CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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CRÉTIN, ABSURDE ET IMMONDE

1 décembre, 2024 (19:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

       CRÉTIN, ABSURDE 

 

                     ET 

 

 

             IMMONDE

 

Chers Lecteurs, 

Devant le crétinisme du ministère de l’ignorance Nationale qui tout comme le Ministère de l’Inculture ne cessent de nous agresser avec des nouveaux programmes pour éviter de se consacrer à ce dont ils devraient s’en occuper: à réaliser une révolution complète du système éducatif des plus défaillants de toute l’Europe.

C’est le résultat de ce gouvernement qui motivé uniquement par ses intérêts politicards, a mis en place des arrivistes ignorantes qui incultes, se couvrent de ridicule, nous sommes maintenant face à un nouveau programme, mais non, soyez rassurés, il ne s’agit pas de changer le calendrier de vacances scolaires, dont ils excellent,  mais d’imposer l’éducation sexuelle dès la maternelle, sous couvert d’enseigner « l’affectivité! ».

Le fait de le formuler dans ces termes c’est déjà scandaleux.

À défaut de maîtriser le savoir les plus élémentaire à donner aux écoliers, elles s’échappent vers des nouveaux horizons aussi nauséabonds et insolites que tout ce qui fait ce gouvernement de pacotille.

Qu’il soit clair, il ne s’agit pas d’être de gauche ou de droite, concernant l’éducation qui doit être donnée dans l’enfance et l’adolescence, le terrain est grave, et vous dépassez vos limites, vous confondez l’éducation à charge de la famille à la transmission du savoir, unique rôle de l’école !

Ces dames mandatées par leur Chef, n’ont jamais eu des cours de pédagogie ni de psychologie de l’enfant et de l’adolescent, donc les interventions funestes de son nouveau programme sont d’un crétinisme, d’un absurde effarant et, il résulte que par le sujet enrobé des mots troubles et déroutants, la motivation de créer une « éducation sexuelle » au sein de l’école devient par ce fait même une dégradation, une banalisation du sujet et la concrétisation d’une ligne de pensée immonde, parce que destinée de manière inappropriée aux enfants de si bas âge et aux écoliers qui, quand bien même au début de la puberté, ils ne doivent en aucun cas recevoir le développement de dits sujets « sexuels » de l’école. L’éducation sexuelle se donne au sein de la famille, chaque famille est propriétaire de ses enfants, il délégue le suivi de l’acquisition du savoir à l’école et l’intervention de l’Etat se doit se limiter à cela; chaque mère et chaque père sait comment éduquer leurs enfants, or s’immiscer dans ce terrain est propre des pires dictatures, dans ces conditions, il serait fort souhaitable que vous annuliez votre funeste « programme d’éducation sexuelle-affective »  en retirant votre programme ipso facto, et occupez vous plutôt de refaire le corpus de connaissance absentes au sein de la scolarisation des enfants, occupez vous de former sérieusement le corpus professoral, je vous le recommande bien vivement. 

Il est de connaissance de tous qu’il faudrait réorganiser de fond en comble ce ministère, donc au lieu de vouloir déformer avec vos idées déplacées les cerveaux des enfants, adonnez vous à la formation des professeurs et aussi de remédier l’ignorance de votre professorat par le moyen d’une formation universitaire de qualité; vos professeurs se ridiculisent devant les élèves en faisant publiquement des fautes de grammaire et d’orthographe, et il est constaté que d’aucuns en exercice ne sont même pas capables de donner un savoir correct aux écoliers.

 Votre charge ministérielle se construit sur des erreurs successifs, elle ne fait qu’approfondir jusqu’aux abysses notre honte nationale et, par conséquent se transforme en honte mondiale, par les nouvelles instantanées qui sont diffusées de par le monde.

 Votre méconnaissance en matière de pédagogie a placé la France, par son inculture et son échec scolaire dans la catégorie d’un pays du tiers monde.

Les gouvernements successifs n’étant même pas capables de former des élèves de primaire à compter et  à écrire correctement le français. 

Tout le reste n’est que bavardage…Et, crétinisme, absurde et immondice.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

LA LITTÉRATURE ENGAGÉE N’EXISTE PAS

1 décembre, 2024 (11:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

    LA LITTÉRATURE   « ENGAGÉE »

 

 

         N’EXISTE PAS

 

 

« Le « propre » que mon titre, attribue à la fiction doit être entendu dans le double sens de ce qui la rend unique et ce qui la différencie. Je me propose de démontrer que le récit fictionnel est unique par sa capacité à créer un univers clos sur lui même, gouverné par dés structures formelles qui sont exclues de tous les autres types de discours.

                                    Dorrit  COHN

                                               Le propre de la fiction (P. 7)

 

Chers Lecteurs, 

La prostitution de la littérature est l’oeuvre d’une part de politicards qui ont influencé le Ministère de l’Ignorance Nationale, et d’autre part , elle est la faute des directeurs des maisons d’édition qui agissent avec une ligne politique polluée; créant une confusionnisme flagrante et une absence d’esprit critique naturel qu’induit la société à croire que tout écrit est « littéraire » et que tout individu qui se dit « écrivain » l’est. 

La séparation des genres littéraires doit s’apprendre à l’école, la capacité de juger pareillement, mais pour ce fait il faudrait d’abord,  qu’il existe un véritable cursus de pédagogie au sein de l’Université et d’une durée de cinq ans, pour former des professeurs qui méritent de l’être, en absence de connaissances les plus essentielles, les professeurs Français ont contribué à ce désordre mental et à l’absence abyssale de conceptualisation du fait proprement littéraire. 

Madame Lisa Kamen-Hirsig, Professeur des écoles vient de dénoncer publiquement l’ignorance en grammaire et en orthographe des professeurs de français ! je fait miennes ses déclarations et je l’appuie de fond en comble, parce que pendant tout le long temps de  mon exercice professionnel au sein du Ministère de l’Ignorance Nationale, j’ai pu observer ce déplorable phénomène .

Dans ces conditions je suis en droit d’adresser un message à mes détracteurs, ayez un peu de décence et de retenue, elle est fortement conseillée à tous ceux qui osent critiquer à celui ou celle qui n’étant ni de souche française, et n’ayant pas non plus le socle d’une formation d’écolière française, ( tant mieux !),  a fait  comme moi-même, des efforts surhumains pour s’intégrer en autodidacte, par amour de la France. Étant donné qu’il n’existe pas un thermomètre pour mesure la qualité, la vérité et l’ampleur de l’amour ou de la haine que l’on  a pour les pays et pour  l’Art, il vaut mieux ne pas approfondir ce sujet, pour le moment.

Revenons à l’essentiel: la littérature doit se distinguer par son essence fictionnelle.

Giorgio Manganelli rejoint la thèse de Dorrit Cohn, en analysant la littérature comme « mensonge ».

Ce qui retient toute mon attention ce sont les déclarations des personnages et d’intellectuels de premier ordre que tout récemment ont déclaré en défense de l’écrivain B. Sansal, qu’il est « adorable », humain et aux préoccupation socio politiques »

Très bien, personne absolument personne ne peut approuver la mise à mort d’un innocent ! Cela va de soi, mais ne confondons pas le juridique avec la littérature.

Manganelli décrit la fonction de l’écrivain, en disant je suis écrivain et,  un écrivain est celui qui écrit. Bien, la boutade est claire, mais son véritable discours se centre sur ce qui est pour lui l’affaire littéraire; il faut le comprendre comme un fait essentiellement « mensonger » donc fictionnel, la création d’un monde à partt, crée par l’art des mots.

Celui qui est capable de créer un monde et de choisir intentionnellement parmi le langage une sélection arbitraire, pour réussir à une transfiguration de la réalité est indubitablement « un écrivain ». Dépourvu de  tous ses éléments en jeux, il n’y a pas de véritable écrivain, donc pas de littérature.

Les directeurs des maisons d’édition se sont regroupés dans l’extrême opposé de Dorrit Cohn et Giorgio Manganelli, en choisissant des essayistes et des écrivains (qui écrivent certes), mais qui ne sont pas des artistes, et ne peuvent en aucun cas former partie des véritables « écrivains » et, en aucun cas les citer comme des exemples de la bonne littérature. Le fait poétique, la poésie étant la forme suprême de l’art littéraire par excellence a été mise à la marge et proscrite, par une malheureuses mutation génétique, qui se traduit pas une incapacité à transformer la réalité et les sensations en fait poétique.

Je crois avec une conviction profonde que l’incapacité poétique à quitté la sphère littéraire par l’intromission des sujets immondes et des faits de société qui ont banni et pollué  la véritable capacité intellectuelle et sensorielle pour savoir exécuter un choix sur ce qui est  de la bonne littérature, ce manque est devenu un handicap mental au sein de la société européenne et tout particulièrement française.

Donc, il m’est impossible d’écrire une seule ligne d’adhésion à ce tsunami sociétal, je serai toute ma vie du coté des pauvres, démunis et bannis  injustement, je serai toute ma vie en défense des victimes de « La société du mépris » (Axel HONNETH), je suis l’exemple vivant de ses théories, mais depuis ma qualité d’artiste, je ne contribuerai jamais à la prostitution de l’Art, je ne suis pas avec ceux qui octroient des prix littéraires dans le désordre intellectuel complet.

Il faut qu’ils mettent de l’ordre dans le jugement intellectuel, donnez des prix aux essayistes, aux historiens, aux politiques, aux sociologues et aux écrits de ce genre bien précis et particulier, mais ne le greffez pas à l’espace de la véritable littérature, vous êtes en train de vous ridiculiser, en les incluant aux écrits fictionnels qui correspondent à ce qui est l’affaire unique et proprement « littéraire ».

Votre comportement est factice, artificiel de fond en comble et il a truqué le sens de la bonne littérature.

Les prix littéraires ont été attribués par des choix politiques et, ces choix erronés sont similaires aux choix qui ont récompensé les élus de la Légion d’honneur, qui a été banalisée et inondée des faux méritoires. 

Les décideurs ont utilisé les prix littéraires, le Nobel inclus, pour accroître le désordre mental et l’ajouter aux erreurs de jugement esthétique. 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LOI CCH:L. L . 441-1 L. : LA LOI EN VIGUEUR DÉFEND MON CAS DE LOCATAIRE EN SITUATION DE HANDICAP.

30 novembre, 2024 (21:48) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LOI CCH: L. 441-1 L

 

 

 

LES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP, LOI DU 21.12.01 : art. 1

 

 

LES LOGEMENTS HLM DOIVENT ÊTRE ATTRIBUÉS EN PRIORITÉ À CERTAINS DEMANDEURS

IDENTIFIÉS COMME PRIORITAIRES.

 

 

Chers Lecteurs,

Il faut avoir une bonne dose et talent de pédagogue pour exercer le don de la patience pour nous répéter sans cesse devant les ignorants, mais il faut redoubler notre patience devant les pervers, les gens sadiques de mauvaise nature et dotés d’une surdose de méchanceté.

C’est mon cas particulier de femme artiste, ex-professeur et en situation de handicap depuis 2015, handicap qui s’est aggravé non parce que mon handicap soit « évolutif », non, je ne suis pas atteinte d’une maladie neurologique, je suis atteinte d’une sévère gonarthrose très invalidante et qui m’exige de vivre dans un immeuble de préférence en rez-de-chaussée ou bien avec ascenseur, ce qui serait préjudiciable à présent que tous les bailleurs HLM se moquent éperdument de la situation des locataires handicapés, qui se voient privés d’ascenseur que les bailleurs se refusent à réparer rapidement, mettant en péril la vie des personnes en situation de handicap ou  d’âge avancé.

J’ai déjà écrit un article pour vous informer et remercier le député socialiste Philippe BRUN, le seul qui a eu l’intelligence  et  qui a fait preuve de ses compétences professionnelles en proposant devant l’Assemblée Nationale une loi qui obligerait les bailleurs sociaux a réparer sous 48h les ascenseurs en panne, il a été le seul à exercer les attributions qui sont les siennes pour les placer au profit du bien commun, mais l’intelligence et la droiture en politique sont deux vertus rares dans notre France actuelle !

Il n’y a que regarder la situation catastrophique dans laquelle nous a mis l’actuel gouvernement.

Si en 2021, j’ai accepté cet appartement totalement contraire à mon handicap c’est parce que la chambre HLM où j’habitais dans le 13ème était si exiguë que je ne pouvais même pas circuler et moins encore travailler ma peinture. Les 16m2 habitables, où pendant huit ans, je vivais enfermée sans pouvoir vivre ni bouger, menant une vie végétative, c’est ce que veulent le préfets qui croient que toutes les femmes vielles sont pareilles, selon lui, j’étais une vielle « comme tout le monde ! »

Et, moi, je plaide coupable de faiblesse, parce que j’aurais dû refuser cet HLM et me voir forcée à quitter mon Paris adoré.

Mais, j’étais aux abois sans pouvoir peindre, enfermée dans une  prison de 16 m2, alors le crétinisme et la mauvaise foi de ses gérantes, m’ont répondu récemment que  la loi interdit d’attribuer 48m2 à une vieille célibataire qui n’a jamais enfanté et qui vit SEULE.

J’ai de nombreux exemples des femmes aussi vielles que moi qui habitent des HLM de 48m2 et plus.

Ma voisine de palier dans le 13ème était mon amie, elle avait un spacieux F2, elle était aussi célibataire et n’avait jamais été mariée, sans enfant et, elle vivait seule tout comme moi; donc la réponse crétine que ces politicards des mairies me donnent est sans aucune validité juridique. 

La capacité intellectuelle des femmes fonctionnaires et gérantes arrive au paroxysme en me conseillant que « je dois me réduire ». Elles croient qu’avec une misérable retraite de 1000 euros j’ai pu  me construire un habitat royal !

Après le décès de Maman en octobre 2013, assassinée sauvagement par le « Médecin Traître-Tant » j’ai tout perdu, et je n’ai jamais pu racheter rien pour reconstruire un vie normale.

Je les ai dit ceci tout récemment: 

Mesdames,  je ne peux pas suivre vos conseils parce que je n’ai pas de meubles, ni d’électroménagers, je vis dépourvue de tout ce qui comporte une vie confortable et bourgeoise, hélas !

Mes biens ne se composent que des toiles, matériel de peinture et une bibliothèque, et des boites de dossiers juridiques de mes anciens jugements, voudriez vous que je les jette à la Seine pour revivre dans  le minimum de 16 m2 destinés à dormir, regarder le poste de T.V. en attendant la mort ?

Non mesdames, je vis en France depuis 1980 et je ne changerai pas ma vie d’artiste peintre, ma ville d’adoption est Paris, ma mission picturale commença à Paris, et je ne changerai ma voie à présent qui me reste que si peu d’années à vivre. 

Donc ma décision est faite, je ne revivrai plus jamais l’exiguïté abominable de ce que vous appelez un « studio » et qu’en réalité n’est qu’une chambrette  destinée à une jeune fille à peine sortie du Bac qui commence à faire ses études, et qui n’a pas de passé.

Bref, cette situation ahurissante qui devrait décrire leur folie des gérants « sans qualité »  ne mérite pas plus de commentaire. 

Je vais vous donner une nouvelle information:

Un jeune locataire tétraplégique vit dans une HLM où, encore une fois, le bailleur ne répare  pas l’ascenseur. 

Il a décidé de descendre les escaliers sur les fesses !

Je le comprends, je sais ce que l’enfermement veut dire.

Je suis claustrophobe et ma souffrance dans un espace réduit est insurmontable.

Cette jeune femme risque sa vie en faisant cette épreuve journalière totalement contraire à son handicap.

Je forme des voeux pour que la loi proposé par Philippe, BRUN soit votée de toute urgence et que tous mes compatriotes handicapés quelqu’il soit le genre et niveau de leur handicap finissent  avec leurs souffrances.

Moi, je monte et descends tous les jours 84 marches d’escaliers marche par marche, avec des douleurs lancinantes aux genoux, depuis janvier 2024 j’ai dû acheter un déambulateur qui m’a couté 250 euros et par deux fois, car le chauffeur de bus me l’a écrasé.

Ils se refusent à me placer la rampe.

C’est une exclusivité de Poissy !

Mon déambulateur avec sac de courses qui pèse 8 kilos, rajoute le risque de fracture s’accroît, parce que quand je fais mes courses, je suis obligée à faire cette folie de monstre et descente des escaliers par deux fois, car le déambulateur n’est pas destiné à se déplacer par les escaliers avec le poids des courses mais uniquement en terrain plat, alors je monte le déambuler étage par étage et je redescend encore une fois marche par marche l’étage pour monter le sac de courses. 

Le dernier diagnostic du traumatologue m’a alerté que si je continue cet exercice de montée et descente des escaliers, je risque une fracture spontanée et une dislocation des genoux. 

Cette situation exige une sortie de cet immeuble et un retour à Paris avec un caractère d’urgence absolue. 

Le Service des HLM de Paris est en leur possession 5 certificats médicaux, le rapport de l’Ergothérapeute D.E. de l’année dernière, que je honoré moi-même, mers lettres recommandées et mil appels au secours.

 

Ils restent sourds-muets, j’espère que mon livre réveillera leur endormissement volontaire !

J’ai pensé moi aussi descendre les escaliers sur les fesses, mais mon médecin me l’a déconseillé avec fermeté: 

«  si’l ya a un danger grave ou un incendie, cela  pourrait s’excuser,  pour une seule et unique fois, mais si vous croyez que vous pouvez faire l’expérience tous les jours, vous finirez accidentée à l’hôpital, et probablement au cimetière. »

Mon handicap s’aggrave au jour le jour uniquement par cause des escaliers. Et ma vie est en péril avec tous les préjudices pratiques et financiers que l’éloignement de Paris m’impose depuis quatre années déjà.

Il faut être perverse, sadique et jalouse au point illimité pour me laisser en souffrance sans m’accorder la mutation vers Paris.

Toute ma vie de jeune femme, j’ai été victime des méfaits des femmes, de leur sadisme  et de leur jalousie gratuite.

La jalousie des misérables femmes, leur détestation était compressible, ce phénomène de harcèlement des femmes contre ses congénères est connu, mais j’ai pensé à tort, qu’une fois devenue la vielle femme que je suis, leur jalousie prendrait fin.  

Ça ne leur suffit pas que de me voir appauvrie et sans pouvoir les échapper. Non, leur incommensurable sadisme a trouvé chez moi, une voie de échappatoire à leur nature décomposée et en état de putréfaction mentale, seulement comparable à celle des porcs qui se délectent en goguette dans leur porcherie.

C’est ça VILOGIA et ses actions meurtrières à mon encontre.

Et, il l’est pareillement l’inertie et le manque de réactivité des gérants des HLM Parisiens !

Je forme des voeux pour qu’à  la l’arrivée de mon livre – cadeau, leur paralysie mentale et leur manque de réactivité juridique auront un réveil et sortie de leur état comateux.

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

PROCHAINEMENT PUBLICATION DE MON LIVRE LOCATION ET CRIME VOICI : LA COUVERTURE

30 novembre, 2024 (12:10) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

Couverture PW

 

 

 

           LOCATION ET CRIME

`

                  VILOGIA

 

                     2021 – 2024

 

 

 

Chers Lecteurs, 

Je tiens à partager avec vous une bonne nouvelle qui me réjouit, j’ai trouvé un imprimeur allemand qui pratique des prix d’impression qui sont à ma portée et à qui je lui ai confié l’impression de mon dernier livre, et je lui confierai mes prochains manuscrits en écriture. Éatnt donné que je suis un professeur d’espagnol qui a été méprisée par l’officialité médiocre du rectorat Français qui a pour doctrine de mépriser l’excellence et récompenser la médiocrité, je dois vivre avec une retraite indécente avec laquelle je l’intention folle et démesurée de vivre au dessus de mes moyens, faute de un mécène, un Kahnweiler bis qui vienne à mon secours, or je dois faire des sacrifices surhumains pour continuer à peindre er à écrire en qualité d’ »auteur indépendant », toujours avec l’ESPOIR qui ne m’abandonne jamais qu’un vrai éditeur et un chercheur de talents, en dépit de mon âge , veuille bien s’investir dans mes projets.

 Ce livre était destiné à servir en justice pour obtenir gain de cause dans mon dossier d’ordre juridique qui aurait dû m’aider à obtenir une mutation d’HLM et retourner vivre à Paris, d’où je n’aurais jamais dû être mutée vers une commune si éloignée du lieu où j’ai toujours habité: Paris.

Celle-ci a été la première faute gravissime de l’administration du logement parisien, j’espère qu’avec mon livre la pensée de ceux qui gèrent les attributions, comprendront leur erreur abyssale et maintenant que je suis handicapée, ils prendront attache à corriger la VIOLATION DE LA LOI qu’ils ont commise, car la loi me rend PRIORITAIRE pour une mutation;  toute personne en situation de handicap qui survit dans un immeuble et dans un lieu incompatible à son handicap est prioritaire et doit être respectée. 

Bien cela-dit, je crois, je ne peux pas en douter que mon livre sera lu et avec l’accueil favorable des personnalités qui le recevront en cadeau. Mon combat est devenu inaudible par les personnes politiques qui gèrent cette commune. Elles m’ont toutes éconduite.

Le groupe des voisins qui combat pour corriger la violation flagrante de la loi qui commet contre nous tous les gérantes de VILOGIA, le pire des bailleurs sociaux que je n’ai jamais connu, sera peut être entendu prochainement, mais ils devront comprendre que leur combat durera très longtemps, un cas pareil s’est produit à Carrières sous Poissy, l’escroquerie du bailleur qui leur réclamait aussi des sommes exorbitantes, justifiées selon le bailleur HLM par un « dépassement  des charges » était faux évidemment,  et après 4 ans de lutte ils ont obtenu que l’escroc, le bailleur social, leur rembourse la modique somme de 400.000 euros. 

Moi, j’ai été pareillement appellée à payer une fausse facture de « dépassement des charges » inexistantes. Je leur ai envoyé une LRAR leur demandant d’annuler la fausse facture. Je ne paierai point. J’ai la preuve en l’espèce qu’il est IMPOSSIBLE me facturer un quelconque dépassement des charges de chauffage et d’eau froide. 

Je lance une information à tous ceux qui essaient de se battre contre les bailleurs sociaux:

 Vous ignorez la loi, vous passez de coté d’un élément qui devrai être placé au premier rang de vos revendications, et le plus grave est que vos avocats sont des plus médiocres, tout comme ceux que j’ai laissé tomber par incompétence !

Je ne vais pas passer à la trappe mon dossier délicat qui comprend toute ma vie entre les mains des avocats incompétents ! 

C’est un huissier de justice le seul habilité à juger.

 Ce type d’escroquerie est devenue habituelle de presque tous les bailleurs sociaux est l’escroquerie ne se produit que parce que l’Etat ne prend pas une mesure de contrôle en absence de COMPTEURS, c’est là qui réside la porte ouverte à leur délit.

LES HLM n’ont pas de compteurs individuels des locataires, donc ils ne peuvent en aucun cas nous réclamer des sommes INEXISTANTES et calculées au pif !!!!!!

S’ils veulent poursuivre un faux combat sans aller à l’essentiel sans faire preuve de éléments juridiques b c’est de leur responsabilité.

Il faut démontrer qu’aucun bailleur n’est en droit de fixer de dépassement des charges en absence de compteur individuel, ils se battent dans le vide et le vide n’est pas l’essence du DROIT, le vide est le contraire au droit, la loi qui exige les preuves et rien d’autre que les preuves.

Bien, je vous annonce que mon livre est entre les mains expertes de mon imprimeur et il sortira  dans une dizaine de  jours. Ce jour là, je vais me fêter en solitaire en envoyant aux personnes que j’admire et en lesquelles je forme des voeux pour qu’elles viennent à mon secours, non pour agir avec un « traitement de faveur » Non ! J’ai suis contre cette façon d’agir, je ne demande que l’application de la loi, obéir à la loi est acquiescer à ma demande de mutation vers Paris.

J’ai écrit ce livre-témoignage en développant mes arguments en détail, d’une part dénonçant le comportement criminel de VILOGIA à mon encontre des tous points de vue et depuis que je suis entrée dans les lieux jusqu’à présent, et d’autre part en me refusant la mutation vers son immense champ locatif parisien.

Je me suis appuyée sur les textes de loi, et par mes propres efforts démesurés avec l’écriture et le paiement de l’impression de mon livre, pour que le respect que mon handicap réclame en urgence se fasse effectif, conjointement avec le retour à Paris où j’ai toujours vécu, argumenté par des raisons de santé et parce que l’artiste que je suis ne peut vivre éloignée de sa ville d’adoption et d’attache.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LES DÉLITS PENAUX RÉCURRENTS DES BAILLEURS HLM

28 novembre, 2024 (09:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LES DÉLITS RÉCURRENTS

 

 

DES GÉRANTS DES HLM

 

 

 

Chers Lecteurs, 

Il y a une déferlante des délits et d’abus récurrents chez les gérants et gérantes des HLM, ces délits seront classés par la loi, selon leur catégorie de gravité en délit à caractère civil ou pénal.

Mon cas particulier chez le bailleur social VILOGIA où je vis depuis 2021 à Poissy, son délit à mon encontre est classé dans la catégorie de délit pénal,  à savoir : discrimination abusive avec des circonstances aggravantes vis-à-vis de  mon état de handicap, et la résistance abusive à changer le tuyau de conduit de gaz du chauffe-eau , déjà caractérisé comme extrêmement dangereux par l’expert du GRDF, mais que VILOGIA se refuse à le réparer depuis des années vec l’intention de nuire ma santé et me tuer, parce que depuis 2021 je suis en train de respirer de « particules fines » qui peuvent porter atteinte à mes poumons. 

Cela je vais très prochainement le faire savoir publiquement.

Pour ces deux préjudices à catégorie pénale, je ferai un scandale médiatique, puisqu’en France entamer un procès c’est acquiescer à subir comme deuxième préjudice des années d’attente et avoir comme résultat une décision du tribunal administratif contraire aux intérêts du plaignant et au bénéfice du préfet, c’est à dire, privant de toute demande légitime le locataire handicapé.

 

PARADOXE JUDICIAIRE FRANÇAIS

 

 L’État est « complice » et le seul responsable des méfait récurrents des bailleurs sociaux.

Si nous sommes dépourvus d’un avocat d’excellence qui accepte de présenter notre dossier en Référé, et qui défende son client comme il se doit, c’est à dire avec rapidité et en appliquant minutieusement  les textes de loi pénale, l’État n’attribuera jamais une HLM en adéquation à l’handicap et aux nécessités réelles de l’handicapé, pour y parvenir nous aurions besoin d’argent pour payer les honoraires d’un avocat d’excellence et  remplir cette tâche est hors portée des locataires des HLM puisque nous sommes tous aux revenus précaires. La situation restera donc bloquée ad vitam aeternam, et c’est pour cette raison que les bailleurs HLM abusent.

La mafia des avocats avec l’Aide Juridictionnelle sont un autre groupe collégial odieux et paresseux qui a comme pratique, tout comme les médecins, de ne jamais s’opposer aux préfets, c’est à dire à l’État, le seul qui ordonne et régule l’attribution et les mutations des HLM; il va de même avec les élus, députes et autres. S’dresser à ces fonctionnaires sera toujours une perte de temps, ils se disent à l’écoute, mais ils restent inactifs, pour préserver leur image auprès de sa « hiérarchie », ils sont les élus de la République pour qu’une fois élus, et bien installés dans leurs postes de députés, ils violent la loi et leur déontologie. C’est la politique MAZAMORRA, la France est devenue un pays qui est en train de pratiquer la politique des pays du tiers monde latino-américain qui fonctionnent par « caudillos ». C’est une honte nationale.

Les élus ne défendent jamais les intérêts des citoyens et ils n’iront jamais agir en faveur des locataires pauvres, je connais de l’intérieur tout ce système de fausse justice gratuite pour « les pauvres », tout ce qui est gratuit est mauvais.

Aucun élu, député ou défenseur des droits,  n’ira à l’encontre du SYSTEME, ils font tous de la figuration, c’est un comportement théâtral et de surface, pour justifier leur poste de privilège. Pour l’heure les défenseurs des droits sont « débordés » des dossiers à traiter, et quand arrive votre tour et  après avoir traversé cinq mois d’attente légale obligatoire avant d’avoir le droit d’entamer un procès devant le tribunal administratif,  vous restez  sans aucune avancée en votre faveur.

C’est  en subissant les épreuves de l’attente qui se greffent aux délits, que les victimes attendent des années pour que leur statu de victime soit résolu.

Le seul coupable est l’État qui favorise et couvre  les délits des bailleurs HLM, le noeud de cette situation pénale est que mes concitoyens ignorent les textes de loi que je maîtrise parfaitement.

La plupart des locataires méconnait la loi qui les défend et ne savent pas comment s’y prendre pour défendre leurs intérêts. 

J’écris cet article pour qu’il soit de connaissance de tous, les droits et les devoirs des locataires des HLM.

Nous sommes contraints à subir des abus pour louer dans cette catégorie infernale qui sont les HLM en France.

Bien, avant de fermer cet article je vous donne un seul conseil face aux fraudes d’ordre pécuniaire: VILOGIA, BAILLEUR HLM, BAILLEUR SOCIAL, s’est permis de nous adresser une facture abusive de dépassement des charges, or j’ai pris connaissance qu’il est arrivé au comble de son abus, VILOGIA a adressé  des huissiers aux locataires « mauvais payeurs ». NE PAYEZ RIEN !

Toute facture doit être justifiée par un compteur individuel qui fasse preuve de nos dépenses.

Si les bailleurs HLM abusent et violent la loi c’est précisément par l’absence de compteur aussi bien de chauffage collectif que d’eau froide.

Ils calculent par étage et aux estimations frauduleuses, sachez qu’en matière juridique rien n’est laissé « au hasard », tout doit être JUSTIFIÉ par des preuves en l’espèce, en absence de preuves, c’est parole contre parole, donc VILOGIA est en train de justifier son délit par le moyen d’un dossier IRRECEVABLE !!!

Sachez que des huissiers ont été aussi condamnés par la loi !

N’ayez pas crainte, aucun huissier de peut défendre un dossier sans s’appuyer sur une preuve tangible et démontrable que le locataire a un « dépassement des charges », puisque nous n’avons pas de compteur. 

Pour nos dépenses d’électricité et de gaz nous disposons de deux compteurs, et tout abus du fournisseur, nous pouvons facilement l’attaquer en justice, nos compteurs sont nos meilleurs alliés et nos meilleurs défenseurs!

J’ai déjà gagné un procès pour factures abusives d’EDF, je ne paie aucune facture abusive. 

Je paie mon loyer, je n’ai jamais eu ni d’impayés de loyers ni de retards, donc il est impossible que ces dégénérés entreprennent encore d’autres délits pénaux aux déjà existants dans mon dossier.

 Il va falloir  exiger de l’ordre dans les affaires de la cité.

Tout citoyen et citoyenne responsable doit exiger que les politiques assument leur devoir;  les abus, violations de la loi et les délits pénaux des bailleurs HLM doivent prendre fin !

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LA PUBLICITÉ MENSONGERE DU MINISTERE DE LA SANTÉ

26 novembre, 2024 (14:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA PUBLICITÉ DU MINISTERE DE LA SANTÉ

LA PUBLICITÉ MENSONGERE

 

 

 DU MINISTÈRE DE LA SANTÉ

 

Chers Lecteurs,

 

Nous sommes la cible des bombardements publicitaires commandés par le Ministère de la Santé qui a réalisé un programme de réductions abusives et inutiles de fausses « dépenses » qui selon ces prix Nobel de la gérance ministérielle, apporteront une réduction à la Caisse de l’Assurance Maladie; comme toujours, ce sont les assurés les coupables de tomber malades et les handicapés de l’être, mais la vérité est que leurs idées de réduction n’apporteront rien de positif à leur programme, mais une grave atteinte aux malades et aux handicapés.

Pour couronner ce programme et augmenter le risque de l’apparition de maladies graves, à présent nous devons supporter deux publicités mensongères, grotesques et au contenu dangereux, je vais vous expliquer pourquoi.

Les seuls heureux seront les « médecins-fonctionnaires » pour qui les malades ne sont que de colis du tri postal, et qui peu les intéresse leur bien être et dont leur seul but est d’être appréciés par « leur hiérarchie ».

Moi, je n’ai que de médecins parisiens d’excellence et que je garde depuis des nombreuses années sur Paris, c’est pourquoi je suis en mesure de critiquer avec autorité et lancer une alerte aux concitoyens ignorants.

Ne vous laissez pas faire.

Pour ce qui est de la plus stupide et grotesque des publicités montrant des femmes ridicules en ouvrant la bouche comme des crocodiles et gueulant comme des animaux sauvages, pour nous dire qu’elles n’ont pas besoin d’antibiotiques, pour le mal de gorge et par la même occasion indiquer aux médecins de faire des économies de médicaments et de ne rien prescrire.

Extraordinaire. 

Le plus ignorant de citoyens sait qu’une infection mal soignée a des graves conséquences.

Ne pas prescrire des antibiotiques ne se justifie que dans le cas de virus. 

Cas d’exception: les angines qui ne les contractent pas les personnes qui n’ont plus d’amygdales, donc ce mal de gorge est dû a une pharyngite qui exige la prise d’antibiotiques pour éviter que l’infection passe aux bronches.

Par expérience, et parce que nous avons été depuis notre plus jeune âge soignés par nos parents et que nous savons qu’un mal de gorge ou qu’une sinusite non soignée peut avoir des conséquences terribles, serait-il nécessaire de les énumérer?

Problèmes dentaires, de la mâchoire, des yeux, complications cardiaques, entrainant des  effets néfastes et très graves  sur d’autres organes.

L’épargne de médicaments sera pratiqué par les médecins irresponsables.

Laisser un « client » sans écoute et sans ordonnance entraînera une déferlante de  maladies gravissimes chez les patients qui seront, soyez en certains, à caractère dévastateur.

La deuxième publicité à l’intention de nous faire croire q’une visite chez le généraliste ne doit pas comprendre « une ordonnance »!

Voyons!

Alors, n’allez pas chez le médecin!

C’est plus économique de rester malade. 

Sortez sans ordonnance, consigne du Ministère de la Santé.

Il faut savoir que pour les 10 minutes de consultation donnés à chaque « client », il va falloir parler de la météo avec le généraliste et non de vos doléances!

Est ce que vous ne vous rendez pas compte qu’avec ces publicités mensongères le Ministère entre en contradiction médicale?

L’Assurance Maladie qui depuis des années ne fait que nous obliger à nous faire dépister et à nous contrôler chaque partie du corps pour éviter l’apparition de maladies graves, et que ce même ministère entre dans un espace crétin de contradiction médicale!

Apprenez à préserver votre santé et votre bien être; notre corps sain est notre plus grand trésor, c’est bien pour cela que tout au long de notre vie salariale on nous prélève des sommes conséquentes, afin d’accéder aux soins, alors, prenez votre télécommande à chaque fois qu’apparaissent ces femmes crocodiles d’une publicité grotesque et contraire à la délicatesse et le respect que le ministère de la Santé se doit de donner à ses citoyens.

Ce respect a été transgressé. 

Habitons nous dans un pays supposé européen et, selon l’avis d’aucuns, bénéficiant d’une médecine moderne?

Au regard de ces publicités inadmissibles, par le message mensonger et grotesque, je ne peux qu’affirmer le contraire.

Ne laissez jamais vos maux de gorge sans soins médicamenteux.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

PENSÉES MATINALES

26 novembre, 2024 (07:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

   PENSÉES MATINALES

Je m’oppose de manière catégorique à toute « collaboration guerrière » avec ce pays que je ne

nommerai point.

 

Chers Lecteurs,

Nous vivons une période de folie, le plus grave est que presque personne ne se rend compte.

Hier, j’ai eu une alerte YouTube, je me sis connectée et j’ai pu prendre connaissance d’un appel urgent lancé aux Français par Monsieur François Asselineau, nous interpelant à écrire aux députés pour que la folie de collaboration guerrière qui mènent les politicards installés à l’Elysée décline face à l’opposition de la nation. Je me suis dit, il est le seul à être doté d’intelligence et de courage, mais dans cette société des lâches, comment peut-il imaginer d’une part que les français vont se réveiller et d’autre part que les députés vont nous lire et, devenir instantanément courageux pour s’opposer à aller faire la guerre dans cette province de la Russie que je ne nommerai point?

Si nous écrivons des lettres aux députés pour leur demander qu’ils réagissent pour stopper tout projet guerrier de « collaboration », ils resteront inactifs.

Ils se mobilisent non pour défendre les français, mais pour garder leurs postes et leurs intérêts. J’écoute toujours les personnes qui me parlent, c’est une thermomètre sociétal de privilège. Une dame m’a dit: « ne craignez rien, pour le moment, les gens ne disent rien, ne croyez pas que tout le monde appuie ce pays, ils attendent…quand ils comprendront que ce sont leurs maris, leurs enfants qui devront partir là, les gens vont réagir ».

Alors je lui ai répondu: ils attendent que les jeunes français arrivent en cercueils ou amputés pour arrêter la folie qui sort de l’Elysée?

Exactement, me répondit-elle!

C’est un très louable projet politique, celui de Monsieur Asselineau, mais qui nécessite des gens dotés d’intelligence et en Europe, sauf des rares exceptions, l’intelligence est devenue une vertu rarissime.

Quoi qu’ils en disent, ce sont les Etats Unis les seuls qui auront le dernier mot. Comme toujours c’est l’argent le maître du monde.

Les derniers argument d’un des traîtres russes réfugiés en France vient de dire ceci: « La Russie a attaqué un pays frère blanc chrétien », Certes, mais pourquoi?

Parce qu’il a tourné le dos à sa véritable FAMILLE et n’a pas écouté les avertissements de sa propre famille. La traîtrise ,il faut savoir bien la situer.

Ce traître russe n’a pas dit a vérité, il aurait fallu qu’il finisse sa phrase se doit sa phrase, un pays frère? Certes, alors, il n’aurait JAMAIS dû se séparer de sa famille, il n’avait rien à faire avec l’Union Européenne ni avec l’OTAN, voila le noeud de l’affaire que personne ne veut admettre, ils le savent mais ne veulent pas l’admettre. Si ce gouvernement fantoche a voulu l’indépendance qui doit être financée par les Etats Unis et  par l’Europe qui est en faillite, ce n’est pas pour jouer le rôle prétentieux qui leur sert de propagande de :«défendre les valeurs de la démocratie européenne», mais uniquement par le parfum des euros et des dollars.

Avant de fermer cet article, je profite pour lancer un message à mes amis ruses, il serait judicieux que la Russie, et je m’adresse à ceux qui commandent, ne considèrent jamais les Français comme un bloc compact; il serait prudent de prendre en considération que la carte d’identité n’est pas l’indifférenciation sous le couvercle du gouvernement en place. 

Si le conglomérat qui nous dirige vers des projets de folie, croyez-vous sérieusement que nous adhérons à leur folie et que nous sommes tous fous?

La décision de collaboration et de s’allier dans ce « conflit » leur appartient, nous n’avons pas été consultés et je m’oppose de manière catégorique à toute forme de collaboration guerrière avec cette province de la Fédération de la Russie, donc, je me refuse à subir la détestation en bloque de la Russie, je ne me sens pas concernée et j’adhère totalement aux russes.

Je crois avoir écrit ma pensée de manière assez limpide.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

VOUS AVEZ DIT LITTÉRATURE ?

25 novembre, 2024 (18:49) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

          VOUS AVEZ DIT   

 

 

          LITTÉRATURE ?

 

 

 

« Ce que le littérateur veut: changer son moi restreint en personnage, en personnalité. Faire de sa vie une oeuvre et de son oeuvre un mythe. Croyance qu’écrire c’est survivre – à tous les sens du préfixe ».

                                               Serge KOSTER

                                              Sérénité du dédain.

                                                          (P.4)

     

La confusion volontaire sur le fait littéraire donne comme résultat l’effondrement de la véritable littérature. 

Que nous prenions parti par le sens de la littérature donné par Wlad Godzich, ou par celui de Dorrit Cohn qui restreint de manière absolue la littérature au seul fait de la fiction complète, prenant comme exemple et singulier cas extrême Kafka, (j’ajouterais Giorgio Manganelli), le fait littéraire a été dévie et prostitué; il n’est en rien ce que les éditeurs choisissent et moins encore les écrits qui sont récompensés des plus prestigieux prix dits «  littéraires».

Ce même phénomène fut déplacé dans le Ministère de l’Ignorance Nationale qui a crée l’ignorance presque irréversible chez les étudiants. En ce qui concerne la vraie littérature, en sortant des classiques, le problème pédagogique apparaît. Pourrions-nous les rendre coupables sur leur manque de discernement? Absolument pas, chez eux, il n’ont aucune référence ni guide, seuls les fils de Professeurs et chercheurs sortent victorieux de ce monde de l’inculture française. Quand je suis arrivée en France ce constat pathétique commençait à peine à sortir à la surface, à présent ce sont les maisons d’édition qui répandent « une politique » de sélection qui accentue la mort de la littérature. Sur le Web vous pouvez trouver une excellente alerte qui vous met à l’abri de faire un faux pas si vous avez l’intention de présenter un manuscrit. Les experts ont sélectionné treize maisons d’édition qui font appel aux postulants à  être publiés, leur publicité et annonces sont ridicules, parce qu’ils s’adressent aux « candidats » presque en suppliant de les envoyer un manuscrit, hormis cet appel, ce que les boutiques d’édition cherchent est résoudre leur chiffre comptable.

Ils ne cherchent qu’à financer leur boutique, parce que les manuscrits seront édités non « à compte d’éditeur, » mais « à compte d’auteur », et ces malheureux qui veulent obtenir la gloire et l’argent seront les nouveaux escroqués car la maison d’édition videra très vite leur compte bancaire.

 Moi, il a plus de trente années que je n’adresse plus mes livres à aucun éditeur et depuis que j’eus deux « publieurs » qui m’escroquèrent, (j’ai gagné le procès) je me suis jurée de ne plus avoir affaire avec aucun d’entre eux;  je suis depuis « auteur indépendant », à mes risques et périls, parce que je ne vends rien.

 Mais l’indépendance et la liberté sont des biens précieux, je garde toujours l’espoir qu’un mécène me trouve et qu’is sauve de mon vivant, aussi bien ma production picturale que littéraire.

Les directeurs de maisons d’édition ne sont pas des ignorants, c’est pire, ils sont des commerçants rusés et des opportunistes.

Chez eux, la sélection et le combat qu’ils mènent est consciemment construit et se sont transformés en vulgaires « divulgateurs » des tendances politiques», tout comme les médias, qui font appel à une avalanche des « journalistes », ils font commerce avec des lectrices à peine sorties de faculté, dépourvues d’esprit critique, et qui abordent les manuscrits suivant les ordres du patron, l’esprit de sélection est journalistique, jamais littéraire; le candidat qui rêve d’être publié, gagner le plutôt possible un prix littéraire et devenir « célèbre » sera appelé uniquement si son « manuscrit » traite des sujets d’actualité, tout problème politique, encore mieux géo-politique et des sujets de société, entrent dans le « cadre » de ce qui pourrait, après le premier avis « des lectrices » passer à la délibération du comité de lecture. Imaginez-vous, ils ne vont pas s’exposer à publier un écrit de critique qui pourrait apporter tort au courant de pensée officielle, et moins encore d’un genre interdit en France: la poésie, il est à tel point un genre à la marge que bon nombre des maisons d’éditions préviennent: « ne nous envoyez pas de poésie ». « Nous ne publions pas de poésie ». Il paraît que nous entrons dans un monde interdit.

Pauvre idiote et naïve que j’étais dans ma jeunesse qui me présentais comme « poète » et qui, inconsciente du terrain où je mettais les pieds sans rien savoir de ce monde étanche, je leur envoyais,  si sure de moi, mes recueils des poèmes; le pire c’était mon assurance d’un retour  heureux comme celui rempli d’admiration que je recevais de mes Professeurs de faculté. Mais, après quelques tentatives  désastreuses aussi bien pour mes poèmes que pour mes récits lyriques en prose, j’ai compris qu’il fallait adopter une autre conduite dans mon pays d’adoption. Deux cercles de l’Art suprême se fermaient pour moi et à tout jamais en France.

Cependant, question que je n’ai jamais raconté et moins encore écrit,  c’est ce que je vais dévoiler maintenant.

Pourquoi? Parce que je crois que j’analyse le passé autrement avec mon expérience de vie.

La plus importante de mes expériences d’envoi de manuscrit a eu lieu à Paris, dans ma jeunesse, je me culpabilisais de n’avoir pas pris une initiative qui aurait peut-être résolu le mystère. 

Maman qui était d’une sagesse et d’une intelligence hors pair, elle a analysée ce fait avec justesse.

Elle m’avait dit: « ll y a quelqu’un qui s’est interposé avec des méthodes malfaisantes et gravissimes pour que tu ne publies pas ce livre ». 

Elle a eu raison.

J’avais ttente cinq ans.

Voila mon histoire:

J’vais fini mon premier manuscrit. Une collègue parfaitement compétente et bilingue espagnol- français s’est offerte pour le corriger. Je l’ai envoyé chez Gallimard.

Un mois après, la secrétaire de Philipe Sollers m’appela:

Elle s’est présentée et m’a dit que Monsieur Sollers a beaucoup aimé votre livre qui a retenu toute son attention, il a dû faire un voyage à l’étranger intempestif et m’a chargée de vous prévenir que dès son retour il prendra contact avec vous ».

Il va sans dire ma joie et l’espoir qui est née dans mon esprit, j’étais aux anges!. Mais à cette époque là, je savais que j’étais sur écoute téléphonique. Il y a de par le monde des personnes lâches qui répandent leur venin, et dont leur seule motivation est d’entourer le gens innocents de malheur, c’est une compensation à ses échecs, et leurs propres complexes et frustrations psychiques. Maman était certaine que cette personne a été celle qui a provoqué mon « echec »et qui a tout programmé, grâce à son poste de pouvoir pour que cet appel de Philippe Sollers ne se produise jamais. Maman ne pesait de me le dire: cette mauvaise personne a sûrement  fait de son mieux pour que Sollers ne t’appelle jamais. 

L’admiration et le respect que je tenais pour Philippe Sollers a provoqué chez moi une retenue et par discrétion, quand bien même insérée dans une situation trouble, j’ai opté pour rester en silence et ne pas insister; je n’ai pas voulu savoir la raison  de ce rendez-vous manqué. Parfois mon excès de politesse me nuit dans une société où ces modes de traitement social sont censurés, on me traite de trop « obséquieuse », c’est l’attaque frontal et le manque de courtoisie, le seul langage bienvenu parmi mes concitoyens.

Quelques années après, j’ai rencontré l’écrivain Serge Koster, il a aimé totalement mon livre et m’a dit: c’est un livre qui a tous les mérites d’être édité, je vais le présenter à mon éditeur, mais je vous préviens, j’ignore sa réponse, malheureusement je ne suis pas l’éditeur. Peu après il m’a dit que par deux voies du comité de lecture, mon manuscrit n’avait pas été retenu.

Par la suite, en avançant dans l’âge, ma prise de position était tracée.

Je continuais à écrire sans cesse et j’ai pris la décision de devenir auteur indépendant; mon chemin de poète et d’écrivain se ferait sans faire appel à personne, en totale solitude, et pour ne plus jamais réaliser aucune tentative de trouver un éditeur. 

Je suis convaincue que toutes ces tentatives pour se faire éditer sont néfastes, dès qu’un auteur se place en position de « demandeur », le fil de contact respectueux est coupé.

 Le chemin doit s’inverser. Le poète, l’écrivain est un génie à part au sein de la société, sans mécène, aussi bien le peintre que le poète, vit à la dérive. Le milieux qui l’entoure devient un danger permanent.

Le poète, l’écrivain doit recevoir le respect, la reconnaissance et au même temps, se préserver de tout attaque extérieur.

Il m’est nécessaire de donner un exemple esthétique sur le sujet ici traité, je dois parler d’un essai de Serge Koster, une de ses oeuvres magistrales, aussi dense et de fine analyse que l’est Racine une passion française.

La situation de l’écrivain qu’il décrit est d’une clairvoyance absolue,

Je m’identifie complètement avec son analyse. 

Avec ces souvenances de jeunesse je ferme cet écrit.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

              

 

LITTÉRATURE DE L’EXIL OU L’EXIL VOLONTAIRE DE L’ACTE LITTÉRAIRE ?

24 novembre, 2024 (19:22) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LITTÉRATURE DE L’EXIL OU

 

 

   L’EXIL VOLONTAIRE DE L’ACTE  LITTERAIRE?

 

 

« Nous avons tous conscience, ici, qu’un linguiste sourd à la fonction poétique du langage et un spécialiste de littérature indifférent aux problèmes linguistiques et peu familier des méthodes linguistiques sont des anachronismes aussi flagrants l’un que l’autre »

                                    Roman JAKOBSON

                               Conférence sur le style (1958)

 

 

Dans son livre Extraterritorialité George Steiner nous fait réfléchir sur les nouvelles modalités qui se sont produites en matière de renouvellement sémantique, dès la Première Guerre mondiale à nous jours; il prend comme exemple trois écrivains qui écrivirent dans une langue qui n’était pas la sienne. Ce sont des cas rarissimes; pour l’heure, bon nombre d’études linguistiques ont fait part des découvertes impressionnantes sur le genèse des créations littéraires liées à des éléments intimement liés à la génétique.

 C’est cet aspect qui attire toute mon attention parce que je fais l’auto-analyse de mon propre acte d’écriture et je prends en considération de manière très sérieuse les affirmations qui m’ont été faites par des experts, des Professeurs de littérature et aussi d’aucuns qui sont des experts dans l’exercice de la lecture à titre professionnel.

Tout d’abord, il faut clarifier ce qui s’est produit avec le poète et ou l’écrivain qui a commencé très jeune la pratique de l’écriture et qui s’exile par force majeure, je fais allusion précise à l’exilé politique. Steiner déclare que l’écrivain exilé sera toujours un « estropié », c’est une définition terrible, mais vraie; certes, mais seulement si cet artiste exilé n’a pas eu de reconnaissance et, je reste toujours au conditionnel, si entre son acte littéraire qu’il fait dans sa langue maternelle s’installe une barrière étanche qui le sépare de son pays d’adoption; il lui sera toujours nécessaire faire appel aux traducteurs, trouver un éditeur de premier ordre qui l’accueille et qui lui apporte cette facilité.

Si rien de cela lui advient dans sa nouvelle vie d’exilé, un découragement et une mort  de sa pratique littéraire peut se produire. 

Depuis mon arrivée en France, ce qui m’avait fort impressionné était l’expérience qui racontait Milan Kundera, qui débuta sans maîtriser le Français et qui avait pris des cours pour ensuite écrire parfaitement en sa deuxième langue qu’il avait fait sienne à la perfection.

C’est le cas exceptionnel des certains privilégiés.

La mise à mort qui font les imbéciles à celui ou celle qui fait des fautes, qui s’acharne à maîtriser une langue étrangère sans aide de personne est une expérience que j’ai faite de cette société contemporaine.

Je dis toujours que mon projet, ma « mission artistique » je l’ai programmé minutieusement pour arriver à Paris. Je suis arrivée à Paris, parce que mon débarquement je l’ai fait à Paris, ma vraie ville d’adoption,  et pour ce fait, j’ai pris des cours « audiovisuels » pour être à mème de parler, de communiquer et perte indépendante en toute les circonstance de mon insertion sans aide de personne.

Je savais d’avance, pour être pédagogue, que ma formation en Français serait défaillante, pour m’exprimer à l’écrit, je n’avais acquis que lkes rudiments essentiels pour me débrouiller face à l’administration , non pour m’exprimer de manière soutenue et sans fautes à l’écrit.

Par la suite, j’ai dû travailler et jamais je n’ai eu de l’argent pour payer le cours particulier d’un véritable professeur de Français, mon cas personnel était loin d’être comparable aux grands écrivain qui sont venus se réfugier en France.

Je me suis formée en autodidacte, parce que j’aimais la langue française, mes défaillances j’ai fini par las assumer, et même à présent je m’acharne en solitaire pour m’améliorer au jour le jpur. J’ai vu et entendu un entretien fait à la pianiste Martha Argerich, la manière dont elle adopte sa technique n’est pas indépendante de son jeu, la technique s’insère à l’intérprétation, elle a dit quelque chose qui me semble essentielle et que j’applique pour ma pratique journalière de la langue française, c’est dan l’exercice de l’écriture que les doutes m’assaillent, alors, c’est à ce moment là que je fais ma recherche et que j’applique ce que j’ai appris à mon texte.

Il n’y a pas de meilleure façon de dissiper les doutes et d’avancer, parce que ce qui nous ignorons et que nous cherchons par notre propre effort reste indélébile.

Je cite à nouveau Steiner, qui dit que l’écrivain qui écrit dans une langue qui n’est pas la sienne sera toujours mis à l’épreuve dans son acte d’écriture, car il n’aura pas de certitudes, c’est ce que nous vivons en permanence, il s’agit d’un terrain incertain, mais qui donne des résultats surprenant selon  un Professeur de littérature Française qui n’a pas pu juger ma poésie qui est toute écrite dans ma langue maternelle, l’espagnol,( c’est mon terrier principal où je suis maître et je sais où j’y vais avec certitudes et où je suis à l’aise pour le choix des mots. ) Il n’a pu que me lire en Français.

Quand j’écris en français il se crée un espace dangereux, des doutes arrivent pour être immédiatement résolues pour avancer, or ce Professeur m’a dit qu’il voyait chez des grands essayistes et des grands écrivains faire plus de fautes que moi, et un correcteur qui m’a corrigé mes tous premiers manuscrits à été du même avis. Je reviens sur les affirmations irrévocables du Professeur de littérature Française, son commentaire m’a laissé  soumise dans une préoccupation intellectuelle majeure que je dois élucider. Il m’a dit, j’ignore pourquoi, mais quand je vous lis, je ne vois l’influence d’aucun écrivain latino-américain et moins encore d’écrivain Français, jil me semble lire les russes surtout Dostoïesvski.  Je me suis mise à faire de recherches sur l’influence génétique chez l’acte d’écriture d’un poète ou d’un écrivain. Claude Couffon qui fut mon directeur des recherches m’avait dit quelque chose de similaire:« vous n’êtes ni Neruda ni la Mistral, vous n’avez aucune résonance latino-américaine, ils vont se trouver devant un cas d’exception, la vérité est que vous êtes un poète, un écrivain « inclassable ». Ce n’est pas la peine que vous vous occupiez de protéger vos écrits, personne ne pourra jamais vous les voler, plagier ou transformer, ils sont vous-même, ne perdez ni votre temps ni votre argent »

Je pense aux cours de langue étrangère dont les écoliers peuvent bénéficier gratuitement tout au long de leur scolarité et qu’ils méprisent avec une nonchalance obtuse. Il faut savoir qu’il est parfois excusable quand l’absence de pédagogie des professeurs de langue étrangère ou des professeurs de Français ignorants ne maîtrisent même pas les rudiments les plus basiques et essentiels de la langue française et que par faute de connaissances et de talent, ils  ennuient et tuent toute motivation chez les élèves.

C’est à ce moment là que nous sommes confrontés à la politique de la diffusion de l’ignorance du Ministère de l’Education Nationale, mais ne nous éloignons pas du sujet.

Dépendre d’un tiers pour écrire est une situation humiliante pour un écrivain.

Marcher dans l’acte d’écriture avec des béquilles est affreux. L’indépendance en matière d’Art est le pilier sur lequel nous devons faire notre expérience de vie et d’artistes.

Ou bien il se fait impérieux d’en remédier en s’adonnant aux cours de français, le coût financier d’une heure de langue étrangère est phénoménal et il reste interdit pour une personne sans revenus « confortables’ ou bien le poète et, ou l’écrivain devra se résigner à écrire uniquement dans sa langue maternelle et laisser la barrière entre lui et la société qui l’a accueilli comme une question subsidiaire. Mon cas personnel est marginal.

Je suis arrivée en France tardivement, parce que déjà professionnelle et bien formée par une équipe de Professeurs d’excellence, ceux qui exilés arrivèrent enfants ou qui firent leur scolarité en France ne comptent point comme exemple. Mon Professeur et Directeur des recherches me disait toujours qu’ayant fait mon entrée professionnelle « dans la branche la plus médiocre de la France : l’Education Nationale » et en affirmant très fort sa conviction, il me faisait comprendre que ma voie de poète était inscrite d’avance dans un échec selon lui, irréversible. Il me conseilla d’émigrer en Espagne. Des difficultés de famille me l’interdisaient. Une autre raison de poids me l’interdisait encore plus, je suis arrivée en France non pour m’insérer comme poète et écrivain, mais comme artiste-peintre, puisque le lien de privilège que je porte en moi est le lien esthétique qui a déposé en moi, avec son enseignement, le peintre Hernán Gazmuri, me faisant sa disciple et de manière définitive,  cette vérité je ne ‘invente pas, elle est dictée par mon âge et l’époque, je suis pour l’heure, et à ma connaissance il n’y a pas d’autre vieille que moi qui reste en vie comme la seule héritière de l’Ecole de Paris.

Hernán GAZMURI m’a dit à mes seize ans: «tu dois savoir que l’enseignement de Lhote que je te donne, tu l’obtiens sans efforts chez toi, moi, à mes 28 ans, j’ai dû l’obtenir en allant à Paris, avec mes faibles économies et en faisant des sacrifices innommables, tu a une mission,  et tu devrais être fidèle à ce travail».

La peinture moderne  est née à Paris, or ma voie d’artiste-peintre était déjà tracée par le destin, ma génétique et aussi, parce qu’avec mon arrivée programmée et volontaire à Paris, chargée d’un projet bien défini, une ligne directive se traçait de manière irréversible dans mon existence artiste-peintre.

Oh combien sont nombreuses celles qui s’efforcent de me détruire pour que je cesse de  peindre!

Je parle des Serpents de l’administration qui délibérément essaient de me détourner de mon travail de peintre et qui s’adonnent à commettre des délits permanents à mon encontre, pour m’interdire de vivre paisiblement!

Elles sont en possession des tous les outils administratifs pour que je n’obtienne pas ma mutation vers une HLM parisienne.

Une guerre invisible me déclarèrent. Les guerres administratives sous couvert de l’État sont les plus dangereuses, nonobstant, ma confiance dans la parole écrite ne s’estompera jamais.

Je ne possède ni leur nature ni leurs manières de bas-fonds, donc je les laisse faire, Napoléon disait qu’à l’ennemi il faut l’aider !

Avançons !

Les gens se servent de mots comme des misérables et des superficiels. Dans toute discussion ou dialogue où il y a des différends, au lieu de se comporter comme des personnes civilisées, ils font appel aux mots sans comprendre le bon usage, et en ignorant leur portée.

Moi, qui suis experte en langage, d’une part comme professionnelle et d’autre part en tant qu’artiste, je suis incapable d’entretenir un dialogue tortueux où la signification du discours qui m’est jeté pour me provoquer,  enferme une forme de violence, un mensonge et un piège qui me forcent à réagir par le moyen d’une réplique qui devrait se formuler dans des termes terribles, or je ne cède point à ce piège. Jamais.

 Ils ou elles, se lancent à dire avec légèreté tout et « n’importe quoi », je suis atterrée à les entendre.

Je ne donne jamais suite à ce genre de polémique, la guerre des mots m’est insupportable. 

Moi , qui aime les mots, je ressens cette violence verbale comme un viol.

C’est un viol cérébral, un viol de l’esprit, un attentat psychique, voire physique qui résonne dans tout mon être, mais personne ne peut comprendre cela, à l’exception d’un écrivain, d’un poète d’un « commentateur des textes » comme l’était George Steiner.

Les amis Français que j’avais et que j’aimais, ils  sont tous au cimetière, cette génération des gens spirituels  a été disparue à tout jamais.

Ils me suivaient, m’aidaient, m’encourageaient dans mes projets de peinture et d’écriture, en vieillissant,  en passant inexorablement par le temps, je me suis trouvée orpheline de ma France d’autrefois, il a été une épreuve existentielle « grave et difficile » comme qualifiait R.M. Rilke les épreuves d’ordre spirituel. Il m’a fallu refaire ma vie à l’aide des béquilles existentielles, me recréant un nouvel univers en ermite.

Par fortune du destin, j’ai hérité de mon père une force da caractère sans faille. Et, je suis fortifiée, par la vie malheureuse que l’administration française a décidé de me donner dès mon arrivée, elle fut faite de luttes incessantes, ce qui m’a laissé blindée et le peu de temps qui me reste à vivre,  je le protège  comme un bien précieux et je compte le vivre en paix.

Je me souviens d’une expérience avec les mots; y a quelques années une personne qui s’est conduite d’une honteuse manière,  a eu la maladresse d’inventer un subterfuge pour me reprocher mon silence et ce que de l’extérieur ressemblait à de l’indifférence. Lui répondre aurait été une grave erreur. Il n’y avait rien à répondre. Mon silence parlait des mots imprononçables et interdits.

Parce que le fait d’entendre un seul mot inconvenant, brisait déjà toute forme de possible dialogue; ce mot inconvenant disait long sur ses intentions. J’avais l’ouïe en alerte, la pierre jetée inconsciemment à l’eau, je l’ai écoutée et aussi ses échos funèbres, ce  mot était un mot qui présageait pour moi une mise à mort non immédiate, mais qui enfermait en soi une modalité verbale  qui a le russe, c’est le sens unique d’un futur proche. Je me suis sauvée de nouvelles épreuves malheureuses et gratuites, parce que déjà munie d’expérience de vie, rien ne pouvait me détourner ni n’arriver à m’atteindre pour me provoquer des blessures invisibles.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

In,  MEMOIRES: Ma vie littératurisée du Chili à la France.

 

 

 

« L’ORGANISATION DE LA CITÉ ? »

24 novembre, 2024 (11:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

« L’ORGANISATION DE LA CITÉ ? »

 

 

LES NOUVELLES RESTRICTIONS DE LA CPAM

 

 

Chers Lecteurs, 

C’est jusqu’au dix décembre que je vais poursuivre l’écriture d’articles de critique sociétale, par la suite, même pas une ligne je ne consacrerai aux méfaits sociaux que ce gouvernement nous impose et dont il s’est imposé de manière virulente avec ses ordres crétines dans toutes les institutions de l’État, vous savez qu’il s’est immiscé pour agir avec des modalités de véritable dictature, or ce qui me laisse atterrée, oui, il n’y a pas d’autre mot mieux adapté à vous exprimer le sentiment d’effroi que je ressens à chaque « nouveauté » politique que les laquais du gouvernement s’efforcent d’accomplir avec des modalités obtuses et déplacées, je vais vous parler des deux d’entre elles, les plus indignes et dangereuses, parce que mis à part leur absurdité, elles portent atteinte à la vie des citoyens malades ou en état d’handicap.

Je connais depuis des nombreuses années le système de santé Français, pour plus d’exactitude, depuis l’année 2000 quand j’ai tout quitté pour m’occuper à plein temps de Maman, sans aucune aide extérieure, parce qu’elle était devenue totalement invalide et grabataire; nous avions besoin de transport médicalisé en permanence et je connais en profondeur les lois de la Sécurité sociale, alors je constate que « les associations de malades » manquent cruellement de ces informations que je possède, parce que les dernières nouvelles du journal de ce matin laissent voir une absence de réplique aux nouveau diktats de la CPAM. J’dresse ce message aux « Associations » et aussi aux mal nommés « MÉDECINS», parce qu’un médecin qui refuse un bon de transport à un malade ou à un handicapé et qui ose de le priver de soins, il lui apporte un tort ineffaçable à sa santé et s’il le fait de manière systématique et avec un caractère intransigeant sachez qu’il ne le fait que pour se faire valoir face à sa « hiérarchie » , parce que les médecins en France ne sont que de simples fonctionnaire de l’Etat, peu les importe le bien être de leurs « patients » que leurs secrétaires nomment « clients ».

Si la qualité de la médecine a baissé en France la faute est due uniquement aux gouvernements successifs. Aucun député ne se consacre à cette analyse et aucun député ne consacre de son temps à crier haute et fort à l’Assemblée Nationale la discrimination abusive que le gouvernement est en train de propager à l’encontre des malades et d’handicapés.

Cela dit,  je vais vous exposer le nouveau diktat de la Sécurité Sociale et je vais ouvrir la boite de Pandore, ne vous inquiétez point, je laisserai dedans l’ESPOIR. Je fais honneur à mon prénom russe: Nadezhda.

Les bons de transport sont qualifiés d »abusifs » , parce que selon le Ministère ils sont un facteur déterminant dans les dépenses « excessives » de la Sécurité sociale. Vous devez savoir que le bon de transport sert soit pour un déplacement en ambulance ou en VSL, « taxi conventionné ». Seuls les malades atteints de maladies très graves qui ne peuvent même pas être transportés assis, doivent faire usage des ambulances, le reste des usagers, utilisent le VSL, «taxi conventionné ».

Comme le fait toujours la Sécurité Sociale, elle  accuse du déficit pécuniaire aux malades et aux handicapés.

FAUSSE ACCUSATION DE FRAUDE.

Tout comme les accusations de fraude à la Carte vitale, j’ai déjà écrit sur cette fausse accusation, si fraude il pourrait y avoir, elle ne peut se produire que par un médecin fraudeur lui-même qui accepte de recevoir un membre de la famille du « patient » qui octroie ses droits à quelqu’un qui ne possède même pas sa Carte Vitale, ce cas de figure est en France inexistant, parce qu’à présent il suffit d’atterrir sur le sol Français pour que quiconque veut se faire soigner ou obtenir une HLM soit  bénéficiaire de tous ses avantages.

( Quand je suis arrivé en France il y a quarante trois ans, je n’ai rien eu des ses avantages, j’ai dû patiemment attendre 1989 quand j’eus ma naturalisation Française et que j’ai pu « m’inscrire » pour l’obtention d’une HLM, auparavant, je louais dans le privé, c’était parfait, je n’ai jamais eu de problèmes avec mes bailleurs Français, et j’ai payais mon loyer pour Maman et moi-même de mon misérable salaire de professeur d’espagnol, l’Assurance Maladie de Maman, je la  payais mensuellement à l’URSSAF et ses droit à la Sécurité Sociale c’est moi qui lui a fait obtenir sa première Carte de Santé, alors je n’ai pas vécu de l’assistanat, cette parenthèse me semble très utile pour mes détracteurs. Dès que je suis entrée dans le circuit de l’État ma vie est tombée en ruines et mon bien être s’est dégradé par l’intromission de l’État dans toutes mes affaires de la vie curante, étant le logement et la santé les piliers de la vie de tout citoyen.

Avant, il n’était pas nécessaire de gagner trois fois le prix du loyer pour acquérir un logement. La seule chose primordiale était de payer son loyer tous les mois, de comment le locataire devait se débrouiller, cela n’entrait pas en considération, si un locataire ne payait pas, alors on l’expulsait. À présent seuls les retraités aux retraites confortables, c’est à dire qui sont trois fois plus élevées que le prix du loyer mensuel, peuvent se loger dans un F2 à Paris, ma retraite devrait être  au moins de 7000 euros mensuels).

Didascalie …

La Carte Vitale ne peut être fraudée.

Les bons de transport pareillement, ils sont nominatifs et seul le médecin généraliste, inscrit comme médecin Référent à la Sécurité Sociale est habilité à les délivrer.

Lisez moi bin, parce que ce que je vais vous dire ici doit servir d’argument de défense aux malades, aux handicapés qui dépendent des bons de transport pour se déplacer aux consultations médicales et aussi aux « ASSOCIATIONS » qui manquent d’arguments solides.

LES BONS DE TRANSPORT

Voyons le système de l’intérieur.

1. Le bon de transport indique le lieu de départ et le lieu d’arrivée.

2.  Le bon de transport doit marquer la date de la dite consultation.

3. En bas du bon, il  doit être validée la date de la consultation chez le médecin généraliste qui a délivré le bon, sa signature et le tampon de son enregistrement à la CPAM.

4. Ils sont la plupart du temps délivrés pour un « aller-retour ».

5. Les informations sur le patients sont relatives à son nom, adresse, N° de sécurité sociale.

LA  DATE DE LA CONSULTATION DOIT ÊTRE EN ACCORD AVEC LA DATE DU BON DE TRANSPORT.

Donc, il est IMPOSSIBLE  la fraude dont accuse la Sécurité sociale aux patients et aux handicapés.

Aucun bon de transport ne peut servir pour que les malades ou les handicapés aillent « faire du shopping »,  visiter des musées, se promener ou visiter  leurs amis.

Ces fonctionnaires de la CPAM regardent à la loupe sur leurs ordinateurs  la coordination exacte entre le bon et la consultation pour laquelle il a été délivré; grâce à l’informatique tout y est méticuleusement inscrit et répertorié, le bon de transport doit concorder exactement avec la visite du patient à la consultation du médecin,  de l’hôpital, de la clinique ou autre.

Les accusations de la Sécurité sociale qui attaque et accuse les handicapés ou les malades, sont  un abus de pouvoir et cette faute administrative doit être punie devant un Tribunal Administratif.

Il est une ignominie et un abus de pouvoir.

Les citoyens handicapés en impossibilité de nous déplacer librement et avec aisance si nous vivons dans des lieux contraires à notre handicap nous devons exiger du RESPECT et en finir avec les polémiques déplacées!

 

Nous avons cotisé, pour être à l’abri dans nos vieux jours.

Bon nombre d’entre nous, nous avons travaillé sur des postes précaires et  mal payés et,  pour ma part, je n’ai jamais refusé aucun travail, dans ma jeunesse j’ai été exploitée dans le monde du travail de l’Education Nationale, alors dans mes vieux jours sachez que je compte faire valoir mes droits et je n’accepterai jamais qu’aucun faux médecin qui  se moque de mon handicap et de l’éloignement de Paris qui m’impose des déplacements avec « bon de transport » veut injustement faire  de moi une victime.

Les faux médecins,  je les connais déjà, sachez qu’ils ne me priveront pas de rester en bonne santé, si un médecin me refuse un bon de transport, cela veut dire que dans les 15 minutes qu’il me donne pour la consultation faite uniquement pour aller chercher le bon de transport, où 5 minutes il le dédie à passer la carte vitale dans son décodeur, il fait preuve de rester en dehors de mes souffrances et il viole le serment d’Hippocrate.

Je fuis le médecin qui met en réduction les bons de transport, pour se faire apprécier de sa hiérarchie, attention, qu’il ne vienne pas me refuser un bon de transport dédié aux déplacements obligatoires pour mon handicap.

 

Il ignore tout de moi, et de surcroit il est des ceux qui mène une vie régalienne et dont sa seule compétence n’est pas médicale, parce qu’il n’a pas de cerveau suffisant pur voir devant lui une patiente qui ne peut parcourir une distance abyssale entre son lieu de résidence et Paris où elle se fait suivre depuis des nombreuses années parce qu’elle était parisienne.

Cette discrimination abusive démontre aussi la dissociation entre les institutions, puisque les gérants des HLM permettent qu’une personne handicapée habite dans un immeuble inapte et dangereux pour son handicap et de surcroit éloignée des lieux de santé où elle s’est toujours fait suivre, et sans considérer sérieusement qu’où elle vit  reste « un désert médical » avéré. 

Mon message à l’Etat:

Regardez vos fautes de gérance du pays, faites vous l’introspection de votre incompétence et cessez de nous culpabiliser à l’aide des mensonges.

Vous devriez avoir honte de votre mauvaise gérance des affaires de l’Etat et voici mon message aux faux médecins:

 Le fait de mettre en réduction les bons de transport, pour vous faire apprécier de votre hiérarchie est une faute médicale gravissime, parce que vous laissez abandonnée et sans soins une patiente qui en a besoin, ne sortez pas le refrain absurde que l’État vous contrôle et qui vous réduit la faculté d’octroyer les bons de transport, je l’ai déjà démontré qu’il ne peut y avoir de fraude.

Stoppez vos arguments de pacotille, une personne intelligente et sérieuse ne peut pas vos accepter ces mensonges grossiers.

Attention,  qu’il ne vienne pas me refuser un bon de transport dédié aux déplacements obligatoires pour mon handicap.

L’ORGANISATION DE LA CITE EST L’ESSENCE DE LA DEMOCRATIE.

Il faut que nous sachions nous défendre de cette dictature parce  que les déficits de l’État sont dus à leur faute de fonctionnaires dépensiers; ils se donnent tous une vie confortable au détriment de la nation qui s’appauvrie au jour le jour, et ce sont eux qui donnent une vie de misère au pays sans que personne mette un digue et ne crie  la vérité et leur dise : BASTA !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

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