LES RÉFUGIÉES UKRAINIENNNES : DES MONSTRES AVEC LEUR GPA QUI VIENNNENT ACCOUCHER EN FRANCE !
LES RÉFUGIÉES UKRAINIENNES
DES MONSTRES ET LEUR GPA
« (…) Moyennant un supplément, on propose parfois au couple commanditaire une « assurance annulation », pour le cas où il renoncerait au « processus » en cours de route, par exemple en raison d’une séparation. Un avortement serait -il alors imposé à la mère porteuse ? Ou bien l’enfant serait-il remis en d’autres mains? On ne sait pas.
Sur ce marché mondialisé, la concurrence entre les entreprises est âpre: certains, comme l’institut Feskov, en Ukraine, affichent »le meilleur rapport qualité/prix », incluant. L’assurance-vie de la mère porteuse. (…) Un tarif Low-cost est proposé à condition de s’inscrire dans de brefs délais :28.000 euros pour un « pack »(…) C’est n’est qu’un exemple. Il y en a des pires.
Nombre de documentaires montrent que les « mères porteuses » ont aussi leur stratégie de survie. On les convainc, et elles se convainquent, qu’elles ne sont pas vraiment enceintes. « Ce n’est pas ma grossesse »; dit l’une d’elles, « c’est celle des futurs parents ».
Une Ukrainienne dit d’elle-même : « je suis un simple incubateur ». Une autre qui vient d’accoucher et de remettre l’enfant à ses commanditaires, éclate brusquement en sanglots et explique : « Moi, je sais pourquoi je fait ce choix, mais mon corps, lui, n’a pas compris ».`
L’homme Désincarné.
Sylviane AGASINSKI
Pp. 11-12
Chers Lecteurs,
QU’IL SOIT CLAIR, CETTE INVASION MÉRITE UNE NOUVELLE SÉMANTIQUE, TOUT D’ABORD CES RÉFUGIÉES NE SONT PAS DES FEMMES, ENSUITE ELLES NE SONT PAS NON PLUS MÈRES.
Et, POUR NOMMER LES CHOSES COMME IL SE DOIT, ELLES NE SONT QUE DES MONSTRES.
IL FAUT LEUR INTERDIRE DE VENIR ACCOUCHER CES MONTRES EN FRANCE ET CE COMMERCE INDIGNE AUSSI GRAVE QUE LE TRAFIC DE DROGUE DOIT PRENDRE FIN PAR UNE LOI.
Qu’elles restent avec leur Clown YouTube en Ukraine, la France n’est pas la poubelle mondiale où elles ont la volonté de continuer à transformer en dépotoir !
Hier soir, en parcourant les chaînes, je tombe sur un reportage sur la vie difficile des
« sages-femmes », elles commencent avec un salaire minime, quelques euros de plus qu’un Smic, 1600€ pour un travail qui leur exige une disponibilité totale et en milieu de carrière finissent en burn-out.
Oh scandale ! Tout ce qu’on a dû regarder.
À l’accueil, où elles doivent inscrire les entrées, un cas d’une ukrainienne à peine arrivée comme « réfugiée », qui ne parle pas un seul mot de français, arrive aux urgences, et cette « femme-monstre » provoque une série de problèmes aux médecins pour la prise en charge, alors le personnel s’affaire très vite afin d’étudier la possibilité de contacter « son compagnon », la télévision filme toute la conversation, il y avait quatre intervenantes dans la salle, sages-femme, médecin, et les infirmières, la conversation se déroule en « crescendo » elles ne comprenaient rien, et cette tragicomédie devenait de plus en plus terrible à entendre, le regard que s’échangeaient les infirmières disait long sur cette nouvelle donne.
Elle demande au « monsieur » de se rendre très vite aux urgences de la maternité car « sa femme » ne parle pas français et elle se voient empêchées de lui prodiguer les soins, alors il répond qu’il ne parle pas un seul mot d’ukrainien.
La surprise du personnel ne fait que commencer.
Lui ne parle pas l’ukrainien et elle, ne parle pas un mot de français.
La sage-femme insiste pour qu’il vienne à l’hôpital, il se refuse parce qu’il se trouve à Bordeaux !
L’hôpital est à Nancy !
Et, vous laissez-seule « votre femme » qui va accoucher ?
Non, répond-il, elle n’est pas ma femme, je suis le père de son enfant !
Bon, répond la sage-femme, « venez voir votre « compagne »,
Non réplique encore ce type, elle n’est pas « ma compagne » elle a son mari en Ukraine, elle est mère de trois enfants »
!!!!!!
C’est à ce moment du dialogue affolant que le personnel vient de tomber des nues et comprend qu’elles sont devant un exemplaire monstrueux de l’UKRAINE NAZI : UNE MÈRE PORTEUSE « en toute sa splendeur de la GPA autorisée en Ukraine et qui vient se faire soigner dans notre France solidaire, libre et fraternelle, mais souffrant des déficits financiers abyssaux avec une Sécurité sociale que selon les politicards se trouve en banque route par la faute DES FRANÇAIS !
Le surplus de l’ignominie de ce type se produit quand il dit au personnel de lui interdire la sortie, alors l’infirmière lui répond :
« Monsieur, ici, nous sommes dans un hôpital en France, les hôpitaux ne sont pas de prisons, si elle veut partir et signe une décharge, nous ne pouvons pas le lui interdire de partir »
La suite, le reportage ne nous l’a pas montrée. C’est sans importance, parce que nous savons déjà le coût de ce commerce, comme minimum 15.000€, sans compter les frais supplémentaires.
La gravité de cette arrivée des réfugiées-monstres, c’est que la France se transforme en complice de cette monstruosité, mais quel culot de ces femmes qui arrivent s’installer avec cette insolence pour se faire soigner comme si elles étaient chez elles !
Aucune loi n’existe qui leur interdise l’entrée, ici tout le monde arrive comme dans un moulin, tandis que les sages-femmes sont payées par de salaires de misère.elle continuent nous envahir, cette invasion de « mères porteuses » est bien plus grave que l’installation des oligarques milliardaires qui s’installent pour voler et diminuer les gains de nos agriculteurs, ils ont le monopole laitier, et des farines, leurs croissants salés, il paraît que ce commerce se développe avec l’aval du gouvernement.
Sachant que mes articles ne servent à rien, je continue, ce serait une complicité silencieuse, ne pas le crier et le publier.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA
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