CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

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LES DÉLITS PENAUX RÉCURRENTS DES BAILLEURS HLM

28 novembre, 2024 (09:14) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

LES DÉLITS RÉCURRENTS

 

 

DES GÉRANTS DES HLM

 

 

 

Chers Lecteurs, 

Il y a une déferlante des délits et d’abus récurrents chez les gérants et gérantes des HLM, ces délits seront classés par la loi, selon leur catégorie de gravité en délit à caractère civil ou pénal.

Mon cas particulier chez le bailleur social VILOGIA où je vis depuis 2021 à Poissy, son délit à mon encontre est classé dans la catégorie de délit pénal,  à savoir : discrimination abusive avec des circonstances aggravantes vis-à-vis de  mon état de handicap, et la résistance abusive à changer le tuyau de conduit de gaz du chauffe-eau , déjà caractérisé comme extrêmement dangereux par l’expert du GRDF, mais que VILOGIA se refuse à le réparer depuis des années vec l’intention de nuire ma santé et me tuer, parce que depuis 2021 je suis en train de respirer de « particules fines » qui peuvent porter atteinte à mes poumons. 

Cela je vais très prochainement le faire savoir publiquement.

Pour ces deux préjudices à catégorie pénale, je ferai un scandale médiatique, puisqu’en France entamer un procès c’est acquiescer à subir comme deuxième préjudice des années d’attente et avoir comme résultat une décision du tribunal administratif contraire aux intérêts du plaignant et au bénéfice du préfet, c’est à dire, privant de toute demande légitime le locataire handicapé.

 

PARADOXE JUDICIAIRE FRANÇAIS

 

 L’État est « complice » et le seul responsable des méfait récurrents des bailleurs sociaux.

Si nous sommes dépourvus d’un avocat d’excellence qui accepte de présenter notre dossier en Référé, et qui défende son client comme il se doit, c’est à dire avec rapidité et en appliquant minutieusement  les textes de loi pénale, l’État n’attribuera jamais une HLM en adéquation à l’handicap et aux nécessités réelles de l’handicapé, pour y parvenir nous aurions besoin d’argent pour payer les honoraires d’un avocat d’excellence et  remplir cette tâche est hors portée des locataires des HLM puisque nous sommes tous aux revenus précaires. La situation restera donc bloquée ad vitam aeternam, et c’est pour cette raison que les bailleurs HLM abusent.

La mafia des avocats avec l’Aide Juridictionnelle sont un autre groupe collégial odieux et paresseux qui a comme pratique, tout comme les médecins, de ne jamais s’opposer aux préfets, c’est à dire à l’État, le seul qui ordonne et régule l’attribution et les mutations des HLM; il va de même avec les élus, députes et autres. S’dresser à ces fonctionnaires sera toujours une perte de temps, ils se disent à l’écoute, mais ils restent inactifs, pour préserver leur image auprès de sa « hiérarchie », ils sont les élus de la République pour qu’une fois élus, et bien installés dans leurs postes de députés, ils violent la loi et leur déontologie. C’est la politique MAZAMORRA, la France est devenue un pays qui est en train de pratiquer la politique des pays du tiers monde latino-américain qui fonctionnent par « caudillos ». C’est une honte nationale.

Les élus ne défendent jamais les intérêts des citoyens et ils n’iront jamais agir en faveur des locataires pauvres, je connais de l’intérieur tout ce système de fausse justice gratuite pour « les pauvres », tout ce qui est gratuit est mauvais.

Aucun élu, député ou défenseur des droits,  n’ira à l’encontre du SYSTEME, ils font tous de la figuration, c’est un comportement théâtral et de surface, pour justifier leur poste de privilège. Pour l’heure les défenseurs des droits sont « débordés » des dossiers à traiter, et quand arrive votre tour et  après avoir traversé cinq mois d’attente légale obligatoire avant d’avoir le droit d’entamer un procès devant le tribunal administratif,  vous restez  sans aucune avancée en votre faveur.

C’est  en subissant les épreuves de l’attente qui se greffent aux délits, que les victimes attendent des années pour que leur statu de victime soit résolu.

Le seul coupable est l’État qui favorise et couvre  les délits des bailleurs HLM, le noeud de cette situation pénale est que mes concitoyens ignorent les textes de loi que je maîtrise parfaitement.

La plupart des locataires méconnait la loi qui les défend et ne savent pas comment s’y prendre pour défendre leurs intérêts. 

J’écris cet article pour qu’il soit de connaissance de tous, les droits et les devoirs des locataires des HLM.

Nous sommes contraints à subir des abus pour louer dans cette catégorie infernale qui sont les HLM en France.

Bien, avant de fermer cet article je vous donne un seul conseil face aux fraudes d’ordre pécuniaire: VILOGIA, BAILLEUR HLM, BAILLEUR SOCIAL, s’est permis de nous adresser une facture abusive de dépassement des charges, or j’ai pris connaissance qu’il est arrivé au comble de son abus, VILOGIA a adressé  des huissiers aux locataires « mauvais payeurs ». NE PAYEZ RIEN !

Toute facture doit être justifiée par un compteur individuel qui fasse preuve de nos dépenses.

Si les bailleurs HLM abusent et violent la loi c’est précisément par l’absence de compteur aussi bien de chauffage collectif que d’eau froide.

Ils calculent par étage et aux estimations frauduleuses, sachez qu’en matière juridique rien n’est laissé « au hasard », tout doit être JUSTIFIÉ par des preuves en l’espèce, en absence de preuves, c’est parole contre parole, donc VILOGIA est en train de justifier son délit par le moyen d’un dossier IRRECEVABLE !!!

Sachez que des huissiers ont été aussi condamnés par la loi !

N’ayez pas crainte, aucun huissier de peut défendre un dossier sans s’appuyer sur une preuve tangible et démontrable que le locataire a un « dépassement des charges », puisque nous n’avons pas de compteur. 

Pour nos dépenses d’électricité et de gaz nous disposons de deux compteurs, et tout abus du fournisseur, nous pouvons facilement l’attaquer en justice, nos compteurs sont nos meilleurs alliés et nos meilleurs défenseurs!

J’ai déjà gagné un procès pour factures abusives d’EDF, je ne paie aucune facture abusive. 

Je paie mon loyer, je n’ai jamais eu ni d’impayés de loyers ni de retards, donc il est impossible que ces dégénérés entreprennent encore d’autres délits pénaux aux déjà existants dans mon dossier.

 Il va falloir  exiger de l’ordre dans les affaires de la cité.

Tout citoyen et citoyenne responsable doit exiger que les politiques assument leur devoir;  les abus, violations de la loi et les délits pénaux des bailleurs HLM doivent prendre fin !

 

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

LA PUBLICITÉ MENSONGERE DU MINISTERE DE LA SANTÉ

26 novembre, 2024 (14:27) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

LA PUBLICITÉ DU MINISTERE DE LA SANTÉ

LA PUBLICITÉ MENSONGERE

 

 

 DU MINISTÈRE DE LA SANTÉ

 

Chers Lecteurs,

 

Nous sommes la cible des bombardements publicitaires commandés par le Ministère de la Santé qui a réalisé un programme de réductions abusives et inutiles de fausses « dépenses » qui selon ces prix Nobel de la gérance ministérielle, apporteront une réduction à la Caisse de l’Assurance Maladie; comme toujours, ce sont les assurés les coupables de tomber malades et les handicapés de l’être, mais la vérité est que leurs idées de réduction n’apporteront rien de positif à leur programme, mais une grave atteinte aux malades et aux handicapés.

Pour couronner ce programme et augmenter le risque de l’apparition de maladies graves, à présent nous devons supporter deux publicités mensongères, grotesques et au contenu dangereux, je vais vous expliquer pourquoi.

Les seuls heureux seront les « médecins-fonctionnaires » pour qui les malades ne sont que de colis du tri postal, et qui peu les intéresse leur bien être et dont leur seul but est d’être appréciés par « leur hiérarchie ».

Moi, je n’ai que de médecins parisiens d’excellence et que je garde depuis des nombreuses années sur Paris, c’est pourquoi je suis en mesure de critiquer avec autorité et lancer une alerte aux concitoyens ignorants.

Ne vous laissez pas faire.

Pour ce qui est de la plus stupide et grotesque des publicités montrant des femmes ridicules en ouvrant la bouche comme des crocodiles et gueulant comme des animaux sauvages, pour nous dire qu’elles n’ont pas besoin d’antibiotiques, pour le mal de gorge et par la même occasion indiquer aux médecins de faire des économies de médicaments et de ne rien prescrire.

Extraordinaire. 

Le plus ignorant de citoyens sait qu’une infection mal soignée a des graves conséquences.

Ne pas prescrire des antibiotiques ne se justifie que dans le cas de virus. 

Cas d’exception: les angines qui ne les contractent pas les personnes qui n’ont plus d’amygdales, donc ce mal de gorge est dû a une pharyngite qui exige la prise d’antibiotiques pour éviter que l’infection passe aux bronches.

Par expérience, et parce que nous avons été depuis notre plus jeune âge soignés par nos parents et que nous savons qu’un mal de gorge ou qu’une sinusite non soignée peut avoir des conséquences terribles, serait-il nécessaire de les énumérer?

Problèmes dentaires, de la mâchoire, des yeux, complications cardiaques, entrainant des  effets néfastes et très graves  sur d’autres organes.

L’épargne de médicaments sera pratiqué par les médecins irresponsables.

Laisser un « client » sans écoute et sans ordonnance entraînera une déferlante de  maladies gravissimes chez les patients qui seront, soyez en certains, à caractère dévastateur.

La deuxième publicité à l’intention de nous faire croire q’une visite chez le généraliste ne doit pas comprendre « une ordonnance »!

Voyons!

Alors, n’allez pas chez le médecin!

C’est plus économique de rester malade. 

Sortez sans ordonnance, consigne du Ministère de la Santé.

Il faut savoir que pour les 10 minutes de consultation donnés à chaque « client », il va falloir parler de la météo avec le généraliste et non de vos doléances!

Est ce que vous ne vous rendez pas compte qu’avec ces publicités mensongères le Ministère entre en contradiction médicale?

L’Assurance Maladie qui depuis des années ne fait que nous obliger à nous faire dépister et à nous contrôler chaque partie du corps pour éviter l’apparition de maladies graves, et que ce même ministère entre dans un espace crétin de contradiction médicale!

Apprenez à préserver votre santé et votre bien être; notre corps sain est notre plus grand trésor, c’est bien pour cela que tout au long de notre vie salariale on nous prélève des sommes conséquentes, afin d’accéder aux soins, alors, prenez votre télécommande à chaque fois qu’apparaissent ces femmes crocodiles d’une publicité grotesque et contraire à la délicatesse et le respect que le ministère de la Santé se doit de donner à ses citoyens.

Ce respect a été transgressé. 

Habitons nous dans un pays supposé européen et, selon l’avis d’aucuns, bénéficiant d’une médecine moderne?

Au regard de ces publicités inadmissibles, par le message mensonger et grotesque, je ne peux qu’affirmer le contraire.

Ne laissez jamais vos maux de gorge sans soins médicamenteux.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

PENSÉES MATINALES

26 novembre, 2024 (07:45) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

   PENSÉES MATINALES

Je m’oppose de manière catégorique à toute « collaboration guerrière » avec ce pays que je ne

nommerai point.

 

Chers Lecteurs,

Nous vivons une période de folie, le plus grave est que presque personne ne se rend compte.

Hier, j’ai eu une alerte YouTube, je me sis connectée et j’ai pu prendre connaissance d’un appel urgent lancé aux Français par Monsieur François Asselineau, nous interpelant à écrire aux députés pour que la folie de collaboration guerrière qui mènent les politicards installés à l’Elysée décline face à l’opposition de la nation. Je me suis dit, il est le seul à être doté d’intelligence et de courage, mais dans cette société des lâches, comment peut-il imaginer d’une part que les français vont se réveiller et d’autre part que les députés vont nous lire et, devenir instantanément courageux pour s’opposer à aller faire la guerre dans cette province de la Russie que je ne nommerai point?

Si nous écrivons des lettres aux députés pour leur demander qu’ils réagissent pour stopper tout projet guerrier de « collaboration », ils resteront inactifs.

Ils se mobilisent non pour défendre les français, mais pour garder leurs postes et leurs intérêts. J’écoute toujours les personnes qui me parlent, c’est une thermomètre sociétal de privilège. Une dame m’a dit: « ne craignez rien, pour le moment, les gens ne disent rien, ne croyez pas que tout le monde appuie ce pays, ils attendent…quand ils comprendront que ce sont leurs maris, leurs enfants qui devront partir là, les gens vont réagir ».

Alors je lui ai répondu: ils attendent que les jeunes français arrivent en cercueils ou amputés pour arrêter la folie qui sort de l’Elysée?

Exactement, me répondit-elle!

C’est un très louable projet politique, celui de Monsieur Asselineau, mais qui nécessite des gens dotés d’intelligence et en Europe, sauf des rares exceptions, l’intelligence est devenue une vertu rarissime.

Quoi qu’ils en disent, ce sont les Etats Unis les seuls qui auront le dernier mot. Comme toujours c’est l’argent le maître du monde.

Les derniers argument d’un des traîtres russes réfugiés en France vient de dire ceci: « La Russie a attaqué un pays frère blanc chrétien », Certes, mais pourquoi?

Parce qu’il a tourné le dos à sa véritable FAMILLE et n’a pas écouté les avertissements de sa propre famille. La traîtrise ,il faut savoir bien la situer.

Ce traître russe n’a pas dit a vérité, il aurait fallu qu’il finisse sa phrase se doit sa phrase, un pays frère? Certes, alors, il n’aurait JAMAIS dû se séparer de sa famille, il n’avait rien à faire avec l’Union Européenne ni avec l’OTAN, voila le noeud de l’affaire que personne ne veut admettre, ils le savent mais ne veulent pas l’admettre. Si ce gouvernement fantoche a voulu l’indépendance qui doit être financée par les Etats Unis et  par l’Europe qui est en faillite, ce n’est pas pour jouer le rôle prétentieux qui leur sert de propagande de :«défendre les valeurs de la démocratie européenne», mais uniquement par le parfum des euros et des dollars.

Avant de fermer cet article, je profite pour lancer un message à mes amis ruses, il serait judicieux que la Russie, et je m’adresse à ceux qui commandent, ne considèrent jamais les Français comme un bloc compact; il serait prudent de prendre en considération que la carte d’identité n’est pas l’indifférenciation sous le couvercle du gouvernement en place. 

Si le conglomérat qui nous dirige vers des projets de folie, croyez-vous sérieusement que nous adhérons à leur folie et que nous sommes tous fous?

La décision de collaboration et de s’allier dans ce « conflit » leur appartient, nous n’avons pas été consultés et je m’oppose de manière catégorique à toute forme de collaboration guerrière avec cette province de la Fédération de la Russie, donc, je me refuse à subir la détestation en bloque de la Russie, je ne me sens pas concernée et j’adhère totalement aux russes.

Je crois avoir écrit ma pensée de manière assez limpide.

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

NADEZHDA

 

VOUS AVEZ DIT LITTÉRATURE ?

25 novembre, 2024 (18:49) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

          VOUS AVEZ DIT   

 

 

          LITTÉRATURE ?

 

 

 

« Ce que le littérateur veut: changer son moi restreint en personnage, en personnalité. Faire de sa vie une oeuvre et de son oeuvre un mythe. Croyance qu’écrire c’est survivre – à tous les sens du préfixe ».

                                               Serge KOSTER

                                              Sérénité du dédain.

                                                          (P.4)

     

La confusion volontaire sur le fait littéraire donne comme résultat l’effondrement de la véritable littérature. 

Que nous prenions parti par le sens de la littérature donné par Wlad Godzich, ou par celui de Dorrit Cohn qui restreint de manière absolue la littérature au seul fait de la fiction complète, prenant comme exemple et singulier cas extrême Kafka, (j’ajouterais Giorgio Manganelli), le fait littéraire a été dévie et prostitué; il n’est en rien ce que les éditeurs choisissent et moins encore les écrits qui sont récompensés des plus prestigieux prix dits «  littéraires».

Ce même phénomène fut déplacé dans le Ministère de l’Ignorance Nationale qui a crée l’ignorance presque irréversible chez les étudiants. En ce qui concerne la vraie littérature, en sortant des classiques, le problème pédagogique apparaît. Pourrions-nous les rendre coupables sur leur manque de discernement? Absolument pas, chez eux, il n’ont aucune référence ni guide, seuls les fils de Professeurs et chercheurs sortent victorieux de ce monde de l’inculture française. Quand je suis arrivée en France ce constat pathétique commençait à peine à sortir à la surface, à présent ce sont les maisons d’édition qui répandent « une politique » de sélection qui accentue la mort de la littérature. Sur le Web vous pouvez trouver une excellente alerte qui vous met à l’abri de faire un faux pas si vous avez l’intention de présenter un manuscrit. Les experts ont sélectionné treize maisons d’édition qui font appel aux postulants à  être publiés, leur publicité et annonces sont ridicules, parce qu’ils s’adressent aux « candidats » presque en suppliant de les envoyer un manuscrit, hormis cet appel, ce que les boutiques d’édition cherchent est résoudre leur chiffre comptable.

Ils ne cherchent qu’à financer leur boutique, parce que les manuscrits seront édités non « à compte d’éditeur, » mais « à compte d’auteur », et ces malheureux qui veulent obtenir la gloire et l’argent seront les nouveaux escroqués car la maison d’édition videra très vite leur compte bancaire.

 Moi, il a plus de trente années que je n’adresse plus mes livres à aucun éditeur et depuis que j’eus deux « publieurs » qui m’escroquèrent, (j’ai gagné le procès) je me suis jurée de ne plus avoir affaire avec aucun d’entre eux;  je suis depuis « auteur indépendant », à mes risques et périls, parce que je ne vends rien.

 Mais l’indépendance et la liberté sont des biens précieux, je garde toujours l’espoir qu’un mécène me trouve et qu’is sauve de mon vivant, aussi bien ma production picturale que littéraire.

Les directeurs de maisons d’édition ne sont pas des ignorants, c’est pire, ils sont des commerçants rusés et des opportunistes.

Chez eux, la sélection et le combat qu’ils mènent est consciemment construit et se sont transformés en vulgaires « divulgateurs » des tendances politiques», tout comme les médias, qui font appel à une avalanche des « journalistes », ils font commerce avec des lectrices à peine sorties de faculté, dépourvues d’esprit critique, et qui abordent les manuscrits suivant les ordres du patron, l’esprit de sélection est journalistique, jamais littéraire; le candidat qui rêve d’être publié, gagner le plutôt possible un prix littéraire et devenir « célèbre » sera appelé uniquement si son « manuscrit » traite des sujets d’actualité, tout problème politique, encore mieux géo-politique et des sujets de société, entrent dans le « cadre » de ce qui pourrait, après le premier avis « des lectrices » passer à la délibération du comité de lecture. Imaginez-vous, ils ne vont pas s’exposer à publier un écrit de critique qui pourrait apporter tort au courant de pensée officielle, et moins encore d’un genre interdit en France: la poésie, il est à tel point un genre à la marge que bon nombre des maisons d’éditions préviennent: « ne nous envoyez pas de poésie ». « Nous ne publions pas de poésie ». Il paraît que nous entrons dans un monde interdit.

Pauvre idiote et naïve que j’étais dans ma jeunesse qui me présentais comme « poète » et qui, inconsciente du terrain où je mettais les pieds sans rien savoir de ce monde étanche, je leur envoyais,  si sure de moi, mes recueils des poèmes; le pire c’était mon assurance d’un retour  heureux comme celui rempli d’admiration que je recevais de mes Professeurs de faculté. Mais, après quelques tentatives  désastreuses aussi bien pour mes poèmes que pour mes récits lyriques en prose, j’ai compris qu’il fallait adopter une autre conduite dans mon pays d’adoption. Deux cercles de l’Art suprême se fermaient pour moi et à tout jamais en France.

Cependant, question que je n’ai jamais raconté et moins encore écrit,  c’est ce que je vais dévoiler maintenant.

Pourquoi? Parce que je crois que j’analyse le passé autrement avec mon expérience de vie.

La plus importante de mes expériences d’envoi de manuscrit a eu lieu à Paris, dans ma jeunesse, je me culpabilisais de n’avoir pas pris une initiative qui aurait peut-être résolu le mystère. 

Maman qui était d’une sagesse et d’une intelligence hors pair, elle a analysée ce fait avec justesse.

Elle m’avait dit: « ll y a quelqu’un qui s’est interposé avec des méthodes malfaisantes et gravissimes pour que tu ne publies pas ce livre ». 

Elle a eu raison.

J’avais ttente cinq ans.

Voila mon histoire:

J’vais fini mon premier manuscrit. Une collègue parfaitement compétente et bilingue espagnol- français s’est offerte pour le corriger. Je l’ai envoyé chez Gallimard.

Un mois après, la secrétaire de Philipe Sollers m’appela:

Elle s’est présentée et m’a dit que Monsieur Sollers a beaucoup aimé votre livre qui a retenu toute son attention, il a dû faire un voyage à l’étranger intempestif et m’a chargée de vous prévenir que dès son retour il prendra contact avec vous ».

Il va sans dire ma joie et l’espoir qui est née dans mon esprit, j’étais aux anges!. Mais à cette époque là, je savais que j’étais sur écoute téléphonique. Il y a de par le monde des personnes lâches qui répandent leur venin, et dont leur seule motivation est d’entourer le gens innocents de malheur, c’est une compensation à ses échecs, et leurs propres complexes et frustrations psychiques. Maman était certaine que cette personne a été celle qui a provoqué mon « echec »et qui a tout programmé, grâce à son poste de pouvoir pour que cet appel de Philippe Sollers ne se produise jamais. Maman ne pesait de me le dire: cette mauvaise personne a sûrement  fait de son mieux pour que Sollers ne t’appelle jamais. 

L’admiration et le respect que je tenais pour Philippe Sollers a provoqué chez moi une retenue et par discrétion, quand bien même insérée dans une situation trouble, j’ai opté pour rester en silence et ne pas insister; je n’ai pas voulu savoir la raison  de ce rendez-vous manqué. Parfois mon excès de politesse me nuit dans une société où ces modes de traitement social sont censurés, on me traite de trop « obséquieuse », c’est l’attaque frontal et le manque de courtoisie, le seul langage bienvenu parmi mes concitoyens.

Quelques années après, j’ai rencontré l’écrivain Serge Koster, il a aimé totalement mon livre et m’a dit: c’est un livre qui a tous les mérites d’être édité, je vais le présenter à mon éditeur, mais je vous préviens, j’ignore sa réponse, malheureusement je ne suis pas l’éditeur. Peu après il m’a dit que par deux voies du comité de lecture, mon manuscrit n’avait pas été retenu.

Par la suite, en avançant dans l’âge, ma prise de position était tracée.

Je continuais à écrire sans cesse et j’ai pris la décision de devenir auteur indépendant; mon chemin de poète et d’écrivain se ferait sans faire appel à personne, en totale solitude, et pour ne plus jamais réaliser aucune tentative de trouver un éditeur. 

Je suis convaincue que toutes ces tentatives pour se faire éditer sont néfastes, dès qu’un auteur se place en position de « demandeur », le fil de contact respectueux est coupé.

 Le chemin doit s’inverser. Le poète, l’écrivain est un génie à part au sein de la société, sans mécène, aussi bien le peintre que le poète, vit à la dérive. Le milieux qui l’entoure devient un danger permanent.

Le poète, l’écrivain doit recevoir le respect, la reconnaissance et au même temps, se préserver de tout attaque extérieur.

Il m’est nécessaire de donner un exemple esthétique sur le sujet ici traité, je dois parler d’un essai de Serge Koster, une de ses oeuvres magistrales, aussi dense et de fine analyse que l’est Racine une passion française.

La situation de l’écrivain qu’il décrit est d’une clairvoyance absolue,

Je m’identifie complètement avec son analyse. 

Avec ces souvenances de jeunesse je ferme cet écrit.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

              

 

LITTÉRATURE DE L’EXIL OU L’EXIL VOLONTAIRE DE L’ACTE LITTÉRAIRE ?

24 novembre, 2024 (19:22) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

LITTÉRATURE DE L’EXIL OU

 

 

   L’EXIL VOLONTAIRE DE L’ACTE  LITTERAIRE?

 

 

« Nous avons tous conscience, ici, qu’un linguiste sourd à la fonction poétique du langage et un spécialiste de littérature indifférent aux problèmes linguistiques et peu familier des méthodes linguistiques sont des anachronismes aussi flagrants l’un que l’autre »

                                    Roman JAKOBSON

                               Conférence sur le style (1958)

 

 

Dans son livre Extraterritorialité George Steiner nous fait réfléchir sur les nouvelles modalités qui se sont produites en matière de renouvellement sémantique, dès la Première Guerre mondiale à nous jours; il prend comme exemple trois écrivains qui écrivirent dans une langue qui n’était pas la sienne. Ce sont des cas rarissimes; pour l’heure, bon nombre d’études linguistiques ont fait part des découvertes impressionnantes sur le genèse des créations littéraires liées à des éléments intimement liés à la génétique.

 C’est cet aspect qui attire toute mon attention parce que je fais l’auto-analyse de mon propre acte d’écriture et je prends en considération de manière très sérieuse les affirmations qui m’ont été faites par des experts, des Professeurs de littérature et aussi d’aucuns qui sont des experts dans l’exercice de la lecture à titre professionnel.

Tout d’abord, il faut clarifier ce qui s’est produit avec le poète et ou l’écrivain qui a commencé très jeune la pratique de l’écriture et qui s’exile par force majeure, je fais allusion précise à l’exilé politique. Steiner déclare que l’écrivain exilé sera toujours un « estropié », c’est une définition terrible, mais vraie; certes, mais seulement si cet artiste exilé n’a pas eu de reconnaissance et, je reste toujours au conditionnel, si entre son acte littéraire qu’il fait dans sa langue maternelle s’installe une barrière étanche qui le sépare de son pays d’adoption; il lui sera toujours nécessaire faire appel aux traducteurs, trouver un éditeur de premier ordre qui l’accueille et qui lui apporte cette facilité.

Si rien de cela lui advient dans sa nouvelle vie d’exilé, un découragement et une mort  de sa pratique littéraire peut se produire. 

Depuis mon arrivée en France, ce qui m’avait fort impressionné était l’expérience qui racontait Milan Kundera, qui débuta sans maîtriser le Français et qui avait pris des cours pour ensuite écrire parfaitement en sa deuxième langue qu’il avait fait sienne à la perfection.

C’est le cas exceptionnel des certains privilégiés.

La mise à mort qui font les imbéciles à celui ou celle qui fait des fautes, qui s’acharne à maîtriser une langue étrangère sans aide de personne est une expérience que j’ai faite de cette société contemporaine.

Je dis toujours que mon projet, ma « mission artistique » je l’ai programmé minutieusement pour arriver à Paris. Je suis arrivée à Paris, parce que mon débarquement je l’ai fait à Paris, ma vraie ville d’adoption,  et pour ce fait, j’ai pris des cours « audiovisuels » pour être à mème de parler, de communiquer et perte indépendante en toute les circonstance de mon insertion sans aide de personne.

Je savais d’avance, pour être pédagogue, que ma formation en Français serait défaillante, pour m’exprimer à l’écrit, je n’avais acquis que lkes rudiments essentiels pour me débrouiller face à l’administration , non pour m’exprimer de manière soutenue et sans fautes à l’écrit.

Par la suite, j’ai dû travailler et jamais je n’ai eu de l’argent pour payer le cours particulier d’un véritable professeur de Français, mon cas personnel était loin d’être comparable aux grands écrivain qui sont venus se réfugier en France.

Je me suis formée en autodidacte, parce que j’aimais la langue française, mes défaillances j’ai fini par las assumer, et même à présent je m’acharne en solitaire pour m’améliorer au jour le jpur. J’ai vu et entendu un entretien fait à la pianiste Martha Argerich, la manière dont elle adopte sa technique n’est pas indépendante de son jeu, la technique s’insère à l’intérprétation, elle a dit quelque chose qui me semble essentielle et que j’applique pour ma pratique journalière de la langue française, c’est dan l’exercice de l’écriture que les doutes m’assaillent, alors, c’est à ce moment là que je fais ma recherche et que j’applique ce que j’ai appris à mon texte.

Il n’y a pas de meilleure façon de dissiper les doutes et d’avancer, parce que ce qui nous ignorons et que nous cherchons par notre propre effort reste indélébile.

Je cite à nouveau Steiner, qui dit que l’écrivain qui écrit dans une langue qui n’est pas la sienne sera toujours mis à l’épreuve dans son acte d’écriture, car il n’aura pas de certitudes, c’est ce que nous vivons en permanence, il s’agit d’un terrain incertain, mais qui donne des résultats surprenant selon  un Professeur de littérature Française qui n’a pas pu juger ma poésie qui est toute écrite dans ma langue maternelle, l’espagnol,( c’est mon terrier principal où je suis maître et je sais où j’y vais avec certitudes et où je suis à l’aise pour le choix des mots. ) Il n’a pu que me lire en Français.

Quand j’écris en français il se crée un espace dangereux, des doutes arrivent pour être immédiatement résolues pour avancer, or ce Professeur m’a dit qu’il voyait chez des grands essayistes et des grands écrivains faire plus de fautes que moi, et un correcteur qui m’a corrigé mes tous premiers manuscrits à été du même avis. Je reviens sur les affirmations irrévocables du Professeur de littérature Française, son commentaire m’a laissé  soumise dans une préoccupation intellectuelle majeure que je dois élucider. Il m’a dit, j’ignore pourquoi, mais quand je vous lis, je ne vois l’influence d’aucun écrivain latino-américain et moins encore d’écrivain Français, jil me semble lire les russes surtout Dostoïesvski.  Je me suis mise à faire de recherches sur l’influence génétique chez l’acte d’écriture d’un poète ou d’un écrivain. Claude Couffon qui fut mon directeur des recherches m’avait dit quelque chose de similaire:« vous n’êtes ni Neruda ni la Mistral, vous n’avez aucune résonance latino-américaine, ils vont se trouver devant un cas d’exception, la vérité est que vous êtes un poète, un écrivain « inclassable ». Ce n’est pas la peine que vous vous occupiez de protéger vos écrits, personne ne pourra jamais vous les voler, plagier ou transformer, ils sont vous-même, ne perdez ni votre temps ni votre argent »

Je pense aux cours de langue étrangère dont les écoliers peuvent bénéficier gratuitement tout au long de leur scolarité et qu’ils méprisent avec une nonchalance obtuse. Il faut savoir qu’il est parfois excusable quand l’absence de pédagogie des professeurs de langue étrangère ou des professeurs de Français ignorants ne maîtrisent même pas les rudiments les plus basiques et essentiels de la langue française et que par faute de connaissances et de talent, ils  ennuient et tuent toute motivation chez les élèves.

C’est à ce moment là que nous sommes confrontés à la politique de la diffusion de l’ignorance du Ministère de l’Education Nationale, mais ne nous éloignons pas du sujet.

Dépendre d’un tiers pour écrire est une situation humiliante pour un écrivain.

Marcher dans l’acte d’écriture avec des béquilles est affreux. L’indépendance en matière d’Art est le pilier sur lequel nous devons faire notre expérience de vie et d’artistes.

Ou bien il se fait impérieux d’en remédier en s’adonnant aux cours de français, le coût financier d’une heure de langue étrangère est phénoménal et il reste interdit pour une personne sans revenus « confortables’ ou bien le poète et, ou l’écrivain devra se résigner à écrire uniquement dans sa langue maternelle et laisser la barrière entre lui et la société qui l’a accueilli comme une question subsidiaire. Mon cas personnel est marginal.

Je suis arrivée en France tardivement, parce que déjà professionnelle et bien formée par une équipe de Professeurs d’excellence, ceux qui exilés arrivèrent enfants ou qui firent leur scolarité en France ne comptent point comme exemple. Mon Professeur et Directeur des recherches me disait toujours qu’ayant fait mon entrée professionnelle « dans la branche la plus médiocre de la France : l’Education Nationale » et en affirmant très fort sa conviction, il me faisait comprendre que ma voie de poète était inscrite d’avance dans un échec selon lui, irréversible. Il me conseilla d’émigrer en Espagne. Des difficultés de famille me l’interdisaient. Une autre raison de poids me l’interdisait encore plus, je suis arrivée en France non pour m’insérer comme poète et écrivain, mais comme artiste-peintre, puisque le lien de privilège que je porte en moi est le lien esthétique qui a déposé en moi, avec son enseignement, le peintre Hernán Gazmuri, me faisant sa disciple et de manière définitive,  cette vérité je ne ‘invente pas, elle est dictée par mon âge et l’époque, je suis pour l’heure, et à ma connaissance il n’y a pas d’autre vieille que moi qui reste en vie comme la seule héritière de l’Ecole de Paris.

Hernán GAZMURI m’a dit à mes seize ans: «tu dois savoir que l’enseignement de Lhote que je te donne, tu l’obtiens sans efforts chez toi, moi, à mes 28 ans, j’ai dû l’obtenir en allant à Paris, avec mes faibles économies et en faisant des sacrifices innommables, tu a une mission,  et tu devrais être fidèle à ce travail».

La peinture moderne  est née à Paris, or ma voie d’artiste-peintre était déjà tracée par le destin, ma génétique et aussi, parce qu’avec mon arrivée programmée et volontaire à Paris, chargée d’un projet bien défini, une ligne directive se traçait de manière irréversible dans mon existence artiste-peintre.

Oh combien sont nombreuses celles qui s’efforcent de me détruire pour que je cesse de  peindre!

Je parle des Serpents de l’administration qui délibérément essaient de me détourner de mon travail de peintre et qui s’adonnent à commettre des délits permanents à mon encontre, pour m’interdire de vivre paisiblement!

Elles sont en possession des tous les outils administratifs pour que je n’obtienne pas ma mutation vers une HLM parisienne.

Une guerre invisible me déclarèrent. Les guerres administratives sous couvert de l’État sont les plus dangereuses, nonobstant, ma confiance dans la parole écrite ne s’estompera jamais.

Je ne possède ni leur nature ni leurs manières de bas-fonds, donc je les laisse faire, Napoléon disait qu’à l’ennemi il faut l’aider !

Avançons !

Les gens se servent de mots comme des misérables et des superficiels. Dans toute discussion ou dialogue où il y a des différends, au lieu de se comporter comme des personnes civilisées, ils font appel aux mots sans comprendre le bon usage, et en ignorant leur portée.

Moi, qui suis experte en langage, d’une part comme professionnelle et d’autre part en tant qu’artiste, je suis incapable d’entretenir un dialogue tortueux où la signification du discours qui m’est jeté pour me provoquer,  enferme une forme de violence, un mensonge et un piège qui me forcent à réagir par le moyen d’une réplique qui devrait se formuler dans des termes terribles, or je ne cède point à ce piège. Jamais.

 Ils ou elles, se lancent à dire avec légèreté tout et « n’importe quoi », je suis atterrée à les entendre.

Je ne donne jamais suite à ce genre de polémique, la guerre des mots m’est insupportable. 

Moi , qui aime les mots, je ressens cette violence verbale comme un viol.

C’est un viol cérébral, un viol de l’esprit, un attentat psychique, voire physique qui résonne dans tout mon être, mais personne ne peut comprendre cela, à l’exception d’un écrivain, d’un poète d’un « commentateur des textes » comme l’était George Steiner.

Les amis Français que j’avais et que j’aimais, ils  sont tous au cimetière, cette génération des gens spirituels  a été disparue à tout jamais.

Ils me suivaient, m’aidaient, m’encourageaient dans mes projets de peinture et d’écriture, en vieillissant,  en passant inexorablement par le temps, je me suis trouvée orpheline de ma France d’autrefois, il a été une épreuve existentielle « grave et difficile » comme qualifiait R.M. Rilke les épreuves d’ordre spirituel. Il m’a fallu refaire ma vie à l’aide des béquilles existentielles, me recréant un nouvel univers en ermite.

Par fortune du destin, j’ai hérité de mon père une force da caractère sans faille. Et, je suis fortifiée, par la vie malheureuse que l’administration française a décidé de me donner dès mon arrivée, elle fut faite de luttes incessantes, ce qui m’a laissé blindée et le peu de temps qui me reste à vivre,  je le protège  comme un bien précieux et je compte le vivre en paix.

Je me souviens d’une expérience avec les mots; y a quelques années une personne qui s’est conduite d’une honteuse manière,  a eu la maladresse d’inventer un subterfuge pour me reprocher mon silence et ce que de l’extérieur ressemblait à de l’indifférence. Lui répondre aurait été une grave erreur. Il n’y avait rien à répondre. Mon silence parlait des mots imprononçables et interdits.

Parce que le fait d’entendre un seul mot inconvenant, brisait déjà toute forme de possible dialogue; ce mot inconvenant disait long sur ses intentions. J’avais l’ouïe en alerte, la pierre jetée inconsciemment à l’eau, je l’ai écoutée et aussi ses échos funèbres, ce  mot était un mot qui présageait pour moi une mise à mort non immédiate, mais qui enfermait en soi une modalité verbale  qui a le russe, c’est le sens unique d’un futur proche. Je me suis sauvée de nouvelles épreuves malheureuses et gratuites, parce que déjà munie d’expérience de vie, rien ne pouvait me détourner ni n’arriver à m’atteindre pour me provoquer des blessures invisibles.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

In,  MEMOIRES: Ma vie littératurisée du Chili à la France.

 

 

 

« L’ORGANISATION DE LA CITÉ ? »

24 novembre, 2024 (11:07) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 

 

« L’ORGANISATION DE LA CITÉ ? »

 

 

LES NOUVELLES RESTRICTIONS DE LA CPAM

 

 

Chers Lecteurs, 

C’est jusqu’au dix décembre que je vais poursuivre l’écriture d’articles de critique sociétale, par la suite, même pas une ligne je ne consacrerai aux méfaits sociaux que ce gouvernement nous impose et dont il s’est imposé de manière virulente avec ses ordres crétines dans toutes les institutions de l’État, vous savez qu’il s’est immiscé pour agir avec des modalités de véritable dictature, or ce qui me laisse atterrée, oui, il n’y a pas d’autre mot mieux adapté à vous exprimer le sentiment d’effroi que je ressens à chaque « nouveauté » politique que les laquais du gouvernement s’efforcent d’accomplir avec des modalités obtuses et déplacées, je vais vous parler des deux d’entre elles, les plus indignes et dangereuses, parce que mis à part leur absurdité, elles portent atteinte à la vie des citoyens malades ou en état d’handicap.

Je connais depuis des nombreuses années le système de santé Français, pour plus d’exactitude, depuis l’année 2000 quand j’ai tout quitté pour m’occuper à plein temps de Maman, sans aucune aide extérieure, parce qu’elle était devenue totalement invalide et grabataire; nous avions besoin de transport médicalisé en permanence et je connais en profondeur les lois de la Sécurité sociale, alors je constate que « les associations de malades » manquent cruellement de ces informations que je possède, parce que les dernières nouvelles du journal de ce matin laissent voir une absence de réplique aux nouveau diktats de la CPAM. J’dresse ce message aux « Associations » et aussi aux mal nommés « MÉDECINS», parce qu’un médecin qui refuse un bon de transport à un malade ou à un handicapé et qui ose de le priver de soins, il lui apporte un tort ineffaçable à sa santé et s’il le fait de manière systématique et avec un caractère intransigeant sachez qu’il ne le fait que pour se faire valoir face à sa « hiérarchie » , parce que les médecins en France ne sont que de simples fonctionnaire de l’Etat, peu les importe le bien être de leurs « patients » que leurs secrétaires nomment « clients ».

Si la qualité de la médecine a baissé en France la faute est due uniquement aux gouvernements successifs. Aucun député ne se consacre à cette analyse et aucun député ne consacre de son temps à crier haute et fort à l’Assemblée Nationale la discrimination abusive que le gouvernement est en train de propager à l’encontre des malades et d’handicapés.

Cela dit,  je vais vous exposer le nouveau diktat de la Sécurité Sociale et je vais ouvrir la boite de Pandore, ne vous inquiétez point, je laisserai dedans l’ESPOIR. Je fais honneur à mon prénom russe: Nadezhda.

Les bons de transport sont qualifiés d »abusifs » , parce que selon le Ministère ils sont un facteur déterminant dans les dépenses « excessives » de la Sécurité sociale. Vous devez savoir que le bon de transport sert soit pour un déplacement en ambulance ou en VSL, « taxi conventionné ». Seuls les malades atteints de maladies très graves qui ne peuvent même pas être transportés assis, doivent faire usage des ambulances, le reste des usagers, utilisent le VSL, «taxi conventionné ».

Comme le fait toujours la Sécurité Sociale, elle  accuse du déficit pécuniaire aux malades et aux handicapés.

FAUSSE ACCUSATION DE FRAUDE.

Tout comme les accusations de fraude à la Carte vitale, j’ai déjà écrit sur cette fausse accusation, si fraude il pourrait y avoir, elle ne peut se produire que par un médecin fraudeur lui-même qui accepte de recevoir un membre de la famille du « patient » qui octroie ses droits à quelqu’un qui ne possède même pas sa Carte Vitale, ce cas de figure est en France inexistant, parce qu’à présent il suffit d’atterrir sur le sol Français pour que quiconque veut se faire soigner ou obtenir une HLM soit  bénéficiaire de tous ses avantages.

( Quand je suis arrivé en France il y a quarante trois ans, je n’ai rien eu des ses avantages, j’ai dû patiemment attendre 1989 quand j’eus ma naturalisation Française et que j’ai pu « m’inscrire » pour l’obtention d’une HLM, auparavant, je louais dans le privé, c’était parfait, je n’ai jamais eu de problèmes avec mes bailleurs Français, et j’ai payais mon loyer pour Maman et moi-même de mon misérable salaire de professeur d’espagnol, l’Assurance Maladie de Maman, je la  payais mensuellement à l’URSSAF et ses droit à la Sécurité Sociale c’est moi qui lui a fait obtenir sa première Carte de Santé, alors je n’ai pas vécu de l’assistanat, cette parenthèse me semble très utile pour mes détracteurs. Dès que je suis entrée dans le circuit de l’État ma vie est tombée en ruines et mon bien être s’est dégradé par l’intromission de l’État dans toutes mes affaires de la vie curante, étant le logement et la santé les piliers de la vie de tout citoyen.

Avant, il n’était pas nécessaire de gagner trois fois le prix du loyer pour acquérir un logement. La seule chose primordiale était de payer son loyer tous les mois, de comment le locataire devait se débrouiller, cela n’entrait pas en considération, si un locataire ne payait pas, alors on l’expulsait. À présent seuls les retraités aux retraites confortables, c’est à dire qui sont trois fois plus élevées que le prix du loyer mensuel, peuvent se loger dans un F2 à Paris, ma retraite devrait être  au moins de 7000 euros mensuels).

Didascalie …

La Carte Vitale ne peut être fraudée.

Les bons de transport pareillement, ils sont nominatifs et seul le médecin généraliste, inscrit comme médecin Référent à la Sécurité Sociale est habilité à les délivrer.

Lisez moi bin, parce que ce que je vais vous dire ici doit servir d’argument de défense aux malades, aux handicapés qui dépendent des bons de transport pour se déplacer aux consultations médicales et aussi aux « ASSOCIATIONS » qui manquent d’arguments solides.

LES BONS DE TRANSPORT

Voyons le système de l’intérieur.

1. Le bon de transport indique le lieu de départ et le lieu d’arrivée.

2.  Le bon de transport doit marquer la date de la dite consultation.

3. En bas du bon, il  doit être validée la date de la consultation chez le médecin généraliste qui a délivré le bon, sa signature et le tampon de son enregistrement à la CPAM.

4. Ils sont la plupart du temps délivrés pour un « aller-retour ».

5. Les informations sur le patients sont relatives à son nom, adresse, N° de sécurité sociale.

LA  DATE DE LA CONSULTATION DOIT ÊTRE EN ACCORD AVEC LA DATE DU BON DE TRANSPORT.

Donc, il est IMPOSSIBLE  la fraude dont accuse la Sécurité sociale aux patients et aux handicapés.

Aucun bon de transport ne peut servir pour que les malades ou les handicapés aillent « faire du shopping »,  visiter des musées, se promener ou visiter  leurs amis.

Ces fonctionnaires de la CPAM regardent à la loupe sur leurs ordinateurs  la coordination exacte entre le bon et la consultation pour laquelle il a été délivré; grâce à l’informatique tout y est méticuleusement inscrit et répertorié, le bon de transport doit concorder exactement avec la visite du patient à la consultation du médecin,  de l’hôpital, de la clinique ou autre.

Les accusations de la Sécurité sociale qui attaque et accuse les handicapés ou les malades, sont  un abus de pouvoir et cette faute administrative doit être punie devant un Tribunal Administratif.

Il est une ignominie et un abus de pouvoir.

Les citoyens handicapés en impossibilité de nous déplacer librement et avec aisance si nous vivons dans des lieux contraires à notre handicap nous devons exiger du RESPECT et en finir avec les polémiques déplacées!

 

Nous avons cotisé, pour être à l’abri dans nos vieux jours.

Bon nombre d’entre nous, nous avons travaillé sur des postes précaires et  mal payés et,  pour ma part, je n’ai jamais refusé aucun travail, dans ma jeunesse j’ai été exploitée dans le monde du travail de l’Education Nationale, alors dans mes vieux jours sachez que je compte faire valoir mes droits et je n’accepterai jamais qu’aucun faux médecin qui  se moque de mon handicap et de l’éloignement de Paris qui m’impose des déplacements avec « bon de transport » veut injustement faire  de moi une victime.

Les faux médecins,  je les connais déjà, sachez qu’ils ne me priveront pas de rester en bonne santé, si un médecin me refuse un bon de transport, cela veut dire que dans les 15 minutes qu’il me donne pour la consultation faite uniquement pour aller chercher le bon de transport, où 5 minutes il le dédie à passer la carte vitale dans son décodeur, il fait preuve de rester en dehors de mes souffrances et il viole le serment d’Hippocrate.

Je fuis le médecin qui met en réduction les bons de transport, pour se faire apprécier de sa hiérarchie, attention, qu’il ne vienne pas me refuser un bon de transport dédié aux déplacements obligatoires pour mon handicap.

 

Il ignore tout de moi, et de surcroit il est des ceux qui mène une vie régalienne et dont sa seule compétence n’est pas médicale, parce qu’il n’a pas de cerveau suffisant pur voir devant lui une patiente qui ne peut parcourir une distance abyssale entre son lieu de résidence et Paris où elle se fait suivre depuis des nombreuses années parce qu’elle était parisienne.

Cette discrimination abusive démontre aussi la dissociation entre les institutions, puisque les gérants des HLM permettent qu’une personne handicapée habite dans un immeuble inapte et dangereux pour son handicap et de surcroit éloignée des lieux de santé où elle s’est toujours fait suivre, et sans considérer sérieusement qu’où elle vit  reste « un désert médical » avéré. 

Mon message à l’Etat:

Regardez vos fautes de gérance du pays, faites vous l’introspection de votre incompétence et cessez de nous culpabiliser à l’aide des mensonges.

Vous devriez avoir honte de votre mauvaise gérance des affaires de l’Etat et voici mon message aux faux médecins:

 Le fait de mettre en réduction les bons de transport, pour vous faire apprécier de votre hiérarchie est une faute médicale gravissime, parce que vous laissez abandonnée et sans soins une patiente qui en a besoin, ne sortez pas le refrain absurde que l’État vous contrôle et qui vous réduit la faculté d’octroyer les bons de transport, je l’ai déjà démontré qu’il ne peut y avoir de fraude.

Stoppez vos arguments de pacotille, une personne intelligente et sérieuse ne peut pas vos accepter ces mensonges grossiers.

Attention,  qu’il ne vienne pas me refuser un bon de transport dédié aux déplacements obligatoires pour mon handicap.

L’ORGANISATION DE LA CITE EST L’ESSENCE DE LA DEMOCRATIE.

Il faut que nous sachions nous défendre de cette dictature parce  que les déficits de l’État sont dus à leur faute de fonctionnaires dépensiers; ils se donnent tous une vie confortable au détriment de la nation qui s’appauvrie au jour le jour, et ce sont eux qui donnent une vie de misère au pays sans que personne mette un digue et ne crie  la vérité et leur dise : BASTA !

 

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

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LE PLATEAU DU SAMU SOCIAL

23 novembre, 2024 (10:19) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

 LE PLATEAU DU SAMU SOCIAL

 

DANS UNE CLINIQUE PRIVEE DU 16ème.

          Il vaut mieux en rire!

 

 

Chers Lecteurs,

La Sécurité sociale est commandée par le ministère de la Santé.

Elle nous bombarde avec de conseils pour « prévenir » des maladies graves et se faire « dépister ». Sans leurs conseils je le fais une fois par an. Les voitures entrent au garage pour  une« révision technique », alors je ne vois pas lle mal à se faire dépister d’un possible dérèglement qu’on ne voit pas et qu’une fois perceptible il ne soit déjà trop tard pour en remédier.

Voila mon histoire, vous allez en rire !

Je vais une fois ou tous les deux ans me faire en Clinique un petit examen sous anesthésie générale qui ne dure que dix minutes. 

Mais, l’on prend une demi heure à se réveiller.

Le jeune commence à huit heures du soir et se prolonge jusqu’à huit heures du matin du lendemain, c’était l’heure de mon rendez-vous, qui par la faute du secrétariat ne fut pas respecté et le docteur qui m’attendait a dû faire passer deux personnes avant moi, j’ai vu la secrétaire ne pas savoir quoi faire avec la file d’attente, je n’avais jamais vu un désordre pareil dans cette clinique que pourtant j’aimais beaucoup et à qui je donnais la meilleure note.

Deux événements qui me dérangent toujours et je ne le cache pas. C’est qu’il faut déclarer « une personne de confiance au cas où ».

Je soupire, je donne mon dossier complet à la secrétaire.

Elle est attentive à tout de moi, et elle  me regarde avec insistance…

Elle me dit: »pourquoi soupirez vous? »

Je lui réponds (il paraît qu’il est interdit de soupirer aussi)

« Madame, ce que je trouve absurde ici, c’est qu’on nous demande de déclarer une « personne de confiance » comme si l’on allait subir une opération à coeur ouvert, il ne s’agit même pas d’un examen où la personne doit être entubée ».

Elle réplique: « C’est le »PROTOCOLE ».

C’est le Livre sacré des établissements de santé Français: 

LE PROTOCOLE.

Quand bien même stupide, il est rédigé dans les termes les plus imbéciles et ils le gardent comme une bible sacrée.

Dès que vous êtes anesthésiée il faut prévenir.

Alors, c’est pire encore ! Cela veut dire que l’anesthésiste ne vaut rien, parce que si moi j’étais médecin, je ne mettrais pas en doute mes compétences et ne laisserais pas mes patients dans le doute de ne pas se réveiller après dix minutes d’endormissement!

Bien, alors qu’ils rédigent deux prospectus, l’un pour les examens lourds, et un autre, comme le mien, à caractère superficiel  et sans risque.

Revenons à la « personne de confiance » , voyez vous les personnes de confiance que j’ai, elles sont toutes au cimetière, hélas ! Et à présent je n’en ai aucune que moi-même !

Alors j’écris sur le document : mes pompes funèbres, qu’ils appellent mon conseiller bancaire, mes obsèques sont déjà payées.

Après dix minutes d’endormissement tout ce cinéma ?!

Je suis excédée et tout ce préliminaire m’est si fastidieux, surtout à jeun, le que je supporte très mal, rien de pire pour moi que d’être privée de manger, je ne sers point pour les régimes et jeuner. Sans mon café serré le matin je suis pire qu’au bloc opératoire ! Ce que la secrétaire ignore est que je n’ai aucune maladie et que le pire de tout est que je souffre d’hypoglycémie, le contraire à la diabète, or si je ne mange pas  je m’évanouis; contrairement à ce que croient les gens, l’hypoglycémie exige de manger des protéines et non de compenser avec du sucre.

Le retard se fait sentir chez moi et je hâte de passer très vite au bloc pour en finir.

Enfin je me réveille et je ne pense qu’à mon café.

Le docteur arrive et me dit, tout s’est bien passé, vous n’avez rien, il me donne le résultat. «

Restez-là, on va vous emmener à manger ».

J’aurais voulu me lever tout de suite, mais on me l’interdit. 

Le protocole dit que même après une petite anesthésie, il faut d’abord manger et rester une heure dans la salle.

J’avais un rendez vous prévu avec mon taxi pour le prendre dehors au plus tard à 11h.

La voici une information de la plus haute importance: cette clinique est excellente par la qualité des médecins et aussi par le traitement jours attentif du personnel. J’ignore ce qui s’est passé cette année.

Cette clinique se caractérise pour offrir aux patients un plateaux tel que celui qui reçoit chaque passager d’un avion; c’était toujour un régal. Un plateau où tout est si bien pensé pour que celui ou celle qui sort des heures de jeune trouve un réconfort visuel et alimentaire, un vrai remontant qui fait plaisir.

Il ne s’agit pas de trouver un plateaux copieux et grossier, il a été structuré pour sortir le patient du stress des heures de jeune et d’attente, une façon de récupérer aussi psychologiquement de l’ambiance d’une clinique qui n’est pas du tout un moment des plus agréables.

Alors, dans chaque box de la salle de réveil, il y a un rideau court qui nous sépare, mais qui nonobstant permet d’apercevoir les voisins d’en face.

Les plateaux son servis par un personnel féminin assez jeune.

Arrive une qui m’avait déjà repérée à l’entrée, j’étais étonnée de son regard sournois, les français disent « un regard de travers ».

Mais, je suis habituée à recevoir des femmes ce type de regard. Par le passé, je me souviens qu’une fois, j’ai demandé à un médecin que voulait dire cette expression et cette attitude féminine à mon égard, alors il a sourit et m’a répondu: « ce sont les phéromones ».

Les phéromones ?, mais ça correspond au monde animal!

Et vous pensez que nous ne le sommes pas?

Bon, je viens de lire un petit article des chercheurs du CNRS, il parait que ledit docteur avait raison, mais cette attitude bestiale des jeunes femmes est déplacée vis-à-vis d’une vielle femme!

La jeune femme arrive et me jete le plateaux sur la table non sans me regarder avec insolence, à ce moment là, le regard avant bien changé, c’était un regard d’une insolence inouïe.

Je regarde mon plateau et je suis ahurie.

Savez vous ce qu’il y avait?

Une tasse de café. A coté une brioche si petite, inapproprié pour un adulte, de celles qu’on donne à un enfant d’un an, quand il commence à peine à mâcher des aliments.

Du coté droit de la tasse de café elle avait placé un yaourt nature glacé.

J’étais perplexe.

 Ce que je voulais faire c’était de m’habiller cet partir en courant, mais je ne pouvais pas, j’avais encore un cathéter accroché au bras et , ils ne l’enlèvent que dix minutes avant l’heure protocolaire écoulée dans l’établissement. J’avais déjà appelé mon chauffeur et ce que j’aurais dû faire ipso facto est de m’enlever moi-même les maudit cathéter, je sais le faire, et partir en courant.

Quand nous sommes affamés par des longues heures de jeun et un peu étourdis par l’anesthésie, l’on ne réagit pas avec toute l’énergie d’une personne qui ne subit pas ces dérangements.

J’ai commis la bêtise de boire ce café et manger la minuscule brioche fade, parce que la petite femme n’avait pas mis ces minuscules pots de confiture et le minuscule carré de beurre

J’ai  vu que mon voisin d’en face tartinait de plus belle et il était concentré à manger un plateau égal à ce que je recevais par le passé dans cette même clinique.

Alors j’ai fini le plateau dans deux secondes.

Il entre un jeune homme me prendre la tension, elle était comme d’habitude parfaite, j’avais 12.

Alors je lui pose cette question:

Dites-moi, pourquoi j’ai reçu un plateau du SAMU social?

C’est parce que maintenant nous avons des « restrictions alimentaires »

Ah bon?! Je vois que mon voisin a reçu un plateau sans aucun changement de ceux que j’ai toujours reçu dans cette clinique privée. Alors la restriction m’est destinée à titre personnel?

Il a rit et avec ce rire j’ai découvrais que ce plateau du SAMU SOCIAL m’avait été réservé spécialement, il restait à découvrir pourquoi. 

L’ordre venait d’où?

Moi, qui sois attachée à, la Loi, je ne fais jamais de conjectures sans preuves en l’espèce.

 Quand une fois habillée et prête à partir, je me trouve face à face à la jeune femme qui m’avait privé de nourriture je lui ai dit:

« Merci madame pour toute votre gentillesse »

Elle a baissé les yeux très surprise, elle ne savait pas quoi faire et ne m’a pas répondu en évitant de me regarder  de face; elle a tourné le regard ailleurs comme si elle n’avait rien entendu…Elle a reçu de moi une réponse devant laquelle elle ne s’attendait pas et n’a pas su quoi faire.

Connaissez vous ce que donne le SAMU SOCIAL aux pauvres de la rue?

Un petit gobelet de café et une brioche. Parfois ils leur donnent un gobelet de soupe. Las pauvres sont si reconnaissants!

Tout ce cirque me dépasse, comme si l’État ne pouvait pas contribuer à leur donner un plateaux rempli des bonnes choses, c’est honteux.

Une fois bien restaurée chez moi avec mon propre plateau-maison succulent, je riais à gorge déployée de cet incident que j’ai voulu faire public, parce que recevoir un affront de cette nature dans une clinique du 16ème de Paris est un incident qui mérite toute l’attention du public. 

Qu’il soit un incident propre des petites femmes « sans qualité », c’est possible, or tout change si cette ordre vient d’en haut;  c’est du pareil au même, en tout cas ce qu’elles recherchaient,  elles ne l’ont pas obtenu.

 Je riais seule, maintenant je ris à l’écrire, et  ce qui compte vraiment est qu’à présent, je ne ris pas toute seule, parce que j’espère que ceux qui m’ont lue se sont bien marrés avec mon histoire du PLATEAU DU SAMU SOCIAL!

Bonne journée !

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

CETTE SOCIÉTÉ MALSAINE

22 novembre, 2024 (20:01) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK

 

CETTE SOCIÉTÉ MALSAINE

 

 

Chers Lecteurs,

Il faut se rendre à l’évidence que cette société française, la masse, se caractérise principalement pour être aux aguets des informations et nouvelles qu’auparavant correspondaient aux articles de la page de faits divers, où il  ne se trouvaient que crimes, violations, obscénités et les gens s’exercaient surtout à la pratique du voyerisme accru, à présent il grandit au jour le jour. Les gens ne s’intéressent qu’à l’abject et ils adoptent avec facilité des comportements des bas fonds, celui qui, cherche ça comme nourriture quotidienne dit long sur sa vraie «nature ».

Dans mon pays natal, il existait dans les journaux, une rubrique dédié uniquement aux assassinats, viols, et tous ces faits criminels, on appelait cela « la page rouge ».

Le problème actuel est que les médias sans exception, ne nous présentent que ça, ce qu’ils obtiennent de la société est un empoissonnement absolu et une mutation qui intensifie et aggrave cette pollution spirituelle, il vaut mieux dire qu’ils ne créent qu’une l’absence de la spiritualité.

L’année prochaine je vais renoncer définitivement à toute cette aliénation des contrats « Box- internet ». J’avais vécu deux années sans rien de tout cet empoisonnement de l’Internent et reviendrai à la pratique de l’achat ponctuel des cartes prépayées et à une antenne de télévision pour regarder les films qui sont pour moi quelque chose de passionnant que je ne cesserai jamais de voir et revoir.

Je voulais définir mon article avec le nom en MORBOSIDAD, en espagnol ce mot est parfait et il donne le ton de ce que j’écris ici.

Mais la traduction Française change de fond en comble l’essence de ce  mot qu’en espagnol désigne parfaitement bien ce qui est maladif, trouble, malsain, interdit, cruel, désagréable, or l’Académie Espagnole de la langue définit avec une perfection complète le mot MORBOSIDAD.

 Alors, vous qui aimez tant Wikipédia, connectez vous et vous verrez que je dis vrai.

La traduction française le traduit par « morbidité » ce qui est absolument restrictif.

La RAE définit morbosité dans sa véritable signification est c’est celle qui j’ai choisi pour définir cette société.

Je peux aussi le prouver avec le contenu de mes articles, si mon contenu fait une référence à la politique, à ce que les journalistes nomment « l’actualité », mes lecteurs sont nombreux, si par malheur, pour mes lecteurs, j’ai l’idée de transcrire quelques poèmes sur l’automne ou un état spirituel, le nombre de mes lecteurs baisse à presque zéro.

Ce n’est pas ce constat pénible qui pourrait me faire changer de route.

Je ne fais qu’un constat.

Après des jours de réflexion, ( je l’avais déjà écris auparavant, mais je n’ai pas donné suite) je crois qu’à partir de janvier 2025 la tonalité et le choix de mes écrits changera.

Je pense qu’en entrant de manière définitive dans ma dernière étape de vie, la vieillesse, je ne dois plus m’occuper de la société et je devrais finir avec cette très mauvaise idée de me torturer par les malheurs du monde entier.

Personne ne se soucie de mes malheurs, pourquoi devrais-je me torturer par les méfaits que des sanguinaires, des politicards et des administrateurs s’acharnent à faire de manière criminelle pour nous empoisonner au jour le jour?

C’est une idée juvénile celle de croire qu’avec la parole ou l’art nous pourrions influencer et réveiller les consciences. Je dédierai mon temps à moi, je ne m’occuperai que de moi, et tout mon temps et toute mon énergie restera circonscrit autour de ma propre création esthétique .

Maintenant est arrivée l’heure de pratiqure le même hermétisme social que j’ai en vivant seule dans « mon terrier », le déplaçant aussi vers une nouvelle voie spirituelle de fermeture étanche vis-à-vois du sociétal.

J’avoue que c’est très difficile, parce que cette pratique d’écriture de critique sociale a été dès mon adolescence la deuxième voie de pratique d’écriture après la poésie et les récits lyriques.

Mais tout s’obtient avec volonté.

Donc, d’ici début décembre, je laisserai encore quelques uns de mes articles consacrés aux faits « de société », pour en mettre un terme avant la mi-décembre.

J’ai déjà effacé bon nombre de mes articles sur ce su-ite le plant dans la « corbeille ».

Mais ils sont sauvegardés dans mon disque dur.

Je cesserai aussi de consacrer mes livres aux faits criminels que les SERPENTS de l’administration me font subir.

Début décembre je publierai mon dernier livre, l’un des plus nocifs et désagréables que j’ai dû écrire sur les Serpents auxquels je loue cette HLM.

C’est un témoignage accablant, j’étais obligée à l’écrire et à le publier pour l’envoyer aux autorités dans l’espoir d’obtenir la mutation vers Paris et sortir de cet enfer.

Dorénavant, je retournerai à mes écrits essentiellement consacrés à la poésie et aux récits lyriques. Je cesserai aussi de dépenser mon argent  qui me fait grave défaut à la publication de mes livres que personne n’achète. Nonobstant, chacun d’entre eux restera inscrit et enregistré pour que mon testament et mes dernières volontés l’inscrivent comme un fait réel et factuel, mes livres ne resteront pas à la dérive dans le domaine « virtuel » avec le danger terrible qu’ils ne soient effacés à tout jamais.

Je connais parfaitement le monde informatique et je sais me défendre de ses méfaits.

Bien, ce liminaire pour vous prévenir et vous avertir des changement et décisions que j’ai pris pour cette nouvelle année qui débutera bientôt.

Je me souviens de mon Professeur de la faculté de littérature de Santiago, elle me disait: « seuls les imbéciles ne changent jamais ».

Ce qui doit rester immuable et qui ne doit jamais changer chez une personne de bien est son sens de l’honneur, je fais entrer là tout ce qui fait d’une personne un être digne. Le reste doit changer parce que nous changeons, nous vieillissons et l’expérience de vie nous indique et nous enseigne qu’il faut sortir des enseignements de nos erreurs.

Dorénavant, je ne penserai qu’à moi-même ensuite à moi et pour en finir, uniquement à moi. La vieillesse indique que l’égoïsme et une forme d’épargne d’énergie pour vivre mieux et plus longtemps. 

Fermer sa porte à double tour est une défense physique, et fermer la porte aux nouvelles du monde et d’une société MALSAINE est une nécessité qui nous apportera une purification.

Demain je vous ferai partager une article, l’un de mes derniers, assez comique-tragique d’une expérience sociétale au sein d’un clinique privée; après l’avoir vécu, je ne pouvais pas ne pas m’empêcher de rire et tout seule ici dans mon terrier, tout ceci pour vous dire combien il est parfois risible la méchanceté des petites êtres malfaisants qui naissent et qui n’existent que pour répandre la méchanceté.

À très bientôt.

Carmen Florence Gazmuri Cherniak

 

 

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