CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LA FAC FRANÇAISE AU XXI S.

27 septembre, 2025 (08:52) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LA FAC FRANÇAISE AU XXI S.

 

 

Chers Lecteurs,

À peine deux semaines de cours et déjà des problèmes…

Aussi bien dans mon pays d’origine qu’ici en France, l’on dit que ceux qui s’inscrivent en langues n’est que parce que leur moyenne ne leur autorise pas à s’inscrire dans des universités qui forment pour exercer dans  des professions libérales, médecine, droit, carrières d’études internationales qui s’adressent aux futurs diplomates, hisoriens et ceux qui deviendront des spécialistes en sciences politiques, les études des langues n’offrent qu’un espace très réduit de travail professionnel, ou bien l’enseignement ou bien la traduction qui sont en France deux champs de travail mal payés pour vivre en suppliciés toute une vie, donc c’est la médiocrité qui s’installe.

Seulement deux semaines m’ont servi pour prendre la mesure des défaillances gravissimes qui forment partie de ce cercle vicieux dans lesquels « se formeront » les futurs professionnels de la France et qui occuperont les places de la formation secondaire, les futurs « professeurs. »

Si je me suis inscrite encore une fois en « Russe » c’est parce que je n’ai pas d’argent pour me payer un professeur particulier de russe. Les prix demandés par l’ambassade, des cours d’excellente qualité, il faut débourser 760€ par semestre, ma retraite de 10130 € ne me permet même pas de survivre et d’arriver au 17 du mois. Je suis tenace et ma volonté est à toute épreuve, mais je ne peux pas aller à contre-nature.

Je suis déçue.

Parler des difficultés pratiques à l’intérieur et à l’extérieur,  c’est parler d’argent.

Je vous donnerai les détails, et par d’autres raisons qui sont aussi assez importantes et qui appartiennent à la façon comme le gouvernement gère l’enseignement supérieur.

Mes points de comparaisons sont vastes, d’une part, par celle qui fut mon Université formatrice d’origine, qui pourrait imaginer que le « pays du Tiers-Monde » dont je suis née et d’où je suis arrivée, aurait pu me donner une formation universitaire bien supérieure à celle donnée par la France !

Dans mon pays natal, aucun de mes Professeurs de fac, ne resta avec ses études faites au Chili, ils sont venus se former en Allemagne pour la philosophie, l’Espagne pour notre matière principale et, en France pour la linguistique. L’écart d’un demi-siècle n’a servi que pour dégrader le niveau des études universitaires en France et donner des postes à ceux qui ne méritent que de rester au niveau de l’enseignement primaire.

Les problèmes des étudiants, de bon nombre de mes camarades de classe n’ont qu’un seul dénominateur commun: la pauvreté.

Elle forme le pilier de tous leurs inconvénients, il n’est autre que l’argent.

Le manque de possibilités pour se loger à bas prix, les longs trajets dans les transports et les difficultés au quotidien qui doivent partager entre la perte temps insoutenable pour un étudiant qui doit travailler pour financer ses études et en même temps accomplir l’obligation de faire les devoirs et étudier comme il se doit est une aberration insurmontable.

Moi, si j’étais jeune, je ne pourrais pas tenir dans un partage infernal de travail-études en parallèle, alors les mauvaises notes ne tarderont pas à se partager avec une très médiocre formation que les professeurs pardonneront et « laisseront passer », par l’éternelle « solidarité  » avec la pauvreté  de leurs étudiants, mais il se trouve que l’excellence ne peut se créer de force avec la condescendance et la pitié.

Et c’est ainsi qui s’est installé en France un roulement sans fin que personne ne brisera : LA MÉDIOCRITÉ.

Je suis ahurie de voir que des étudiants n’ont pas à manger correctement. J’ai dû à deux reprises, que je ne renouvellerai plus jamais, aller « déjeuner » dans la cantine de la fac. Que pense le gouvernement ? Que les jeunes sont des prévenus d’un milieu carcéral ? Nous connaissons les cantines des centres scolaires.

On y trouve le choix des assiettes déjà préparées, et les plats chauds servis par les cuisinières, sauf que pour des jeunes de 18 ou vingt ans, manger des portions d’enfant de 6 ans est absurde et du vol en matière d’argent. Comme première critique, le chef de cuisine devrait savoir que s’il cuit jusqu’à laisser transformées en  purée les courgettes, il tue le taux de vitamines et des sels minéraux, l’étudiant se trouve avec son assiette (moi comprise) avec deux cuillères à soupe d’une « mazamorra » qui ne lui sert à rien comme nutriment.

Le cuisinier du Crous, entretenu par l’État, doit savoir aussi que trois petits nuggets ne comptent pas le taux de protéines dont a besoin le cerveau d’un jeune qui fait des études.

Trois petits nuggets est la ration d’un tout petit enfant !

Et c’est celui-ci le plat principal d’un plateau de déjeuner d’un jeune étudiant universitaire d’un pays qui se dit « EUROPÉEN ?! »

Messieurs les ministres, vous vous moquez du monde !

Je vous bannis à vous tous !

Le petit pain, un seul par élève, sont de la semaine dernière, un pain doit être frais et croustillant, même pas dans les hôpitaux publics, l’administration  ne programme de servir de pain périmé !  Vous y allez trop loin  messieurs les ministres !

Si l’étudiant vit dans une chambrette, il lui sera bien difficile de se préparer un repas et emmener son « crasse-coute » à la fac, pour ce faire, il faut comme préalable qu’il ou elle fasse ses courses  personnelles ou bien qu’ils aillent chercher les produits au « resto du cœur «, pour les plus pauvres, et prévoir de faire à manger pour la semaine, cela exige aussi d’avoir un frigo, dans ces conditions les problèmes pratiques s’accumulent et ils décident de faire le plus facile, faire la queue pour un plateau prêt que s’ils sont boursiers ne leur coute qu’un euro. Mais sachez qu’un Euro c’est déjà beaucoup pour un étudiant qui n’a rien, mais exiger de comprendre cela devient une prouesse de « critique sociétale.»

La stupidité de l’organisation à l’intérieur de la fac est assommante, parfois, nous n’avons qu’une heure pour déjeuner et parfois, nous n’avons pas de pause, alors s’enchaînent les cours du matin avec ceux de l’après-midi.

Ils me font éclater de rire les étudiants, ils disent : « ici, c’est le Goulag !  »

Ils ont entièrement raison. Il y a des fautes irréversibles qui sont dues à l’idiosyncrasie française, elles resteront inamovibles, d’autres seraient susceptibles d’être corrigées, mais la prépotence de certains professeurs…

J’ai demandé à un de mes camarades assis par terre, mais tu ne vas pas déjeuner ?

Non, me dit-il, « la queue est tellement longue que je me suis découragé j’ai mangé un sandwich »

Quelle bêtise insupportable, celle du Crous,  je suppose que c’est pour réduire le personnel qu’ils ne mettent qu’une seule caisse, et à l’heure du déjeuner la queue est si longue, que le temps de la faire, passe l’heure du déjeuner. Nous ne pouvons pas évaluer ça comme de la bêtise, mais comme une malveillance lourde, car elle pénalise les étudiants.

Les étudiants qui sont entretenus par leurs parents, Ah, là, c’est autre chose, avec de l’argent, nous pouvons surmonter tous les crétinismes d’un pays comme la France. De ceux qui se sauvent par leurs propres moyens financiers, je ne vais pas me soucier, parce qu’il n’y a rien à critiquer, j’ai été aussi une des leurs quand j’étais jeune de leur âge, papa me finançait des études et j’ai fait mon parcours universitaire comme une princesse, il me donnait les moyens de faire mon parcours avec excellence. Et, pour mes diplômes français, je travaillais comme Professeur à l’E.N. , j’ai été très mal payée, certes, mais je n’assistais pas aux cours, ce qui était déjà un grand avantage pour ma vie pratique.

Que faire de ce tas de misérables obstacles pratiques qui nous ont imposés au quotidien ?

Moi, je n’ai aucune obligation d’obtenir un « diplôme » comme mes jeunes camarades de cours, mais il va de soi qu’il vaut mieux l’avoir bien entendu, mais je n’étudie pas le russe pour être diplômée et par des raisons utilitaires, je suis en fin de parcours existentiel et rien ne me soucie, mais quand nous arrivons à la vieillesse, nous sommes plus sévères face au vol de notre temps. En tant que vieille, je ne tolère pas qu’on me fasse perdre le peu de temps qui me reste à vivre. Si je ne peux profiter pour obtenir ce que je veux et dont j’ai le droit d’exiger, un apprentissage de la langue russe dans des conditions optimales, je quitte le champ ipso facto.

Pour ce qui est de l’apprentissage du russe, notre professeur est excellente, mais pensez un petit instant, personne n’a besoin d’être diplômé Bac+ 8 ni sortir d’une grande école pour comprendre que dans un amphi de 80 élèves, ni le pauvre Professeur ne pourra enseigner dans des bonnes conditions, ni les élèves ne sortiront à la fin du parcours en parlant et en écrivant le russe, donc la dernière nouvelle est que l’amphi sera divisé en deux groupes en alternance.

Mais quand bien même nous ne serons que la moitié…

 

J’ai un week-en lourd de réflexion entre mes affaires judiciaires pour fuir cette HLM d’enfer et regagner Paris, mes rendez-vous médicaux pour faire valoir mes droits de dangerosité en respirant l’air toxique des moisissures dont VILOGIA devra rendre des comptes aussi bien que mon assurance, finir de corriger mes livres, et finir deux toiles, j’aurais besoin d’une sieste !

À très bientôt Chers Lecteurs !

NADEZHDA

UN RAPPEL DES PREMIERES PAGES DE MON PROCHAIN LIVRE : VÉRA, LA CANAILLE ET SA COMPLICE

27 septembre, 2025 (06:25) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

COUVERTURE

CARMEN FLORENCE GAZMURI CHERNIAK

 

                    NADEZHDA

 

 

                     VÉRA

 

 

          LA CANAILLE ET SA COMPLICE

        UNA MAFIA EN BANDE ORGANISÉE

                       NOUVELLE

 

 

Auteur : Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

ISBN: 9782916501444

Dépôt légal : octobre 2025

Toute reproduction ou publication, même partielle de cet ouvrage, est interdite sans l’autorisation préalable de l’auteur.

 

 

 

                              LIMINAIRE

 

AVERTISSEMENT

 

 

Les personnages, les situations décrites et les lieux sont inventés, toute ressemblance avec des personnes de la réalité doit se considérer comme coïncidence née du hasard de la Vie.

Cette nouvelle est un récit fictionnel.

                         CHAPITRE I

        LE LOGEMENT ET LES LOGEUSES

 

 

Véra se réveilla très tôt ce matin-là, l’été et la lourdeur de la canicule était tombée pour rester deux longs mois serrant avec l’air irrespirable avec sa griffe de plomb..

L’arrivée de l’été était pour Véra un véritable châtiment, elle qui dans sa jeunesse ne manquait jamais de partir au bord de la mer avec sa famille qui avait une cabane parfumée aux pins et aux eucalyptus. Ils quittaient la capitale dès que les cours prenaient fin.

Mais, Véra avait cru bon de tout quitter pour faire une Croisade artistique qui ne pouvait que lui donner des fruits dans son imagination, la vérité est que la fille adoptée par ce pays du Tiers Monde l’avait trahi ; ce pays du tiers Monde où elle décida de s’exiler, sans que personne ne la chassa de son petit pays et que personne ne l’ait invité dans celui qui devait devenir son pays d’adoption, c’est ainsi, qu’elle fut dès le début méprisée, de ceci il y a déjà tant d’années que Véra s’est vue très vite jetée à la poubelle du pays qui l’adopta. À présent, Véra vit dans un pays du Tiers Monde, et pour elle le plus tragique est que dû à son âge si avancé, elle ne peut plus s’en aller vers d’autres lieux paisibles. Elle fut traitée comme un déchet, et le seul lieu de vie qu’elle a pu obtenir fut ce terrain obscène entouré des gens canailles.

Elle vit dans une banlieue très pauvre, grisâtre et négligée, de celles qui abritent des populations ghétorisées planquées dans des espaces dépourvus d’intérêt culturel, ces espaces étaient le portrait parfait du néant fait des bâtiments si mal construits, de si mauvaise qualité qu’au cours des années, à présent ils ont tous plus d’un demi-siècle qu’ils ont déjà fait leur temps, « ils devraient être dynamités » se disait-elle dans son for intérieur. Parce que par le passé, c’était coutume courante de dynamiter des immeubles qui étaient construits avec des malfaçons et qui donnaient des maladies graves aux habitants, mais comme tout pays du Tiers Monde, ces maux accompagnés de bien d’autres encore plus graves, faisaient de lui  un espace à fuir.

Le bâtiment de la « Cité » qu’elle habitait, avait été construit il y a une soixantaine d’années et il était devenu  si délabré aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur qu’il ne pouvait plus intégrer plus de rafistolages.

De l’extérieur des murs sans protection contre l’humidité arboraient des moisissures répugnantes et jaunâtres qui couvraient murs et balcons, elles grimpaient comme de la mousse collée aux murs avec des années de cohabitation des plus crasseux ni l’État qui est le propriétaire de ces immeubles, ni leurs gérantes, et moins encore les habitants ne s’inquiétaient outre mesure de ces lieux de vie, bien au contraire, ils n’ont pas de point de comparaison comme Véra, et dans tout pays du Tiers Monde l’on jette là les indésirables, ils sont là, bien accommodés au seul mode de vie qu’ils ont toujours connu.

Les caves et les dépôts des poubelles étaient le champ qui se remplissaient de rats et cafards et aucune fenêtre ne pouvait rester ouverte trop longtemps, parce que les chambres se remplissaient des guêpes, mouches, cafards, araignées toute une longue espèce d’insectes qui grimpaient comme chez eux et toute tranquillité.

L’immeuble de Vera était très loin du Centre-Ville, et encore plus loin de la capitale, elle prenait quatre heures de transport dans un « aller-retour » avec des attentes interminables en changeant trois fois de moyen de transport, mise à part la fatigue si ces trajets devaient se faire au quotidien, Véra qui était née dans un pays moderne avec toutes les facilités pour se déplacer et qu’elle habitait dans des propriétés de standing, la force destructrice de se voir forcée à vivre dans les bas-fonds, menant un train de vie qu’elle n’avait jamais connue ni n’avait jamais pensé connaître, Véra désespérait de ne pas pouvoir faire ses valises et partir.

Elle n’en pouvait pas…

La pauvreté doit se laisser bien loin des quartiers résidentiels, pour qu’elle reste invisible, c’est comme les poubelles qui doivent rester cachées, là-bas, au fond du couloir ou en bas des bâtiments, pour qu’elle ne soit  partagée qu’avec les rats et cafards qui restent indifférents aux passages de désinfection annuels ; l’odorat pestilentiel et la vision de cet enfer sont des résidus des décennies d’erreurs systématiques des gouvernements de ce pays qui l’avait si mal adoptée, il y a tant d’années auparavant qu’elle avait perdu l’habitude de les compter, cela lui faisait naître une série de sentiments de remords, de culpabilité et de colère.

Elle était consciente qu’elle avait fait une erreur grandiose, mais certes, avec des circonstances atténuantes, elle avait tout quitté de son pays de naissance, un pays  propre et moderne, héritier de l’Espagne, avec des modes d’hygiène à l’espagnole, les gens là-bas quand b même très pauvres, ne se séparent jamais de l’eau et du savon, et « El Cloro » (l’eau de javel) est dans l’idiosyncrasie du peuple.

Véra avait commis une erreur en venant s’installer dans un pays du Tiers Monde; vu les événements qu’elle venait de subir elle se dit qu’à présent elle ne pourrait plus jamais faire des projets d’avenir que par la pensée, son âge l’interdisait recommencer et fuir ce pays appauvri, rempli des mafias, des habitants aux comportements grossiers, un lieu habité par des gens sans culture, néfaste de tout point de vue, elle voulait tout recommencer et voler vers des horizons paisibles et vivants, de ceux qui sont proposés par des pays civilisés, des pays de longue culture et habités par des gens raffinés, aux moeurs distingués, aux coutumes ancestrales qui révèlent ces modes exquis de vivre qui sont la courtoisie et le respect.

Mais, de trop penser à trouver une solution, Véra trouva enfin un moyen de s’évader, Véra du fond de son abîme trouva miraculeusement, un moyen de s’en aller…Véra se dit non ce n’est pas miraculeux, parce que tout ce qui nous arrive est le fruit de notre travail et de notre effort; ce qui avait de surprenant dans sa trouvaille est qu’elle s’est emparée d’un « espace » de vie où elle pouvait tourner le dos à ce présent, et ça c’était une victoire inopinée contre ses ennemis.

Lors de son premier voyage dans « le pays du Tiers Monde », elle écrivit des lettres à un ami de son père qui était poète.

Dès qu’elle décida de faire son second voyage, cette fois-ci pour rester définitivement, il lui donna une lettre de présentation pour la donner au Président du P.E.N. Club de Paris.

Cet ami poète, il aimait recevoir ses lettres, cet ami lui disait : «  tu écris si bien, tu décris tellement bien les lieux qu’on s’y  croirait, n’abandonne jamais ce don, tu te dois de le cultiver, raconte tout ! » Véra pensait souvent à lui, à ses Professeurs à tous ceux qui la formèrent à s’approprier de l’espace magique des lettres. Là-bas la jalousie n’existe que dans le domaine de la peinture, parce qu’il n’y a pas de « tradition » et parce que tous ne sont que des barbouilleurs, mais dans l’espace littéraire, exigeant et rude, il n’entrent pas les dilettantes, bon, elle l’avait quitté,  ce pays qui l’avait vu naître, Véra ne savait ce qui se passait après son départ…

Ce petit pays moderne qui lui donnait des vacances au bord de la mer, la vérité est que c’était son père, et lui seul qui avait construit la Cabane Orange pour sa Maman pour célébrer sa naissance… Pour bercer son enfance entre pins et eucalyptus. Il y a presque un demi-siècle qu’elle avait tout quitté qu’elle avait fui, elle n’avait plus ni de famille là-bas ni d’amis, comment pourrait-elle savoir ce qui se passait après son départ ?… Pour rester en vie, pour échapper à la douleur, elle essayait de ne pas céder à la mélancolie, elle se savait la seule coupable d’avoir tout lapidé pour ce pays du Tiers Monde ; ne pas regarder en arrière, c’était sa devise pour avancer, le passé ne nous appartient plus, se disait-elle, ni pour le corriger ni pour y intervenir, le passé qu’elle gardait, c’était seulement la vénération à ses parents. Sa faute ne pouvant pas la corriger, elle ne devait pas non plus gâcher le peu de vie qui lui restait.

Du plus loin qu’elle se souvienne, elle n’avait jamais rencontré des bailleurs de la mafia, jamais. Quand elle arriva, ses premiers bailleurs étaient tous des braves français qui louaient à des particuliers, sans lui provoquer le moindre problème, l’idée qu’elle se fit de la location était idéale.

Véra donnait toujours les meilleurs avis de ses anciens bailleurs, tous sympathiques qui parfois riaient à l’écoute de son histoire et aimaient qu’elle vivait seule avec sa mère. Ces bailleurs Français recevaient le loyer mensuel par chèque qu’elle envoyait par la poste. À son époque, il n’existait ni l’internet et les « virements bancaires » et les prélèvements n’étaient pas d’usage, de ce côté-là, non plus jamais Véra ne rencontra de problèmes. Quant à l’entretien des appartements, d’habitude, c’était le même bailleur qui l’appelait pour savoir si tout allait bien ou occasionnellement passaient prendre de ses nouvelles.

Véra croyait que son avenir serait toujours le même, paisible… Mais ces erreurs,  oh quelles graves erreurs elle avait commises, le plus grave fut son idéalisme, il fut sa perte, dès qu’elle obtint la nationalité française, elle commit la plus grave erreur de sa vie, non, pas la plus grave, la seconde qui a suivi à la première, elle suivit le conseil d’une collègue et se mise à louer dans le champ locatif social.

Mais, dans ses débuts, là-non plus, Véra ne rencontra pas des graves contraintes; il y avait parfois des dysfonctionnements, mais avec le dialogue, tout finissait par s’arranger, d’habitude même quand sa Maman avait vieilli et devenir invalide, et qu’elle devait être mutée vers un autre appartement accessible, à l’invalidité de sa Maman, un ergothérapeute qui leur avait rendu visite régla le problème très vite et dans deux mois elle obtint la mutation vers un autre appartement accessible à sa Maman, dans un quartier qu’elle aimait et connaissait parfaitement bien, elle y avait l’attache, il y étaient tous les médecins qu’elles connaissaient depuis des nombreuses années, il y avait les lieux culturels dans lesquelles elles se rendaient tout le temps, et pouvaient aller à pied, Véra poussant le fauteuil roulant de saMaman vers d’autres quartiers très animés du centre de la capitale, et que de mieux pour Véra, elle trouvait tout dont ellen avait besoin dans les rues avoisinantes remplies de commerces où elle avait pris ses habitudes, tant d’années passèrent là sans véritables difficultés.

Mais le destin tragique la persécuta. Sa Maman subit un infarctus et le « Médecin Traître-Tant » lui refusa les soins, non satisfait de sa meurtrière intervention dont aucun médecin ne laisse de traces de son crime, car on ne tue pas seulement à bout portant, ni à l’aide d’un scalpel, un médecin peut si facilement tuer sans laisser aucune trace en refusant les soins à sa patiente, ensuite, il n’y aura personne au monde qui pourra le contredire, car dans ce pays du Tiers Monde, ce qui prévaut c’est le jargon professionnel, jamais la Vérité, et les jugement collégiales ont des avantages, ils se tiennent à huis cols, la décision du Conseil de l’Ordre que Véra nommant « Le Conseil du Désordre » aura toujours raison car ils agissent en mafia collégiale, pour défendre leurs confrères et jamais les victimes malades, donc ce SICAIRE, commandité par « La mafia de la rue Gris » qui hébergea Véra et sa Maman, enfonça sur la Maman de Véra tous ces instincts criminels pour en bon commanditaire de sa propre mafia, et pour donner la dernière estocade à Véra, non seulement la laisse crever à la maison dépourvue de soins, mais quand Véra décida de sa propre initiative a désobéit le Sicaire et elle même amène sa Maman inconsciente à l’hôpital, elle ignorait que elle l‘emmenait au lieu de sa dernière torture parce que le chef de Service obéit aux ordres criminelles du Sicaire et lui et son « équipe médicale » se mirent à agir  de manière criminelle et sans raison autre que celle d’interdire à Véra de rester la nuit à coté de sa mère agonisante, ils se refusaient!, tous étaient contre Véra lui donnant à sa Maman un traitement indigne, lui refusant aussi les soins, et la laissèrent mourir dans des conditions inhumaines, privée des soins palliatifs, la laissant souffrir une torture indicible se nécrosant à vif quatre jours durant. L’équipe de ce chef de service lui donna à Véra un traitement humiliant l’insultait au jour le jour, aussi dépourvue de témoins elle resta seule avec sa Maman dans la chambre de la douleur et de la Mort où rien ni personne ne pouvait les secourir.

Le sicaire convainc ses trois complices de l’hôpital où Véra emmena sa maman contre les interdictions  de l’y emmener, Véra ne savait pas que le chef de service était un de ses amis, et qu’il finirait de l’achever avec l’obéissance diabolique à ce traître, LE SICAIRE et, la fin programmée était inéluctable,  sa Maman subi la torture d’un nouveau refus de soins et la firent agoniser huit jours et nuits sans sédatifs, pour se nécroser à vif et mourir sur un lit dur et froid de l’hôpital semi-privé de ce quartier maudit du pays du Tiers Monde. Ce jour-là, ce pays fut le nid de la haine et de l’ignominie, un scandale inhumain vu le jour et transforma Véra à tout jamais, ce jour-là, le jour de l’assassinat de sa maman qui reste encore impuni et dont il n’y a pas de prescription, elle pourrait faire un procès, mais sans argent pour payer les honoraires du meilleur des avocats pénalisâtes du pays du Tiers Monde, c’était une pensée insensée qu’elle préféra laisser dans un recoin de son cerveau qu’elle maintenait endormi pour ne pas souffrir et pouvoir avancer ; une fissure gigantesque vint abattre portes, fenêtres et les murs d’une bâtisse existentielle qui ne se cicatriserait jamais. Véra n’avait plus de maison sans sa mère, mais ceci était au sens figuré, parce que elle continua à vivre dans la capitale de ce pays du Tiers Monde.

C’est une fois arrivée dans l’Agora de l’Enfer contre son gré, parce qu’elle ne quitta la capitale que forcée par l’exiguïté du lieu qui ne lui permettait pas de vivre normalement qu’elle a dû déménager si loin de la capitale et contre l’avis des conseillers savants sur sa situation, elle n’écouta pas et accepta ce logement  contre indiqué pour sa santé. Véra ignorait tout des logeuses et de ce qu’elle allait découvrir une fois la clé mise dans une serrure qui n’était qu’un trou où quiconque pouvait entrer comme dans un moulin. C’est juste à ce moment là, et une fois que le camion déménageur ouvrit ses portes et qu’ils commencèrent à descendre les cartons et qu’elle découvrit l’intérieur de ce logement et qu’elle prit conscience du piège où elle venait de tomber, Véra descendit aux abysses, victime de la « mixité sociale » qu’elle vite nomma « l’immiscibilité sociale. »

 

(…)

  

 

OUI, IL FAUT FINIR AVEC « LE BAC POUR TOUS », NONOBSTANT…LE PROBLÈME EST BIEN AUTRE !

21 septembre, 2025 (16:55) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

« Le niveau est en chute libre, il faut cibler les métiers manuels »: doit-on en finir avec le bac+5 ? https://share.google/ct8kVuTMXR8C5icjS

ARTICLE EN PRÉPARATION

VOICI LA VÉRITÉ QUE LE GOUVERNEMENT ET PRESQUE TOUS LES FRANÇAIS CACHENT: BAILLEURS SOCIAUX CRIMINELS !

21 septembre, 2025 (15:18) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

C’EST LE GOUVERNEMENT

LE PRINCIPAL COUPABLE DE CRIME

 

POUR DÉFENDRE LES PDG DES SOCIÉTÉS HLM

 

PAR COPINAGE POLITUQE ET INTÉRÊTS CRÉÉS.

 

VOICI LA VÉRITÉ 

 SUR LES BAILLEURS SOCIAUX CRIMINELS

 

 

JE NE VEUX PAS FINIR COMME CETTE JEUNE FEMME

QUI MÈNE UN COMBAT ACHARNÉ D’INFORMATION

POUR LE BIEN DE TOUS

 

C’EST GRÂCE À ELLE QUE JE SAIS MAINTENANT

ME DÉFENDRE !

 

 

TémoignageVal-de-Marne

Logements insalubres : le combat sans fin de Marine, 28 ans, greffée des deux poumons à cause de moisissures

Marine Leblond a été opérée le 16 mai 2022, à la suite d’une maladie causée par l’insalubrité de son logement, occupé de 2013 à 2020 à Rungis. Elle a créé une association pour informer et sensibiliser sur les dangers de la pollution de l’air intérieur. Et elle est toujours en procédure contre son bailleur.

Par Margot Mac Elhone 

Le 14 mai 2025 à 06h48

« Combat pour Marine », c’est le nom de l’association que Marine Leblond, 28 ans, a créée en septembre 2024. Il reflète l’acharnement et la patience dont la jeune femme, greffée des deux poumons à la suite d’une grave maladie pulmonaire, a dû faire preuve ces dernières années. Plusieurs experts médicaux se sont accordés sur le constat que cette maladie aurait été causée par la moisissure dans son logement de Rungis (Val-de-Marne). Un appartement où elle a vécu de 2013 à 2020 et loué

PAR LE BAILLEUR SOCIAL Valophis, contre lequel la jeune femme est actuellement en procédure civile.

LES PREUVES EN L’ESPÈCE QUE JE SUIS EN DANGER DE MORT DE TOMBER MALADE D’UNE FIBROSE PULMONAIRE

20 septembre, 2025 (20:51) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

LES MURS À CÔTÉ DE MA CHAMBRE À COUCHER

LES DÉGÂTS DE L’INONDATION PROVOQUÉE

PAR LE LOCATAIRE D’EN HAUT

 

 

Chers Lecteurs,

Les voIci, ies photos qui sont les preuves en l’espèce que je risque de mourir malade d’une fibrose pulmonaire maladie qui s’attrape de respirer l’air toxique des moisissures.

Les serpents de VILOGIA se réjouissent et ne cherchent qu’à me tuer, mais…un grave problème les attend !

J’ai déjà deux Certificats médicaux.

La FIBROSE PULMONAIRE EST MORTELLE ET IL N’EXISTE PAS

DE MOYEN DE LA GUERIR.

Si ELLES et les fonctionnaires du Service de Logement « pensent » que je vais me laisser assassiner …ils et elles se trompent.

Dès qu’on entre dans cet appartement on respire un air toxique et aérer ne sert à rien.

QUE DES  FONCTIONNAIRES D’ÉTAT

OBLIGENT À UNE PERSONNE QUI LOUE UN DE LEURS

HLM À VIVRE ET À DORMIR DANS UN LIEU

DANGEREUX PAR LES MOISISSURES MORTELLES 

QUI PORTENT ATTEINTE  À LA VIE D’UN ÊTRE HUMAIN

EST UN CRIME

VOLONTAIRE

AVEC DES CIRCONSTANCES AGGRAVANTES

Dès lundi je vais faire un scandale juridique !

 

 

Carmen Florence Gazmuri-Cherniak

NADEZHDA

 

ET SI J’OUVRE LA BOÎTE DE PANDORE ? 2è PARTIE.

20 septembre, 2025 (19:34) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

  ET SI  J’OUVRE LA BOÎTE DE PANDORE ?

 

 

2 ème PARTIE

 

 

 

Chers Lecteurs,

Le bailleur social VILOGIA est bien connu de la presse et des médias audiovisuels, pour ce qui est de leurs délits publics : tromperie, discrimination des handicapés, « faux et usage de faux » avec lequel Vilogia persécute les locataires pour leur extorquer de l’argent avec des fausses factures de « régularisation des charges » de chauffage et d’eau froide.

Factures qu’elles inventent et facturent à leur guise et SANS COMPTEUR INDIVIDUEL ce qui est le plus grave du point de vue strictement juridique.

Lesdites factures dépassent les 1500€, la mienne pour l’heure est de 1600€ que je n’ai pas payée naturellement, et que je ne paierai JAMAIS, car ici,  il ne peut y avoir ni de dépassement de chauffage, il est COLLECTIF et nous le payons en hiver comme en été en pleine canicule! Ledit paiement est greffé au loyer et pour ce qui est de l’eau froide, cette fausse facture est aussi une escroquerie, parce que je n’ai pas de lave-linge donc VILOGIA doit savoir qu’à la porte de cette HLM aucune facture abusive ne sera jamais payée par la soussignée que cela soit clair et définitif.

Pour ce qui est des délits particuliers que VILOGIA maintient à titre exclusif contre moi :

3  délits pénaux avec lesquels il me persécute de manière scandaleuse Ces 3 délits pénaux qu’elles persistent à maintenir à mon encontre, le restent depuis mon arrivée il y a déjà 5 années durant, parce que je n’ai pas eu la chance que le BAJ me désigne un avocat expert en loi DALO et loi ALUR. Nous verrons maintenant. Je suis tenaces j’attends la réponse du BAJ.

S’il vous plaît, ne me demandez pourquoi tout ce cirque criminel contre moi, je vous le redis, je ne suis ni criminologue ni psychiatre avec de tels éléments considérés « humains » leur abjection est si ample et profonde que nous, des simples et innocents êtres humains, sans motivations sadiques, nous restons nantis face à tant de méchanceté et perfidie gratuite.

Depuis mon arrivée, ELLES, (parce que les gérantes des HLM par malheur sont toujours « des femmes ») me mentirent lors de ma visite de l’état des lieux, LA GARDIENNE de l’époque m’avait promis que le chantier crasseux qu’ils me firent visiter serait remis à neuf AVANT mon aménagement.

J’ai fait confiance, mais j’appris, plus jamais je ne signerai un bail sous promesse de faire les travaux avant mon arrivée.

Une fois que j’ouvris la porte je me suis trouvée dans un appartement crasseux, sans portes, les sanitaires immondes, vétustes, l’évier détaché du mur et rempli d’ordures!, la morte d’entrée sans serrure c’était affreux un film d’horreur tel que celui que se renouvelle à prése,nt.

et en plus tout était dangereux avec 2 fuites de gaz en provenance du chauffe-eau et du tuyau destinée à une gazinière. Les préjudices subis le jour de mon entrée furent multiples et les « travaux de rafistolage » ne commencèrent qu’une fois moi dedans cet se prolongèrent 2 mois,  terrifiants, parce que VILOGIA ne passe contrat qu’avec des jeunes apprentis qui ne savent pas travailler de cette manière Vilogia paie le forfait minime, ,il n’y a jamais un chef des travaux et en ce qui me concerne, VILOGIA a toujours installé le piège de dilater le plus possible toute intervention durant des mois, et une fois sur place retardent la réparation pour venir à plusieurs reprises et me molester le plus possible. Cela a pris fin. ;dorénavant elle devront faire le travaux de réparation quand je serai déjà bien loin d’ici.

Pour le prochain locataire elles se mettront à genoux pour leur donner satisfaction,  et ELLES lui donneront cette HLM remise à neuf totalement renovée!

Bien sûr! C’est à la Gazmuri qu’il fallait  harceler et lui donner une vie dégradante dans un appartement dangereux et insalubre pour la rabaisser le plus possible, qu’elle soit punie car « elle n’est pas comme nous  » Ça, je le connais depuis mon enfance quand les camarades de classe me harcelaient, et mon père a eu la magnifique idée de me dire ceci:

« Demain, tu vas leur demander : pourquoi vous me molestez ? »

« Alors savez-vous ce qu’elles me répondirent?

« Parce que tu n’es pas comme nous »

Terrifiant. 

Des camarades de 10 ans.

Mes parents me changèrent tout de suite d’école, ils finirent avec leurs idées faites de stupides « croyances solidaires, » parce que « le public »là-bas comme ici est en état de putréfaction et de l’intérieur;  il fallait aller au privé, j’eus le meilleur cursus et j’ai vécu tranquille.

Ici, il viendra un couple avec des « p’tits » qui feront du bruit du matin au soir, saliront l’appartement après un mois dedans et la femme restera comme « femme au foyer » recevant des allocs et continuera à faire grandir la France avec ses accouchements successifs dans l’hôpital d’à côté qui a un Service de maternité qu’ici dans cette Cité fonctionne à plein régime. Une fois le bébé sur terre, la « femme au foyer «  n’aura qu’à descendre les 84 marches d’escalier, elle n’aura pas l’arthrose aux genoux invalidante de la soussignée et n’aura pas besoin d’utiliser un lourd déambulateur qui pèse 9 kilos sans les courses. La descente familiale sera heureuse avec les 4 « p’tits » et le nouveau-né , ils seront déjà 5, pour les déposer à la crèche et école primaire qui se trouve juste en bas de cette HLM et qui donne juste dans la fenêtre en bas de « mon salon » et la chambrette où j’ai installé mon mini-atelier de peinture.

La plupart du temps, il m’est impossible de travailler par les cris et le bruit assourdissant des « p’tits » adorables. Donc VILOGIA doit se préparer pour accueillir « une famille » comme il faut.

Moi, je suis la locataire la plus détestée, je ne dérange personne, l’état de propreté de ce lieu que je loue avant l’inondation aurait pu servir de  modèle témoin de propreté, je suis celle qui  vit en perpétuel silence, cachée en ermite, ne me mêle pas aux bagarres, ne participe pas aux commérages et le pire, dès ma signature du bail, elles furent informées par mon dossier que j’étais une professeur retraitée, autrice indépendante et artiste-peintre, la pire des locataires pour une CITÉ HLM !, donc je pense vous avoir donné quelques éléments assez rudimentaires pour que vous soyez juges de la raison de leur haine et détestation.

Ceci dit, après 5 années des lettres recommandées en vain et que la fuite de gaz fut insoutenable, j’a dû porter plainte devant le Procureur de la République par ,deux fois, après 5 mois privée d’au chaude, finalement  après 7 promesses inventées par leurs complices, entre mai et le 2 septembre dernier, Vilogia, ses SERPENTS furent  obligées à changer le chauffe-eau en entier et j’ai récupéré une semaine après l’eau chaude.

Une fois ce crime remédié, juste le lendemain arrive l’inondation produite par le locataire d’en haut. 

À nouveau des plaintes pénales et je me trouve avec un problème majeur: si je ne suis pas relogée en urgence, vers une HLM sur Paris, peu m’importe l’arrondissement, je risque de mourir d’une maladie mortelle nommée FIBROSE PULMONAIRE car depuis très longtemps et encore plus gravement depuis le 6  septembre dernier, date de l’INONDATION, je suis en train de respirer l’air TOXIQUE DES MOISISSURES.

  Alors, j’ai sur moi, la tâche de les dénoncer, encore des LRAR aux autorités et prier Dieu pour que très vite un avocat me soit désigné pour aller en RÉFÉRÉ !

Sauf qu’à présent la demande n’est pas dirigée vers ce bailleur criminel qui ne veut que ME TUER PAR TOUS LES MOYENS DONT IL DISPOSE, c’est le Service de logement de la mairie de de Paris qui doit accepter mon retour à Paris.

Pourquoi ?  

Me disent-elles d’un air moqueur étudié pour me rabaisser et me faire sentir mon insignifiance et l’inutilité de ma demande.

1. Parce que je suis parisienne et que j’ai toujours vécu à Paris.

2. Parce que depuis plus de 43 ans tous mes médecins sont parisiens.

3. Parce que les trajets en taxis conventionnés entre Poissy et Paris sont une dépense abusive à la CPAM et complètement injustifiée, car si je retourne vivre à Paris, je me sers du réseau de bus parisien sans le moindre problème et je reste indépendante et autonome.

4. Parce que je SUIS VIEILLE et que je suis en état d’invalidité et que mon temps compte comme une priorité à respecter.

Les autres raisons qui imposent mon retour à Paris doivent rester en silence, connaissant l’administration, je ne le répéterai plus jamais, parce qu’autrefois, je pensais qu’en France le respect aux artistes était chose acquise et inamovible depuis que mon père était venu à Paris  en 1928 pour étudier dans l’Atelier d’André LHOTE, non, à présent sont autres « les critères » des crétins !

Il reste inutile de le commenter , parce que leur petit cerveau ne pourra jamais le comprendre, il faut que je me limite à exposer ces trois raisons qui entrent facilement dans le cadre juridique pour qu’elles soient travaillées par l’avocat.

Mon docteur a écrit en été,  avant de partir en vacances,  une belle lettre recommandée nominative au Service de Logement de la Mairie de Paris. Elle n’a pas reçu de réponse.

À la même date et conjointement, j’ai adressé la mienne au Directeur du logement de la Mairie de Paris pour apporter ma motivation indépendamment de ce que dirait mon médecin.

L’essentiel était dit, mais à l’époque, nous soulignions le motif de mon état d’invalidité.

C’était et le reste comme principale raison JURIDIQUE qui est reconnue en France dans la loi et bafouée par les FONCTIONNAIRES, elle se résume en une phrase :

« La priorité d’attribution aux HLM doit être destinée aux personnes en situation de handicap. »

Le Code de loi?

Il est connu de tous:    Décision  : N° 08-18820 CCH: L.441-1

Mon Docteur a dit aussi l’essentiel dans deux phrases bien nettes et marquées comme le Code de Loi:

« Ma patiente présente une invalidité incompatible avec la montée et descente quotidienne des escaliers totalement interdites pour son handicap est son appareillage de déplacement conçu non pour les escaliers, mais pour terrain plat. Son handicap s’aggrave au jour le jour lui provoquant des douleurs insoutenables, donc la nécessité de mutation vers une HLM parisien doit se faire avec un caractère d’urgence absolue. »

Pourquoi le Directeur du Logement passe à la trappe la lettre d’un médecin Français ?

Quelle configuration mentale ont ces fonctionnaires qui choisissent le meurtre d’une personne à feu lent  par abus de pouvoir à se conduire avec dignité et sens de l’honneur comme des personnes civilisées ?

Et-ce que quelqu’un peut me répondre?

NADEZHDA

L’INTERNET INTRODUIT DE FORCE À L’UNIVERSITÉ EST UNE CATASTROPHE CRÉTINE-L’UNIVERSITÉ COMME CASERNE

20 septembre, 2025 (14:01) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

          

 

 

                  L’IA ET LE MOODLE

 

 

POUR TRAVAILLER EN FAC CE SONT

DEUX IDIOTIES   SUPPLÉMENTAIRES

 

 

 

Chers lecteurs,

L’essai de Michel Serres « C’était mieux avant !» nous interroge sur les avancées de l’informatique introduite de force dans nos vies, quand elle se mêle aux études universitaires, c’est une catastrophe. EtUmberto Eco nous a dit que tout dépend de l’usage que nous ferons de ces poutils lodernes, certes, mais quand l’université l’adopte comme mode opératoire et diktat obligatoire d’usage quotidien cela devient une caserne universitaire et pas une formatio de haut niveau.

Je suis aussi experte dans les anciennes méthodes, car j’ai réussi mes travaux universitaires sans l’internet et quand il est arrivé pour nous inonder et nous forcer à travailler avec, je me suis mise seule sans besoin de stage et m’accommode très bien, l’usage que je fais au quotidien est celui de tout usager normal qui se connecte pour ses affaires de banque organismes divers et j’entretiens au quotidien ce blog depuis 2005, ma critique ne va pas vers l’utilité et bon usage qu’on peut faire d’un élément que l’on doit utiliser comme accessoire, qui peut offrir un avantage, pour moi, il est de me permettre d’être lue de par le monde et d’avoir un contact avec mes lecteurs en étant une artiste toujours invisible et reléguée à l’anonymat, donc dans cet état d’invisibilité et de mépris français, il m’est très utile, mais si j’avais un éditeur, je laisserais ipso facto tous les outils modernes, ils font perdre du temps et je ne vois pas l’avantage de cette usurpation de nos misérables euros pour les dépenser en questions superflues.

Je vais vous parler de l’ordre que les universités nous ont données et qui sont obligatoires, en premier lieu, ils nous obligent à « nous connecter » les cours volumineux des professeurs sont inscrits sur une section de notre section Internet personnelle qui se nomme MOODLE, il faut avoir un compte, se connecter, chercher dans la liste copieuse de la fac notre UR et ensuite aller chercher le cours par matière et Professeur. Le problème se présente quand une fois « connecté » il faut cliquer pour l’insérer dans notre ordinateur comme « enregistrement », j’ai fait un dossier « Documents Russe » or, parfois l’ordi ne le grave pas, et ce problème le subissent tous les étudiants, l’informatique joue ses primaires impératifs et cela n’a rien à voir ni avec notre serveur internet, ni avec notre maîtrise de la spuris, ce matin j’ai essayé mille fois de graver les cours d’histoire de la Russie mais tout est arrivée à la moitié de la descente monumentale des dossiers, le programme et aussi vaste que les kilomètres de ma chère Russie, alors vous pouvez facilement imaginer la profusion des documents en PDF qu’il faut enregistrer et après les étudier. Quand il serait si facile de n’avoir que trois livres et faire le bon usage de ce choix… Mais je me demande ce qui prétend les Professeurs… Je l’ignore.

La perte de temps est immense, fatigante et stupide. Pour aller vérifier, la connexion se termine et il faut tout recommencer !

L’avantage n’est que pour les professeurs, et pour la fac.

AVANT, chaque professeur nous donnait das fascicules qui préparaient les secrétaires avec le programme divisé en deux semestres, la bibliographie et les sujets principaux qui seraient traités en classe.

Maintenant tout est à notre charge, après avoir franchi la fastidieuse étape de la connexion à ce fameux MOODLE et vérifier si les documents en PDF ont été bien enregistrés dans notre ordi, il faut les imprimer ! Bonjour la dépense en papier et en encre, c’est bien sur nous qui payons tout ce monument de photocopies quand un livre est irremplaçable ! Et naturellement bien suffisant avec l’assistance aux cours et les notes que nous prenons. Sinon, à quoi bon aller à la fac traverser 50 km pour après être obligée à « se connecter » et trouver là ce que le Professeur donne dans ses cours ?

Il vaut mieux rester à la maison et suivre les cours en visioconférence !

Je suis en train de réfléchir si cela vaut la peine que je me crève pour rien.

J’ai perdu une heure dans cette stupidité et c’est une heure de ma pauvre vie que j’ai gaspillée sans rien gagner, il aurait été bien plus intelligent de m’exercer dans mes devoirs et mes exercices de russe, lire et m’occuper d’avancer.

Résultat, je laisse tomber, je suis furieuse.

Je retourne à mes livres.

Savez-vous ce qui a dit George Steiner dans son essai Maitres et disciples ?

De mémoire, pour réussir une bonne pédagogie, il suffit d’un professeur d’un livre.

 

Nadezhda

 

ET SI J’OUVRE LA BOÎTE DE PANDORE ?

20 septembre, 2025 (09:10) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

       

 

 

        ET SI J’OUVRE LA BOÎTE

 

                        DE PANDORE ?

 

 

          PREMIÈRE PARTIE

 

 

 

Chers Lecteurs,

J’ai toujours vécu à Paris. En 2013-2014 suite à la mort de Maman qui fut un assassinat par Le Sicaire qui lui a refusé les soins, « le médecin Traitre-Tant » et à une mauvaise avocate, on m’avait éjectée dans une chambre HLM de 16m 2 qui était un box garde-meubles, au lieu de me muter vers un F2 à Paris même, car je vivais à Paris avec Maman,  on m’a mutée ici dans cette immondice de Poissy. Une mauvaise gestion juridique par une avocate exécrable peut briser une vie.

Aussitôt arrivée ici, j’ai vu que mon handicap aux genoux m’interdirait la montée et descente journalière de 84 marches d’escaliers sans ascenseur. J’occupe cette HLM insalubre depuis mars 2021, mais la mairie de Paris me barre l’accès à obtenir une mutation de HLM à Paris, c’est ainsi que je renouvelle mon inscription tous les ans.

Mon dossier est rempli des certificats médicaux et d’un rapport d’une ergothérapeute diplômée d’État. Elle est venue ici en janvier 2024, je ne marchais pas encore avec mon lourd déambulateur. J’ai dû me financer moi-même cette visite parce que la MDPH ne paie plus cette intervention. Ah ! La MDPH est aussi une autre histoire « romanesque », elle est connue pour causer les plus graves de malheurs aux handicapés. Je suis à présent en litige avec cette institution, je vous raconterai…

En 2021, face au refus de VILOGIA de me muter vers son immense champ locatif parisien, ils ont leur siège dans le 14 ème, j’ai postulé en Bretagne. Une société HLM m’a attribué tout de suite une merveilleuse HLM, un F3 en rez-de-chaussé avec un arrêt de bus en bas qui me laissait à la plage dans une petite demi-heure, je me faisais le programme d’y aller tous lkes jours, parce que j’aime la mer avec un amour océanique ! Les assistantes sociales m’aidèrent à distance, le bail, je l’ai signé aussi par courrier, et j’avais donné mon préavis et envoyée moi-même toutes les lettres recommandées pour effectuer en bonne due forme mon départ, j’avais mon billet de TGV et tout était prêt pour mon départ, une seule gestion administrative me fut interdite par la société HLM de Brest, je ne devais pas prévenir la CAF pour la transmission de mon dossier, parce qu’ils le faisaient eux-mêmes afin de raccourcir les délais de traitement, alors ils le feraient une fois moi installée dans les lieux, les Bretons sont des personnes très gentilles et accueillantes. Mais…. Je n’avais pas l’argent pour me payer le camion déménageur, alors j’ai appelé ma Caisse de retraite, la CNAV et le Service « Bien Vieillir » qui paie une seule fois dans la vie d’un retraité pauvre, les frais de déménagement ou la mise en état de son habitation si nécessaire. Ils m’envoyèrent le dossier, je l’ai rempli et ils devaient payer le camion déménager directement…Mais sans preuves en l’espèce, je peux vous assurer que ce sont les gérantes SERPENTS de Vilogia toutes des femmes cyniques et frustrées qui se mirent en contact avec ses « collègues » assistantes sociales de la CNAV, qui me provoquèrent à la dernière minute le refus radical de ce paiement à mon chauffeur déménageur, 48h avant mon départ, les assistantes sociales me répondirent que le secours financier ne me serait pas versé. Quiconque  me lit peut imaginer ce qui veut dire de se trouver avec tout un déménagement préparé, un appartement réservé  un préavis de départ donné et qu’à la dernière minute, on vous dise : « on ne vous paiera pas votre déménagement »

Alors, en désespoir de cause, j’ai contacté le « défenseur des droits » m’a demandé de lui envoyer tout par mail, mais les « Assistantes sociales » de la CNAV  lui mentirent et sans aucune explication l’envoyèrent aussi sur les roses.

Alors, j’ai du courir à la gare Saint -Lazare me faire rembourser mon billet de TGV vers Brest, et recommencer l’écriture des lettres recommandées pour annuler mon départ, défaire mes cartons et subir un des plus graves et horribles désastres pratiques de ma vie.  Mais la société HLM de Brest, n’a pas compris en quoi consistait la méchanceté de VILOGIA, qui pourrait la comprendre ?

La comprenez-vous ?

Moi qui suis la victime, je ne la comprends point.

Je ne peux que citer Dostoïevski « 

 Rien n’est plus facile que de dénoncer un être abject, rien n’est plus difficile que de le comprendre. »

Depuis mon arrivée ici, je ne peux que dénoncer les innombrables délits des gérantes des VILOGIA à mon encontre.

Les criminologues peuvent faire l’analyse, les psychiatres pareillement.  Mon champ de compétences n’a aucun rapport ni avec la criminologie ni avec la psychiatrie.

Un autre délit caché les femmes gérantes de Vilogia préparaient pour m’apporter malheur, je l’ignorais. Elles prévénirent la CAF des Yvelines que j’étais partie à Brest et se coupèrent elles-mêmes le versement de mon APL qui leur est versée directement sur leur compte bancaire, alors, commença à se former une fausse « DETTE DE LOYER » et j’ai reçu une mise en demeure 6 mois après, pour une somme exorbitante de loyers IMPAYÉS et jamais de ma vie, je n’eus de loyers ni de factures impayés !

J’ai contacté ma banque et j’ai vérifié que tous les mois, ma somme de loyer leur était versée normalement sans aucun arrêt, par « virement permanent » jusqu’à qu’excédée de cette histoire j’ai écrit à VILOGIA et les ai menacées d’aller les dénoncer EN RÉFÉRÉ le lendemain même avec mes relevés de compte bancaire que je n’avais aucun loyer impayé, alors la gérante m’a dit très vite par mail de ne pas y aller!!!! Car c’était la CAF qui avait suspendu définitivement mon APL parce que j’étais partie vivre à Brest !!!!Et que c’étaient elles mêmes qui l’avaient prévenu la Caf des Yvelines !

J’ai dû écrire et envoyer mes relevés bancaires à la Directrice de la CAF des Yvelines pour lui expliquer que malheureusement, je ne suis pas douée de l’OMNISCIENCE qui me permettrait de vivre parallèlement à Poissy et à Brest !

La Directrice a compris et a restitué les sommes en rétroactif de mon APL aux gérantes perverses de VILOGIA.

Ces femmes frustrées sont capables des pires des crimes.

Je n‘aime pas Freud, mais je pense qu’il avait raison l’hystérie des femmes se trouve dans leur ventre, elles doivent être des femmes absolument coincées pour passer tout leur temps de leurs misérables vies à me persécuter. En somme, je dis dire qu’en dépit de tous mes malheurs, je suis très contente d’être celle que je suis, parce que je garde en moi mes parents, je pense tous les jours en me réveillant, que je suis double, et que j’ai de la chance, une grande chance,  j’ai mon père et ma mère vivants chez moi, dans mon corps et mon esprit, et c’est ce seul fait génétique miraculeux qui m’oblige à vivre le mieux que je peux en traînant mon infortune pour essayer de redresser le malheur en ma dernière étape de vie que je veux paisible.

Je ne demande pas grand-chose, comme La Femme Gauchère de Peter Handke, je ne demande qu’à être apaisée.

 

NADEZHDA

UN BREF BILAN PROVISOIRE DE MES COURS DE RUSSE À LA FAC

19 septembre, 2025 (20:38) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

                     

  UN BILAN PROVISOIRE

 

 

APRÈS UNE SEMAINE DES COURS DE RUSSE

                                      À LA FAC.

   

Chers Lecteurs,

Le monde entier sait grâce aux communications instantanées que la France est l’exemple le plus criant d’un pays qui s’est transformé avec une grande nonchalance et satisfaction en pays du Tiers-Monde.

Pour nettoyer mon esprit de cette immondice  qui est la commune de Poissy et plus précisément de cette HLM insalubre que je loue aux SERPENTS de VILOGIA, il me suffit de prendre un livre de George STEINER pour entrer dans les espaces suprêmes du lyrisme de la critique littéraire la plus exquise de notre temps. Personne ne peut l’égaler, et les meilleurs cours de littérature silencieuse que nous pouvons avoir ce sont ses œuvres. Je viens d’acheter Tolstoi ou Dostoievski, il ne figure dans aucun programme d’université de cursus de Russe. Et pourtant… Nous constatons qu’aucun Professeur de littérature russe ne l’a lu, donc prenez le thermomètre de la honte et vous aurez le bilan de l’état de nos universités.  Je dois le dire et je crois sans me tromper, qu’il est le seul critique « commentateur des textes » comme il se définissait, qui n’est pas  con ve,tionnel, quand d’aucuns parlent de lui la seule Louane est adressée à sont érudition, jamais vers sa singularité i-unique de ses tdécouvertes des figures les plus notables de la littérature universelle. Vous devez savoir qu’il y a des critiques qui quand bien même très  appliquées et classiques donc des parfaits sorbonnards, maintiennent à vie les traces d’un corset de la pensée qui ne les laisseront jamais sans attache à une scolastique rigide, c’est propre de l’esprit français. Ceci me conduit vers une souvenance que décrit Philippe  Sollers qui a dit dans un de ses essais qu’une fois libéré de l’école, il avait dû réapprendre à lire. Je me dis toujours que je n’ai rien perdu et tout gagné de n’avoir jamais fait ma scolarité de base en France, je suis arrivée formée d’ailleurs et c’est une des principales causes du rejet violent que je produis où que j’y aille, on verra ce qui va se passer ici une fois que je commencerai à donner mes TD et que je passerai mes examens en janvier.

Je dois faire le bilan après une semaine de cours à la Fac.

On nous a demandés ce qui nous a motivé de nous inscrire en Faculté pour apprendre le russe. La plupart des « jeunes » , cherche une formation essentiellement « utilitaire », devenir traducteurs, maître de conférences, pour après le master et obtenir un doctorat. Je connais ce parcours français parce que par le temps de ma jeunesse parisienne, j’ai parcouru toutes ses étapes sans récolter les résultats que je m’étais fixés, quand bien même appuyée par le grand Professeur et poète Claude Couffon et l’écrivain Ernesto Sábato lui-même qui avait lu ma thèse de maîtrise et de doctorat et que j’avais reçu l’éloge pour mes travaux sur son œuvre. Ô combien d’années l’administration française, s’est dépensée noire de rage et de jalousie à me persécuter er qui ne cessa d’exercer à mon encontre son un bien particulier « racisme intellectuel », les Professeurs du Jury, jeunes docteurs -ès lettres, ne supporterènt point une voix rare qui sortait du lot pour s’aventurer librement dans le chemin de ce qu’on doit nommer une « œuvre d’auteur » et en refusant farouchement de travailler  attaché aux canons universitaires proprement français qui dirigent la dictature de la pensée. Je me souviens aussi de ma première Directrice de recherches à l’université de Santiago, le Professeur  Raquel Martínez-Muñoz qui avait à l’époque déjà observé que j’allais me diriger vers cette voie de l’essai et non de la recherche proprement scientifique, elle m’avait dit : « tu vas hacia la obra de autor, tu vas a orientarte hacia la rédaction de ensayos »

Et, elle a eu raison, parce que mes deux travaux d’orientation comparatiste, sont des essais et non de traditionnels uvrages de recherche proprement scientifiques. Obir dans ce sens, me donnerait la sensation malheureuse de faire une marche en arrière et partir vers le supplice des devoirs de lycéenne. Je n’aimais pas l’école ni de petite ni de jeune adolescente, aller à l’école fu mon supplice existentiel de toute mon scolarité à l’exception de mes trois derniers années de lycée quand mes parents m’inscrivirent dans un Institut où allaient les fils d’aristocrates, j’eau la paix, et j’ai étudiée parfaitement parce que les professeurs nous préparent pour le Bac et ils étaient tous des Professeurs d’université.

Dans ma formation de professeur au Chili, jai travaillé librement une rédaction d’ordre supérieur qui devait faire preuve à la fin de toute une trajectoire d’études qui débuta dans mes trois  dernières années de secondaire et ensuite lors que j’ai débuté mon cursus de pédagogie pour devenir Professeur de secondaire dans mon pays natal, pays du Tiers-Monde qui était fortement supérieur en études universitaires d’humanités à ce qui est devenue la France du  XX  s. et Ma formation en France n’était pas faite d’assiduité aux cours, c’était mon directeur de thèse qui dirigeait et qui contrôlait l’avancée de ma thèse, et quand il se d’oripeau au Jury il leur a dit: « si je ne lui avait pas donné de la liberté epour travailler, elle n’aurait rien fait, elle est ainsi »  Je lui apportait les rédactions et il approuvait, de toute façon quand je lui ai présenté mon singer de recherche couffin m’a dit « mais c’est très bien mais c’at à vous de mie lue démontrer »

Je le lui ai démontré en 360 Pp. et ma découverte principale sur l’énigmatique personnage de fiction du Tunnel fut heureusement résolu. Ma trouvaille intellectuelle fut une découverte inédite, Couffon m’a dit, si l’on essaie de vous plagier soyez certaine que je vais vous défendre, ce n’est pas la peine de proteger votre travail, il est tellement inclassable, tout comme vos oeuvres de fiction et vos poèmes que personne n’osera vous le copier ! »Alors, il a écrit une belle lettre à une collègue Professeur à l’Université de Madrid, mais c’était un projet trop ambitieux, je n’allais pas demander un appartement de fonction pour aller m’installer avec maman avec moi.

Mon travail de recherche de doctorat dans le cadre de la Littérature Générale et Comparée devait représenter, et s’inscrire, selon ma conception de la recherche universitaire, dans le degré le plus haut de la spécialité dans le  domaine littéraire dont je suis experte.

Les rédactions des thèses universitaires rstent dans les universités françaises très « scolaires » bien que le niveau soit universitaire et détaché du secondaire, parfois le niveau intellectuel est si déplorable qui compensent le vide avec la méthode la plus aisée de la compilation, et nous restons avides des attentes des nouveautés et des découvertes jamais comblées, par leur pauvreté d’imagination.

Ce que nous devons attendre toujours des doctorants, des chercheurs universitaires est qu’ils  nous offrent une articulation heureuse de tout ce qu’ils ont déjà appris après tant d’années d’études, en donnant pour la chaine culturelle un enrichissement rayonnant d’ordre supérieur faisant des analogies, des comparaisons heureuses, des citations adroites insérées dans le contexte et de découvertes lumineuses, mais  ils nous livrent un aplatissement tel qui sont des véritables somnifères faites thèses qui sont une fois lus par le jury et soutenus pas les candidats  destinées aux rayons poussieruuex que personne ne lit.

Les doctorants avides du poste suprême de Maîtres de conférences ou des Professeurs installés à vie en Fac avec le droit de diriger des thèses aussi ennuyeuses que les leurs quand-ils débutèrent, ils remplissent les cycles de renouvellement universitaire dans l’ennui le plus mortifère.

Mais, nonobstant, grâce et avec la rigueur de la « compilation » ,  ils se sauvent de l’indifférenciation mortelle, en tout cas, d’après tout ce que j’ai vu dans ma longue vie en France, ces thèses universitaires prennent de la poussière dans les archives des bibliothèques universitaires et resteront ad vitam æternam classées comme l’a dit George Steiner « dans le marécage grisâtre des thèses universitaires » et lui, il n’enseigna pas dans les universités françaises, mais à Genève et Cambridge !

Conclusions ? La défaite de la nouveauté d’une pensée intellectuelle n’a pas su se renouveler pour contribuer au rayonnement de jadis,  ils suivent leur chemin au petit vol à ras de sol pour obtenir un gagne-pain confortable. Se consacrer à des monuments littéraires est à mon sens une des erreurs d’ordre intellectuelle des plus monumentales.

Ma vision de la recherche était et elle le restera jusqu’à la fin de ma vie qui s’approche, la réalisation d’un travail final qui  devrait devenir le résumé de toute une vie consacrée à l’étude, vie difficile faite de réflexion critique et de contact profond avec les œuvres de fiction littéraire. Si les doctorants ne font pas preuve d’indépendance à la fin des recherches et de la rédaction de la thèse, il vaudrait mieux que l’effort reste circonscrit dans la maîtrise sans s’aventurer dans la plus sérieuse des recherches où finalement en ayant obtenu sa délivrance des diktats académiques stérilisants, sa voix s’occupe uniquement de faire jaillir une série de réflexions nouvelles et non « originales », je prends la définition de Steiner et qui différencie parfaitement le mot « original » en opposition au mot « nouveauté » puisque d’habitude la confusion nait de la fusion de deux concepts diamétralement opposés. Le mot original rend sa signification liée aux origines, tandis que le mot nouveauté est la définition du nouveau, ce qui doit se traduire par la rédaction d’une trouvaille intellectuelle sur un sujet littéraire de quelque chose jamais dite  ni travaillée est démontrée auparavant.

J’ai banni pour mon travail la construction d’un travail de doctorat de « compilation » qui répète académiquement à l’infini ce qui a déjà été dit, et qui a été  commenté des milliers des fois de par le monde.

En tout cas, je vous ai dit que mon seul intérêt est de maîtriser la langue russe à la perfection.

Si j’avais de l’argent j’aurais passé un contrat payant avec un professeur de russe particulier en cours intensif, tous les jours ou mieux encore, je serais partie définitivement en Russie, mais toujours la misère est l’obstacle de toute réussite.

La littérature quand elle a été depuis notre prime jeunesse un aliment spirituel de chaque jour de notre existence, nous sommes habilités à changer de registre pour en autodidactes nous former dans la littérature russe, mais maîtriser une langue, est l’une des épreuves des plus ardues à tout moment de la vie  et cette prouesse des plus difficiles nous métamorphose à jamais.

Dans une vie déjà faite, soit elle réussie ou en échec comme la mienne, les motifs n’ont pas lieu à s’évoquer ici, croyez-vous que s’inscrire en Faculté est pour tuer un ennui de « retraitée »? Je ne me suis jamais ennuyée. J’ai appris par mon père à ne perdre pas une minute dans la vie qui est courte et tragique. Affreusement tragique…parce que nous sommes obligés à faire l’expérience de la mort.

Donc je ne vais pas à la fac pour éviter de m’ennuyer, la vérité est que je me trouve en permanent manque de temps pour faire tout ce que j’ai à faire.  Une fois arrivée la nuit, je me dis, je m’oblige à me dire, « à chaque jour suffit sa peine » me donnant des forces pour le lendemain.

Les raisons de l’échec n’ont pas lieu à être décrites dans ce court article, mais ils seront dessinées en détail dans mes Mémoires: Ma vie littératurisée de Chili à la France; il suffira de dire que dans ma vie déjà finie, ou « presque » finie, consacrée en partie à l’étude de la langue russe n’a pour moi, aucun sens « utilitaire » et non plus comme le croient les imbéciles, comme motif de « loisir ». Ce n’est pas un loisir ni un véritable « plaisir »que  de sortir du lit à 4h du matin pour descendre 84 marches d’escalier et marcher vers l’abri bus et ensuite arriver à la gare pour partir vers Paris, et ensuite prendre deux bus parisiens pour qu’à la fin de ce long périple arriver à la fac !

Croyez-vous que c’est par LOISIR que j’étudie le russe en vous décrivant seulement la première étape de l’arrivée sans vous raconter ce qui devient mon retour ?

La lutte contre les pensées crétines est le plus difficile à contrôler, elles sont matières exogènes qui essaient de s’incruster dans mes pensées, mais j’ai une protection étanche.

Faire semblant de ne pas les écouter est un exercice obligatoire une gymnastique neuronale de tous les jours, je sais ce qu’ils pensent dès qu’ils me voient, « comment est il possible que « cette vieille » vienne étudier parmi une avalanche des jeunes à peine sortis du lycée ou chacun d’entre-eux pourrait être un de mes élèves ! Et, bien oui, je suis une vieille à la pensée juvénile et je garde un sens de l’humour permanent, la dérision je l’applique d’abord pour moi-même, et ensuite vers l’extérieur et je m’amuse en rigolant seule et silencieusement dans ma pensée.

Je suis habituée à la haine extérieure et à l’endurance intérieure, depuis que j’ai perdu mon père, mon chemin est escarpé, et j’appris à avancer par des régions montagneuses obligée à escalader les pires des obstacles faits des réflexions odieuses à mon sujet, elles ne me feront point m’affaiblir.

Le détails de mes cours sera une affaire à part, nous avons une dame professeur excellente, nous avons déjà appris l’alphabet et à écrire en cursive même si le début est « máma, pápa » , je me sens heureuse d’avancer.

Nadezhda

EN FRANCE PROVOQUER DES PRÉJUDICES AVEC L’INTENTION AGGRAVANTE DE NUIRE UNE PERSONNE VULNÉRABLE EST CONSIDÉRÉ UN DÉLIT PÉNAL – VILOGIA DOIT SAVOIR QUE SES ABUS À MON ENCONTRE DOIVENT PRENDRE FIN

14 septembre, 2025 (17:35) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

               

LES VOICI LES DÉLITS PÉNAUX    

DU BAILLEUR SOCIAL VILOGIA ET LES DOLÉANCES

DE LA LOCATAIRE QUI SERONT  EXPOSÉES ET LES DÉDOMMAGEMENTS QUI SERONT EXIGÉS PAR L’AVOCAT :

I.

Abus de faiblesse (articles 223-15-2 à 223-15-4 du Code pénal)

Mise en danger d’autrui (article 223-1 du Code pénal.

Hébergement de personnes vulnérables dans des conditions contraires à la

dignité humaine. (article 225-14 du Code pénal)

 

 

5 ans de survie dans un logement insalubre parce que non conforme aux normes de sécurité : chauffe-eau déclaré vétuste, et dans véreux par l’expertise de GRDF en 2024, artefact qi fuyait le gaz, datant de 1960, avec des fuites, et suite aux nombreuses LRAR, rafistolé en 2023 avec du papier aluminium,

La locataire a dû subir 5 mois privée d’eau chaude, restituée seulement le 2 septembre suite à la plainte pénal qu’elle déposa en mai, devant Monsieur le Procureur de la République.

2. Dégâts des eaux qui se prolongent depuis son arrivée qui furent cachés par une couche de peinture. Les multiples vidéos font l’état des lieux incontestable. Ces fuites ne viennent pas de l’appartement de la locataire, mais de l’étage supérieur.

Ces dégâts jamais vérifiés ni réparés ont explosé le samedi 6 septembre 2025, à 4h30 du matin et la locataire a dû subir une inondation qu’elle a assumée en solitaire en train d’évacuer l’eau sans dormir avec des moyens domestiques des plus précaires, en étant âgée et en état d’invalidité.

La locataire a subi des préjudices d’ordre physique et moral qui ont été constatés par un Certificat médical délivré le 12 matin.

3. L’Assurance habitation de la soussignée a fait l’expertise le mardi 9 à 8h30 et Vilogia ne s’est pas présentée à la convocation de l’expert de son assurance.

4. En dépit d’avoir placé des avis urgents et pressants, à l’attention du locataire d’en haut ; il resta inactif, tandis que la locataire madame Gazmuri-Cherniak ne cessa d’essuyer une inondation en provenance du plafond de son cabinet W.C qui malgré les bassines l’eau placées par terre, la fuite de l’étage supérieur était comparable à un robinet ouvert jour et nuit ! L’eau les remplissait, à une vitesse que tous les 20 minutes et le sol s’inondait obligeant la locataire à essuyer à l’aide des serviettes, penchée ce qui a endommagé ses mains, et provoqué des fortes douleurs lombaires.

5. Son assurance lui a versé 120€ le 10 septembre pour l’achat d’un aspirateur d’eau, mais arrivé seulement le 12 chez elle, elle commença à évacuer l’eau  à, l’aide dudit aspirateur, certes plus facilement, mais sans que pour autant l’inondation s’amenuise, sans pouvoir dormir, elle a dû même la nuit allumer l’aspirateur, car l’eau inondait le couloir.

5. Encore, le samedi 13, à 4h40 du matin, elle a rappelé le service d’urgence de Vilogia sans obtenir une aide urgente et rapide, alors cette fois-ci, excédée de leur inertie, elle exige une réponse claire, face aux mêmes réponses stupides, elle menace le fonctionnaire de garde de la permanence des urgences de nuit de Vilogia de dénoncer cet abus devant le Préfet.

6. Vers 9h du matin, le plombier de Vilogia frappe sa porte, fait le constat de l’inondation qui ne s’arrête point et lui dit qu’il va monter chez le locataire d’en haut  pour lui ordonner  de couper son robinet. Le plombier lui a dit qu’il viendra lundi faire les travaux chez le locataire d’en haut.

Madame Gazmuri-Cherniak a dit  à maintes reprises qu’elle n’est pas « chef des travaux » et que son rôle n’est pas celui de faire pression ni de contrôler les travaux faits chez des tiers qui lui apportent préjudice, c’est une obligation du bailleur social et de chaque locataire de l’immeuble qui doit se responsabiliser de son logement pour qu’il ne provoque pas des nuisances chez autrui.

7. Les détails seront donnés à l’avocat qui sera désigné par le BAJ, ce qui est fondamental est que enfin, l’inondation fut stoppée et que le samedi 13, vers 12h, Madame Gazmuri-Cherniak a pris fin à ses interventions qui se sont prolongées jour et nuit entre le 6 septembre el le samedi 13 septembre sans répit.

II.

8. Madame Carmen Florence Gazmuri-Cherniak a porté plainte par Internet  devant le Préfet, parce qu’elle ne peut se déplacer par transport en commun de Poissy à Versailles, le seul bus qui passe toutes les heures, n’a pas de rampe et il est très étroit et a des escaliers qu’elle ne peut pas franchir avec son déambulateur qui pèse 9 kilos.

PRÉJUDICES DE SANTÉ

9. Les moisissures collées aux murs, et qui ont endommagé les murs de sa chambre à coucher son à caractère mortel et provoquent la maladie mortelle nommée FIBROSE PULMONAIRE, elle demandera à son avocat de faire valoir toutes ces circonstances aggravantes et saisir le Juge de Référés pour une mutation de HLM à caractère d’urgence absolue vers Paris où elle a toujours vécu et où elle a tous ses dossiers médicaux.

Elle veut stopper les transports de taxis conventionnés par ce que le réseau parisien est parfait et elle peut faire usage de la rampe et de la gentillesse des conducteurs, ce qui n’est pas le cas à Poissy.

10. L’avocat de la demanderesse aura un dossier monumental de preuves en l’espèce qui attestent que la locataire ne doit pas poursuivre pour une sixième année en train de monter et de descendre les escaliers qu’elle doit franchir très douloureusement et lentement ; sous peine d’une aggravation irréversible de son handicap, à savoir, une fracture spontanée des vertèbres et dislocation des genoux, il faut savoir qu’en 2021, quand elle arriva de Paris, Madame Gazmuri-Cherniak ne marchait pas à l’aide de ce déambulateur, c’est seulement depuis janvier 2024 que par ordre médical, elle a dû l’acheter pour ses déplacements à l’extérieur, mais ce lourd déambulateur n’est pas conçu pour qu’une personne invalide le monte par 84 marches d’escaliers, son usage est prévu pour un terrain plat.

Et, c’est uniquement l’exercice de montée et de descente des escaliers le seul élément de cause d’aggravation de son handicap aux genoux et  qui a augmenté le taux d’invalidité de Madame Gazmuri-Cherniak; cet exercice de l’obliger à subir une TORTURE journalière a été condamnée par tous les médecins de madame Gazmuri-Cherniak, et ils exigent dans tous leurs certificats médicaux que les autorités chargées du logement des HLM parisiennes assument leur responsabilité en vertu de la loi qui rend prioritaire pour une mutation une locataire en état d’invalidité.

III.

Dommages et intérêts.

Madame Gazmuri-Cherniak ne possède aucun électroménager, afin de faire des économies drastiques et de ne payer que le minimum des factures d’énergie.

Le dépenses d’électricité qui se sont prolongées jour et nuit par l’aspirateur d’eau entre le jeudi 11 à 13h, et le samedi 13 à 13h30 seront facturées par son fournisseur d’électricité avant la fin du mois de septembre 2025.

Le prélèvement se produit les 10 du mois, Madame Gazmuri-Cherniak n’est pas en mesure d’assumer un seul euro de consommation ajoutée,  car elle ne paie que 30€ par échelonnement mensuel, parce que n’ayant aucun électroménager, sa consommation mensuelle de Kilowatts transformés en euros est de 15€, le reste correspond aux taxes et à son abonnement, donc ne pouvant pas être à découvert, il va falloir agir d’urgence et en conséquence des préjudices financiers que madame Gazmuri-Cherniak ne va pas assumer et sous aucun prétexte.

Par ailleurs, elle demandera à son avocat qu’il établisse devant le Juge des Référés, une somme correspondant aux dommages et intérêts en rapport à l’indemnisation  qui lui revient en toute justice, pour les préjudices physiques et moraux, provoqués par l’inondation dans son HLM et qu’elle a dû subir sans aucune aide entre le samedi 8 et le samedi 12 septembre.

Pour faire valoir ce que de droit.

Fait à Poissy, le 14 septembre 2025.