CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

SITE LITTERAIRE ET DE CRITIQUE SOCIETALE-ARTISTE PEINTRE ET POETE-ECRIVAIN

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VISION NOCTURNE DE KRASNOÏARSK L’ÉGLISE DES VIEUX CROYANTS, ILLUMINÉE, ELLE EST MAGNIFIQUE !

6 décembre, 2025 (19:54) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

AVEC CE TUTORIEL JE DANSE TOUTE SEULE ICI ! MERCI !

6 décembre, 2025 (19:51) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

J’IRAIS TOUT DE SUITE ME JOINDRE À VOUS !

6 décembre, 2025 (19:49) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

« OBLAKA  » = NUAGES – DANSONS AVEC LES JEUNES RUSSES !

6 décembre, 2025 (19:41) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

ESTHÉTIQUE FAITE DE GÉOMÉTRIE DE FORCE ET D’UNE SUPRÊME ÉLÉGANCE – N’ENTREZ JAMAIS DANS LA UE – NE SOYEZ PAS INCONSCIENTS!!! !

6 décembre, 2025 (19:30) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LA SUPÉRIORITÉ IMMUABLE DE L’ORIENT

6 décembre, 2025 (19:24) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

REGARDEZ-LE ! IL EST UN DANSEUR UNIQUE, IL DONNE UN COURS DE PÉDAGOGIE À L’OCCIDENT !

6 décembre, 2025 (19:20) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

BRAVO MONSIEUR LE PROFESSEUR ! – JE VOUS SUIS, VOS ESSAIS SONT REMPLIS DE VÉRITÉS INCONTESTABLES – C’EST VOUS QUI DEVRIEZ ÊTRE ÉLU MINISTRE DE L’ÉDUCATION !!!

6 décembre, 2025 (17:47) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Durcissement du baccalauréat : si on le notait comme il y a 40 ans, « on aurait un taux de réussite de 60% », assure un enseignant sur RTL https://share.google/cAKmWDYhNYJZk9rXH

 

 

Chers Lecteurs

Je pense qu’il faut être plus stricte, je n’octroie aucune condescendance en matière de connaissances,  l’intransigeance doit être de mise, il y a eu une génération qui assurait le socle culturel de la France, ces grandes figures disparurent dans les années 1979, après personne n’est venue les remplacer. Où étaient ceux qui furent leurs disciples ?

Le problème est qu’il s’est installée une déformation de ce qui doit être la pédagogie, elle fut balayée pour donner la place à l’improvisation aussi mal comprise, (elle est admise chez l’enseignant quand il n’a pas eu le temps de préparer son cours! et parce qu’il a déjà un acquis solide)

La rigueur, elle se maintient dans deux seuls secteurs de l’Art:  la musique et la danse, là on ne peut pas tricher et, pareillement  dans les domaines scientifiques, où la gnosis est implacable, aucune déviation ou un « à peu près » n’est admis.

Le ministère s’est rempli de politicards et de mafieux, le socle culturel devint absent à tout jamais, et les solides méthodes pédagogiques de jadis balayées, le professeur n’est plus le maître qui transmet « des connaissances, » mais « un animateur' », qui doit bouger dans la salle, comme s’il était dans un plateau de télévision, le mouvement physique doit remplacer la quiétude du maître qui devant ses élèves dévoile des vérités à l’aide de son tableau, le meilleur élément pédagogique dont nous disposons, avec nos livres, pour motiver et démontrer à nos élèves des choses importantes.

Mais cette méthode fut méprisée, et les plus perfides et criminels fonctionnaires du ministère piétinèrent sur le socle qui maintenait le niveau culturel de la France et, le remplacèrent par  leur méthode de l’ignorance  qui ordonna aux professeurs de mal enseigner avec leur manuel obligatoire de la stupidité la plus basse et crétine : il fallait sortir sortir des élèves, ex nihilo, des connaissances qu’ils ne possèdent pas, qu’ils n’ont jamais apprises et à tâtonnements, ils devaientt répondre au professeur qui ne sait qu’un peu plus qu’eux! 

Les nouveaux mouvements sociaux et politiques arrivèrent aggraver la situation, la nouvelle doctrine imposait de ne pas abasourdir les « pauvres élèves » d’un savoir devant lequel ils allaient se sentir  « inférieurs », le professeur a dû par ordre du ministère, garder ses connaissances, et « se mettre au niveau des élèves ». J’ai toujours désobéi.

Un jour, dans les années 92, un inspecteur d’un lycée parisien s’est écrié après assister à mon cours  d’espagnol de Terminale littéraire: « Vous vous croyez en Sorbonne ici? »

Je lui ai répondu: « non monsieur l’Inspecteur, je me crois en pré-universitaire et mes élèves sortiront de mes cours  bien formés »

J’eus un ZÉRO et maintenant, j’ai une « retraite-pourboire »,  parce que j’étais (et je le reste) un professeur d’excellence, grâce à mes maîtres qui me formèrent.

Le manque de véritable formation pédagogique au sein des universités françaises qui dispensent les cours de LICENCE sont défaillantes et remplies des océans d’ignorance, les professeurs sortent ignorants et mal formés.

Les cours de français et des langues étrangères sont le laboratoire d’une mauvaise formation qui  veut construire des élèves passifs et sourds-muets, parce que à la perfidie de ces fonctionnaires  qui savent tout le mal qu’ils répandent aux élèves et à leur pays, s’ajoute un vice gravissime, ils sont des pédants maladifs qui veulent remplacer la grammaire et l’orthographe (lire Grammaires de la Création de George Steiner) par une érudition pédante qui doit rester à la marge dans le premier socle de l’apprentissage formel de la langue.

Pour résumer, l’enseignement d’une langue est très simple, nous avons besoin de très peu pour y parvenir, Steiner dit qu’il suffit d’un bon professeur d’une table et d’un livre, mais plus spécifiquement nos devrions exiger :

Programmes bien faits.

Application stricte d’ une méthode.

Manuels adaptés.

Professeur biens formés.

L’application  de ce véritable ENSEIGNEMENT veut dire que les élèves devront APPRENDRE et pratiquer !

Et, avant de fermer cette « unité » de programme « bien fait », devra venir l’évaluation, elle sera optimale si professeurs et élèves conjuguent en parfaite harmonie ce dialogue où au début il y  aura toujours  un déséquilibre, et ils devront l’accepter , le pédantisme dehors,  les élèves devront s’efforcer pour aprendre et se mettre au niveau, et devront savoir que le professeur sait beaucoup  plus que ses élèves pour arriver à équilibrer cette différence, c’est ça la véritable relation entre maitres et disciples, et  pour qu’ils dépassent un jour leurs maîtres,  et enrichir  ainsi la chaîne de la connaissance.

De mémoire, je me rappelle de ce que George Steiner a dit à ses élèves en leur donnant l’essence de toute pédagogie, celle qui s’enferme dans ce dialogue prodigieux qu’est le transmission de connaissances,  George Steiner a dit à ses élèves:  « je sais presque tout, vous ne savez presque rien, cette annéesnous allons équilibrer çà ».

Pour parvenir à ce stade de perfection nous n’avons besoin que d’une seule chose: 

Balayer du ministère  de tous ces perfides incapables qui ont envahi et  infesté le ministère de l’ignorance nationale.

Carmen Florence GAZMURI-CHERNIAK

NADEZHDA

L’ ON ATTEND NOËL À KRANSNOÏARSK UNE PURE MERVEILLE !

6 décembre, 2025 (13:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LA SUPÉRETTE ET LA FEMME SOUILLÉE

6 décembre, 2025 (12:56) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

              

 

                      LA SUPÉRETTE

 

 

                           ET LA FEMME SOUILLÉE

 

 

 

La femme est grosse, crasseuse, mal habillée avec des vêtements disparates,  sales et sombres,  ses cheveux sont noirs et en désordre, comme si elle ne s’était coiffée depuis longtemps, une masse obscure et comme une boule de laine enchevêtrée lui entoure le visage ridé comme ces morceaux de charbon déjà refroidis ou ces vieux morceau de bois avec une croute brûlée; et ses yeux noirs d’un regard maléfique bougeaient avides en essayant d’attraper Véra pour la détruire, Véra fait semblant de ne rien voir et s’occupe de préparer ses courses pour les étaler sur le comptoir, la femme avec deux amies et voisines se tiennent derrière Véra, prêtes à l’assaut comme des animaux sauvages.

Véra avance pour commencer à sortir de son panier  qui est rempli de ses petites  courses pour  les placer sur le comptoir, les deux femmes sont derrière elle et bavardent. Une fois que Véra a reçu le ticket de caisse, elle donne le chèque et sa carte d’identité au caissier, tandis qu’il remplit le chèque dans sa machine, Véra avait déjà rangé ses courses das son charriot, mais, la femme aux cheveux enchevêtrés avance insolente et de tout  son gros corps, elle arrive facilement à occuper toute la place du comptoir pour éviter que Véra puisse signer.

La voisine de cette exemplaire se met à côté celle pour l’épauler dans son entreprise de « blocage », elles ne veulent que provoquer Véra et que la bagarre propre à « LA CITÉ »  explose.

La femme sombre s’avance de toute la masse informe de son corps et elle arrive de sa corpulence occuper tout le comptoir ! Laissant dehors Véra sans un seul centimètre pour pouvoir s’appuyer et finalement signer son chèque.

Insolente, elle lui interdit l’espace pour qu’elle puisse signer le chèque qui lui tend le caissier… Véra lui dit : «  Madame, vous permettez s’il vous plaît ? Je n’ai pas encore fini », la femme lui crie d’un regard noir et insolent, sans bouger… « Mais je ne vous ai rien dit ! »

Provocatrice, elle se tourne vers sa voisine, pour se moquer de Véra, et entre les deux commencent les moqueries verbales contre Véra, et elle cherche la bagarre pour que Véra réponde, sauf que Véra, silencieuse prend le chèque pour le signer, mais s’éloigne et laisse la caissier en attente, car elle a dû aller quelques mètres plus loin pour s’appuyer sur un mur pour signer son chèque.

Elle retourne à la caisse, sans dire un mot, sans les regarder, Véra tend le chèque au caissier, et lui dit « Merci, au revoir monsieur » et s’éloigne de la supérette se jurant ne plus entrer même pas par une urgence de faire ses courses, comme ce jour-ci, et sous l’effondrement de ces deux femmes crasseuses, les plus crasseuses de cette « CITÉ HLM », Véra part pour rentrer chez elle et dans son for intérieur, elle se dit : « je vais m’armer de patience pour voyager à Paris faire mes courses, même si je dois perdre quatre heures dans le transport, au moins dans la capitale ces comportements n’existent pas et l’on reste anonyme «.

Aucune bagarre n’obtint la femme souillée et Véra dans un silence absolu s’éloigna pour ne plus revenir à « La Supérette ».

 

 

NADEZHDA