UN HÔPITAL PUBLIC FRANÇAIS PRIS D’ASSAUT PAR L’ABOMINATION UKRAINIENNE
UN HÔPITAL PUBLIC FRANÇAIS
PRIS D’ASSAUT
PAR L’ABOMINATION UKRAINIENNE
Chers Lecteurs,
Chers Lecteurs étrangers qui me lisez fidèlement,
Je vais vous transcrire de mémoire, la mienne est excellente, d’un fait abominable qui se passe en France, au sein d’un hôpital public français.
La source? Un excellent reportage sur la vie qui se déroule en une journée et une nuit entière dans un hôpital public en France dans le service de maternité.
Laissons de coté les renseignements annexes qu’apparement n’ont pas de rapport avec le sujet abominable de monstruosité que je vais vous raconter, mais la vérité est qu’ils ont un rapport intime, parce que dans ce cas abominable l’est encore plus dans l’importance de sa transgression à la loi française et à l’abus manifeste qui va à l’encontre d’un personnel dévoué.
Ces faits son aussi représentatifs de la crise hospitalière et, ils ont un rapport direct avec les mensonges d’État qui culpabilise les français de « trop dépenser » et de manière abusive ses propres dépenses de santé. Un mensonge et un absurde abyssal.
La France traverse « une crise » hospitalière et de tout son système de santé qui dure depuis une quarantaine d’années, elle touche non seulement le déficit budgétaire, mais pareillement le manque de personnel qui est très mal payée; des médecins experts dans la matière parce qu’ils ont des responsabilités administratives, il y a trois années déjà, ils ont déclare la vérité dans la presse de ce qui se passe réellement en interne, dans la comptabilité, dans le service des ressources humaines et leur gestion absurde et injuste, mais ils furent aussitôt censurés, parce que la censure en France s’exerce en catimini, n-ils sont tellement démocrates !, mais le gouvernement ne les laisse plus de tribune pour redire que ce déficit est dû non à l’excès de dépenses des usagers, mais à une très mauvaise gestion interne qui donne préférence à l’administratif, à la BUREAUCRATIE qui ici en France est sacrée, pour négliger les dépenses qui devraient être prioritaires et qui incombent la véritable dépense qui doit être comblée au sein des hôpitaux, à savoir, le maintien des lits suffisants pour accueillir tous les patients, et payer avec justice le personnel.
Les imbéciles politicards se sont adonnés à la fermeture de lits et des services et s’abstiennent indéfiniment à payer comme il se doit le personnel.
Bref, ceci dit à tire d’information liminaire, pour mes lecteurs étrangers, parce que pour le français qui laissent faire les injustices, ceci n’est pas une nouveauté, je transcris ici le dialogue dans la salle interne du service de maternité.
LE DIALOGUE EN CRESCENDO D’UNE ABOMINATION UKRAINIENNE
Dans la nuit, arrive une femme parturiente aux urgences, elle est accueillie par le groupe de médecins de garde, la sage-femme et les infirmières.
Premier difficulté: elle ne parle pas un mot de français.
Mais elle parle ukrainien (!)
Les infirmières désespérées, se mobilisent, à cette heure de la nuit, il est impossible de trouver un traducteur.
La femme finalement leur donne un numéro de téléphone, elles appellent:
DIALOGUE EN CRESCENDO :
La sage-femme : Monsieur, il faut que vous veniez très vite car « votre femme » est ici aux urgences et elle va accoucher.
L’Homme: Je ne suis pas son mari.
La sage-femme: bon votre compagne…
L’Homme: Non, elle n’est pas MA COMPAGNE.
La sage-femme: bon Monsieur, le problème monsieur est qu’elle ne parle que l’ukrainien et nous n’avons pas à cette heure-ci la possibilité de trouver un traducteur. Il faut que vous veniez !
L’Homme : Moi, je ne parle pas l’ukrainien. Et, je ne peux pas y aller, je suis à Bordeaux (!)
La sage-femme: bon vous ne parlez pas l’ukrainien, vous n’êtes ni son mari ni son compagnon et vous êtes à l’autre bout de la France, je ne comprends pas…
L’Homme: Certes, mais JE SUIS SEULEMENT LE PÈRE DE L’ENFANT »
IL AJOUTE :
Elle est mariée, elle est mère de trois enfants et son mari est en Ukraine.
Avec ce récit comme réponse, le personnel a tout compris.
Et moi aussi.
LA VOICI, UNE MÈRE PORTEUSE QUI ARRIVE
ACCOUCHER EN FRANCE.
J’ai ressenti une colère infinie et elle est motivée par plusieurs motifs très bien fondés.
l’Ukraine corrompue a trouvé son nid ici, où la GPA est interdite, mais pour les ukrainiennes tout est annulé et tout leur est permis, ces femmes-monstres, qui accoucheront des monstres, seront payées de 20.000€ par chaque accouchement pour autrui, la loi française est brisée spécialement pour elles, la loi française n’est pas appliquée, elles sont « exceptionnelles!… Ces ukrainiennes.
Il faut observer sans difficulté aucune, parce que dans les médias qu’elles ont aussi pris d’assaut, la France leur a offert une tribune permanente, elles font toutes preuve d’un complexe de supériorité démesuré, et elles sont d’une agressivité et d’un égo sans limites, elles se croient supérieures est tout leur doit être dû.
L’Ukraine est située au premier rang des pays qui acceptent la GPA et leur taux des naissances par GPA explose, elles la pratiquent librement comme le commerce le plus rentable, parce que la GPA qui est totalement légale en Ukraine est devenue une source privilégiée de revenus pour les femmes ukrainiennes.
Mais, la paradoxe de ce qui passe en France est ce qui m’inquiète.
Il y a deux possibilités qu’on ne nous dit pas.
Ou bien l’acheteur de « bébé-monstre » va payer les frais hospitaliers de l’hôpital public à taux plein, non seulement parce que ce type français dégénéré a des revenus bien confortables pour se payer la GPA ukrainienne, mais aussi parce que cette nouvelle réfugiée qui vient tout juste d’arriver n’a pas encore sa CARTE VITALE, il faut un mois pour que l’État français le lui donne avec une SOLIDARITÉ DÉBORDANTE, ce monsieur Français sera le bon payeur, ou bien, tous les frais hospitaliers seront GRATUITS parce qu’elle est une RÉFUGIÉE UKRAINIENNE et là, la France FRATERNELLE ET SOLIDAIRE sera complice de la violation de la loi qui interdit la GPA.
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
NADEZHDA
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