TOUT TRAVAIL MÉRITE SA PAIE

 

Huile sur toile 2024.

 

 

      DÉCO OU NÉGO ?

     RESTER DANS L’HLM

      DE   VILOGIA OU PARTIR

             DE L’ENFER ?

 

 

Chers Lecteurs,

Quand on a vécu le pire, quand on nous a fait descendre aux abysses de la méchanceté, il n’y a aucune tragédie de pire que de subir le crime de notre Maman, tout ce qui viendra après ne peut nous détruire. J’ai survécu à la disparition de mon père, j’ai survécu à l’anéantissement indicible de Maman.

Comment voudriez-vous que je sois anéantie maintenant avec la persécution des misérables ?

La méchanceté des misérables de VILOGIA me fait rire, je ris de l’ampleur de leur stupidité.

Maman me disait toujours que je devais analyser tout ce qui se passe de mauvais dans la société ou avec les comportements des mauvaises personnes avec une très courte et très adroite réflexion, pour elle, tout devait être réduit à une seule question :  LE MANQUE D’INTELLIGENCE.

Maman qui était d’un équilibre et sagesse hors du commun, avait entièrement raison, une personne intelligente ne va pas s’amuser à pratiquer la discrimination et à pratiquer l’abus de pouvoir gratuitement vis-à-vis de ceux ou celles qui ne peuvent échapper de leur emprise.

Ici, il ne faut pas se voiler la face. Je pourrais quitter cette immondice et les oublier ipso facto si je vendais tout mon atelier. C’est l’appauvrissement qui m’a été imposé la seule source de tous mes problèmes.

Connaissez-vous la série canadienne DECO OU NÉGO ?

Je m’amuse bien en la regardant, ce couple se dépasse en professionnalisme, elle transforme des maisons pleines de défauts en maisons de rêve et lui, en agent immobilier expert qu’il est, trouve des maisons luxueuses aux clients.

Je vais les envoyer mon DVD dès qu’il sera prêt, ce serait la rigolade, le cirque mondial ! Regarder comment vivent « les pauvres en France ! » L’immondice faite réalité.

Dans les pays nordiques, les HLM sont soignés, propres et adaptées, loués avec dignité ; il est inimaginable de penser que l’immondice doit se conjuguer obligatoirement avec l’immondice et aller de pair avec la misère. C’est une pensée des bas-fonds et infâme.

Je n’ai jamais vécu de l’assistanat. Ce mode de vie m’insupporte.

J’attends l’arrivée d’un mécène, d’un collectionneur qui peut se trouver ailleurs, très loin d’ici.

Je ne veux qu’une seule chose, quitter cette immondice, retourner à Paris, et par mes propres moyens financiers, tel que je l’ai fait pour venir en France en « Mission artistique » payer avec MON TRAVAIL.

Parce que, sachez, chers Lecteurs, que tout travail mérite sa paie et je n’ai pas encore reçu la réponse de pourquoi je ne peux pas vendre mes toiles qui ont de la valeur.

J’ai autant de droit que les peintres « barbouilleurs » à vendre mes toiles.

Dans ce bas monde, il y a pour tous les choix.

Pour ceux qui aiment les peintres barbouilleurs et pour ce qui reconnaîtront dans mon travail pictural la trace indubitable de l’ÉCOLE DE PARIS.

Alors, si un mécène regarde mes toiles et qui prend connaissance de qui fut mon maître: le peintre Hernán Gazmuri, ancien disciple d’André Lhote dans les années 28 à Paris, et s’il prend connaissance que H.Gazmuri est entrée dans le Patrimoine de la France en 1983, il fera un acquis de taille en achetant mon atelier, donc je l’invite à me contacter.

S’il se trouve l’étranger… Tant mieux !

À très bientôt.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

https://sites.google.com/view/florencegazmuriartiste-peintre

 

 

Chers Lecteurs,

Enfin ! 

J’ai fini de configurer toute seule mon site.

J’ai inséré  mes travaux récents 2024-2025.

J’espère qu’il sera visible, je l’ai mis en mode « public ».

Il me manque obtenir l’URL, je dois prendre des cours sur Internet.

Je n’ai pas encore eu le temps, je suis une totale ignorante dans la matière.

Il va de soi qu’il devra être amélioré, mais pour le moment, j’ai réussi à le placer en ligne.

Je vous invite à faire une visite.

 

Merci à vous.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

1. COUVERTURE ET 4ème DE COUVERTURE EN COURS DE CORRECTION IMPRIMEUR – TÉSIS-ENSAYO

DOCTORAT SUR L’ŒUVRE D’ERNESTO SÁBATO

300 Pp.

2. MONOGRAPHIE DU PEINTRE FLORENCE GAZMURI  – TRAVAUX PICTURAUX    1984 – 2025

DISCIPLE DU PEINTRE HERNÁN GAZMURI ET DERNIÈRE HÉRITIÈRE VIVANTE DE L’ÉCOLE DE PARIS.

 

 

3. RÉÉDITION DU LIVRE  :  HERNÁN GAZMURI L’HÉROÏSME DU PEINTRE VICTIME D’UNE INFAMIE

 

4. PROCHAINEMENT VILOGIA 2025 VOLUME II ET DERNIER

LOCATION ET CRIME

LE RAFFINEMENT D’UNE PERSÉCUTION AVEC DES PREUVES EN L’ESPÈCE. UN DVD JOINT

 

LA VOICI MA FENÊTRE AUX VOLETS À MOITIÉ OUVERTS DANS UN IMMEUBLE DÉLABRÉ, SALE

SANS ISOLATION.

 

LES VOICI LES 84 MARCHES D’ESCALIERS QUI ME SONT INTERDITES ET QUE JE DOIS MONTER ET DESCENDRE QUOTIDIENNEMENT AVEC UN GROS ET LOURD DÉAMBULATEUR DE 8 KILOS SANS LES COURSES, JE RISQUE UNE FRACTURE SPONTANÉE.

 

 

 

MON DÉAMBULATEUR

          LES GRAFFITIS

 

 

                            ET

 

               LES RESSENTIS SOCIAUX

 

 

PREMIÈRE PARTIE

 

Chers Lecteurs,

 

Je me suis toujours demandée ceci : pourquoi ces crétins salissent des murs et des portes impeccables avec des graffitis hideux… D’où vient ce maladif et irrésistible besoin de salir ce qui est pur, noble, beau, sans imperfections ni défauts ?

Ils sont arrivés à envahir les musées qui sont des lieux sacrés pour mutiler et abîmer des œuvres d’art.

Cette nécessité de glorifier le hideux est mondiale.

Mon père me disait, « tu vois ces portes bellement peintes? Ces ouvriers sont des connaisseurs parfaits de leur métier, à la différence de ces faux peintres qui se disent « modernes » et qui barbouillent et salissent les toiles. Tu t’imagines un ouvrier, peintre de bâtiment qui laisse des grumeaux sur les porte et les murs? Je les admire, ils ont du métier ».

Voilà la réponse. Avoir « du métier ».

C’est avoir des connaissances et du respect pour ce que l’on fait.

Par force, nous devons faire l’exégèse de ce comportement social de salissement urbain et, obligatoirement, nous nous appliquons à faire des études comparatives.

Un exemple criant de vérité.

J’aime les grandes villes, parce qu’on y vit de manière anonyme.

Que l’on aille faire les courses ou se promener, personne ne vous connaît ni ne vous intimide.

Il m’ont obligé à connaître l’enfer d’une CITÉ HLM, je n’ai jamais vécu de la sorte, depuis que je suis devenue française en 1989, par ignorance, j’ai commis deux erreurs monumentales :  entrer comme professeur à l’Éducation Nationale et louer dans le champ locatif social.

Les bailleurs privés français étaient tous honnêtes et fort sympathiques, parfois, ils allaient me voir, ils savaient que je vivais avec Maman et faisaient des passages récurrents pour savoir si dans « leur appartement » tout allait bien. Mais ça « c’était avant ».

Quand on doit remplir des « dossiers administratifs », il est impossible de cacher notre trajectoire de vie familiale et professionnelle.

Elle est inscrite de manière indélébile sur tous nos dossiers.

Les critères d’attribution des appartements sociaux HLM sont étudiés par des « COMMISSIONS » politisées et fondées sur des critères d’attribution spéciales, je n’entre pas dans les clauses dictatoriales.

La préférence sera donnée aux familles nombreuses, aux familles « monoparentales, aux mères célibataires, aux femmes battues, aux immigrés, aux nouveaux arrivants.

Il existe une loi qui défend les personnes en situation de handicap, elles sont prioritaires, mais selon LA LOI, non, selon LA MAIRIE DE PARIS.

Toute personne reconnue comme handicapée doit habiter un immeuble adapté à son handicap.

La loi écrite est violée dans la praxis.

Les « organismes compétents » font de la figuration face à une personne classée comme » ATYPIQUE », mais « ATYPIQUE » en quoi ?

Selon la loi, je ne suis : « qu’une personne âgée, handicapée et à très faibles ressources qui vit dans des conditions abominables d’hygiène et dans un immeuble inadapté à son handicap et loin de Paris, ce qui provoque un préjudice à sa santé. « 

Tous ces éléments réunis me font prioritaire, mais LA MAIRIE DE PARIS a méprisé mon dossier pour que je patiente jusqu’à ma mort qui s’approche selon leurs « critères ».

J’ai une année de moins que l’épouse du Président de la République française….

Est-ce qu’on lui dit à elle qu’elle est proche de la mort à ses 72 ans ?

Répondez — moi.

Les préfets statuent dans le cadre DALO.

Ils ne donneront jamais une HLM de plus de 16 M2 à une vieille seule.

Leur loi statue que toute VIEILLE sans ressources est une analphabète qui n’a pas de parcours d’études, à juger pour sa retraite, elle n’est qu’un déchet, ignorante, feignante et inutile à la société, il va falloir la punir.

Elle est arrivée profiter de la France !!!!!

À juger pour sa retraite de 1030€ on constate qu’elle n’a jamais travaillé en France.

C’est une feignante qui est arrivée en France profiter « des aides sociales ».

Croyez-vous que les préfets et les commissions vont aller étudier l’identité des demanderesses ?

À l’exception de leurs protégées !!!!

 

1. Vieille

2. Sans ressources autres qu’une retraite au-dessous du Smic.

3. En état de handicap.

4. Célibataire, vit seule, jamais mariée et le comble « sans descendance »

5. Elle ne vit pas « en concubinage ».

Donc, décision de la « commission » :

HLM le plus loin possible de Paris, inadapté à son handicap et le plus dangereux possible. Qu’elle se débrouille, elle n’a pas besoin de plus, c’est nous qui commandons ici, le pouvoir est à nous »

Ma visite obligatoire à la mairie, m’a fait rencontrer la responsable du logement et des personnes âgées !!!

Elle voulait me « faire postuler » à un petit studio et ici même à Poissy, car « la loi ne nous permet pas de vous donner plus, vous n’avez pas besoin de plus, vous vivez seule, vous n’êtes pas « en concubinage » et vous n’avez jamais enfanté, la loi nous sanctionnerait si l’on vous donnait un F2 ou un F3 »

Ah bon?! Vous en êtes sûre?!

Ne me racontez pas ça, je vous en prie ! Je viens de Paris, ma voisine de palier avait la même âge que moi, aussi célibataire sans descendance et elle  s’est vue attribuer l’appartement depuis quelques années avant mon arrivée dans les lieux, dans le 13ᵉ, on lui avait donné un F2 de 60 m2, ne me racontez pas des histoires qui n’existent pas.

Mais vous aurez l’ascenseur !!!!

Vous voulez que je répète les conditions néfastes de mon précédent HLM de Paris ?

HLM de 16m2 ?

C’est fut la seule raison pour laquelle à contre cœur, j’ai dû accepter aveuglément cette HLM de la cité Beauregard de Poissy.

Mais vous aurez l’ascenseur… !

Je dois retourner vivre à Paris, ici, c’est un désert médical, les professionnels sont exécrables et mes dossiers médicaux sont à Paris depuis des nombreuses années, je ne changerai pas mes médecins à 70 ans, ça jamais !

En plus, je ne peux pas dépenser 4 heures de transport entre Poissy et Paris, mon handicap m’interdit de prendre le métro et le RER, les bus de Poissy sont très dangereux sans rampe pour mon lourd déambulateur, un chauffeur m’a déjà écrasé le premier déambulateur en janvier 2024 j’ai dû en acheter un autre !, , et la CITÉ est très éloignée de la gare de Poissy.

Ensuite, une fois arrivée à la gare Saint-Lazare, mon périple n’est pas terminé, il me faut prendre un autre bus pour aller au centre de Paris où j’ai mes activités artistiques.

Je ne vais pas mener une vie végétative à Poissy en attendant la mort. Je n’ai pas de vie à Poissy.

Je vis dans un mouroir.

Et, le comble, l’État fait la publicité par intermédiaire de la CNAV (Caisse de retraite’) pour que les retraités, d’après leurs conseils et des « ateliers » construisent un « BIEN VIEILLIR ! »

Alors, je leur ai dit :

Mesdames, la première question à résoudre est de donner un immeuble adapté au handicap de la retraitée, et dans la ville où elle a ses activités artistiques depuis plus de quarante années, et vous vous faites une publicité mensongère parce que vous me laissez à la rue, dans le caniveau, privée de mes droits les plus essentiels.

Je suis  professeur, j’ai un BAC+ 8 j’ai fait des hautes études dans mon pays d’origine et ici en France, je suis détentrice de deux diplômes français dont un Doctorat, j’ai exercé avec excellence dans l’enseignement, tous mes élèves réussirent leur Bac, bon nombre d’entre eux aimèrent l’espagnol au point d’entrer à l’université et sont devenus docteurs, et je suis artiste peintre héritière de la plus prestigieuse École de peinture Française, l’ÉCOLE DE PARIS, je vous défie à me montrer une autre postulante à une mutation HLM vers Paris avec toute ma trajectoire, alors étudiez en profondeur mon dossier mesdames. »

Pour aller à mes rendez-vous médicaux, j’ai droit aux taxis conventionnés, alors la dépense inutile de ces frais seraient stoppés ipso facto si je suis mutée à Paris, car le réseau de bus parisien est excellent et sans que je le demande, ils mettent la rampe, je pourrais me rendre à mes rendez-vous sans faire plus appel aux taxis conventionnés, la stupidité de la commission de la Mairie de Paris est un scandale Français.

Mais vous aurez l’ascenseur… !

Ah voilà ! Et vous voulez que je fasse la peinture et que j’installe mon immense bibliothèque dans l’ascenseur ?

Alors, défaites-vous de vos affaires ! Allégez-vous !

Ah ! Parfait !

Voulez-vous que je jette mes toiles et mes livres à la Seine ?, mon travail de toute une vie à Paris ?

Je vous comprends…

Non Madame, je ne suis pas venue chercher votre compréhension, mais votre MUTATION.

Bureau de la mairie de Poissy, 2024.

 

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA

 

 

                

                     

              PRISE ÉLECTRIQUE QUI SE TROUVE JUSTE EN BAS DU CHAUFFE-EAU ET QUI REÇOIT LA FUITE D’EAU QUI SORT DU CHAUFFE-EU, VILOGIA S’EST REFUSÉE À LA CHANGER PARCE QU’ELLE EST LIÉE AUX PRISES DU MUR, LA CHANGER DEMANDERAIENT FAIRE DE GROS TRAVAUX CAR LIÉE AUX TROIS PRISES DU MUR QUI SONT INDISPENSABLES POUR MAINTENIR EN ROUTE LE RÉFRIGÉRATEUR ET UNE PETITE PLAQUE ÉLECTRIQUE, SEUL ÉLÉMENT DE « LA LOCATAIRE » POUR FAIRE SES PETITS REPAS. »LA LOCATAIRE » N’A AUCUN ÉLECTROMÉNAGER. IL EST DÉMONTRÉ QU’ELLE N’A PAS LE LAVE-LINGE, DONC IL EST IMPOSSIBLE QU’ELLE SOIT IMPUTÉE D’UNE FAUSSE FACTURE DE DÉPASSEMENT D’EAU FROIDE.   

ELLE NE PEUT FAIRE USAGE DE LA BAIGNOIRE PAR SON HANDICAP AUX GENOUX. 

 

 

 

                   SYNOPSIS

 

             « LA LOCATAIRE »

                                ET

                    LE HLM DE POISSY

                            2021 – 2025

 

            LE DVD DE LA HONTE

PROCHAINEMENT EN SALLE

 

 

 

« Il était une fois… »

Salle d’eau de l’HLM de Poissy du bailleur SOCIAL VILOGIA qui en avril 2021 accueille LA LOCATAIRE dans une HLM inhabitable et interdit à la location, le vinyle et le papier peint blanc étaient les seuls éléments mis en l’état.

 

1. Ils manquaient  trois portes. 

2. La porte d’entrée n’était pas dans les normes de sécurité, un trou visible, car manquait une serrure, la clé était une clé de porte d’intérieur.

3. L’évier de la cuisine décollé, crasseux, inutilisable. 

4. Les lampes décollées.

5. Les plinthes laissaient à l’air les fils électriques.

6. Le chauffe-eu daté de 1956 n’était pas dans les normes de sécurité, le tuyau vétuste et défectueux devait être changé, le GRDF coupe le gaz, car selon ses dires l’explosion non seulement de l’appartement, mais de toute « la CITÉ BEAUREGARD exploserait.

7. Le tuyau pour connexion à une gazinière hors service.

8. LA SALLE D’EAU EN ÉTAT D’INSALUBRITÉ SANITAIRES VÉTUSTES REMPLIS DE TARTRE INUTILISABLES.

9. LE WC IMMONDE, REMPLI DE L’IMMONDICE DE L’ANCIEN LOCATAIRE

10. « LA LOCATAIRE » EXIGE QUE VILOGIA FASSE CHANGER LE WC, MAIS  VILOGIA SE REFUSE CATÉGORIQUEMENT ET ENVOIE DEUX OUVRIER AVEC DE LA SODE CAUSTIQUE INDUSTRIELLE POUR NETTOYER UNIQUEMENT ET LAISSE LE WC DANS UN ÉTAT INSALUBRE REMPLI DE TARTRE QU’AUCUN PRODUIT NE PEUT NETTOYER, EN DÉPIT DES LITRES D’EAU DE JAVEL JOURNALIERS ; LE WC A EU DÉJÀ DEUX INONDATIONS INTÉRIEURES, LA DERNIÈRE VILOGIA S’EST REFUSÉ À LA RÉPARER ET EN URGENCE ABSOLUE « LA LOCATAIRE » A DÛ APPELER SON ASSURER QUI A ENVOYÉ UN PLOMBIER CHANGER LA PIÈCE DES ANNÉES 50 « L’ÉLÉVATEUR ». VILOGIA DOIT REMBOURSER LE COUT DE L’INTERVENTION 300€ À L’ASSUREUR DE « LA LOCATAIRE ». CE DÉGÂT ENTRE DANS LES OBLIGATIONS DE RÉPARATION DU BAILLEUR SOCIAL. ILS ATTENDENT DEPUIS 2024.

11. IL Y A EU UNE INSPECTION DU PLOMBIER DE SON ASSURANCE, LES INFILTRATIONS SORTENT DE CANALISATIONS DE LA BAIGNOIRE ET DU LAVABO, VERS LES MURS ET VERS LES TERMINAISONS  DU SOL.

12. IL RESTE UNE PLINTHE DE LA SALLE D’EAU NON COUVERTE.

13. LES JOINTS DE LA BAIGNOIRE FURENT MAL RÉPARÉS PAR UN APPRENTI QUI A LAISSÉ LA BAIGNOIRE REMPLIE DE GRUMEAUX ET LES CARRELAGE QUI DATE DES ANNÉES 50 EST RESTÉE SALE REMPLI DE CALCAIRE. L’ON A BEAU LE NETTOYER QUOTIDIENNEMENT EN DÉPENSANT DES PRODUITS, ILS RESTENT IMMONDES.

14. LA PEINTURE : LES MURS DE LA SALLE D’EAU FURENT PEINTS AVEC DEV LA PEINTURE À L’EAU D’INTÉRIEUR, AU BOUT DE TROIS MOIS S’EST ÉCAILLÉE. 

15. LE PLOMBIER A MIS UNE DOUCHETTE PREMIER PRIX AU BOUT DE 6 MOIS S’EST ABÎMÉE, LE PLOMBIER INCOMPÉTENT, AU MOMENT DE PLACER LA DOUCHETTE, IL A TRANSPERCÉ LE MUR, CASSANT LE CARRELAGE DE LA CUISINE. CARRELAGE  DES ANNÉES 1950 

16. LES CANALISATION SONT POURRIES, AUSSI BIEN DU WC QUE DES SANITAIRES .

17. « LA LOCATAIRE » NE PEUT PLUS LES NETTOYER TOUS LES 15 JOURS AVEC DU DESTOP, LES CANALISATION SONT POURRIES DE L’INTÉRIEUR ET, POUR REMÉDIER,  IL FAUDRAIT CHANGER TOUS LES SANITAIRES POUR QU’ILS SOIENT DANS LES NORMES D’USAGE QUOTIDIEN ET D’HYGIÈNE, MAIS SES DÉGÂTS SONT MAINTENUS PAR VILOGIA VOLONTAIREMENT POUR QUE « LA LOCATAIRE » RESTE ENCERCLÉE MENANT UNE VIE FAITE D’INCOMMODITÉS, DE MANQUE D’HYGIÈNE ET PRIVÉ DE TOUS LES DROITS QUE PAR LOI, DOIT BÉNÉFICIER TOUTE LOCATAIRE HONNÊTE QUI PAIE SON LOYER.

18. VILOGIA IMPOSE DEPUIS 2021 À « LA LOCATAIRE » DE VIVRE À L’INTÉRIEUR DE L’HLM EN FAISANT DU CAMPING AU QUOTIDIEN.

19.  LE LAVABO EST POUR L’HEURE HORS SERVICE, REGARDER LA VIDÉO.

20. CELLE-CI N’EST QUE LA SYNOPSIS DE L’HISTOIRE QUI SERA FAITE DVD ET SERA CANDIDATE À UN CONCOURS, POUR QUI SOIT CONNU DE PAR LE MONDE, LES ABUS D’UN BAILLEUR SOCIAL FRANÇAIS QUI DÉVERSE SA HAIE ET SA DÉTESTATION À L’ENCONTRE DE « LA LOCATAIRE » SANS FAUTE.
21. LE MONDE ENTIER SERA JUGE, PARCE QU’EN FRANCE « LES AUTORITÉS COMPÉTENTES » RESTENT « SOUS INFLUENCE ».
22. PROCHAINEMENT LA VIDÉO DU WC !
23. UNE EXCLUSIVITÉ !

                 

                 

       

 

 

 

                RÉSUMÉ ET SYNOPSIS

 

 

 

 

La locataire, arrive de Paris, sa ville d’attache où elle a toujours vécu, son dernier logement dans le 13ᵉ arrondissement était une chambre HLM de 16m2, obtenue après le décès de sa Maman en 2023, morte par refus de soins d’urgence, sa maman fut  tuée par Le Sicaire.

Cette chambre HLM était parfaite de propreté, elle n’avait jamais eu de problèmes avec le bailleur social, l’intérieur impeccable, le jour de son arrivée, les lieux venaient d’être repeints et les sanitaires n’avaient aucune imperfection, le voisinage était gentil et paisible, l’immeuble était moderne, un tout petit immeuble de six étages avec ascenseur, elle habitait le premier étage, son immeuble se trouvait tout proche du commissariat, derrière la Place d’Italie, mais elle ne pouvait même pas circuler dedans, le Préfet de Paris dans le cadre DALO, avait décidé qu’une personne vieille, appauvrie est bonne à mourir et une retraitée selon son haut critère de haut fonctionnaire pensait que « la locataire » qui n’était qu’un numéro de dossier, n’avait besoin pour finir le peu d’années qui lui restaient à vivre que de 16 M2 pour placer un lit, la télé, une table et une chaise. Un mouroir.

La locataire avait sa vie à Paris, mais l’exiguïté de la chambre ne lui permettait pas de survivre dedans. Après huit ans de lutte pour obtenir une mutation, elle décide de faire un deuxième procès DALO et se présente seule devant le juge, le juge ne croyait pas ses yeux à l’entendre plaider sa cause sans avocat. Le juge lui refusa la mutation qui aurait été très facile de Paris à Paris, mais, on lui a dit que les juges n’aiment pas les demanderesses qui se présentent seules, sans avocat.

Trompée par une gérante, accepte une mutation qui lui permettrait de reprendre son travail pictural, mais cette HLM de Poissy s’est avérée un piège macabre, le jour de son arrivée en avril 2021 l’appartement était rempli de crasse, immondices, inhabitable et dangereux, l’expert du GRDF coupe le gaz, et quinze jours après le bailleur SOCIAL décide de rafistoler le chauffe-eau, qui n’a jamais été changé, il fuit de particules fines qui produisent des préjudices sur la santé de la locataire démontré par des examens, alors, en dépit de demander le changement du tuyau entre 2021 et 2025, le bailleur social ment, trompe, calomnie, ordonne des pièges, organise des complots des bas-fond, pour dilater à l’infini l’improbable intervention qui devrait mettre un terme à un dégât qualifié d’indécent et dangereux et impropre à la vie d’une personne dans un appartement social.

Vilogia se refuse à intervenir.

Le 20 juillet 2024 arrive un expert du GRDF son propre chef chez la locataire pour faire une inspection, et lui envoie par courrier un RAPPORT TECHNIQUE qui met en évidence la dangerosité du tuyau de conduite de gaz, le niveau de dangerosité est au niveau 2, le niveau 3 signale une explosion imminente.

Le bailleur social reste inactif jusqu’à septembre 2024.

Elles ne font que dilater l’intervention, l’attente pour une réparation définitive a durée cinq ans, VILOGIA emploie des nombreuses tactiques très raffinées pour tromper la locataire, lui apporter préjudice et rendre sa vie quotidienne insalubre et inconfortable.

Ses méthodes sont très sophistiquées, les gérantes envoient la « gardienne »  qui lors de « sa visite de courtoisie » prend les photos du tuyau du chauffe-eau et de tous les dégâts qui persistent depuis 2021.

La locataire continue à subir les préjudices de la fuite des particules fines du tuyau.

En février 2025, encore une nouveauté, le Service partenaire de VILOGIA l’appelle par téléphone pour lui annoncer « qu’enfin, ils allaient changer le tuyau », mais « les conseillères » lui demandent de leur envoyer des photos par mail. La locataire s’empresse et quatre mails sont envoyés par ses soins, mais le service ne répond jamais par écrit pour ne pas « laisser des traces » tout est bien organisé.

Au lieu de lui répondre, elles continuent les appels comme seul mode de dialogue, jusqu’à qu’enfin, elles lui donnent la date de passage du chauffagiste, non sans lui exiger de vider la cuisine et de leur laisser la place de libre pour qu’il puisse travailler ; la durée de l’intervention était prévue d’environ une heure.

Le jour de la visite, la locataire lui ouvre la porte et le regarde arriver sans aucun outil de travail dont l’escabeau et sa valise d’outils sont de mise.

Il arrive agressif et disposé à la bagarre, mais il trouve une locataire impassible.

Elle se dit dans son for intérieur : « ce type cherche la bagarre, me provoquer, il va partir bredouille »

Le chauffagiste n’avait qu’une tablette à la main et fait des photos, et lui dit d’un ton  de voix délibérément déformée : « qu’est-ce est-ce qui se passe ici?! Moi,  je viens DIALOGUER »

Monsieur, vous n’avez pas reçu les ordres de votre chef pour intervenir ?

Je crois que vous deviez venir travailler, on m’a dit de vous laisser  la place de libre, vous voyez ? J’ai tout sorti de la cuisine vers le salon.

Vous pouvez commencer. Vos collègues m’ont donné l’ordre de vous libérer la cuisine pour que vous travailliez librement.

Alors il insiste furieux : je viens DIALOGUER

Monsieur je ne sais plus DIALOGUER.

Je vous le redis, je vous ai laissé la place de libre pour le changement de tuyau.

Ah non ! Je ne vais pas vous changer le tuyau, parce que NOUS, nous n’avons pas ce tuyau.

Il lui présente la tablette et lui dit :

« Signez-moi ici ! »

La locataire fait un C, comme unique signature, et le chauffagiste, furieux de n’avoir pas pu obtenir aucune réaction d’impolitesse, quitte les lieux en criant en descendant les escaliers.

Celle-là est hallucinante, hallucinante ».

La locataire éclate de rire, devant tant de bêtise accumulée par les gérantes de VILOGIA.

Le lendemain, la locataire se voit obligée à téléphoner son fournisseur de gaz et lui explique qu’en dépit d’être très satisfaite de leurs services et des tarifs, elle ne pourra plus continuer à se servir du gaz pour l’eau chaude par cause de la dangerosité du tuyau. Elle leur adresse les photos et le rapport de GRDF, trois jours après l’expert de GRDF se présente  chez la locataire pour couper le gaz.

La locataire se trouve sans eau chaude depuis le 15 mars.

Elle a dénoncé par voie administrative cette situation à toutes les autorités « compétentes ».

En citoyenne responsable et depuis sa situation de locataire sans faute, elle a été obligée à faire savoir aux autorités des graves injustices et discriminations qu’elle subit depuis 2021 de la part de ce bailleur social.

Elle a fait une dénonciation distincte sur la nécessite d’être mutée à Paris, vers un immeuble adapté à son handicap, les médecins indiquent que sa mutation présente un caractère d’urgence absolue par des raisons d’aggravation de son handicap d’un immeuble sans ascenseur et l ‘éloignement de Paris.

La locataire attend paisiblement.

Obtiendra-t-elle gain de cause à ses demandes pour que la réparation de ces dégâts dangereux soit faite ?

La locataire restera-t-elle sans écoute et sans que justice soit faite par les « services compétents ? »

« Resteront-ils ad vitam æternam « sous influence » d’un bailleur criminel ?»

 

 

Chers Lecteurs, 

J’ai changé d’avis, au regard du succès de mon bref article sur l’imbécilité sociétale, il restera encore quelques heures en ligne.

Je tiens à remercier bien vivent les lecteurs qui se sont donnés du mal à me trouver et pareillement à ceux qui fidèlement suivent mon parcours et qui ont la gentillesse de me lire.

 

Dernière nouvelle :

 

Vos portiques, les fouilles des sacs et cartables sont inutiles et voués à l’échec. 

La maladie sociétale ne sera jamais guérie par des artefacts et le problème idéologique, éminemment cérébral, ne peut se guérir qu’avec le retour de la « famille » c’est-à-dire, il va falloir se rendre compte que la présence d’une mère et d’un père est le socle pour la formation d’une société.

Continuez avec votre féminisme, idéalisez « le travail » au détriment de vos enfants, procréez en solitaires, laissant l’autorité du père en dehors du foyer et la tragédie actuelle ne fera que perdurer.

Vous vous êtes mises dans une situation sans issue, tandis que le verbiage des politicards va de plus belle dans les médias en s’occultant volontairement les véritables causes de ce naufrage sociétal.

Indubitablement, vous me considèrerez conservatrice.

Absolument, vous dites vrai.

Message à l’administration

Vilogia, mairie de Paris, MDPH, etc.

Si je résiste vos attaques gratuites, vos actes haineux, votre détestation ontologique, c’est parce que je suis née au sein d’une famille exemplaire et parfaitement constituée, chez nous n’entraient pas ces déviations et vices modernes. Aucune possibilité d’insérer le misérabilisme, la méritocratie et la « mixité sociale ». IMMISCIBILITÉ SOCIALE.

 

« C’est à leurs fruits que vous les reconnaitrez ».

 

Le sens de l’honneur rend invincible. Ne l’oubliez jamais.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

             

 

               IMBÉCILES  !

 

 

« Disent les imbéciles… »

 

 

Apprenez la rigueur de la sémantique.

 

 

Chers Lecteurs,

Je me suis jurée de ne plus dépenser mes ressources ni mon temps en  écrivant des articles de critique sociale, parce que quand ont vieilli, ce temps qui a été toujours notre plus grande préoccupation pour bien le « dépenser », il devient encore plus précieux et la critique sociale de cette France… Cela nous oblige à le perdre encore plus tragiquement. Mais, en dépit de mon serment intellectuel que je vais trahir pour quelques heures, j’ai décidé de contribuer avec un bref article, je l’effacerai plus tard.

L’assassinat perpétré par cet « assassin adolescent » est le produit d’une société malade, et les sparadraps qui mettent le gouvernement ne servira pas pour éradiquer cette gangrène.

Le « manifeste » que ce criminel s’est permis de divulguer est ou bien, une création de la maudite l’IA, le crétinisme artificiel et bien réel, ou bien, il a été commandité par des terroristes.

Pour avoir travaillé dans ma jeunesse au sein de l’Éducation Nationale, je peux affirmer qu’un jeune de seconde n’est pas capable de rédiger quinze pages en bonne due forme, à l’exception des adolescents bien guidés par des parents intellectuels.

À présent, l’IA sort de l’embarras de l’ignorance et du manque d’intelligence les postulants aux doctorats, alors cette malédiction qui nous submerge ne produira que des effets de plus en plus néfastes, mais les « adultes » sont les imbéciles et les plus coupables.

À les entendre, ces journalistes spécialisés, je confirme mes présomptions de jadis, comment est-il possible qu’en plein période du deuil des parents soumis dans la douleur la plus atroce qui ne peuvent ressentir des parents qui ont subi l’assassinat de leur fille, ils nomment ce criminel de « gamin » ? !!!

Il n’est pas « un gamin ! », il est un criminel, non mesdames, messieurs, cet individu n’est pas un adolescent fragile, il est un assassin et il faut clarifier la sémantique, dans notre société savoir nommer les choses, c’est contribuer à la reconstruction de l’humain, qui est pour l’heure déshumanisé, il est de la plus haute importance savoir imposer par la parole des lignes définies et définitives de conduite. Les « adultes » ont laissé faire et des générations se sont adonnées au laxisme et à la déconstruction, ces nouvelles formes de vivre ensemble, nous ont donné ce résultat de décomposition familiale d’abord, de déconstruction sociale ensuite, et tous les vices que nous subissons sortent de ce relâchement, de ce « laisser faire » et le résultat, vous le constatez au jour le jour.

Si l’on a le projet de fonder un socle vertueux dans la société, ils devront un jour se rendre à l’évidence qu’ils se sont trompés de fond en comble et ils persistent dans l’erreur.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

         MISÉRABILISME

                           ET

 

 

       HARCÈLEMENT MORAL

PAR L’IMMISCIBILITÉ SOCIALE

 

 

En France, j’ai découvert ce qu’ « être pauvre » veut dire.

Au Chili, le concept de « classe sociale » n’a pas la même signification qu’ici, cette classe si spéciale qui vit de l’assistanat et qui s’est formée après la guerre, une classe nommée

« d’assistés »

Là-bas, l’assistanat n’existe point. Celui qui n’étudie pas ou qui ne s’inquiète pas durant sa scolarisation de se former dans un métier, vivra dans des campements nommés :

« callampas ».

Ici, la situation est bien autre, parce que ce « le politique » qui forme de force « les classes sociales », le politique décide, fait le tri et sert de justicier pour le classement qui fera que d’aucuns entreront dans un camp de concentration, les autres entreront dans le lieu des « protégés » par l’État, ceux qi sortiront vainqueurs par le « méritocratie » et la prostitution de luxe, (Georg SIMMEL fait une excellente étude sur la prostitution de luxe), accèderont aux ministères, le comble !.

Il y aura un bataillon qui sortira vainqueur par la récompense à sa médiocrité.

Seuls seront épargnés les Français de souche qui, par héritage familial, aucun politicard ne pourra jamais porter atteinte à son identité ni les faire descendre de classe sociale, ils sont Français, et j’ai toujours pensé qu’ils ont tous leurs droits. Je ne suis qu’une citoyenne adoptée et je vais faire la description en plusieurs chapitres de comment j’ai obtenu ma naturalisation Française quelles ont été les demandes à la préfecture lors d’un interrogatoire, mon serment et la trahison de la France, car quand on signe une adoption, il y a des droits et des devoirs qui doivent être respectés aussi bien par le pays qui accueille et adopte et par le citoyen adopté, or, j’ai respecté le contrat et la France, l’administration française l’a violé. Je ferai la description de cet affront qui expliquera en détail la descente aux enfers par l’action mafieuse de ceux qui auraient dî se conduire avec honneur. La violation de mes droits commença dès que je suis entrée à l’Éducation Nationale, mon directeur des recherches, le Professeur Claude Couffon  m’avait averti que je devais sortir de ce milieu : « Florence, vous devez quitter l’Éducation Nationale, vous ne savez pas que c’est le milieu le plus médiocre que nous avons en France ! ». Je ne lui ai pas obéi parce que je ne pouvais pas recommencer un autre cursus universitaire, j’avais Maman entièrement à ma charge, je ne pouvais que faire les équivalences et obtenir des diplômes français, mais sur une profession déjà acquise.

L’agression administrative débuta en 1989 et s’est aggravée quand j’ai dû quitter l’enseignement pour m’occuper jour et nuit de Maman qui était victime soudainement d’une maladie neurologique et pour rien, je n’aurais permis une séparation, je ne vais pas m’attarder sur les modalités françaises pour s’occuper des vieux, chez moi cela ne passe pas.

Je me suis occupée de Maman sans aucune aide extérieure, je lui ai prolongé la vie chez elle, c’est-à-dire « chez nous » entre l’année 2000 et 2013 quand le Sicaire me l’a tuée.

Bien, ceci dit, passons au MISÉRABILISME.

Avant, je disais que je n’étais ni psychiatre ni criminologue pour interpréter la détestation gratuite de l’administration qui exerce à mon encontre des actes barbares, des actes délictuels qui sont répertoriés dans le Code pénal,

À savoir, la non-reconnaissance de mes diplômes français, la non-reconnaissance d’un exercice professionnel d’excellence, la non-reconnaissance d’un travail artistique de premier ordre attesté par une formation française reçue en héritage et si facilement prouvée, car la peinture a l’avantage de se voir d’un seul coup d’œil, du côté pratique, le harcèlement des services administratifs qui m’ont passé à la trappe jusqu’à ce jour, je les ai dénoncés ipso facto, on verra ce que mes dénonciations donneront comme résultat.

Ils devraient être sanctionnés et moi, mise à l’abri et récompensée des préjudices subis, mais tel que l’on me l’a dit jusqu’à la fatigue : « Madame, vous êtes une victime, la loi vous accorde tous vos droits, mais en France, nous avons « un problème », il n’y a presque jamais l’application de la loi et les délits restent sanctionnés uniquement dans l’écrit, pas dans des actes ».

Avant, je ne comprenais pas, maintenant, je comprends, depuis la semaine dernière, je comprends mon étourderie, il me manquait encore apprendre…

Quand j’ai vérifié que les dires d’une personne étaient vrais. La mairie de Paris a le monopole de l’attribution des HLM et elles font le tri sur qui est méritoire et qui doit rester sans logement, il est un monumental mensonge qu’à Paris, il n’y a pas d’appartements ; j’ai les textes avec les adresses et même les noms des bénéficiaires, ils ont été publiés par des journalistes  en 2013 ; des appartements luxueux ont été transformés de force en HLM et LÉGALEMENT achetés par la ville pour devenir des logements sociaux, c’est ainsi que des hôtels et des villas particuliers abritent depuis 2013 des heureux banlieusards méritoires, ils ne sont pas des « français de souche »,  donc il n’y a pas selon leurs critères « de discrimination » or, il y en a ! Mais d’une autre espèce !

La plupart viennent d’ailleurs, mais cette catégorie a ses nuances qui sont étudiées à la loupe par « LA COMMISSION » qui décide et fait le tri.

Au regard des dites » attributions » je constate que ma « classe sociale » me range à une distance abyssale des heureux bénéficiaires qui sont logés dans les meilleurs quartiers parisiens. Le mois dernier, j’ai fait l’impair de contacter par téléphone une

« fonctionnaire » de la mairie de Paris, je lui ai expliqué la nécessité médicale urgente de retourner vivre à Paris par le moyen d’une mutation de HLM, alors elle, hystérique comme le sont presque toutes les femmes, sans me voir, car la conversation n’était que téléphonique, non une visioconférence, m’a dit avec un ton maléfique : « et pourquoi voulez-vous revenir sur Paris ? »

Je lui ai répondu avec deux phrases catégoriques ce n’est pas ce que je veux, mais il fait dire que « je dois » par urgence médicale, il faudrait contester mes médecins, j’ai un handicap qui s’aggrave au jour le jour par les escaliers de l’immeuble et les prix exorbitants que je dépense en taxis conventionnés, en plus j’étais parisienne depuis des nombreuses années, je ne devais pas être mutée de Paris vers cette banlieue si éloignée avec de lourds problèmes insurmontables de transport.

Alors, prise au piège par une réponse incontestable et inscrite dans la loi qui défend les handicapés et qui par loi sont prioritaires, je lui ai rappelé la loi avec l’article et le numéro, ce qui était pour elle très perturbateur, elle m’a dit en soulignant sa phrase :  « Ah VOUS VOULEZ », mais Madame, ici chez nous, ce n’est pas comme ça que cela se passe ! »

Alors, la fonctionnaire viole la loi avec ses mots, « CHEZ NOUS ce n’est pas comme ça que cela se passe ».

Alors, cela se passe comment CHEZ EUX ?

 

À la mairie de Paris, pour l’attribution d’une MUTATION de HLM pour une personne prioritaire parce que handicapée ?

Paris est la capitale de privilège.

Il fallait à tout prix m’éloigner, me rabaisser et m’insérer dans une CITÉ !

Ah !, LA MIXITÉ sociale !

Je la nomme L’IMMISCIBILITÉ SOCIALE.

Pouvez-vous mélanger l’eau et l’huile. Si vous y arrivez, il va falloir le faire savoir, ce sera une nouveauté scientifique.

Verdict sur l’attribution des HLM parisiens :

Ça ne se passe pas avec une attache rigoureuse aux textes de lois.

Mes parents m’enseignèrent dès très jeune adolescente que LA POPULACE est la même de par le monde, le seul changement qu’on observe, c’est la différence de langue et d’accent.

Pour les rustres, maintenant, je le constate, ils se récompensent et récupèrent l’équilibre perdu, avec des agressions de tout ordre, qui sont des délits factuels et moraux.

 

Devant une personne de bien, qui a des valeurs indestructibles et qui provoquent leurs complexes d’infériorité, ils se dédouanent de leurs complexes déstabilisants, en frappant moralement et privant de ses droits à une personne de valeur qui par l’action des mafieux a été rabaissée de force de sa véritable « classe sociale », c’est un déclassement réjouissant pour eux, parce que le socle du problème dans mon cas, c’est qu’ils ont obtenu me déclasser par l’ARGENT.

Là-bas, dans le pays où je suis née et dont je ne veux plus me souvenir, il y a une définition qui me plaît et que j’affectionne, la traduction n’est pas fidèle, mas bon, cela est une des terribles difficultés de toute traduction qui devient une trahison.

« LAS FAMILIAS NOBLES VENIDAS A MENOS »

Le français vous dira  : « anciennes familles qui ont eu des revers de fortune, déchues, appauvries ».

Oui, ce sont des phrases approximatives, assez justes, mais le nœud de la question est bien autre, la traduction ne dit pas la raison de l’appauvrissement, chez moi, en France, il est le produit des FONCTIONNAIRES complexés et politisés jusqu’à la moelle, ils, elles ressentent une furie haineuse, haine qui  est éprouvée par exemple par les commissions et aussi par « LES ASSISTANTES SOCIALES » face à un paradoxe impossible d’avaler, habituées qu’elles sont à remplir des dossiers et de juger les situations des « classes défavorisées ».

Les actes iront de pair avec l’ampleur et la profondeur de la blessure intime qui ressentent ces FONCTIONNAIRES, soient-ils de l’éducation ou des simples administrations gérantes des dossiers.

À suivre, car ce chapitre est l’un des plus longs de mon livre.

Carmen Florence GAZMURI CHERNIAK

 

 

LE MISÉRABILISME

 

              ET

 

 

LE HARCÈLEMENT MORAL

 

 

D’après un extrait de mes

 

 

MÉMOIRES :

 

 

Ma vie littératurisée de Chili à la France

1980-2025

 

 

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

NADEZHDA