UN PSYCHIATRE ?
UN PSYCHIATRE ?
IL SERAIT PEUT-ETRE UTILE
POUR DÉCHIFFRER LES COMPORTEMENTS
SADIQUES ET DÉLICTUELS DES GÉRANTES DU
« BAILLEUR SOCIAL » VILOGIA
Chers Lecteurs,
J’eus une conversation avec un scientifique attaché aux groupes d’expertise dans les affaires médicales du plus haut niveau.
Cet échange corrobore mes intuitions, je dis « intuitions » parce que la psychiatrie n’est pas mon champ de compétences malgré avoir étudié par obligation quand j’était une adolescente en première année de fac, au Chili, dans mon cursus de pédagogie, j’eus quatre semestres de psychologie.
Quand un semestre nous fut obligatoire pour nous pencher sur la « psychologie clinique » j’ai senti une terrible répulsion, ce sentiment reste le même, à présent que je suis dans l’étape finale de ma vie.
Vous vous demanderez, mais pourquoi?
Parce que je mets dans un piédestal le pouvoir de l’intelligence, que toute perte des repères, toute déviation de ce pouvoir unique qu’est l’intelligence chez un être humain me déçois, parce que c’est la démonstration d’une rupture de son équilibre, la dissolution ultime de ce que j’aime et admire le plus dans l’humanité : l’intelligence, la raison.
Alors quand dans ce monde imparfait d’ici-bas, je rencontre des spécimens méchants, je me souviens de ce que me me disait Maman tout le temps: « cela n’est dû qu’au manque d’intelligence ».
Mais il faut développer, dans le cas précis qui me font vivre les Gérantes du bailleur social VILOGIA, pour la première fois dans mon long parcours de location en France, expérience que je suis venue expérimenter depuis mon arrivée à Paris dans les années 80, je n’avais jamais auparavant signé un bail de location, au Chili nous étions propriétaires, et grâce au travail de toute sa vie de mon père le peintre Hernán Gazmuri, qui n’avait jamais gagné sa vie comme artiste-peintre, mais uniquement comme Professeur universitaire d’Histoire de l’Art, dessin et peinture, il eut à sa charge et sa vie durant, trois chaires universitaires et il fut Directeur du département d’Arts plastiques,, réélu à l’unanimité, attaché à l’U.T.E d’État, (Université Technique d’État depuis qu’il le fonde en 1942 jusqu’a la prise de sa retraite en 1972.
Ceci dit, et à titre d’explication sur mon expérience locative de tant d’années à Paris, je n’avais JAMAIS rencontré des femmes si insidieuses, méchantes et maladivement perverses, sadiques et aux comportements que je qualifierais de déviations comportementales à nature psychiatrique.
Je ne suis pas compétente pour déceler la nature ni les origines de leur comportement délictuel et totalement gratuit, c’est là qui réside le noeud que seul un psychiatre de très haut niveau pourrait m’expliquer.
Moi, la victime, je ne peux que formuler des hypothèses, mais on reste enfermés dans un cercle vicieux, et les intuition, ces improbables conjectures ne sont pas des éléments que je puisse observer avec la loupe des connaissance spécifiques dans cette matière scientifique dont la psychiatrie seule a le droit de donner un diagnostic.
Dans une matière, nous touchons le même l’interdit des matières juridiques, le droit exige « les preuves en m’espèce », je sais que la psychiatrie exige aussi des preuves qui entrent dans leur code des théories et des méthodes d’étude qui lui sont propres.
Nous parlâmes du comportement des ces « femmes-serpents » comme je les ai toujours nommées, il pense tout comme moi, qu’il doit y avoir une détestation occulte qu’elles versent sur moi par des querelles internes qui sont nées peut-être quand je suis arrivée dans cette « CITÉ »
Je l’ignore, nonobstant sa théorie me paraît pas mal construite, mais je ne peux que confirmer que leur haine débuta dès mon arrivée, quand elles me furent entrer dans un appartement immonde, crasseux, dangereux qui quiconque était arrivé serait parti ipso facto, c’est ce que j’ai voulu faire, dire au camion de stopper la sortie des cartons, mais le studio de Paris était déjà offert à un autre locataire et où allais-je me loger ?
Oui, c’est peut-être de là que quelque chose explosa dans leur cuisine de travail interne qui s’est produite pour dégénérer en cette persécution et délits pénaux que je ne peux que classifier mais en aucun cas désigner leur origine.
Elles sont atteintes d‘un problème psychiatrique grave qui se déverse sur moi, cette haine se planiste dans leur refus à se comporter dans les normes de respect d’un contrat de location, qu’aucun bailleur normal , social pu privé, n’opposerait refus à respecter. C’est tout de même grandiose qu’un bailleur par pure méchanceté prouve une locataire de l’usage de l’eau chaude, laissant un tuyau de gaz avec une fuite, ayant reçu le rapport accablant de l’expert de GRDF, qui les ordonne de le changer; les gens qui m’écoutent restent ahuris.
Il est de même dans le refus à me muter d’HLM, ma demande que je formule depuis 2021 me donne ma priorité légale pour être en état d’invalidité, mais ces gérantes se nourrissent depuis d’un PLAISIR SADIQUE de me voir souffrir avec la montée et descente de 84 marches d’escalier et risquer mua vie et aggraver au jour le jour mon handicap. Il faut être en possession d’une incapacité mentale défaillante et en état d’une grave de putréfaction psychique pour agir de la sorte dans cet abus de pouvoir, cachées sous leur poste de responsabilité de « fonctionnaire de l’État français ».
Oui, c’est la démonstration réelle d’un dérèglement de quelque chose que j’ignore.
Étant donné que ces gérantes ont le statut de « FONCTIONNAIRES », car elles représentent le PDG qui est un « bailleur social », dans un République idéale, attachée aux lois qui veut donner l’exemple au monde de son éthique et d’être porteuse des plus in inébranlables lois des droits de l’homme, et que la réponse que j’obtiens à la dénonciation rigoureuse de ma plante accompagnée froidement, dépourvue de pathos dans l’exposé de ma demande juridique nourrie des mêmes « preuves en l’espèce » que je publie ici, pour être lue de par émonde et que ces « AUTORITÉS COMPÉTENTES » ne me répondent pas, j’ai m’octroie le droit de penser, qu’elles se portent complices et que partagent le même sentiment de SADISME de me voir dans une situation d’injustice abominable que quiconque a un pouvoir juridique en France, par île seul fait de me lire, devrait ressentir une motivation immédiate pour me contacter, être à mon écoute, et calmement m’apporter secours, au lieu de ça, ces autorités de l’État sont restées silencieuses et inactives.
Je représente mes parents vénérés, j’ai reçu une éducation de premier ordre, je ne fais jamais d’impairs et je combats avec la parole et avec les preuves d’une vérité à la vue de tout le monde et prouvée, donc j’exige un traitement de pareil respect à mon égard.
Ces gérantes sadiques n’obtiendront jamais de moi ni une perte de politesse, elles n’obtiendront jamais que je m ‘embarque à mon âge!, dans des fatigues judiciaires pour « les pauvres »; une personne argentée, ne se verra jamais en conflit gratuit avec son bailleur, ces minables problèmes surgissent dans ce terrain « SOCIAL » où les gérantes et le public sont pareillement les plus médiocres de la France.
Conclusion:
Il paraît que je survis dans une République bananière sans loi, alors, je vais faire l’expérience de prendre rendez-vous avec un psychiatre pour lui exposer le comportement délictuel de ces éléments en état de putréfaction.
J’ignore si l’on peut analyser dans une unique séance le comportement d’un tiers, et de manière interposée.
En tout cas, il est le seul recours qui me reste à explorer.
Je vous raconterai si j’arrive à concrétiser mon rendez-vous, le problème est qu’il faut trouver le bon psychiatre expert dans cette matière qui touche le domaine criminel.
Je ne connais pas de criminologues, discipline qu’à la différence de la psychiatrie m’attrait et me fascine.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA
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