bébé se plaignant de sa vie difficile avec son conjoint, vie routinière faite des privations et sans avoir droit aux aides ni trouver de place dans une crèche.
Il faut savoir que les pays nordiques assurent la vie d’une jeune mère pour qu’elle reste chez-elle avec son bébé, car les trois premières années de la vie du bébé sont précisément les années cruciaux pour son développement ultérieur. Il est impensable que les femmes croient qu’être mère, c’est accoucher et que leur rôle s’arrête une fois sorties de l’hôpital. La vie d’une mère commence avant qu’elle ne soit enceinte, elle l’est déjà dans sa pensée quand elle fait son projet de maternité.
C’est Maman qui me l’a confié et tant de fois raconté en forme d’un récit maternel, récit qu’elle aimait tant. C’est pourquoi nous formâmes un binôme si critiqué en France, naturellement, ici on se débarrasse des bébés dès qu’elles accouchent. Elles diront en forme d’excuse qu’elles sont obligées par manque d’argent. Les femmes riches diront que placer le bébé en crèche, c’est utile pur « son développement social » c’est à en mourir de rire !
Mais les femmes aux revenus confortables font pareillement, les bébés deviennent des colis, transportables, le plus préjudiciable est que le bébé écoute une autre voix qui n’est pas celle de sa mère, respire une odeur qui n’st pas celui de la peau de sa mère, et sa vie, son éveil se fait par une femme étrangère qui n’a rien à faire dans ce couple unique qui est « l’enfant-mère ». Je ne suis jamais allée dans une crèche, ma vie s’est faite aux côtés de Maman, j’ai été remplie de Maman avant de naître, j’ai été remplie de la musique de Bach et de sa voix et de son parfum naturel, de sa peau si blanche et si fine.
Maman avait une odeur à vanille si doux et c’est pour ça que j’adore le parfum à la vanille. De Maman, j’ai tout reçu dès ma naissance. C’est elle qui m’enseigna à marcher, c’est elle qui m’enseigna à parler, et à écrire. Elle commença à m’enseigner à tenir le crayon entre les doigts minuscules, à l’époque on enseignait aux tout petits à faire « palotes » en espagnol cela veut dire que dans un cahier millimétré le tout petit enfant devait écrire bien sûr et droit des traits précis de haut vers le bas, je remplissais des pages jusqu’à ce que le trait soit bien assuré et droit. J’ai écrit et parlé très vite et très bien, c’est grâce à Maman que j’eus une belle écriture et a après déjà adolescente, j’écrivais tous mes poèmes en manuscrit, je n’ai jamais utilisé la vielle machine noire à écrire de papa où il écrivait ses cours pour la fac. Avant ma naissance jusqu’à mes soixante ans, nous restâmes unies et inséparables. Maman était mon unique et vraie amie et son silence et sa musique replissaient nos vies, celle de papa et la mienne.
Mais, étant donné que mes pensées et mes projets sont secrets et qu’ils n’intéressent personne, déjà assez fatiguée à minuit, n’ayant pas une autre chaîne où m’échapper pour regarder un film de ceux que j’aime, j’ai éteint la lumière et me suis endormie tout de suite.
A 5 h. je me suis réveillé et j’ai commencé ma journée.
Je vais à la cuisine et par réflexe, un très mauvais réflexe, par temps de misère j’ai ouvert le frigo, il est totalement vide.
Ils me restaient six capsules de café. Bon, c’est déjà ça, je me suis dit… Un jour va bien finir ce calvaire. J’ai encore la moitié du bocal de quaker, je me suis fait 50 g en mode de gaufrette et tout en buvant ma petite tasse de café du plus fort, j’ai regardé le journal, du pareil au même entre ce qu’on nous cache et la rengaine de tous les jours, j’ai éteint. Il est préférable m’adonner à mes occupations artistiques. La première chose que je fais tous les jours est de consulter mon compte. Voilà ma seule et obsédante préoccupation et elle le sera une année durant, mais sans le regarder constamment, car mon compte restera figé pendant 12 mois Je suis une taupe cachée dans sa tanière.
Je ne sortirai qu’une fois par mois.
Voici Mon programme existentiel et alimentaire que j’ai déjà commencé la semaine dernière. Je vis dès à présent telle qu’une taupe, j’ai commencé à vivre dans ma tanière en ne mangeant que des petits rations de nourriture mesurées avec le bocal de mesures qui me donne la possibilité de compter les rations journalières par grammes sans dépasser pour rien la mesure que je peux avaler dans la journée et sans dépasser même pas un gramme, si je ne fais pas attention, je risquerai de me voir sans rien au bout des quelques jours et cela serait dangereux pour mon équilibre de santé qui est parfait jusqu’à présent.
Mon budget des courses est limité par mois, je ne fais mes misérables courses de parapharmacie et alimentaires qu’une seule fois par mois. Un œuf du par jour me donne la quantité de protéines nécessaires, pour mon âge avancé, je suis déjà vieille, je n’ai pas à m’inquiéter, c’est désagréable comme mode de vie alimentaire, mais du point de vue strictement médicale, je n’ai pas besoin de plus, tout est une question d’habitude. Il faut que je m’habitue à ne pas penser au désagrément de me voir privée de tout, je me dis que le temps passe assez vite pour certaines choses et trop lent pour d’autres. Ce que j’écris est une effroyable lieu commun, parce que le temps n’exoste point, il est une construction arbitraire où c’est nous qui « passons » inéxorablement. 50 g de quaker le matin, mais fait en deux petites gaufrettes.
Le déjeuner est fait de 50 g de riz, une fois cuit cela fait deux petits bols partagés en deux bols par jour, l’un le matin et l’autre sera le diner du soir.
Rien d’autre et jusqu’au mois d’avril 2026, date où je demanderai « un chèque banque » et l’argent de la concession perpétuelle de Maman arrivera entre les griffes de charognards et notre résidence funéraire nous sera assurée, inviolable et nos deux dépouilles y resteront ensemble ad vitam æternam.
C’est mon seul but, ma seule obsession, une fois le calvaire terminé, le 10 avril 2026, quand j’aurai 72 ans, je pourrai mourir en paix. Tout sera accompli.
Et cette France-là, celle des charognards, heureusement oubliée aussi à tout jamais.
23 janvier, 2025 (16:22) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
LE LOUVRE
GÉRÉ COMME VILOGIA
GÈRE LES HLM DE POISSY !
Chers Lecteurs,
La conservatrice de notre Musée du Louvre se plaint de l’état dans lequel se trouve le musée du Louvre qu’elle doit gérer sans que le Ministère de l’Inculture lui donne les moyens.
Je la plains ! Et de tout cœur.
Voici ma lettre que je publie pour qu’elle soit lue et portée à votre connaissance.
Lettre ouverte à Madame Laurence des Cars,
CONSERVATRICE DU MUSÉE DU LOUVRE
Madame la Conservatrice,
J’ai l’honneur de m’adresser à vous depuis ma position d’artiste-peintre et dernière héritière de l’École de Paris, parce que formée dans l’atelier d’un disciple d’André Lhote, le peintre Hernán Gazmuri qui s’est formé sous sa direction en 1928 quand Lhote avait son atelier rue d’Odessa. C’est le peintre Hernán Gazmuri, disciple de Lhote, celui qui fut mon maître et je suis la seule disciple qu’il laissa.
Hernán Gazmuri est entré dans le Patrimoine de la France en 1983, après que sous les hauts conseils de l’Académicien René HUYGHE, le Musée d’Art Moderne de la ville de Paris accueille « La Donation Gazmuri » offerte par sa veuve CLARA Cherniak- Gazmuri .
Selon les dires de Monsieur Réné Huygue que je me fais un devoir de citer : L’importance de la Donation Gazmuri est qu’elle est venuecompléter les Collections de l’École de Paris» .
Ce liminaire m’a paru indispensable pour vous dire combien les choses de l’Art pictural me sont si proches et si chères.
Le peintre Hernán Gazmuri fut reconnu officiellement par le Ministère de la Culture en 1983, comme peintre appartenant esthétiquement à l’École de Paris, or, j’ai été formée dans cette lignée picturale et c’est pourquoi, je revendique à juste titre mon appartenance que compte tenu de mon âge, personne de cette école ne me semble-t-il, ne reste encore en vie.
Après cette brève présentation, je vous prie de bien vouloir accepter mes « condoléances artistiques » elles sont les plus douloureuses que je puisse ressentir pour la tâche « grave et difficile » que vous devez assumer sans argent, pour protéger le musée dont vous avez la charge de le protéger et de le faire rayonner non seulement en France, mais de par le monde.
Croyez-moi, je vous prie, que je sais combien il est difficile de travailler entourée d’incapables.
Il vient à ma souvenance la labeur gigantesque et profonde qui fut menée par l’Académicien René Huygue quand il fut tout jeune expert, conservateur en chef du Louvre.
Oh combien difficile et périlleux fut pour lui tout le travail qu’il a fait pendant la guerre pour sauver du pillage des nazis !
En cachant soigneusement chez lui, les œuvres du Louvre.
Il vient à ma souvenance la persécution infâme qui lui donna sa France à la fin de sa vie, lui qui développa un travail de gérance totalement bénévole du Musée Jacquemart-André.
Sachez Madame la conservatrice que toute jeune immigrée, arrivée à Paris en 1980, j’eus la chance de faire sa connaissance, je suis arrivée vers lui et il m’a reçue me donna un accueil hors pair, m’offrant généreusement dès mon arrivée, un portrait de la vieille France qu’avec sa disparition, nous ne pouvons plus jamais remplacer.
Quel contraste désastreux avec des éléments que je viens de contacter par correspondance et qui me méprisèrent me refusant un rendez-vous en laissant mes lettres sans réponse, leur manque de savoir-faire et de savoir-vivre est propre de ces rustres et arrivistes qui enveniment chaque poste dans lequel ils sont nommés par opportunisme et profonde équivoque, où ils empoisonnent chaque lieu de prestige qu’ils envahissent si sûrs d’eux de leur innommable raillerie.
Le contraste vécu dans ma jeunesse quand j’ai été reçue de manière princière par ces figures de l’art, avec cette funeste décomposition française au sein du ministère de l’Inculture, me laisse dévastée.
Je sais ce que veut dire la douleur de voir les trésors artistiques se dégrader mortellement par la mauvaise gérance des ministères.
Vous programmez d’écrire une lettre à la personne qui aurait dû s’en occuper de restaurer le musée du Louvre comme un tâche à faire avec urgence absolue ?
Cet élément aurait dû le faire immédiatement après avoir été nommée pour une tâche qui la dépasse et qu’elle n’aurait jamais dû recevoir.
J’ignore si vous adhérez à sa nomination.
La politique oblige à tous ceux qui s’adonnent à cet exercice à s’incliner et faire des compromissions, je n’ai pas été éduquée à ce type d’exercice mal nommé existentiel.
Les questions de gérance de ce gouvernement m’effraient et notre ancien ministère de la Culture s’est transformé depuis plus d’un demi-siècle en un simple lieu utilisé pour nommer des minables personnages avec des intentions politicardes et éloignées des affaires sérieuses de l’Art. C’est ainsi que notre France d’autrefois s’est transformée en un gigantesque parc des HLM délabrés en état de putréfaction.
Un assainissement bien profond que les canalisations a besoin notre chère France et sachez que ma souffrance n’a pas de fin au regard des dégâts qui produisent ces éléments néfastes au sein de mon Paris adoré.
Mon Paris, ma chère ville d’adoption et d’attache se métamorphose en ville en état presque irréversible de décomposition, de déchet entre les griffes des éléments que, si j’avais une charge politique, je mettrais dehors ipso facto à tous ces malfaisants et malfaiteurs pour nommer des véritables connaisseurs de l’Art capables d’exercer parallèlement à leur connaissances profondes des matières esthétiques, l’adroite manière de mener à bien, sa particulière gérance qui n’est ni un cabaret ni la mise en place d’un festival de musique Rap.
Celui qui devrait gérer le Ministère devrait être à l’opposé de ceux qui sortent de bas-fonds et qui s’exercent dans la pratique des coutumes et vocabulaire de la pègre.
Je vous souhaite Madame la conservatrice beaucoup de courage et je prie pour qu’un miracle politique vienne vous aider très vite, les J’imagine ce que vous devez endurer sans financements et subir ce désastre, car l’Art, mis à part qu’il est une question sublime, spirituelle et une grâce pour l’âme, nous savons que l’Art et, la peinture en particulier est la plus chère et la plus exigeante des arts, c’est pourquoi son exercice sans argent est de l’héroïsme, une vie sacrificielle et une entreprise vouée à l’échec sans argent.
La peinture n’exige qu’une seule chose après la maîtrise de sa connaissance : l’ARGENT.
Madame la conservatrice du musée du Louvre, je vous prie de bien vouloir compter avec notre soutien spirituel et affectif.
Je prie pour que mon pauvre Paris soit très vite libéré et redevienne le vrai Paris qu’ils nous ont usurpé.
Il devra nécessairement renaître de ses cendres.
La question angoissante qui me persécute, si pressante et dont je ne trouve pas la réponse, est… Mais quand ? !
23 janvier, 2025 (09:18) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
PANNEAU ANNULATION TRAIN VERS POISSY 18 h 53
PANNEAU ANNULATION TRAIN VERS POISSY 19 h 36
ARTICLE DÉDIÉ AU PDG DE LA SNCF
LES POLITICARDS MAZAMORRA
ET DES CITOYENS-MOUTONS A L’ABATTOIR
POISSY ET L’ENFER
DE TOUS SES TRANSPORTS EN COMMUN
MON DÉAMBULATEUR ÉCRASÉ PAR LE CHAUFFEUR DU BUS KEOLIS A POISSY
NON REMBOURSE DEPUIS LE 1 JANVIER 2024
MERCREDI 22 JANVIER 2025
ARTICLE DU PARISIEN
SNCF. Panne à Saint-Lazare : le trafic interrompu sur une partie de la ligne J entre Paris et les Yvelines Mercredi 22 janvier 2025, une panne survenue à Saint-Lazare provoque l’interruption du trafic sur la ligne J entre Paris et les Yvelines. Des difficultés au moins jusqu’à 22 heures.
Par Rédaction Paris Publié le 22 janv. 2025 à 19h13 Il va falloir faire preuve de patience. Mercredi 22 janvier 2025, vers 16h30, un incident signalé à hauteur de Saint-Lazare provoque l’interruption du trafic sur la ligne J entre la gare parisienne et Houilles-Carrières (Yvelines) dans les deux sens. Le reste de l’axe est fortement perturbé. À lire aussi C’est une « panne sur les installations du gestionnaire de réseaux – dysfonctionnement du système de signalisation » qui provoque ces grosses perturbations sur la ligne J ce mercredi soir, précise la SNCF sur sont compte X. Outre l’interruption de trafic entre Saint-Lazare et Houilles-Carrières, la circulation est à la peine entre Houilles-Carrières et Mantes-la-Jolie (Yvelines) / Vernon (Eure). En attendant, la SNCF invite les voyageurs à emprunter des itinéraires de substitution. Les difficultés devraient persister au moins jusqu’à 22h47 selon le compte de la ligne.
Chers Lecteurs,
Les « journalistes » donnent avec leurs dires totalement disparates ce qu’est la France gérée par des politicards MAZAMORRA qui se permettent de donner une vie des plus abominables aux citoyens qui sans esprit critique, faute exclusive du ministère de l’Ignorance Nationale qui a créé une masse de CITOYENS-MOUTONS qui sont soumis et en silence se laissent conduire à l’abattoir tous les jours, convaincus qu’ils sont, tous ces malheureux que ce qui nous est arrivé hier et tous les jours à la gare Saint-Lazare arrive « par un commandement divin », moi, je dirais un commandement diabolique du PDG de la SNCF qui gère de manière satanique son entreprise, et lui et tout le monde croit fermement qu’il faut rester soumis et se taire.
Comment pourraient-ils imaginer que les dysfonctionnements à répétition de la gare Saint-Lazare sont des incidents rares, non, tous les usagers de la gare Saint-Lazare savent que les dysfonctionnements sont récurrents et qu’ils ne se produisent pas par des travaux qui sont annoncés d’avance, non les dysfonctionnements qui provoquent des retards des transiliens et les annulations, sont intempestifs et récurrents. Qu’ils ne viennent pas s’excuser avec la sempiternelle phrase qu’ils font des recherches minutieuses et que c’est une anomalie exceptionnelle. Je connais votre gare Saint-Lazare monsieur le PDG, depuis 1990, toujours parisienne, jeune professeur d’espagnol, je devais aller travailler au lycée Saint-Exupéry à Mantes la Jolie et être au lycée à 8h !!! Pour ce voyage journalier, je devais programmer de sortir à 4h30 du matin de chez moi ! Une fois à la gare Saint-Lazare commençaient les problèmes et que dire pour le retour !!! 1999-2025 votre gare Saint-Lazare reste au même stade : ABOMINABLE ! Une fois arrivée à Mantes la jolie, mon trajet n’était pas fini, non, il fallait encore prendre un bus et après marcher un bon trajet jusqu’au lycée, que dire après pour le retour, je dépensais presque 5 h de transport par jour, obligée à subir les mêmes attentes et les mêmes annulations ! Nuance, à présent, je n’ai pas 35 ans !!!!
Pour traverser en bonne due forme cet exploit habituel de « travail » de professeur, où ce qui comptait c’était mon endurance physique pour supporter une démarche sportive dans l’enseignement « littéraire », tous les ministères confondus se chargeaient et s’occupent maintenant de donner une vie misérable aux citoyens français.
Hier, désespérée de voir la foule à mon arrivée à la gare Saint-Lazare, au milieu de l’après-midi, de retour d’un rendez-vous médical chez mon ophtalmologiste, n’ayant pas pu trouver un taxi conventionné de retour, j’ai dû m’approcher de la gare Saint-Lazare croyant pouvoir rentrer très vite. Mais c’est fut impossible.
En regardant le panneau sans cesse, la SNCF nous annonçait le suivant dans 30 minutes, c’est debout au milieu de la foule que j’ai dû supporter quatre heures ! Au bout de ces 4 heures de torture, pour éviter le pire, je tiens à ma santé et à mon bien-être, je n’ai rien d’une martyre et d’une masochiste, tout le contraire, je n’ai plus supporté et dû faire appel aux agents de l’Assistance, les « responsables » se sont moqué de moi, et riaient de mon déambulateur et de mes réclamations de ce retard, l’un d’entre eux m’a dit : « si vous n’êtes pas contente, prenez un taxi »
Alors furieuse, je lui ai répond:
« C’est votre syndicat qui vous commande de répondre de la sorte à une personne handicapée qui ne peut plus rester debout en train d’attendre 4 heures votre train ?! Sachez que je ne serai plus jamais sensible à vos revendications et vos grèves !
Face à une désobligeance pareille de ce responsable de la SNCF, j’ai insisté auprès d’une autre fonctionnaire, elle a été très professionnelle et très sensible à mon état, j’avais la vision trouble par les gouttes que j’avais eues pour me faire l’examen de fond d’œil et je ne voyais pas clair pour essayer encore de trouver un taxi conventionné.
Elle s’en est occupée magnifiquement bien. Elle n’a pas lâché son affaire pour m’aider, et s’est activée jusqu’à réussir à me trouver un taxi, elle a pris son portable et n’a pas cessé de téléphoner les lignes parisiennes de taxis conventionnés jusqu’à trouver un qui a accepté à 9h du soir arriver me chercher au poste de personnes handicapées pour finalement me sauver et rentrer chez moi. Je le dis publiquement, cette fonctionnaire de la SNCF m’a sauvé la vie hier soir. Je suis arrivée à Poissy à 10 h du soir, j’étais partie de Poissy à 11 h 30 du matin, pour un rendez-vous médical à Paris à 16 h, qui n’a duré qu’une heure. Si j’habitais Paris, je serais totalement indépendante et autonome, sans besoin de taxi conventionné et sans plus jamais savoir qu’existe encore la pire des gares de toute la France et de toute l’UE : votre maudite gare Saint-Lazare ! Je me suis promis d’agir et cette fois-ci ce ne sera pas à la manière douce, je vous le confirme. Cet exploit dans les transports de la gare Saint-Lazare, j’ai dû les subir quand j’étais une jeune PROFESSEUR-ESCLAVE du ministère de l’Ignorance Nationale avec BAC+8, traînée dans la boue de l’administration « éducative » par une France terrassée d’injustices et couverte d’ignominie par une honteuse gérance politique des plus misérables.
J’étais payée d’un salaire de misère, celui qui me donne à présent une retraite indécente et je me suis souvenue hier, des anciens retards pour arriver au travail et pour faire le voyage de retour chez moi,
ils étaient en 1999 les mêmes que vous nous offrez à présent en 2025 !
J’ai dû rester débout 4 heures, ce qui m’est interdit pour mon handicap aux genoux, la SNCF devrait me dédommager du prix de ma Carte Navigo que dans cette maudite commune d’enfer de Poissy n’est pas gratuite pour les vieux handicapés comme elle l’est à Paris, pour les vieux parisiens.
MONSIEUR LE PDG DE LA SNCF, VOUS NE MÉRITEZ VOTRE POSTE EN OFFRANT AUX USAGERS
FRANÇAIS, UN SERVICE DE TRANSPORT TRANSILIEN DES PLUS HUMILIANTS ET MINABLES DE
TOUTE L’EUROPE.
Je vais revendiquer mes droits pour obtenir mon retour à Paris de toute urgence, cette fois-ci ne sera pas d’une douce manière, je vous le confirme.
22 janvier, 2025 (12:09) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
« LES CHIENS ABOIENT LA CARAVANE PASSE… »
1. MASCARADE SUR L’INFLATION. 2. LE PROTECTIONNISME. 3. ET LA DISCRIMINATION ABUSIVE
VIS-A-VIS DES HANDICAPÉS
DU MAGASIN U
DE POISSY
Chers Lecteurs,
Quelle nouveauté nous présente le journal de ce matin !
L’extra-ordinaire l’entretien fait au PDG du magasin U.
Je m’y rendais pour faire mes courses au centre-ville de Poissy, l’enfer de Poissy Beauregard s’étend aussi à son Centre-ville, et ça n’a aucune importance, ce que je viens de recevoir de leur part et qui s’appelle « discrimination abusive » vis-à-vis de mon handicap, n’aura pas lieu une seconde fois, car je n’y irais plus jamais.
Ça tombe bien et ne me fera plus de préjudice, parce que dès à présent ma période de famine a commencé pour 12 mois, il faut bien calmer l’avidité funéraire des charognards de la mairie de Paris. L’avidité funéraire, de l’État, il faut que les pauvres atypiques qui se soucient de donner une tombe digne à leurs morts, calment les charognards avec leur famine, tout en faisant l’équilibre improbable pour ne pas tomber au caveau à la fin de l’épargne !
Je vous le dirai en février 2026 si je reste en vie, naturellement.
Bien, cette didascalie faite, je vais à l’essentiel.
Dès mon arrivée malheureuse dans cette commune, je n’étais si handicapée, je venais d’arriver de PARIS ! C’est par l’exercice des escaliers que mon handicap s’est aggravée de manière irréversible, je marchais sans l’aide de mon déambulateur, assez costaud et joli, car muni d’un sac de courses, il est fait pour aider les vieux à rester autonomes et faire leurs courses, sauf qu’il est conçu construit en Norvège, pour que la personne handicapée l’utilise par terrain plat et non en 3ᵉ étage sans ascenseur, où 84 marches, l’attendent pour monter et descendre et, par deux fois avec les courses !
Ah ! La Norvège !
Il est connu de par le monde la facilité qui donnent les pays nordiques aux personnes en situation de handicap, c’est la France qui se note comme le pire des pays de l’UE pour traiter les handicapés et dès leur premier âge jusqu’à nous qui sommes déjà avec un pied dans la tombe.
Ici, dans cet immeuble de VILOGIA, je dois traîner par les marches un déambulateur de 8 kilos et rempli des courses faisant largement une cinquantaine. Il supporte jusqu’à 80 kilos de courses, mais je le redis toujours en terrain plat.
Ceci dit, depuis que ce magasin U a ouvert ses portes au Centre-ville, je devais y aller en bus, car la supérette Carrefour d’à côté m’interdit d’entrer avec mon déambulateur, pourquoi ? Selon les gérants,
« je peux VOLER leurs marchandises !!! »
« VOUS ME LAISSEZ VOTRE CHARRIOT A L’ENTRÉE ! »
S’écrie le gérant.
Je réplique que ce n’est pas un charriot et que je dois m’appuyer pour faire mes courses. Ni ma carte de la MDPH ni mon offre d’ouvrir le sac avant de payer, ne fait de l’effet au gérant, il me dit qu’il doit respecter son « protocole ».
Et c’est depuis une année, je n’y vais plus faire mes courses dans cette supérette Carrefour.
J’allais au centre-ville de Poissy.
Le magasin U depuis un mois pratique le même système de discrimination vis-à-vis des handicapés.
Mais il y a des nuances, car j’ai rencontré des plus vieilles que moi et qui se font livrer, qui sont bien accueillies et jamais molestées à la caisse. Bizarre non ?
Encore un autre magasin où je ne mettrais plus jamais les pieds !
Chez le magasin U, je n’ai jamais rencontré de problèmes jusqu’à il y a juste un mois qu’une nouvelle caissière a été embouchée.
Elle est d’allure très distinguée !!!
Dès qu’elle m’a vu, elle a attrapé une sorte de détestation accrue. ET… GRATUITEMENT.
Je l’évite, mais la semaine dernière, il n’y avait pas d’autre caisse ouverte, il n’y avait qu’elle aux commandes.
Une fois que j’arrive à sa caisse, elle a dit au vigile :
« VIENS, FOUILLE-LA ! »
Lui, qui à l’entrée se prend pour un agent du FBI, m’exige d’ouvrir le sac du déambulateur, j’avais les
mains occupées avec mes courses que la distinguée caissière passait à la vitesse de la fibre et je devais
les ramasser aussi vite qu’elle, alors je lui ai dit, ouvrez mon déambulateur monsieur, il est vide et si
vous voulez voir mon sac à main, ouvrez-le ! Vous ne voyez pas que je suis occupée ? »
Après tous ses désagréments, suivis d’un chapitre risible d’un théâtre de boulevard, où je dois voir la caissière qui devant toute la file d’attente met mon chèque contre la lumière comme si s’agissait d’un billet et tout le monde regarde qu’elle inspecte longuement le chèque et ma carte d’identité, c’est un jeu programmé qu’elle a l’habitude de pratiquer uniquement pour moi. Dans un mois, et depuis son arrivée, je l’ai rencontrée trois fois.
Je demande d’appeler le « responsable »
« C’est à quel sujet ? »
Au sujet de mon handicap, et de mon déambulateur que seulement depuis l’arrivée de cette caissière, je ne peux pas faire mes petites courses en paix. « Le responsable » arrive et avec des phrases visqueuses, il défend sa caissière et son protocole.
À présent, je ne poursuis plus aucune sorte de polémique. Et, avec personne.
Je laisse faire…
« Les chiens aboient et la caravane passe ».
Je sais que je suis « en France » …
Oui, vous avez raison, je serai une éternelle immigrée, personne ne m’a invitée et c’est ma faute si je suis là. Vous avez entièrement raison.
Mais il y a deux graves difficultés, je suis vieille et sans argent, donc je ne peux pas quitter le pays et vous laisser en paix !
Ils ont perdu une cliente, mais cela les indiffère, ils ont suffisamment des clients pour poursuivre leurs ventes à des prix exorbitants.
Mais , c’est une autre chose ce qui nous dit son PDG.
Selon les dires du PDG du magasin U, concernant leurs avantages tarifaires que je vais éclaircir les choses.
C’est avec ticket de caisse comme « preuve en l’espèce » que je peux affirmer que tous leurs produits sont 1 € ou plus de plus cher qu’ailleurs, et l’on ne trouve jamais des formats économiques et il y a toujours des produits manquants, cela provoque une gêne insurmontable pour une personne que pour trois produits indispensables doit revenir, par le transport en commun et de surcroît handicapée et par des bus où il y a refus de placer la rampe.
Avant de fermer cet article, je vais vous donner un exemple qui reprend la publicité que ce PDG fait de sa boutique :
1 kilo de pommes d’origine Française
5 € le kilo !
Cela fait 4 pommes.
C’est celle-ci sa contribution de lutte contre l’inflation ?!
Si lui croit qu’avec une retraite qui n’arrive même pas au Smic, on peut se payer 8 fruits et légumes par jour comme le dit la Sécurité sociale et les médecins, il est très loin de contribuer !
Alors voici ma proposition, il serait judicieux qu’il soit la CPAM et les médecins qui ne nous livrent que des bons conseils verbaux, pour nous alimenter convenablement, qu’ils nous délivrent des bons d’achat qui remplissent notre panier de vieux retraités payés avec injustice de retraites de misère.
Mais, les PDG et le gouvernement, par le moyen de leurs institutions, ils poursuivent leurs discours
André Comte-Sponville vient de déclarer dans un entretien dans l’Express que maintenant que sa mort s’approche, il se sent « léger ».
À la lecture de ses dires, j’eus peur et ma première pensée fut de le croire mourant soit d’un cancer fulminant ou de la maladie de Charcot à présent si répandue et que les malheureux malades exigent à juste titre l’euthanasie. Je suis contre la légalisation de l’euthanasie qui est une approche totalement différente à être contre par des raisons autres que l’ingérence de l’État dans nos affaires intimes comme l’est le droit de mourir comme bon nous semble. Je suis contre toute intervention de l’État dans les affaires personnelles et la décision d’une personne de comment organiser sa vie et sa mort, relève de l’intime absolu, l’État doit rester en dehors de toute commande, il est déjà trop présent et trop pressant dans toutes les affaires de la Cité jusqu’à l’étouffement. N’oublions pas que nous sommes en train de survivre sous une dictature invisible qui régule tous les actes de notre vie.
Quand j’ai pris connaissance et en détail en quoi consiste cette horreur de maladie, moi qui suis courageuse pour toute sorte de douleurs, je ne supporterais point de survivre en prison de mon propre corps et le pire, dépendante des tiers !
Cela jamais ! mon indépendance et ma solitude, je les défendrais jusqu’à mon dernier souffle. Laissons.
Ensuite, je me suis dit, qu’est-ce qu’il dit ? Est-il centenaire ?
Alors, je suis allée consulter Wikipédia et je constate à ma plus grande surprise qu’il n’a que 72 ans !!!
Ou bien, c’est une pirouette intellectuelle propre aux philosophes, médiatiques ou bien, en dépit de la hauteur de sa pensée quelque chose dysfonctionne, car pour un homme âgé de seulement 72 ans se croire mourant et léger en annonçant l’heure proche de sa mort me paraît bien déroutant et contraire à la raison.
Vous devez vous interroger, pourquoi insiste-t-elle si déjà en fin de parcours et déjà vieille, avec ses années contées avant de mourir, insiste-t-elle à nous faire la description des marchands de l’Art à Paris ?
C’est précisément pour cela, parce que je suis en mesure d’accuser, et d’analyser cette situation de rejet qui m’ont toujours prodigué les autorités qui tiennent les ficelles du commerce de l’art et que je connais parfaitement bien, et maintenant que je suis vieille, je bénéficie encore de plus des preuves et avec tous les éléments à mon avoir pour être en mesure de juger et d’accuser afin de me défendre des fausses et ignominieuses accusations qui reçoivent presque tous les êtres qui vivent en échec et dans la pauvreté, s’ils sont pauvres, c’est leur faute.
À mon âge tout m’est interdit.
La jeunesse, si elle est intelligente, je ne m’occupe pas des imbéciles, ne supporte ni pour une seconde une situation choquante qui bloque la réussite de son avenir. C’est pourquoi j’ai fui le Chili avec Maman et qu’en son nom, je me suis occupée de faire la Donation Gazmuri en son nom et que j’ai déployé tous mes efforts dans ma mission artistique pour lui donner la place esthétique qui méritait le peintre Hernán Gazmuri, je l’ai finalement obtenue et j’ai été sortie victorieuse de ma « mission artistique » comme la nomma l’Académicien René Huygue.
Je suis sortie victorieuse de ma mission, certes, un exploit que j’ai entrepris seule sans l’aide de personne que l’appui en traveler’s chèques que je portais avec moi pour survivre la première année de mon arrivée en France jusqu’à obtenir ma Carte de séjour et un travail pour justifier ma présence en France, rien ne me fut donné, rien que l’argent de mon père ne m’a aidé à mettre les pieds sur le sol parisien, cette entrée que maintenant des Femmes-Serpents de l’administration, minables au plus haut point, se permettent de bloquer mon retour dans un autre minable HLM.
Le peintre Hernán Gazmuri est inscrit dans l’histoire de la peinture comme peintre disciple d’André Lhote et appartenant esthétiquement à l’École de Paris, la Donation Gazmuri est entrée compléter les Collections de l’École de Paris, C’est L’Académicien René Huygue qui l’a définit ainsi dans une lettre et depuis 1983, le peintre Hernán Gazmuri forme partie du Patrimoine de la France.
Mais cette mission fut accomplie et réussie en échange de toute ma jeunesse faite de sacrifices innommables et de tragédies indicibles.
Une vielle ne peut plus agir.
C’est une question à la marge du temps comme le vulgo le croit, le temps n’a rien à voir ici !
Du point de vue philosophique le temps n’existe pas, c’est nous qui passons par le temps, donc c’est une affaire purement chronologique, il s’agit d’une question si simple, il nous est demandé de compter nos années, plutôt les mois qui nous restent à vivre et de là sortir nos conclusions et notre maigre programme pour agir.
C’est ça et rien d’autre la vieillesse. Le bref laps de quelques mois dont nous disposons pour agir. Et, quand on est vieille, nous savons que les mois passent encore plus vite.
C’est pourquoi, j’insiste à faire la description du désastre français.
Précisément pour cela, parce que c’est à la fin de mon parcours que je suis en possession de toutes mes tentatives infructueuses face aux inférieurs devant lesquels je n’ai qu’un seul regret, avoir fait une tentative de convaincre et de les sensibiliser.
Mon ancienne Professeur de violon, m’a dit en riant il y a déjà des nombreuses années quand je lui faisais le récit de mes échecs en offrant mes toiles et mes livres, : « mais Florence, s’il te plaît ! Tu te crois au XVII siècle ! C’est un autre monde maintenant ! »
Je lui ai répondu : « tu as raison, mais l’art est éternel et ce sont ces imposteurs qui prennent une place qui ne leur correspond pas qui doivent quitter le champ, pas moi. J’essaie de convaincre ».
Elle avait raison.
Je me suis trompée.
Les peintres que ces imposteurs défendent triomphent. Ils sont adulés dans tous les cercles de plus riches industriels et mécènes qui s’en occupent et comment ! de les faire monter aux enchères. Je sais que bon nombre d’entre eux me guettent et attendent ma mort pour venir faire le pillage, soyez déçus ipso facto. En vous connaissant tout au long de ma misérable vie en France, 43 ans ce n’est pas rien, j’ai pris mes précautions, pour commencer la mise en place chez moi d’une sophistiquée Télésurveillance couteuse pour ma misère de retraite, j’ai dû la placer en urgence face aux menaces de mort dans cette distinguée et luxueuse Cité HLM de Poissy, remplie d’appartements Haussmanniens !!!
Dans ce pourri appartement HLM, j’ai dû faire installer une Télésurveillance en fonctionnement renforcé 24/7 comme si j’étais une starlette ! Rien de plus ridicule, mais j’ai dû le faire pour me protéger. Et je ne me séparerai plus jamais où que j’habite, la télésurveillance sera là.
J’ai payé mes obsèques, j’ai écrit mes dernières volontés et j’ai rédigé mon Testament Olographe.
Le pillage n’aura pas lieu.
Il ne vous restera même pas un fil de mes toiles et vous n’aurez même pas une seule page de mes livres.
Le « problème » du commerce de l’art en France et tout particulièrement à Paris, il entre en rapport avec la mort des peintres, c’est pourquoi j’ai pris comme introduction ces dires nécrologiques de ce philosophe médiatique.
Je suis en mesure de dire avec des preuves en l’espèce que je ne me suis pas arrêtée ni par une seconde de travailler ma peinture et mon écriture et d’essayer de trouver ma place, la place que je mérite, parmi l’avalanche de peintres et le tsunami d’écrivains français, je ne peux pas dire des poètes, car ma poésie a été toujours rejetée pour ne pas entrer dans les priorités des maisons d’édition, où c’est plutôt moi qui n’entrerai jamais dans aucune priorité des gérants de l’art français, cela serait motif de lourdes conséquences pour quitter la France ipso facto, eh oui, si je ne le fait pas, c’est uniquement parce que je suis vieille, les critères et les intérêts d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec le mépris que je reçois des politicards bien assis dans leurs postes.
Je comprends… J’ai répondu.
J’évitais et je me refuse d’entrer dans tout type de polémique soit avec l’administration ou avec des particuliers chaque seconde du peu de temps que j’ai pour moi, je me réserve sans parler ni discuter.
Ce qui intéresse en matière de littérature, c’est d’exposer le descriptif d’autre type d’échecs que je n’ai jamais eus.
Les « écrivaines » font dans leurs « nouveaux romans » le récit détaillé de leurs IVG, elles font l’historique minutieux dans leurs « romans » de leurs déceptions dans leur combat pour leur féminisme.
Des nombreuses pages sont consacrées à faire le récit de leurs déceptions amoureuses, si le tourisme sexuel qu’elles pratiquent depuis leur plus jeune âge, à peine sorties de l’enfance, on peut le considérer « amour ».
Je viens de lire que des libraires ne savent que faire de l’avalanche de livres, des romans invendus, d’autres sont attendus avec files d’attente en librairie comme la nouveauté de l’année. C’est assommant ce qui se passe, le manque de théories comme le dit André Lhote, n’a formé qu’une crétine croyance que quiconque prend une palette, des pinceaux pour barbouiller des toiles peut devenir artiste peintre, ils s’émerveillent devant des horreurs sur lesquelles le dessin est absent ou bien devant des dessinateurs de grossière qualité bien pire que les pompiers. Enfin, ces mécènes et faux galeristes nous montrent une rustre manière d’évaluer des productions qui ne méritent pas une ligne de commentaire.
Si les grands experts de l’Art, notre Malraux, André Lhote et Kahnweiler ressuscitaient et qu’ils jetaient une légère vision et une brève analyse sur les horreurs qui s’exposent et les livres qui sont publiés par des milliers d’exemplaires, mes trois élus adorés qui me motivèrent pour fuir le Chili, je peux vous affirmer sans le moindre doute, que tous les trois feraient table rase de cette immondice, pour donner l’ordre de tout bannir pour tout recommencer. C’est ceci ce qui doit, faire un ministre, être capable de juger, de faire une critique et d’agir, mais pour ce fait la méritocratie doit être exclue des modalités gouvernementales et sociétales. On ne doit pas savoir de comment a obtenu son parcours une personne, ce qui nous intéresse est ce que ce ministre dit a fait. Qui soit élu un exemplaire de la pègre qui n’a créé rien dans sa vie est à expulser du champ ministériel. Un poste se mérite, et pas seulement par le moyen de diplômes avec des « passable ». Un poste ministériel tout comme une place dans une université se justifie avec des travaux et publications personnelles annuelles, Des chefs de Service hospitaliers, des bons chirurgiens publient des articles scientifiques en permanence et démontrant avec ses recherches qu’ils méritent le poste de privilège qu’ils occupent.
Les Professeurs universitaires de mon pays natal ne peuvent ni obtenir ni garder un poste en Faculté s’ils ne publient tous les ans des œuvres d’auteur comme se nomment leurs publications. En espagnol se dit : « Obras autorales ».
Ici en France s’est installé grâce à la « politique MAZAMORRA », l’élection d’arrivistes et des nouveaux riches qui ont monté par le moyen d’une prostitution de luxe où au lieu d’exposer des travaux personnels, elles exposent sous les applaudissements la galerie, leurs dernières garde-robes ostentatoires d’une indécence à donner la nausée. Les crétins sont ceux qui croient que le succès de ceux qui montent d’en bas, c’est la récolte faramineuse de leur prostitution de luxe qui accorde ces privilèges matériels. Si nous avions au sommet de l’État des véritables ministres de l’Éducation et de la culture, la France serait libérée de la laideur qui l’envahit des productions hideuses, la France serait nettoyée du kitch, de l’injuste valorisation du faux, et il n’y aurait plus de place pour la surproduction de ce faux commerce de l’art pictural qui a prostitué la peinture et ils feraient retirer des rayons ce qu’ils nomment la nouvelle « littérature ».
Philippe Sollers disparu, mis à part un prix Nobel que j’aime, je cite Peter Handke et deux Académiciens qui publient encore un roman tous les deux ans, la France survit en léthargie, nous avons tout perdu avec la disparition de ce fabuleux écrivain qui était Philippe Sollers qui animait et nourrissait comme aucun autre avec sa femme aussi singulière que lui-même, la vie intellectuelle parisienne, nous nous sommes régalés à chaque fois que ses interventions télévisées arrivaient à notre salon pour éveiller en nous l’esprit critique et le rire intellectuel, il est si rare le rire intellectuel et l’ironie, cette défense des faibles comme la nommait Vladimir Jankélévitch. Les interventions de Sollers grâce à son langage percutant et ses affirmations fougueuses, nous enrichissait en permanence, chaque intervention annoncée, c’était une fête, je partais au travail et laissais seule Maman , elle lisait calmement ses romans, et que dire de ses critiques acerbes, érudites et pertinentes,; la vie intellectuelle d’un Paris bouillonnant s’est éteinte depuis sa disparition et nous sommes orphelins du maitre, Paris meurt entre les griffes de la pègre agrippée à l’Inculture et nous plonge dans une misère des mots et d’idées.
UNE ÉTRANGÈRE EXTRATERRESTRE EN FRANCE
Parce que chez moi en tant qu’éternelle étrangère en France, plus qu’étrangère, je dois dire extraterrestre et dotée d’une invisibilité forcée de tous mes travaux artistiques aussi bien les picturaux que les littéraires, parce que ceux qui dirigent les cercles et galeries m’ont toujours et systématiquement fermé l’accès au développement de mon art. C’est très suspect, j’en conviens. Un néophyte me demandera :
et pourquoi ?
Je le redis, c’est exactement comme si un Juge demandait à une victime la raison pour laquelle elle a été agressée ! Si nous acceptons cette question, même en provenance d’un ignorant, nous laissons la voie ouverte à une polémique qui n’a pas lieu d’être, car c’est grotesque et indécent de placer une artiste sérieuse dans une situation trouble et située dans l’improbable place de coupable parce que son art est rejeté pour, je ne sais pas, par quelle raison obscure, et d’être ainsi considérée par son travail de peinture, la propre instigatrice de son échec !
Le « problème » du commerce de l’art en France et tout particulièrement de Paris entre en rapport avec la mort des peintres, c’est pourquoi j’ai pris comme introduction ces dires nécrologiques de ce philosophe médiatique.
À présent la philo est médiatisée, c’est nouveau depuis une quarantaine d’années… Moi, j’avais de la philosophie la vision qui me donnèrent mes deux professeurs de la Fac de Santiago, Monsieur Paredes et Monsieur Christian Pulido, deux éminences diamétralement opposées. Le premier, à la figure frêle et très discret, regardait avec bienveillance l’amphithéâtre qui se taisait dès qu’il faisait son apparition ; il était toujours habillé de gris à l’aide de vêtements très classiques et qu’il commençait en première année de philo à nous parler de Platon, la philosophie était une de nos disciplines obligatoires pendant nos cinq années d’étude de la Pédagogie, elle formait le corpus de formation de Professeurs, en complémentarité au cursus obligatoire de l’étude de notre discipline.
À la différence de la France !
La raison principale de la détestation que j’éveillais au sein de l’Éducation de l’Ignorance Nationale.
À la fin de son cours, je m’approchais toujours à sa table pour lui parler, j’étais si jeune, à peine sortie du lycée, le fait de me sentir si bien accueillie et en train d’étudier de si importantes matières me remplissais d’orgueil. J’eus pendant tout mon cursus la note la plus élevée, un 100% . J’avais promis à papa de ne pas le décevoir et de m’appliquer à bien étudier pour devenir autogestionnaire et indépendante ; il n’avait qu’une obsession à ses 72 ans, se croyant « vieux », il se nourrissait seul d’une peur terrible de me voir sans sa protection, il était obsédé par le danger qui comportait la possibilité de mourir subitement et c’est pour ça qu’il s’efforçait pour me laisser avec un diplôme pour faire face à la vie, « à gagner mon pain » en toute indépendance, comme il me disait tout le temps.
Je n’ai jamais eu besoin de travailler pour faire mes études, je menais une vie régalée, et il m’a fait prendre conscience de mes privilèges, surtout concernant ma formation d’artiste peintre qu’il me donna de première-main, il m’a dit : « à tes seize ans, tu apprends de moi l’enseignement de Lhote, ce que j’ai dû à mes 28 ans ; aller chercher à Paris et qui m’a couté presque ma vie, j’ai failli mourir de faim».
Une fois arrivée à Paris, le massier du peintre Yves Brayer m’a dit : « tu as une grande obligation, tu dois poursuivre ton travail de peinture, tu le dois à ton père. Ne l’oublie jamais. »
Mon Dieu ! S’il me voyait maintenant, dans mes vieux jours dans la misère ! Après avoir dilapidé son héritage, après avoir étudié et travaillé toute ma vie tout en soutenant jour et nuit ma pauvre et sublime Maman, il serait mort une seconde fois.
Bon, papa n’avait jamais envisagé que je quitte mon confort matériel que j’avais grâce à son travail de Professeur universitaire. Je ne suis pas née au sein d’une famille d’entrepreneurs ni d’industriels fortunés, ma famille était formée par des intellectuels et d’artistes, je ne viens pas de la méritocratie ni suis une arriviste, ma position sociale est des plus réservées consacrées aux choses de l’art, à l’étude et à prendre conscience naturelle des choses de l’art qui est mon seul intérêt dans ma vie et depuis ma naissance. Vous pensez que j’exagère ? Non, parce que Maman, pianiste, ne cessait pas de faire ses sept heures de piano, de préparer ses concerts, et pour ce fait, elle plaçait mon berceau à ses côtés tandis qu’elle jouait le Clavecin bien tempéré, que je connais par cœur. Des études affirment l’importance pour un bébé d’entendre dans le ventre sa mère, sa voix et la musique, c’est pourquoi il est d’une aberrante dégénération la vague des mères porteuses, un sacrilège vis-à-vis de l’humanité qui a été renforcée ces dernières années et d’une virulente manière dont l’Ukraine et son souteneur président YouTube sont le plus vif représentant de la vague du commerce des ventres des mères porteuses qui ne méritent pas le nom des « mères », mais de « prostituées porteuses des monstres ».
Il a fait de cette province de la Russie la plus dégénérée de la planète.
La vérité est que j’ai été une privilégiée bien avant ma naissance, ce que je suis, je le dois uniquement à mes parents vénérés.
Je n’appartiens pas à ma méritocratie, je n’ai fait aucun effort pour changer « de classe sociale » je n’ai jamais eu besoin de rien métamorphoser, je garde la mienne, de naissance et de privilège. Dans mon pays natal, dans ma vie d’étudiante, j’ai étudié sérieusement, mais jamais de petite, surtout les trois dernières années, avant, c’était l’art qui me motivait, non de faire une carrière. C’est mon père qui s’est fortement opposé, il m’a dit : « une femme seule artiste peintre ? Tu veux récolter le même résultat que moi ?! Ça jamais, je ne t’enseigne la peinture que si tu entres à l’université ».
C’était lui qui commandait à la maison et il avait entièrement raison.
Je n’ai jamais manqué de rien, mon parcours d’études, de collégienne chez les religieuses, passant sans entraves vers les études secondaires dont les trois dernières années dans un prestigieux lycée privé de luxe qui préparait pour un Bac d’excellence, car il avait des professeurs universitaires tout ça je le dois à mon père qui me soutenait financièrement et intellectuellement et à Maman qui préoccupée jour et nuit de mon bien-être, elle tissait le binôme qui nous formions à vie, jusqu’à ce que ce docteur assassin se consacre à pratiquer le jour de son infarctus, un génocide programmé avant date.
Le corps en souffrance de Maman réclamait une assistance d’urgence. Il lui tourna le dos et avec préméditation, il lui refusa les soins d’urgence dans un programme diabolique pour la faire souffrir et provoquer sa mort, son plan était contre moi, et il utilisa le corps souffrant de Maman pour se venger de moi et laisser l’appartement libre pour son amie. Une autre histoire effrayante que j’ai décrite en détail dans mon livre CONSTANZA ET LA MAFIA DE LA RUE GRISÂTRE.
Ma haine est abyssale et ne s’effacera jamais.
J’ai en moi la génétique des nobles espagnols du côté paternel, le premier de mes ancêtres s’appelait Fernando de Gazmuri.
Et du côté maternel, je viens d’une famille très bourgeoise de Russie où Kiev était Russe, ils parlaient russe et je n’ai jamais eu comme héritage le souvenir de la langue « ukrainienne » ni d’un passé dit « ukrainien » c’est pourquoi tout cet artifice me semble une création politique forcée.
Dès très tôt, mes arrières grands-parents donnaient tous les moyens à leur famille pour que les femmes soient cultivées et qu’elles soient formées dans les arts, ils accordaient une importance capitale à qu’elles obtiennent une formation de premier ordre, chez les femmes, c’était un requis important non pour travailler à l’extérieur, cela était impensable, mais comme un enrichissement personnel, il était un requis indispensable au sein d’une famille, Maman me racontait que c’est parce que ma grande mère jouait au piano qu’à ses deux ans, elle lui exigeait déjà de faire des études de piano. Elle est devenue une musicienne de premier ordre, sublime, c’est pourquoi, papa l’adorait, par sa beauté unique et son talent musical, Le plus grand malheur de papa fut de ne pas pouvoir s’exiler avec elle à Paris pour que Maman puisse avoir la reconnaissance que le Chili lui refusa. Tout fut anéanti…
Par malheur pour moi, les exils furent le principal motif pour que les liens avec la Russie que j’aime tant ne puissent se cultiver pour que je les apprivoise avec facilité, et là aussi ma vieillesse contribue pour que tout projet d’exil que je voudrais avec toutes mes forces ne se réalise pas et la Russie doit forcément rester comme un rêve inassouvi.
Mes ancêtres basques arrivèrent au XVII siècle comme conquistadores, Oh ! mais quelle mauvaise référence pour mon pays d’adoption ! « Des nobles à abattre » par fortune là-bas, il n’y avait pas la guillotine ni de tricoteuses, je suis arrivée les trouver ici, une guillotine invisible et une place réservée pour moi pleine de tricoteuses modernes. Elles seraient plus supportables si, elles étaient à La Place de la Concorde et non ici à la place Beauregard de Poissy !
Je me rappelle qu’une amie m’avait dit un jour : Chut Florence ! Ne dis jamais ça en France !!!! Ici tes ancêtres ne valent rien, c’est notre pire passé et la France est à présent une République ! ».
Je me suis tue et cachée sous-couverte d’un conseil d’amie qui me bâillonnait par peur et pour ne pas paraître prétentieuse, quand en réalité cet orgueil ne va pas plus loin que de se savoir liée à une appartenance dans laquelle certains principes nous font de manière toute naturelle d’être intransigeants avec nos valeurs, ne pas transiger face au Mal, c’est celle-ci notre conduite quotidienne, c’est une marque de naissance réelle dont je n’ai eu aucun effort pour l’hériter. Il est évident que dans mon for intérieur, je l’ai toujours affectionnée et je l’ai gardée pour toute ma vie comme un orgueil silencieux, il va de soi que cela, je ne peux pas le passer sous silence dans ma vieillesse, il n’y aura plus personne pour le dire, ni le faire respecter ; c’est la preuve de porter en soi des vertus qui nous sont données pour les garder et les pratiquer à vie, elles nous reviennent par héritage, il est important et précieux d’avoir en soi un héritage, c’est le sens de l’honneur, la pratique d’une vie vertueuse, et sans tache, et l’exercice d’une spiritualité supérieure qui doit se préserver sans faille et contre tout.
À présent, méprisée par la France, en subissant dès ma jeunesse française depuis mon arrivée à Paris, l’échec programmé de ma profession pour « gagner mon pain » par la main noire des mafieux de l’Éducation de l’Ignorance Nationale et du Ministère de l’Inculture, et déjà si proche de ma mort, je le dis publiquement : je m’en fiche éperdument !
Votre jugement malsain envieux et sadique, j’ai dû le subir depuis mon arrivée, maintenant que la mort s’approche, vous m’êtes si méprisables que je n’ai plus rien à faire de vos jugements, je n’ai plus rien à perdre depuis que le docteur Traître-Tant tua Maman, que je n’ai plus rien à défendre autre que la tombe de Maman et c’est ce dernier combat le seul qui m’oblige à dépenser tout mon temps toute mon énergie et tout le peu d’argent que j’ai, le reste m’indiffère. Je ne serais pas en train d’écrire mes Mémoires cette vie littératurisée du Chili à la France.
« Littératurisée » c’est un néologisme inventé par moi.
Cette didascalie laissée comme introduction de mon sujet central : Les marchands de l’art pictural parisien.
Je reviens sur la noble lignée de mes ancêtres basque-espagnols de surcroît arrivés au Chili des siècles en arrière comme des aventuriers pour donner un autre visage à ce bled perdu qui était le Chili à cette époque-là.
Je n’ai pas à m’en excuser devant les générations politisées. J’étais éduquée en une seule croyance, les basques sont attachés à la terre.
J’ai appris cela de mon père qui était né à la campagne. Mes ancêtres basques-espagnols sont Celtes, lors de ma première rencontre à Paris avec l’Académicien René Huyghe, il m’a dit les Basques sont Celtes, il a effacé le passé énigmatique de basques entourés toujours d’un mystère lié à leurs origines et à leur idiome.
Nous nous sommes adonnés aux choses sérieuses, non à l’adoration de l’or ni au culte de l’argent.
C’est-à-dire, nous avons été préoccupés des choses des plus sérieuses des activités de l’esprit. Donc, ne me demandez point d’adhérer aux manières et coutumes de cette nouvelle France qui a fait monter la pègre et qui la gonfle sans arrêt vers des strates imméritées.
De mon premier Professeur de philosophie, je n’oublierai jamais son regard doux et bienveillant me souriant avec une certaine tristesse. Si savant et si modeste, je me sentais comblée et importante, par ses seuls brefs échanges pour l’adolescente de dix-sept ans que j’étais cette expérience devenait indélébile dans ma formation et formèrent l’essence de mon trésor intellectuel d’un pays qui peu d’années plus tard, s’effondrerait dans les affres d’une dictature sauvage, nous privant de tous ces êtres si savants et si discrets qui pratiquant la plus haute culture dans un silence si pudique face aux turbulences extérieures, nous donnant leur savoir tranquillement à toutes les générations des jeunes futurs professeurs d’État. Mon père, le peintre Hernán Gazmuri fut le fondateur de cet Institut de Pédagogie attaché à l’Université U.T.E. (Université Technique d’État) et il y fit carrière pendant toute sa vie, ne prenant sa retraite qu’en 1972, à ses 72 ans.
Mon second Professeur de philosophie, Christian Pulido, il était un événement chacun de ses cours, nous savions d’avance que nous serions épatés, tant il était théâtral pour s’exprimer que l’amphi entier riait précisément pour ça.
Il était l’érudition faite personne, mais son esprit contrasté faisait une figure totalement atypique au sein de l’université. Je ne l’oublierai jamais. Pulido était Docteur gradué de philosophie dans l’université allemande, il apportait toute fraiche l’École de Francfort directement de l’Allemagne pour nous qui étions à peine sortis du lycée, je me suis nourrie de la première école de Francfort et à tel point cet enseignement s’est gravé chez moi comme une découverte lumineuse et percutante pour le développement de ma pensée juvénile qu’elle a construit le socle de ma seconde activité d’écriture qui fait contraste avec la poésie, la critique sociétale que j’ai faite mienne pour la développer dans mes travaux universitaires pris comme les études d’exégèse de l’écrivain Ernesto Sábato et faisant des études pluridisciplinaires de son oeuvre.
Et, ensuite dans mes essais pour ne l’abandonner plus jamais, j’ai été prise au piège et je l’ai attachée à ma vie pour durer.
De mon Professeur Pulido, je me souviens de ses manières de parler et gestuelles atypiques, de son sérieux pour exposer les sujets le plus difficiles et pour nous faire rire, et de sa phrase qu’il avait comme une habitude de prononcer, sans que personne ait osé rien lui dire pour le contredire, mais il s’anticipait après son exposé, alors il nous regardait nous fixant de son regard et s’écriait : « Ne me discutez pas ! »
Personne n’avait pipe mot, c’était pour ça que nous éclations de rire.
Nous éclations de rire, l’amphi entier riait. C’était tout un spectacle philosophique.
Alors, il est resté à tout jamais entre nous, sa phrase que nous sortions dans nos conversations au café, « ne me discutez pas ! ». Tous nos copains riaient avec l’insouciance de nos jeunesses.
LE PROBLÈME DU COMMERCE DE L’ART
Le « problème » du commerce de l’art en France tout particulièrement à Paris entre en rapport avec la mort des peintres, c’est pourquoi j’ai pris comme introduction ces dires nécrologiques de ce philosophe médiatique.
Il y a quelques années, j’ai contacté Sotheby’s et Christie’s.
Ah ! je vous vois et je vous entends déjà vous écrier !
Elle se prend pour qui celle-là ?!
Ces deux centres de ventes aux encheres m’ont répondu et les experts m’ont dit qu’en dépit de la qualité indéniable de mes toiles et qu’il était évidente la trace de Lhote et de mon père, ils avaient l’interdiction jurdique d’acheter des atelirs des peintre vivants !
Or étant donné que ma gloire post mortem m’indiffère au plus haut point…
Ce que j’appelle un « problème dans le commerce de l’Art ne devrait pas être un « problème », il le devient uniquement quand il y a « prostitution » quand il est entre les mains d’incompétents, quand ceux qui sont sélectionnés ne méritent rien.
Le commerce de l’Art à Paris a un héritage indélébile, il est la création d’un seul homme génial Daniel Henri-Kahnweiler.
Pourquoi ?
Parce qu’il a été le seul qui, formée dans la plus haute connaissance de la philosophie allemande et dans la connaissance sérieuse des choses de l’Art, il les liait à une vertu de tout temps rarissime et à présent disparue, l’austérité personnelle et un sens de l’honneur et modestie dans sa profession jamais égalée.
Il se chargeait de découvrir les artiste peintres et il les gardait, il payait un manuscrit avant même que l’écrivain ne le finisse.
Sa galerie n’exigeait pas que le peintre lui loue les murs comme les faux galeristes d’aujourd’hui qui ne sont que des vendeurs de saucisses et de tapis qui se reconvertissent en marchands d’art l’exigent des artistes peintres, de ceux qui se croient des artistes de premier ordre. Bon si cela leur fait du bien, ils peuvent poursuivre leur auto-émulation à perpétuité ; ils n’entreront dans aucune histoire de la peinture.
Il est nécessaire de présenter un liminaire avant d’aborder notre sujet, de ce matin et qui concerne le commerce de l’art dans ce XXIᵉ siècle en France.
Ce problème grave et insoluble qui écarte les vertueux en matière d’art et qui accorde les places de privilège aux incapables et imposteurs est la misérable pratique et diffusion des arts plastiques en France et de par le monde.
Les choix qui se font pour faire connaître et aider les peintres en France et dans toute l’Europe sont entre les mains des ignorants, leurs choix, hiérarchisent les pires qui se réjouissent de leur hideur se croyant des artistes peintre de la première catégorie.
L’ignorance prend toute la place au sein de ce commerce et elle s’est fondée sur des motivations les plus disparates et les plus étrangères aux choses de l’art ; en prostituant tout ce qu’ils touchent et cette minable manière d’agir se répand depuis plus d’un demi-siècle.
Mais que les ignorants et les rustres agissent de la sorte n’est pas un problème, si vous faites une étude de ce qui se passait à l’époque de LHOTE, il suffit de lire ses traités de la peinture ou d’examiner son abondante correspondance avec ses amis intellectuels de son époque pour se rendre compte que le monde de l’Art en France et de la peinture en particulier n’a pas été très prestigieuse, c’est grâce à Lhote précisément que nous avons eu le privilège de que soit la France le seul pays où la plus prestigieuse École de peinture moderne ait son berceau et que les plus grands peintres transformèrent et créèrent socle de la peintre moderne française ; ce phénomène nommé cubisme est propre à nous, aucun autre pays européen ne peut se vanter d’avoir vu dans son sol « la révélation de la peintre moderne », j’emprunte et je cite les mots de mon maître en peinture, Hernán Gazmuri.
Je laisserai pour la fin de cet article, dans mes CONCLUSIONS, la partie qui me revient d’inscrire comme une déclaration sur l’honneur et ma profession de foi, mon « affaire personnelle », mérite une clarification et en vertu de ma reconnaissance absolue à mon maître en peinture, le disciple d’André Lhote dans les années 28 à Paris, le peintre Hernán GAZMURI, qui m’a formé dans son Atelier Libre crée à la manière de Lhote et à mes maîtres universitaires chiliens qui sévères dans ma formation de professeur de littérature et en langue espagnole, firent tout leur possible en tant que maîtres incontestables, pour que tout au long de mes études sous leur direction, je sois une élève de la plus sérieuse et haute qualité et que je finisse ma formation exemplaire, comme une professionnelle d’élite ; là-bas, il n’est pas sanctionné devenir membre de l’élite intellectuelle comme ici en France, j’ai été formée à leur image, sans eux, je ne serais rien.
Ma CONCLUSION doit rester comme une preuve de fidélité, et je leur dois à la fin de ma vie une déclaration testamentaire, que personne que moi n’est habilité à la faire, et je vais dire en détail les raisons.
[…]
CONCLUSIONS
POUR SAUVER LA TOMBE DE MAMAN D’UNE AFFREUSE VIOLATION, ET QUE SON CERCUEIL NE SOIT EXHUMEÉ ET JETÉ A L’INCINÉRATION COMME UN MISÉRABLE SAC-POUBELLE , JE ME SUIS RABAISSÉE FACE À UN INFÉRIEUR.
JE LUI AI OFFERT DEUX DE MES TOILES POUR LA VILLE DE PARIS EN ÉCHANGE DE L’EXONÉRATION DE LA CONCESSION PERPÉTUELLE DE LA TOMBE DE MAMAN.
SON REFUS PASSERA À L’HISTOIRE, JE VOUS LE PROMETS.
La Mort en France : Politique funéraire de la Terreur.
Parce que personne chargée des affaires artistiques en France n’a voulu me connaître, même à présent que pour pouvoir m’en sortir, j’ai été forcée à me faire violence et offrir une donation de deux de mes toiles pour m’acquitter du paiement de 8400€ de la concession funéraire « perpétuelle » de Maman, et que dans cette affreuse et humiliante situation où je me trouve, au bord de la punition qui légalement se fera par le moyen aussi totalement légal d’une lettre de cachet de la maire de Paris, qui ordonnera d’ouvrir la tombe de Maman, déjà construite par mes soins tout au long de 13 années pour la modeste somme de 17.000€, que par raison d’impossibilité de ma part survivant avec une retraite de 1010 € mensuels de payer à l’État 8400€ en une seule fois, la concession funéraire perpétuelle, de Maman restera donc impayée, si je ne vends de toute urgence deux toiles ou si je n’obtiens une dérogation gracieuse en vertu de ma thèse proposée dans mon essai, et mes efforts surhumains pour qu’elle ne soit pas ouverte en toute légalité, et son cercueil réduit en cendres, sont restés infructueux, parce que selon la loi funéraire française « c’est pour tout le monde pareil » qu’il soit un terroriste-délinquant ou une sublime personne qui a rendu des Services Éminents à la France comme la veuve du peintre Hernán Gazmuri, le délinquant et la sublime personne auront le même sort, leurs cercueils par lettre de cachet partiront à l’incinération.
Le peintre Hernán Gazmuri depuis 1983 a été reconnue OFFICIELLEMENT comme peintre de l’École de Paris et il est entré depuis, dans le Patrimoine de la France, sa veuve, elle a mérité le même sort qu’un délinquant, OFFICIELLEMENT, sa dépouille devra partir à l’incinération comme un minable sac-poubelle.
La maire de Paris ordonnera aux fossoyeurs de jeter le cercueil de Maman à l’incinération.
Il y a juste un mois que j’ai envoyé une lettre avec à l’intérieur mon livre La Mort en France : Politique funéraire de la Terreur, à un homme politique qui est chargé des finances de l’État, qui mieux que lui pour me donner une écoute et essayer pour ma part de résoudre honorablement cette situation funéraire.
J’ai attendu sa réponse et l’accord d’un rendez-vous, plus d’un mois j’ai attendu pour me décider de téléphoner à sa secrétaire, il m’est impossible de transmettre par écrit sa réponse. Une secrétaire qui représente une « haute figure de l’État Français » est à son image. Bien, cela épargne tout commentaire pour ne pas tomber à ce niveau de « bassesse humaine » , je ne me mettrais pas à leur niveau en vous racontant le malheureux « dialogue » où c’est la petite secrétaire la seule qui a parlé me disant que je n’aurai pas droit au rendez-vous ni de réponse écrite.
Ce monsieur que nous voyons à tout moment dans les médias donnant ses hauts analyses et bilans sur le déficit de la France dont il est l’expert et, officiellement mandaté pour ce fait, il m’a méprisée au plus haut point.
Son manque de savoir-faire et de savoir-vivre, je me permets de croire qu’il est VOLONTAIRE, il ne ferait pas de même avec une personne qui lui ferait peur se conduire de la sorte.
C’est la déplorable situation de notre France actuelle, les nouveaux riches et les parvenus sociaux, pour plus de parcours Sciences Po et de l’ENA qu’ils aient, celui qui est né estropié méconnaissant des bonnes manières, il ne pourra jamais accéder aux plus hauts niveaux de la bienséance et de mœurs et coutumes de la bonne société.
C’est par ses actes que je les juge non par leur « classe », ce sont eux-mêmes qui, par leur comportement corroborent cette sélection de classe si combattue, je dois me rendre à l’évidence que ma croyance politique dans laquelle j’ai été éduquée et où je suis née, ces idées sont fondées principalement sur une théorie politique toujours bienveillante pour qu’au sein de la Cité, une structure politique soit généreuse et qu’elle privilégie l’aide aux pauvres et démunis, les méprisés de la société, or au regard de ceux qui devraient représenter ces idées et les pratiquer, je constate que ces idées que j’avais faites miennes dès mon adolescence sont totalement inopérantes en France et c’est un échec de plus que je dois apprivoiser comme une de mes multiples erreurs de jugement et à la fin, des erreurs de jeunesse que j’apportais en France et si mal gardées dans mes bagages de malheureuse immigrée.
Cette figure si connue m’a méprisé de la hauteur de son poste de représentant de la République laïque, et je publierai publiquement ma lettre.
Je suis incapable de solder en une seule fois 8400 € au Trésor Public, et ce que j’ai lui ai demandé n’est pas un « traitement de faveur », mais je n’ai demandé qu’un échange d’exonération du paiement de la concession perpétuelle de la tombe de Maman.
En échange de la dite exonération, j’ai offert deux de mes toiles pour la ville de Paris.
HOMMAGE A MON MAÎTRE HERNÁN GAZMURI
Cette fausse figure politique n’a même pas eu la décence de répondre à ma lettre et m’a refusé ma demande de rendez-vous.
Ceux qui me connaissent ne me respectent pas, et les derniers que je classe dans la catégorie de pitoyables ignorants de l’essentiel, ne pourraient croire à une seule ligne qui décrit ma trajectoire sur l’héritage que je représente, ce sont eux les perdants, croyez-moi, dans ma misère dans laquelle ils m’ont réduite, c’est vrai qu’ils sont gagnants certes, mais en me laissant à la marge, je ne me suis pas réduite au néant en matière d’art pictural et littéraire et, c’est chez eux qu’après leur passage par les bureaux calfeutrés de l’État et qu’après leur mort, il ne restera plus rien ; leur bannissement se fera automatiquement parce qu’ils sont des « incapables » sur toute la ligne, le domaine de la connaissance est le seul lieu l’on n’improvise point.
UN FANFARON
J’ai l’avantage d’être formée et très bien formée par des anciennes théories de la peinture qu’à présent personne ne connaît et plus grave encore est que ces théories personne ne veut savoir de son existence, d’une part ces théories les laisseraient comme des fanfarons à abattre du monde intellectuel parisien, et d’autre part, arriver à comprendre et s’apprivoiser de ces merveilleuses théories que j’ai en moi dès mon plus jeune âge, exige une vertu méconnue qu’à cette époque où c’est uniquement l’argent qui prévalait, les laisserait incapables d’une pratique sacrificielle dans la vie de tous les jours.
Il faut de l’héroïsme pour s’adonner à l’art pictural sans rien obtenir en retour et en survivant dans la misère, car pour moi l’artiste-peintre que je suis et poète, j’analyse ce monde avec la riche perspective qui me place dans un lieu de privilège que les nouvelles générations qui n’ont pas mon âge, ne comprendront jamais.
Je vais reprendre avec légitimité les mots de Comte-Sponville, moi si, je m’approche de la mort, mais je ne me sens pas du tout « légère » !
Cette légèreté dont il parle, n’est pas métaphysique, loin de là
La légèreté métaphysique provient d’abord d’une tranquillité matérielle.
Pour parvenir à la légèreté métaphysique d’un philosophe ou d’un artiste, il faut que toutes se préoccupations matérielles soient résolues.
Il peut se la permettre sa legéreté, grâce à son argent, or personne ne dit que c’est uniquement l’argent qui accorde de la légèreté, de l’indépendance et le privilège de ne pas se voir obligé à rien demander aux inférieurs et cet élément à qui j’ai commis l’imprudence de demander un troc pictural et funéraire passera à l’histoire par son refus.
Cet élément au visage humain télévisé n’est qu’un inférieur.
Je ne veux pas tomber dans une grandiose didascalie.
Le long article publié le 13 janvier dans LE PARISIEN a provoqué mon effroi, il serait de même pour tout habitant d’une commune dans laquelle son expérience est des plus désastreuses et qui lui rend la vie quotidienne infernale.
La maire de la commune déclara avec une assurance désarmante que sa commune s’agrandit parce qu’à Poissy « il fait bon vivre » !
Elle déplie son auto-éloge de satisfaction dans son long papyrus que la journaliste se prête à déplier pour les lecteurs en obéissant à son interviewée dans son récit de louange à Poissy.
Quiconque lit ces déclarations de fond en comble mensongères croit à tout ce qui y est raconté.
Moi-même en 2021, j’ai été une idiote de première ligne en croyant à une fonctionnaire qui m’a décrit le même paysage des merveilles pour me faire quitter ma chambre HLM de mon cher Paris, pour venir me fondre dans les affres de l’enfer de Poissy..
LIMINAIRE
Que fait d’une ville attrayante où il fait bon vivre ?
À cette époque où nous sommes en danger permanent, ce danger existe aussi bien dans les beaux quartiers à 11 du matin comme dans les Cités HLM cotés pour les multiples dangers qui nous assaillent du matin au soir.
Une ville doit être attrayante et sure pour tous sans exceptions, si vous commencez à faire la sélection par quartiers, rues, immeubles HLM ou bâtiments privés, la commune commence à baisser sa cote, et elle n’est plus une commune dans laquelle « il fait bon vivre » pour tous. La France actuelle qui aime tant son slogan qui dit : « tout doit être égale pour tous et pour tout le monde pareil », Poissy ne l’est point et je vais étaler ici sans la moindre complaisance tous les défauts gravissimes de cette ville qui font de Poissy un véritable enfer.
Je n’accuse jamais personne ni des lieux sans avoir laissé le temps pour que des situations graves puissent se remédier, si les efforts déployés pour redresser une situation n’aboutissent point, l’indifférence s’impose, vous ne pouvez pas aller à l’encontre des cercles administratifs fermés et gérés par une seule ligne politique. L’organisation de la cité EST essentiellement politique, nous forcer à croire le contraire est impossible, nous ne sommes pas dupes.
L’organisation politique de Poissy est faite de telle manière pour que ne bénéficient des droits que ceux qui sont connus et qui sont les bénéficiaires du favoritisme et que les autres fichés comme indépendants ou des partis sans figuration au sein de la mairie ou indépendants comme moi, je le suis, restions écartés de droits et à la marge de tout bon résultat de nos démarches.
C’est ainsi que nous restons sans voix ni crédibilité.
Donc, cette situation d’exclusion est déjà un abus de pouvoir et une ville dans laquelle la vie quotidienne est invivable. Nous avons tous de droits de citoyens libres et ici à Poissy restent nuls.
Dans la défense aux victimes qui subissent des délits d’abus de pouvoir administratif, nous possédons une palette de lois et d’articles bien précis qui sont inscrits dans le Code civil et dans le Code pénal et qui nous mettent à l’abri de fonctionnaires abusifs.
À Poissy les abus sont nombreux et classe cette ville aux antipodes d’une ville dans laquelle « il fait bon vivre ».
L’ADMINISTRATION D’UNE MAIRIE
En France ou ailleurs, je parle aussi d’un pays étranger, le maire est le responsable du bon fonctionnement de sa ville, qui sinon lui ou elle, peut être à l’écoute de ses habitants pour agir, recevoir ses propositions, résoudre leurs problèmes du quotidien ?
Si un maire ne donne pas la possibilité de le rencontrer en restant au moins deux fois par mois disponible, par le moyen d’une permanence à la disposition de ses habitants, c’est un maire qui ne fait que de la figuration.
Cela veut dire qu’il doit démissionner et quitter ses fonctions.
Les maires sont des élus de la République et une fois au poste, ils se doivent de respecter leur déontologie comme THÉMIS dotée d’un aveuglement total et sans avant regarder les listings dans lesquels nous sommes tous fichés, car nous sommes dans un pays dictatorial, la preuve est que la liberté de parole pour dire nos désaccords avec ceci ou cela est tergiversé par LE POUVOIR en place agit pour un simple et inoffensif « commentaire »où nous risquons une amende ou pire des sanctions encore plus lourdes.
Tous les citoyens deviennent suspects et « dangereux » dès qu’ils disent non à la soumission et qui démontrent ne pas se plier à la pensée de l’actuelle de cette politique que dès le début, j’ai nommé politique «MAZAMORRA »
Les maires sont les élus impartiaux qui sont obligés de donner accès aux lois en vigueur à tous, aussi à ceux qui n’appartiennent pas aux partis de leur bord le problème à Poissy est qu’ils ne réservent des privilèges qu’à ceux qui riches paient le plus haut taux d’impôts pour la ville, commerçants ou des habitants en situation confortable.
Je le redis, une ville doit être bonne pour tous ses habitants sans aucune discrimination.
LES LOGEMENTS.
Dans ses déclarations superficielles d’un auto-éloge disproportionné, la maire de Poissy dit vrai dans une seule déclaration : la construction des logements pour des personnes riches ont augmenté, certes, au centre-ville un supermarché fut fermé pour donner place à des immeubles de luxe. Proche de la gare, remplis des parkings, ces propriétaires n’auront aucune difficulté de transport ni de mobilités comme moi qui souffre d’un handicap dit « invisible », mais depuis l’année dernière bien visible, car je marche avec un gros déambulateur avec sac de courses qui pèse 8 kilos !
Les éléments hautement négatifs de Poissy sont nombreux ce qui fait de cette ville un enfer à supporter au quotidien.
Ce que je vais vous décrire ici, se déplie aussi, mais non comme l’auto-éloge qui se fait Madame la maire, non, mon papyrus est bien différent, car il fait la description de mon quotidien, il est un peu différent de celui des autres habitants qui ne sont pas handicapés, mais dès qu’on n’a pas de voiture, nous sommes tous dans la même catégorie d’habitants qui doivent devenir des usagers des SERVICES PUBLICS, à savoir :
• Logement. (HLM délabrés, dangereux, non rénovés depuis plus d’un demi-siècle !) • Transports. • Santé . • Centres éducatifs. • Centres culturels.
Poissy possède deux environnements totalement distincts.
1. Les appartements de luxe. 2. Les secteurs pavillonnaires.
Les habitants de Poissy dans ces deux situations de privilège ne connaissent rien des situations infernales que nous devons subir au jour le jour. Une ville est bonne quand son système de logement, d’accès à la santé, d’accès facile aux moyens de transport, avec des heures précises d’arrivée toujours et respectées, sont à la portée de tous les usagers sans aucune discrimination ; il doit être pareillement pour l’accès aux commerces, aux établissements scolaires et aux HLM qui devraient offrir les mêmes possibilités à tous et du point de vue administratif, une ville doit nécessairement avoir une administration disponible à tout moment pour interdire les abus commis contre ses habitants.
Moi, si j’étais responsable politique soyez certains qu’au regard de tous les abus que j’ai dû endurer depuis mon arrivée et que je subis sans répit, j’aurais assaini ipso facto ces délits. Je le subis amplifiés, par mon handicap, mais ces inconvénients que dans mon cas particulier deviennent des francs délits, ils sont les mêmes pour tous les habitants sans voiture, sans pouvoir se loger dans un secteur de privilège, tout est en rapport aux revenus et, le niveau de revenus est dans ce pays totalement trompeur.
Ce que je décris est une série d’abus quotidiens de tous ses services publics dont c’est la mairie de Poissy la gérante et la seule responsable.
L’administration de la ville de Poissy s’en fiche éperdument de la gravité des faits.
Nous jouissons tous des droits civils, ils sont les mêmes pour moi que pour les usagers qui ne sont pas handicapés et qui souffrent pareillement tous les habitants dépourvus de moyen de transpot personnel.
Je parle avec eux et je les écoute, il faut savoir écouter les gens, et de leurs plaintes sort la vérité.
C’est ma conception de la politique et si c’est pour faire une activité politique discriminatoire, réservée aux citoyens de leur parti, il y a là, une description d’un délit d’ordre républicain. Voyons en détail ces délits contre les citoyens de la ville de Poissy.
LES LOGEMENTS
La maire dit qu’ils sont en expansion et que les logements créés ont été rénovés.
Mensonge absolu.
Elle doit parler des HLM.
Cette « Cité HLM Beauregard » fut construite dans les années 60, pour accueillir les immigrés du Maghreb et tous les travailleurs du champ automobile. Aucun des immeubles n’a été mis en état depuis, les infiltrations d’humidité dans les murs font que la peinture ne dure pas plus de trois ans, les gérantes ne font que du « rafistolage » quand des graves dysfonctionnements arrivent pour gêner le quotidien des locataires. Dans cet appartement que je loue depuis avril 2021 les dysfonctionnements sont dévastateurs, mais j’ai déjà écrit un livre LOCATION ET CRIME, je le rappelle mais je ne ferai pas ici un article rébarbatif. Les autorités ont déjà été bien informés, leur décision ne me regarde point.
VILOGIA, principal bailleur social de Poissy, réserve les travaux sérieux uniquement aux locataires que les gérantes désignent comme leurs privilégiés.
Le reste d’immeubles et d’appartements se détériore et son délabrement est visible et minable.
La vision externe de cette cité est déplorable et de l’intérieur abominable.
Le mépris des gérantes pour laisser les habitants demeurer dans des conditions de vie des plus basses est un programme bien rodé. Elles le savent. Je l’ai déjà écrit dans mon livre LOCATION ET CRIME.
La CAF verse nos APL directement au compte de VILOGIA.
Où va tout cet argent que VILOGIA collecte grâce à notre pauvreté ?
Rien n’est destiné à rénover les bâtiments vieux de plus d’un demi-siècle. C’est une honte bien visible pour Poissy.
Les gens qui salissent leur propre HLM et qui peut se soucient de leur environnement et de la saleté dans laquelle ils vivent au quotidien, parce qu’ils manquent de savoir-faire et de savoir-vivre, je ne m’intéresse point, je ne suis pas gendarme de cités HLM, ni n’appartient pas à la police des quartiers, ces locataires irresponsables se savent coupables et laissent faire, moi qui dans mon pays d’origine, je n’ai jamais habité dans des HLM, il est certain que le contraste est abyssal.
Compte tenu de ma situation financière misérable que je ne peux pas encore remédier en solitaire, je ne peux que dénoncer et démentir le conglomérat de mensonges du papyrus d’auto-éloge de sa ville de madame la maire de Poissy.
Le mensonge par omission de madame la maire est en ce moment encore plus dévergondé, parce qu’il y a juste un mois, qu’elle a finalement accepté de donner un rendez-vous au Collectif de voisins qui s’est formé pour faire face aux abus de surfacturation de dépenses locatives totalement injustifiées dans ce que VILOGIA nomme « DÉPASSEMENT DES CHARGES DE CHAUFFAGE ET D’EAU FROIDE »
Je ne me lie pas dans un combat que je refuse par sa manière de procéder, les locataires qui forment parti de ce COLLECTIF , se battent pour une réduction des charges abusives, je conteste de fond en comble cette procédure, ils doivent se battre pour la simple ANNULATION des factures de dépassement des charges.
Cette procédure abusive de tous les bailleurs sociaux n’xistait pas auparavant.
Pour l’heure, c’est un abus généralisé de presque tous les bailleurs sociaux.
J’ai discuté avec des huissiers compétents, ils ont été unanimes : aucun bailleur social ne peut exiger le paiement des factures de « dépassement de charges de chauffage COLLECTIF et d’eau froide, en absence de compteurs individuels.
Je suis parisienne et dans mon dernier logement parisien le bailleur social BATIGERE m’a remboursé 56 € pour l’usage d’eau froide. Sans lave-linge et sans usage de la baignoire, il est clair que la locataire responsable et économe que je suis ne peut pas avoir aucun dépassement d’eau froide. Moi, j’ai écrit une LRAR à VILOGIA en juin dernier dès réception de sa folie faite facture, en lui exigeant d’annuler ladite facture de dépassement de chauffage collectif et d’eau froide et j’ai écrit ce livre avec des preuves en l’espèce. Je n’ai pas à me battre pour des abus et une escroquerie évidente. Je ne paie pas des abus !
Je paie mes obligations et mes dépenses réelles, jamais celles inventées et qui sont hors la loi.
Je n’appartiens pas à ce collectif par une question d’honneur, étant donné que l’HONNEUR est une vertu méconnue en France et encore plus à Poissy, je leur ai dit que je ne peux pas me rendre devant les élus de cette mairie qui m’ont toujours refusé un rendez-vous, un exemple ? Par trois fois, j’ai envoyé des mails à l’élu qui a la tâche de « responsable juridique », il n’a au même pas la politesse de répondre à mes trois mails ; leur messagerie est le seul moyen de contact que ces élus de la mairie de Poissy offrent publiquement pour faire croire qu’ils sont « à la disposition de tous les habitants ».
La vérité est qu’ils gèrent par le moyen de « la loi de l’entonnoir » la commune de Poissy de cette république si libre, fraternelle et égalitaire ; c’est à en mourir de rire.
L’accueil de la mairie ne propose pas de permanence pour obtenir un rendez-vous avec la maire. Tous ces élus se croient tellement importants et distingués qu’ils se réservent leur bunker pour y rester à l’abri de tout contact réel avec les habitants.
La séparation entre les habitants et ces élus est étanche.
LES TRANSPORTS.
Je dois d’abord expliquer ce que subissent les usagers qui doivent se rendre au travail tôt le matin. Une dame me raconte que le matin, les bus ne sont jamais à l’heure, ils commencent tard, elle se décide d’aller discuter de son cas qui n’est pas un cas isolé, mais de tous les usagers, elle se décide d’aller au bureau qui se trouve au terminus, pour parler de son cas avec « un responsable » et avec nonchalance et grossièreté, il lui répond : « alors ma petite dame, levez-vous plutôt ».
Elle lui répond « je me lève déjà à 4h du matin, c’est vous qui devez respecter vos horaires. » Toutes les lignes de bus de Poissy font preuve de retards, les cadences qui ne sont pas aux heures de pointe font bien pire, (je dois attendre parfois 53 minutes pour l’arrivée d’un bus qui me laisse au centre-ville ou à la gare de Poissy)
La vérité est qu’il y a très peu de bus, ils sont anciens et mal tenus, c’est pourquoi, dès que le bus enfin arrive, tout le monde s’agglutine, si vous voulez une description très graphique, imaginez une gare de Calcutta, Poissy c’est exactement pareil.
Les chauffeurs conduisent de manière brutale, ils sont changés continuellement et tout le temps il y a un nouveau, nous sommes dans un bus qui est exactement comme un camion qui transporte des bêtes qui doivent aller à l’abattoir.
Si par malheur, vous devez être au Centre-ville à l’heure où les collégiens se rendent aux collèges et lycées ou à la sortie des écoles, le bus n’est plus un bus de transport en commun, il devient un bus scolaire et la jeunesse malpolie laisse les usagers en second file d’attente pour se donner eux-mêmes la priorité. Le bus démarre archiplein, dans ces conditions de pénibilité, je dois rester debout avec mon gros déambulateur et presque toujours à côté du chauffeur à quelques millimètres de la porte. Si vous pensez que c’est une facilité de transports en commun tel que fait la description idyllique madame la maire de Poissy, je vous demande d’être juges d’un tel mensonge intolérable pour ceux qui doivent souffrir cette galère tous les jours.
Madame la maire de Poissy décrit aussi des merveilles du transport en commun dont nous avons à notre disposition à la gare Centrale de Poissy.
C’est une autre réplique de l’Inde.
Il faut savoir que de toutes les lignes partant de la Gare Saint-Lazare, que je connais parfaitement, car j’habitais toujours Paris et je devais me rendre au lycée de Mantes la Jolie, c’est fut une période « extra-ordinaire » où je dépensais plus de 4h de transport par jour. La gare Saint-Lazare est la pire de toutes les gares de Paris, il n’y a pas de jour où les trains ne présentent de retards, des trains « supprimés », de problèmes techniques, rien ne nous est épargné.
La direction de la SNCF a laissé les trains les plus vétustes et inconfortables pour Poissy.
C’est uniquement cette ligne qui est restée avec des trains inconfortables. Toutes les autres lignes disposent des wagons modernes et très confortables, ils ont même un bouton à la disposition des usagers à mobilité réduite qu’il faut appuyer dès que le train s’arrête et automatiquement le train met la rampe à notre disposition, mais il est extrêmement rare que ce train bleu clair qui de l’intérieur ressemble à un avion, soit en trajet vers Poissy, une fois par mois, c’est déjà beaucoup.
Par exemple vers Versailles, soyez rassurés, il n’y a jamais un seul train ancien.
MON CAS PARTICULIER N’EST PAS ISOLÉ EN FRANCE.
TOUS LES HANDICAPES SUBISSENT DES ABUS
JE SUIS VICTIME DE LA DISCRIMINATION ABUSIVE DU BAILLEUR SOCIAL VILOGIA QUI M’A REFUSÉ LA MUTATION À PARIS À LAQUELLE J’AI DROIT COMME PRIORITAIRE VERS UNE HLM PARISIEN. DÛ À CE REFUS ABUSIF ET DISCRIMINATOIRE MON HANDICAP AUX GENOUX S’EST AGGRAVÉ
Mon cas particulier ne doit pas être isolé et il est le même pour tout habitant de Poissy qui veut rester indépendant et mobile en dépit de son handicap.
Je ne reparlerai point de l’immeuble totalement inadapté à mon handicap, car sans ascenseur. Les transports en commun minables de Poissy ne sont aucunement adaptés pour personnes handicapées.
Le seul moyen de transport vers Paris est le train, parce que je ne peux pas faire usage ni du RER ni du métro, les raisons sont connues de tous ces deux moyens de transport en commun ne disposent pas d’ascenseur et la plupart du temps, le peu de stations qui les ont, ils sont « hors-service » seule gare qui en dispose est la Gare Saint-Lazare, elle dispose de deux ascenseurs qui permettent de sortir à la rue et la traverser pour prendre un bus du réseau de bus parisien qui est EXCELLENT, je n’ai même pas besoin de demander la rampe, les chauffeurs la mettent automatiquement dès qu’ils me voient. La porte d’entrée du côté du chauffeur est étroite alors, à différence des bus de Poissy, le seul moyen de monter est la porte derrière du bus, pour les personnes en fauteuil roulant ou munies d’un gros déambulateur qui ne se plie pas et qui sert d’appui pour la personne.
Mon cas particulier de personne en situation de handicap qui souffre un quotidien l’insupportable, parce qu’absolument tous les chauffeurs de KEOLIS me refusent la rampe.
Le 1 janvier 2024, j’ai dû aller au centre-ville, en rentrant, je devais descendre à la station Ronsard, le chauffeur me refuse la rampe et m’écrase mon déambulateur neuf de quelques jours et d’un prix de 249€ desquels la Sécurité sociale ne rembourse aux assurés handicapés que 40 €. J’ai dû aller au commissariat, le commissaire s’est refusé d’écrire mon dépôt de plainte et au lieu d’accéder à ma demande totalement légitime, il m’a demandé mon portable et a téléphoné la secrétaire du Directeur de KEOLIS, pour lui exiger de bien réceptionner ma prochaine LRAR pour qu’il procède au remboursement de mon déambulateur par le moyen de son assurance. Le commissaire m’a exigé d’écrire au Directeur de Keolis pour lui donner par écrit recommandé une description de l’accident et de rajouter les photos du déambulateur écrasé par le bus, ma carte d’identité française et ma carte d’invalidité. Il a reçu ma LRAR que j’ai vérifié par retour de l’accusée de réception. J’attends depuis une année ledit remboursement. Maintenant que je renouvelle ma Carte d’invalidité, je vais envoyer à la commission les preuves en l’espèce de ce délit de discrimination abusive à mon encontre que je dois subir des transports en commun de la ville de Poissy.
Si la loi en France était juste, je devrais recevoir le remboursement total du prix de mon déambulateur, il va de soi, que j’ai dû immédiatement m’acheter un autre et cette fois-ci entièrement à ma charge.
Mon déambulateur pèse 8 kilos, quand je rentre avec les courses faites du centre-ville, le poids est double, les chauffeurs m’exigent que je soulève ce poids qui m’est totalement interdit et la plupart du temps, à l’intérieur du bus bondé, je dois rester débout tout le trajet, ensuite pour descendre c’est encore une épreuve insupportable.
LES COMMERCES.
Une fois réussie l’épreuve de descendre le « Mont Blanc » de cet immeuble de 84 marches d’escaliers, j’ai pour une journée entière pour essayer de récupérer de l’effort qui m’est interdit.
Il y avait une supérette Carrefour au bout de la rue. Mais une fois que j’étais connue, les gérants du magasin m’ordonnèrent de laisser mon déambulateur à l’entrée. Mes explications, leur montrer ma carte d’invalidité et mes tentatives de « dialogue » ‘n’ont pas abouti, le directeur m’a refusé l’entrée munie de mon déambulateur « car il craignait que JE VOLE !!!
Je lui ai répondu : parfait monsieur, je ne mettrai plus jamais les pieds dans votre magasin.
Alors, pour faire mes courses, je dois nécessairement prendre le bus, pour aller au Centre-ville où il n’y a qu’un seul magasin U, (réceremment aussi discriminatoire face à mon déambulateiur, je n’y rentrerais plus non plus.)ou bien faire un plus long trajet à la zone industrielle pour acheter au grand supermarché Carrefour. Vous pouvez imaginer l’épreuve que je dois subir et une fois arrivée à la CITE HLM BEAUREGARD, je dois faire deux montées et deux descentes des 84 marches, car le déambulateur n’est pas conçu pour les escaliers, mais pour terrain plat; il supporte 80 kilos, mais jamais pour être déplacé par les escaliers ! et moi non plus, quelle femme handicapée peut monter plus de 35 kilos par les escaliers ?
Madame la maire de Poissy fait aussi l’éloge des services publics de santé.
Le seul hôpital de Poissy a déjà reçu des plaintes pour meurtre.
J’ai écouté des plaintes des usagers, elles sont gravissimes. Tous m’ont dit que cet hôpital est à fuir. Leurs dires sont totalement crédibles. Je ne développerai pas ce qui réserve cet hôpital à l’intérieur. J’ai déjà ma tragédie ailleurs et connais de l’intérieur les hôpitaux et le Conseil du Désordre.
Je me suis promise dès que j’eus mes 70 ans de ne plus dépenser un seul jour qui me reste du peu d’années que j’ai encore pour vivre et le mieux possible, en usant mes nerfs et mon équilibre dans des combats perdus d’avance face aux mafias qui gèrent les centres publics de santé et les groupuscules de la justice. Qu’ils se débrouillent avec les abus, dysfonctionnements et meurtres au sein des hôpitaux. Un couple vient de gagner une plainte pour meurtre contre l’Hôpital intercommunale de Poissy, mais pour y parvenir, ils ont dû attendre 10 ans. Combien d’autres se battent et qui sont passés à la trappe ?
Je ne peux que redire qu’à Poissy, il n’y a aucun médecin de ville qui accepte des NOUVEAUX CLIENTS. Poissy est incontestablement un désert médical.
J’ai depuis des nombreuses années tous mes dossiers médicaux à Paris, l’affaire est claire et je l’ai conclue.
LA SÉCURITÉ.
Aussitôt arrivée, j’ai échappé à mourir écrasée par un rodéo particulier d’un jeune motard qui m’a vu seule avec mon caddy de courses, (non, voyez-vous, je n’avais pas besoin de déambulateur, car je vivais en HLM sans escaliers à Paris)
À l’époque en avril 2021 je venais d’arriver et j’étais installée depuis deux semaines, très mal installée, mais à peine arrivée, je marchais par le côté gauche de la supérette Carrefour. J’ai dû aller au commissariat. J’ai gardé ma plainte. La commissaire m’a dit : « Et, pourquoi il ne vous a pas tuée ? »
Je l’ignore, la criminologie n’est pas mon domaine de compétence, je lui ai répondu.
Il aurait pu le faire en toute tranquillité, car il n’y avait personne à ce moment-là et il serait très facile de dire que c’était ma faute.
Ensuite, j’ai dû subir bon nombre de rodéos particuliers.
À arrêt du bus vers le centre-ville nommé « cimetière » je suis descendue du bus et un malfaiteur à 15 h 30 de l’après-midi me menace de mort, avec des insultes impossibles de transcrire par écrit. Je suis allée encore au commissariat, mais cette fois-ci, la dame policière me dit : « mais on se connait nous, non, vous devez noter dans un cahier la date l’heure des agressions, vous n’allez pas venir au commissariat de manière récurrente, je n’ai pas un garde de corps à vous fournir ».
Parfait. J’ai cessé d’aller porter plainte au commissariat. La policière a entièrement raison.
Les rodéso particliers qi esaient de me tuer , ils le font dans des voitures volées de Slovenie qui commencen par des plaques SV.
Le dernier se produit le mois denier à 2h de l’après midi; je traverais la grand venue remplie d’arbres celle qi traverse l’allée, face au Carrefour et a une rue de distance de l’immeuble. Il a foncé contre moi, et grâce à mes ecellents reflexes, j’ai pu m’échapper de ne pas mourir écrassée sous sa voiture, toujours la même voiture blanche, la police les connaît.
Un commerçant m’a raconté qu’il y a une dizaine d’années, un ami à lui était aussi persécuté, les assassins l’attendaient à la descente du bus et ils l’ont tuée. Ils ont fait 2 annes de prisson à Poissy, ils sortirent libres, car leur assurance a déclaré que c’était la faute au défunt qui n’avait pas fait attention en descendant du bus.
Quand bien même un maire responsable voulait placer des caméras à Poissy il est impossible, car ici tut est entouré d’arbres. Les assassins disposent d’un terrain propice au crime.
La persécution systématique à ma personne m’a obligé à me munir d’une télésurveillance. Les voisins sont si distingués qu’ils ont envoyé un groupe d’enfants d’une dizaine d’années pour m’abattre ma porte d’entrée. Il était midi quand un bruit assourdissant m’a alerté les groupe « d’enfants » courrait par les escaliers riant à gorge déployée.
Cet événement m’a fait prendre des mesures drastiques.
Depuis que j’ai ma télésurveillance, avec un autocollant qi signale que l’appartement est en télésurveillance 24/7, avec une alarme qui peut s’entendre jusqu’à Montparnasse, j’ai le calme total. Ces lâches m’ont laissé tranquille, je prie pour que ce calme reste jusqu’à ce que je puisse déménager à Paris. Je ne peux pas en douter…De l’action juste et rapide de l’administration qui s’occupe des personnes en situation de handicap.
Je ne ferai aucun commentaire sur les établissements éducatifs ni culturels dont la maire de Poissy fait l’éloge.
Vous, chers lecteurs, qui me suivez et que fidèlement, vous lisez mes articles depuis des nombreuses années, vous savez combien d’articles, j’ai écrit dans le passé pour critiquer le ministère de l’Ignorance Nationale et le Ministère de l’Inculture. Ce qui vaut pour Paris, il est encore plus grave dans les communes. Cela ne vaut même pas une ligne d’écriture. La France devrait renaître de ces cendres pour se redonner le prestige et rayonnement d’autrefois. Pour ce fait, un changement total de politique serait nécessaire.
Je consacre mes dernières années de vie, période de très courte vie qui me reste, pour finir mon travail artistique, donc je décline toute responsabilité d’écriture pour essayer d’alerter et de remédier la catastrophe culturelle de la France qui subit une prolongation faite par une malheureuse réélection qui la plonge dans les abysses de l’ignorance, les affres de la disparition du beau, du vrai et du juste et sa lente agonie entre les griffes de la pègre.
Mon démenti des éloges mensongers de Madame la maire de Poissy a pris fin.
J’ai fait de mon mieux pour vous donner la description de l’ENFER DE POISSY.