ARTICLE DÉDIÉ À MAMAN,  ASSASSINÉE EN OCTOBRE 2013 , PAR REFUS DE SOINS PALLIATIFS AVEC INTENTION DE LA TORTURER ET LUI DONNER LA MORT PAR SON « MÉDECIN TRAÎTRE-TANT » ET CES 3 COMPLICES

      L’AIDE À MOURIR ?

ET, POURQUOI NE PAS VOTER PLUTÔT POUR UNE AIDE À VIVRE ?

LA MORT EST QUESTION DE L’INTIME ABSOLU

LE GOUVERNEMENT ? 

DEHORS!

Chers Lecteurs,

La France veut tout contrôler, tout légaliser et faire loi uniforme ce que le raisonnement et le bon sens humain doit privilégier: LE RESPECT !

Nous savons que nous sommes en train de vivre une décadence qui nous traîne vers une falaise  inéluctable vers les abysses, sous prétexte d’aller de pair avec le XXI siècle et qu’il faut répondre aux appels de la modernité qui nous offre la médecine, sauf que la véritable médecine n’a pas le rôle d’aider à mourir quand bien même des cas de souffrance extrême, irréversible et insoutenable se manifestent.

Je tiens à remarquer un élément qui a été oublié me semble-t-il par bon nombre de citoyens qui crient pour la légalisation de l’euthanasie, à laquelle je m’oppose fermement et je vais dire pourquoi.

Tous les médecins disent que la médecine n’est pas une « science exacte » et que les cas, je souligne « DES PATIENTS», des personnes et non des objets inertes, il faut les analyser avant pour les quérir ensuite.

Les patients sont tous différents et peuvent présenter des nuances illimitées dans la souffrance due aux maladies, étant presque toutes las maladies des plus banales est guérissables aux plus graves et incurables répertoriées avec des éléments qui se ressemblent et que les médecins peuvent prévoir d’avance qu’elle sera la suite et le cheminement vers la fin.

Des philosophes, essayistes médiatiques à l’aide de YouTube prédiquent leurs convictions pour influencer le corps politique, ils sont « des figures » récompensées et connues, ils ont le droit à la parole  et forment la nouvelle catégorie des « influenceurs d’université ».

C’est grotesque.

À partir du moment où tout citoyen français a le droit de vote et qu’il participe dans la vie de la cité, même s’il n’est pas essayiste et Professeur, il a le droit de dire sa pensée sur sa vie,  sur sa mort et celle de ses proches.

Pour moi, la question de LA MORT tout comme notre vie est une question de l’intime absolu et je m’insurge contre le gouvernement qui m’oblige à entrer par loi dans une case où je me refuse d’entrer de force et que ma mort dont j’ignore tout soit « une question de loi .»

Avec un médecin alsacien qui était radiologue et qui s’occupait parfaitement de Maman nous avons discuté sur l’Euthanasie, c’était en 2009, nous étions tous les deux en parfait accord que les demandes pressantes pour la légalisation de l’euthanasie allait déboucher dans des pires violations et transgression dont les vieilles personnes seraient tuées et volées de tous leurs biens et de leurs droits, parce qu’en fin de vie.

Il m’a dit:

«  Vous imaginez ce qui va se passer avec les droits de succession? «

« Et, les vieux en fin de vie seront éliminés très vite, parce que ce sera un acte d’épargne à la sacrosainte Sécurité sociale »

Des nombreuses années ses sont passés depuis ma conversation avec cet excellent médecin, la situation en France au lieu de s’améliorer, s’est empirée, nous sommes dans la fin d’une période qui était déjà critique pour passer maintenant à un présent insoutenable qu’augure les pires déviations.

Trouver un médecin, un scientifique qui soit d’accord avec cette ligne de pensée est pour l’heure rarissime en France.

Pour connaître en profondeur la quantité des criminels déguisés de médecins qui exercent comme des fonctionnaires et qui tuent grâce au déguisement de la blouse blanche, je suis horrifiée face à cette nouvelle loi.

À la fin de cet article, je ferai le court récit de mon expérience personnelle, puisque vous me connaissez déjà et que pour les lecteurs qui me suivent depuis des nombreuses années savent ce que j’ai dû vivre avec le crime commis par un faux médecin et ses trois complices en octobre 2013.

Le « médecin Traître-Tant », Le Sicaire.

J’ai fait le récit est j’ai écrit un livre CLARA qui dit comment Maman fut tuée avec préméditation en 2013 par REFUS DE SOINS avec des circonstances aggravantes.

La loi Leonetti me semble une table de sauvetage qui nous épargnera des souffrances inutiles quand le corps et l’esprit rendront insoutenable notre capacité de supporter les ravages d’une maladie incurable.

Elle pourrait avoir des améliorations, mais en substance, elle est une avancée notable et je la trouve presque parfaite dans l’état, cependant, la faute du gouvernement est de négliger le plus important qui rend inutile l’aide à mourir par l’Euthanasie et qui est la création de toute urgence des centres de soins palliatifs, mais nous savons que rien ne sera fait, parce qu’il n’y a même pas le programme d’assainir la crise hospitalière et tant qu’une reforme ne se produise dans ce sens, il ne pourra y se greffer des Service des sons palliatifs annexés à l’hôpital.

Il n’y a presque pas des centres de soins palliatifs en France, et l’état catastrophique dans lequel se trouvent les hôpitaux rend encore plus abominable cette loi de l’aide à mourir.

Je ne vais pas perdre du temps ni ne ferai le narratif du classement fait des différents types d’euthanasie ni ne vais parler des pays européens qui l’ont légalisée en contraste avec ceux qui l’ont mise hors la loi.

Toute organisation religieuse s’opposera avec fermeté à l’euthanasie.

Je parle et j’écris avec ma profonde conviction, d’après mon expérience et avec ma sensibilité et croyance intime.

Je n’oblige personne à me suivre, mais je sais que bon nombre des personnes seront d’accord avec moi.

La liberté dont doit jouir tout citoyen me paraît une question indiscutable, alors si quelqu’un veut se suicider, qu’il le fasse, s’il ne veut pas souffrir et veut prendre fin à sa vie, il est libre; il n’existe aucune loi que le lui interdise de finir avec sa vie, mais la fin de vie et les maladies ne sont pas ressenties de manière uniforme par les malades et les vieux, et, je me révolte contre la légalisation de l’aide à mourir, c’est scandaleux  et il s’agit d’un attentat à la vie qui est sacrée.

La nature sait si bien  faire les choses, et si un obstacle insurmontable venait à rompre cette sagesse naturelle, bénie est la loi Leonetti qui arrivera nous sauver.

Ils vous dirent qu’il y a des maladies incurables qui exigent l’euthanasie, oui ce n’est pas à moi qui vous devez donner une leçon de ce qui veut dire une souffrance insoutenable, ni une agonie abominable qui aurait pu être soulagée ipso facto grâce précisément à la loi Leonetti.

Je suis pour une sédation profonde quand la souffrance est insoutenable.

Pour ma part, j’ai déjà rédigé mon testament et mes dernières volontés qui sont entre les mains des responsables de mon Assurance obsèques.

En cas d’un accident ou d’une maladie incurable, je ne veux pas être euthanasie, aucun médecin n’aura le droit d’intervenir, je ne prendrai aucun médicament et je laisserai faire le cours de la maladie, et en fin de vie, je demanderai la sédation profonde, je ne veux pour rien au monde qu’on me maintienne en vie artificielle ni entubée!

Avant, rien de toutes ces méthodes artificielles n’existaient, et je pense que le fait de vivre et de mourir étaient beaucoup mieux supporté.

Je le redis, ma vie et ma mort m’appartiennent, et LA MORTest de l’intime absolu.

Tout gouvernement qui prétend intervenir devient un violeur de la vie.

MON RECIT FUNÉRAIRE QUI EST LE SOCLE DE MON

ATTACHEMENT AUX SOINS PALLIATIFS.

En Octobre 2013, de retour de notre promenade avec Maman, nous vivions toujours toute les deux à Paris, elle devient soudainement très fatiguée, ce qui m’avais décidé de rentrer plutôt du café, Maman était grabataire et je m’occupais d’elle jour et nuit et la sortais se promener tous les jours en fauteuil coquille.

Après dîner je l’ai couchée et vers 2h, du matin débute sa crise, un infarctus mal détecté, le « médecin Traître-Tant », Le Sicaire, lui refuse les soins et s’oppose à l’hospitaliser, pour gagner du temps, un vrai assassin.

Ce refus de soins fut pratiqué avec préméditation, il s’est refusé à l’hospitaliser. Je résume ce que j’ai décrit en détail dans mon livre Clara, la crise s’est aggravée et ils m’obligèrent à assister à son abominable agonie qui a duré 3 jours chez nous et une fois emmenée par  moi-même l’hôpital, dans les pires des hôpitaux de Paris, là ses complices se refusèrent à lui donner des sédatifs ! Et Maman a dû endurer encore 4 jours d’une agonie abominable sans aucun sédatif !

J’ai prié, j’ai imploré des SOINS PALLIATIFS et tout me fut refusé pour Maman.

J’ai été le témoin oculaire de son agonie sans sédatifs que même pas un vétérinaire n’aurait accepté pour son animal !

C’EST ÇA LA FRANCE !

J’aurais dû quitter la France ipso facto avec son cercueil, mais je n’avais pas d’argent et je n’ai toujours pas d’argent pour fuir.

Mais, j’ai toujours rêvé de fuir, c’est pour cela que je l’ai enterrée dans un cercueil sarcophage, le seul cercueil qui est accepté pour le transport en avion; dans l’espoir de fuir un jour.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

Maman et moi juste avant son assassinat. 2013.