CENSURE DICTATORIALE

            ET DÉLIRE DE PERSÉCUTION

Chers Lecteurs,

Des diatribes absurdes, au caractère de censure dictatoriale et qui ne reflètent que de l’égocentrisme et un délire de persécution déplacés ne cessent de nous envahir.

Je ne vois rien de censurable dans les déclarations de Matteo Salvini.

Indépendamment de son courant politique, qui pourrait éventuellement provoquer chez d’aucuns du refus d’ordre politique, cela c’est l’affaire personnelle de chacun qui le lit.

Je dois parler de la déclaration du vice-Président du Conseil de ministres italien Matteo Salvini qui vient de dire qu’il refuse que ses enfants aillent se battre en Ukraine.

Sa décision est tout d’abord une mesure d’intelligence, sensée et d’une modération adaptée à la situation, il a fait cette intervention bien adaptée en pleine recrudescence des discussions sur le conflit, non sans ajouter que si le Président de la France veut investir des soldats dans la guerre qu’il y aille lui-même ; je le redis, je ne vois rien d’offensant et j’y adhère totalement.

Sa pensée est exprimée poliment sans le moindre vocable déplacé.

Nous devons défendre notre droit à exprimer nos idées les plus catégoriques et nous opposer aux idées de nos adversaires de la manière la plus forte et intransigeante, mais  à condition de nous adresser à nos ennemis dans des termes de la plus franche courtoise

Je refuse, comme beaucoup de citoyens, toute participation dans le front ukrainien des européens dans une guerre qui n’est pas celle de l’Europe ni de la France.

J’ai dit.

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

C’EST ÇA LE SYNDICALISME  ET LA DÉFENSE

DES « TRAVAILLEURS ? »

RESTER EN RETRAIT AVEC HYPOCRISIE 

BIEN GÊNÉE DEVANT LA QUESTION DU JOURNALISTE QUI LUI A POSÉ LA QUESTION SUR SONT AFFIRMATION QUE LE MOUVEMENT DE PROTESTATION DU 10 SEPTEMBRE EST

« NÉBULEUX »

LE PLUS GRAVE EST QUE MISE À PART QU’ELLE

EST TRÈS GENÉE, ELLE

PRATIQUE UNE TRAÎTRISE  ACCABLANTE.

LA PROPOSITION DE MORCELER LES LOIS

BUDGÉTAIRES POUR ÉCHAPPER

À LA CENSURE  EST :

           ANTICONSTITUTIONNEL

COMPTEZ AVEC MA MÉFIANCE TOTALE !

IL NE S’AGIT POINT DE REFUSER

L’EXISTENCE DE LA DETTE

1. NOUS REFUSONS L’ORIGINE. NOUS NE SOMMES PAS LES RESPONSABLES.

2. LES MODALITÉS DE LA REMBOURSER

NE TERGIVERSEZ PAS LE DISCOURS DE

L’OPPOSITION !

LES QUESTIONS TENDANCIEUSES DES

JOURNALISTES REFUSONS-LES EN BLOC !

LA MOTION DE CENSURE EST ET DOIT ÊTRE 

RESPECTÉE COMME

 INDIVISIBLE.

LE VOTE DE CENSURE EST ABSOLU CONTRE

TOUTE L’ACTION DU GOUVERNEMENT.

SI VOUS AVEZ LE DROIT DE VOTE, IL FAUT EN FAIRE BON USAGE ET SAVOIR POURQUOI  VOTENT  LES DÉPUTÉS !

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

                   L’EXPOSÉ

               ESQUIVE L’ESSENTIEL :

NOUS NE SOMMES PAS DES IDIOTS !

`

NOUS SOMMES AU CENTRE DE L’INCENDIE

EN TRAIN DE BRÛLER CERTES !

CE DONT NOUS NE SOMMES PAS D’ACCORD

ET VOTRE FAÇON D’ÉTEINDRE L’INCENDIE

QUE VOTRE GOUVERNEMENT A PROVOQUÉ !

NI PAR UNE SECONDE IL N’A PAS ÉVOQUÉ LA « PARTICIPATION » DES ENTREPRISES DU CAC 40 !

LE GOUVERNEMENT NE DEMANDE  DE PARTICIPER AUX PAUVRES, À NOUS, LES PLUS MISÉRABLES DES STRATES DE LA SOCIÉTÉ ET DES CLASSES MOYENNES QUI GALÈRENT AU JOUR LE JOUR POUR GAGNER LEUR PAIN !

 C’EST FRANCHEMENT IGNOBLE, IL N’EXISTE PAS D’AUTRE

MOT PLUS APPROPRIÉ.

C’EST UN EXPOSÉ DÉMENTIEL D’HYPOCRISIE  !

J’AI DIT.

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

      LE SYSTÈME DE TRAVAIL

               EN FRANCE

  EST EN ÉTAT GANGRÉNEUX

CE QUE JE CROIS :

            CET ÉTAT DE GANGRÈNE AVANCÉE EST POUR L’HEURE

               PRESQUE IRRÉVERSIBLE

              CELUI QUI TRAVAILLE

    COMME UNE « BÊTE DE SOMME »

    ET QUI FAIT LA FORTUNE DU PDG

     IL DOIT AVOIR DROIT AUX BÉNÉFICES

  ET PROSPÉRER À SA FOIS,  POUR LUI-MÊME !

Chers Lecteurs,

J’étais petite, dans mon pays d’origine, mon père commença à me donner des leçons de critique sociétale à mes 4 ans !

Un jour il m’a dit ceci : « pense à ça, que ferait un PDG sans le travail des ouvriers qui travaillent pour lui ?

Comment pourrait-il faire rouler son usine sans ses ouvriers ?

Ce qui est juste et qu’ils aient de bons salaires et encore mieux qui participent comme actionnaires avec plein d’avantages. » 

Cette leçon est restée gravée ad vitam æternam dans ma mémoire.

Elle m’a été toujours utile pour savoir choisir.

SAVOIR ME DÉFENDRE, NE PAS TOLÉRER AUCUN ABUS.

Les partis politiques en France sont néfastes et deviennent mortifères suivant le modèle des entreprises et des banques.

À l’intérieur se produisent les tris humains, il y a toujours un « Chef » qui choisi quels adhérents sont les élus, et quels adhérents doivent rester au dernier rang comme des bêtes utiles.

Je viens d’entendre la syndicaliste Monsieur Jean-Pierre Mercier qui vient de parler à la télé.

Bravo, l’action du 10 doit être essentiellement une action de travailleurs qui luttent seuls pour leur vie et leur moyen de subsistance.

Aucune intervention partisane ne doit intervenir pour se faire une publicité, ce serait amoindrir des revendications qui sont propres à chaque personne qui travaille honnêtement pour gagner son pain !.

Cette époque marque une rupture complète avec les anciennes modalités de travail et d’attributions de salaires.

Un point de rupture entre ce système moyenâgeux et les travailleurs est génératrice d’une aporie complète entre les rémunérations figées par le bas, les retraites gelées comme les salaires qui ne vont pas de pair avec une inflation monstrueuse.

Ce système défendu par les gouvernements successifs de droite et de gauche confondus en MAZAMORRA, exige un renversement et il doit s’opérer de fond en comble.

La France a un système de rémunération qui est sans conteste le plus meurtrier et injuste du monde.

Le pays nécessite une révolution qui agisse dans socle même du système parce que jusqu’à présent les grèves n’ont produit que des gains immédiats sans remédier les préjudices, il n’y a jamais eu des augmentations pérennes des salaires et des retraites.

Les doléances des travailleurs, les revendications exigées, sont totalement justifiées et, auparavant elles n’ont pas été traitées comme il se doit et les injustices jamais éradiquées à la racine.

À chaque grève les travailleurs dans tous les secteurs, n’obtiennent que des pansements provisoires qu’ils doivent s’appliquer sur des plaies gangrénées.

Nous sommes arrivés au stade insurmontable, presque jusqu’au point limite du supportable, ce malaise présage une mort imminente, la Mort, qui est le stade ultime et irréversible  sera celui qui se produira si l’action de révolte qui attend justice pour tous, ne se maintient ferme et dynamique jusqu’au bout.

Tous à la rue les 10 !

Carmen Florence Gazmuri- Cherniak

NADEZHDA

    MÉCONTENTEMENT –

CONTENTEMENT ?

          NOUS NE SOMMES PAS CONTENTS ?!

Non, Monsieur le Premier Ministre, le problème n’est pas un « état d’âme » : être contente ou pas contente !, c’est exclusivement un problème d’injustice économique !

Chers Lecteurs,

Nous touchons le fond.

En tant que citoyenne, je ne me sens profondément offensée que le gouvernement nous jette l’opprobre me disant, nous disant que si nous programmons de sortir à l’agora crier notre désaccord vis-à-vis des mesures économiques injustes, me traite, nous traite  d’une si vulgaire manière de « n’être pas contente ».

L’injustice économique de son programme nous oblige à mener au jour le jour une instabilité accrue, sans pouvoir jamais organiser notre budget misérable, parce que tout le temps, il nous jette des surprises financières que nous devons assumer honorablement en réduisant encore plus nos faibles revenus, un seul exemple ? Cette année, il ne nous a pas envoyé le chèque énergie, la facture des taxes et de hausse de l’abonnement, que nous recevons sous le nom de « facture de régularisation annuelle » et qui était absorbée par le chèque énergie en août, nous avons dû la payer en entier or, d’une retraite de misère, débourser 80€ diminue de la moitié ce qui reste pour survivre.

Ce n’est qu’un exemple !

Le problème économique dans la praxis est que nous marchons sur un terrain aux sables mouvants et cette situation doit prendre fin.

Ma protestation est irrévocable, elle ne concerne que la vie économique quotidienne angoissante par une inflation qui ne s’arrête jamas.

« Nous ne sommes pas contents ?

Non, pas d’état d’âme, ici il s’agit d’un problème bancaire !

Je ne suis dans aucun parti. Dans ma révolte et indignation il n’y a aucune idéologie de base. Mes anciens idéaux de jeunesse ont pris fin. Oh combien j’ai collaboré, participé aux manifs, j’ai parlé à la Bourse du travail, j’ai été syndiquée, « ILS » ne nous donnèrent aucun ACTE de résistance pour défendre nos droits de professeurs désabusés, maltraités et méprisés par les mafieux de l’E.N.!

Aucun parti n’a voulu intervenir pour défendre les injustices criminelles que j’ai subies au sein de l’Éducation nationale, ce jour-là mon idéal politique s’est effondré à tout jamais.

De la mafia de l’Éducation Nationale et du crime qu’elle a commis à mon encontre, sans me titulariser, m’usurpant mes droits et années de service en punition,  parce que je défendis mon droit au retrait pour m’occuper de ma mère malade et soudainement devenue invalide à 100%,  je ne dus de surcroît être punie injustement administrativement voir financièrement.

Brève explication, parce qu’au regard d’une retraite de 1030€ !!!quiconque  qui regarde ma paie pense que je suis restée 42 ans en train de faire la sieste chez moi comme ces profiteurs qui reçoivent le même montant que moi en « allocs » et qui n’ont jamais étudié ni travaillé en France.

C’est une sorte de droit du sol financier, il suffit qu’ils arrivent en France pour vivre gratis, moi, je suis arrivée avec un visa de touriste et  j’ai gagné mon arrivée et j’ai payé mes études en Sorbonne, et j’ai travaillé pour Maman et moi-même, c’est en vertu de ça que j’ai obtenu après deux refus la tant souhaitée « naturalisation Française ! »

Quel honneur !

Pour qu’ensuite cette même France méprise une professeur d’excellence !

Misérables ! Mille fois misérables !

Je vais fêter le départ en continu des collègues qui claquent la porte de l’Éducation Nationale !

Tout ce parcours d’effort, d’études supérieures, de recherche, de travail acharné et toujours dans des conditions pénibles et difficiles pour une jeune femme, furent piétinés.

Tous mes années d’étude et de travail furent faites des études singulières dans la recherche dans mes deux thèses universitaires d’excellence, et en travaillant dans les lycées, faisant preuve d’un travail remarquable qui s’est traduit dans la praxis dans le succès auprès de mes élèves que, selon les dires de mes Professeurs, et des Proviseurs, la qualité de ma pédagogie et de mes travaux de recherche devaient être récompensés en toute justice avec la RECONNAISSANCE de l’État et qui devait forcément déboucher dans une retraite confortable !

Mais, l’abjection administrative de l’E.N. a voulu me rabaisser avec un abus de pouvoir qui resta impuni.

Je ne le pardonnerai jamais à mon « pays d’adoption » qui s’est comporté indignement à mon égard et qui m’a trahie.

La vieillesse m’a attrapée et cette même indigne pension m’a interdit de fuir.

À présent, je suis menottée dans la misère.

Mon travail pictural,  qui est fait sur le socle des théories de l’École de Paris, serait ma seule issue pour partir si un Daniel-Henri Kahnweiler bis existait, parce que lui,  sans le moindre doute, au regard de mes toiles, il me donnerait la chance de m’envoler… Où est-il ?

Fin de mon exposé.

Je poursuis.

Je ne parlerai pas davantage dans ce bref article.

Il a deux chapitres entiers dans mes MÉMOIRES, ma vie littératurisée de Chili à la France.

42 ans d’attente suffisent et  à présent, ma révolte n’est que financière .

Plus jamais d’idéologie, pas de rêves, je ne proteste que pour avoir une vie digne,  mes dernières et maigres années qui me restent à vivre, je veux les vivre EN PAIX, sans turbulences et surprises financières sans fin.

  J’ai dit.

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak.

NADEZHDA

LA POLITIQUE ? DES ACTES

ENTRE MÉPRIS ET DOMINATION SOCIÉTALE

« SANS LA RECONNAISSANCE L’INDIVIDU NE PEUT SE PENSER

EN SUJET DE SA PROPRE VIE »

                       AXEL HONNETH

Chers Lecteurs,

Si par le passé les philosophes sociologues de la première École de Francfort et ses théories se fondaient pour l’analyse et configuration de leur théorie critique presque exclusivement sur les rapports au travail ; sortis de la théorie marxiste, Habermas introduit la communication, mais le point culminant qui est venu faire une révolution complète, c’est le maître Axel Honneth qui découvre est fait rayonner la théorie critique par l’introduction et l’analyse du conflit sociétal où « la lutte » pour la reconnaissance est sa partie déterminante.

La politique repose sur un socle économique où s’articulent des principes fondamentaux, l’éthique et une morale sociétale, sans lequel aucun pays ne peut tenir dans des normes justes pour tous les citoyens ; le moindre déséquilibre provoquera une crise et naturellement une révolte générale.

C’est ce que nous subissons en France.

L’autre élément négatif de cette mauvaise manière d’exercer « le pouvoir » est l’instrumentalisation que le gouvernement prétend de faire avec chacun des citoyens, il en résulte dans la praxis une  coercition sociale, par des privations économiques inscrites en nouvelles lois, cette coercition sociétale, ils veulent la faire par la parole, le gouvernement veut parvenir à l’anéantissement de l’être pour mieux nous dominer, leur réussite serait d’y parvenir d’une part, par tous les mécanismes d’exclusion déjà en place et d’autre part,  réussir sans contraintes aux fins d’une domination totale  une dictature comme nous la vivons « à la française » déguisée en « démocratie » qui n’est qu’une dictature sans serrures, mais avec des gardiens assermentés.

Le bla-bla-bla français des politicards déborde d’idiotie, après qu’ils ont pris conscience qu’il y aura une protestation sociétale massive,  non pour refuser leur verbiage, mais pour un refus face la situation sociale intolérable et les annonces d’une recrudescence en matière de restrictions budgétaires.

L’annonce qui prédit une économie de guerre » refusée par bon nombre de sociologues et militaires, se centre sur un socle bien construit pour poursuivre à profiter et à faire profiter le vedettariat de la politique et leurs vassaux, et angoisser de privations l’autre strate sociétale qui vit de son travail.

Ce programme économique déjà mis en place, nous le refusons de fond en comble.

Il augmentera les difficultés déjà graves chez la population qui est ressentie comme obstacle à vivre paisiblement dans leur vie quotidienne, c’est là qui réside le noeud de la question.

Il y a une division qui ne cesse pas de s’accroître, elle se trouve dans la rupture entre deux strates sociétales, une lutte non des classes  cette fois-ci, parce que l’ancienne « lutte de classes » elle a débouchée en lutte de force active dont la plus puissante oblige l’autre à se soumettre, par quel moyen la partie puissante va essayer de dominer ? Par la parole, par un discours qui intervient directement dans les cerveaux.

Leur objectif est de maintenir ferme et étanche cette barrière Netplus active que jamais, faite d’une force de fer, pour convaincre la partie sociétale « faible » qu’il faut « des sacrifices », de l’austérité » et accepter leur destin de vivre ad vitam æternam misérables, ils ont renforcé des chaînes invisibles cette dernière période pour convaincre que le destin qui nous est réservé doit être fait de pauvreté, privations et misérabilisme accru.

Ils sont convaincus que bien faire de la politique, c’est conférencier pour « essayer de convaincre », or faire de la politique est un exercice des plus sérieux, elle réside dans l’articulation essentiellement polyphonique des multiples éléments, dont la direction adroite de l’économie du pays est le socle sur lequel les autres parties du programme vont se greffer pour mener à bien l’ensemble du programme.

Un programme économique positif au service du « peuple » au profit de tous les citoyens avec l’objectif de créer une société qui fleurit en harmonie est ce qu’on réclame, c’est simple.

Le politique est d’abord des actes.

Ce qu’ils prétendent est d’obtenir une anesthésie sociétale par la parole or le fait social exige que l’action politique soit avant tout une praxis au profit sociétal.

Cette mobilisation à laquelle j’adhère de fond en comble je ne la vois pas comme issue d’une motivation partisane, elle repose sur des protestations exclusivement économiques, provoquées par une gérance des ressources de l’État de manière indigne et dangereuse.

Cette protestation sociétale n’est pas une d »menstruation de force d’un parti ou des partis, à présent, ils sont rares ceux qui entretiennent comme auparavant des « idéologies», les idéalistes disparurent et restent comme des extra-terrestres, face aux difficultés financières, la motivation première des masses des populations appauvries est une seule : vivre sans soucis économiques extrêmes, et la révolte ne se fait pas attendre quand le fissure sociétal nait d’une grandiose injustice qui enrichit une partie au détriment de l’appauvrissement irréversible de l’autre partie de la société. Avec cette simple réflexion, je veux faire prendre conscience que la lutte pour avoir une vie juste et saine au sein d’une société où tout le monde puisse s’épanouir et mener à bien ses projets de vie comme des êtres humains libres et indépendants de choisir leur mode de vie, ne peut se réaliser qu’au sein d’une société juste financièrement, c’est le socle dans lequel tout pays moderne doit se fonder.

Il n’y a pas besoin d’avoir faire des hautes études pour comprendre que c’est l’économie le socle de la protestation des masses angoissées.

Les conditions de travail en France sont devenues celles d’une société arriérée, il n’y a qu’à regarder de près la situation dégradante dans les hôpitaux, les écoles, les universités, la justice (l’injustice) quand un pays, a un gouvernement qui s’en moque de la dégradation de ses institutions, et qu’il a fait preuve durant deux mandats d’inertie de  pratiquer avec désinvolture le « je-m’en-foutisme» et d’un total manque de réactivité, il faut exiger sa démission.

La révolte ne se fait pas attendre ; j’estime que la nation a trop attendu pour réagir.

Un gouvernement est élu pour conduire le pays dans la stabilité et dans une harmonie heureuse pour tous ses citoyens ;  il est un élu du peuple, donc il doit être jugé par ses actes, si échec il y a, la nation a le droit de lui demander des comptes, il n’a pas le pouvoir absolu, il a échoué, et ils devront se rendre à l’évidence de leur échec économique foudroyant.

La nation déborde de problèmes jusqu’à présent insurmontables.

Donc, nous allons leur dire que nous sommes excédés d’injustices et que nous refusons les discours et les conférences de presse, nous exigeons des actes !

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

EN POLITIQUE LE DÉSACCORD

          EST UNE EXIGENCE

Chers Lecteurs,

Pio Baroja en entrant au café où il rencontrait ses amis, il leur

disait: « De quoi  discutez-vous pour être en désaccord?

De qué se discute para disentir?

Je viens de voir et d’entendre l’entretien fait par TF1 à Monsieur Mélenchon, mais depuis mon ordinateur, car je l’ai raté à la télé, j’ai cru qu’il passait en LCU mais c’était dans TF1.

Je ne partage en rien sa vision de politique étrangère concernant la guerre entre la Russie et cette province… Ce qui ne m’interdit pas de me porter entièrement volontaire à compatir l’autre branche de leurs revendications sociales.

Je me suis régalée avec ses réponses et j’ai éclaté de rire avec une de ses phrases… de mémoire, entre les propositions pour trouver les milliards de déficits qui est l’œuvre du gaspillage du gouvernement, sortent des proposition à mettre en pratique de manière immédiate il les a dites en faisant une liste claire et juste.

Dans l’ensemble, je suis complètement  d’accord.

Et ce déficit il faut le dire et redire :

il n’est surtout pas notre faute !

Il y a des moyens immédiats pour trouver ces milliards qu’ils se sont dépensés, « le gouvernement s’occupe de vider nos frigos, et nous ne lui demandons jamais comment le remplir ! « Certes !

Donc le 10 septembre, il va falloir dire au gouvernement que nous en avons assez de subir l’étranglement financier, l’inflation chaque fois que nous sommes obligés d’aller chercher à manger, seuls les animaux sont obligés à ne penser qu’à la chasse pour subsister, l’être humain doit reléguer ce besoin primaire et nécessaire comme la respiration,  pour laisser la place entière à cultiver son esprit, tout gouvernement qui réduit son peuple au stade d’animal est à bannir !

Et, encore,  s’il ne veut pas qui vienne en France  s’installer  l’aide humanitaire qui est bloquée à Gaza, il doit stopper l’inflation, les taxes dans l’alimentation, les hausses dans nos factures d’énergie, et par la même occasion augmenter les salaires, augmenter les minima sociaux, les pensions de solidarité vieillesse qui restent gelées, bloquer la hausse de loyers, finir avec les bailleurs voleurs, escrocs qui s’en prennent aux locataires pauvres qui sont persécutés à l’aide de faux et usage de faux, finir avec l’esclavagisme de professeurs, changer les méthodes d’enseignement, augmenter les salaires de professeurs, du personnel médical, cesser la strangulation de taxis conventionnés qui sont incapables de faire face à des taxes et hausses qui ne leur rendent aucun bénéfice et qui sont là au service de malades, stopper la hausse financière qui revient aux assurés pour payer des prix de médicaments, et la participation démesurée sur ces prix qui ne sont même pas libérés de taxes pour ceux qui bénéficient de la CMU et qui se paient eux-mêmes la CMU qui est nommée « avec participation financière », il est mon cas particulier, je connais parfaitement ces textes de loi qui contribuent à faire croire aux français ignorants que ceux qui ont la CMU se font tout payer gratuitement sans contribuer en rien à la société !

La vérité est que nous devons nous payer notre mutuelle qui est une cotisation annuelle, vous direz minime, mais cela dépend de notre situation avec une retraite qui n’arrive même pas au Smic !!!

Je voudrais voir qui d’entre vous oserai mener une vie active et décente avec moins du Smic !

Si quelqu’un me contredit qui se présente !

Notre mutuelle de complémentaire santé est de 360€ annuels, mutuelle figée qui ne rembourse ni les frais dentaires ni d’optique, alors stoppez la propagande de couches sociales dites « d’assistés » nous sommes devenus des esclaves mal nommés « ASSISTÉS », une des mascarades hypocrites dans la création artificielle des couches sociales créées de toutes pièces, pour nous, RIEN N’EST GRATUIT, le faux nom de CMU garde en soi des lourdes surprises que tout le monde ignore.

En plus, les bénéficiaires de la CMU et qui paient la mutuelle « complémentaire santé » sont dans une situation qui devient pire que celle de ceux qui se paient une mutuelle privée.

Si notre contrat est signé auprès d’une assurance extérieure à la CPAM, l’assureur à l’interdiction de l’État, de nous aider en nous remboursant des frais exceptionnels.

Donc à quoi bon signer un contrat avec un assureur extérieur à la CPAM?

C’est une des idioties administratives de plus crétines du système de santé parce qu’hypocrite.

La MAZAMORRA politique arrive à son comble, elle se concentre  dans des mots et des contrats aux effets mortifères.

Nous payons des loyers aux bailleurs sociaux font usage des Faux, nous sommes encerclés à tort dans une jungle des fausses factures qui dépassent 10 fois nos loyers mensuels !

Et, toute cette escroquerie est admise par ce gouvernement ? !

Il faut se mobiliser !

Si je le pouvais j’irais avec mon déambulateur…Mais, je n’aurais pas de train ni de bus pour rentrer à « la Porcherie ».

Qu’attendons-nous pour exiger une démission ?!

Tous à la rue le 10 !

BASTA !

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

L’ABUS DE POUVOIR

NE POUVAIT QUE FINIR EN GRÈVE GÉNÉRALE

                   LA LOI DE L’ENTONNOIR

Chers Lecteurs,

Je suis retraitée de l’enseignement « public » où dans ma jeunesse parisienne, je me suis laissée escroquer par les trois rectorats avec une naïveté écrasante qui m’a enfoncée dans mes vieux jours dans une misère honteuse pour mon parcours de formation universitaire et d’exercice professionnel de professeur d’espagnol d’excellence.

C’est le destin d’aucuns et de tous ceux qui comme  moi, nous  avons subi les méfaits des mafieux infiltrés dans ce ministère ; ils savent « choisir » leurs Cibles, mais les nouvelles générations l’ont compris et c’est la raison de la fuite des jeunes de l’Éducation Nationale, et la désertification grandissante dans ce milieu sera encore plus grave les années à venir, parce que les nouvelles méthodes de coercition qu’ils imposent à chaque rentrée scolaire aux jeunes professeurs sont criants d’abus, d’exigences démesurées et impropres pour le professorat de secondaire ; les jeunes ne se laissent plus escroquer et vont vers d’autres espaces de travail où les employeurs leur assurent un mode de vie digne et décente.

La vocation ? Quand une « vocation » se métamorphose en esclavage et châtiment, elle s’estompe par la force d’une réalité immaîtrisable, tout idéal s’écrase devant esclavagisme, la dignité personnelle mise en cause exige de la victime élaboration d’une défense personnelle. Ceci dit, quand bien même retraitée, je ne cesserai jamais d’intervenir dans la société.

Personne ici ne sait que tout bon professeur a deux missions, la première est sans conteste celle qui est le socle de sa formation : donner un savoir. C’est l’essence même de la « pédagogie ».

Mais parallèlement, un professeur est habilité quelle qu’elle soit sa discipline, devenir un guide sociétal.

Et s’il a acquis une bonne méthode de pensée, il sera appelé à donner des leçons à la société, et jamais tolérer l’inverse ! Or, ce qui a de plus détestable de l’E.N. française est d’usurper deux valeurs fondamentales de tout professeur : l’esprit critique et son devoir de guide sociétal.

Les grands penseurs de l’École de Francfort ont vu et analysé en profondeur les conditions abjectes qui subissaient les professeurs de l’époque, il était et il le reste un phénomène mondial où les directeurs ministériels ont toujours traité cette profession comme si nous étions des professionnels inférieurs à ceux des professions dites libérales, et en ayant les mêmes années de formation, paradoxe indigne qui a fini par faire croire aux professeurs qu’ils sont des « inférieurs », élément  nécessaire de méthode de toute maîtrise psychologique qui a fini par les rabaisser et les convaincre d’une fausse infériorité.

Méthode d’asservissement et de rabaissement des êtres humains, essentiellement propre des dictatures les plus rudes.

C’est pourquoi les professeurs sont la catégorie professionnelle la plus soumise de la France.

Nous avons été traités comme « de bêtes de somme ».

Nonobstant, il y a des pays où leur idiosyncrasie épargne les professeurs de cette ignominie, où le salaire d’un professeur débutant est de 3000€ avec ascension permanente dans sa carrière, certains pays du Nord et d’autres qui ne forment pas partie de cette MAZAMORRA indigne qui est l’Union européenne.

Ce liminaire pour vous dire que vu les dernières annonces politiques désastreuses pour chacun de nous, il faut faire résistance.

Pourquoi ?

Le gouvernement prépare pour la rentrée, une année blanche, une économie de guerre, une inflation insupportable et la baisse et gel de nos faibles moyens de subsistance, dont ceux qui ne sont pas touchés, seront ceux qui restent à l’abri des folies politiques et qui bien protégés et épargnés de cette nouvelle ère de misère assermentée, ne sera que cette strate sociétale qui jouit de stabilité, grâce à des multiples facteurs qui n’a pas lieu d’évoquer ici et maintenant, et qui les épargnera de cette rentrée de misère organisée comme base du programme politique du gouvernement, il n’est autre que la loi de l’entonnoir : des salaires confortables pour les uns, la famine pour les autres.

La prétention ridicule est cette propagande politique transmise dans toutes les chaînes de télévision, la guerre est devenue le meilleur outil pour convaincre.

La Russie selon cette propagande est dans la ruine financière grâce à leurs sanctions, et la France rayonne de sa « puissance ». Laquelle ?

Leu puissance politique indubitablement, celle qui leur octroie leur poste au gouvernement, je suppose qu’ils font un voyage rétroactif, ils parlent des époques passées ? Parce que ce que tous les citoyens constatent est que nous sommes en apnée en essayant de nous relever infructueusement, s’ils annoncent l’exclusivité pour cette rentrée qui sera faite d’encore plus de misère soigneusement programmée.

Le gouvernement veut nous enfoncer encore plus dans des océans de misère soutenue.

J’ignore comment les citoyens s’en sortiront-ils de cette plongée obligée vers les abysses.

Je me joins inconditionnellement à cette grève générale du 10 septembre prochain.

Pour  l’heure, la statistique dit que l’adhésion de la nation est au 68 %, je suis sûre que d’ici au 10 septembre prochain, le pourcentage aura touché des sommets.

L’arrivée des nouvelles factures que les citoyens ne connaissent pas encore, sera le facteur économique décisif qui les fera adhérer de manière générale et compacte.

Ils devront comprendre que la politique a cessé d’être une pure idéologie, elle qu’elle n’est que la bonne gérance économique de la nation, parce que c’est le facteur déterminant pour assurer une vie digne à tous les citoyens sans exclusions abusives.

Un Président digne d’un pays est celui qui gère le budget de son foyer avec équité. Quand un manque à cette fonction déstabilise le foyer, les citoyens ont le devoir de dire : BASTA !

Et c’est le mot d’ordre qui a été donné pour le 10 septembre prochain !

À très bientôt et bon courage !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

Un patient dans le coma depuis 50 jours : la famille accuse l’hôpital de Poissy d’une erreur médicale https://share.google/LA4oRFLHXWHbcfz7d

C’est le comble !

Toute mon empathie à la famille, je sais combien est terrible d’être obligé à vivre une telle situation.

Je le sais pour l’avoir vécu.

Je vous conseille de contacter un avocat pénaliste ! pas le juge de référés !

Ce n’est pas son domaine, vous perdez du temps !

Un bon avocat pénaliste va  passer à la trappe ces assassins !

Erreur médicale ?

Il n’y a pas d’erreur médicale, il s’agit de soins primaires, savoir agir en cas d’urgence, même un élève de premier année de médecine le sait,  il y a « je m’en foutisme » et négligence.

C’est vécu comme un véritable viol.

Ineffaçable à vie.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Nadezhda