CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

« (…) Je ne pense pas que les décrets soient assez forts pour que toi, mortel, tu puisses passer outre

aux lois non écrites et immuables des dieux. »

ANTIGONE

Chers Lecteurs,  

Cet après-midi, j’ai reçu une lettre qui est arrivée résoudre une énigme et dont je vous ai écrit un article concernant les pièges juridiques  de cette commune, rappelez -vous que jai publié une lettre, dont je ne comprenais rien du texte d’un « Service social » de Poissy.

Et, moi,  totalement en dehors de cette imbroglio, j’ai répondu par mail à ce Service, obligée par une situation non seulement incompréhensible, mais dont j’ignorais tout ce qui se cachait comme ignominie à mon encontre et le pire, contre la mémoire de  Maman.

Cette lettre de la Préfecture des Yvelines m’est arrivée cet après-midi, elle sert de réponse à un imbroglio épistolaire que quiconque se voyait mêlé  dans une situation si scandaleuse  programmée avec tan de zèle  cynique tergiversant le contenu d’une lettre que j’ai écrite au Président de la République en avril dernier, une personne équilibrée ne saurait quoi répondre. Le dicton dit qu’on ne finit jamais d’apprendre, certes, mais « apprendre » à un rapport avec la connaissance, il s’agit d’un acte « volontaire », dans l’apprentissage de comportements iniques des personnes qui ont des responsabilités au sommet de l’État, leurs comportments déplacés ne peuvent que surprendre, la vérité que c’est faut qu’on ne finit jamais d’apprendre, on ne peut pas prévoir la profondeur et l’ampleur d’un programme  intentionnel de rabaissement.

J’ai viens de recevoir une lettre de la Préfecture des Yvelines, ma surprise à l’ouverture de cette lettre quand j’étais dans le rue, m’a laissé déboussolée… Je n’arrivais pas à saisir une situation cauchemardesque. 

Maintenant je comprends tout. Comment peut-on imaginer que le Président de la République va se comporter d’un si improbable manière, tout le monde sait que ce n’est pas lui qui lit les lettres de citoyens français, mais sa légion  des serviteurs du service de courrier présidentiel, ce sont ses serviteurs, « ses secrétaires » qui font le tri, et les lettres passent par la passoire, la mienne qui certes, j’avais écrite en avril dernier,  n’avait aucun rapport avec l’immondice que je subis dans cette commune inmonde de Poissy, ni avec le tuyau du chauffe-eau qui fuit et que je survis sans eau chaude !

Je vous en prie !

Quand bien même les secrétaires e la gestion du Service du courrier présidentiel n’ont aucun pouvoir  dictionnaire en matière juridique, elles sont là pour au moins savoir évaluer le contenu grave d’une lettre, l’adresser au service compétent sans tergiverser le contenu de la lettre qu’on leur a confiée.

Et, elles représentent le Président de la République, alors à qui renvoyer la faute?

Ma lettre était d’un très grave contenu, je évoquais un problème funéraire dont la responsabilité décisionnaire revient au sommet de l’État,  le  contenu funéraire concernant la tombe de Maman méritait une réponse digne. Il n’a pas été le cas me concernant.

La situation dans laquelle le Président de la République et son Préfet m’on mise  de force, par une tergiversation complète du contenu de ma lettre qui a été bien lue,  d’où la gravité, et cet impair est si révoltant  que je suis dans l’obligation de  le faire savoir ‘abord aux  créateurs de l’imbroglio épistolaire, ensuite il faut le faire savoir de par le monde.

C’est la raison pour laquelle je ne comprenais RIEN!

Comment auras-je pu imaginer le « LE PRéSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE , SES SERVITEURS CHARGÉS DU COURRIER, ALLAIENT JETER MA LETTRE À LA PRÉFECTURE ET ENSUITE LA FAIRE RODER PAR « LES SERVICES SOCIAUX !!! »

JE VOUS EN PRIE !

Bon, au regard de cette nouvelle situation, qui change la donne,, je suis obligée à répondre, à perdre mon temps, mais ce sera mon dernier courrier, car je ne peux pas laisser la mémoire de Maman salie par ces AUTORITÉS qui si hautes soient-elles, méritOires et premMiées de la Légion d’Honneur, elles se doivent de respecter tout citoyen Français , excluant l’électoralisme.

Étant celle-ci, une bien grave et délicate situation dans laquelle ses autorités m’ont placée, j’ai une obligation morale à accomplir pour rétablir la dignité et respet que la mémoire de Maman et SA TOMBE méritent de la part du gouvernement et de toutes les autorités de l’État.

En ce moment les Services Présidentiels et préfectoraux sont fermés et tout le monde ne pense qu’à festoyer pour encore un long week-end.

Nonobstant, de leur retour, leurs secrétaires découvriront mes lettres que cette fois-ci j’enverrai par mail, je ne vais pas poursuivre à dépenser de l’argent en LRAR, quand ce sont ses serviteurs qui les lisent pour les passer à la trappe et former des intrigues cyniques.

Mon sens de l’honneur est sans faille.

La situation a dégénérée, ce  qui m’oblige à faire des choses extraordinaires, quand on insulte encore ma mère par omission, détournant de fond en comble le contenu de ma lettre, ma réserve et ma discrétion disparaissent.

Je suis lue de par le monde, et  avec fidélité de mes lecteurs depuis la création de ce site en 2005.

je ne peux pas douter du bon accueil que j’aurais parmi mes lecteurs, quand ils découvriront ici la ûbmication de l’ancienne lettre que j’ai adressée en avril dernier au Président de la République, je sais qu’elle sera comprise dans sa juste valeur, tout comme la seconde que je vais rédiger ce fin de semaine. Et je publierai aussi la lettre du Préfet des Yvelines et ma réponse.

Il ne faut pas confondre vitesse avec précipitation. Je prépare mes deux réponses, elles n’excéderont pas une page chacune. J’ai déjà tout dit.

Et , en fin de compte, cett situation devra vous servir de miroir, le contenu de ma lettre n’est pas « une affaire personnelle ».

Vous avez  tous une mère, n’est-ce pas?

Alors il faut que cette France là,  reçoive quelques mots de vérité, ils font semblant de ne pas me comprendre, c’est bien pour cela qu’ils tergiversent, pour gommer, effacer, détourner des fait graves dont ce sont eux les auteurs des lois  funéraires ignominieuses. 

Je vous remercie de votre fidèle lecture.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA