8 septembre, 2024 (10:37) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
VILOGIA RECONNU PUBLIQUEMENT COMME BAILLEUR SOCIAL ABUSIF
ET ILLÉGITIME.
JE BÉNÉFICIE DONC DE LA LIBERTÉ
DE FAIRE PREUVE D’ÊTRE
ESCROQUÉE IGNOMINIEUSEMENT
PAR SA DIRECTION.
ARTICLE EN PRÉPARATION
Carmen Florence Gazmuri Cherniak
Locataire d’une HLM délabrée et louée à Poissy dans des très mauvaises conditions
Locataire qui n’a jamais eu de retards ni d’impayés de loyer, la soussignée est une locataire exemplaire que la direction de VILOGIA dès son entrée dans les lieux, ne cesse de l’attaquer aussi bien du point de vue administratif que factuel.
8 septembre, 2024 (09:04) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
PHOTOS DE MA PÉRIODE DE JEUNE PROFESSEUR D’ESPAGNOL
AVEC MES ÉLÈVES AU SEIN DES LYCÉES FRANÇAIS
LA POLITIQUE «MAZAMORRA »
DE LA FRANCE
CE N’EST PAS LA PEINE D’ALLER VOTER.
Chers Lecteurs,
J’entends çà et là, la révolte et des dires insupportables qui démontrent ce que j’ai toujours dis, le désordre politique et les abus de tout ordre ne sont pas arrivés de manière spontanée en France, ils ont comme origine un épuisement de la pensée, un manque d’esprit critique que la nation a perdu depuis un demi-siècle ; il n’y a qu’un seul responsable : le ministère de l’Éducation nationale, et qui retombe sur le système scolaire, remplit des professeurs incompétents parce que très mal préparés, cela veut dur pas préparés du tout. Je ne vais revenir sur ma critique du système mafieux qui a dégradé la culture de la France avec un objectif criminel, de la laisser soumisse dans l’esprit mou et composé des citoyens malléables et amoindris.
Crier dans la rue et dégrader n’est pas un signe de révolte intelligente, alors ne venez pas me dire que ce que je déclare n’est pas vrai, ce que je dis est vrai, du contraire le résultat des élections irait de pair avec une décision présidentielle juste et en accord avec les réclamations de toute la nation.
Je ne vais pas revenir dans cet article à décomposer partie par partie les strates de la putréfaction interne qui siège au sein de l’école, parce que ce serait rébarbatif et j’irais jusqu’à l’abâtardissement d’une thèse que j’ai déjà exposée à maintes reprises ici sur cet espace littéraire et de critique sociétale.
À présent ce qui me motive est de vous dire comment je vois la manière de s’opposer de manière définitive à effacer cet état de résignation, ma méthode n’est pas coûteuse, elle ne vous demande pas de payer, mais vous exigera ce que l’école ne vous a jamais donné, et pour vous le démontrer facilement, je vais vous raconter une de mes conversations avec mes élèves de Terminal littéraire, de l’époque où j’exerçais au sein des lycées publics parisiens ; j’eus la même conversation au sein des lycées des banlieues ZEP et professionnels, voici ma conversation, faites très attention, car elle est représentative de notre époque, elle vous aidera à comprendre, je ne peux pas en douter !
Cours de prépa-bac, une matinée ordinaire, nous préparions un des treize textes obligatoires dans le « programme » obligatoire du ministère.
Les attaques gratuits des Inspecteurs d’espagnol motivèrent la protestation des collègues et du Proviseur, qui connaissaient mes compétences professionnelles, et mes élèves firent grève et se mobilisèrent pour aller protester devant l’entrée du rectorat de Versailles !
Du jamais vue en France. Ils ont dit que depuis queele rectorat avait mis la première pierre au lycée ils n’avaient jamais eu un professeur d’espagnol si compétente et qui les avait donnés l’envie d’étudier la littérature et qu’ils aimaient depuis l’espagnol.
Ce matin, un des élèves me dit :
« Madame vous nous dites tous les jours qu’il faut étudier pour réussir dans la vie, alors réussir comme vous ?
Combien vous paient-ils ?
Étudier pour être si mal payée comme vous l’êtes ?
Ça vous sert à quoi d’avoir étudié, pour être au chômage après, je ne suis pas d’accord ! »
Quiconque entend ces réflexions des élèves reste désarmé.
Les phrases intelligentes des élèves font référence au résultat du professeur d’espagnol qu’ils ont devant eux.
Travaillant sur des postes précaires, mal payés et avec une insécurité permanente de si l’année suivante le rectorat allait prendre la décision hâtive et hasardeuse de nous appeler pour encore remplir un nouveau remplacement aussi mal payé et précaire que les précédents.
Alors lisez bien ce que je leur ai répondu :
« Écoutez chers élèves, ce que vous me dites paraît très intelligent parce que vrai, parce que vous voyez un résultat catastrophique en matière pécuniaire, et de ce point de vu, vous avez entière raison, nous travaillons pour gagner notre pain honorablement, et tut travail mérite sa paie.
Mais et c’est ici qui réside la valeur d’avoir fait tant d’années d’études, quand ien même très mal récompensés, en comparaison avec quelqu’un qui ne s’est jamais préparé.
Le rectorat abuse certes, je suis à leur merci, et je n’ai récolté aucun résultat dans le pont de vue financier.
Mais il y a un espace ou le rectorat ou quiconque voudrait me détruire ne le pourra jamais, écoutez bien ce mot JAMAIS, il est lapidaire, irrévocable, indestructible comme l’est ma personne, ce sont précisément les années d’étude, de préparation que mes maîtres m’ont donné dans mon université dans mon pays natal qui m’ont donné un savoir solide avec la mission de le transmettre, mais qu’au même temps, ils m’ont ils m’ont donné une arme protectrice : le savoir, l’assurance de ce que je transmets est VRAI et ce qu’ils disent, tous mes adversaires, c’est FAUX, et je suis armée pour le leur démontrer et les détruire avec des mots.
Ce sont les mots que je vous donne ici tous les jours, ces mots littéraires sont chargés de vérité et de beauté, contre cette arme le rectorat est impuissant, contre des mots bien construits, il n’y aura pas d’employeur au monde qui pourra vous détruire, vous serez toujours les plus forts, et pas nécessairement les rectorats, vous pouvez aller travailleur ailleurs, je ne suis pas ici en train de former des élèves pour qu’ils deviennent professeurs, mais pour que vous deveniez des individus autonomes et vous le deviendrez en exerçant votre intelligence et votre esprit critique, mais attention, vous ne pouvez pas critiquer sans d’bord appréhender un savoir, on ne peut pas élaborer ni articuler une véritable critique qu’une fois l’acquis d’un savoir a été bien fait.
Comprenez -vous ?
Dans votre formation spirituelle, quel qu’il soit le métier que vous allez choisir, si vous savez penser, si vous savez appliquer librement une méthode de pensée personne ne pourra plus jamais essayer de vous détruire.
Voyez-vous , je suis mal payée certes, je n’ai aucune sécurité dans le travail, mais devant tous les attaques de ce ministère, je reste vivante, je ne subis aucun trouble qui puisse m’induire à prendre des mauvaises décisions, je reste débout, ferme et combative, car je sais que je dis vrai, que j’agis avec la vérité et avec l’honneur de ne jamais faire du mal à personne, en revanche ces misérables se couvrent de déshonneur et ils restent pour l’histoire comme des êtres malfaisants.
Les professions libérales, sont à l’abri de ces abus de la société, les professeurs ont toujours subi le déclassement et ils ont été toujours traités comme des parias de la société, Horkheimer les définit comme « DES BÊTES DE SOMME » cette définition éclaire définitivement le statut des professeurs de lycées, et il parlait de l’Allemagne des années trente, le pays de la kultur !
Regardez, chers élèves, les conseils d’étudier sans penser au résultat financier ultérieur restent valides. Étudiez, réussissez votre Bac, vous serez invincibles ! »
Un jour, en arrivant à la gare Saint-Lazare, je venais de ma journée de travail dans le Lycée Saint-Exupéry, à Mantes la Jolie, et je traverse la rue pour aller faire les courses du pain à la boulangerie PAUL, je fais la queue et une des jeunes vendeuses s’écrie : »Madame Gazmuri !
Je suis étonnée, surprise d’entendre mon nom
vous ne me reconnaissez pas ?
J’ai été votre élève en Terminal !
Ah oui, mais comment est-il possible, tu te rappelles de moi ?
Cela fait des années déjà !
« Mais madame, à vous, on ne peut pas vous oublier, c’est grâce à vous que j’ai décidé de devenir professeur, j’ai réussi ma maîtrise et maintenant, je commence mon doctorat. »
Vous nous avez enseigné à aimer la littérature.
C’est tout ce que je tenais à vous dire ce dimanche.
Il n’y aura jamais aucun employeur, aucun bailleur ou quiconque voudrait vous détruire ; personne ne sera capable de vous amoindrir si vous avez donné de l’importance aux mots.
Il n’y aura aucun politicard capable de vous tromper si vous savez parler, et pour savoir écrire et parler, il faut avoir étudié.
7 septembre, 2024 (20:21) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
VILOGIA
FAIT SEMBLANT D’AIDER L’ADOLESCENT HANDICAPÉ
LUI PROPOSANT UN STUDIO « GRATUIT »
Le temps que l’ascenseur soit un jour réparé, mais, tout comme la fable de la Fontaine, l’accès audit studio a des marches d’escaliers que l’adolescent dans un lourd fauteuil roulant ne peut pas franchir.
Moi qui suis aussi victime de ce bailleur criminel, j’ai écrit un livre qui peut être considéré comme une fable, mais la mienne, à différence de celle-ci, elle n’a pas un seul élément d’idéalisme.
Je l’ai intitulée
CONSTANZA ET LES SERPENTS
Faire subir des préjudices de santé aux locataires handicapés sans remédier le dégât avec un caractère d’urgence absolue et ipso facto est un délit pénal.
Tout problème de dégâts dans l’immeuble est de l’unique responsabilité du « bailleur social »
VILOGIA porte préjudice à une personne handicapée et vulnérable, donc il devrait répondre devant la justice et il devrait, dans une France idéale, être puni et le surveillé, parce que VILOGIA emploie des méthodes administratives et d’escroquerie flagrantes, avec des fausses factures de dépassement des charges et en augmentant à sa guise le loyer qui est fixé annuellement par l’État.
Si VILOGIA croit qu’elle va m’amoindrir, elle se trompe.
Je lui ai écrit clairement de stopper son « LOYER YO-YO! »
La Caf reste inactive, car elle n’est pas un organisme décideur, mais un organisme payeur par ordre de l’État, nonobstant, elle reçoit mes lettres et je la tiens bien au courant.
La Caf ne peut intervenir entre les litiges entre bailleurs et locataires, mais elle peut suspendre l’APL aux locataires fraudeurs.
Il va falloir que la loi de l’entonnoir prenne fin et que les bailleurs sociaux criminels passent à la trappe tout comme les locataires mauvais payeurs !
Mon message à la famille de l’adolescent handicapé victime de VILOGIA
Vous devez aller en référé.
En 48h votre problème sera résolu.
DÉBLOQUER UN LOCATAIRE HANDICAPE ENFERME DANS SON LOGEMENT FAUTE D’ASCENSEUR
Le 20 avril 2024
Un locataire atteint de handicap privé d’ascenseur Obtient en urgence la possibilité de sortir de son appartement grâce à l’action du cabinet GIRAUD WABANT en procédure d’urgence en moins d’un mois au nom des libertés fondamentales
Le cabinet GIRAUD WABANT (sarl AAGW) a été contacté par un locataire à mobilité réduite se déplaçant uniquement en fauteuil, bloqué dans son appartement suite à la mise hors service de l’ascenseur de la résidence. Ses démarches amiables n’avaient donné aucun résultat et la situation devenait urgente et insupportable.
Le client souhaitait une solution urgente d’autant que cela l’empêchait de suivre séances de soins indispensables.
Par conséquent, nous lui avons proposé d’agir en urgence par une action judiciaire en référé d’heure à heure (procédure d’urgence exceptionnelle la plus rapide).
En 10 jours nous avons obtenu une audience et avons plaidé le 25 mars 2024.
Nous avons innové en ne demandant pas seulement réparation du préjudice mais obligation pour le bailleur de mettre en œuvre une solution alternative pour permettre au client d’entrer et sortir de son appartement au moins 4 fois par semaine.
Cette « innovation » juridique qui privilégie la dignité et la liberté du client plutôt qu’une simple indemnisation a été couronnée de succès.
Le tribunal a condamné le bailleur et la copropriété à verser 600€ par semaine à notre client pour lui permettre de faire intervenir un ambulancier 4 fois par semaine afin de l’aider à sortir du logement.
Cette condamnation courra jusqu’à ce que l’ascenseur soit remis en service.
Si vous vous trouvez dans une situation inextricable comme celle de notre client et que vos interlocuteurs ne vous répondent pas, il y a peut-être une solution.
La SARL AAGW GIRAUD WABANT et ses collaborateurs rechercheront avec vous une solution et sauront faire preuve d’imagination avec toutes leurs compétences pour allier rapidité et efficacité à votre service
Zakaria, 20 ans, est un jeune homme tétraplégique qui est aujourd’hui bloqué dans son appartement à cause d’une panne d’ascenseur liée à un acte de vandalisme
En cette période de Jeux paralympiques, la question de l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite se pose de nouveau. Zakaria, un jeune homme de 20 ans tétraplégique, est aujourd’hui bloqué dans son appartement du 8e étage d’une résidence lyonnaise. Depuis trois mois, l’ascenseur est en panne à cause d’un acte de vandalisme.
Une situation très difficile à vivre pour le jeune homme. « C’est hyper compliqué pour moi, c’est vraiment dur, c’est affreux », déplore Zakaria, auprès de BFMTV. Pour la mère de Zakaria, voir son fils coupé du monde est un véritable crève-cœur. « On ne peut pas aller à l’hôpital de jour, même les activités comme le handisport, il ne peut pas y aller », regrette Ghania.
« On ne sait pas ce qu’on peut faire »
Depuis que la famille a emménagé dans l’immeuble en 2022, l’ascenseur a été plusieurs fois en panne. « Zakaria d’habitude, il bouge, il est autonome. Là, on ne sait pas ce qu’on peut faire, vraiment, on demande de l’aide”, déclare, Mohamed, le père du jeune homme.
Face à cette situation, la famille a alerté plusieurs fois le gestionnaire de l’immeuble. Vilogia annonce avoir lancé les démarches de réparation, mais n’a aucun renseignement sur les délais de remise en service.
Avez-vous vu la nouvelle à la télé en ce moment même ?!
Dans mon article précédent j’ai écrit et dénoncé VILOGIA comme un bailleur social criminel.
Une famille a fait un scandale très bien programmé, cette famille est désabusée d’une manière honteuse par VILOGIA contre un de leurs fils qui est handicapé.
C’est BFMTV qui a filmé un excellent reportage.
Cette société d’HLM financée par l’État, se permet tout type d’abus en toute impunité.
L’immeuble de la famille en question reste sans ascenseur depuis trois mois et un jeune garçon tétraplégique en fauteuil roulant est confiné chez lui depuis 3 mois sans pouvoir sortir.
Cette société criminelle doit être punie et ce sera la seule forme de procédure pour que ces gérantes mettent un terme à leurs abus.
Je ne vais pas me répéter sur tout ce qu’ils font pour me rendre la vie impossible.
En tant que pédagogue, je ne répète le discours que quand les personnes n’ont pas compris, mais dans le cas de ma dénonciation, ELLES ont été bien averties de leurs délits à mon encontre par LRAR, et elles sont bien au courant, alors, c’est aux médias maintenant d’agir.
Oui, c’est mieux faire appel aux médias que se battre au tribunal.
Je leur ai déjà dit que je ne ferai RIEN devant la justice.
Je ne dépenserai plus un seul centime et je n’ai pas à me fatiguer et à abîmer ma santé par la faute des SERPENTS !
Ce sont les médias les seuls à faire le travail que la justice n’en fait point.
Aux journalistes, venez voir les abus de VILOGIA à Poissy
Vous en serez comblés.
Les gens disent à juste titre :
« La roue tourne… »
Oui, voyez-vous, chers Lecteurs ?
Croyez-moi quand j’écris des dénonciations et que je mets en garde les gens des délits.
Je dis toujours la vérité et rien que la vérité.
Ce matin, j’exulte !!!
VILOGIA EST DÉNONCÉE PUBLIQUEMENT COMME UN BAILLEUR HLM CRIMINEL !!!
6 septembre, 2024 (17:10) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
COUVERTURE DU LIVRE D’ANDRÉ LHOTE: DE LA PALETTE A L’ÉCRITOIRE
73 ANS ET IL TRAVAILLE ?!
ALORS A MES 70 ANS
JE SUIS UNE ADO !
J’ignore pourquoi les femmes me traitent de « vieille»
Il va falloir que je profite de mon « adolescence » non reconnue !
Chers Lecteurs,
« On marche sur la tête » ici en France.
Hier, le Premier ministre a été nommé.
Il est âgé de 73 ans.
D’aucuns parlent de lui louant ses compétences, son caractère, ses succès répétés tout au long de sa longue carrière.
Qui pourrait en douter !
Ce qui a retenu toute mon attention, c’est son âge, les journalistes n’ont pas cessé de le remarquer.
Alors, une question publique s’impose.
Pourquoi moi, qui a eu 70 ans le 25 janvier dernier, les « femmes » me traitent de « vieille ? ».
Et, pourquoi, à mes tout neufs 60 ans, juste quand le « Docteur Traître-Tant » m’a assassiné Maman en octobre 2013, lui refusant les soins, une fois que je l’avais mise en terre, j’ai dû commencer le jugement Pénal et je me suis présentée devant le Rectorat pour être réintégrée comme Professeur d’espagnol, et ces « femmes — fonctionnaires » me traitèrent indirectement de VIEILLE ?
Me disant que je devais prendre ma retraite, et que je n’étais pas « prioritaire » ?
Alors, je leur ai posté le résultat de mon SCANNER CÉRÉBRAL, parce que la seule raison juridiquement valable pour qu’une administration ose proposer une entrée en EHPAD, les pires institutions pour des pauvres vieux grabataires délaissés criminellement par leurs enfants, est qu’ils souffrent d’une maladie cérébrale qui les empêche d’être autonomes.
Bien, mon rapport de scanner cérébral qui dit que mon cerveau est en parfait état et en parfaite performance n’a pas servi non plus pour être recrutée au Rectorat ni pour convaincre les SERPENTS de la Caisse de retraite.
Tant pis, me suis, dis-je…
Enfin, elles ont fini par se calmer, je ne reçois plus de ses gentilles propositions, car si cela arrivait à se reproduire, je leur enverrais un nouvel rapport de mon nouveau scanner cérébral, conjointement aux résultats d’une prise de sang, ils sont les seuls indicateurs sur la santé d’une personne et non « les commérages » mesdames, messieurs.
Ces indicateurs sont cruciaux pour toute personne qui est « âgée » et susceptible d’être jugée par le pays qui est l’exemple de liberté, égalité et fraternité !
Alors que le Premier ministre à ces 73 ans est nommé sur un poste de la plus haute importance pour l’État français !
Il va falloir qu’on me l’explique.
La loi de l’entonnoir ?
La Caisse de retraite m’a envoyé à maintes reprises des propositions d’entrer en EHPAD !!!
Je n’avais que 65 ans.
Une fois je leur ai adressé une réponse toute particulière. Ensuite j’ai déchiré les lettres.
La variabilité du jugement est conditionné par quels critères ?
L’age d’une personne est jugé selon son compte bancaire ?
Si c’est ainsi, ces SERPENTS auraient dû me trouver vieille dès mon arrivée en France, je n’avais que 26 ans à mon premier voyage, parce que la vérité qu’il faut connaître est que mon appauvrissement commença ici en France.
Afin de finir cet article, et parce que je sais que je suis lue par tous les Serpents, je l’opportunité unique d’être lue, ce Blog est bien meilleur qu’un réseau social, car c’est moi la seule créatrice et celle qui écrit.
(J’ai aussi un excellent gérant, qui le gère et le protège de tout possible piratage, alors, prenez en garde !)
Mon dernier bilan de santé, je m’en ai fait un en été et je le renouvelle annuellement, est PARFAIT.
Je n’ai jamais été cardiaque.
Mon cholestérol LDL est au plus bas.
Je n’ai pas d’hypertension, bien au contraire, ma tension a tendance à être très basse. Le café m’aide beaucoup.
Je ne prends aucun médicament.
Satisfaites ?
Oui ?
J’en doute !
Et, j’oubliais, chez moi se confirme la théorie intellectuelle de notre meilleur écrivain français, Philippe Sollers, il a dit que l’intellectuel fait du sport avec son cerveau, plus il s’entraîne, plus performant il devient.
Je le confirme au jour le jour dès que je me mets à mon écritoire ou devant mon chevalet.
Voyez-vous ?
Vous pouvez essayer seulement de continuer à ramper par les bureaux grisâtres de votre administration.
Ce dont les SERPENTS sont des expertes par leur nature, elles rampent…
4 septembre, 2024 (10:05) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
PROCHAINE CRITIQUE DU FILME SHOKUZAI ICI TRÈS PROCHAINEMENT
Chers Lecteurs,
Ma critique du film japonais SHOKUZAI est en écriture et je vous prie de m’attendre un peu, parce que je suis en train de faire une recherche
qui me prendra un peu de temps.
Vous savez déjà ce qui a écrit la critique française, le film est une Saga
Éblouissante
Émouvante
Virtuose.
Et les critiques vous ont raconté l’argument.
Pour ma part, je n’ai pas l’habitude de procéder ainsi et depuis mon plus jeune âge.
L’objectif n’est pas commercial ni de se faire un nom parmi l’avalanche de prétendants aux places de « figuration » de critiques de cinéma.
Il ne devrait pas l’être.
Mais le manque d’esprit critique des français qui ne l’ont pas non plus au sein de l’école, se déplace pareillement vers tous les autres domaines culturels.
Ce manque, on ne peut que leur imputer dans tous les autres domaines de la vie sociétale, la réception des films de l’étranger en est une et de taille.
L’objectif de toute critique, soit-elle des films ou des productions littéraires à niveau de réception d’un public non spécialiste, est de la faire sérieusement et sans se soustraire à fournir des éléments cruciaux, sous prétexte que « le public » n’est pas connaisseur.
Et, les critiques de cinéma, n’essaieront jamais de développer chez les lecteurs des points de réflexion auxquels ils n’ont pas l’habitude d’y accéder.
Nous pensons le contraire, il faut contribuer à enrichir le champ de l’exégèse cinématographique et ce programme se fait de deux façons, ou bien en présentant une nouvelle perspective d’interprétation, ou bien en créant une « contre critique », un « contre-exposé », c’est la même procédure de tout commentateur de textes littéraires, le problème en France est que les critiques pensent à tort que l’exégèse d’un film doit rester sur une tonalité basée sur l’adjectivation spectaculaire, (déjà citée) avec une fin de réclame commerciale, pour que le film soit vu du public, et de remplir un rôle de « compte rendu » du plus simplificateur.
Le problème s’accentue avec les films japonais qui sortent tous du cadre des films européens et cette particularité de nouveauté « originale » prenons le mot qui fait référence à « leurs origines », est liée à la nouveauté cinématographique des cinéastes japonais qui lient à la perfection origines et nouveauté de technique et des procédures.
Cette thématique est proprement japonaise, et dans tous leurs films, cette modalité de mise en scène est ancrée dans leur tradition de millénaires de bonne littérature.
Ce film est basé sur un roman, de MINATO KANAE.
J’ai parcouru les publications en date de 2014 et je n’ai pas trouvé de publication faisant l’analyse appropriée, je suis persuadée que la lecture du roman s’impose.
Je vous devais cette explication, car je vais lire le roman avant de rédiger ma critique du film que j’ai vu par deux fois, chacun de cinq épisodes.
Avant de fermer ce bref article je dois vous dire ceci : si par curiosité, vous lisez la critique, vous verrez qu’il y a de fausses comparaisons assommantes de contradiction, cela est un résultat de ‘l’ignorance de la littérature japonaise, les films japonais sont la création de cinéastes de grande culture, aucun d’entre eux ne s’est aventuré à la création des films sans un socle culturel solide, ils sont tous des universitaires de haut niveau, donc laisser sans étude, cette composante, c’est appauvrir l’exégèse, la solution est d’extraire et de ne jamais lier un commentaire de film japonais sous la perspective la production des films japonais liée aux références culturelles occidentales, car le Japon n’en a aucune.
C’est une erreur qui touche l’absurde et l’impossibilité de toute articulation de « commentaire » possible.
Il faut aller chercher, comme nous l’avons déjà dit, dans les plus anciennes traditions japonaises, leur richesse esthétique et leur message se trouve à notre portée pour l’étudier et il nous faut la découvrir, pour dire quelque chose de valeur.
15 août, 2024 (13:17) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
HOTSURERU
S’EN DÉFAIRE
La rupture de l’harmonie shintoïste
ou une tragique transgression.
LIMINAIRE
La critique occidentale, dans sa majorité a profité pour critiquer la société japonaise selon eux, enfermée en traditions, coutumes, codes et un comportement social « étriqué », cette critique se déplace vers une supposée nécessité des femmes japonaises de « se libérer » du patriarcat et de vivre « à l’occidentale ».
Donc ce personnage féminin, leur sert d’exemple.
L’entretien fait par un « expert de critique de cinéma », a laissé un long entretien fait à Takuya KATO.
J’ai été formée en Art, par mon maître en peinture et maître de vie : mon père.
Dans mes débuts au sein de son atelier, j’avais seize ans, (on ne peut pas commencer l’étude du dessin avant cet âge-là) une fois que je lui ai montré un de mes travaux terminé, je lui ai dit :
« Papa, dommage, il m’est sorti autre chose »
Alors, il a souri et m’a répondu :
« C’est ça qui est bien ! Voilà une réussite, on veut faire une chose, il te sort une autre ».
Je voudrais discuter avec Takuya KATO.
Il a exprimé son projet et les différents choix qu’il a dû choisir pour mener à bien son idée, sauf que nous avons interprété de manière opposée l’exégèse de ce film.
OUVERTURE
La scène s’ouvre en couleurs tamisées donnant un passage enveloppant en clair-obscur.
WATAKO, l’héroïne et personnage romanesque principal a toujours un regard sombre, évasif et se déplace lentement.
Non, nous ne voyons pas le personnage masculin qui lui parle, « on devrait sortir la couverture d’hiver »
Il n’est pas le signe d’une phrase « domestique » et banale au sein d’un couple marié ou non, mais cette phrase qui ouvre la scène a une toute autre traduction, elle est l’expression d’un « partage » de vie commune, qui se fait précisément de petits gestes, et des phrases du quotidien que nous exprimons tous soit en vie de couple, soit en famille.
Les criques féministes se sont servi du petit espace de vie, et des dires du mari de WatakO, pour dévaloriser la vie d’une femme japonaise au foyer qui ne travaille pas « à l’extérieur », et selon elles, la mettre en valeur en train de « supporter » un mari aux mots coupants et insensible.
Tout cet ensemble de phrases exégétiques s’est organisé pour « justifier » l’adultère de l’héroïne romanesque.
Le déroulement des scènes et l’insertion apparemment paradoxale des flash-back sont là pour faire un rappel d’une souvenance, mais principalement comme un appel de la conscience qui s’impose pour dire à WatakO qu’il faut respecter les promesses, les engagements sacrés, exempts du contenu religieux occidental, et le principal de tout ce rappel, est indubitablement l nécessité d’avoir envers soi-même un sens aigu de la responsabilité affective que Watako a perdue de manière volontaire.
LA RUPTURE DE HARMONIE ZEN
La Mort. Le Deuil.
LE DÉNI
La mort et le deuil ont une signification tout autre à celle des racines occidentales ancrées dans les religions monothéistes.
Ce n’est pas pour autant que les préjudices chez les survivants qui ont perdu leurs êtres chers ne soient similaires, c’est la « reconstruction » personnelle du deuil qui diffère diamétralement.
Il faut savoir que dans la configuration spirituelle du Japon, insérés dans la pensée shintoïste qui guide la sphère individuelle, et le bouddhisme, dans l’espace communautaire, offrent des guides de comportement pour maintenir le respect sacré que l’on doit à autrui, et l’équilibre en société ; tous ces codes d’ordre spirituel l’héroïne romanesque les a brisés en devenant une femme adultère.
Elle présente la trace d’un cheminement spéculatif de sa situation qui s’ouvre très lentement, « je ne sais pas dans quelle direction aller… »
elle le dit en monologue intérieur en marchant, et en dialogue avec son amie, qui reçoit en silence ses mots, avec une toute légère phrase : « c’est dur de vivre dans le déni »sans jugement direct, pour ne pas la blesser, elle le donne tout de même.
LE PÈRE DE L’AMANT DE WATAKO
Il est sans conteste un personnage malfaisant en extrême qui sert de contrepoint aux figures qui déambulent autour de la vie de Watako, au lieu de qu’elle les considère sérieusement avec responsabilité affective en amour vis-à-vis de son mari et aussi de respect vis-à-vis de l’amitié qu’elle se doit de maintenir pour l’amitié de son amie.
Au lieu d’être deux socles d’amour qui ne l’auraient pas fait dévier sa conduite, ces figures sont regardées superficiellement, sans que Watako s’implique activement et non avec indolence dans l’amour.
Le déni ne naît pas directement du deuil de son amant, le deuil est l’expérience la plus terrifiante qu’un être humain ne peut supporter dans sa vie, la perte d’un être cher c’est la catastrophe absolue, le scandale suprême.
Dans ce film, le deuil n’est que la conséquence d’une source négative qui n’existe que parce que Watako a commis l’irréparable…L’adultère.
Watako tout comme Anna Karénine œuvrent pour déshonorer leurs maris, c’est leur honneur et leur nom qu’elles déshonorent avec une légèreté si « féminine », ce qui les rend des anti héroïnes provoquant le mépris esthétique et non l’élévation des sentiments nobles.
Avec ce type de personnages, l’individu n’est pas hissé vers les sommets ou précisément l’art littéraire s’agrandit.
Cependant, l’art littéraire n’existe point pour donner des bons exemples :
« Pas debonne littérature avec des bons sentiments »,certes, mais le goût amer reste…
Cette scène de l’accident surgit après leur rencontre, l’accident mortel s’est produit par une voiture qui l’écrase ; un contrepoint réussi est rappelé par le père qui raconte à Watako la détestation irréversible qu’il a reçue de son fils depuis son enfance, quand leur chien fut renversé par un chauffard et qui le laissa agonisant. Le père décrit en détail son vécu du passé et raconte qu’il étrangla le chien pour abroger son agonie, depuis son fils ne lui adressa plus jamais la parole.
Ce deux éléments forment le nœud de la séance animée par un père qui n‘intervient que pour rajouter des ondes négatives à l’action.
Il est celui qui produit une rencontre déplacée entre la femme de son amant et Watako. Conversation inutile et dans le terrain de l’absurde dont la destinée de l’héroïne, déjà bien sombre, aurait pu se voir épargnée de subir.
Il n’y a chez les Japonais la moindre trace d’éléments psychologiques et moins encore freudiens comme les critiques de cinéma veulent de force introduire dans l’art cinématographique de Takuya Kato.
Ce qui forme le pilier de cette transgression spirituelle est le manque de responsabilité morale et affective.
Une femme s’engage de manière consciente et, elle se doit de respecter à celui qui est son mari ou compagnon.
C’est une grave erreur d’exégèse que de dire que Watako a perdu sa capacité d’aimer par le deuil de son amant. La perte de sa capacité d’aimer va à l’encontre unique de son mari.
Le seul instant de violence dans les mots naît grâce à l’interrogation péremptoire du mari qui exige une confession « loyale » de son comportement.
En criant, elle pleure et avoue son infidélité.
Ce crescendo qui explose l’abcès du Mal ouvre dans le dialogue du couple le dénouement ouvert selon la vision spirituelle des Japonais.
Il est néanmoins désespérant la bonté désarmante du mari qui ne veut pas divorcer et qui l’épargne d’une répudiation bien méritée ; c’est un incompressible acte d’amour qui émeut sans limites.
LE KINTSUGI
Ces personnages théâtraux, « agonistas » pour employer le terme de don Miguel de Unamuno, doivent trouver une issue.
La scène finale au sein du petit appartement où sont accumulés cartons et bagages insinuent le croquis d’une nouvelle étape existentielle pour Watako et, on doit imaginer que pareillement pour son mari qui disparaît à tout jamais de la scène.
Le départ de Watako en voiture, conduisant seule marque dans un sens concret et dynamique l’ouverture vers la clairière.
Le dialogue entre deux êtres qui s’aiment doit toujours être le signe en paroles d’un amour oblatif.
C’est cette forme d’amour que Watako a trahi.
Jamais son mari.
Le mari a essayé en vain tout au long de ses tentatives infructueuses pour réparer, influencer, avec sollicitude et gentillesse, Watako resta de marbre, insupportable figure qui déforme ce qu’en littérature provoque de l’admiration, ne serait-ce que pour approfondir notre comparaison, il est nécessaire de faire le contraste avec La plus grandiose et remarquable des héroïnes : ANTIGONE, où son amour inconditionnel pour son frère débouche dans la défense des morts, combat universel sacré qui est pour elle sa raison d’être et où elle implique sa voix, ses mots et sa vie entière.
Watako est une contre héroïne, mais la spiritualité japonaise, remplie de bonté, la fait bénéficier d’une reconstruction, ce que pour les Occidentaux équivaut au « pardon. »
Ce KINTSUGI spirituel fait la reconstruction de Watako, détruite par sa faute, se produira chez elle la métamorphose d’une réparation, que tout comme la porcelaine réparée à l’or, ce travail fera apparaître ses défauts à tout jamais.
Elle devra porter chez elle, ad vitam æternam, sa terrible transgression à l’harmonie Shintoïste, elle revivra réparée mais différemment.
Cette dialectique, où s’articulent l’esthétique et la vision philosophique de la vie japonaise, lui donnera la paix et lui ouvrira la voie d’une restauration mentale pour recommencer à revivre, réparée.
14 août, 2024 (22:31) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
HOTSURERU
Chers Lecteurs,
aujourd’hui je suis allée à Paris, voir le film Japonais HOTSURERU.
La traduction française est grotesque de fond en comble.
En japonais HOTSURERU signifie s’en défaire.
J’irai encore une fois le revoir, la semaine prochaine.
Je suis sortie très tôt de cette banlieue où je survis encore…
Un vrai voyage sortir de ce trou infernal.
Mais, dans mon malheur, j’eus beaucoup de chance, car le film était en première dans un cinéma tout proche de la gare Saint-Lazare, et comme je n’ai pas de bus jusqu’à la mi-septembre, pour me rendre à mes arrondissements d’attache et je dois rester dans le secteur proche à la Gare saint-Lazare.
Je peux aller jusqu’à Opéra, ou jusqu’à Châtelet à pied, mais impossible à Montparnasse, le 13 ème ou mon préféré, Sevres-Babylone !
Enfin, c’est une petite salle, super, je me suis dit, le il n’y avait que dix personnes, tous des vieux, naturellement…
Je vais écrire une critique.
Mais étant donné que je n’écris pas sur commande, et que les films japonais sont des œuvres d’art, on ne peut voir ce genre de film qu’une seule fois.
Takuya KATO est un cinéaste qui a créé un art cinématographique différent des autres jeunes de sa génération, il sait utiliser « la lenteur ».
Les experts du cinéma vous donneront une série des vocables techniques, les féministes s’accapareront de l’argument pour déplier furibondes ces slogans déjà trop usés,car rebarbataires de critique au patriarcat japonais, à l’émancipation des femmes, et « au manque de communication ».
Et enfin les experts ne tarderont pas à vous faire la synopsis détaillée d’un résumé pétrifié.
Chers Lecteurs,
Je vais séparer mes propres impressions en tant que personne qui donne une écriture confessionnelle, de la critique objective où le critique doit rester en retrait pour ne faire qu’une analyse des éléments esthétiques et interpréter le message que le film offre aux spectateurs.
C’est un poème silencieux.
Un poème tragique sur le deuil, mais avant tout sur la fissure existentielle d’un jeune couple qui , en crise devra réparer son accident à deux.
Non, il ne s’agit ni d’un problème d’incommunication ni d’un drame psychologique banal.
La psychologie n’entre pas dans le champ spirituel des Japonais.
Je suis impressionnée de la vision et du message romanesque de ce film.
11 août, 2024 (19:29) | Non classé | By: CARMEN FLORENCE GAZMURI-CHERNIAK
UN SILENCE DANGEREUX
NE CHANTEZ PAS VICTOIRE
MÉDIAS DE PROPAGANDE ANTIRUSSE
Chers Lecteurs,
Voilà que ça recommence… la propagande antirusse chez LCU.
« Ils » commencent des analysés au détriment de la Russie et en faisant des louanges pour le bataillon YouTube.
Attendez…Le silence est très dangereux.
Je crois qu’elle est la plus redoutable des armes de combat, et dans tout ordre des choses.
Votre Ukraine, si elle se vante de faire ses avancées, tout ce mouvement de force ne leur est possible que grâce aux dons des occidentaux.
Sans ces dons ils ne seraient RIEN, et le clown ne pourrait que poursuivre ses lamentations….Et ses exigences en forme d’ordre péremptoire.
Nous, qui sommes totalement ignorants en matière de recherches géopolitiques, nous, simples citoyens, nous avons des intuitions que les grands chercheurs ignorent.
Je crois que ce bataillon YouTube tombera de front dans un piège monumental, aussi monumental que la grandeur de la Russie.
Nous avons à notre avoir un trésor : LA PATIENCE.
Je suis presque sûre que ce silence est suspect et très dangereux.