CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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INCOMPETENCE TOTALE DU GOUVERNEMENT : LES RETRAITÉS MISÉRABLES ET LES PAUVRES DOIVENT ÊTRE PROTÉGÉS!

11 octobre, 2024 (11:20) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

INCOMPÉTENCE TOTALE

DU GOUVERNEMENT

« Tout le monde doit participer ».

MENSONGES DU GOUVERNEMENT CONCERNANT LA

SÉCURITÉ SOCIALE ET « LES FRAUDES ».

Chers Lecteurs,

Avez-vous entendu hier la Présidente du Conseil général de l’Île-de-France ?

La seule chose bien dite est qu’elle pense qu’il ne faut pas augmenter les impôts aux classes moyennes, puisque pour le reste, elle appuie le gouvernement, mais elle se met comme exemple de la bonne gérance donc nous devrions la considérer l’héroïne de l’épargne et de l’excellence de la gérance du budget de sa région.

Il est invraisemblable que ces fonctionnaires qui ont fait l’ENA , Sciences Po et qui occupent les postes de privilège soient aussi incompétents et qui aient mis la France dans le rang des pays les plus endettés et misérables, sauf que la misère c’est nous que la subissons par leur faute et, les effets sont pénibles au quotidien et maintenant dévergondés qu’ils sont, ils nous déplient un programme de redressement où son les plus pauvres qui devrons payer la dilapidation financière du pays.

Concernant la sécurité sociale, je vous demande de réfléchir sur « la fraude ».

C’est FAUX !

Nous avons tous une Carte vitale, vous savez qu’elle est personnalisée et qu’il est IMPOSSIBLE de frauder. Dès que vous vous rendez à une consultation votre Carte vitale passe en lecture et la télétransmission est inédite. Où vont-ils chercher la fraude ?

Si les « congés de maladie » sont appelés fraude, cela exige une étude qui ne nous concerne point. C’est un dérèglement à régulariser en interne entre la CPAM et les médecins qui réclament ne pas céder à une inspection, car cela compromet le « secret médical » en tout état de cause, ces « congés de maladie » récurrents ne peuvent pas provoquer un déficit de milliards.

LA CPAM.

Lois de la CMU : Frais dentaires et frais d’optique. Voici la vérité.

Vous savez aussi, que les mensonges des trois derniers ministres de la Santé ont été scandaleux et en 2018 j’ai dénoncé dans ce blog avec des exemples personnels, car j’étais moi-même concernée.

La ministre BUZYN et Monsieur Veran ont menti face aux caméras, nous annonçant que dorénavant les prothèses dentaires et lunettes seraient entièrement remboursés ; MENSONGE, à l’époque j’eus des factures exorbitantes de dentiste et d’opticien, ma CMU ne prenait RIEN en charge, ayant des ordonnances chères, mais totalement certifiées par des médecins, alors si la CPAM ne considère en rien les ordres médicaux et qu’elles sont passées à la trappe comme invalides par « les fonctionnaires » nous sommes dans une violation de nos droits médicaux et les médecins qui restent inactifs sans nous défendre, et deviennent complices du système, car ils se laissent outrager par les fonctionnaires de la CPAM qui ne respecte point les ordonnances délivrées et qui devraient protéger leurs patients.

J’ai dû payer et m’endetter en payant dentiste et opticien en plusieurs mensualités, ce qui a produit un état gravissime dans mon faible budget de retraité sans ressources.

Les lunettes ne sont pas remboursées c’est cela la vérité.

Les ministres critiquent les pauvres affiliés de force à la CMU, sachez que la CMU ne paie qu’une seule paire de lunettes à l’année, et si l’ordonnance est « SPÉCIALE » et si vous devez obligatoirement porter 4 paires de lunettes, vous n’aurez droit qu’à une seule paire et des verres non traités, c’est-à-dire vous sortez de chez votre opticien avec une monture fragile et des verres qui dépassent la monture, car sans droit à être amincis et vous regardez à travers le verre d’une vulgaire bouteille, ce qui du point de vue strictement médicale devrait être INTERDIT !

Si l’ordonnance dit : « la patiente ne supporte pas les verres progressifs » cela veut dire qu’il y a obligation médicale à fournir 2 paires de lunettes, pour voir de loin et une autre pour lire et écrire.

Si vous travaillez pendant des heures devant l’ordinateur, c’est prouvé médicalement, il vous faut obligatoirement des verres à la lumière bleue, traités et antireflets, alors que répondent les fonctionnaires de la CPAM ?

Je les cite :

« La CPAM ne va pas vous payer des montures de luxe madame, (je lui réponds que je n’ai pas demandé des montures de luxe, mais de respecter l’ordonnance qui dit 4 paires de verres traités, les plus chères sont les photochromiques, car je souffre de photophobie, la lumière m’aveugle quand je sors) vous n‘avez pas droit qu’à une seule paire par an, et avec des montures CMU, si vous n’êtes pas contente allez ailleurs ! C’est pire d’être aveugle ! »

Est-ce la réponse qu’une fonctionnaire de la CPAM doit donner à une personne qui subit une maladie oculaire ?

Personne souffrante ne doit supporter un insulte de la sorte en provenance d’un organisme d’utilité publique et le plus important pour la santé des Français 

On m’a dit de ne pas me montrer en exemple, que la France oblige à garder le « secret médical », mais il ne s’agit pas des maladies dites « honteuses » que d’avoir des ordonnances d’ophtalmologiste et des chirurgiens dentiste !!!!

Je leur réponds, il est la meilleure manière de combattre les injustices !

Parce que je suis en mesure avec mon exemple personnel de défendre d’autres qui se trouvent dans la même situation.

Le déficit de la Sécurité sociale excuse tout et si nous ne nous défendons haut et fort, nous serons encore plus fragilisés par ces injustices d’absence de remboursement!

Les gens se taisent et se cachent, moi je fais le contraire, je suis prête à fournir à un député toutes mes ordonnances NON-REMBOURSÉES et qui sont considérées par la CPAM des ordonnances « de confort ».

Puisque d’après leurs avis de fonctionnaires qui ne sont pas de médecins spécialistes, je suis « très spéciale » !

Les fonctionnaires de la CPAM m’ont répondu ceci, faite très attention, leur réponse à ma demande est introduite pas le fait qu’on me coupe la parole au téléphone et elle me dit cette phrase d’introduction :

 « Je vous arrête tout de suite ! »

« Madame, ces ordonnances sont des traitements dits « de confort », parce que

Vous n’êtes pas cardiaque

Vous n’avez pas de traitement pour le cholestérol.

Vous n’êtes pas diabétique.

Vous n’avez pas de traitement pour l’hypertension

Vous ne vous rendez pas aux hôpitaux pour des traitements,

donc vous n’êtes pas considérée « malade », alors ces ordonnances madame, c’est à vous de vous les payer ! »

Donc, avec cet état de situation et qu’une retraitée au « seuil de pauvreté » qui n’est pas « au seuil » mais une situation de franche MISÈRE pécuniaire, le Premier ministre va débourser encore plus les médicaments dits « de confort » ?

Je vous demande de réfléchir.

C’est scandaleux, les gens à la CMU et les retraités aux retraites misérables ne sont les « fraudeurs » qui signale sans cesse le gouvernement, il faut répliquer haut et fort, on en a marre d’être signalés en permanence comme les seuls « profiteurs » d’un système laxiste, quand nous sommes observés à la loupe et que nos ordonnances ne sont pas remboursées.

Il est évident que les personnes classées en graves maladies sont entièrement remboursées, mais heureusement que je ne suis pas classée en situation de maladie grave !

Nonobstant les handicaps moteurs qui exigent par exemple des chaussures qui dépassent 300 €, les problèmes délicats d’ordre visuel et les interventions dentaires, comportent tous, non des dépenses « de confort », mais des mesures qui vont remédier des défaillances physiques que, si elles ne sont pas traitées peuvent devenir des vraies maladies.

Pour ce qui est du dentaire.

La ministre Buzyn a menti, les prothèses ne sont pas gratuites, les seules gratuites sont faites en métal brut, la couleur métal rajoute un problème médical si l’on est allergique aux métaux et esthétique qui n’entre dans le barème CPAM que pour les dents de « sourire ».

Je me suis cassé une dent dès la racine, il y a eu nécessité d’une intervention chirurgicale et deux mois après, la pose d’un bridge en céramique! non-remoursé evinémment.

La sécurité sociale ne m’a rien remboursée et en plus, elle m’a refusé une demande d’aide financière postérieure, après avoir dépensé en bureautique, frais postaux, et une attente de deux mois, le fonctionnaire m’a dit que j’étais à la CMU et que « le panier gratuit » exigeait une pose de prothèse métallique !

Quelle femme accepterait une prothèse métallique ?

Il faut sanctionner ce gouvernement de pacotille qui fait s’endetter sans le moindre respect les affiliés misérables de la sécurité sociale et qu’en plus, il  nous fait payer la CMU en leur payant une mutuelle, car les seuls bénéficiaires qui bénéficient d’une CMU gratuite sont les personnes au RSA, je suis en « CMU avec participation financière » cela veut dire que je paie mensuellement ma mutuelle CPAM.

Si j’avais une mutuelle de santé externe, je devrais payer comme minimum 50 € mensuels à la mutuelle, mais elle n’a pas le droit de me payer ni de financer les frais optiques ni dentaires car la CPAM le lui interdit, alors à quoi bon se payer une mutuelle extérieure à la CPAM ?

C’est la raison pour laquelle les français pauvres décident de ne pas se soigner, or j’ai une éducation et une culture qui m’a enseigné que notre première dépense doit être la santé et l’alimentation de premier ordre, car l’alimentation comporte la conservation de la santé, ce que les gens n’ont pas encore intériorisé.

C’est ce respect que je mène dans mon choix de vie, donnant le privilège à mes « ordonnances de confort » et à mon alimentation sans produits bon marché, sans aucun féculent (dont les pauvres se gavent par mauvais choix et qu’ensuite deviennent obèses et très malades) que je ne prends pas de médicaments et que je ne suis pas malade et à mes 70 ans !

Avec mon handicap aux genoux me suffit !

Cela m’exige de me priver du reste et à vivre misérablement.

Voilà mon bilan politique qui m’oblige à mettre en lumière publiquement, en soulignant les défaillances graves de la CPAM à l‘aide de mon exemple personnel, dans l’espoir que d’autres retraités misérables comme moi ou pas, décident de se réunir pour protester des mesures de réduction de budget totalement abusives de ce gouvernement de pacotille qui fait subir encore plus de misère aux misérables.

Je laisse ouverte l’invitation à un député qui s’intéresse à mon cas particulier, pour s’en servir d’un exemple factuel d’une retraitée misérable qui a des ordonnances dites « de confort », et d’optique non-remboursées, dans le but de répliquer au gouvernement avec des preuves en l’espèce.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

L’ÉTERNEL DÉSEQUILIBRE

10 octobre, 2024 (13:13) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

ÉTERNEL DÉSÉQUILIBRE

Chers Lecteurs,

Le dilemme sera éternel, la culture est-elle le rempart contre la barbarie ?

Absolument faux.

Je suis de celles qui croient à l’éternel déséquilibre ne s’estompera jamais, ni les luttes sociales, ni la politique, ni aucune force humaine qui s’efforce pour rétablir la justice.

Un excellent reportage de la chaîne ARTE, comme d’habitude, vient de nous révéler les avancées des fouilles que continuent sans arrêt par les archéologues à Pompéi.

Des fresques ont été mises à jour, des peintures merveilleuses, qui sont prémonitoires d’un Piero della Francesca et des figures stylisées à la Botticelli.

Le raffinement esthétique le plus exquis, contraste avec une nouvelle découverte datant de l’année 2023, elle met en lumière une disposition architecturale des maisons, où les propriétaires fortunés, ont dessiné la disposition des chambres de telle sorte que les esclaves soient privés de lumière, des portes de sortie, aux fenêtres protégées de barrots, en faisant le pain jour et nuit pour ses patrons. La servitude la plus abjecte produite par des citoyens fortunés, cultivés et d’un raffinement incontestable.

Si nous faisons l’analyse non de l’an 79 de notre ère, mais de notre époque, nous pouvons affirmer sans conteste que la situation a très peu évoluée.

George Steiner fait la remarque, les plus féroces des nazis, tuaient le jour, pour jouer Mozart la nuit, cette ambivalence entre la culture et la barbarie ne laisse aucune possibilité d’espoir, ni parmi les programmes les plus ambitieux qui croient que l’école et l’application « des valeurs de la république », ordonnées de force, changeront la « nature humaine ». Rien de plus ridicule, parce que l’école n’a d’autre mission que la spécifique de donner un savoir, savoir qui n’existe plus parce que les fonctionnaires de l’interdit le lui ont enlevée.

Je crois que la méchanceté est si encrée dans l’humain qu’aucun espoir ne peut se garder en l’enseignement afin qu’il puisse effacer le Mal.

C’est une grave erreur que d’être si idéaliste et rêveuse, mais nous acceptons que cette pensée si pure et louable, je donne comme exemple celle de Jacqueline de Romilly qui croyait que la connaissance était le seul rempart contre la barbarie.

Il vaut mieux rester plus que prudent, et se ranger parmi les lucides que sans baisser la garde, sans cesser de créer, savent que l’histoire nous a donné des exemples terrifiants pour que nous osions affirmer que ni l’art le plus raffiné ni l’éducation la plus adroite ne pourront jamais être un rempart contre la barbarie.

Nous restons émerveillés des découvertes de ces archéologues qui triomphent dans leur acharnement qui a produit des avancées indéniables qui nous éclairent et qui font avancer l’histoire de l’humanité.

Mais, cette histoire de l’art, reste éternelle dans les musées, les archives et les bibliothèques.

Je ne crois pas que la connaissance et l’Art nous protègent contre rien

Parce que la mission de l’Art n’est pas celle qui a été créée artificiellement par les ministres et les fonctionnaires.

La devise de Malraux est la seule qui vaille :

« L’Art est la présence dans la vie de ce qui devrait appartenir à la mort ; le musée est le seul lieu du monde qui échappe à la mort ».

André Malraux

Les voix du silence

(1956)

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LE MENDIANT PLEURNICHEUR ARRIVE EN FRANCE OUVRIR LE COFFRE-FORT !

10 octobre, 2024 (10:19) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LE MENDIANT PLEURNICHEUR

ARRIVE EN FRANCE

Il pense que la France est un bureau CCAS et

L’Élysée son coffre-fort à sa disposition pour son

« Indépendance existentielle ».

Chers Lecteurs,

« Le Mendiant Pleurnicheur » arrive en France cet après-midi, reçu par le gouvernement que nous n’avons pas choisi, tout comme nous n’avons pas été consultés pour que la France lui donne des armes, de l’argent que la France n’en a pas et la formation balistique qu’elle leur offre dans un lieu secret, se liant comme le premier pays européen activement belligérant suivant les USA bien entendu !

À ma connaissance, seuls trois pays se refusent à cette participation active, la Suisse, l’Irlande et l’Autriche.

Mes amis russes doivent savoir, que le fait d’être Française, en peut nous faire des ennemis de la Russie et adhérents à ce gouvernement nazi de l’Ukraine.

Cette question est de la plus haute importance, tout particulièrement pour la vieille « immigrée » naturalisée française que je suis.

D’une part, la France en inscrivant ad vitam æternam le lieu de naissance sur notre carte d’identité française, elle nous stigmatise pour n’être considérée que comme « française de papier » et d’autre part, les décisions politiques de la France, ne nous concernent point, alors, je prie à mes amis Russes de m’épargner une telle indigne adhésion où je me trouve totalement exempte.

Ce individu que je nommais « le président YouTube » , je le nomme à présent « Le Pleurnicheur Mendiant » qui croit que nous nageons dans l’abondance, quand la France a été mise au pied du mur et en faillite, et se permet de repartir de l’argent qu’elle n’en a point ceci du point de vue uniquement financier, parce que du point de vue moral, elle a perdu tout crédit en finançant le Pleurnicheur.

Moi, méprisée par la France, je me trouve inscrite jusqu’à ma mort, (à moins qu’il m’arrive un miracle) dans le lot des « retraités misérables » et non « au seuil de pauvreté », dénomination trompeuse, car le substantif « LE SEUIL » dit le contraire, le fait de ne pas être encore y être…

Ceci dit, je vous prie de bien vouloir m’exclure de cette farce et de tous les honneurs qui se préparent cet après-midi pour accueillir ce fantoche.

Merci, à mes amis russes de prendre ma déclaration au sérieux.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

 

 

 

 

 

MA LETTRE A LA PIANISTE VALENTINA LISITSA

9 octobre, 2024 (14:04) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

La pianiste Valentina Lisitsa joue dans les ruines de Marioupol, «libérée» par les Russes

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Valentina Lisitsa à Marioupol, le 9 mai 2022. Révélée en 2007 grâce à YouTube, la pianiste est une fervente partisane des républiques séparatistes du Donbass.

Valentina Lisitsa à Marioupol, le 9 mai 2022. Révélée en 2007 grâce à YouTube, la pianiste est une fervente partisane des républiques séparatistes du Donbass. Capture d’écran Twitter/ivan_8848

L’Ukrainienne pro-Poutine s’est produite dans la ville occupée à l’occasion des célébrations du 9 mai, en interprétant pour les habitants «délivrés» des airs du répertoire soviétique.

 

Venise : Une pianiste pro russe voit ses concerts annulés, et obtient de nombreux soutiens sur Twitter

 

Par Philippe Gault


Publié le 28/12/2022 à 16:36 | Modifié le 28/12/2022 à 18:37

Confrontée à une levée de boucliers sur les réseaux sociaux, la direction du Teatro La Fenice de Venise a décidé d’annuler les récitals que devait donner Valentina Lisitsa en avril prochain. Critiquée pour ses prises de position en faveur de la politique du Kremlin, la pianiste ukrainienne estime qu’elle ne mérite pas ce traitement et bénéficie de nombreux soutiens sur Twitter.

Valentina Lisitsa a provoqué l’indignation lorsqu’elle a joué à Marioupol occupée par l’armée russe

En mai dernier le concert improvisé de Valentina Lisitsa au cœur de la ville de Marioupol occupée par l’armée russe avait provoqué l’indignation. La pianiste ukrainienne y avait interprété des airs russes en soutien à l’intervention en Ukraine. La semaine précédente, elle avait déjà donné un récital à Moscou en mémoire des victimes pro-russes tuées lors des affrontements d’Odessa en mai 2014. Ces prise de position assumées lui ont déjà coûté certains engagements auprès d’institutions qui ont préféré la déprogrammer, comme ce fut le cas à Toronto l’an dernier.

 

 

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Ma lettre à la pianiste VALENTINA LISITSA,

 

Madame,

Enfin, j’ai pu obtenir un peu de connexion et j’ai trouvé cet article et la vidéo.

Je sais que vous avez un compte Twitter, mais je ne peux pas vous suivre, j’ai été radiée par la censure française quand l’année dernière, quand le massacre contre Gaza commença, j’ai écrit qu’on devrait fusiller sans tarder ces criminels, car l’invasion de vengeance aussi meurtrière que le pogrom, meurtrière nous apporterai des conséquences terribles.

Je ne peux donc, pas savoir ce que vous dites actuellement.

Vous êtes comblée des lecteurs qui vous suivent, ma participation n’est qu’une de plus, mais ils ne sont jamais de trop les mots d’admiration et d’encouragement que nous avons le devoir d’exprimer personnellement à une artiste.

Je suis née des parents artistes tous les deux, et je suis artiste moi-même, c’est pourquoi je vous comprends et je suis indignée par les attaques mesquines et lâches que vous avez reçu des pays occidentaux, pervertis et prostitués par leurs intérêts et compromissions mafieuses, quand bien même je sais qu’il est une situation douloureuse pour une artiste, attrapée par l’excès de sensibilité qui amplifie toute situation adverse, et quand bien même ce qu’ils vous imposent est douloureux, que de se voir interdite de se produire de par le monde, le mépris que vous leur devez est de rigueur. Pratiquez-le avec force et une conviction profonde, il vous donnera des forces supplémentaires.

Vous avez tout mon soutien politique et toute mon admiration pour votre art de pianiste.

Il vaut mieux une riode de silence et de retrait que de rester sous le couvercle méprisant des prostitués de l’Art qui dès leur position de pouvoir s’octroient tous les droits en étant pas eux-mêmes des artistes, et ne vivre que de simples recruteurs et fonctionnaires.

Venise n‘est plus rien maintenant, il n’y a pas de pays au monde qui défende l’art sans compromissions.

Je vous félicite de vivre en Russie.

Si je pouvais m’enlever une trentaine d’années, je ferai ma valise et sans la moindre hésitation, sans douter même pas pour une seconde j’irai me réfugier en Russie.

Votre mari fait le taxi ? Très bien. Il vaut mieux faire le taxi que vivre menotté.

Tout travail quel qu’il soit rend l’honneur à un homme ou à une femme ; le seul déshonneur est la soumission.

Votre talent Madame est un trésor, personne ne pourra vous le détruire, vous et votre mari, avec votre fils, vous verrez des jours meilleurs, car la Russie gagnera et cette période sombre s’estompera.

Je vous souhaite le meilleur.

Entre-temps, ici, dès mon terrier kafkaïen, je vous écoute.

Le piano de ma mère est présent à tout moment et vous m’aidez à le faire renaître, tout particulièrement avec les sonates de Beethoven.

Merci de tout cœur.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

P. S. : toute ma famille maternelle était de Kiev, de l’Ukraine russe, éternellement russe et elle le restera !

LA VERDAD SOBRE LA EXPOLIACIÓN DE LA OBRA DEL PINTOR HERNÁN GAZMURI

7 octobre, 2024 (11:29) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

AUTORRETRATO

OBRA ROBADA  A LA VIUDA DEL PINTOR POR EL MUSEO DE CHILE

 

CLARA – OBRA OBJETO DE VENTA FRAUDULENTA

 

LA VERDAD SOBRE LA EXPOLIACIÓN

DE LOS CUADROS DEL PINTOR HERNÁN GAZMURI

POR LOS MUSEOS CHILENOS

MIENTRAS SE VENDEN AHORA ES SUBASTAS

 YO VIVO EN LA MISERIA

 

 

Nadie se ocupa de crímenes individuales.

La gente toma partido y se emociona unicamente por los crímenes de multitudes.

Este es une fenómeno mundial.

Yo comprendí que no podía espera nada , ni del que fue mi país natal, ni de mi país de adopción, Francia.

La cobardía, los intereses creados son el principal motivo, pero se agrega una indiferencia monstruosa, una buen parte de sadismo poco importa la clase social, y el optar por el desprecio resuelve el problema de sus escondidos complejos, todos los tienen, el dinero sus inmensas fortunas no logran apaciguar sus miedos. Sí, comprendí demasiado tarde que nada podía esperar de abogados miserables y traidores, fue así como cuando quise defender a mi madre de la expoliación de toda la herencia pictórica que le dejó mi padre, el pintor Hernán GAZMURI, me puse en primera fila buscando un abogado que pudiese defendernos y recuperar todos los cuadros que mi padre le dejó enteramente a mi madre y a mí, naturalmente, porque le formó como pintora en su taller. Pocos son los que conocen la convención de Berne, solo los abogados especializados en leyes internacionales que corresponden a obras de artistas. Toda la producción sea esta pictórica, literaria, musical o de otro género pasa legalmente a su esposa legítima y solo luego de su fallecimiento, si hay descendencia se reparten bajo notario. Todo esto está muy bien, solo que para comenzar a luchar en un juicio hay que conocer a fondo vartios elementos jurídicos, primero la biografía y trayectoria del artista en su país natal, su verdadera estética, que no es automáticamente la de su nacionalidad, sino la del país que lo formó, y ese abogado debe saber cual fue y en detalle la vida que llevó el artista fallecido en su país natal. En cuanto al aspecto puramente jurídico, los cuadros del pintor GAZMURI pertenecían a mi madre en su totalidad.

Yo tengo en mi poder el TESTAMENTO OLÓGRAFO de mi padre.

Este fue el único documento que no legué al Museo de Moscú, porque lo necesito hasta mi muerte para estudiar toda eventualidad, ustedes saben que yo no soy de las que pierde la esperanza, yo creo siempre en que puede haber una sola persona de valor en este mundo que me lea y que me escuche.

Seré breve, porque este capitulo lo desarrollo en extenso en el libro dedicado al pintor Hernán Gazmuri y que voy a reeditar prontamente. Es el dinero el que me falta, porque la mitad de mi libro contiene las fotos de los cuadros robados a mi madre, y el costo de la impresión de un libro de arte es carísimo par mi jubilación de 1000 €, aunque siga privándome de lo esencial.

Comencemos del principio.

A la muerte de mi padre, decidimos con mamá hacer un don cultural a Francia, de la obra capital del pintor Gazmuri, el Homenaje a ANDRÉ LOTHE y EL DESNUDO AMARILLO.

LA DONATION GAZMURI – SERVICES ÉMINENTS RENDUS A LA FRANCE PAR SA VEUVE CLARA CHERNIAK-GAZMURI

MUSEE D’ART MODERNE DE LA VILLE DE PARIS

Esto me llevó un año de trámites hasta que logré dos ayudas, sola no habría logrado nada, esta ayuda se dividió en el orden estético y en el orden administrativo.

El Académico René HUYGHE que apreciaba el valor del pintor Hernán Gazmuri, porque lo había conocido en su viaje a Chile en 1943, lo calificó de “pionnier de l’Art Moderne”, fue así como cuando lo visité aquí en Piras y le conté mi historia, René Huyghe decidió inmediatamente apoyar mi empresa artística, y escribió al Museo de Arte Moderno de la ciudad de París.

René Huyghe recomendó al Museo de Arte Moderno de la ciudad de París, de acoger la “Donation Gazmuri”, porque gracias a ella, “la France complète ses Collections de l’Ecole de Paris”. La Donation Hernán Gazmuri fue expuesta al lado de su maestro André LHOTE y todos los pintores de l’Ecole de Paris” en 1983, junto a una vitrina que exponía todos los documentos que ahora es de la propiedad exclusiva del Museo de Moscú porque yo se los legué en 2017.

Fue gracias al Académico René Huyghe que Hernán Gazmuri esta ahora en el Patrimonio de Francia.

Fue él el que aconsejó al Museo de arte Moderno de la ciudad de París , donde se encuentran todos los cuadros de su maestro LHOTE y todas las obras de los pintores de la ÉCOLE DE PARIS, escuela la que estéticamente pertenece el pintor Gazmuri porque fue discípulo de André Lhote y se formó en su taller cuando el pintor Gazmuri vino a París precisamente para formarse en su taller libre.

La segunad parte de mi dificil mision artisitica Como la calificó René Huyghe, tuve que obtener la ayuda administrativa, fue asi como con una tarhjeta de recomendación llegué ante el gran historiador Claude Manderon y entre por la gran puerta del Palcio del Eliseo y me presenté” con moiu carpeta ante Claude Manceron. Le provoqué admiracion porque al leer mi curriculum vitae que no estaba aun lleno de mis vida en Francia me dijo: “Ah, on n’a pas perdu notre temps! Vous allez avoir une très belle vie à Paris,croyez moi, je suis voyant avec ma barbe” . Manceron tenía un gran sentido del humor, ¿qué diría al verme hoy, despreciada y en la miseria por la obra del sadismo de toda la administración francesa?Fue gracias a Claude Manceron que la donacion Gazmuri, pudo llegar a Francia y acogida por fin en el Museo para la eternid

Una vez la donación hecha, la oficialidad chilena lo supo, y todos aquellos que despreciaron a mi padre por celos y sadismo se pusieron en marcha para saquear y despojar a mi madre de toda su herencia dejándola en la miseria junto a mi, por supuesto.

Lo que nadie sabe es que mi madre obtuvo un documento legal de su abogada en Santiago, este documento yo se lo confié al museo de arte Moderno de París, este dice que la donación hecha por la viuda del pintor pertenece unicamente al Museo de París y que no debe haber venta posteriori ni enajenación.

Esto concluido, mi madre recibió en mi nombre, todos los documentos oficiales del Museo de arte Moderno de París y del Ministerio de la cultura que atestiguan que la viuda a rendido Servicios Eminentes a Francia y que el pintor Hernán Gazmuri pertenece estéticamente a l’ÉCOLE DE PARIS.

Esto reafirmó los bajos instintos de toda la oficialidad chilena que aunque despojada de la dictadura persiste igual que antes, de la época en que Gazmuri estaba vivo y trabajando, y que debió soportar virilmente y estoicamente sus ataques y desprecio gratuitos motivados únicamente por sus complejos de inferioridad.

Este desprecio unánime fue durante toda su vida una paradoja intelectual, porque mi padre recibió los mas fervientes homenajes de la Universidad y de todos sus alumnos. Hernán GAZMURI no vivió de su pintura, no vendió más de tres cuadros en toda su vida, su único recurso de sobrevivencia fueros sus tres cátedras universitarias y por haber fundado en 1942 el “Instituto Pedagógico Técnico” unido a la U.T.E., la Universidad Técnica del Estado donde aparte de sus tres cátedras: Historia del Arte, dibujo y pintura, fue el Director del Departamento de Artes Plásticas reelegido durante toda su docencia que se extendió entre 1942 y 1972 fecha en que Hernán Gazmuri obtuvo su jubilación, a sus 72 años. Vivimos a su costa, fuimos protegidas por mi padre. Su único recurso de sobrevivencia fue el haber sido Profesor universitario. El mismo decía :”toda mi vida no he pintado mas que con una mano, he debido ganarme la vida”

Esto aclarado, lo que se debe saber por el mundo entero es que mi madre cometió el error de confiar todos los cuadros del pintor GAZMURI a una persona, de cuidar su herencia y dejarla al resguardo de las pirañas del gobierno chileno, el cargo era el de una albacea, aunque sin documentos, debía encargarse de protegeros por un tiempo indefinido esperando que yo ganase aquí en París un lugar seguro, producto de mi trabajo para hacerlos venir.

El pintor Hernán Gazmuri fue desapreciado toda su vida en Chile.

Pero cuando el gobierno chileno supo que Hernán Gazmuri había entrado al Patrimonio de Francia, lo integraron apurados en el patrimonio chileno.

Hay que ser sádicos, malvado y culebras Cobra para darle la ultima estocada post mortem atacando a su viuda y despojándola así de su herencia.

El error de mi madre, que era de una bondad e inocencia que la perdieron toda su vida, fue el confiarle la custodia de su herencia pictórica a un monstruo que la traicionó.

¡Fue así como este monstruo vendió por sumas ridículas todos los cuadros que pertenecían a mi madre a los museos chilenos y a ciertos particulares!

Mi madre quedo agobiada y desesperada.

Su clarividencia se despertó demasiado tarde.

Mi madre no escuchó mis consejos, yo no tengo nada de inocente ni de bondadosa, a veces me dejo llevar por la confianza, es cierto, pero tomo mis precauciones, en todo caso, en ese monstruo que yo conocía por haberme perseguido toda su vida por celos y maldad gratuitas, yo sabia lo que ocurriría mi padre muerto. Nadie se hubiese atrevido a robarle a mi madre o a él mientras vivía.

Robarle a un muerto es el crimen mas nauseabundo y reprobable que puede existir.

En Chile hicieron une RETROSPECTIVA, mientras aquí con mi madre vivíamos en la miseria de mis puestos precarios de profesora de español contractura, viviendo en HLM, y yo, asegurándole la sobrevivencia con dificultades terribles.

Traté de confiarle mi carpeta de la expoliación de los cuadros de mi padre a dos abogados, el primero no trabajó nada seriamente, lo único que logró fue que en se reconociese que los museos chilenos no tenían derecho a robarle a mi madre CLARA la viuda del pintor Hernán Gazmuri sus derechos de autor y que debían, retirar por ley, las imágenes de Internet.

No obtuvo ningun pago por perjuicio que le otorgaba a mi madre plenos derechos en toda justicia. Pero se vanaglorió de que apareciese publicado en Legalis.net. Y ¿qué ganaba la viuda del pintor Gazmuri con eso?

Fue ridículo.

Su principal error por ignorancia flagrante de juicios internacionales de obras de arte, fue que no sabia que no existe ni prescripción ni ley nacional que impida a Francia el intervenir en favor de la ciudadana chilena que ra mi madre y de la francesa que era yo desde el ano 1989, porque la ley Internacional de la Convención de Berne es internacional la familia puede vivir en la luna o en el planeta Marte y deben recibir igualmente la herencia que les pertenece en total justicia, ¡no es una ley territorial!

El segundo abogado, que goza de una notoriedad mediática, aceptó coger la carpeta, pero me exigió pagarle, no teniendo nada, y él no iba a trabajar con la ayuda jurídica, no, él no iba a “rebajarse” a un tal pago, yo calculando que si ganaba el juicio internacional ya sea recuperando todos los cuadros del pintor Hernán Gazmuri o bien las sumas reales del patrimonio del verdadero valo de todo su taller que pertenecía por ley a mi madre y estipulado en su TESTAMENTO OLÓGRAFO, mi madre aceptó de darle en calidad de “donación” dos cuadros de pequeño formato que mi madre haba traído consigo como bien de recuerdo. Al final este abogado de gran renombre tampoco hizo nada y me devolvió la carpeta. Allí esta en los mismos sobres, intacta, desde el anos 2005.

La viuda del pintor Hernán Gazmuri, luego de haber rendido Servicios eminentes a Francia con su donación, fue despojada de toda su herencia por el saqueo de Chile, y para terminar torturada y asesinada en París por el médico asesino y traidor con sus tres amigotes cómplices, el 18 de octubre de 2013, luego de ocho días de agonía provocada por una necrosis indecible, sin sedantes.

La viuda del pintor Hernán Gazmuri fue una víctima toda su vida.

Yo ensayé con toda las fuerzas de que dispuse de darle una vida tranquila y que nada le faltase, yo traté con un amor sin límites de ahorrarle nuevas ofensas y ataques, pero no pude salvarla del asesinato de ese monstruo.

Los cuadros de Hernán Gazmuri se venden en subastas.

Y, yo estoy aquí, sufriendo la miseria de profesora jubilada habiendo sido una de las primeras alumnas en la Universidad que fundo mi padre.

En eso también el gobierno chileno nos atacó, fueron tan miserables que borraron al Profesor Hernán GAZMURI de los anales de la Universidad, pero yo tengo todos los documentos del año 1942 que lo prueban, y el currículum vitae manuscrito del Profesor Hernan Gazmuri.

El día en que un investigador quiera hacer un verdadero trabajo deberá obligatoriamente basarse en MI LIBRO y no en los datos erróneos de la oficialidad chilena.

Hace años, recibimos mi madre y yo en casa una persona que quería escribir sobre el pintor Hernán Gazmuri, nos contó que había visitado la oficina del conservador, a su gran sorpresa descubrió que este tipo despreciable se había apropiado del AUTORRETRATO del pintor Gazmuri, y que ahora “decoraba” su oficina!

Yo me quedé estupefacta, mi madre llorando.

Este tipo es recibido aquí en parís con todos los honores? da conferencias y es un LADRÓN DE PRIMERA LÍNEA, UN VULGAR MAFIOSO QUE NOS ROBÓ.

Este “conservador” aprovechaba el “AUTORRETRATO” del pintor Gazmuri para “decorar”su oficina.

Alguien ha pensado lo que haría el pintor HernáN Gazmuri al ver que aún post mortem, Chile lo ha vejado con esta nueva ignominia?

Si yo tuviese dinero atacaría Chile judicialmente para recuperar lo que me pertenece.

Mi padreo no trabajó toda su vida para legar a ese país que lo persiguió toda su vida.

Mi padre le dejó su herencia a mi madre.

Mi padre no habría soportado el verme ahora, ya vieja, despojada y viviendo miserablemente.

Lo han despreciado, humillado, sabiendo que él no cediera jamás.

Una vez muerto atacaron a su viuda y luego a su hija yo soy la unica discipula que dejo siguiendo la teoría de l’Ecole de Paris.

Esos sódicos y ladrones encontraron el terreno propicio para el crimen, dos mujeres solas sin dinero y sin familia.

No contentos con este robo, cuando hice los tramites para que se me pagase la pensión de la jubilación de mi padre, en retroactivo, ya que por ser solera, la ley chilena otorga a la hija del Profesor el recibir la jubilación en su nombre.

La Caja de Empleados Públicos, gracias a las maniobras secretas de alguien que me odia, me la negaron, contra la ley.

El Director de la Caja de empleados Públicos se defendió diciendo que “la ley chilena había cambiado”. Eso es une falsedad absoluta, porque la ley chilena concerniente a las jubilaciones y al traspaso a sus descendientes sigue intacta. No pude seguir luchando con tentativas de juicios internacionales, porque en Francia no existe ningún, pero ningún abogado honesto que defienda “la viuda y la huérfana.”

El gremio de los abogados es uno de los mas viciados y peligroso que hay en Francia poniendo en primera línea a los médicos, de los abogados una puede salvarse, dejando los ataques sin contestación, pero es difícil escaparse del gremio de los médicos, ya que necesitamos controlarnos.

El asesinato de mi madre me obligó a tener un cuidado extremo antes de visitar un gabinete de médico.

Antes de cerrar este articulo.

Sepan que la viuda del pintor Hernán Gazmuri, CLARA, fue despreciada y robada gracias al monstruo que la traicionó vendiendo su herencia pictorica que le legó su marido.

La única motivación fue el odio a mi persona por celos y sadismo, fue el principal motor que la condujo a semejante crimen. La única perjudicada fue mi madre. Y, para colmo, cuando más necesitaba una ayuda médica, ese médico traidor le mego los cuidados, para hacer la sufrir y matarla.

Yo pienso sin cesar de qué manera vengar su asesinato y todos su sufrimientos…

Sigo pensando.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

SOTTO VOCE…7 DE OCTUBRE 2023 -18 DE OCTUBRE 2013 – EL ASESINATO DE MI MADRE-MEMORIAS

6 octobre, 2024 (14:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

(2013, juste avant le crime)

SOTTO VOCE

MEMORIAS : mi vida literaturizada de Chile a Francia.

Ellos tienen su 7 Octubre, yo tengo mi mes de Octubre, todo comenzó una semana antes del 18 de Octubre del 2013, cuando mamá de regreso de nuestro paseo de la tarde, se despertó a las dos de la mañana víctima de un infarto.

El médico traidor le rechazó los cuidados de urgencia para torturarla y hacerla morir, con circunstancias agravadas por la intencionalidad manifiesta.

Yo tengo mi mes de Octubre el más fatídico de toda mi existencia.

No se mata solamente con un tiro de pistola a boca de jarro, o con un escalpelo, el asesinato de un médico del que no será jamás culpable, se produce cuando le rechaza los cuidados a su paciente. Aquí en Francia, aunque exista el testigo ocular, no es tomado en cuenta.

Cuando yo era joven, tuve un compañero de treinta años mayor que yo, era una eminencia intelectual, escritor y un profesor eminente elogiado por todos; encontré en él una fusión intelectual de primer orden. El diálogo del más alto nivel se apagó para siempre con la muerte de mi padre, pude renovarlo en otro registro, y me sentía colmada, en un diálogo “Yo-Tu”, siendo la compañera de este intelectual quien fue también mi colega en un liceo de París. Compartíamos nuestros alumnos y asistíamos a los mismos consejos de clase, aburridos a morir.

Él enseñaba la filosofía, yo el español.

Nos reíamos de la ficha del Inspector que le puso un 19/20; no podía ese imbécil darle un 20/20, tenía que demostrar su superioridad administrativa en todo lo que le faltaba en cultura, el informe decía:”Professeur d’une culture vaste et étendue”.

Por lo menos le reconoció medianamente sus facultades. Era un verdadero intelectual, bien lejos de ser uno de esos grisáceos repetidores, de la filosofía de Wikipedia, profesorcillos mediocres de tercera categoría; yo no iba a ligarme en amistades peligrosas con cualquiera… Digo en recuerdo de “Les liaisons dangereuses” por varios motivos que no contaré jamás.

Este recuerdo nace hoy que « ellos » se dicen de duelo, por el pogrom del 7 de Octubre.

Yo tengo mi 18 de Octubre, fecha de la muerte de mamá, luego de una agonía de ocho días, torturada con perfidia y sin ningún sedante. La tortura fue completa.

¿Porqué me acuerdo ?

Porque anoche tuve un sueño, no, no fue un “sueño”, fue una verdadera pesadilla, soñé con Mamá. Para abreviar, me vino una idea y el recuerdo de mi compañero que un día, en un café, conversado de esto y aquello se rió de mí y me dijo : “¡eres increíble, una mujer culta que me venga con historias de superstición ! ¡¿Estás segura de que te has dedicado a la cultura o a la agricultura?! Nos reímos a carcajadas, porque él, de un raciocinio del más alto nivel, no podía, sino que reírse cuando me escuchaba ciertas reflexiones existenciales cercanas o francamente de orden de la pura superstición.

Anoche tuve une pesadilla premonitoria, y no pude evitar el pensar en ¿por qué el mes de Octubre es siniestro?

Para el Pueblo Elegido el duelo por los padres no dura más que un año.

Yo no lo sabía. ¡Vaya con la ley!

Para la ley francesa, la persona en duelo deber volver a su trabajo al cabo de solo tres días de asueto legal.

La ley francesa obliga a volver al puesto de trabajo al cabo de tres días. Hay que trabajar, el duelo se termina luego de tres días. Esa es la religión laica.

Según ellos, al cabo de un año se debe olvidar. Hacer su duelo, es para mí una superchería, el fin del duelo por la madre o el padre no existe.

Mi duelo durará hasta más allá de mi muerte.

¿Por qué el 7 de Octubre ?

¿Por qué Mama fue torturada en Octubre?

Y, qué coincidencia, que ese terrorista disfrazado de médico ayudado luego por sus tres cómplices terminaron de matar a mamá, hasta que torturada por una agonía de ocho días, cuatro en casa y cuatro en el hospital, muere al fin sumida en una necrosis generalizada.

Ellos tienen su 7 de octubre… Yo tengo el mío, el 18 de Octubre.

Y luego, se me viene encima el mes de noviembre, porque mi padre murió el 19 de noviembre de 1979.

Una extraña coincidencia, me digo en SOTTO VOCE…

¿Qué diría hoy aquel que fue mi compañero?

Un día me dijo, no sabes como me habría gustado conocerlo, entonces yo le respondí, él habría estado feliz de conocerte, habríais sido excelentes amigos. Porque eran ambos librepensadores que no tenían ningún atajo en sus palabras escritas u orales.

No puedo saberlo porque murió.

Tendría tanto que contarle…

Mi superstición me dice en Sotto Voce lo que no puedo decir ni escribir.

A pesar de todo, sigo supersticiosa.

Precisamente porque hay algo encerrado en las fechas, eso nadie me lo quitará.

Ese monstruo que me torturó, mamá, mató ese mismo día a la humanidad entera, a todas las madres del planeta tierra; simbólicamente, ese monstruo y sus tres cómplices, recibió… Recibieron una respuesta.

[…]

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

RAPPORT POLITIQUE-LES POUVOIRS ILLIMITÉS DE L’ÉTAT- DU PARTICULIER VERS LUNIVERSEL

3 octobre, 2024 (17:56) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

POUVOIRS DE LA CAF – ALLOCATION APL

SURVEILLER ET PUNIR LES BAILLEURS SOCIAUX

LOI D’ATTRIBUTION DES HLM

« Ou bien… ou bien !

« Sans argent, sans sécurité économique, nous sommes livrés sans défense. Cela représente assurément un châtiment terrible : les tracas humiliants, l’esclavage des affaires médiocres, les vulgaires soucis nuit et jour, la dépendance par rapport aux gens les plus vils. Et nous ne sommes pas les seuls, tous ceux que nous aimons et dont nous responsables sont broyés avec nous dans les roues du quotidien.

Nous devenons l’objet de la bêtise et du sadisme ; des puissances dont nous n’avions aucune idée dans le bonheur prennent pouvoir sur nous et entraînent, avec notre vie, nos pensées elles-mêmes dans la misère et dans la fange.

CRÉPUSCULE

( P.52)

Max HORKHEIMER

Chers Lecteurs,

Cette superbe citation, je la dédie à VILOGIA et aux fonctionnaires qui m’ont laissée soumise dans l’injustice et la discrimination la plus complète depuis des années m’attribuant des HLM totalement inadaptés à mon cas particulier et à présent me laissant sans réponse pour une mutation à Paris vers une HLM adaptée à mon handicap. La monstruosité de leur immonde comportement, contraire à la loi existante, est la preuve que l’État est le premier complice de cette immondice administrative.

Il y a fort longtemps que je tenais à critiquer des lois qui doivent être révisées et qui demandent d’une part une modification et d’autre part une régulation et une vigilance accrues pour que les fonctionnaires d’État respectent la loi.

Il y a trois intervenants qui nécessitent une analyse et une clarification de leurs compétences et je propose un décret qui doit impérativement être édité et appliqué.

I. L’ÉTAT, LA CAF, LES BAILLEURS SOCIAUX.

1. L’État doit surveiller où vont les fonds qu’il octroie aux bailleurs sociaux pour l’entretien de leurs cités et de leurs immeubles. Les bailleurs sociaux, doivent respecter le contrat de location.

2. La CAF, organisme d’État appelé à rester un organisme payeur et non décideur, il a perdu tout le pouvoir dont il jouissait auparavant ; donc LA CAF doit le récupérer pour surveiller non seulement les mauvais payeurs, les locataires indélicats, mais pareillement les bailleurs sociaux qui abusent de leur pouvoir en violant la loi, ne respectant en rien le contrat de location qui a été signé par les deux parties, et la CAF doit récupérer son droit à être aussi un organisme non seulement payeur, mais également décideur dans la forme et en l’espèce ; veillant à la loi soit intégralement respectée, pour ce fait les contrôleurs doivent être les premiers actants dans ce dispositif qui existait et qui fonctionnait parfaitement auparavant, je parle d’il y a vingt-cinq ans auparavant, il y avait par le passé DES CONTRÔLEURS extrêmement compétents et très efficaces qui se déplaçaient à la demande d’un locataire qui était désabusé par un bailleur abusif, ou par une injustice administrative en provenance de la CAF elle-même, je l’ai vécu à deux reprises quand j’étais jeune, et que je louais une HLM et j’avais ma mère sous mon toit. Ledit Contrôleur de la CAF nous a rendu visite et de son propre chef, il a mis tout le dérèglement administratif en ordre, et il a remédié toutes les injustices.

À présent,les contrôleurs ne s’occupent que de contrôler les mauvais payeurs.

Bien faible responsabilité, puisque la fraude majeure est celle qui sort des bailleurs sociaux et quand on leur signale la fraude, la CAF pénalise l’allocataire et non le bailleur.

Un exemple ?

Si le bailleur social ne donne pas une HLM dans les normes de sécurité et de propretés exigées, la CAF ne verse pas l’APL de l’Allocataire au bailleur, et le locataire doit payer le loyer dans sa totalité, donc il subit deux pénalités, celle de vivre dans une HLM dégradée et qui n’est pas dans les normes, et la seconde, de se voir privé de l’abattement qui lui octroie son APL.

Ceci est une insupportable injustice administrative.

Si le bailleur ne donne pas une HLM dans les normes, la CAF doit intervenir en obligeant le bailleur à effectuer rapidement toutes les réparations et il doit s’investir, se rendant sur place pour vérifier. L’allocataire ne doit subir aucune pénalité et ne doit payer de son loyer complet que le reliquat qui lui incombe par loi.

La question du versement de l’APL suspendue jusqu’à ce que le bailleur de l’HLM dégradé et pas dans les normes doit affecter uniquement le bailleur. La double peine est ici une erreur juridique et judiciaire des plus injustes, si elle s’applique dans le fait.

Si j’avais une responsabilité politique je me consacrerais ipso facto a revenir sur l’ancienne loi qui octroyait des pouvoirs de contrôle szns pénalisation pour le locataire pauvre et qu’obligeait aux bailleurs sociaux à respecter la loi, ce sont eux qui perçoivent des sommes exorbitantes de l’État pour le bon fonctionnement de cette entreprise locative en faveur des pauvres, mais où va cet argent ?

RISQUE DE « MORT D’HOMME » (préjudice juridique inscrit dans le Code pénal) SI LES BAILLEURS NE RESPECTENT LA LOI ET NE RÉPARENT LES ASCENSEURS ET LA DÉGRADATION DANGEREUSE DE LEURS HLM .

Les bailleurs sociaux se permettent de laisser les habitants sans bénéficier de leurs ascenseurs pendant des longues périodes et ne réparent jamais les pièces délabrées parce que leur coût est selon leurs dires « trop onéreux » et se consacrent aux rafistolages successifs, j’en suis témoin, dans mon ancienne HLM parisien, il y avait l’ascenseur, la plupart du temps était en panne, le réparateur m’a dit un jour, au énième réparation, « vous savez madame ce qui se passe ? La pièce coûte 7 000 €, et le bailleur ne veut pas la changer, il nous oblige à faire du rafistolage successif, cela ne teindra qu’un ou deux mois », c’est pour quoi les réparations des ascenseurs sont récurrentes, jusqu’à ce qu’un jour, il n’est plus possible de continuer les rafistolages, alors les bailleurs s’excusent en disant que le partenaire ne trouve pas la pièce, ceci est un mensonge, ce sont eux qui gaspillent l’argent de l’État destiné à l’entretien des immeubles, et ils volent et détournent l’argent de l’État à leur propre profit.

Le mot d’ordre sera Contrôler.

« Surveiller et punir » leur sera facile aux contrôleurs, il leur suffira de voir des parties communes insalubres, et l’intérieur des appartements sans réparation quand ils sont totalement délabrés, c’est parce qu’il s’agit des constructions très anciennes qui exigent une mise en état par l’usure normale des années passées, ceci est une question qui ne mérite pas plus d’explications.

L’État ne contrôle jamais l’argent qu’il donne aux bailleurs escrocs.

Alors, nous sommes en droit d’exiger au gouvernement de prendre des mesures ; parce que s’il autorise ce détournement des fonds de l’État, il s’agit d’une escroquerie conjointe où le gouvernement en place se porte complice.

Nous sommes en droit d’exiger aux députés qui s’occupent de cette grave escroquerie qui doit prendre fin.

Je vais contribuer dès que je pourrai publier mon livre LOCATION ET CRIME et ils recevront mon livre gratuitement.

II. LA LOI QUI RÉGIT L’ATTRIBUTION DES HLM.

Les M2.

La France a des lois obsolètes, pour ce qi est de l’attribution des HLM ; elles font un rapport direct avec la composition des familles. Il est logique, c’est l’origine de la CAF et l’origine des HLM, composés des FAMILLES.

Deux facteurs sont y inscrits, les mètres sont en rapport direct avec le nombre des personnes qui vont occuper cette HLM.

* (Et je vous en prie, cessez de me corriger, HLM n’est pas masculin.

H= HABITATION, alors j’écris une HLM, CETTE HLM.

Il y a des années auparavant, une collègue professeur de français m’a corrigé et je n’ai plus jamais fait la faute ; je ne reviendrai pas sur cette question absurde).

J’ai toujours souffert de la discrimination d’être célibataire, affaire incroyable de ce pays qui se vante d’être d’avant-garde dans la matière, avant je me révoltais, si je me suis sauvée de vivre dans une cage, ce n’était que parce que j’avais maman à ma charge et toujours vivant sous mon toit, donc selon la loi française, j’étais considéré « chef de foyer avec personne à charge ».

C’est depuis le décès de mon père, que j’ai assumé entièrement ma mère qui était pianiste, donc sans aucune retraite. J’ai juré à mon père dans son lit de mort de prendre entièrement à ma charge maman. Cela allait de soi, il n’avait aucune demande à me faire, et je suis arrivée du Chili avec maman, et je me suis privée de tout pour lui donner le meilleur. Les barbelés et les restriction des M2 n’arrivèrent qu’après son décès.

Après son décès, j’ai vécu, j’ai survécu huit années dans une chambre HLM de 16 M2. C’est ce qui l’a forcée à venir à Poissy parce que j’ai 48 m² barème nationale qui correspond à un F2, mais qui le bailleur pour demander un loyer plus char a eu l’idée de diviser en 2 le salon avec un mur préfabriqué, laissant une chambrette de 9 m2 où il n’y a pas de radiateur, bien entendu, car c’est « le salon » divisé de force en deux.

C’est dans cette chambrette où je le redis, il n’y a pas de radiateur, preuve en l’espèce qu’il s’agit d’une seule chambre, le salon divisé en deux, où j’ai fait de la peinture et que j’ai transformée en « ATELIER ! »

J’ai accepté de venir à cette commune infernale chez un bailleur criminel pour avoir quelques m² qui me permettraient de peindre. Personne ne peut comprendre ce qui est pour un artiste peintre que de se voir interdit de peindre. C’est pareillement avec l’écriture, si je ne peux pas écrire je meurs.

J’écris et je peins toute la journée.

J’ai accepté cette HLM comme une libération de la cage parisienne, et, j’aimais tellement le quartier, j’étais au 13e arrondissement et je pouvais aller à pied jusqu’au jardin du Luxembourg, ma chambrette était située derrière la Place d’Italie, pour le retour, je prenais le bus.

Mon docteur m’avait dit de ne pas venir à Poissy, car et immeuble n’a pas d’ascenseur, « vous aggraverez votre handicap aux genoux si vous allez pratiquer ce sport de montée et descente des escaliers qui est formellement interdit pour vous, vous allez solliciter vos genoux sans cartilages, c’est une folie ».

Mais les docteurs sont de bons conseillers et FONCTIONNAIRES sans aucun pouvoir pour exiger aux gérants des HLM que leur patiente souffre d’un handicap moteur qui lui interdit les escaliers et de vivre éloignée de Paris. Les fonctionnaires qui gèrent l’attribution des HLM se moquent éperdument de mon handicap.

C’est ainsi que VILOGIA a refusé depuis quatre ans la mutation de cette HLM vers son immense champ locatif parisien, (et tant mieux, parce que si elles m’avaient mutée je serais sous leur emprise mortifère jusqu’à ma mort !) parcequ’elles, LES SERPENTS, sadiquement se réjouissent que je souffre l’indicible en montant et descendant chaque marche d’escalier avec des douleurs lancinantes.

Depuis janvier 2024, munie d’une ordonnance médicale, j’ai dû ‘acheter un gros déambulateur avec un grand sac des courses. Il pèse 8 kilos et avec les courses, je suis obligée à faire deux voyages pour monter et descendre le « Mon Blanc » qui a 84 marches d’escalier.

Elles, les gérantes de cette HLM, se réjouissent et m’observent, heureuses de ma souffrance physique quotidienne ; elles sont les pires êtres que je n’ai jamais connus, parce que, sadiques et de mauvaise nature, ces gérantes de VILOGIA n’attendent que ma mort dans les escaliers.

Bien, ceci dit, j’ai malheureusement une confiance dans le destin et dans la force de ma parole écrite dans ma dernière lettre adressée à une haute personnalité qui gère les HLM de Paris, le seul lieu où je dois vivre.

Une dame d’une mairie de Paris, m’a dit : « ne lui écrivez pas un roman, seulement une page, il n’a pas de secrétaire, ne craignez rien, il lit lui-même ses lettres, il va se connecter à votre dossier et il va corriger l’injustice que vous subissez depuis si longtemps, vous êtes prioritaire parce que handicapée »

J’ai une confiance absurde et qui me desservît, je l’avoue, c’est pourquoi, je guette ma boite aux lettres et j’attends…

LA LOI D’ATTRIBUTION DES HLM

Le bon sens devrait indiquer que les m² ne doivent suivre en rapport avec le ventre.

Si une femme est célibataire et si elle n’a pas enfanté, et si elle vit seule, sans concubin, sans mari, ce sont d’autres critères qui doivent être en jeux pour l’agrément de « la COMMISSION » partie prenante dans le jugement d’attribution de notre HLM.

Il est impératif ne posséder que des très faibles ressources qui ne nous permettent pas de louer dans le privé qui exige d’avoir des revenus trois fois le prix du loyer avec les charges.

Je propose donc, que les lois changent.

Ce n’est pas seulement l’état civil et le nombre enfants qui doit dicter le nombre des pièces de l’HLM.

Les COMMISSIONS doivent se mettre dans la perspective de notre vie présente.

1. Une femme française, peu importe qu’elle soit française de souche ou de « papier », qui a travaillé et cotisé, et qu’une fois vieille retraitée au seuil de pauvreté, la commission doit impérativement prendre en considération sa vie professionnelle ET familiale qu’elle a eue dans son passé professionnel et familial.

2. Ce ne sont pas exclusivement les ressources et l’état civil les seuls éléments qui doivent entrer dans l’articulation décisionnaire.

2. Une vie professionnelle passée doit être respectée. C’est celle qui nous a exigé d’acheter des livres, et si de surcroît, nous avons eu une autre activité, non rémunérée, qui occupe de la place physique parce que nous la conservons dans notre vieillesse et qui reste chez nous une activité prépondérante et l’unique motif de notre existence, elle doit aussi être méritoire de respect.

Devrions-nous, nous mutiler et nous défaire des affaires qui nous sont précieuses et d’un matériel qui forme partie de notre vie ?

3. Doit-elle cette COMMISSION nous exiger de nous défaire de notre bibliothèque et de notre production picturale ?

Je ne crois pas que mon cas exigeant et très particulier soit très répandu, et je ne crois pas que je sois un élément générateur de la banque route financière de l’État s’il me prête une HLM pour y vivre le peu d’années qui me restent à vivre.

C’est une vérité si simple que je ne devrais même pas me fatiguer à la faire connaître, puisqu’il suffit de donner ma date de naissance pour que ladite COMMISSION prenne de son propre chef une mesure d’intelligence.

J’ai demandé une mutation pour les mêmes 48 m² habitables que j’ai ici, et qui correspond à un F2 ou F3 si le bailleur le divise avec un mur préfabriqué en trois pièces.

Les femmes célibataires travaillent et quand nous devenons vieilles, nous ne pouvons sous aucun prétexte effacer nos vies passées, nous restons les mêmes professionnelles que nous l’étions dans notre jeunesse, les capacités ne s’effacent plus une fois acquises.

Quand bien même, nous ne sortons pas travailler à l’extérieur.

Nous avons été étudiantes et une fois formées, nous avons exercé une activité professionnelle au profit de la société ; que de plus important qu’avoir été professeur, c’est seulement en France que ce métier est dans la catégorie du mépris le plus abyssal, et que nous, professeurs, nous ayons été si méprisés et maltraités par l’État, parce que nous avons été sous-payés, celui-ci, c’est un autre sujet.

Nous avons été et nous restons professionnelles, nous devrions avoir un statut qui corresponde à la modernité et nous laisser en paix avec le reproche juridique d’être célibataires et restreindre de force les M2 des Hlm sous prétexte que nous vivons seules et sans enfants.

Avant de fermer cet article, je vais vous transcrire un dialogue affolant que j’eus cette année avec une Cheffe de logement et des personnes « âgées », j’étais obligée à commencer mes nouvelles démarches en commençant par la commune dans laquelle j’habite.

La « VIEILLE «  que je suis, car c’est ainsi que je suis cataloguée par l’administration, (L’épouse du Président qui a aussi 70 ans ne reçoit pas la dénomination de « vieille », elles se gardent bien de le lui dire, non, ils ne cessent de la cataloguer de « rayonnante » avec ses robes de haute couture, logique, je n’ai que des jeans et des tee-shirts de Lidl !!!Mes vêtements plus habillés, je les garde encore, et je ne les porte jamais en attendant une belle occasion qui n’est jamais arrivée. Aller à un concert par exemple, ils datent d’une trentaine d’années auparavant, quand je travaillais et que j’achetais quelques robes chez Mark & Spencer quand il était implanté à Paris.

Lesdites fonctionnaires et élues de la République qui siègent en mairie, ne prennent pas en considération ma véritable identité ; bien au contraire, elles baissent les yeux dès que je leur dis qui je suis et que je leur exige du respect.

Quand mon identité d’ancien professeur d’espagnol et d’artiste peintre ne fonctionne pas, il ne me reste que faire valoir mon handicap, le fait d’être prioritaire par loi et, de me voir forcée à leur indiquer le nom des articles de loi qu’elles violent de manière indécente, c’est pour leur dire face à face et très clairement qu’aussi bien le bailleur actuel que tous les bailleurs sociaux parisiens exercent à mon encontre une discrimination abusive parce que contraire à la loi qui me protège uniquement dans les textes : loi du 21.12.01: art.1

Les logements HLM doivent être attribués en priorité à certains demandeurs identifiés comme prioritaires, les personnes en situation de handicap. CCH : L. 441-1.

Mes ressources et mon état civil sont les seuls et uniques éléments de jugement. Pour une mutation vers Paris où j’ai toujours habité, il y a 15 ans d’attente. Pas besoin, je serai déjà morte.

Le fait d’être en situation de handicap devrait me donner la priorité, mais jusqu’à ce jour, le délit reste en place.

Alors, j’ai mis les choses dans le juste ordre juridique, et la discussion a viré à l’aigre. J’ai dû partir de cet entretien si attendu, mais que pouvais-je récolter des fonctionnaires macronistes ?

Tout y est dit.

Voici le dialogue que je voudrais bientôt oublier.

Visite en mairie macroniste.

Début de l’année 2024.

J’arrive aidée par mon déambulateur avec son sac des courses intégré.

Je portais à l’intérieur mon gros dossier de documents qui grossit depuis quatre ans, des démarches inutiles et des attentes qui se prolongent jusqu’à sa fin, méprisant ma vieillesse et mon handicap.

J’étais prête à me battre, ce sera mon avant-dernière démarche, sans trop d’espoir d’aboutir, je me suis dit, en monologue intérieur.

Après les formalités de rigueur, le dialogue de bienséance qui s’entretient encore faiblement dans les entretiens administratifs, je commence à sortir mon dossier de demanderesse.

Mon « charriot », comme l’on appelle mon gros déambulateur, qui, par chance, fabriqué en Norvège, peu commercialisé en France, il n’a pas l’allure dégradante des déambulateurs pour vieux, dégoutants qui vous donnent une allure de vieille « mémé » que je n’ai point.

Il va de soi que soucieuse de ma figure et l’esthète de profession que je suis, car artiste-peintre, que leur en déplaise, j’ai cherché le plus beau, qui est aussi le plus cher, naturellement.

Bien, le premier dossier que j’ai commencé à sortir de mon déambulateur fut mon « Rapport Juridique » des 300 Pp. Contre VILOGIA.

La fonctionnaire ne revenait pas au regard de cet immense travail. Elle le feuillette rapidement, s’il a 300 Pp., c’est parce qu’il contient les « preuves en l’espèce, les photocopies de toutes les pièces qui accusent sans conteste le bailleur escroc.

Ensuite, je sors le dossier qui contient les documents officiels de quatre années de demande de mutation : Certificats médicaux et l’Expertise de l’ergothérapeute D.E. qui « conseille » ma mutation vers un immeuble HLM parisien et ma situation gravissime est décrite avec des euphémismes absurdes.

C’est propre des médecins et des ergothérapeutes, toujours les fonctionnaires s’expriment sur des choses les plus sérieuses comme l’est le cas d’une personne en situation de handicap qui exige une mutation d’HLM avec un caractère d’urgence absolue, elle dit qu’il est conseillé, opportun, elle désirerait, tout est dit avec une distance sans aucun compromis professionnel, quand il s’agit de me défendre, personne n’est véritablement professionnel, elles déclinent leur déontologie dans une sémantique rustre et déplacée.

DIALOGUE.

L’ÉLUE ET FONCTIONNAIRE : Vous devez rester dans la commune…

Moi : non madame, je ne resterai pas à Poissy, on m’a trompée lors de l’acceptation de mutation, on m’a dit que tout allait pour le mieux ici, tout était faux, les distances entre l’HLM et la gare est immense, le réseau de bus est pire que celui du milieu rural, les chauffeurs me refusent la rampe, conduisent comme des brutes qui portent du bétail à l’abattoir, vous pouvez imaginer combien il m’est difficile de monter et descendre et c’est une épreuve encore pire quand je dois aller faire mes courses en ville ou dans la zone industrielle !

En janvier l’un d’entre eux m’a écrasé mon déambulateur neuf, après aller au commissariat, le commissaire qui s’est refusé à accepter ma plainte a choisi d’appeler la secrétaire du directeur de KEOLIS pour lui demander de me rembourser et, suivant les conseils du commissaire, je lui ai envoyé une LRAR avec la photo de mon déambulateur sous les roues de son bus, je n’ai pas été remboursée de mes 250 €, et j’ai dû m’acheter un nouveau déambulateur. Le directeur de Keolis ne m’a pas répondu, ma lettre recommandée est restée sans réponse, et je n’ai pas été remboursée par son assurance !

Après une attente du bus N° 3 de 56 minutes, pour arriver à la Gare de Poissy, il faut compter entre 15 et 20 minutes.

Une seule fois j’ai essayé d’y aller à pied. J’ai pris une heure, c’est une folie. Ensuite l’attente du train vers la gare Saint-Lazare, prend 56 minutes en heures creuses, je ne peux pas voyager trop tôt, car pendant les heures de pointe il y a une foule compacte, et il m’est impossible de me franchir le chemin et obtenir une place avec mon gros déambulateur, il ne se plie pas.

Ici à Poissy je n’ai rien à faire, ma vie culturelle est à Paris.

À Poissy ma vie reste en suspens, pour deux motifs de poids, le premier est d’ordre financier et médical, je suis suivie depuis des nombreuses années à Paris, la télétransmission ne fonctionne pas, car ici il n’y a pas de bons médecins, le peu qu’il existe, n’accepte pas de nouveau « CLIENTS » et l’hôpital est le pire des hôpitaux communaux des Yvelines.

Donc, pour me contrôler, je dois faire usage des taxis conventionnés, je suis une citoyenne qui a une pratique d’austérité, je ne fais jamais des dépenses inutiles. Connaissez-vous le prix d’une course vers Paris ? 200 €, c’est la CPAM qui paie, si j’habitais à Paris, avec mon déambulateur, je prends le bus et je vais vers n’importe quel arrondissement de Paris. Le réseau de bus parisien est un des seuls services publics dont je vante l’exemplarité. Je n’ai pas besoin de rien de supplémentaire pour m’occuper de moi-même à Paris, je suis totalement indépendante et me suffit à moi-même, je n’ai besoin de personne pour ma vie courante, mon grave handicap au niveau des genoux peut s’entretenir parfaitement en terrain plat, les escaliers me sont formellement interdits. Ici, je suis bloquée et cette situation ne peut plus continuer.
Ce deuxième problème que je viens de vous exposer est de taille et le noyau de ma demande de mutation de HLM vers Paris, et qui la justifie totalement. Comme vous le voyez, je suis handicapée.

L’ÉLUE ET FONCTIONNAIRE :

Je pourrais faire intervenir le préfet, mis il ne vous donnera qu’un studio.

MOI : un studio ?! vous voulez me faire retourner à la case de départ, qui m’a obligé à accepter cette HLM minable qui me porte grave préjudice et qui a aggravé mon handicap ?!

Sachez, madame, que mon handicap aux genoux n’est pas d’un handicap dit « évolutif », car il n’est pas d’origine NEUROLOGIQUE, mais MÉCANIQUE, le comprenez-vous ?

Je n’ai plus des cartilages rotuliens, et les douleurs qui me provoquent la montée et la descente de 84 marches d’escalier au quotidien peuvent me provoquer soit une fracture spontanée ou une dislocation grave des genoux.

Pensez-vous vraiment que je doive subir une telle épreuve physique et de surcroît très douloureuse ? Uniquement par la surdité des fonctionnaires qui gèrent les commissions d’attribution des HLM ?

L’ÉLUE ET FONCTIONNAIRE : je sais…Je sais…

Moi : monologue intérieur…Oui, elle sait… mais elle ne fait rien. Elle me parle du préfet, je sais qu’elle ne fera rien parce que je ne suis pas de son parti politique.

MOI : Madame, vous me parlez du préfet ? Le préfet de Paris a déjà reçu mon dossier il y a une année, et j’ai épuisé mes démarches en solitaire pour obtenir ma mutation vers Paris.

J’avais déjà écrit à Madame Borne quand elle était ministre, après 8 mois d’attente elle a fait répondre à son chef du courrier de Matignon, qui m’a répondu me disant qu’il avait transmis mon dossier à la Préfecture, mais sa cheffe des Affaires sociales urgentes m’a répondu à sa fois une lettre qu’elle « ne pouvait rien faire pour moi », parce que selon son haut jugement juridique, qui est totalement faux, je n’entrais pas dans le cadre DALO, car je suis déjà logée par un bailleur social et que juridiquement lui incombe la responsabilité de me muter. Donc tous les hauts fonctionnaires se défont de manière olympique de leurs devoirs et laissent la citoyenne sans faute que je suis et en situation pénible de handicap sans aucune solution de mutation. J’ai laissé tomber. Quiconque doté de raison ne va pas poursuivre dans une démarche administrative étanche, ni insister devant des « personnes sans qualité ».

ÉLUE ET FONCTIONNAIRE : (Elle fait appel à une collègue du bureau d’à côté qui vienne m’expédier) et les deux ensemble recommencent l’interrogatoire.

LA DEUXIÈME ÉLUE :

* Vous êtes célibataire ?

* Oui madame.

* Vous n’avez pas d’enfants ?

* Non Madame, je vous ai dit que je suis célibataire et jamais mariée.

* Oui, (elle regarde ma carte d’identité française) mais vous pouvez être célibataire et avoir eu des enfants.

* Non, Madame, je n’ai pas voulu faire des bâtards, ce n’est pas dans ma culture ni dans mon éducation de famille.

* Silence…

* J’ai serré les dents, je n’allais pas lui sortir un papyrus de déclamation propre d’une héroïne grecque lui exposant inutilement et de façon ridicule que les artistes ne doivent pas se marier ni faire des enfants pour donner tout son temps et toute son énergie à l’Art. Ce serait une autre stupidité de ma part. J’ai opté pour rester muette.

* Jusque-là, elle gagnait le match…

* D’après les dires de ma collègue, vous vivez a actuellement dans un F3. Ceci est interdit.

*Interdit ?

*Oui, vous êtes seule.

* Vous vivez seule ?

*Bien entendu Madame.

*Vous n’êtes pas mariée et vous ne vivez pas en « concubinage »

*(Il ne me manquait que ça)

* Donc, si nous faisons une intervention en votre faveur devant le préfet et telle que vous l’a dit ma collègue, il ne vous donnera qu’un studio.

* Mais madame, j’ai une grande bibliothèque, j’ai 70 cartons de livres !

* Vous devrez vous réduire !

Mais madame, je n’ai pas de meubles, je n’ai même pas d’armoire ni de canapé, je survis sans rien comme une immigrée qui vient d’arriver à la nage au Calais, je n’ai aucun électroménager, qu’un frigo, que voulez-vous que je réduise ?!!!

* Elle ne sait pas quoi me répondre, mais insiste.

* C’est contre la loi si nous vous octroyons un F2 ou un F3

* Moi , je lui donne une multitude d’exemples qui démontrent que c’est faux, à Paris, dans mon ancien logement HLM de 16 m², j’avais une voisine célibataire de mon âge et qui travaillait encore et qui avait un immense F2 spacieux pour elle seule. Elle avait une grande cuisine, une spacieuse salle d’eau, elle était ma voisine de palier. Qu’elles ne viennent pas me raconter des mensonges insupportables !

Ces élues croient qu’une personne parce que pauvre est imbécile.

* Elle revient à la charge…Mais vous aurez un ascenseur !

Là, je n’ai pas pu me taire, et j’ai dû parler, m’offrir un studio, c’était le comble !

Madame, je suis en France pour la peinture !

Encore, je ne pourrais plus peindre !

Regardez mon âge, il ne me reste que peu d’années à vivre et je compte les épuiser bien en travaillant jour et nuit sans relâche, je ne dors que quatre heures par nuit, je ne vais pas accepter une nouvelle mutation qui va me mutiler encore plus, que voulez-vous que je fasse avec mes toiles ?

Voudriez-vous que je les jette à la Seine ?

*Mais vous êtes handicapée, vous aurez l’ascenseur !!!

Oui bien sûr, c’est votre réflexion ?

Je ferai ma peinture dans l’ascenseur ?!

J’étais hors de moi, je me suis levée, j’ai pris mon adorable déambulateur qui m’accompagne de partout et qui m’empêche de tomber, et je suis partie avec une envie de faire un malheur !

Si l’on touche à ma peinture, là, j’explose, car la peinture, c’est toute ma vie.

Je n’ai pas insisté sur l’écriture ni sur mes 70 cartons de livres.

Écrire ? On peut écrire même en prison.

On n’a besoin que d’une table et de notre ordinateur.

Mais la peinture est sans conteste l’art le plus exigeant et le plus onéreux et luxueux, dans tous les sens du terme, car la peinture à l’huile est du pur luxe, c’est un travail prenant et l’on doit se munir d’un matériel de luxe qui coûte une fortune.

Les toiles s’accumulent et elles exigent un espace physique approprié, avec une température ambiante sèche et à l’abri du soleil et de l’humidité, en plus notre matériel doit avoir une place pour travailler avec aisance, moi, je n’ai fait pas des toiles immenses, mais celles de 92 x 85 sont déjà assez grandes pour ne pas disposer une petite chambre destinée uniquement à faire de la peinture.

Personne et aucune de ces élues ne savent que le peinture à l’huile est toxique et qu’un peintre ne peut ni séjourner ni vivre dans le même lieu où il peint, car la peinture à l’huile est si toxique pour les poumons que nous pourrions partir en état comateux aux urgences.

La peinture à l’huile prend du temps à sécher, et il faut absolument fermer hermétiquement la porte de notre atelier.

Mais quel raisonnement inapproprié pour les élues et les gestionnaires des HLM !

Avant de partir , je leur ai dit l’essentiel et avec cette dernière phrase je quitte ce long rapport politique qui a voulu aller du particulier à l’universel.

Mesdames, vous m’avez posé tant de questions… En »mode interrogatoire… »

Vous m’avez fait la liste de mes manques, mais ni pour une seule fois, vous ne m’avez parlé ni évoqué mes dons ni mes acquis, mesdames. Ce qui me manque est à la vue de tous,

Je n’ai pas d’argent. Je n’ai pas de famille.

Je n’ai pas de patrimoine (j’ai été spoliée par les musées chiliens)

je n’ai rien… C’est vrai.

Mais j’ai le BAC+ huit années d’études universitaires. J’ai deux diplômes français. ET… Je suis artiste peintre, et la seule héritière encore en vie de la plus prestigieuse École de peinture moderne française : L’École de Paris. Cela devrait vous suffire, mesdames, pour me traiter respectueusement et me muter vers Paris.

Mais, quelle profusion de remarques sur mon état civil pour me refuser une HLM, faisant des excuses déplacées sur mon état civil…

Ensuite, sur le fait de n’avoir jamais enfanté. Vos réflexions ont été suivies des jugements de valeur disproportionnées et hors sujet… Le fait de vivre seule… je ne mérite pas plus de m² que ceux dont dispose un petit studio ou les 16 m² de la chambrette HLM où j’ai vécu interdite de peindre huit années durant.

Je ne vis pas « en concubinage » la seconde excuse formulée…

Je vais vous répondre pour la dernière fois :

Les m² d’une HLM ne doivent pas être en rapport avec la situation de vie intime, car ces réponses sont hors sujet, car correspondant à la vie intime de la demanderesse, et non de ce qui a été sa vie professionnelle ni de son activité de retraitée ; surtout à présent, que le gouvernement a fait appel aux psychiatres qui conseillent les administrateurs de la vie des vieux, ils veulent les aider « à comprendre l’art ! »

et ils « conseillent » aux fonctionnaires des Caisses de retraite de donner des séances gratuites de sensibilisation à l’Art », je meurs de rire !

Les vieux doivent avoir « des activités artistiques ! » vous faites une contravention aux programmes en vigueur, mesdames, puisque vous ne voulez que m’enfermer dans une cage et me priver de peindre jusqu’à ma mort.

Oui, je vis seule, puisque je l’ai voulu ainsi. Et si vous me remarquez mon célibat, vous devez me regarder et vous obtiendrez la réponse sans besoin d’interrogatoire. Mesdames, je n’ai pas droit à un F3 pour peindre parce que seule, oui, certes.

C’est parce que «  je suis laide, bête et bossue ».

Merci mesdames de m’avoir donné cet entretien.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

L’ASSEMBLÉE NATIONALE ET SON HOMÉLIE – RETRAITES AU SEUL DE PAUVRETÉ -PAS D’AUGMENTATION DE 20 €

3 octobre, 2024 (08:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

L’ASSEMBLÉE NATIONALE ET SON HOMÉLIE

GASPILLAGE ET LAPIDATION

C’EST NOUS QUI PAYONS 

LES RETRAITÉS DOIVENT « CONTRIBUER ! » 

RETRAITES AU SEUIL DE PAUVRETÉ

GELÉES JUSQU’À 2025

PAS D’AUGMENTATION DE 20 €

Chers Lecteurs,

Ce que j’observe dans cette période de « politique MAZAMORRA » qui dure depuis des nombreuses années, est que nous sommes bercés entre folie et homélies ; cette situation ambivalente est absurde, la politique par essence ne supporte pas des déviations irrationnelles qui apportent tort au peuple ; la déraison arrive a son paroxysme au sein de l’Assemblée Nationale, nous passons des discours fervents qui se développent dans des argumentations explosives nous assurant la défense de nos droits. Lesquels ? Nous avons de moins en moins, et nous conseillant d’épargner jusqu’à ce que le niveau financier arrive à se normaliser et que la dette soit entièrement soldée, mais pour y parvenir, nous les retraités, nous serons déjà morts.

Et, c’est des retraités qui s’agissait hier, nous mettant dans la liste de ceux qui doivent « contribuer » à combler le gaspillage et lapidation des ressources de l’État qui incombent au gouvernement macroniste.

Nous ne sommes ni responsables ni coupables.

Ce qui se discute à présent, et je fais une sélection sur le sujet que je connais le mieux, la pauvreté, la misère, « le pouvoir d’achat ».

« Le pouvoir d’achat » n’est pas une simple argumentation politique, il faut la traduire et l’expliquer comme il se doit, il s’agit de notre SURVIE.

L’autre tonalité de l’Assemblée Nationale est apparentée à une messe, et nous assistons à des homélies rassurantes, le nouveau gouvernement fait une messe apaisante.

La solution pour résoudre l’état catastrophique de la comptabilité qui par leurs dépenses abyssales, dont nous sommes exempts, est de faire payer le peuple leurs dépenses, l’augmentation des impôts selon leur programme de facilité, incapables de se lancer dans une idée nouvelle qui fasse preuve d’intelligence et l’effet d’une innovation dans le champ économique, est de faire payer le peuple leur gaspillage et lapidation de l’économie française qui leur revient entièrement.

La « contribution » devrait se réserver aux plus riches, mais d’aucuns disent que cette augmentation tombera spontanément à tous ceux qui ont des salaires dits « confortables », il va falloir décider qu’est-ce que c’est pour le gouvernement un « salaire confortable », (les leurs indubitablement), alors, la décision sur qui devra ou non se tenir à l’obligation de « contribuer » à assainir la dette, ne devrait pas être une question aléatoire ni d’appréciation subjective.

Nous attendons encore le verdict sur le plafond qui devra être respecté.

Hier, à la sortie de « la messe républicaine » , on nous a dit que les retraités  seront obligés à contribuer à assainir les folies dépensières de l’État.

Mais, il ne nous a pas éclairci si les retraités qui n’ont que 1000€ pour survivre mensuellement, où je me trouve conjointement au lot des retraités qui subissent la misère quotidienne, seront aussi taxés, et étouffés encore plus et à en mourir.

Selon les éditorialistes que font le « briefing » des mercredis, ils ont mis devant les caméras un graphique très peu rassurant.

Il va de soi que les retraités sont aussi dans la grille qui fait le barème sur les retraités pauvres et les retraités « riches ». L’adjectivation arrive à leur secours, il s’agit dans leur jargon propre, de recenser les retraités au « seuil de pauvreté » et les retraités aux « retraites confortables ».

Il y a un gros pourcentage de retraités au seuil de pauvreté inscrit à 1200 €.

Moi, je survis avec 1010 €.

Ils l’ont montré hier dans un graphique honteux à la télé.

D’après ce graphique qui leur a servi pour leur analyse, les éditorialistes ne nous ont pas dit si le gouvernement pense nous diminuer encore lus.

Il paraît que non, car c’est le haut pontife de Bruxelles qui dicte la loi sur le seuil de pauvreté pour les minima sociaux, et pour les retraités ce qui était auparavant « le minimum vieillesse ».

Si nous faisons notre bilan d’après les discours des éditorialistes, ce qui nous arrivera à nous, « retraités au seuil de pauvreté » est de subir l’absence de l’augmentation de 20 € que nous aurions dû avoir pour janvier 2025.

Nous l’avons eue l’année dernière, augmentation qui s’est diluée ipso facto dans les augmentations des factures, je n’ai reçu donc aucun avantage avec ces 20 €.

C’est pareillement avec l’augmentation de 20 e de l’APL qui vient d’être effective par la CAF et qi sera effective le 10 octobre et versée sur le compte de VILOGIA !

Vous devez savoir que si l’État décide d’augmenter l’APL le seul bénéficiaire n’est pas l’allocataire, c’est le bailleur social.

L’APL devrait modifier le reliquat du loyer qui paient les allocataires très pauvres, mais non, le seul bénéficiaire est le bailleur social, c’est un compromis bien arrangé entre bailleurs sociaux et l’État.

Donc cessez de nous croire des privilégiés, l’APL est différente des allocations qui perçoivent les familles pour leurs enfants, il y a en a multiples et récurrentes, « les p’tits » sont l’avenir de la France » !

Les célibataires pauvres paient pour les autres ..

J’écrirai un article à part sur cette situation affolante.

Pour résumer, c’est une garantie pour les bailleurs sociaux, où par le réseau informatique de la CAF, institution d’État se partagent équitablement l’État et les bailleurs sociaux une somme en notre nom et N° d’allocataires, ils utilisent notre N° d’allocataire pour faire des compromis entre eux !

Dans mon cas particulier l’État ordonne à la CAF de verser en mon nom l’APL à VILOGIA.

Moi en l’occurrence, je ne vois pas en mon bénéfice ces 20 € qui me serviraient fort bien dans mon porte-monnaie pour manger 3 jours, non, cette augmentation de l’APL va grossir le compte de VILOGIA, l’APL est versée sur les comptes des bailleurs sociaux !

Dans mon cas particulier, mon APL augmentée de 20 € va directement vers le compte de VILOGIA qui peut se réjouir d’être ainsi récompensée grâce à ma misère, et par l’État qui pénalise les locataires honnêtes et grossi les compte des escrocs.

Si l’APL servait à diminuer de 20 € le loyer, le reliquat du loyer qui payons-nous, tous les locataires très pauvres et qui bénéficient de l’APL, il serait une loi équitable et bienvenue, mais la CAF qui n’est qu’un organisme payeur et non décideur, se charge d’obéir l’ordre de l’État et vient de verser, (en mon nom, l’augmentation de MON APL qui me revient en toute justice pour 43 ans de misère injustifiée), au bailleur social le plus délictuel que je n’ai jamais eu depuis 1989, date où je suis devenur=e française et que j’ai commencé à louer chez les bailleurs sociaux, c’est là qui commencèrent mes malheurs, puisque quand je louais dans le privé, je n’ai jamais eu le moindre différend avec les bailleurs particuliers et je travaillais au sein de l’Éducation Nationale, exploitée, rabaissée sur des postes précaires, incertains et très mal payés, mais j‘arrivais très difficilement à m’en sortir, et, en ayant ma mère à charge ; maintenant c’est le comble de l’injustice et de la misère programmée par l’État et ce gouvernement.

Il faut finir le briefing : les retraités « insérés « au seuil de pauvreté », ce qui se passera est de rester dans l’insectarium de la misère jusqu’à l’été 2025.

Il faut savoir que ce gouvernement nous réduit déjà suffisamment notre retraite avec l’augmentation des factures de l’énergie et avec les taxes chaque fois que nous essayons de remplir notre panier des courses alimentaires, où part notre retraite « confortable ? » l’État a décidé de la geler et de ne pas nous verser les 20 € d’augmentation.

C’est une mesure du ministre de l’Économie qui fait preuve encore une fois d’une incompétence foudroyante qui touche le crétinisme le plus profond.

Cette situation folle et sans issue comme l’est tout état de folie prononcée, nous mène, pour ne pas sombrer, vers à l’hilarité et à faire des comparaisons ou se mêlent l’ironie et l’absurde ; n’oubliez pas que l’ironie est selon Vladimir Jankélévitch, le moyen de défense des faibles.

Je m’adresse aux nouveaux dirigeants, qui veulent étouffer encore plus les retraités qui doivent choisir entre payer le chauffage ou s’alimenter, ce sont les retraités pauvres qui déclarent ne manger qu’une fois par jour, alors, je vais donner une idée aux ministres, c’est une mesure économique que vous pouvez appliquer aux retraités pauvres, j’y suis dans ce lot mesdames, messieurs, je vous donne une nouvelle solution de facilité qui ne vous coûtera RIEN, ce sera plus facile que de construire des prisons, faites un recensement de tous les retraités pauvres de la France, commencez à nous punir encore plus et pour ne plus augmenter de 20 € nos retraites de 1000€, ce que vous avez décidé pour l’année 2025, pour aider à combler le déficit des vos dépenses, alors il n’y a qu’à nous placer dans un camp de concentration pour ne plus manger, car si vous pouvez gouverner avec vos salaires confortables sans le moindre remord, et poursuivre en train de grossir scandaleusement grâce à vos déjeuners et dîners flamboyants, sans vous soucier des vieux qui devons survivre avec nos frigos vides et que vous poursuivez à diriger si mal le pays avec une nonchalance grossière, il ne vous reste que nous réunir dans un camp de concentration, pour ne plus manger, là on ne va payer ni le loyer, ni le chauffage et nous ne mangerons plus rien.

Votre plan d’économie sera encore plus réussi, nous ne pouvons pas en douter !

Un seul repas par jour font tous les retraités français placés dans le barème du « seuil de pauvreté » ; traduisons : tous ceux qui comme moi, ne percevons que 1000 € par mois de retraite misérable.

Le 17 du mois, il ‘y a plus rien.

Je veux que cette situation soit connue de par le monde, je la fais connaître à mes lecteurs étrangers qui me suivent fidèlement.

Effacez de votre imaginaire la France des cartes postales, c’est une vérité qui ne peuvent vivre que les touristes asiatiques et ceux des pays riches, et en France la vivent très bien les français riches, parce que la France possède un gouvernement qui peut s’engrossir sans remords, tandis qu’il a une génération des vieux qui ont travaillé toute leur vie pour récolter une retraite de misère honteuse qui ne sert qu’à payer les factures et ensuite crever la faim.

Un camp de concentration s’approche si ce gouvernement malséant poursuit en place.

Je vous laisse juges.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

 

 

LOCATION ET CRIME- PUBLICATION EN OCTOBRE

27 septembre, 2024 (11:19) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

MON ESSAI EST ENFIN PUBLIÉ-LA MORT EN FRANCE: POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

26 septembre, 2024 (11:16) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LMEF-Couverture

 

 

Chers Lecteurs,

Je veux partager avec vous ma joie, oui, même dans la misère et persécutée, entourée de problèmes, quand on est un véritable artiste, une des joies les plus absolues et de voir notre travail bien fait.

Après avoir souffert des jugements contre des « pub lieurs » qui m’ont escroquée, j’ai décidé devenir « auteur indépendant » affiliée à l’AFNIL, donc j’ai mon ISBN, ma propriété intellectuelle et j’ai l’autorisation de vendre, mais le seul petit problème est que depuis des nombreuses années que je déploie des efforts pour vendre aussi bien mes livres que mes toiles, je ne trouve aucun Daniel-Henry KAHNWEILER!

Je fais le dépôt légal à la BnF et j’attends…

En attendant Godot.

Je ne peux publier que 20 exemplaires, pour devenir « commerciale » il faut être capable d’éditer des grosses quantités.

Je ne perds pas l’espoir.

Si vous voulez le lire, il ne vous reste qu’à vous rendre le mois prochain à la B nF et je déposerai un exemplaire gratuit à ma bibliothèque du 13 ème, arrondissement qui m’est cher, parce que j’y ai habité dix années durant.

Ce travail d’écriture aurait dû être publié l’année dernière, mais mes problèmes financiers, comme d’habitude, ont retardé mon projet.

À ceci s’ajoute mon manque total d’outils, mon ordinateur est en obsolescence et ne peut plus être réparé, il me faudrait acheter un autre de toute urgence et je n’ai pas les éléments nécessaires pour écrire tel qu’un logiciel de bureautique, et avec les logiciels gratuits, je ne peux pas travailler comme il se doit.

Finalement, le voici mon livre publié en 20 exemplaires.

En espérant pouvoir travailler avec de nouvels outils comme un vrai « écrivain indépendant ».

Vous pouvez cliquer sur le lien et vous lirez la couverture et la quatrième de couverture.

REMERCIEMENTS

Je remercie Monsieur Frédéric DUCOS qui m’a fait l’amitié de réaliser une relecture de mon travail et m’a donné de son temps pour faire la mise en page sans laquelle, je ne pouvais pas l’envoyer à cet imprimeur.

Il a été sensible à mon projet que je fais réalité par le moyen de l’écriture d’un essai.

Cet essai qui est lourd par son contenu, et par la gravité de mes intentions de changement de la loi concernant le statut de nos morts en France.

J’adresse aussi mes plus vifs remerciements à Monsieur NICOLAS, mon imprimeur : www.imprimeboutique.com, il a compris l’urgence que j’avais d’avoir mes livres avant ce vendredi, il a travaillé très vite et m’a fait un travail impeccable et soigneux.

Merci à toute son équipe qui collabore avec lui.

Il travaille avec excellence.

Merci infiniment à vous tous.

Merci chers Lecteurs pour votre fidèle lecture.

Je reste dans l’attente de vos commentaires.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

REMERCIEMENTS POST MORTEM

Merci à mes parents vénérés, qui de l’au-delà savent que je ne les ai jamais trahis.

Je persévère et travaille mon art sans défaillir et toujours en faisant face à l’adversité.

Je ne cesserai jamais de peindre et d’écrire.

Je ne vous décevrai jamais.

Merci pour m’avoir donné la vie et l’éducation de force et d’indépendance pour lutter seule dans la vie.

C’est grâce à mes parents que je suis celle que je suis.

Et, mon souvenir à mes chers Professeurs d’Université qui m’ont donné l’essentiel,

pour devenir une vraie professionnelle et maître de ma langue maternelle, l’espagnol.