CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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UN EXTRAIT DE MON LIVRE VÉRA, LA CANAILLE ET SA COMPLICE-UNE MAFIA EN BANDE ORGANISÉ (EN CORRECTION)

15 août, 2025 (18:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

  …QU’ILS SE REPAISSENT…

 

 

Les dates de tous les événements sont improbables.

Ils étaient encore plus imprécis dans les lettres trouvées après son départ.

Véra avait quitté le pays et définitivement.

Les chercheurs trouvèrent une série des lettres de l’époque où Véra se battait encore pour « établir la vérité », « se défendre », mais avec la mafia il n’y a pas « de vérité » c’est là qui résidait l’absurde de sa lutte et à la fin de son parcours, Véra décida de laisser les délits dans l’état, elle avait eu une clairvoyance qui la frappa, une espèce de vision fulgurante qui lui disait de laisser tomber, parce que elle se sentait sale en train de remuer l’immondice de ces canailles mafieuses, plus elle essayait d’agir avec la vérité, et plus elle se salissait au contact épistolaire et physique avec ces intervenants, s’il fallait donner la description physique de chacun d’entre eux, Véra  avait le  terrible vertige d’un dégout, dégout qu’après elle ne pouvait pas effacer,  c’est la raison pour laquelle Véra s’obstinait à ne pas les décrire, une répulsion arriva à son cerveau et elle protégeait son cerveau outre mesure, « tant que je peux penser et que la force de ma pensée reste juvénile, puissante, novatrice, perméable et intacte, le reste m’indiffère. Alors Véra décida de les laisser tomber, « qu’ils se repaissent dans leur porcherie », se disait-elle à chaque lettre stupide qu’elle recevait, à chaque nouvel appel de ces cyniques qui essayèrent en vain de la traquer. Elle parlait avec des personnes dont elle avait confiance et qui étaient d’une haute culture, le terrain d’accueil conforme aux normes et coutumes de l’élite lui était assuré.

La vieillesse ne permet pas de gaspillages et d’aucune sorte, je dois réserver mes énergies pour moi-même, le mépris, le silence sont de éléments que la pègre ne sait pas comprendre, avec son mépris, cette pègre-là allait apprendre ce que le vrai mépris veut dire,  celui de Véra était glaçant, ces lettres sont si anciennes, si poussiéreuses, que le temps les avait rendues jaunâtres comme ces vieux journaux qu’on trouve parfois dans des greniers abandonnés.

Les dates en haut de page étaient presque illisibles, mais, ils décidèrent tout de même de les sortir de l’oubli.

Voici la lettre qu’ils trouvrèrent de Véra adressée au Procureur de la Commune Royale.

Tribunal Royal

Véra   Hernanova     nom de famille illisible             Le 14 mai 1

    55, rue de « La Porcherie »

 

Monsieur le Procureur de la République

Tribunal de la Commune Royale

Objet: dépôt de plainte contre le bailleur social « De la Porcherie »

Monsieur le Procureur de la République

J’ai l’honneur de vous informer des faits suivants:

LÉTHÉ

15 août, 2025 (11:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

                     LÉTHÉ

 

 

 

Il m’a fallu beaucoup de courage et une volonté sortie de mon caractère de fer, pour me convaincre de l’inutilité de mes efforts, et cesser d’essayer de ressusciter les valeurs d’un passé glorieux.

J’ai compris que j’avais perdu un temps précieux inutilement, en dépensant mon énergie, piétinant sur mes belles années de jeunesse en gardant de l’espoir das la France et dans son « accueil artistique » dès qu’ils me reconnurent comme « héritière de l’École de Paris, et la seule disciple qui laissa le peintre Hernán Gazmuri ,les portes se fermeront hermétiquement, il fut de même avec ma création littéraire et avec mon doctorat.

J’avais finalement compris que le mépris de la France serait définitif.

Il y a eu un effondrement sociétal, il y a eu une transgression volontaire, il y a eu une invasion qui a pollué tout, absolument tout, devant une terre polluée que peut faire un individu tout seul ? Rien, si cet être humain est une femme, le dilemme est encore plus grave, parce qu’une femme doit d’abord penser à préserver son intégrité, si elle est seule, elle est contrainte à déployer encore plus de moyens de protection et pour assurer sa survie, la rigueur d’une conduite intransigeante vis-à-vis des dangers extérieurs, est de mise.

Autour d’une femme seule tout le monde est aux aguets, pour profiter, détecter sa supposée faiblesse et le « féminisme » aidant qui n’est une supercherie, violée d’abord par les femmes elles-mêmes qui dès qu’elles obtiennent un peu de pouvoir sont les premières à agir en bourreaux de son propre genre. Et, les hommes, la plupart faibles et efféminés, se cachent sous les jeans de leurs collègues, donc il reste quasiment personne avec qui se lier pour établir des relations professionnelles, artistiques ou autres. Les pires sont celles qui par obligation sociétale, personne ne peut esquiver, ce sont les fonctionnaires de l’administration. Ah ! Cette « classe sociale spéciale française, elle est  l’enfer sur terre, ceci, je ne l’ai connu que quand le ministère m’avait appauvrie, jamais avant, avant de faire la connaissance de ce ministère  dans lequel j’étais entrée par simple ignorance, dans « le milieu le plus médiocre de la France : l’Éducation Nationale, là commença ma perte. C’est mon directeur de recherches qui m’avait suivi et aidé dans les deux travaux universitaires de recherche, qui m‘a dit « Florence, tout ce qui vous arrive n’est que le fruit d’être entrée dans le milieu le plus médiocre que nous avons en France : l’Éducation nationale, fuyez-la, partez ! »

Mais c’était déjà trop tard, j’avais Maman avec moi, et quand bien même, j’avais ses lettres de recommandation et tous les contacts de sa part pour aller soutenir ma thèse en Espagne, il aurait fallu m’y installer, je manquais d’argent pour mettre en place une telle prouesse. Celle qui m’a permis de venir en « mission artistique » en France pour que ma mère fasse la « Donation Gazmuri » ,je l’ai faite grâce aux revenus que mon père me laissa, j’avais le statut de « touriste », une deuxième Croisade, le destin me l’avait refusée.

Appauvrie de manière « irréversible » selon « les français » et âgée, nulle échappatoire que « mentale ».

Il y a des femmes politiques qui sont âgées d’une année de plus que moi, et veulent se présenter, candidater pour le poste de Présidentes de la République ! Si je fais le compte, parce qu’en France tout est « COMPTABILITÉ », si maintenant, elles ont 72 ans  faites le compte, quel âge auront-elles en 2027 ? 74 ans !  Et quand elles finiront le mandat ? 79 ans !!!!! Ce n’est pas pour rigoler !

Donc en 2027, j’aurais ma Licence de Russe, elle sera la réussite de ma vie, la vraie, celle que j’envisage qui n’a rien à voir avec des prétentions de pouvoir, j’abhorre le pouvoir quel qu’il soit, ce n’est pas mon genre Il faut savoir qu’étudier une langue s’est le fait d’obtenir une métamorphose identitaire complète, changer d’identité c’est s’approprier d’un ensemble de tout ce qui est « un pays », nous n’allons pas décrire en quoi cela consiste, ce que veut dire changer de langue, de culture, d’identité ; George Steiner qui maîtrisait plusieurs langues, dit dans un de ses essais qu’il changeait même sa manière de marcher quand il changeait de langue et de pays.

Personne ne peut imaginer combien est salutaire pour l’esprit d’apprendre une autre langue et non de manière superficielle, celle que tout monde pratique et qui croit que pour le fait de s’asseoir dans les salles de cours et de faire le minimum, le contrat est réussi, pour ma part, j’oublie tout, et quand bien même, on commence comme un enfant, et suivant les règles qui s’imposent, les mêmes qui sont valides pour tout apprentissage soit-il musical, littéraire, pictural, le fameux répéter, répéter et répéter, enferme en soi la clé de notre réussite, elle sera indélébile, parce qu’au cours des jours et des mois, le miracle se sera produit, et là, nous, finalement détachés de ces trois années difficiles qui nous ont mis ontologiquement et physiquement à rude épreuve, nous pouvons finalement nous regarder dans un miroir, une nouvelle personne est née quand elle finit un parcours d’enseignement qui n’est qu’un long chemin de métamorphose.

Voici mon parcours vers Léthé que je viens de commencer.

Je vous oublie, c’est ma réponse aussi invisible et silencieuse que celle que vous m’avez donnée quarante-trois années durant ; votre réponse d’indifférence sadique vis-à-vis de tous mes travaux fut« l’Invisibilité », maintenant je vous réponds avec celle qui m’a sauvée de sombrer.

Vous pouvez vous la garder, votre « Invisibilité »offrez-la à d’autres, peut-être dans votre recherche, vous trouverez d’autres « Cibles », j’en doute, vous ne trouverez pas une autre idiote aussi naïve que moi, je l’étais !

Je suis déjà ailleurs, si loin d’ici,  en train d’entamer  mon parcours aquatique dans le fleuve aidée par la déesse LÉTHÉ…

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

UNE LECTURE DE LA DEUXIÈME VIE DE PHILIPPE SOLLERS

14 août, 2025 (11:47) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

     LA DEUXIÈME VIE DE SOLLERS

 

 

UNE LECTURE ENTRE RÉFLEXION

MÉLANCOLIQUE

 

ET RIRE INTELLECTUEL

 

La meilleure critique sociétale jamais faite Littérature Romanesque.

 

Chers Lecteurs,

Il est impossible de lire Sollers sans rire.

La meilleure critique sociétale jamais  faite de finesse et de supériorité en « littérature romanesque »

Dans La Deuxième vie je trouve, La Société Finale, L’Être Humain Terminal, gesticulant dans « La société du VIDE »

 

Tous ses livres ne sont que son portrait, l’écrivain qui par son esprit représente mieux qu’aucun autre la France, depuis sa disparition physique, nous restons des artistes et des intellectuels orphelins, et la médiocrité a besoin plus que jamais de la voix d’une critique poignante et pleine d’esprit, sa littérature essentiellement « romanesque », nous ne la voyons point comme celle d’un « soleil noir », mais faite des clairvoyances impératives en symbiose toujours à ses sentences graves, aux tonalités des ciels vénitiens et dites dans des phrases érudites faites art littéraire qui se déplient en arabesques esthétiques.

Il fait irruption le rire intellectuel quand sa critique acerbe de cette époque en décomposition mélange une ironie mordante, mêlée aux questions métaphysiques ; il fait une critique sociale romanesque devant laquelle tout traité social reste vain.

Sollers définit notre société avec excellence : « La Société Finale » et l’ »Être Humain Terminal » qui gesticule dans l’ « Apothéose du VIDE »

Que dit-il de l’avalanche des écrivains « célèbres ?

Quelle description superbe de l’espace littéraire français !

Quelques phrases résument notre déchéance et surgissent très vite chez nous cette antique métamorphose des vaincus :

La catharsis !

 

« […] Dans ce crépuscule des premières vies, l’un, écrivain célèbre, rappellera de temps en temps que sa mère était femme de ménage, l’autre, journaliste proliférant, n’arrêtera pas de rendre hommage à son père illettré, ouvrier agricole. Enfin, une vieille femme française, écrivaine, prix Nobel de littérature, se souviendra au bord des larmes, de l’épicerie familiale, en disant qu’elle n’écrit que pour « venger sa race et sa classe ». 

Tout va dans la bonne direction, puisque les victimes sont récompensées. En douter vous désigne immédiatement comme conservateur élitiste, et signifie que votre famille, quelle qu’elle soit, n’aurait pas dû exister ».

 

Pour celui qui aime la vraie littérature en contraste avec la décrépitude dans laquelle est tombée la France, ce passage est la plus grandiose catharsis jamais éprouvée!

 

Et, encore :

« La bêtise est surinformée à cause de son ignorance. Des carrières de philosophes autoproclamés en profitent et pérorent, à heures fixes, sur tous les sujets ».

Ah, le progrès si bien dit !

« […] 70% du public vote transgenre. Erreur, cette femme, incroyable de féminitude, est bien une femme. La preuve est qu’elle est mariée à une femme dont elle a déjà deux enfants, par GPA, avec des mères porteuses ukrainiennes.»

L’Homme Terminal

 

« De même qu’il y avait des grades pour la noblesse, il faudrait inventer pour des origines obscures. Pauvreté, semi-pauvreté, insertion-ratée, mauvaise maîtrise de la langue d’accueil, sexualité floue, passivité sociale. Des opinions politiques de l’acteur sont désormais calquées sur celles de ses interlocuteurs qui lui promettent un emploi. L’être humain terminal est un mauvais acteur des réseaux… »

« Dans sa phase Terminale l’humanité est contrainte de reconnaître ses mensonges et ses crimes. »

 

 

Pour l’heure, et pour toujours, dans  cette déchéance irréversible de la France, et vu la décrépitude ambiante en matière intellectuelle et politique, il est impératif de relire Sollers et de lire sa Deuxième Vie.

 

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA

 

 

AVANCEZ LES GARS ! HOURRA !

13 août, 2025 (13:06) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

LES EUROPÉENS ONT-ILS FINI LEUR « CONSEIL DE CLASSE ? »

13 août, 2025 (09:54) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LES EUROPÉENS ONT-ILS FINI

 

 

LEUR « CONSEIL DE CLASSE ? »

 

 

 

Chers Lecteurs,

Ce qu’ils ne peuvent faire avec les armes, ils le font avec les mots, leurs réunions filmées ressemblent parfaitement aux « conseils de classe’ » un des pires défauts du système de l’E.N., Oh, ces conseils ennuyeux à en mourir !

Ils sont faits depuis des décennies d’une lenteur absurde, et d’un ennui  ! Qui se produit parce que leur paresse mentale les interdit aller à l’essentiel, ces conseils de classe où, l’absence d’énergie intellectuelle est leur principal défaut, est propre de la médiocrité de l’enseignement ; ce qui pourrait se dire dans un délai d’une demi-heure, ils s’attardaient dans des délais qui dépassent les trois heures, à l’époque, nous sortions tous accablés et épuisés, c’est ce qu’on appelle indiscutablement « le retard mental ».

C’est ce même retard mental et l’irresponsabilité financière dont ils font preuve les européens dans leurs réunions.

Ils viennent de décider qu’ils vont aider encore plus l’U. Et osent pleurnicher alarmés que la France subit une dette abyssale que nous n’avons pas créée, et veulent passer la facture aux citoyens, ceux qui ont les moyens, peuvent ouvrir le chéquier ou la CB de « contact », nous, sans le sou, devons dès maintenant faire face au manque du chèque énergie, qui se l’ont gardé pour cet été, avec l’excuse mensongère d’une attente nécessaire pour une nouvelle étude qui ne débutera qu’en novembre, entre temps est en place une nouvelle hausse de la facture d’énergie, le gouvernement l’a déjà installée et prévue pour la rentrée de septembre.

Les hausses des prix journalières dans les produits d’alimentation, nous les voyons tous les jours, hausses injustifiées qui selon les dirigeants politiques et les PDG de l’alimentaire, passeront inaperçues, mais nous ne sommes pas dupes, nous regardons les étiquettes avant de mettre un produit dans le panier, et regardons aussi que la TVA que pour des produits alimentaires peuvent aller jusqu’à 9€, dans la liste du ticket à payer à la caisse, avec la seule TVA, nous pourrions nous munir de plusieurs articles nécessaires que nous devons laisser dans les rayons !

Toutes-ces dépenses mensuelles, je le redis, injustifiées pour nous, et qui servent à combler le déficit des euros inconsidérés versés pour une guerre qui n’est pas la nôtre.

Arrêtez avec la rengaine que la Russie veut venir nous attaquer !

Seuls les imbéciles vont croire à votre propagande.

Les difficultés financières et le déficit affolant sont chez vous, ici en France, cesser de ridiculiser la Russie et son inflation, si crise financière, ils pourraient en avoir, ils sauront la régulariser comme par le passé, ils ont l’intelligence et la résilience bien prouvées, comparées à votre situation d’endettés, ces qualités vous font grave défaut.

Votre mauvaise gérance et gaspillage dont vous êtes les auteurs et profiteurs de la dette Française, vous ordonne d’adopter de la discrétion, alors stoppez votre ingérence  !

Las graphiques sur le déficit du rouble et les propagandes de vos journalistes nous font éteindre la télé.

Les injustices économiques à l’encontre des citoyens qui s’accumulent au jour le jour, nous ne pouvons plus les supporter, la rentrée vous dira que ce cirque a pris fin.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

UNE COURTE MATINÉE À PARIS

12 août, 2025 (20:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

      

       UNE COURTE MATINÉE À PARIS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Obligée  que j’étais par la date qui expirait, j’ai dû courir à Paris chercher mes livres. Je les attendais depuis cinq semaines ; ils n’étaient pas disponibles, ici en France, trouver les livres, c’est comme chercher un médicament, je sais cela pour ce qu’on me raconte, parce que moi, je ne prends pas de médicaments, seulement de l’homéopathie et de la phytothérapie.  Je ne comptais pas avec cette canicule, j’abhorre le soleil et la chaleur, je partirai où il n’y a pas de soleil ! Et pas de chaleur !

Je suis partie de l’Enfer de Poissy à 7h.40 et je suis arrivée à Paris Montparnasse à 9h, mais pour faire ce voyage, il m’a fallu descendre les 84 marches d’escalier avec le déambulateur, marcher jusqu’à l’abribus, attendre le bus, 10 min cette fois-ci ,parce que d’habitude, l’attente est de 30 mn ! ensuite  17 minutes de trajet, car il avance comme une charrette, arrivée à la Gare, j’ai  attendu 15 mn pour l’arrivée du train, il était de ceux très anciens, aux marches très hautes, je fais du sport là, et il faut monter vite, le chauffer ne sait pas que je dois monter les 9 k et personne n’aide ni ne me donne la place ! Je ne montre plus jamais ma Carte, une fois l’on m’a presque agressée en me disant que je n’ai pas le droit « au traitement de faveur »  et, pourtant la carte d’invalidité sert au moins à avoir le droit de s’asseoir, mais dans les Yvelines c’est vrai que ma carte de la MDPH « ne me sert à rien »

Soit. Nous sommes sous l’Occupation. 

Il était de ces trains anciens qui sont une véritable ferraille, pour Poissy, le PDG de la SNCF laisse les plus anciens et délabrés ce qui ne se produit pas pour les lignes de Saint-Lazare Versailles ! Nous arrivâmes en 40 mn à la Gare-Saint Lazare, ensuite, il faut chercher l’ascenseur pour sortir, par fortune, il était en marche, mais à la sortie, je me suis trouvée devant la fin du monde,  » ils » font « des travaux » aucun « arrêt de bus » pour Montparnasse, tout a été supprimé ; d’habitude les arrêts sont est juste en face ;  j’ai dû marcher très vite pour arriver à la hauteur de presque l’arrêt Opéra, pour prendre le bus 28 qui a comme terminus la gare Montparnasse. Ces idiots n’ont aucun respect pour le public, ils devraient afficher une pancarte pour nous informer, les chauffeurs d’autres lignes haussent les épaules et vous disent : « je ne sais pas, ce n’est pas ma ligne », on ne sait plus où aller pour chercher le nouvel arrêt, il ne reste que marcher, jusqu’à le trouver.

Le magasin n’ouvre qu’à 10h, j’eus le temps d’aller au supermarché connu comme le plus cher e, grande surprise,  les deux produits qu’à Poissy où sont introuvables ou à un prix exorbitant, je les ai trouvés à moitié prix, et chez Monoprix et ils n’étaient pas en promotion, savez-vous de quoi s’agissait-il ?

D’une arme chère et absolument nécessaire pour habiter dans cette porcherie de HLM, une bouteille de DESTOP, car les canalisations sont entièrement pourries, et se bouchent toutes les semaines.

Ici le prix dépasse le supportable alors, il faut que j’aille faire mes courses à Paris !

Et l’autre produit, c’est un petit paquet des tout petits carrés de sucre qu’ici coutent 5€ , là-bas, je l’ai trouvé à 2.50€ !

Enfin mes petites courses faites, je suis allée à pied en descendant la rue de Sèvres pour arriver au magasin récupérer mes livres.

Après, j’ai traversé la rue et pris le bus de retour à la gare Saint-Lazare, grande chance, le chauffeur m’a mis la rampe sans que je le lui demande, le Paradis !

Le long trajet pour Paris m’a fait tellement bien que je me suis sentie renaître, et se sont éveillés mes sentiments d’injustice de me voir confinée dans l’Enfer de Poissy ; je me vois mal faire cette expédition stupide tous les jours pour aller à la Fac… il devrait avoir des dortoirs pour y rester et ne rentrer à cette porcherie que le vendredi. Je me suis rappelé que quand je devais faire le même style des trajets forcés pour aller travailler aux lycées, le dernier était à Maintes la Jolie, en Zep, je dépensais 4h de transport par jour, j’étais épuisée non de travailler, mais de ces déplacements idiots, et j’étais jeune ! Alors, mes élèves me disaient « Madame, ne rentrez pas chez-vous, c’est trop loin, restez dans le placard ! »

Enfin, une fois dans le train bien assise, j’ai pu respirer, de l’air chaud ! Et, par fortune, j’ai pris le train tout de suite, je ne sais pas, par quel miracle, le panneau affichait Poissy, départ dans 14 mn, il était de ces trains modernes, sans escaliers, à une seule rampe à la même hauteur du quai, chiche pour monter mon déambulateur ! Il était à quai et les portes ouvertes, un miracle, j’ai attendu les 14 mn assise, le train était presque vide, je suis arrivée à la Gare de Poissy à 11h. 10; j’ai pris le bus tout de suite, et,j’ai marché 8  mn pour arriver à la porte de l’immeuble où m’attendait les 84 marches d’escalier pour monter non seulement ma carcasse, mais le plus dur, le lourds déambulateur de 9 k., j’ai ouvert la porte de ma porcherie à 12h 15.

Extraordinaire épreuve de force meurtrière pour mes genoux et mes vertèbres, mais c’es compréhensible, sous l’Occupation, vous ne pouvez pas demander mieux 

Tout ce trajet a été raccourci de quasiment 2h, parce que par temps de jours de travail, des jours ordinaires aux heures de pointe, « les gens » ne me laissent pas monter dans le bus vers la Gare, et l’affluence dans les quais est égale aux trains de Calcutta. C’est ça vivre à Poissy.

Pendant le trajet, de mon paquet de livres, j’ai choisi La Deuxième Vie, nommé le dernier livre de Philippe Sollers.

J’ai lu la postface de Julia Kristeva.

Et l’après-midi, aux volets fermés, j’ai lu le livre.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

UNE ANECDOTE EXISTENTIELLE À RIRE AUX ÉCLATS

12 août, 2025 (07:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

UNE ANECDOTE EXISTENTIELLE

 

 

           À RIRE AUX ÉCLATS

 

 

 

Chers Lecteurs,

Je vais vous raconter une anecdote très rapidement, je voyage à Paris très tôt pour ne pas fondre victime de la canicule, je vais non me promener comme touriste, mais chercher ma liste de livres qui sont arrivés après une attente de cinq semaines !

Je vais vous faire rire aux éclats :

Quand une femme de 71 ans a de l’argent (moi, je suis née le 25 janvier 1954) on dit publiquement d’elle, je cite les journaux : « elle était renversante, lumineuse, habillée d’une robe de haute couture… »

On ne parle point de qu’elle est franchement laide, pleine de rides, en dépit de millions dépensés en salons de beauté. Et, voilà qui arrive le plus comique, moi, qui selon les Français » de l’administration » , je ne vaux RIEN, parce que PAUVRE, (la définition de PAUVRE pour las Français signifie les sommes dans le compte en banque) sauf que moi, qui n’ait été jamais « pauvre » et je me sens « potentiellement RICHE ». Bref, ce sont des considérations philosophiques qui ne sont pas à leur portée.

Passons.

Je vais à mon anecdote :

Un rendez-vous dans une mairie m’oblige à dialoguer avec une personne, une femme évidement « hautement malveillante », mais dans l’administration, on ne choisit pas les interlocuteurs, après avoir regardé avec épouvante mon rapport de 350 Pp. qu’après, j’ai fait livre, me dit cachant sa surprise, « si je vous trouve un logement accessible et adapté à votre handicap, je devrais le faire devant le préfet » (!) Moi, qui j’ai déjà eu affaire avec, je serrais les dents, bouche cousue, alors elle poursuit… « Je ne vous trouverai qu’un studio ».

Alors là, Madame, je lui répondis, c’est impossible, j’avais un studio à Paris où j’ai vécu plus de huit ans, ce qui m’a fait commettre l’idiotie, de venir à Poissy, j’ai maintenant un lit médicalisé assez grand qui m’occupe toute la petite chambrette, j’ai des livres est des toiles, et « je fais de la peinture »

Alors, vous vous réduisez !

Que voulez-vous que je mette un immense lit médicalisé au salon?

Que je jette mes livres et mes toiles qui sont le travail de toute une vie quand je vivais à Paris?

Je ne suis pas arrivée à la nage hier ni avant hier, j’ai un passé qui doit être respecté, je suis « professionnelle » Madame ‘

Alors, elle me répond sans savoir comment s’échapper :

« Je vous comprends »

« Madame, je ne suis pas venue chercher votre compréhension, mais votre MUTATION »

Affaire close.

Bien, entre autres insanités que j’ai d’un entendre, elle m’a dit qu’une femme SEULE, sans enfant, qui ne vit pas en « concubinage » ne peut jamais accéder à un F2 oui à un F3. Je lui ai répliqué que c’est archi-faux, car je connais la loi et j’ai de l’expérience, dans mon ancien logement parisien, ma voisine de palier était mon amie, elle avait la même âge que moi, célibataire et sans enfant et avait un F2 de 56 m2, , alors stoppez le scandale de mensonges !

Une personne handicapée qui fait foi de son invalidité a le droit de plus d’espace, le ventre (n’avoir jamais enfanté) ou sa situation civile (concubinage)  n’entrent point dans une improbable interdiction de plus de m2.

Dans mon pays d’origine, à mon époque, « le concubinage » est une situation sociale vécue uniquement au sein de LA PÈGRE » ici en France est un motif de reconnaissance sociale !!!

La solitude, le manque de famille ne sont en aucun cas des motifs devant la loi qui interdisent l’attribution d’un F2 ou d’un F3, mais sa situation personnelle de santé.

Pour résumer l’anecdote :

Les vieilles sans argent sont vieilles bonnes à jeter au cercueil.

Ça viendra, comme pour vous tous, nous sommes tous condamnés à mort, mais en attendant… chaque chose à son temps mesdames, messieurs, ne violentez pas la Vie !

Et, les droits inscrits dans le Code civil et le Code pénal sont effacés pour moi, par les fonctionnaires de l’administration.

La VIEILLE, qui n’a pas d’argent selon ces « académiciens » sont stupides, ignorantes et analphabètes, donc, ils peuvent les manipuler à leur guise.

La pauvre idiote, m’a fait la liste de tout ce que je n’ai pas.

Et, moi, je lui ai répondu, que dès mon réveil, je me fais la liste non de ce que je n’ai pas, mais de tout ce que j’ai et grâce à mon effort et mon travail.

Les autres considérations dont je pense, j’ai opté pour les laisser en silence, elle ne les comprendrait point.

Oui, elle et tous ceux qui me détestent pourront dire que je suis vielle et que j’ai la même âge des starlettes des femmes françaises de la vie mondaine et politique et que la seule chose qu’ils peuvent dire d’elles est qu’elles s’habillent avec des robes chères de haute couture, mais de l’intérieur… Qui sont-elles ?

Moi, depuis que je ne travaille pas, je dois m’habiller chez Lidl, tee-shirts et jeans, et quelques fois des pantalons de 12€ du marché de Paris…

Je ne mets pas les pieds chez les coiffeurs, je me coupe toute seule mes cheveux et n’ai jamais fait appel aux produits de beauté chers, jamais…Ici en France naturellement !

Je ne fais pas l’éloge de la pauvreté, je la déteste de toutes mes forces, bien au contraire, j’aime le luxe, et la beauté et jamais, je n’ai vécu la misère chez ma famille et je déteste le misérabilisme, je fais face honorablement devant une situation d’appauvrissement que je ne mérite pas et que je n’ai pas choisie.

Et, je vous le redis, je fais tous les jours ma comptabilité, non de ce qui me manque, la liste est devenue tellement longue depuis que j’ai commis la connerie grandiose de venir en France, mais je fais ma comptabilité de tout ce que mes parents m’ont donné en héritage génétique, et en valeurs morales.

Et j’additionne tout ce que je suis arrivée toute seule à m’apprivoiser…Et je poursuis.

Bonne journée !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

UN EXTRAIT DU LIVRE : VÉRA LA CANAILLE ET SA COMPLICE

11 août, 2025 (15:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

ÉPILOGUE

 

 

VÉRA SE DÉFEND

 

Véra voit s’avancer La Canaille vers sa chambre à coucher, il avance avide et décidé d’aboutir à faire ce qu’il veut parvenir à y faire, elle lui dit: « Dans ma chambre à coucher il n’y a rien à inspecter. »

La COMPLICE se tenait derrière lui, en silence, comme sont tous les laquais, serviles dans tout étai de cause… Obéissants et menteurs de premier ordre.

Véra lui interdit de prendre des photos de son lit médicalisé.

Il avance, appareil de photo entre ses mains, on dirait un journaliste dans un lieu de crime, sans lui obéir, il avance outrancier, vers sa chambre à coucher, Véra avait laissé la porte bien fermée, sa chambre est pour elle son espace intime et sacré, personne n’y met les pieds, et dans sa chambre, il n’y a aucun dégât.

Elle doit lui laisser de la place, de manière absurde, il s’impose, insolent et sans l’écouter ; entre le bord du lit et le mur, il n’y a que 50 centimètres, elle doit forcément très vite bouger de quelques centimètres et Véra se met de côté, il fait semblant de vérifier, elle est inquiète et son seul but est de lui interdire de faire les photos, elle est ahurie de cette situation et lui répète, je vous interdis de prendre des photos de mon lit, d’ailleurs, vous l’avez déjà, car je vous l’ai envoyé par mail, pour faire foi de mon handicap et de que j’ai besoin d’un F2.

Il insiste et en lui disant qu’il veut « vérifier »  or, il n’y a rien à vérifier lui dit Véra: « la prise est parfaite du contraire le lit qui est électrique, ne pourrait pas être opérationnel. »

La télécommande électrique permet à Véra de monter son lit, pour faire facilement son lit tous les jours sans besoin de se pencher. C’est l’objectif d’un lit médicalisé, faciliter la vie courante d’une personne en situation de handicap.

Mais…La Canaille, tergiverse la situation et les dires légitimes de Véra qui veut à tout prix défendre « son intimité » et, la fin de l’histoire est que La Canaille court vers son chef pour se plaindre, lui demander sa protection contre VÉRA, cette « vieille handicapée de 71 ans tellement dangereuse et offensante !!!! »

et, lui dit :

« La vieille handicapée est DANGEREUSE !!!

Mal polie !

Elle m’a intimidé!!!

Véra a porté atteinte à une personnalité representante de l’État français !!!!!!

Le Chef se met à l’œuvre fort de sa « supériorité hiérarchique » assermentée que PERSONNE en France ne pourra lui contester.

PERSONNE.

La vielle handicapée a interdit d’accéder à sa chambre à coucher à une haute autorité de l’État, « Véra n’a aucun droit en France !!!! »

« Aucun ! elle doit se soumettre à tout ce que nous voulons, je vais lui écrire pour lui faire peur , tu vas voir nous allons la tuer !!!!! »

« Ne crains rien, elle va tout stopper, tu sais , elle n’a pas d’argent elle est foutue, nous allons poursuivre, la traquer jusqu’à la ruiner ! »

Mais,  comment-est-il possible ?

Elle doit laisser grandes ouvertes son intimité, car IL EST UN FONCTIONNAIRE qui dans le service de son INSPECTION, il fait ce qu’il veut !

Le mensonge et la calomnie sont inclus !

Certes Véra le lui a interdit DE PAROLE, no physiquement, d’entrer dans sa chambre à coucher et d’y faire des photos de son lit; une vieille handicapée a-t-elle la force de s’opposer physiquement comme pourrait le faire un homme quand bien même handicapé ?

NON, ABSOLUMENT PAS.

Mais La Canaille s’est imposée outrepassant son pouvoir, que pouvait faire d’autre Véra ?

Sa seule arme est la parole écrite et parlée.

La Canaille, comme toutes les Canailles de la terre, « Elles » mentent, calomnient et portent atteinte à l’honneur d’une personne avec des diffamations, l’importance de cette affaire est la mesure entièrement DISPROPORTIONNÉE prise par le Chef du régiment, l’on dirait la seconde division blindée d’un état de guerre contre un pauvre vieille handicapée qui en aucun cas ne peut INTIMIDER un « HOMME »

Mais que dit-on ?

Un Homme?

 

LA STRANGULATION : MÉTHODE POLITIQUE DU GOUVERNEMENT

11 août, 2025 (13:43) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

            

 

 

                   LA STRANGULATION

 

                       LA MÉTHODE POLITIQUE

 

                            DU GOUVERNEMENT

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

Il va falloir stopper ipso facto ce vol financier insensé que prépare le Premier ministre contre toute la nation.

Où va-t-on?!

Je viens d’entendre Madame Isabelle This Saint-Jean, économiste, Professeur universitaire, ses propos sont clairs et précis, elle a donné une analyse premier ordre, elle demande au Premier ministre qu’il se prononce clairement, elle ajoute que l’État a une durée infinie, les citoyens ne sont pas responsables de ce déficit.

Ce sont deux dépenses distinctes.

Un dirigeant d’un syndicat, de son côté a fait une démonstration pratique sur l’inutilité de ces deux jours de travail gratuit où seuls les salariés seront les punis, sans que l’État gagne un seul euro pour combler le déficit qui est de sa seule responsabilité, certes, avec ces deux jours non payés, il ne sauvera point la France de son déficit abyssal, mais il appauvrira la nation, les salariés  de 1% de ses revenus.

Pour nous, retraités « au seuil de pauvreté », nous ne pouvons plus poursuivre en supportant soumis les hausses de prix, comme si tout allait bien dans les meilleurs des mondes. 

Ces difficultés tombent sur le plus démunis et vulnérables, augmentent les risques de maladies et entraînent plus de dépenses pour la Sécu, sa plus grande préoccupation ! Mais la santé des citoyens sous pression il s’en fiche éperdument !

LA STRANGULATION DE CITOYENS

Nous, qui sommes « pauvres » nous n’en pouvons plus  rester indifférents, ni assurer les hausses des prix qui arrivent au jour le jour et nous restons figés avec des revenus qui stagnent.

Disons BASTA !

Donc, vu la situation gravissime, nous devons exiger la démission immédiate du gouvernement donnant comme argument une mauvaise gérance du budget de l’État, menant le pays à sa ruine et faisant  payer inconsidérément la nation qui est sans défense pour subir tous leurs abus, qui conduisent à une aggravation irréversible dans leurs vies.

 

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Fiche n°64
La mise en cause de la responsabilité du Gouvernement

Points-clés
Si l’article 20 de la Constitution de 1958 dispose que le Gouvernement est « responsable devant le Parlement », l’article 50 précise que seul un vote émis par l’Assemblée nationale peut entraîner la démission du Gouvernement.

Trois procédures de mise en cause de la responsabilité du Gouvernement devant l’Assemblée nationale sont définies par l’article 49 de la Constitution :

– l’engagement de la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou sur une déclaration de politique générale (article 49, alinéa premier) couramment dénommé « question de confiance » ;

– le dépôt d’une motion de censure à l’initiative des députés (article 49, alinéa 2) ;

– l’engagement de la responsabilité du Gouvernement sur le vote d’un texte (article 49, alinéa 3).

Dans la pratique, l’usage que les députés font de ces différentes procédures est fortement conditionné par le fait majoritaire.

L’article 50 limite le pouvoir de sanction à la seule Assemblée nationale : « Lorsque l’Assemblée nationale adopte une motion de censure ou lorsqu’elle désapprouve le programme ou une déclaration de politique générale du Gouvernement, le Premier ministre doit remettre au Président de la République la démission du Gouvernement ». Ces situations sont les seules dans lesquelles le Premier ministre est tenu de présenter la démission de son équipe.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

J’ALLUME LE TÉLÉ POUR VOIR LE JOURNAL ET J’ÉCOUTE UNE INSANITÉ GRANDIOSE

11 août, 2025 (12:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LE RIDICULE À L’ÉTAT EXTRÊME

 

        IL Y A UNE QUI VIENT D’AFFIRMER :

 

 

  « IL FAUT ROMPRE AVEC LA RUSSIE  » 

 

Mais, pour qui se prend-elle?

Ça lui indiffère  totalement !

La Russie s’en moque de l’Europe !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA