CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Escritos literarios – críticos, anuncios de nuevas publicaciones, libros editados. Artista-Pintora. Telas al óleo, gouaches y dibujos

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CLARA VERSION EN ESPAGNOL- REQUIEM POUR MAMAN ET CD

5 Septiembre, 2021 (17:10) | Non classé

                          CLARA

 

           VERSION EN ESPAGNOL

  

                                        ET  

 

        REQUIEM POUR MAMAN

  

    LA VÉRITÉ SUR SON ASSASSINAT

 

             PROLOGUE

 

« Partez ! Vous n’avez pas le droit de rester auprès de votre mère, vous devez comprendre qu’elle ne vous appartient plus, maintenant elle est propriété de l’hôpital ! »

Cris de l’équipe médicale du chef de Service assassin

                                                        Hôpital semi-privé

                                                 Paris, le 15 octobre 2013

 

                                                               A Maman,

                                           La créature la plus belle et               

                                 Remplie de bonté, lumineuse dans son silence musical

                                            Elle était un océan d’amour éternel

                                            A Maman, la plus talentueuse et

                              La plus sublime créature que Dieu n’a jamais créée.

 

 

Voici le nouveau livre de Nadezhda Gazmuri-Cherniak dans sa version en espagnol.

À l’attention de ses lecteurs de langue espagnole. 

Le  livre en français leur reste  illisible.

Il est accompagné d’un CD.

 

Ce récit ne donne aucun détail impudique, ne livre pas les noms de ces quatre assassins, ne jette pas en écriture de pleurnicheries déplacées, Nadezhda n’est pas la pleureuse qui demande notre compassion, non, elle ne veut qu’une chose, dénoncer le médecin Traître-Tant et ses trois complices, pour faire prendre conscience au monde entier que cet assassinat de sa Maman  fut commis avec la protection collégiale la plus abjecte et couvert de l’omerta la plus criminelle, et en même temps, elle voulu à l’époque, en 2013 jusqu’en 2017 ; que cet assassinat de sa Maman fusse enfin puni avec les sanctions les plus sévères prévues dans le Code Pénal et que ce délit d’assassinat fasse jurisprudence en vue de modifier  pour endurcir le code pénal en vue de changer la loi.

Clara, ancienne pianiste, maman de Nadezhda est la veuve du peintre Hernán Gazmuri, qui avant d’arriver en France en 1982, elle fait don à la France de son héritage pictural, l’œuvre capital du peintre, l’Hommage à André Lhote et Le Nu Jaune, la « Donation Gazmuri », qui arrive compléter les Collections de l’École de Paris au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris.

Ce nouveau livre est le récit de l’exil volontaire et artistique de Clara et Nadezhda, unies depuis plus d’un demi-siècle dans un binôme mère-fille, et par une complicité artistique qui commença dans l’espoir et qui se termine par l’assassinat de Clara en l’année 2013.

Elles se trouvent piégées dans les affres d’une administration qui abrite des médecins assassins qui s’acharnèrent à les séparer dans les dernières années de la vie de sa Maman. Ils provoquèrent sa mort par refus volontaire de soins la martyrisant soumise dans une agonie indicible et barbare, parce que privée du seul sédatif qui s’imposait pour stopper ses souffrances : le sommeil profond.

Les médecins élaborèrent et achevèrent une abominable besogne assassine contre Clara qui s’est vue encerclée et jetée vers l’abîme d’une volonté médicale meurtrière qui la conduisit vers le martyre, l’agonie et la mort.

Clara s’est vue privée de soins, soumise entre les griffes de ces quatre médecins assassins. Elle demeura à leur merci, ils la firent agoniser dans des souffrances barbares qui restèrent cachées dans le silence étanche et criminel de tout le personnel complice de ce sinistre hôpital semi-privé de Paris.

Clara, pianiste d’exception d’origine russe et attachée à la culture française étant elle-même parfaitement bilingue depuis son plus jeune âge, suit sa fille dans son périple parisien pour l’accompagner dans son choix de faire de Paris leur ville d’adoption. C’est ainsi qu’elles fuirent le Chili dans les années 80 pour venir s’installer à Paris. Ce choix existentiel de s’exiler en France leur imposa de quitter leur confort matériel dont elles jouissaient paisiblement grâce au travail de toute sa vie qui leur laissa leur mari et père en héritage.

Mais, Nadezhda amoureuse de Paris, poète, et artiste peintre elle-même, décida fuir le Chili après la mort de son père, pour vivre en tant qu’artiste, mais ce désir existentiel se transforma en une quête jamais acquise tout au long de sa traversée parisienne. Diplômée de professeur d’espagnol, optimiste et pleine d’espoir, la société qu’elle rencontre est bien différente de celle qui avait connu le peintre Hernan Gazmuri dans l’atelier de Lhote. Ignorante de ce qu’était devenue la France du vingtième siècle, sans aucun lien spirituel, culturel et artistique avec celui qui rencontra son père à l’époque d’entre les deux guerres, elle n’imagine ni pour une seconde le destin adverse qui les attendait et, moins encore que le pays de la plus fine culture et détenteur des « Droits de l’homme » pouvait abriter de tels assassins au sein même d’une des plus nobles des professions : la médecine.

Nadezhda n’attachait pas d’importance au confort matériel et vendit tous ses biens, pour pouvoir s’installer en France avec sa Maman, elle se déposséda volontairement de l’héritage de toute la vie de travail qui lui laissa son père, et qu’elle le lapida pour réussir cette aventure.

Arrivées en 1980, elles subsistent de manière difficile et précaire du seul travail de professeur d’espagnol de Nadezhda, qui en dépit d’avoir poursuivi des études supérieures de Pédagogie pendant cinq années dans l’Université de Santiago, U.T.E. Institut de Pédagogie fondée par son père en 1942,   et ici  en France poursuivant des études  supérieures en Sorbonne qui aboutirent en une Maîtrise Mention Bien, D.E.A. et doctorat, elle  ne fut jamais titularisée, mais malgré cette adversité pécuniaire, elles restèrent toujours unies dans un binôme mère-fille indestructible qui fut toujours incompréhensible pour la majorité des français, parce qu’il représenta un mode de vie atypique, c’est pour cette unique raison qu’elles furent sanctionnées, critiquées, et c’est leur mode de vie qui se transforma en le seul motif des heurts avec l’administration  tout au long de ces treize années qui dura l’invalidité de sa Maman.

Dans ce récit, Nadezhda nous fait le parcours de toute leur vie parisienne marquée par les expériences tragiques que subit sa Maman au sein des hôpitaux, où elle eut deux maltraitances hospitalières dont la deuxième finalisa par la tuer.

Ce furent les médecins, conjointement avec le personnel soignant, ceux qui s’acharnèrent dans le refus de soins, la non-assistance à personne vulnérable et en danger, provocant son agonie indicible et sa mort dans des circonstances aggravantes.

Les quatre « médecins assassins » agirent impunément, en catimini, et se concertèrent collégialement non pour l’apaiser dans ses souffrances, mais pour l’achever dans une abjecte besogne.

Le MOOBING, l’abus de pouvoir est devenu une manière d’agir abominable, parce qu’assermentée, et approuvée par une mafia de médecins qui agit en toute impunité au sein des hôpitaux, et qui restent les gardiens non de la santé et du bien-être de patients, mais les gardiens de leur « protocole hospitalier » qui autorise leurs crimes, et qui demeure le meilleur garant de leur impunité, conjointement au Conseil du désordre.

Leurs crimes ils s’exercent avec cruauté et sans la moindre retenue. L’omerta est de mise. Le Moobing fut ici exercé contre la Cible qui était devenue Nadezhda qui exigea toujours pour sa Maman un traitement humain et adaptée à son handicap, car Clara était victime d’une invalidité à 100% et Nadezhda ne la quittait ni pour une seconde, lui consacrant toute sa vie et tout au long de ces treize années, car les handicaps graves sont pour l’heure volontairement ignorés par le « protocole hospitalier ». Ce « protocole »  non seulement il n’est pas à même de les prendre en considération du point de vue médical, mais le plus alarmant  est  que cette ignorance volontaire  sur certains handicaps est susceptible d’être corrigée, mais les dirigeants ne le font pas ;  le fond de la question est que ce « protocole » veuille l’ignorer volontairement et de manière obtuse. L’admettre ouvrirait la voie vers une tolérance et un humanisme hospitalier qui pour l’heure n’existe point. Cet humanisme qui fait défaut au sein des hôpitaux devrait s’installer ipso facto, il doit se centrer sur la mise en place obligatoire chez le personnel médical d’un savoir-faire et d’un savoir vivre indispensable pour que le séjour hospitalier des personnes de grand âge et invalides soit réduit à un minimum de souffrances, tout comme il est autorisé pour les enfants gravement malades, où le séjour hospitalier se passe dans les meilleurs conditions grâce à la présence des parents, c’est l’unique manière d’améliorer les garanties de guérison ou d’adoucir le mieux qu’on peut la fin de vie.

Contrairement à ce qui s’est mis en place pour l’hospitalisation des enfants, les personnes âgées et invalides sont victimes d’un écart abyssal en matière d’accompagnement familial, ce vide s’accroît et persiste en matière d’hospitalisation et de prise en charge.

 Le plus grave en matière médicale est la série d’interdits implacables que de nos jours se hissent dangereusement contre les familles, qui sont privées de continuer à prodiguer leur accompagnement soutenu à  un parent âgée et invalide, soutien humain de premier ordre qui leur revient en toute justice ;  en  revanche ils se voient écartées et mutilées dans leur lien familial lors de l’hospitalisation, mettant en danger de mort les personnes invalides de grand âge.

Nadezhda nous donne une grave et percutante leçon de vie, exposée avec des exemples d’ordre médical très pointus, au moment même où il y a des tentatives aussi stériles que inappropriées pour la prise en charge de personnes âgées.

Nous prenons acte de cette dénonciation, des vices dénoncés, des maltraitances répétées qui ne sont pas provoquées par le manque de budget, ou par ce manque de personnel criant qui est indéniable, mais par la mauvaise gérance d’une politique hospitalière néfaste

 Le jour où Clara fut victime d’une crise et arriva à l’hôpital, il n’y avait personne aux urgences. Il n’y a pas d’excuse pour excuser le refus de soins, qu’ils se doivent de prodiguer à une personne de grand âge qui arrive souffrante victime d’un infarctus mésentérique.

Les maltraitances subies par Clara furent d’une cruauté indicible et le produit unique d’un abus de pouvoir vis-à-vis de ceux qui sans défense, sans témoins, démunis de lois qui les protègent, et qui osent désormais s’opposer aux diktats et aux protocoles meurtriers.

Les  dénonciations sont pour l’heure étouffées dans l’omerta imposée par tous ces fonctionnaires mafieux qui gèrent les services hospitaliers et qui sans aucune retenue exercent impunément leur abus de pouvoir aux équipes médicales et aux patients.

De par ce récit oral sans concessions, nous assistons non seulement à la perfidie criminelle d’abord du « médecin TRAÎTRE-TANT », ensuite de ces trois complices hospitaliers qui auraient pu en remédier au du moins l’apaiser.

Ces médecins assassins, finirent d’achever CLARA, parallèlement aux effets meurtriers et à la cruauté des protocoles hospitaliers qui accroissent le mépris déjà bien installé vis-à-vis vis des personnes âgées.

Nous prenons conscience de ce qui peut devenir le quotidien des vieilles personnes qui vivent à contre-courant et sans protection à la fin de leur vie quand le confort financier personnel leur fait défaut.

L’hypocrisie assermentée qui se dégage de ce misérable minimum vieillesse et des aides à la dépendance doit être condamnée avec la plus sévère fermeté, parce que ces « aides » sont inadaptées, inopérantes et ne prennent pas en considération les cas atypiques ni le respect que l’on doit aux cas individuels et à la liberté de tout un chacun de mener sa vie en liberté comme bon lui semble aussi bien en bonne santé comme dans la maladie, laissant libre la personne et sa famille dans la gérance de sa vieillesse, de son handicap et de sa fin de vie.

Dans le cas tout particulier de Clara, c’est Nadezhda celle qui assumait en solitaire la vie de sa Maman, tâche qu’elle eût choisie volontairement, en même temps elle ne cessa jamais d’écrire et de dénoncer la persécution administrative dont elles étaient l’objet de la part de certains hauts fonctionnaires, il fut témoigné par une longue écriture remplie d’exemples accablants, parus dans son livre Le Dictateur de la ville morte, édité en 2011.

Clara et Nadezhda furent persécutées, et punies de manière implacable pour vouloir rester ensemble en refusant l’APA, leur choix de vie leur imposa la punition administrative, le parcours obligé et sans répit dans la misère pendant 13 années avec le seul RSA, où  le choix obligé de ce parcours de misère fut la seule issue possible qui lui garantit la possibilité garder sa maman à la maison et devenir sa seule infirmière jour et nuit tout au long de ces treize années, jusqu’à subir la punition finale du refus de soins et de son assassinat programmé.

Nous regardons ce binôme qui subit ensemble les affres de la pauvreté et du vieillissement dans un crescendo qui débouche dans la torture et la mort préméditées.

Le récit est circonscrit entre années 2000 et 2013, ce sont les treize dernières années de leur parcours parisien. Les faits se déroulent dans un récit construit soigneusement en  trois parties.

Une crise subite frappa Clara le 14 octobre 2013 de retour de leur promenade au café, ce rituel que Nadezhda offrit à sa Maman pour la distraire et la sortir de l’enfermement de la maison. Aussi bien par les grands froids d’hiver comme par le temps chaud et ensoleillé de l’été, elle sortit se promener avec Clara tous les après-midis, rien ne laissait penser que ce 14 octobre 2013, pendant la nuit, Clara tomberait malade victime d’un infarctus mésentérique.

C’est le mois d’octobre 2013, la date fatidique où Clara est assassinée en deux temps.

Ier Temps de l’Assassinat.

Le métronome marqua le temps funeste du crime prémédité par « Le Traître. »

 

Le premier temps funèbre fut imposé par son médecin traitant qui s’est avéré être un traître.

 

Il lui refuse l’hospitalisation que Nadezhda lui exigeait de manière pressante pour sa Maman, c’est ainsi que pour des raisons obscures et sinistres, il se refuse à l’hospitaliser et la laisse souffrir deux jours à la maison, restant inactif face à sa crise et sa souffrance, jusqu’à que le 15 soir, Clara subit une perforation intestinale. Clara souffre et son état s’aggrave et devient critique, après deux jours de subir des souffrances indicibles provoquées par le refus de soins de son médecin qui la retient à la maison, deux  jours de souffrance et de perte de temps imposé par le médecin « Traître-Tant » avec le seul but de provoquer sa mort.

 

Nadezhda ne supporta plus la vue de sa Maman souffrante et voyant son état s’aggraver, Nadezhda décida de l’emmener aux urgences, désobéissant les ordres du traître.

 

 Son « médecin Traitre-Tant » marqua le début de l’assassinat.

C’est agissant en flagrante faute médicale qu’il lui refusa les soins et refusa les demandes d’hospitalisation qui lui formule Nadezhda de manière pressante.

Il se refusa farouchement à que Nadezhda l’hospitalise, lui disant « Elle n’a jamais été mieux que maintenant ! Laissez la tranquille, elle est fatiguée pour son grand âge ! »

 

II Temps de l’Assassinat.

 

 L’état de Clara s’aggrave, et meurtrie de subir depuis deux jours les conséquences d’un infarctus mésentérique est arrivée aux urgences, presque mourante et là, les amis et complices du « médecin Traitre-Tant » lui refusent par une deuxième fois les soins d’urgence et l’apaisement qui réclamait de manière criante son état, pour ne recevoir que le martyre d’une agonie sans sédatifs.

 

Les urgences de l’hôpital parisien semi-privé.

 

Nadezhda décide de son propre chef l’emmener à l’hôpital désobéissant l’interdiction de l’hospitaliser de son médecin traitant, mais aussitôt arrivées au sein d’un service où à 2 heures du matin il n’y avait personne aux urgences, où seul un clochard en train de dormir, restait dans un coin couché dans un brancard,  c’est là qu’elle rencontre trois assassins et  amis du Traître, qui finirent de l’achever au lieu de lui prodiguer les soins que son infarctus réclamait de toute urgence : l’emmener au bloc pour l’opérer et la laisser en sommeil profond.

La maltraitance et refus de soins débuta le 15 et le 18, Clara meurt après subir une agonie indicible privée volontairement des soins où le sommeil profond, était l’unique prise en charge possible pour une perforation intestinale.

Les trois assassins hospitaliers furent les complices parce qu’amis et « confrères » de ce « traître médecin », ils se parlaient au téléphone en permanence, laissant Clara agoniser et Nadezhda isolée dans le rôle de spectatrice ahurie et impuissante face à la maltraitance que subissait sa Maman.

Aucune autorité à qui faire appel en urgence.

Aucun numéro de téléphone vert pour appeler à l’aide.

Aucune autorité policière ou juridique autorisées à recevoir une plainte criminelle pour stopper la maltraitance avant que le crime ne soit accompli. 

Rien. L’abîme le plus absolu par un temps sinistre où sa Maman mourait martyrisée entre les griffes de trois assassins.

Clara subit la torture et l’agonie les plus indicibles qu’une personne ne peut supporter. Les souffrances qu’ils lui imposèrent ne sont pas dignes des responsables de notre vie, ces souffrances ne doivent pas rester impunies.

Mais…Après des années de lutte juridique, elles le restèrent. Ces assassins sont à l’abri, ils se réjouissent.

Il va falloir accepter que de nos jours, la torture au sein des hôpitaux est possible et institutionnalisée par manque de loi qui soit capable de surveiller et punir ces dérives criminelles.

Le Chef de service, la responsable des urgences, et le chirurgien qui lui refusa les soins, se concertèrent pour former une équipe criminelle au plus haut degré de perfidie dans l’accomplissement de l’abominable.

Ils continuent à travailler allégrement dans cet hôpital et à l’abri des sanctions, grâce aux mafias collégiales.

Ces quatre assassins en puissance, les plus dangereux médecins qui ne puissent exister en France, prirent Nadezhda comme cible punitive, et tuèrent sa Maman pour la punir, ils savaient où frapper avec la plus absolue des certitudes où ils pouvaient attaquer pour la détruire : la vie de sa Maman, sa seule raison de vivre.

 

Pourquoi un tel acharnement criminel ?

 

Parce qu’ils la connaissaient au sein de cet hôpital et maltraitèrent sauvagement sa Maman avec préméditation, en représailles à leur manière marginale de vie, et par les exigences pressantes de Nadezhda pour continuer seule sa prise en charge de la vie de sa Maman qu’elle menait avec une excellence des soins depuis des nombreuses années, d’une part en assurant le bien être de sa Maman, et d’autre part, avec ses soins exceptionnels d’infirmière et d’aide-soignante.

 

  Nadezhda démontrait qu’elle pouvait triompher au jour le jour contre la mort, prolongeant dans des bonnes conditions la vie de sa Maman, et tout sans être « professionnelle. »

 

Nadezhda laissait à la lumière de tous sa réussite aussi bien par ses actes que par l’exemplarité de cette vie d’exception. Toutes les deux laissaient les médecins dans une incontestable défaite.

 

C’est depuis toujours que l’hôpital se refuse d’assumer une prise en charge adaptée aux personnes de grand âge et invalides, mais le plus incompréhensible est qu’ils se refusent à mettre en place des soins d’excellence destinés à prévenir l’aggravation des risques qui conduisent à la mort des personnes de grand âge, fragiles et en fin de vie.

 

Leur exemple de binôme mère-fille était pris comme une gifle qui dénonçait du fait de leur seule présence dans le service, leur ignorance et leur incapacité médicale en matière de gériatrie.

Le bien-être de Clara était la preuve des bons soins que Nadezhda prodiguait à sa Maman qui était une personne si âgée et si fragile. Cette preuve vivante de sa compétence leur était insupportable.

 

Ils finirent de l’achever au 5 -ème étage de médecine où ils la jetèrent comme un déchet sur un lit dur et froid pour qu’elle se nécrose à vif en attendant sa mort, c’est là, où Clara, seule avec sa fille, martyrisée des douleurs et devenue un squelette de vingt kilos, et souffrit l’indicible sur ce lit métamorphosé de force en cercueil ouvert.

 

La chambre du 5ème étage de cet hôpital fut l’antichambre de la mort, où le corps souffrant de Clara se nécrosait peu à peu sous le regard épouvanté de Nadezhda, et les rires sadiques et obscènes du Chef de Service qui riait devant l’agonie de sa Maman « Ha, ha, ha, elle n’est pas toute fraîche votre mère, ah ? Ha, ha, ha !!! »

Vices, fautes, maltraitances, et le crime perpétrés au sein de l’hôpital qui était le lieu où CLARA fut jetée à la mort inéluctable.

Ce crime doit être mis à la connaissance de toute la société.

 

Ce livre n’est pas seulement la dénonciation d’une maltraitance et du meurtre de CLARA, il est un cri  lancé à vous tous pour qu’il soit entendu et pour exiger un changement, mais ce changement ne pourra se produire que par la lecture responsable de ce récit de vérité, et par une exigence collective de changement, pour que chacune des fautes hospitalières, celles qui sont pour l’heure cachées et qui doivent être interdites et sanctionnées avec une sévérité implacable, soient à tout jamais éradiquées du pays de droit qui est la France, son honneur en dépend.

 

Nadezhda dénonce ces fautes qui demeurent comme un vice indestructible.

Ce livre n’est pas seulement le récit de la vie parisienne d’un binôme mère-fille qui subit ensemble la descente vers les affres de la misère, de l’abîme du vieillissement, de la maladie, et du crime abjecte de ces quatre médecins assassins, il est en même temps un manifeste médical et juridique qui dénonce l’assassinat de sa Maman, et ce témoignage nous exige de manière impérative et pressante une révolte et une participation collective en vue de provoquer un changement  radical des lois hospitalières vis-à-vis de la prise en charge des personnes de grand âge.

 

Pour éviter un assassinat médical volontaire, il faudrait que la société exige à l’État, aux responsables de la plus haute magistrature, la mise en place, et de toute urgence, d’une série de lois qui interdisent les actes criminels des faux professionnels mafieux qui se sont infiltrés au sein même de nos institutions.

La lutte juridique de Nadezhda s’est défaite entre les mains de jeunes avocats payés avec l’Aide Juridictionnelle, d’après laquelle, leur irresponsable indolence et leur attitude présomptueuse et cynique laissèrent Nadezhda soumise dans leur tromperie faite de leur comportement dépourvu de la déontologie la plus élémentaire.

Elle n’a pas abouti à mener le « médecin Traître-Tant » et ces trois amis-complices devant la cour d’Assises, car ce dossier n’arriva jamais devant un Juge d’Instruction, les « jeunes avocats » ne furent même pas capables de rédiger un petit rapport de 12 pages !

C’est ainsi que l’assassinat de CLARA  qui fut un assassinat prémédité, pour la non-assistance à personne vulnérable et en danger, pour refus prémédité de soins et assassinat avec des circonstances aggravantes sur personne âgée et souffrante que sa fille Nadezhda écrit ce Livre-Script et , parle et dénonce dans ce CD ce que les  autres criminels assermentés : les « jeunes-avocats arrogants » à peine gradués, se refusèrent d’accomplir.

 

Nadezhda GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

 

 

 

 

 

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