CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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MON ESSAI EST ENFIN PUBLIÉ-LA MORT EN FRANCE: POLITIQUE FUNÉRAIRE DE LA TERREUR

26 septembre, 2024 (11:16) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LMEF-Couverture

 

 

Chers Lecteurs,

Je veux partager avec vous ma joie, oui, même dans la misère et persécutée, entourée de problèmes, quand on est un véritable artiste, une des joies les plus absolues et de voir notre travail bien fait.

Après avoir souffert des jugements contre des « pub lieurs » qui m’ont escroquée, j’ai décidé devenir « auteur indépendant » affiliée à l’AFNIL, donc j’ai mon ISBN, ma propriété intellectuelle et j’ai l’autorisation de vendre, mais le seul petit problème est que depuis des nombreuses années que je déploie des efforts pour vendre aussi bien mes livres que mes toiles, je ne trouve aucun Daniel-Henry KAHNWEILER!

Je fais le dépôt légal à la BnF et j’attends…

En attendant Godot.

Je ne peux publier que 20 exemplaires, pour devenir « commerciale » il faut être capable d’éditer des grosses quantités.

Je ne perds pas l’espoir.

Si vous voulez le lire, il ne vous reste qu’à vous rendre le mois prochain à la B nF et je déposerai un exemplaire gratuit à ma bibliothèque du 13 ème, arrondissement qui m’est cher, parce que j’y ai habité dix années durant.

Ce travail d’écriture aurait dû être publié l’année dernière, mais mes problèmes financiers, comme d’habitude, ont retardé mon projet.

À ceci s’ajoute mon manque total d’outils, mon ordinateur est en obsolescence et ne peut plus être réparé, il me faudrait acheter un autre de toute urgence et je n’ai pas les éléments nécessaires pour écrire tel qu’un logiciel de bureautique, et avec les logiciels gratuits, je ne peux pas travailler comme il se doit.

Finalement, le voici mon livre publié en 20 exemplaires.

En espérant pouvoir travailler avec de nouvels outils comme un vrai « écrivain indépendant ».

Vous pouvez cliquer sur le lien et vous lirez la couverture et la quatrième de couverture.

REMERCIEMENTS

Je remercie Monsieur Frédéric DUCOS qui m’a fait l’amitié de réaliser une relecture de mon travail et m’a donné de son temps pour faire la mise en page sans laquelle, je ne pouvais pas l’envoyer à cet imprimeur.

Il a été sensible à mon projet que je fais réalité par le moyen de l’écriture d’un essai.

Cet essai qui est lourd par son contenu, et par la gravité de mes intentions de changement de la loi concernant le statut de nos morts en France.

J’adresse aussi mes plus vifs remerciements à Monsieur NICOLAS, mon imprimeur : www.imprimeboutique.com, il a compris l’urgence que j’avais d’avoir mes livres avant ce vendredi, il a travaillé très vite et m’a fait un travail impeccable et soigneux.

Merci à toute son équipe qui collabore avec lui.

Il travaille avec excellence.

Merci infiniment à vous tous.

Merci chers Lecteurs pour votre fidèle lecture.

Je reste dans l’attente de vos commentaires.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

REMERCIEMENTS POST MORTEM

Merci à mes parents vénérés, qui de l’au-delà savent que je ne les ai jamais trahis.

Je persévère et travaille mon art sans défaillir et toujours en faisant face à l’adversité.

Je ne cesserai jamais de peindre et d’écrire.

Je ne vous décevrai jamais.

Merci pour m’avoir donné la vie et l’éducation de force et d’indépendance pour lutter seule dans la vie.

C’est grâce à mes parents que je suis celle que je suis.

Et, mon souvenir à mes chers Professeurs d’Université qui m’ont donné l’essentiel,

pour devenir une vraie professionnelle et maître de ma langue maternelle, l’espagnol.

 

DERNIERE MINUTE: VILOGIA EST RECONNU COMME BAILLEUR SOCIAL DÉLICTUEL – LES VOISINS S’ORGANISENT

26 septembre, 2024 (08:55) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

FACTURE INTERVENTION WC QUI EST A LA CHARGE DU BAILLEUR VILOGIA

 

 

 

 

Chers Lecteurs,

J’ai trouvé dans ma boite aux lettres un avis de la plus haute importance : un appel à rejoindre un groupe de voisins qui se sont organisés pour contester les fausses factures de « dépassement des charges ».

Voyez-vous que je dis vrai ?

Quand une seule personne dénonce, personne ne la croit.

Quand c’est un groupe qui dénonce, les délits deviennent crédibles. Voici un vice sociétale de plus néfastes.

C’est dans la nature humaine et, je compte par mi les incrédules et nocifs, les gens des plus cultivés et raffinés, un autre vaste sujet.

Les esprits les plus simples et sans « culture », sont parfois les plus nobles et les plus honnêtes.

La noblesse d’âme n’a aucun rapport avec la grande culture.

Pour faire foi, voici une autre « preuve en l’espèce des délits de VILOGIA, des gérantes de la cité BEAUREGARD de Poissy.

Les rafistolages de Vilogia comprennent tous les artefacts de cette HLM.

Le WC n’a jamais été réparé. Il a eu déjà 2 inondations et deux changements de pièces.

Le mois de septembre a été la troisième. L’entreprise PROXISERVE de Vilogia n’a pas voulu me répondre pendant toute la journée, car il faut s’identifier en ligne avec le N° de locataire, le nom, la date de naissance et dire en détail la nature du dégât.

Les petites Serpents, dès qu’elles ont su que c’était moi, ne répondirent à mes nombreux appels.

Mon assureur n’est pas responsable des dégâts dont le bailleur social est responsable et sa responsabilité est inscrite dans le contrat de location.

J’eus une chance unique, puisque mon assureur à titre exceptionnel m’a envoyé l’après-midi un excellent plombier, et ils ont pris en charge la réparation du WC, il fallait changer une pièce ancienne d’une trentaine d’années, nommé « élévateur » qui était hors service car pleine de rouille.

Cette intervention d’un montant de 300 € que vous verrez sur la facture, mon assureur ne me l’a pas facturée, mais c’est une intervention gratuite EXCEPTIONNELLE, pour les autres dégâts qui vont se reproduire dans cette habitation délabrée, il n’y aura pas une deuxième prise en charge.

Il y a le siphon du levier qui n’a pas été remplacé, j’ai déjà prévenu mon assureur.

S’il y a une inondation, je ne ferai RIEN. J’appellerai mon assureur pour lui dire que je ne suis pas responsable et j’irai au commissariat porter plainte. Point à la ligne.

S’il n’y a pas de chauffage par refus de faire le désembouage, tant pis !

Je ne ferai RIEN.

Je forme des vœux pour que les autorités parisiennes me rendent ma priorité, et me mutent vers une HLM parisienne avec un caractère d’urgence absolue, j’ai déjà alerté la plus haute autorité de la gérance des logements HLM de Paris; le seul lieu où je dois habiter, d’une part parce que je suis prioritaire par mon handicap moteur et d’autre part parce que je suis artiste et ne peut végéter dans une commune morte et très éloignée de Paris, sans faire allusion à d’autres facteurs liés aux déplacements qui sont très onéreux pour la CPAM et que cet escroc a méprisé et qui a agi avec une discrimination abusive révoltante, et c’est naturel se plaçant dans la perspective des criminelles qui ne veulent que ma mort dans les escaliers, il s’agirait d’un crime silencieux.

PERSONNE N’EST COUPABLE ! 

Avec un escroc de cette nature, il ne faut pas se fatiguer ! Parce que c’est ce qu’elles cherchent, qu’on s’énerve et les SERPENTS COBRA agissent pour provoquer l’USURE !

1 Inondation ? Utiliser des serpillères.  Porter plainte au commissariat.

2. Incendie ? Appeler les pompiers.

3. Explosion de gaz ? appeler GRDF

 

Mon livre LOCATION ET CRIME, je le publierai à la mi-octobre. Cet épisode Saison III NETFLIX-VILOGIA sera explicite.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

« USTED ES MUY BELLA » IN MEMORIAS : mi vida literaturizada de Chile a Francia

21 septembre, 2024 (13:15) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

MEMORIAS: mi vida literaturizada de Chile a Francia.

USTED ES MUY BELLA”

Usted es muy bella”, me dijo un señor la semana pasada.

De esos rarísimos ejemplares masculinos que quedan aún en la tierra, bien educados por padre y madre, de esos que dejan el asiento a personas de edad en los transportes, que son machistas y que no se sienten superiores y menoscabados porque reconocen en una mujer atributos naturales que ella no ha buscado, ser bella o fea no son cualidades o malogros estéticos gratuitos y de los cuales una persona no ha debido sacrificar nada ni gastar esfuerzos por serlo o no serlo, aunque nadie va a empecinarse en ser fea, si la naturaleza no la ha dotado de atributos estéticos agradables, la pobre no podrá hacer nada por superar sus defectos y sería una marca de masoquismo pronunciado el que una mujer o un varón, haga esfuerzos por menoscabar su persona voluntariamente, no les queda mas que asumir la belleza o la fealdad.

Cuando yo era joven, papá era el que me lo decía constantemente, y antes de morir, me dijo que su tristeza mas grande fue la de no haber podido hacerme un gran retrato, me dijo: si vuelvo del hospital, te prometo que te compraré una de los mas bellos vestidos que encontraremos y te voy a hacerte un gran retrato, no he tenido tiempo dando clases, no pude pintar mas que con una mano, mi chiquilla linda, prométeme que vas ha hacer exposiciones, a una chiquitina linda, nadie podrá rechazarle nada”

Pobre querido papá, yo pienso siempre como se sentiría agobiado de verme sumida en la miseria habiéndome dado todo para que triunfe sola e independiente en la vida, ese fue su más fuerte objetivo, dejarme preparada con una profesión, él me dejó con dos, y en Francia me mutilaron las dos, la de profesora y la de pintora; y de haber visto el asesino des Mamá, pero no, mis conjeturas son erradas, porque si papa si hubiese estado vivo, con nosotras, el crimen no habría ocurrido,ese cobarde tomo a mama como CIBLE unicamente porque sabía que yo estaba sola con mi madre y que nadie sería testigo de su asesinato, ademaás lo hizo para torturarme a vida, Mamá fue el excelente pretexto, para destruirme, fue una venganza, y sus tres colaboradores, lo ayudaron en la segunda etapa de la agonía de mama, porque estaban desesperados porque yo rechacé la APA y porque no dejaba sola a mama y que siempre exigí dormir a su lado cuando por raras veces debía ser hospitalizada. Fue si como cometieron tres abusos corporales contra ella, la última fue la mortal.

Y, de todos modos, estoy segura de que no habría esperado el tribunal del Consejo del Desorden, habría ido a buscarlo y lo habría masacrado peor que un terrorista, yo habría tenido que sujetarlo para evitar su castigo bien merecido, ningún hombre viril y verdadero va a soportar que un médico asesino torture su mujer. Mi padre adoraba Mama, era su su musa, la admiraba por su belleza suprema y su talento de pianista. Todo fue malogrado, con razón se dice que aquel que asesina a una persona, una madre única, asesina a la humanidad entera.

Y, mi padre de haber haber visto que gracias a la administración francesa, estos miserables destruyeron mi juventud y las Serpientes sádicas, venenosas y envidiosas tratan hasta hoy en día de menoscabarme,no lo habría soportado.

Pero el amor de papá y sus verdaderos halagos me acompañan siempre, y me dan la fuerza de seguir en mi eterno combate contra la adversidad.

Con esto digo que los atributos naturales son principalmente una cuestión natural, “de naturaleza” como se dice, para mi es una cuestión que yo atribuyo unicamente a la genética. De costumbre las mujeres se deshacen cunado un señor les dice que son bellas, son adulaciones que ellas esperan. Yo en cambio, la verdad es que me importa un bledo lo que piensen porque sé de antemano, que hay un batallón a las que ese ejemplar que me lo dice a mí, se lo dirá cinco minutos más tarde a otra que cruce su camino, es la ley de la naturaleza, si, otra vez. Solo amores absolutos e indiferentes al efecto de su halago dirán la verdad, ya sea porque el verdadero amor encuentra bello aquello que induce su amor, ya sea porque su observación estética le hace ver bello aquello que entra en su configuración plástica, como decía André Malraux: ”la question du beau c’est un faux problème”.

A mi edad, ya vieja, porque setenta años es la edad en que se comienza a contar los meses que nos quedan para vivir, ninguna mujer de setenta años es “bella”, hay que hacer un viaje retrospectivo y ponerse a imaginar que esa mujer en su juventud pudo ser verdaderamente bella, ahora ya vieja, se ven los estragos de la edad y los últimos vestigios de lo que antes fue.

Es mi verdad salida de mis reflexiones metafísicas. Me da una risa cuando me dicen :”usted es una bella mujer”.

Les corto el aliento al-tiro, porque esta vez le dije al señor, muy caballero galante:

¡Por favor! Eso era antes, si claro a mis diecisiete años, ahora estoy fea como todas las mujeres de 70 años, ahora, que ellas se esfuercen por mostrarse presentables, tal como lo hago yo, eso es otra cosa, pero a los setenta, ya nadie es bella”.

Llegando a casa , ya reposada, me acordé de lo que Mamá me contaba siempre riéndose, de cuando nací prematura y que ningún médico me daba esperanzas de vida, me pusieron en incubadora; las del año 1954 no eran como las de hoy llenas de tubos, cables y ademases, era une simple caja tibia, ni siquiera me pusieron el gorrito, entonces papá con mamá iban a verme y papá se puso a reclamar que un bebé gordo y llorón estaba colocado en una incubadora a mi lado y él les reclamó a las enfermeras que debían sacarlo de allí porque no me dejaba dormir, luego antes de partir, mirándome en la incubadora, le dijo a mamá: “mira, te prometo que la saco de aquí, reina de belleza”

Mama se moría de risa, yo no era más que un pequeño ser de 500 gramos, según todos condenada a morir dentro de tres días, y papá ya me veía reina de belleza. Entonces se empecinó en buscar una enfermera que pasase los tres días críticos, y, día y noche se quedó a mi lado, contratada por papá, no por el hospital que no hizo nada por ayudarme a vivir.

Ella se quedó junto a mí, obediente, dándome leche con un gotario para que pudiese pasar esos tres días críticos, si seguía viva, aceptando las gotas de leche, me salvaría, y Amanda se quedó a mi lado esos tres días y sus tres noches abnegada, siguiendo las órdenes de papá, porque las del hospital fueron : “déjenla, esa no va a vivir, no vale la pena”.

En todas partes se cuecen habas” nos dice el proverbio, en Chile tal como aquí en Francia, hay médicos asesinos, el crimen es una especialidad bien remunerada de la medicina internacional. Hay que preguntarles: “¿Cuál es su especialidad doctor? ¿El crimen? Dígamelo porque me voy de su consulta ipso facto”.

Déjenla, no vale la pena ESA, no va a vivir”.

Y setenta anos después, casi un siglo después, aquí estoy, esperando volver a París, bien viva, escribiendo y pintando, lentamente, volviendo locas de rabia a las Serpientes-Cobra que me persiguen.

Volviendo al sujeto de lo bello.

Me acordé, a propósito del caballero andante que a mis setenta años me encontró “bella”, me acordé de algo importante que había dejado en el olvido, a mis dieciséis años, la misma época en que llego a Santiago Juan Manuel Serrat y que me las arreglé para conocerlo, con razón dicen “genio y figura hasta la sepultura”, vuelvo a mi liceo privado, mis compañeros, si decirme ni avisarme nada, me inscribieron como candidata a “reina de belleza del bachillerato”, era un concurso organizado por el liceo “privado”“en que mis padres me inscribieron para que estudiase seriamente los tres últimos años de secundaria, evitando el acoso de las compañeras del liceo público, así me dejaban al resguardo de nuevos ataques y me aseguraban la entrada bien preparada a la universidad, ya dije que todos mis profesores del “Instituto Pascal” eran profesores de universidades, asi fue como pasé con éxito mis tres últimos años de liceo, cruciales par asegurar una entrada a la Facultad de pedagogía, que allá en Chile no es juego como aquí en Francia; siendo el castellano, la materia mas importante junto con las matemáticas, como aquí debería serlo el francés, si no salieran todos del publico iletrados y con faltas de francés que los vuelven verdaderos analfabetos, en fin, “con su pan se lo coman”.

Fue así como, un lunes llegando al instituto me dijeron: “ mira Carmen los votos que hemos recogido para que salgas reina” . Ya eres candidata!”

¿Votos de qué? Les contesté, ¿qué candidatura?

Te inscribimos todos en el concurso de “reina de belleza del bachillerato”.

Al final salí segunda, me festejaron en una fiesta del “Instituto Pascal”.

Uno de mis compañeros me contó que la que salió primera se volvió loca recogiendo a la fuerza votantes, porque tenia mil amigos, no solo en el instituto, “será para el año próximo”, me dijo otro de mis compañeros, “cuando estés en la universidad, serás reina de belleza de las mechonas”.

Eso no me importaba, lo que si fui sin duda es que mis profesores me eligieron una de las primeras alumnas de la especialidad de Castellano, distinguiéndome en todas la materias, y en las de pedagogía obtuve notas de 100% en filosofía. ¿Qué más podía pedir? Fui nombrada ayudante de cátedra para los primeros años de la especialidad y directora de talleres literarios, el ser reina de belleza mechona, (Mechona es como se nombra en Chile a las alumnas del primer ano universitario)

Me importaba poco el asunto de que me nombraran reina de belleza mechona, mi ubico interés era ser una alumna brillante y dejar a mi padre recompensado de su esfuerzo por dejarme con un titulo universitario. Mi más grande pena fue que murió el mismo día de mi salida triunfante de la Facultad, en duelo, sin haberle dado esta satisfacción que lo habría recompensando de todos su sacrificios y habría partido, por lo menos con el orgullo de haber educado una hija que le obedeció y que tuvo éxito en su esfuerzo intelectual. Ese día en que perdí a mi padre, fue cuando comenzó mi tragedia.

Mi padre fue el único que me formó, que me dio todo, que me ayudó, y que me mantuvo regaloneada.

Preparando mi mudanza, encontré fotos y una cartas de papá, de cuando pasé vacaciones en el extranjero con mamá, cuando fuimos a visitar a mi abuelita, me llamaba, “mi chiquilla linda, te espero pronto”. Yo tenía dieciocho años, en esa época se lo creía.

Son mis únicos tesoros.

A propósito del mismo tema, conversando con un joven oftalmólogo, él me dice: “usted tiene una excelente salud, tiene mucha suerte, ¡imagínese que a sus setenta años, no tiene ninguna enfermedad! Eso no se encuentra seguido en mujeres de su edad.”

Le contesté:

Doctor, ¿usted encuentra SUERTE el estar en buena salud?

No, yo lo atribuyo a dos cosas, la primera mi genética, la heredé de mi línea materna, mi abuelita murió a sus 106 años, longevos todos, si Mamá no hubiese sido maltratada, ella murió a sus 98, espero seguirla.

Luego, mi buena salud se debe a que nunca he fumado, no bebo alcohol, como medido, hago un régimen carisimo, hecho de puras proteínas y verduras, régimen de top-modelo de tercera edad, no como pan ni feculentos, casi nada de grasas ni de azúcar, y también a que practico la medicina preventiva, paso por todos los scanners posibles y existentes una vez al ao así puedo retardar la muerte.

Si, me dice eso esta muy bien, pero es una cuestión de suerte que usted no quiere aceptar, porque aun haciéndose escanear, un día puede llegarle algo que ni con el mejor escanner ni médico se podrá curar.

Por supuesto, yo estoy preparada, Vladimir Jankélévitch, nos ha dicho que la muerte es “la maladie des maladies” de esa de la cual no nos mejoraremos ; sin embargo, se puede prevenir una enfermedad que si no sa ha descubierto a tiempo gracias a un scanner, llegado el momento de descubrirla tardiamente, el mejor de los médicos del mundo no podra hacer nada.

El oftalmólogo insiste en nombrar mi caso de SUERTE.

Doctor le replico, me impresiona de que usted siendo un científico, me hable de suerte, eso es como decir, “es gracias a Dios”.

El me contesto, Si algunos lo llaman dios, otros el destino, yo lo llamo SUERTE. Insisto en que usted tiene mucha suerte.

¿Dios en el asunto?

No, por favor. Dios nada tiene que ver en esto. Parece que estaba haciendo la siesta cuando el asesino de Mama la maltrataba hasta darle una agonía que ni un animal hubiese resistido, ahí se demuestra lo que Mamá me decía cuando yo me inquietaba por su salud: “Mi linda no te preocupes, no ves que aún estoy aquí contigo, que no ves que tengo una salud de fierro?”

Al final, el joven oftalmólogo, indiscutiblemente una eminencia salió ganando, lo creo porque él insist en calificar mis setenta años en perfecta salud a una pura cuestión de suerte, y yo a una gracia genética y a mi esfuerzo cotidiano, yo paso mi vida preocupada de mi ser, siguiendo los consejos de mis padres que pensaban los dos igual, me decían: “el cuerpo es lo único que tenemos, hay que cuidarlo y no hacer ninguna economía en cuestión de salud, deberás siempre darle prioridad a la salud, antes que todo otro gasto es la salud la que prima”.

[…]

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

RECUERDOS IN MEMORIAS : mi vida literaturizada de Chile a Francia

21 septembre, 2024 (08:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

RECUERDOS

LA LENGUA MATERNA Y LA POESÍA

UNA MUTILACIÓN

Con razón George Steiner ha dicho que para un escritor ser un exiliado es mutilarse vivo, porque se verá privado de su lengua materna y no podrá ejercer sus facultades y yo agregaría que es su talento el que quedará escondido para todos sus nuevos compatriotas, es una verdadera mutilación.

Esta mutilación se acentúa cuando una es poeta, porque la poesía traducida es un verdadero masacre, el español traducido al francés es uno de los peores traspasos de una lengua a la otra, todas las otras lenguas pueden acercarse sin temor a una franca transgresión, jamás el francés; no nos vamos a dedicar a analizar los elementos lingüísticos que producen el masacre, bastará decir que en mi caso personal yo no sería partidaria de confiar mis libros de poemas a un editor francés que a su vez lo confíe a sus traductores.

Ernesto Sábato me contaba, en una de sus cartas, que la traducción que se hizo en Francia de Abaddon el Exterminador era horrible, sus propias palabras. Y eso no me sorprendió.

Yo jamás leí los libros de Sábato en francés, y mis dos tesis, la de Máster y mi doctorado, están redactadas en español, él me dijo:”¡por favor, no va a escribir sus tesis sobre mis obras en francés! »

Todo esto para decir, que es para mí, el acto de escritura llega a ser cinestésico, es algo delicioso el poder escribir libremente si ese temor de hacer faltas, de andar pisando huevos, temerosa de no haber elegido la expresión acertada, de hacer una falta de sintaxis, porque yo no cometo faltas de ortografía en francés, ¡no faltaba más! Es en la sintaxis donde se esconde el secreto de la lengua materna, es una cuestión de lógica, de orden “cerebral”, el saber escoger un “orden” del pensamiento. En francés no se puede omitir el sujeto antes del verbo, en francés no se debe anteponer adjetivos precediendo el sustantivo, y tantas otras prohibiciones que al final ante la página virgen debo pensar tanto que al final escribo como si me hubiesen dado un permiso por algunas horas para escribir y con esposas apretándome las muñecas, es una sensación horrible, es por lo cual esta mañana me siento liberada, con una sensación deliciosa el poder desplazar mis pensamientos hacia mis manos dejando mi cerebro dirigir mis dedos sobre el teclado a toda velocidad, si pensar en la corrección del “Language-Tool”, y siendo yo sola mi propia correctora; no faltaba más, me digo en mi eterno monólogo interior, habiendo en mi juventud, corregido manuscritos en español, en mi madurez y ahora en mi etapa de vejez (70 años) sentirme vigilada, haciendo atención a cada palabra que escojo en francés y soportando las burlas de franceses sin educación y sin delicadeza quienes riéndose de mi francés, me critican sin verse ellos como son pobres en lenguaje, y sin capacidades de oratoria, en todo caso yo sé que le defiendo bastante mejor que el común de los franceses que hablan y escriben el francés, su propia lengua materna con dificultades notorias; no hay más que prender la televisión para comprobar que los que deberían demostrar un lenguaje rico y fluido, y sena profesores universitarios que son franceses que han aprendido el español, no llegarán jamás a expresarse como una persona que sea de lengua materna española, esto es una evidencia incontestable.

Los periodistas se expresan con un mínimo de palabras, tartamudean, y en cuestión de oratoria, hasta el día de hoy, no he visto ninguno que demuestre calidades de excelencia lingüística, es lo mismo con los políticos, hay que verlos en la Asamblea Nacional, recuerdo un solo diputado que posee una temperancia y vocabulario escogido y fluido, sus capacidades de oratoria son excelentes, y cuando me puse a buscar en su biografía, lo comprendí, su formación es literaria, pero esto no es la causa, porque yo conozco un tsunami de tipos con formación literaria que se expresan con una pobreza y con una serie de dificultades notorias, lo que ocurre con él es que es su talento, en oratoria, reforzado por su formación literaria que lo hacen fuerte en su expresión. No diré de quién hablo, pero si un día me lee, él lo sabrá, porque le envié un e-mail de felicitaciones a la Asamblea nacional. A diferencia de mucha gente, yo cuando admiro a una persona, se lo digo de inmediato, somos todos seres vivientes, y en relación en la tierra, ¿por qué callarse ante un ser que tiene facultades y que nos las da para formar une sociedad digna?

Con mayo razón aun si él se dedica a la política, él está trabajando por nuestro bien común, si tiene facultades, es un deber humano y luego de sentido político el agradecerle su talento y su trabajo, es lo mismo ante un profesor o un artista, no es por un milagro espontáneo que alguien se distingue, ha sido necesario toda una vida de estudios y de ejercicio profesional para llegar a una realización perfecta, y es lo mismo en todo orden de cosas, pero no, la gente se calla, y deja allí, en silencio a aquel o aquella que ofrece sus capacidades. Hay un egoísmo generalizado, una indiferencia y desprecio que me indignan, es por eso que cuando alguien me emociona, se lo digo. Punto, final, no creo que se necesiten más explicaciones.

Creo que la final diré el nombre del diputado…

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

ARRÊTEZ LA RITOURNELLE DE LA SOLIDARITÉ

13 septembre, 2024 (18:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

ARRÊTEZ LA RITOURNELLE

DE LA SOLIDARITÉ !

Chers Lecteurs,

Je m’octroie de critiquer ce que je connais bien, il va falloir dire aux dirigeants d’arrêter d’une fois pour toutes la ritournelle pour que les esclaves se sentent coupables des miettes qui leur sont reparties respectant le barème d’État.

Depuis plus de quarante années, je supporte seule, la rengaine qui nous dit que SI les aides sociales n’existaient pas nous serions déjà morts.

Personne le leur répond de stopper cette espèce de crétinisme généralisé qui s’est fait protocole, mode de réponse stand arisée et l’unique réponse à nos protestations.

Je suis née dans un pays du tiers monde, il paraît qu’il ne m’et plus, je n’ai plus de famille au monde et tous les professeurs et amis de celle qui fut ma génération sont disparus ou morts.

Le Chili, où avant la dictature nous avions une excellente médecine, un excellent systèmes de santé, avec gratuité ceux dont avaient droit par leur travail et cotisations, EL SERMENA  (Service médico-Social)

Maman et moi-même nous étions affiliées toutes les deux à ce qu’en France est la Sécurité sociale, nous dépendions de la sécurité sociale de mon père.

Il était haut fonctionnaire d’État, car il était Professeur universitaire.

A l’époque, il n’existait pas l’Internet, je sais qu’à présent ils sont informatisés comme de partout dans le monde.

Nous allions nous faire « rembourser » à la caisse, et la Caisse nous versait en espèces quelques jours après avoir avancé les soins aux praticiens.

Laissons la modalité de remboursement, ce qui n’a pas changé est « le protocole », il y avait une médecine de pointe et un système de santé régulé et équitable.

Ce qui n’a jamais existé là-bas est ce que la France nomme SOLIDARITÉ.

Les composantes historiques sont celles qui ont façonné des modes d’organisation administrative, puisque l’Europe a vécu deux guerres mondiales que l’Amérique-Latine n’a jamais connues.

Une immigrée est en mesure de donner une autre analyse de ce que les Français ignorent et qu’aveuglés par leur système ne peuvent pas imaginer qu’il puisse exister un pays où l’assistanat n’existe pas !

Au Chili celui qui ne se prépare pas et n’étudie pas est un individu destiné à la misère où il ne pourra jamais échapper.

Des HLM ?

Nos mesdames messieurs, il vivra dans des campements pareils à ceux qui doivent subir les Gazaouis, mais sans les bombardements.

LAS CALLAMPAS sont les constructions de fortune pire que celles des gitans, construites des morceaux de bois, où la boue en hiver et les dégâts de l’été sont leur routine de vie de la naissance à la mort.

Donc celui qui ne profite de l’éducation gratuite dès la primaire ne pourra jamais accéder à sortir de la pauvreté s’il est né défavorisé.

Mais il faudrait mettre les pendules à l’heure, il n’y a pas de raison de poursuivre dans un système qui favorise une modalité de pensée qui affirme par loi que tout doit être GRATUIT. Dans le système actuel, où une grande partie des citoyens est sous-payé et que l’autre grand partie a commencée smicarde et mourra smicarde, forment deux blocs, que si les « aides de solidarité » n’existaient pas, ils auraient péri dans l’indigence.

Moi, je suis une d’entre elles.

Pour garder maman invalide à 100 % j’ai vécu du seul RSA dans une misère terrible, mais ces 380 mensuels plus l’APL mont permis d’être sa seule infirmière, aide-soignante, dame de compagnie, femme de ménage, sans demander l’APA pour conviction éthique, morale et politique.

J’ai vécu cloîtrée avec Maman 13 années durant, prolongeant sa vie, je ne lui quittais pas, l’œil , 24/24, 7/7, de jour comme de nuit et 13  années durant.

Sans le RSA misérable et sans l’APL, nous n’aurions pas survécu.

Le RMI de l’époque n’était que de 380 € pour une femme célibataire, Maman ne comptait pour rien !

J’ai fini en 2013 avec le RSA d’un montant de 550 €

Les contrôles des « assistantes sociales » étaient trimestrielles, ensuite semestrielles.

Nous vivions comme deux prévenues qui avaient commis un crime.

Le crime le commis le Médecin Traître-Tant au bout de la 13ᵉ année d’invalidité de Maman. Elle est morte, torturée à mort en octobre 2013, par refus de soins de ce dégénéré perfide et avec la complicité ultérieure de ces trois complices. Trois autres dégénérés. Et j’ai passé de 16 années de RSA à ma retraite misérable de 1000€.

Bien, ceci dit, je passe à la situation universelle…

Les receveurs des primes, des allocations à chaque saison, des chèques de solidarité pour l’énergie, et pour les enfants et j’en passe.

Ne vous étonnez pas si après la comptabilité signale le rouge ineffaçable.

Les gratuités pourraient s’éviter, épargner l’humiliation de ceux qui la reçoivent, sans même qu’on soit involontairement des demandeurs.

Si le système payait en sa juste valeur le travail, aucune aide pour remplir les insuffisances de salaire si bas qu’ils le sont pour l’heure, car ils ne sont pas en mesure d’assumer de manière décente le train de vie normal et toutes les factures inéluctables de tout citoyen français. Si les salaries en France étaient justes, les aides sociales ne seraient indispensables que pour les délaissées de la vie et les handicapés.

L’État sait parfaitement AIDER pour qu’aucun profit personnel ne soit attrapé par le bénéficiaire.

Les calculs de « revalorisation » des aides, vont de pair avec les hausses immédiates, de la sorte que nous ne pouvions rien « profiter ».

La source de cet assistant qui m’a toujours révolté et dégoûté, elle sort des bas salaires, des injustices mafieuses dans le monde du travail, et de l’incapacité de défense dont se voient privés certaines classes de travailleurs qui quand bien même aidés par leurs syndicats, l’aide juridictionnelle et le conseil de Prud’hommes- oh combien il est juste et efficace – les demandes baisseraient et se repartiraient uniquement pour les cas des vrais necessiteux. Ah, oui, les pauvres, vous les aurez toujours.

Je pars de mon cas personnel pour aller vers l’universel.

Les professions libérales, les indépendants, les entrepreneurs, sont à la marge, laissons-les comme une classe de travailleurs d’exception ; ce qui doit être motif d’une nouvelle analyse c’est le système des classes figées dans les bas-salaires et les couches sociales smicardes figées à vie dans la précarité.

La semaine dernière, discutant avec un professionnel de santé, il reste étonné d’apprendre quelle est ma formation professionnelle et mon parcours, pour arriver à 70 ans, cataloguée de « senior au seuil de pauvreté » avec un pourboire de retraite de 1000€ mensuels.

C’est comme si je n’avais pas poursuivi des études supérieures, ni dans mon pays natal, ni ici en France, et comme si je n’avais jamais travaillé pour gagner mon pain.

Caude Couffon, Mon Professeur et directeur des recherches en Sorbonne, me réprimandait et me conseillait de quitter l’enseignement.

« Vous êtes entrée dans le milieu le plus médiocre de la France, sortez d’ici Florence !Ils vont vous passer à la trappe ! »

Je lui répliquais que d’une part, j’avais déjà dépensé la moitié de ma vie entre les universités et enseignant dans les lysées, et d’autre part, je ne pouvais pas recommencer un nouvel cursus, car j’étais chef de foyer et j’avais maman entièrement à ma charge, cesser de travailler et me lancer à étudier un autre cursus m’était impossible.

Ce n’est pas que les diplômes littéraires, « paient mal » ou qu’ils « ne servent à rien », bien au contraire, je ressens de l’orgueil intellectuel, j’ai une reconnaissance sans bornes vis-à-vis de tous mes professeurs, c’est grâce à eux, en matière littéraire et en peinture que je suis arrivée à l’âge adulte au niveau d’excellence et bien préparée, mais grâce à eux, sans la formation qu’ils m’ont donnée, je ne serais rien.

Ceci dit, ma précarité est née exclusivement de la mafia du rectorat.

Si j’avais eu comme inspectrice ou collaboratrice du recteur l’inspectrice espagnole qui m’a poussé à « passer le Capes », j’aurais eu la titularisation, et j’aurai eu dans mes vieux jours, une retraite confortable.

Mes collègues avec une petite licence, sans le parcours de pédagogie que j’eus ni les diplômes français que j’ai obtenus, elles sont à présent des vieilles assises dans des maisons achetées par leur travail au sein de l’Éducation nationale, parce qu’elles ont répondu avec leur profil médiocre à toutes les demandes et les attentes du rectorat.

Au sein de ce cercle maudit, plus vous êtes « petite », plus vous êtes médiocre, plus vous enseignez comme une photocopieuse ambulante, votre reconnaissance sera assurée par l’administration, vous serez une des leurs, une de plus dans le bataillon d’incompétentes, « on ne te demande rien de plus » me disaient-elles, bien au chaud dans leur ignorance assermentée.

CONCLUSION

En France, dès que l’on commence à exiger des hausses de salaires, elles sont étouffées par une autre ritournelle, la hausse des salaires est impossible, car l’État augmente les charges patronales qu’aucun petit patron ne peut supporter.

Alors se présente l’urgence d’un changement de la racine de tout le système d’État, et il ne changera jamais.

Si un changement venait un jour se produire, je serais morte, je ne verrai point ces jours heureux. Pour le peu de temps qui me reste à vivre, je compte le vivre le mieux que mes maigres euros me le permettent.

Traînant très lentement par manque d’argent, ma production littéraire et picturale selon les pauvres euros qui me restent pour jongler les petites courses et le misérable matériel de peinture qui coûte une fortune.

Une seule chose j’exige : ne m’exprimez aucun mot de pitié. Je ne suis pas née pauvre grâce à mon père, je ne suis pas née pauvre d’esprit, je suis la fille de ma mère et de mon père et j’estime les représenter bien, comme il faut, tel qu’ils m’ont éduqué et formé.

Je ne mérite pas la moindre pitié de la France.

Mais ceux qui dirigent l’administration auront beaucoup à regretter.

Je leur ferai savoir de quoi ils devraient avoir honte, pour commencer le bailleur social VILOGIA qui dès mon entrée dans les lieux à Poissy ne m’a pas laissé un jour de répit, avec leurs persécutions administratives et factuelles.

Je ne me suis pas laissé escroquer. J’ai commencé par lutter, mais dès que j’eus mes 70 ans, j’ai mis un terme à toute contrainte judiciaire où elles veulent m’obliger à plonger, les entreprises judiciaires sans argent, mal soutenue par les pires des avocats qui traitent les pauvres avec une méprise dégoûtante qui finit pour nous apporter plus de tort que sans lutter, c’est pourquoi j’ai pris le retrait, qu’elles plongent seules dans leur programme de m’annihiler, je leur laisse le champ de la haine totalement libre.

Mon arme, ma seule arme invisible et puissante est la parole.

Ne me donnez pas un seul mot de pitié, je ne suis pas à plaindre, j’ai deux talents et deux formations d’Art bien étudiés, l’une universitaire, la littéraire, l’autre héritée de mon père, le peintre Hernán GAZMURI, peintre d’esthétique française, car disciple d’André LHOTE.

Hernán Gazmuri il fut mon maître en peinture et je suis sa seule disciple, et l’unique héritière encore vivante de la plus prestigieuse École de peinture moderne française : L’École de Paris. ww.hernan-gazmuri.com

Vous croyez que je mérite votre pitié ?

Je vous en prie !

Je ne perds pas l’espoir de trouver un mécène.

Il serait mon sauveur.

De toute façon mon testament est fait.

Mes dernières volontés pareillement.

Aucun huissier ne pourra rien usurper le jour de ma mort,

Ce sera ma dernière réponse à l’administration, qui est déjà prête et en attente, aux aguets comme les corbeaux…non, les corbeaux ne pourront rien venir becqueter post mortem.

Je les connais et j’ai pris mes dispositions en connaissance de cause et en totale lucidité.

Justice est faite.

Le mépris et la pitié ne sont pas admis chez moi ; en tout cas j’ai une télésurveillance et j’ai fermé ma porte à double tour… à tout le monde.

Merci de votre aimable lecture, Chers Lecteurs.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

LA FRANCE ET SA POLITIQUE KITSCH TOUT LE GOUVERNEMENT EST PATHOGENE

13 septembre, 2024 (09:46) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LA FRANCE ET SA POLITIQUE KITSCH

 

TOUT LE GOUVERNEMENT EST PATHOGÈNE

 

 

Chers Lecteurs,

Ce qui se passe dans cette France à la politique MAZAMORRA serait un exemple unique pour notre maître Axel Honneth, soyez en certains.

Si vous lisez ces derniers textes, vous devriez s nécessairement faire une révision des études critiques de la première période de l’École de Francfort, avant d’explorer ses dernières articulations idéologiques et ses exégèses d’étude de la critique du pouvoir.

Ce gouvernement pathogène a créé une masse d’individus mous et soumis, où les nouvelles manifestations de révolte sont inefficaces parce que basées sûr de modes de pérorer, sans assisse idéologique, sans théories et aucune révolte vide ne peut avoir des effets durables. Le fascisme s’assoit sur des masses malléables et faciles de diriger par les contraintes financières.

Partant du fait que nos sociétés ne savent pas s’adapter ni trouver des champs d’issue heureux pur rendre aux humains qui l’habitent une vie conforme à ce qui doit être la vision grecque que nous avons reçu en héritage, et de ce qui doit être une véritable démocratie, une réelle « organisation de la cité », il faudrait pour l’analyse adéquate, remonter aux années 30, période des théories révolutionnaires de Marx Horkheimer et les postulats de psychologie critique d’Erich Fromm.

Cette sombre période, je ne peux que nommer politique Kitsch.

Il est un fait manifeste et incontestable qu’ils nous ont usurpé une décision politique exprimée librement par le peuple.

Permettez-moi, je vous prie de vous exprimer mon commentaire bien réfléchi.

Je suis française et je vote.

La politique m’a toujours intéressé, mais, il fait savoir trouver les bonnes personnes pour ce partage, je n’ai pas eu cette chance, mais je me réserve le droit d’y penser quand je serai de retour à Paris, il doit y avoir une possibilité même tardive, pour le moment, cette période est faite d’un temps odieux et répulsif.

Revenons à la psychologie critique.

Il va falloir cesser de se poser des questions qui ne conduisent nulle part.

L’adolescence, chez certains, est vécue comme un temps trouble, temps de désordre où les adolescents, étonnés de leur nouvelle étape des découvertes, ne font que des extravagances, je parle d’extravagances qui ne font du mal à personne, j’exclus les adolescents marginaux qui méritent le nom de délinquants, je fais uniquement référence à la période turbulente des adolescentes qui agissent dans la norme de l’humain non de ceux qui sont marginaux.

Ce constat est nécessaire de l’appliquer à ce qui se passe à l’Élysée.

Mais ce qui est plus grave encore, c’est que la France l’accepte et qu’il n’y ait pas de révolte.

Dans cette politique kitsch, les seuls gagnants et contents comme des marionnettes devant les caméras sont les heureux élus, dépourvus du suffrage universel, élus par des conciliabules internes, sans que la nation leur ait donné ce pouvoir de nous diriger.

Notre vote est parti directement à la poubelle nationale.

C’est scandaleux que de les voir devant les journalistes se réjouir de leur « succès », mais de quel succès  parle-t-on?

C’est assommant ce qui se passe au « sommet de l’imbécilité ».

Une fois repartis les postes, un nouvel cirque se prépare, la montée des escaliers de l’Élysée et de Matignon avec ses nouvels élus, carpette sous les bras, réfléchissant à leurs gros salaires qu’ils vont recevoir tandis que « le peuple » doit recevoir des réprimandes, et poursuivre une vie de sacrifice sans fin et assujettis à leur vie des esclaves smicards, parce que le gouvernement les a convaincus que la dette fastueuse de la France est due aux travailleurs coupables, il va falloir épargner, les vieux ne mangent qu’une fois par jour, alors ils vont recevoir un conseil, ne manger que trois fois par semaine, cela leur fera des économies, les retraités sont aussi coupables, voyez-vous ?

La seule façon de réduire la dette, dont la nation entière est la seule soudable de manger trois fois pas jours, maintenant elle devra manger une seule fois par jour, ce sera une manière de réduire les dépenses, alors le peuple verra diminuer ses dépenses, et le Smic à vie leur sera plus profitable.

Grec, mesdames, messieurs !

Ici, nous l’adaptons à notre guise, nous sommes les nouveaux élus, élus non par le peuple, mais par un ado.

Après les analyses des économistes, et les annonces qui viendront comme mesures d’épargne pour réduire la dette, dont nous sommes tous coupables, j’ai pensé qu’à l’Élysée il ne lui reste qu’une seule mesure à prendre, au regard de tout ce qu’il a programmé : il pourrait organiser un camp de concentration de tous les mal payés, les vieux avec des retraites de misère où je m’inclue, il lui serait plus facile de nous « surveiller et punir » et nous laisser là, camper ad vitam æternam, parce qu’à juger les extravagances de l’Élysée, tout particulièrement celles de son dirigeant, il n’y a que deux classes sociales en France, la sienne, celle des élus du pouvoir et la nôtre, quand ce sont eux les véritables profiteurs coupables d’avoir laissé la France dans la ruine abyssale où leurs dépenses fastueuses ont contribué à la démunir et la laisser dans un état de honte nationale et mondiale.

L’adolescence, quand elle s’amplifie et se prolonge bien passé la quarantaine, devient un cas psychiatrique.

Le peuple devrait se réveiller.

Nous ne sommes pas malades.

Réfléchissez-en et révoltez-vous.

Moi, je me révolte toute seule devant mon ordinateur.

Je suis encore trop loin de Paris

Je pense que si je suis lue, c’est déjà pas mal.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Faites-moi le savoir, il y a une page de contact.

Bonne journée à tous.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

LES VIEILLES

12 septembre, 2024 (08:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LES VIEILLES

Chers lecteurs,

Encore une « nouvelle » qui ne peut que m’effrayer.

Un de ces jours, ils vont aller chercher des « starlettes » des femmes du vedettariat aux EHPAD, parce que la France a passé doucement du « jeunisme » au culte de la vieillesse et de la laideur.

Cette tendance esthétique, se lie logiquement au culte de la mort, car la vieillesse n’est que cela, le seuil de la mort, et les rides en sont la preuve.

Maintenant les anciennes jeunes et belles starlettes, (jamais sorties des plus hauts conservatoires d’art dramatique) ont vieilli, mais elles ne se résignent pas à leur nouvel état de vieilles, et se montrent avec leurs rides signalent qu’ils sont BEAUX car ils font preuve d’avoir vécu.

Celles qui sont devenues presque obèses, pour calmer leur franche déception et leur résistance aux régimes, elles déclarent qu’il faut savoir accepter leur nouvelle figure, avec des kilos en trop !

Je le redis, une femme obèse et ridée doit être digne et finir ses apparitions en public et se résigner à devenir vieilles.

Maman, qui fut d’une « beauté émouvant » comme tout le monde qui l’avait connue la définit, m’a donné une leçon quand j’entrais à la puberté : 

«  Ma petite, quand une femme vieillit, elle doit se faire discrète».

Alors, je lui ai dit : « Dis Maman, c’est quand ça ? »

Maman en souriant m’a répondu :

« Tu le sauras toi-même, toute femme le sait »

Le problème avec cette génération des vieilles est que d’une part, qu’elles n’ont pas eu la chance d’avoir des mamans sages qui leur aient donné des bonnes leçons de vie, et d’autre part, qu’elles sont franchement imbéciles, que de se monter en public pour éveiller non des sentiments d’admiration, mais de pitié.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Livre que je conseille bien vivement

Du vieillissement

Jean AMERY

[…] ELLE N’ÉTAIT PAS UNE CONTRACTUELLE…!

10 septembre, 2024 (12:17) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

(Chers Lecteurs, j’ai changé le temps verbal par deux fois, parce que l’enseignante « est » le recteur a dit : « elle était », car sa mesure disciplinaire le fait dire qu’elle n’est plus en exercice, certes, l’emploi du verbe « être » au sein de l’administration est un véritable problème administratif, mais pour tout enseignant quel qu’il soit son degré de formation, il restera un problème « existentiel »).

 

[…] ELLE N’ÉTAIT PAS UNE CONTRACTUELLE »

ELLE AVAIT 20 ANS EXPÉRIENCE

S’ÉCRIE LA PLUS HAUTE AUTORITÉ DU RECTORAT

DE L’ACADÉMIE DE PARIS.

Chers Lecteurs,

Avez-vous pris connaissance de « l’incident » qui vient de se produire dans une école maternelle  du 15ᵉ Paris.

Nous avons été rassurés, la maîtresse n’était pas une « contractuelle ».

Puisque les « contractuelles » sont toutes incompétentes, c’est ce qui laisse comprendre ce discours de la plus haute pensée intellectuelle qui est, me semble-t-il, la plus haute autorité du rectorat.

Ne vous inquiétez pas, le ministère et les autorités judiciaires sont très actifs… Le verdict sera lapidaire contre la maîtresse, réjouissez-vous !

*Il ne manquera qu’une mise en scène à la Concorde avec une esplanade fabriquée pour ce fait avec des tricoteuses modernes à l’appui. Elles seront nombreuses.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

CONSTANZA ET LES SERPENTS PROCHAINE PUBLICATION

8 septembre, 2024 (13:58) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

VILOGIA RECONNU PUBLIQUEMENT COMME BAILLEUR SOCIAL ABUSIF ET ILLÉGITIME (article en préparation)

8 septembre, 2024 (10:37) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

VILOGIA RECONNU PUBLIQUEMENT COMME BAILLEUR SOCIAL ABUSIF

ET ILLÉGITIME.

JE BÉNÉFICIE DONC DE LA LIBERTÉ

DE FAIRE PREUVE D’ÊTRE

ESCROQUÉE  IGNOMINIEUSEMENT

PAR SA DIRECTION.

ARTICLE EN PRÉPARATION

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

Locataire d’une HLM délabrée et louée à Poissy dans des très mauvaises conditions

Locataire qui n’a jamais eu de retards ni d’impayés de loyer, la soussignée est une locataire exemplaire que la direction de VILOGIA dès son entrée dans les lieux, ne cesse de l’attaquer aussi bien du point de vue administratif que factuel.